Journal articles on the topic 'Jugements de légitimité'

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Roux, Dominique, Mariem El Euch Maalej, and Julie Boyer. "Les jugements critiques du luxe : une approche par la légitimité." Décisions Marketing 82 (June 24, 2016): 33–52. http://dx.doi.org/10.7193/dm.082.33.52.

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Lordon, Frédéric. "La légitimité au regard du fait monétaire." Annales. Histoire, Sciences Sociales 55, no. 6 (December 2000): 1343–59. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2000.279920.

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Abstract:
Lamonnaie souveraine, ouvrage collectif dirigé par Michel Aglietta et André Orléan, a tout pour susciter des jugements tranchés. Il déplaira… souverainement aux tenants d'une stricte clôture disciplinaire de l'économie, pour qui l'hybridation avec les sciences sociales est le commencement du fourvoiement. Il est vrai qu'en matière de monnaie, l'appel à la coopération de l'anthropologie, de la psychanalyse ou de l'histoire sonne comme un aveu d'échec — celui de l'économie — à saisir intégralement l'objet même que l'on aurait spontanément tendance à considérer comme le plus parfaitement économique. Cet aveu d'échec, les auteurs y consentent sans l'ombre d'une hésitation. Tout ce qui déplaît aux uns ravira les autres : la pensée par concepts, plutôt que l'exclusivité des mathématiques, un parfait irrespect pour les frontières disciplinaires, qui démultiplie les points de vue, mais toujours sous la fédération de l'idée-force selon laquelle dans la monnaie se joue un rapport particulier des individus à la totalité sociale.
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3

Dubet, François, Marie Duru-Bellat, and Antoine Vérétout. "Emprise des diplômes, jugements de justice et cohésion sociale." Sociologie et sociétés 43, no. 1 (May 25, 2011): 225–59. http://dx.doi.org/10.7202/1003538ar.

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Abstract:
Dans quelle mesure l’éducation scolaire conforte-t-elle la cohésion sociale ? Après avoir défini la cohésion sociale de manière opérationnelle et en mobilisant des comparaisons internationales sur un échantillon de pays économiquement développés, cet article explore en quoi certaines caractéristiques des systèmes scolaires s’avèrent associées aux scores de cohésion sociale. Il apparaît que les relations sont plus fortes entre la cohésion et certaines variables sociales qu’entre celles-ci et les variables scolaires proprement dites et que, parmi ces dernières, c’est surtout l’emprise des diplômes sur la carrière sociale et professionnelle des individus qui s’avère importante. Cet article met en évidence un effet pervers de la croyance dans la méritocratie scolaire qui justifierait les conséquences sociales des hiérarchies scolaires. Ce mécanisme est lui-même inclus dans un ensemble de perceptions de la légitimité des inégalités sociales.
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Schwarz, Alexander. "Préface." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 21 (April 9, 2022): 1–4. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2006.1456.

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Abstract:
Peut-on dire qu'une langue est belle ou laide ? Ce n'est, en tout cas, pas Ie rôle du linguiste, mais cela n'empêche nullement nos informants de répondre aux questions sur leurs langues préférées et de donner leurs jugements esthétiques. Nous essayerons, dans notre projet, de saisir cette réalité sans en qualifier sa légitimité. La question est, en tout cas, importante vu Ie lien qui existe entre de telles attitudes face aux langues et Ie succès de l'enseignement – et de l'acquisition des langues par les élèves – lien incontesté même si une interdépendance semble plus probable qu'une influence unidirectionnelle
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Thireau, Isabelle, and Linshan Hua. "Jugements de légitimité et d'illégitimité : la vie normative dans les nouveaux lieux de travail en Chine." Revue française de sociologie 46, no. 3 (2005): 529. http://dx.doi.org/10.3917/rfs.463.0529.

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6

Helly, Denise, Valérie Scott, Marianne Hardy-Dussault, and Julie Ranger. "Droit familial et parties « musulmanes » : des cas de kafálah au Québec, 1997-2009." McGill Law Journal 56, no. 4 (September 13, 2011): 1057–112. http://dx.doi.org/10.7202/1005852ar.

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Abstract:
L’affirmation de la primauté de la justice étatique ressort de l’idée d’un lien consubstantiel entre État et droit, selon laquelle le droit n’a pas d’autre réalité sociale que celle assignée par la loi étatique, nationale, et ne peut être multiforme. Pourtant la multiplicité des normes, rationalités et mécanismes de justice dans toute société et l’existence de traités internationaux sur les droits fondamentaux mettent à mal cette idée. Les droits étatiques ne peuvent plus ignorer les autres ordres normatifs sous peine de porter atteinte à des principes désormais admis: la dignité des acteurs, la légitimité de leur identification personnelle et leur nécessaire adhésion à l’autorité de l’État. Dans ce contexte, une de nos recherches analyse la réception par des juges de valeurs et de normes familiales suivies par des musulmans et le présent texte se penche sur la réception de la kafálah, une forme de prise en charge d’un enfant musulman abandonné, orphelin ou dont la famille ne peut assumer le coût de l’éducation. Neuf jugements, rendus au Québec entre 1997 et 2009, sont présentés.
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Trimble, Linda, Natasja Treiberg, and Sue Girard1. "Kim-Speak : l’effet du genre dans la médiatisation de Kim Campbell durant la campagne pour l’élection nationale canadienne de 1993." Articles 23, no. 1 (September 24, 2010): 29–52. http://dx.doi.org/10.7202/044421ar.

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Abstract:
À l’occasion d’une élection opposant des chefs de parti de sexe différent, il se peut que la couverture médiatique reflète une conception du leadership politique marquée par la spécificité de genre. Les auteures ont cherché, dans leur étude, à vérifier la présence et l’ampleur de ce phénomène par la comparaison de la couverture médiatique de Kim Campbell et celle de son principal adversaire, le chef libéral Jean Chrétien, lors de l’élection fédérale de 1993, dans le quotidien anglophone national The Globe and Mail. À l’aide de techniques d’analyse de contenu et de critique du discours, elles ont analysé les représentations de la personnalité de chaque chef, ainsi que de son comportement et de ses discours durant la campagne. Bien que la couverture fasse état du sexe de Campbell, le discours journalistique l’inscrivait néanmoins dans une arène mâle, où elle était présentée comme étant aussi combative et pugnace que son adversaire masculin. L’effet du genre était particulièrement évident dans les descriptions des discours électoraux des chefs, où les auteurs ont observé que Campbell était plus souvent jugée sur des questions de style oratoire que son adversaire. De plus, ces jugements marqués par le genre étaient profondément négatifs. Se basant sur ces résultats, les auteures soutiennent que la représentation médiatique des prestations électorales de Kim Campbell a pu affaiblir la perception de sa légitimité en tant que chef politique et de sa capacité à diriger le pays à titre de première ministre.
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Matthews, J. Scott. "The Political Foundations of Support for Same-Sex Marriage in Canada." Canadian Journal of Political Science 38, no. 4 (December 2005): 841–66. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423905040485.

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Abstract:
Abstract.Public support for legal recognition of same-sex marriage increased markedly in Canada over the course of the 1990s. The argument of this paper is that a sequence of Supreme Court decisions in the realm of same-sex relationship recognition—and the legislative activity that followed as a result—played a pivotal role in shaping public opinion on this issue. It is argued that the impact of these institutions was twofold. First, by framing the issue as one of equal rights, the courts and legislatures induced many Canadians to weigh equality-related considerations more heavily in the formation of opinions on same-sex marriage. Second, legal recognition of same-sex relationships directly persuaded many Canadians that such recognition was legitimate. The paper uses data from the Canadian Election Studies for 1993, 1997 and 2000.Résumé.Durant les années 1990 le soutien populaire aux mariages entre conjoints de même sexe s'est clairement renforcé. La thèse principale de cet article avance qu'une série de décisions de la Cour suprême portant sur les relations entre conjoints de même sexe, de même que les décisions adoptées par les pouvoirs législatifs en réponse à ces jugements, jouèrent un rôle crucial dans la formation de l'opinion publique sur ces questions. D'abord, en formulant le débat en termes d'égalité devant la loi, les appareils judiciaire et législatif ont amené les Canadiens à accorder plus de poids aux arguments liés à l'égalité dans leurs réflexions sur le sujet. En second lieu, la reconnaissance légale des unions entre conjoints de même sexe a persuadé les Canadiens de la légitimité de cette reconnaissance. Les conclusions de ce texte s'appuient sur les données des éditions d'Étude électorale canadienne de 1993, 1997 et 2000.
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Dumas, Christel, and Stephanos Anastasiadis. "Mécanismes calculatifs et discursifs dans les notations ESG." Revue Française de Gestion 47, no. 300 (October 2021): 101–13. http://dx.doi.org/10.3166/rfg.2021.00581.

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Abstract:
Des données de rating longitudinales et l’observation participante du label Ethibel montrent que les mécanismes de jugement calculatifs nuisent à la légitimité, tout en l’améliorant. L’ajout d’un mécanisme discursif apporte un avis d’ensemble des experts, ainsi qu’une certaine opacité. Ce faisant, il permet la légitimité auprès de différentes parties. Cette recherche justifie donc l’usage de dispositifs de jugement calculatif et discursif combinés, motivé par le besoin de maintenir la légitimité, comme conditions de la confiance dans la durabilité.
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Bernatchez, Stéphane. "La controverse doctrinale sur la légitimité du juge constitutionnel canadien." Articles 19, no. 2-3 (November 19, 2008): 89–113. http://dx.doi.org/10.7202/040226ar.

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Abstract:
Résumé La constitutionnalisation des droits et libertés dans la Charte canadienne des droits et libertés continue de susciter des débats quant à la légitimité du contrôle constitutionnel par les tribunaux. L’auteur analyse la controverse doctrinale sur la justice constitutionnelle en présentant les différentes idées élaborées par les critiques de ce contrôle et les théories qui cherchent à en justifier la légitimité. Selon l’auteur, ce débat demeure marqué par le positivisme juridique, ce qui laisse entrevoir la nécessité de repenser la fonction du juge constitutionnel sur la base de conceptions plus satisfaisantes du jugement juridique, de la séparation des pouvoirs et de la démocratie.
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OST, François. "Le Code et le dictionnaire. Acceptabilité linguistique et validité juridique." Sociologie et sociétés 18, no. 1 (September 30, 2002): 59–76. http://dx.doi.org/10.7202/001536ar.

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Abstract:
Résumé Quelles sont les règles qui déterminent l'appartenance d'un mot ou une tournure à un lexique déterminé? Quelles sont les règles qui déterminent l'appartenance d'une norme ou d'une solution à un système juridique donné? Jugement d'acceptabilité linguistique dans le premier cas, jugement de validité juridique dans le second. Notre propos est de suggérer que si la langue - en l'occurrence son lexique - est plus normalisée, voire codifiée, qu'on ne le croit généralement, en revanche le droit est sans doute moins légalisé qu'il ne le donne à penser lui-même. C'est que, dans les deux cas, le jugement d'appartenance s'opère sur base de critères multiples et pas nécessairement convergents: critères formels de légalité ou de grammaticalité, mais aussi critères sociologiques d'effectivité ou de fréquence et critères axiologiques de légitimité.
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Ben Hamadi, Zouhour, Christine Fournès, and Xavier Philippe. "Les chemins de la légitimité en contrôle de gestion : processus d’acceptation ou de rejet d’un outil de gestion au sein d’une PME." Revue internationale P.M.E. 35, no. 1 (April 27, 2022): 52–76. http://dx.doi.org/10.7202/1088329ar.

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Abstract:
Par le biais d’une étude exploratoire, l’objectif de cet article est de comprendre les mécanismes d’acceptation ou de rejet d’un nouvel outil de gestion au sein d’une PME, et ce, à travers le prisme de la légitimité. En analysant l’introduction par le contrôleur de gestion de deux outils de gestion, l’un rejeté, l’autre accepté, et le processus social de jugement de ces outils, l’article souligne la confusion et l’interdépendance de la légitimité de l’outil et de celle du contrôleur. Le contrôleur est ainsi acteur de la légitimation de l’outil. L’étude présente également un modèle émergent des chemins de la légitimité pour les outils de gestion. Il souligne l’importance des indices de validité sur lesquels l’évaluation peut se reposer. Le contrôle de gestion demeurant une pratique importée, en l’absence de sources externes de validité, il semble indispensable de s’appuyer sur une source interne de validité qui, dans le cas de la PME, pourrait être notamment le soutien actif du dirigeant.
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Larrivée, Stéphane, and Andrée Mercier. "De la voix autoritaire à la voix autorisée." Dossier 37, no. 1 (November 24, 2011): 73–86. http://dx.doi.org/10.7202/1006463ar.

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Abstract:
Cet article aborde la trilogie de Marie-Claire Blais, Manuscrits de Pauline Archange, sous l’angle de l’autorité narrative, c’est-à-dire des modalités de représentation et de fonctionnement de la voix narrative ainsi que des enjeux de légitimation qu’elle engage. La notion est d’autant plus intéressante que les Manuscrits de Pauline Archange déploient un vaste réseau thématique autour de l’autorité. Une telle perspective conduit à dégager les contradictions d’un récit porté par une voix autoritaire, fragilisée toutefois par le discours et le jugement de l’autre, et à montrer, dans un deuxième temps, que les tensions qui marquent la narration trouvent leur résolution dans les romans ultérieurs, tels Le sourd dans la ville, Visions d’Anna et, plus tard encore, le cycle inauguré par Soifs. Il ressort que, de la voix autoritaire à la voix autorisée, les Manuscrits de Pauline Archange mettent en scène la difficile conquête de légitimité de l’écriture, à comprendre comme l’atteinte d’une autorité positive de la voix narrative.
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Comensoli Antonini, Lorenzo. "Refédérer les Français par la mémoire des guerres, 1593–1594." Renaissance and Reformation 45, no. 4 (July 11, 2023): 9–36. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v45i4.41375.

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Abstract:
La mémoire des guerres de Religion a été construite, à partir du xviie siècle, à partir d’un récit polarisé selon lequel la victoire d’Henri IV aurait effacé tout ce que la Ligue avait représenté. Sa défaite, en ce sens, aurait été avant tout idéologique, la Raison politique ayant enfin prévalu sur le fanatisme religieux. Cependant, dans les mois qui suivirent la conversion du roi de juillet 1593, la contraposition ne fut pas le principal ressort, ni des tentatives d’arriver à une paix, ni des opérations de relecture du passé impliquées par l’effort de pacification. Notre étude se focalise ainsi surtout sur deux textes de la période entre 1593 et 1594, écrits par deux protagonistes du rapprochement entre ligueurs et royalistes : l’Advis aux François de Pomponne de Bellièvre et l’Apologie de Villeroy. Leur tentative fédératrice se fit aussi par le biais d’un jugement conciliant sur les causes et les responsables des conflits et donc, implicitement, par la reconnaissance de la légitimité de l’engagement passé de la Ligue.
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Girard, Charles. "Instituer l’espace de la contestation : la compétence du peuple et la régulation des médias." Articles 40, no. 2 (March 10, 2014): 399–432. http://dx.doi.org/10.7202/1023703ar.

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Si la démocratie doit être comprise comme le gouvernement du peuple par et pour le peuple, il faut que le jugement populaire soit compétent : les procédures décisionnelles doivent pouvoir être à la fois inclusives et efficaces. Cet article considère l’une des conditions de la compétence du peuple : l’existence d’un espace public propice à la contestation publique des décisions politiques. En confrontant les paradigmes contestataire (Pettit) et épistémique (Cohen, Estlund) de la démocratie, il montre d’abord que la contestabilité ne peut fonder la légitimité démocratique des décisions que si la contestation populaire passe notamment par l’espace public médiatisé. Il établit ensuite qu’il est irréaliste d’attendre que les actions des agents médiatiques produisent spontanément un contexte adéquat à la délibération pour peu que la liberté d’expression et le pluralisme des médias soient protégés juridiquement, comme le suggèrent certaines approches (Page). Il conclut enfin que l’espace public de la contestation doit être institué, ce qui suppose une régulation adéquate des médias, qui peut puiser dans les ressources offertes par l’éthique journalistique, la critique sociale et le droit de la communication.
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Marty, Claire, Jean-Noël Vergnes, and Christiane Lodter. "Du bon usage des lignes esthétiques." Revue d'Orthopédie Dento-Faciale 54, no. 4 (November 2020): 393–405. http://dx.doi.org/10.1051/odf/2020040.

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Introduction : Les lignes esthétiques sont des paramètres céphalométriques de référence proposées dans les années 60 et connues de tous les orthodontistes. Les plus utilisées sont celles de Ricketts, Steiner et Burstone. Elles formalisent de façon simple l’évaluation du profil labial cutané dans le sens sagittal et déterminent le diagnostic de prochélie, normochélie ou rétrochélie. Cependant, nous pouvons nous interroger sur la pertinence de ces références. L’objectif de cette étude observationnelle transversale est d’évaluer leur légitimité afin de guider le plan de traitement orthodontique et l’indication de repositionnement dentaire selon l’âge du patient. Matériel et méthode : L’échantillon est composé de 96 patients sans limite d’âge dont les téléradiographies sont sélectionnées par stratification aléatoire. Les trois critères de jugement principaux sont les lignes E de Ricketts, S de Steiner et B de Burstone. Les mesures sont effectuées par un seul opérateur via le logiciel IMAGEJ. Résultat : D’après l’analyse de Spearman, plus le sujet est âgé, plus la rétrochélie augmente. Ceci avec une forte fiabilité pour les critères de Ricketts (rho>0,6) et Steiner (rho>0,6). De plus, l’âge pivot à 25 ans est vérifié par le test de Wilcoxon-Mann-Whitney (p < 0,05). Conclusion : L’utilisation des lignes esthétiques E, S et B comme argument d’un repositionnement dentaire chez l’adolescent et l’adulte jeune est injustifiée, de par l’absence de prise en compte du recul labial physiologique avec l’âge.
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Masseau, Didier. "L’enseignement de la littérature à l’Université : un champ d’étude incertain et menacé." Fabula-Lht : Le Partage des disciplines, no. 8 (May 16, 2011). http://dx.doi.org/10.58282/lht.245.

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Abstract:
Resume :L’enseignement de la littérature et, plus généralement la critique littéraire universitaire, sont pris en étau entre les sciences humaines envahissantes (sociologie de la littérature) et une critique formelle quelque peu épuisée qui, dans sa quête du sens, nie ou ignore le rôle de l’histoire. De plus, plusieurs disciplines qui se situaient traditionnellement dans les marges de la littérature empiètent de plus en plus sur un centre qui doute, par ailleurs, de sa légitimité et de sa fonction. La peur de nourrir un discours désuet et passéiste incite de nombreux universitaires à accueillir, sans médiation, n’importe quelle mode, au seul motif qu’elle est contemporaine. Or, pour pouvoir accéder à un jugement critique sur la littérature classique, moderne et contemporaine, l’étudiant en lettres a plus que jamais besoin de savoir naviguer dans le temps long de l’histoire.
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Massé, Raymond. "Éthique." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.009.

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Abstract:
En l’absence d’un consensus élargi, tant chez les philosophes que chez les anthropologues, sur des définitions normatives de l’éthique et de la morale, l’important pour l’anthropologie est de proposer un découpage cohérent et complémentaire des dimensions que recouvrent ces deux concepts. Si l’on définit la morale comme un système de normes et de valeurs auxquels les membres d’une société donnée doivent adhérer pour rendre les comportements compatibles avec les conceptions locales du Bien et du Mal (voire la rubrique Morale), l’éthique constitue plutôt le lieu et le moment d’une réflexion critique sur la moralité de nos gestes individuels et collectifs (Massé 2015). Alors que la morale est concernée par les injonctions «doit» et « ne doit pas» faire, l’éthique se demande «qui suis-je pour dire aux autres ce qu’ils doivent ou ne doivent pas faire » ? Et quels seront les impacts de ces conseils sur ma relation à l’autre ? L’éthique devient le lieu d’un questionnement sur le bien fondé de ces normes, voire d’un arbitrage effectué par les individus et les collectivités entre les normes proposées par la multiplicité de morales (religieuses, institutionnelles, de sens commun) auxquelles ils sont exposés. L’éthique oriente les conduites, certes, mais non pas par l’imposition d’obligations morales données à l’avance dans des textes religieux ou des normes inscrites dans un sens commun extérieur à l’individu. L’Éthique est ouverte, elle résiste aux enfermements. Elle suppose chez l’individu, une conscience des alternatives, une mise à distance critique pouvant conduire à la dissidence ou à l’acceptation éclairée. En ce sens, elle repose sur la liberté d’analyse et de jugement. Pour une institution publique, elle suppose une discussion ouverte entre les divers groupes d’intérêt concernés. Les résultats de cette délibération seront des valeurs élevées au niveau de principes éthiques à respecter. Ils seront généralement inscrits dans des «codes d’éthique» qui rendent visibles, tant aux personnels, aux clients qu’au public en général, les règles et normes qui en garantissent la moralité. Ces institutions proclament ainsi la vérité et la rectitude d’une moralité donnée (Zigon 2008). L’éthique devient ainsi une théorie raisonnée des jugements moraux portant sur le bien et le mal. L’éthique réfère donc à la fois au processus d’analyse raisonnée et aux résultats, toujours fragiles et provisoires, de cette réflexion issue de l’expérience et des situations critiques rencontrées à divers moments de la vie (Zigon 2008). L’importance centrale accordée au raisonnement est toutefois contestée par certains (Pandian et Ali 2010) anthropologues et historiens qui voient, par exemple, l’éthique et les vertus en Asie du Sud comme étant influencées autant par des forces psychiques et affectives que par des dispositions réflectives, délibératives ou rationnelles envers la conduite morale. Il n’en reste pas moins que l’éthique est cet espace de liberté qui amène l’individu à se questionner sur le bien-fondé de ses choix de vie lorsqu’il se demande «comment dois-je vivre»? L’éthique est donc, le lieu de la liberté, de l’arbitrage et de la pondération des obligations morales. Aucun système de normes et de valeurs morales n’étant en mesure d’éviter que ne surgissent des contradictions et des dilemmes dans les choix moraux, l’éthique suppose un ajustement des choix moraux selon les contextes, les circonstances. Si les morales, en tant que systèmes de normes, constituent des référents relativement stables, le positionnement éthique du sujet, pour sa part, est flexible. Il est susceptible d’ajustements selon les contextes, les étapes de la trajectoire de vie, les pressions de l’entourage ou des divers pouvoirs. Un individu peut perdre temporairement son statut éthique dans la communauté, mais il dispose tout autant de multiples outils pour reconstruire sa légitimité éthique. Une anthropologie de l’éthique sera donc axée sur l’analyse des modalités d’expression de la liberté du sujet (Laidlaw 2002). Elle s’intéressera aux subjectivités qui se construisent et se reconstruisent tout au long de l’expérience vécue. Elle mettra l’accent sur une analyse des possibilités ouvertes par cette liberté en décrivant de quelle façon elle est exercée dans différents contextes sociaux et différentes traditions culturelles. Bien sûr, cette liberté est limitée et largement influencée par les modèles imposés par sa société et sa culture. Il faudra toutefois éviter d’opposer éthique et morale sur la base de cette seule liberté, la routinisation de la morale pouvant parfois découler d’un exercice réflexif (Faubion 2011). L’enjeu est moins de déterminer si l’individu, dans telle ou telle société, est libre ou non d’adopter une position morale qui lui est propre (en choisissant parmi les normes morales, dominantes ou subalternes), que d’analyser les multiples modalités d’une incorporation des valeurs morales d’un contexte sociétal à l’autre sans oublier l’influence de l’expérience personnelle. Le champ de l’éthique est donc concerné par les mécanismes individuels et collectifs d’arbitrage et de règlement des conflits moraux. Or, dans toute société, ces processus d’arbitrage s’inscrivent dans les rapports de pouvoir existant entre les divers groupes d’intérêt qui participent à la discussion. L’éthique est donc le lieu d’une analyse comparée des modèles de résolution de conflit moraux de même que des rapports de pouvoirs économiques, politiques ou religieux qui influent sur la reproduction (ou la marginalisation) de certaines des valeurs morales. Elle reconnaît que le consentement et le consensus moral sont souvent forcés et qu'ils découlent d'usages sociopolitiques de normes morales. L’éthique enfin, concerne la recherche de potentielles valeurs morales universelles et d’une éthique partagée. Raymond Firth (1963) suggérait il y longtemps déjà que l’anthropologie devait s’intéresser aux principes généraux qui découleraient de l’étude comparative des diverses morales, bref à ce qui est commun aux conduites morales à travers les cultures. Arthur Kleinman (2006) voit pour sa part dans l’éthique un ensemble de principes moraux qui aspirent à l’application universelle. L’éthique est donc tout autant la recherche de ces dénominateurs communs moraux humanistes que l’étude des multiples façons dont les individus et les collectivités négocient les modalités d’un respect circonstancié et situé de ces principes.
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Gandsman Ari, Vanthune Karine. "Génocide." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.098.

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Abstract:
Si le but premier de l'anthropologie est de faire de notre monde un endroit sans danger pour les différences humaines, tel que l’affirma Ruth Benedict, le génocide, qui a pour but ultime l'élimination systématique de la différence, pose un problème urgent pour la discipline. Au cours des dernières décennies, le rôle et les responsabilités éthiques de l'anthropologue vis-à-vis des groupes auprès desquels il mène ses recherches ont fait l’objet de nombreux débats –dont entre autres ceux conduits par Scheper-Hughes (1995), qui plaide pour un engagement militant des chercheurs au nom d’une responsabilité morale, et d’Andrade (1995), qui argue pour leur neutralité afin de préserver leur objectivité. Toutefois, dans le contexte du génocide, de tels débats n’ont pas leur place, l'anthropologue ne pouvant en être un observateur détaché. L’anthropologie du génocide n’est apparue que vers la fin des années 1990, avec la publication d’Annihilating Difference (2002) de Laban Hinton. Plus généralement, les anthropologues ne s'intéressèrent pas à la violence étatique avant leur intérêt croissant pour le discours et la défense des droits humains, à partir des années 1980. Dès lors, ils s’éloignèrent de l'étude à petite échelle de communautés relativement stables, pour se concentrer sur des objets de plus grande échelle comme l’État, les institutions ou les mouvements transnationaux. Ce changement d’approche eut pour effet de dé-essentialiser le concept de culture, complexifiant du même coup l’analyse des différences humaines et de leur construction et leur réification pour fins d’annihilation. Les approches anthropologiques du génocide en historicisent et contextualisent le concept, en en faisant remonter les origines aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, lorsque les atrocités commises par l'Allemagne nazie furent décrites par Winston Churchill comme « crime sans nom ». Raphael Lemkin, un juriste polonais-juif, inventa le néologisme en combinant genos, le préfixe grec pour « gens », avec cide, le suffixe latin pour « meurtre » (Power 2002). Il fut adopté par le droit international en 1948, via la Convention des Nations Unies sur la prévention et la répression du génocide, qui le définit comme une série d'actes « commis dans l’intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel ». Bien que les anthropologues n’abordassent pas directement le génocide nazi, beaucoup furent impliqués dans ce dernier. L’anthropologue Germaine Tillion, qui fut internée dans le camp de concentration de Ravensbrück après avoir été capturée comme membre de la résistance française, en publia même une étude ([1945] 2015). Le mouvement d’autocritique de la discipline a amené nombre d’anthropologues à relire, au travers du prisme du génocide, la complicité de leurs prédécesseurs avec les projets coloniaux de l’époque. L'« ethnologie de sauvetage », par exemple, a été dénoncée comme ayant problématiquement eu pour prémisse la disparition inévitable et rapide des peuples autochtones. Nancy Scheper-Hughes (2001) a à ce titre analysé la relation ambivalente qu’eut Alfred L. Kroeber avec Ishi, alors présumé dernier survivant d’un peuple décimé. L'anthropologie biologique et physique a pour sa part été accusée d’avoir accordé une crédibilité scientifique à des idéologies racistes ayant légitimé des génocides, comme ce fut le cas en Allemagne nazie. Plus insidieux est le fait que des théories anthropologiques aient pu être appropriées par des promoteurs de discours de différenciation et d’haine raciale, comme par exemple les théories hamitiques, inspirées des études linguistiques et mythologiques de l’indo-européen, qui furent plus tard mobilisées pour justifier le génocide rwandais. La plupart des études anthropologiques contemporaines sur le génocide en examinent l’après. Les anthropologues se concentrent notamment sur la manière dont les génocides sont remémorés et commémorés, en particulier en termes de construction de « la vérité » dans le contexte de projets dits de « justice transitionnelle », ou en relation avec le legs à plus long terme de cette violence, qui peut toucher plusieurs générations. Ce type d’études se centre généralement sur l’expérience des victimes. Quelques travaux, néanmoins, étudient les origines des génocides, et portent alors leur regard sur leurs auteurs –comme ceux de Taylor (1999) sur le Rwanda, ou de Schirmer (1998) sur le Guatemala– et se penchent sur la question du passage à l’acte et de la responsabilité individuelle (Terestchenko 2005 ; Kilani 2014). Ce type d’études prend ce faisant très au sérieux le problème éthique de la représentation du génocide, tel que le décria Adorno, quand il qualifia de barbare l’écriture de poésie après Auschwitz. Si représenter le génocide se présente comme une injonction morale, demeure le danger de le mystifier ou de le normaliser. C’est pourquoi la plupart des anthropologues qui analysent ce phénomène essaient d’être fidèles à l’appel de Taussig (1984) d’« écrire contre le terrorisme ». Ils reconnaissent toutefois les limites de toute approche compréhensive de ce phénomène, le témoin idéal du génocide, comme l’ont souligné Levi (1989) et Agamben (1999), étant celui qui ne peut plus parler. La définition du génocide continue de faire l’objet de débats importants parmi ses spécialistes, dont les anthropologues. Si les cibles d’un génocide sont généralement perçues comme constituant un groupe ethnique ou religieux aux yeux de ses protagonistes, Lemkin avait initialement prévu d'y inclure les groupes politiques. Or ces derniers furent exclus de la définition de la Convention en raison d'objections soulevées notamment par l'Union soviétique, à l'époque engagée dans l’élimination des présumés opposants politiques au régime stalinien. De nombreux chercheurs continuent de plaider pour que la définition du génocide ne fasse référence qu’à la seule intention d'éliminer des personnes sur la base de leur présumée différence raciale. D'autres, cependant, s’opposent à cette restriction de la définition, suggérant au contraire de l’élargir afin d'y inclure les catastrophes écologiques, par exemple, ou la destruction systématique d'identités culturelles, telle que le projetât le système des pensionnats indiens au Canada (Woolford 2009). Si élargir le sens du génocide risque de diluer sa spécificité au point de le banaliser, reste qu’une définition trop stricte du phénomène peut faciliter la contestation d’allégations de génocide pour quantité de meurtres de masse –et dès lors entraver sa prévention ou punition. C’est pourquoi Scheper-Hughes (2002), par exemple, plaide plutôt pour la reconnaissance de « continuums génocidaires ». Selon elle, démontrer le potentiel génocidaire des formes de violence quotidienne et symbolique par le biais desquelles les vies de certains groupes en viennent à être dévaluées, peut contribuer à la prévention de ce type de violence de masse. Un autre sujet de controverse concerne le particularisme de l'Holocauste, tantôt conçu comme un événement historique singulier qui défie toute comparaison, ou comme un phénomène d’extermination de masse parmi d’autres ayant eu pour précurseurs des génocides antérieurs, comme le génocide arménien. Une autre question est de savoir si un génocide ne peut se produire que dans un contexte où ses victimes sont sans défense, ce qui rendrait dès lors l’utilisation de ce concept inadmissible dans des situations où les victimes ont eu recours à la violence pour se défendre. De nombreux travaux anthropologiques ont d’ailleurs remis en cause la nature exclusive des catégories de victime, d’auteur ou de spectateur dans des situations de violence extrême, et ce étant donnée la « zone grise » identifiée par Levi (1989) et discutée par Agamben (1999) –soit ce matériau réfractaire, dans des situations de violence de masse, à tout établissement d'une responsabilité morale ou légale, l’opprimé pouvant devenir l’oppresseur, et le bourreau, une victime. Ce faisant, la plupart rejettent une conceptualisation purement relativiste du génocide, et dénoncent la mobilisation de ce concept pour justifier des programmes politiques racistes ou anti-immigration – comme c’est aujourd’hui le cas en Amérique du Nord et en Europe, où certains groupes fascistes d’extrême droite revendiquent être les victimes d’un « génocide blanc » pour légitimer des politiques xénophobes. La question de qui a l’autorité de qualifier des actes de violence comme constituant un génocide, et au nom de qui, demeure –tel que le démontre Mamdani (2009) dans sa critique du mouvement « Sauver le Darfour ». Qualifier tout phénomène de violence de masse de « génocide » n'est pas qu’un acte de description. Il constitue d’abord et avant tout une action politique qui implique un jugement éthique.
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