Academic literature on the topic 'Jeunes femmes Hongkong Romans'

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Journal articles on the topic "Jeunes femmes Hongkong Romans"

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Lussone, Teresa Manuela. "Le conflit mère/fille dans les romans d’Irène Némirovsky." Mnemosyne, no. 8 (October 15, 2018): 24. http://dx.doi.org/10.14428/mnemosyne.v0i8.13893.

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Abstract:
Ce travail vise, en premier lieu, à rechercher les constantes dans la représentation des rapports mère/fille dans les romans d’Irène Némirovsky et, ensuite, à faire apparaître les « métaphores obsédantes », pour utiliser les mots de Charles Mauron, contenues dans ces textes. L’article se limite aux écrits dans lesquels on peut voir un reflet des rapports entre l’écrivaine et sa mère, qui coïncident avec les romans où nous retrouvons des relations mère/fille extrêmement conflictuelles, et qui ont même parfois des conséquences tragiques. Dans des romans comme L’Ennemie, Le Bal, Jézabel, des jeunes filles qui commencent à devenir femmes s’opposent à des mères égoïstes pour qui la croissance de leurs filles est un signe de leur vieillissement et donc une menace pour elles-mêmes. Les filles, de leur côté, détestent leurs mères, mais cette attitude n’est que la manifestation de leur besoin d’affection.
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Coste, Marion. "IDENTITÉS AFROPÉENNES DANS BLUES POUR ELISE DE LÉONORA MIANO." Philologia hispalensis 2, no. 34 (2020): 17–32. http://dx.doi.org/10.12795/ph.2020.v34.i02.02.

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Abstract:
Blues pour Elise met en scène des personnages de jeunes femmes afropéennes (c’est-à-dire d’origine africaine ou antillaise mais qui se reconnaissent principalement dans la culture de l’hexagone) de la classe moyenne. La question de la race est présente, mais sans insistance: ce sont les histoires d’amour des personnages qui occupent le récit. Nous verrons que cette manière de mettre la question de la race en arrière-plan permet à Léonora Miano d’éviter les stéréotypes misérabilistes auxquels les personnages noirs des romans français sont trop souvent réduits. Au contraire, dans ce roman, elle construit une grande diversité de modèles identitaires afropéens à travers ses personnages. Le roman offre également un « territoire mental » afropéen grâce aux références musicales présentes à la fin de chaque chapitre.
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Premat, Christophe. "enseignement des réalités coloniales dans le roman de jeunesse Rêves amers." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 10 (January 5, 2022): 36–50. http://dx.doi.org/10.29173/af29430.

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Abstract:
Le roman de jeunesse Rêves amers de Maryse Condé est paru pour la première fois dans le magazine Je bouquine en 1987 avant d’être repris par les éditions Bayard jeunesse en 2001. Portant sur l’expérience tragique de la migration, il s’attache à mettre en évidence la pérennité de l’esclavage social (Mbembe 2013). « Le roman francophone des Antilles apporte aussi un changement considérable dans la nature des êtres humains. Les hommes et les femmes qui en sont les héros n’appartiennent pas à une catégorie bien définie. Ils mettent à mal le concept de race. Ils sont le résultat d’influences diverses. Ils portent en eux des sangs multiples et sont souvent des métis, sensibles à la couleur de leur peau qui conditionne la qualité de leur existence » confiait récemment Maryse Condé dans un entretien mené par Roger Célestin (153). Cet ouvrage, qui était dans sa forme initiale paru peu de temps avant Traversée de la mangrove, traite d’Haïti et de la Caraïbe comme des espaces de révolte par rapport à la malédiction historique des rapports brutaux de la colonisation (Carruggi). Si le roman Rêves amers a eu une certaine réception dans le cadre de la littérature jeunesse et de la pédagogie, il reste relativement négligé des études littéraires universitaires. Pourtant, la référence à Haïti est centrale avec l’avènement de la première République noire indépendante du Nouveau Monde. Notre hypothèse est que Maryse Condé a proposé un ouvrage didactique destiné à former les jeunes générations pour qu’elles réinterrogent ce qui est enseigné dans une optique postcoloniale. Le contenu, les thèmes et le style de cet ouvrage lui ont servi de matrice pour la série de romans qui ont suivi. Notre étude portera sur l’analyse de la relation entre la mort et le rêve pour dégager un positionnement fondamental sur la manière de rendre compte de relations socio-historiques issues du colonialisme. Dans ce cadre, Haïti demeure la promesse d’une émancipation inachevée qui est enseignée aux jeunes générations. Ces œuvres semblent négligées par la critique peut-être parce que leur facture didactique est beaucoup plus nette.
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Pujante González, Domingo. "Ouverture: Connais-toi toi-même." HYBRIDA, no. 3 (December 31, 2021): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.3.22917.

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Abstract:
"Comme Barthes qui pensait que la littérature devait céder la place à l’auto-écriture de tous, je pense que tout le monde devrait faire la même chose : raconter sa vie. Connais-toi toi-même. Mets-toi en forme. Mets-toi en ordre". Dustan, Guillaume (1999). Nicolas Pages (p. 400). Balland. Guillaume Dustan et sa particulière vision de la littérature (« en littérature, soit c’est soi, soit c’est du bidon », Dustan, 1999, p. 384) me permettent de commencer cette Ouverture du troisième numéro de la revue HYBRIDA. Revue scientifique sur les hybridations culturelles et les identités migrantes dont le Dossier central est intitulé SIDA/S – 40 ans. Pour suivre les conseils de Dustan, je vais raconter (un peu) ma vie : en 1994, étant ce que l’on appelle « jeune chercheur », j’ai présenté un projet sur « sida et littérature » qui m’aurait permis d’obtenir une bourse aboutissant à une thèse doctorale. Je n’ai pas eu la bourse et j’ai dû changer de sujet pour candidater à nouveau l’année suivante. J’ai finalement obtenu cette bourse, ce qui m’a permis de commencer ma « carrière » universitaire en 1996. Le fait est que, même si je me suis centré sur le corps dans le discours artistico-littéraire d’avant-garde, notamment dans le théâtre (« panique »), je n’ai jamais quitté ce premier projet et me suis toujours intéressé aux écritures liées à l’expérience de la maladie, et plus concrètement aux « récits de sida », surtout d’écrivains homosexuels ayant pour la plupart disparu à cause de l’épidémie. Le souvenir du congrès Sida y cultura (Sida et culture) à l’Université de Valence en 1997, organisé, il y a 25 ans, par Ana Monleón et Ahmed Haderbache, restera donc toujours comme un moment important dans ma mémoire affective et académique. Je leur serai toujours reconnaissant de m’avoir permis de publier mon premier article de recherche intitulé « Escribir en el apremio » (« Écrire dans l’urgence »). Malheureusement, ce « modeste » volume, qui a même été exposé au Musée d’Art Moderne de Valence (IVAM), n’a pas eu une large diffusion. C’est donc un privilège de pouvoir le rééditer comme Annexe à ce numéro d’HYBRIDA. Nous avons respecté l’édition originale de 1997, même si elle ne répond pas aux normes éditoriales de la revue ni aux critères actuels de « qualité » concernant les publications scientifiques. Le volume est composé d’un bel ensemble de dix-neuf contributions de personnes venues de générations, de formations et d’horizons différents, ce qui a permis une réelle circulation des savoirs et un échange intéressant entre l’activisme et l’Université. Certains d’entre eux nous ont quittés, prématurément. La mort nous surprend toujours. Voici donc toute ma reconnaissance (nunc et semper) à la Professeure de littérature française Elena Real, ma directrice de thèse, qui s’était spécialisée, entre autres, dans l’autobiographie contemporaine, concrètement dans l’écriture des femmes et les thématiques du corps et de la séduction ; et au journaliste et historien de la déportation homosexuelle Jean Le Bitoux, figure emblématique du militantisme en France et fondateur historique, avec d’autres intellectuels et activistes comme Frank Arnal (décédé à 42 ans en 1993) et Jean Stern, du magazine Le Gai Pied dont le premier numéro de 1979 contenait un article de Michel Foucault qui aurait suggéré le nom. Le magazine a été une grande fenêtre ouverte à la liberté d’expression et à l’activisme homosexuel jusqu’à sa disparition en 1992. Il comptait sur la collaboration habituelle d’intellectuel·le·s et d’auteur·e·s comme Jean-Paul Aron, Renaud Camus, Copi, Guy Hocquenghem, Nathalie Magnan, Hugo Marsan ou Yves Navarre, pour n’en citer que quelques-un·e·s. Même Jean-Paul Sartre lui a accordé une interview en 1980. Mais revenons à Sida y Cultura pour ajouter que les approches ont été riches et variées, aussi bien sociologiques que culturelles, sous une perspective historique (en comparant le sida avec d’autres maladies antérieures), du point de vue de l’analyse du discours sur le sida ou de l’analyse concrète d’œuvres et d’auteurs touchés par le sida comme Cyril Collard (mort en 1993 à 35 ans), Copi (mort en 1987 à 48 ans), Pascal de Duve (mort en 1993 à 29 ans), et bien évidemment Hervé Guibert (mort en 1991 à 36 ans). Nous avons eu la chance également de compter sur la collaboration de Juan Vicente Aliaga, critique d’art espagnol réputé, spécialiste en études de genre et LGBT, qui avait publié quelques années auparavant (1993), aux côtés de José Miguel G. Cortés, le premier essai fait en Espagne sur l’art et le sida intitulé De amor y rabia (D’amour et de rage) qui reste un référent important dans ce domaine. Concernant la coordination du Dossier central SIDA/S – 40 ANS, je tiens à remercier sincèrement Didier Lestrade, journaliste, écrivain et militant reconnu, fondateur d’Act Up-Paris, ainsi que du magazine Têtu, possédant une longue trajectoire et une importante production intellectuelle sur l’activisme LGBT. Ses trois derniers essais portent les titres suggestifs de : Minorités. L’essentiel (2014), Le Journal du Sida. Chroniques 1994-2013 (2015), « mon dernier livre sur le sida », affirme-t-il ; et I love Porn (2021), excellent essai qui reprend la forme du témoignage pour retracer une histoire particulière de la sexualité à partir des années 1970 par l’intermédiaire de la pornographie comme instrument politique de contestation. Je remercie également de tout cœur Ahmed Haderbache, traducteur de Guillaume Dustan en espagnol et grand spécialiste de son œuvre, d’avoir accepté de coordonner ce Dossier qui nous a paru nécessaire pour réactiver la mémoire d’une maladie et d’une production artistico-littéraire qui semble lointaine, voire révolue, surtout pour les jeunes générations, mais qui prend toute sa signification dans le contexte pandémique actuel. Ce Dossier, qui débute par un bel Avant-propos de Didier Lestrade intitulé « Sida : une épidémie presque oubliée » et par une Introduction d’Ahmed Haderbache, est composé de sept articles. Il part du fait sociologique et politique pour aborder la production littéraire, en passant par l’analyse filmique et théâtrale. Thierry Schaffauser s’intéresse aux personnes invisibles, voire oubliées, pour nous proposer une pertinente étude sur l’histoire des mobilisations des travailleuses du sexe contre le VIH en France et au Royaume-Uni ; Romain Chareyron fait une riche analyse des images du sida dans le film 120 battements par minute (2017) ; Henry F. Vásquez Sáenz aborde avec précision la pièce Une visite inopportune (1988), ce qui lui permet de restituer et de resituer la figure du dramaturge franco-argentin Copi en tant qu’auteur subversif et engagé, pionnier du théâtre autobiographique lié au sida. Les deux articles suivants, de Daniel Fliege et de l’écrivaine Ariane Bessette respectivement, proposent d’intéressantes analyses littéraires d’œuvres « autobiographiques » d’auteurs « controversés » car défenseurs des rapports sexuels non protégés ou barebacking : Guillaume Dustan (mort en 2005 à 39 ans) et Érik Rémès. Puisque HYBRIDA s’intéresse particulièrement aux contextes francophones ou comparés, nous avons créé une petite section à la fin du Dossier intitulée Autres regards afin de publier deux articles spécialement attirants. Le premier, écrit par Thibault Boulvain dont la thèse doctorale a été publiée en 2021 sous le titre L’art en sida 1981-1997, aborde les dernières années d’Andy Warhol (décédé en 1987) sous la perspective du sida ; le dernier, proposé par Caroline Benedetto, se penche sur les journaux intimes de l’artiste pluridisciplinaire américain David Wojnarowicz (mort en 1992 à 37 ans), en soulignant les influences françaises. Dans la section Mosaïque, où nous publions des études sur les hybridations culturelles et les identités migrantes qui ne correspondent pas à la thématique centrale du Dossier, nous publions trois articles. José Manuel Sánchez Diosdado analyse profondément les récits coloniaux des voyageuses françaises de la première moitié du XXe siècle qui se sont inspirées du Maroc. Feyrouz Soltani aborde le roman Verre Cassé de l’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou pour y déceler les traces du métissage linguistique et culturel et, enfin, Rolph Roderick Koumba et Ama Brigitte Kouakou nous présentent la langue française comme instrument positif dans la construction de l’altérité à travers l’analyse des œuvres de l’écrivaine franco-sénégalaise Fatou Diome et de l’écrivaine franco-camerounaise Léonora Miano. La section Traces de la revue HYBRIDA est consacrée à la création littéraire et s’éloigne volontairement de l’esprit d’évaluation en double aveugle, bien que les soumissions soient strictement analysées et révisées par le comité éditorial. Dans ce numéro 3, nous publions quatre textes aussi différents qu’intéressants. Leurs auteur·e·s se sont inspiré·e·s de la thématique du Dossier central autour du sida. Nous avons l’honneur de publier un court récit de l’écrivaine québécoise Catherine Mavrikakis intitulé « Évitons de respirer l’air du temps » qui nous met en alerte par rapport aux préjugés qui perdurent de nos jours concernant le sida. Nous voudrions rappeler au passage que, partant de la pensée de Michel Foucault sur la santé et l’organisation sociale, ses recherches sur les écrits du sida, ainsi que sur les notions de contamination, d’aveu et de souffrance, sont d’une grande importance pour la thématique qui nous occupe. Nous ne pouvons que rester admiratifs face à sa double facette de professeure universitaire et d’écrivaine ; et souligner la force de ses romans « autofictionnels » dont Ce qui restera (2017), L’annexe (2019) et L’absente de tous bouquets (2020), pour n’en citer que les derniers. Ensuite, nous avons deux « témoignages » sincères et touchants. Le premier, intitulé Les spectres d’ACT UP, nous propose un parcours émotionnel et académique autour de l’expérience du sida. Son auteur, David Caron, Professeur à l’Université du Michigan, a fait une importante recherche dans le domaine des études LGBT et concrètement sur le VIH. Il s’est intéressé également aux études sur l’holocauste. Parmi ses dernières publications, nous trouvons The Nearness of Others. Searching for Tact and Contact in the Age of HIV (2014) et Marais gay, Marais juif. Pour une théorie queer de la communauté (2015). Le court et intense « témoignage » de Lydia Vázquez Jimémez (écrit en espagnol) intitulé « Filou, te fuiste demasiado pronto » (« Filou, tu es parti trop tôt ») nous montre la difficulté de l’aveu et de s’exprimer par rapport au sida, en nous dévoilant son expérience intime et douloureuse face au deuil dû à la perte de l’être aimé. Au-delà de sa brillante carrière universitaire en tant que spécialiste dans l’étude de l’érotisme et de la sexualité (notamment au XVIIIe siècle), avec une focalisation particulière sur les femmes et le collectif LGBT, je ne voudrais pas négliger sa facette de traductrice en espagnol de l’œuvre d’auteur·e·s admiré·e·s comme Abdellah Taïa, Annie Ernaux, Jean-Baptiste del Amo, Gabrielle Wittkop ou Fatima Daas, entre autres. En tant qu’auteure, j’aimerais signaler son livre illustré Journal intime (2019). Pour clore cette section de création littéraire et dans le but d’encourager l’écriture des jeunes écrivain·e·s, nous publions en espagnol la pièce inédite de Javier Sanz intitulée Reset. Volver a empezar (Reset. Repartir à zéro). Avec une fraîcheur et une franchise touchantes, la pièce aborde, en 2021, la problématique de l’incommunicabilité et de la difficulté à établir des relations amoureuses sincères, ainsi que la découverte de la séropositivité. Je suis persuadé que ce numéro d’HYBRIDA, 25 ans après Sida et Culture, marquera notre trajectoire en tant que revue universitaire. Il ne me reste qu’à remercier très sincèrement notre excellente équipe d’évaluation qui se nourrit et se diversifie à une grande vitesse grâce aux apports de spécialistes du monde entier. Et un sincère merci à José Luis Iniesta, Directeur Artistique de la revue, pour son investissement et son savoir-faire ; sans lui rien ne serait possible… Je vous propose un prochain rendez-vous pour fin juin 2022 pour le numéro 4 d’HYBRIDA. Salus in periculis
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Schwerdtner, Karin. "Marie-Célie Agnant, passeuse (audacieuse) de mémoire." Mouvances Francophones 6, no. 2 (March 1, 2021). http://dx.doi.org/10.5206/mf.v6i2.13736.

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Abstract:
Entrevue de Marie-Célie Agnant par Karin Schwerdtner: Écrivaine, conteuse, auteure de plusieurs poèmes, romans, nouvelles et ouvrages destinés aux jeunes, mais aussi ancienne interprète et traductrice, Marie-Célie Agnant nous livre ici ses réflexions sur la mémoire, sur le rôle des femmes dans la transmission culturelle intergénérationnelle en Haïti, et sur l’écriture envisagée comme mouvement vers l’autre. La mémoire, le souvenir et, en particulier, le travail de la transmission (culturelle, mémorielle, langagière) entre les générations s’inscrivent au cœur des œuvres d’Agnant, ainsi qu’en témoigne la critique.
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Raulet-Marcel, Caroline. "D’une éducation sociale à une éducation littéraire." Cahiers Fablijes, no. 1 (June 23, 2023). http://dx.doi.org/10.35562/fablijes.225.

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Abstract:
Les nouvelles de Marie Mennessier-Nodier publiées entre 1833 et 1837 offrent à leurs lectrices des récits orientés vers le bonheur conjugal. L’implication dans la lecture est favorisée par une énonciation à la fois sentencieuse et sensible. La narration se fait également ironique pour dénoncer certains travers de la demande en mariage. Enfin, les textes reposent sur la déconstruction de certains stéréotypes romanesques, que l’autrice range du côté d’un héroïsme masculin aveugle aux aspirations féminines. Se déploie ainsi un espace interprétatif permettant aux jeunes personnes de se forger une conscience critique d’elles-mêmes en tant que futures femmes mais aussi en tant que lectrices de romans. L’éducation dispensée à travers la lecture est à la fois sociale et littéraire.
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Kinahan, Anne-Marie. "Cultivating the Taste of the Nation: The National Council of Women of Canada and the Campaign against "Pernicious" Literature at the Turn of the Twentieth Century." Canadian Journal of Communication 32, no. 2 (June 21, 2007). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2007v32n2a1893.

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Abstract:
Abstract: This article analyzes the campaign against “pernicious” literature undertaken by the National Council of Women of Canada at the turn of the twentieth century. Concerned with the growing availability of dime novels, penny dreadfuls, and romances and their perceived influences on young readers, Council members sought to educate the Canadian public about the circulation of so-called “pernicious” literature. But they also sought to eradicate the popularity of “pernicious” literature by encouraging children, youth, and adults to read a “better class” of books, through the creation of the National Home Reading Union in 1895. This article argues that through these strategies, the Council’s campaign re-asserted the primacy of the family, with the mother as its moral guide, in providing the ultimate defence against the dangers of “pernicious” literature. Résumé : Cet article analyse la campagne qu’a menée le Conseil national des femmes du Canada contre la littérature dite « pernicieuse » au début du vingtième siècle. Les membres du Conseil, préoccupés par la disponibilité croissante de romans à quatre sous et à l’eau de rose et de leur prétendue mauvaise influence sur les jeunes lectrices, ont cherché à éduquer le public canadien sur la diffusion de cette littérature pernicieuse. Ils ont tenté de contrer la popularité de cette littérature en fondant le National Home Reading Union « Syndicat national de la lecture à domicile » en 1895 dans le but d’encourager les enfants, les adolescents, et les adultes à lire une « catégorie supérieure » de livres. Cet article propose que la campagne menée par le Conseil a utilisé des stratégies qui ont eu comme résultat de réaffirmer l’institution de la famille, avec la mère comme guide moral jouant le rôle de protectrice par excellence contre les tentations de la littérature pernicieuse.
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Laurent, Jérôme. "Patrimoines autochtones." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.104.

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Abstract:
De nombreux groupes autochtones au Brésil, au Canada, aux États-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande et ailleurs dans le monde sont particulièrement préoccupés par la protection, la transmission et la reconnaissance de leurs patrimoines culturels. Trois dimensions sont indissociables de la compréhension des patrimoines autochtones soit 1) les liens entre matérialité et immatérialité du patrimoine 2) l’institutionnalisation des processus de patrimonialisation et 3) les médiateurs du patrimoine. Par patrimonialisation, il faut donc comprendre à la fois ce qui compose le patrimoine (chants, rituels, danses, objets, relation au territoire, arts visuels, jeux traditionnels, plantes médicinales…), les processus par lesquels ce patrimoine est documenté, préservé, transmis et mis en valeur (Kreps 2003), mais également les différents acteurs qui œuvrent au sein de ces processus. Souvent relégués à leurs dimensions matérielles, les patrimoines autochtones ne peuvent se comprendre sans considérer leur immatérialité (Leblic 2013 ; Lemonnier 2013). Par immatérialité, nous faisons référence ici aux débats anthropologiques sur les relations qu’entretiennent les humains avec leur environnement et les entités qui le composent (Descola 2005; Ingold 2000, 2011, 2012 ; Viveiros de Castro 2009). Si ces auteurs se sont surtout intéressés aux relations entre les humains et les animaux, les esprits ou les ancêtres, il est nécessaire de prendre en compte également la place des objets, du patrimoine bâti, des lieux et des sites sacrés, de la musique ou encore de la nourriture dans ces processus relationnels. Les objets, qu’ils soient d’art ou d’ethnographie, renvoient par exemple à des codes et des règles de comportement qui guident les humains, s’inscrivent dans des conceptions particulières de la personne, informent sur la création du monde ou se posent comme des révélateurs des identités autochtones du territoire. Les matériaux, les techniques de fabrication autant que le pouvoir attribué aux objets sont liés aux cosmologies et aux ontologies autochtones; ils sont porteurs de visions du monde et de modes d’être au monde spécifiques qui participent des processus actuels d’affirmations identitaires et politique. Dans ce contexte, il devient crucial de s’intéresser à la vie sociale des objets (Bonnot 2002, 2014 ; Koppytoff, 1986), des arbres (Rival 1998), de la forêt (Kohn 2013) ou encore des récits (Cruikshank 1998 ; Savard 1971, 2004 ; Vincent 2013). L’expérience corporelle (Goulet 1994, 1998 ; Laugrand 2013) et sensorielle (Classen 1993 ; Howes 2003, 2014 ; Mauzé et Rostkowski 2007) fait partie intrinsèque de ces patrimoines et de ces savoirs. Ceux-ci incluent à la fois des savoirs écologiques, des savoirs liés aux activités de chasse, de pêche et de cueillette, des savoirs rituels, des savoirs gastronomiques, des savoirs artisanaux et artistiques, des récits sous toutes leurs formes (création du monde, rêves, anecdotes, événements historiques, etc.), des savoirs liés aux réseaux d’alliance interfamiliale et d’affiliation territoriale, mais aussi des savoirs sur les objets ou sur les jeux traditionnels. Ces différents types de savoirs se transmettent et se transforment de manière créative, en étroite relation les uns aux autres. Les politiques historiques et contemporaines d’assimilation, de dépossession et d’usurpation de ces savoirs et de ces patrimoines conduisent à interroger les modalités institutionnelles de préservation et de mise en valeur de ces patrimoines autochtones. Souvent intégrés aux patrimoines nationaux et mis en valeur dans les musées d’État, les biens culturels autochtones ont longtemps échappé à leurs destinataires légitimes, les peuples autochtones eux-mêmes, les reléguant au statut de spectateurs de leurs propres cultures (Price 2007 ; Philips 2003, 2011). Depuis les années 1960-1970, les peuples autochtones ont largement contribué à la transformation, certes inachevée, des Musées de l’Autre en Musées de Soi et, dans certains cas, en Musées du Nous (De l’Étoisle, 2007). Présentés par le sociologue de l’art wendat (Québec) Guy Sioui Durand comme des musées mouroirs (Sioui Durand 2014), les institutions muséales et patrimoniales occidentales tentent aujourd’hui de (re)considérer leurs politiques et d’intégrer les savoirs autochtones dans leurs pratiques (Dubuc 2002, 2006 ; Kreps 2003). Certains cadres institutionnels ont favorisé ces changements. Pensons par exemple aux deux conventions de l’UNESCO pour la protection du patrimoine et des biens culturels immatériels (1972, 2003), au rapport sur les Musées et les peuples autochtones (Erasmus et al. 1994) au Canada, au Native American Graves Protection and Repatriation Act (NAGPRA, 1990) aux États-Unis ou à la Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones (AGNU 2007, article 31). Si les institutions muséales occidentales ont progressivement opéré un changement de paradigme (Fienup-Riordan 1999 ; Simpson 2001), les peuples autochtones se dotent aujourd’hui de moyens qui leurs sont propres afin de favoriser la protection, la mise en valeur, la transmission, et souvent la restitution de ces patrimoines et de ces savoirs, et par extension de leur histoire et de leur identité politique (Ames 1992 ; Peers 2000). Le développement de musées, de centres culturels, d’écoles de transmission des savoirs ou de programmes éducatifs culturellement ancrés s’inscrit dans des projets de sociétés qui visent le renforcement des structures de gouvernance et de la souveraineté des peuples autochtones. Il est dès lors impossible de parler des patrimoines autochtones sans parler de mise en valeur et de protection des savoirs, de restitution des données ethnographiques (Zonabend 1994 ; Glowczewski 2009 ; De Largy Healy 2011), de gestion collaborative des collections muséales, et évidemment de participation des peuples autochtones dans ces processus (Tuhiwai Smith 1999). La littérature, le cinéma, la musique, la bande dessinée, les romans graphiques, l’art contemporain, le design, le tourisme ou les réseaux socionumériques s’affirment aujourd’hui comme des éléments incontournables du patrimoine autochtone, mais également comme des stratégies de reconnaissance politique (Coulthard 2014) et d’autoreprésentation identitaire. Ces processus complexes de patrimonialisation institutionnelle nous amènent à considérer enfin les acteurs du patrimoine. Guides spirituels, artistes, chefs familiaux, conservateurs, muséologues, technolinguistes, chercheurs autodidactes, enseignants, aînés-gardiens du savoir ou jeunes activistes, ces experts culturels sont régulièrement sollicités afin de transmettre, de valoriser ou de protéger des savoirs et des pratiques qui se construisent aussi en dehors de l'institution, dans le cadre d'actions citoyennes, de projets communautaires ou de dynamiques familiales. Le territoire devient alors l'espace privilégié de patrimonialisation des pratiques et des savoirs autochtones dans lequel les femmes jouent un rôle central (Basile 2017). Ces médiateurs du patrimoine doivent également faire face à divers enjeux concernant les formes et les stratégies de patrimonialisation actuelles, comme par exemple l’appropriation culturelle et la propriété intellectuelle (Bell et Napoléon 2008 ; Bell 1992, 2014) et les processus de rapatriement des biens culturels. Les processus de rapatriement sont indissociables des mouvements d’affirmations identitaire et politique autochtones qui se développent et se renforcent depuis les années 1960-70 (Clifford 1997, 2007, 2013 ; Gagné 2012 ; Matthews 2014, 2016 ; Mauzé 2008, 2010). Les biens culturels acquis de manières illicites, les restes humains ou les objets culturels sacrés nécessaires à la transmission d’une tradition sont généralement considérés par les institutions comme admissibles aux processus de rapatriement. Même si le mouvement international d’affirmation politique autochtone a conduit au rapatriement de nombreux objets dans leurs milieux d’origine, les processus restent souvent dans l’impasse, et ce pour au moins trois raisons : les experts locaux doivent réunir une documentation importante sur l’objet ; les groupes autochtones ne possèdent pas les infrastructures nécessaires pour conserver l’objet ; les Musées d’État ne sont pas prêts à se départir de ‘leurs’ collections.
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Dissertations / Theses on the topic "Jeunes femmes Hongkong Romans"

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Milland-Bove, Bénédicte. "La demoiselle arthurienne : écriture du personnage et art du récit dans les romans en prose du XIIIe siècle /." Paris : H. Champion, 2006. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40232266d.

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Abstract:
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Littérature française--Paris 3, 2001. Titre de soutenance : Figures de l'aventure, figures du récit : les demoiselles dans les romans en prose du XIIIe siècle : "Lancelot" , "La queste del saint Graal", "La mort le roi Artu" , "Perlesvaus" , "Tristan.
Bibliogr. p. 627-662. Index.
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Milland-Bove, Bénédicte. "Figures de l'aventure, figures du récit : les demoiselles dans les romans en prose du XIIIe siècle : Lancelot, La queste del saint graal, La mort le roi Artu, Perlesvaus, Tristan." Paris 3, 2001. http://www.theses.fr/2001PA030112.

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Abstract:
Comment rendre compte de l'insistante récurrence des demoiselles qui peuplent les routes ou les étapes de l'aventure dans les romans en prose du XIIIe siècle ? L'étude comparée de la trilogie du "Lancelot", du "Perlesvaus" et du "Tristan en prose" permet de dégager les caractères constants qui définissent le type de la "demoiselle arthurienne" : souvent anonyme, peu décrite, la demoiselle est définie par sa fonction, au service des personnages de premier plan. Mais cette transparence même lui permet d'assumer un rôle fondamental dans la grammaire du récit : figure annonciatrice de l'aventure, elle est aussi figure du récit, en lien étroit avec une écriture propre à la prose. .
How can one account for the persistent recurrence of those damsels glimpsed alongside the roads or at different stages of the adventure in 13th century prose romances ? it is possible through a comparative study of the "Lancelot trilogy", of "Perlesvaus" and of the "Tristan en prose", to outline the recurring t aits that define the type of the arthurian damsel. Often anomymous, only briefly described if at all, the damsel is defined by her function : to be in the service of the main characters. However, that very transparency is what enables her to assume a fundamental role in the narrative economy : more than just a figure which announces the irruption of adventure, she is also a figure of the narrative itself, in close relation to a form of writing typical of the prose genre. .
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Books on the topic "Jeunes femmes Hongkong Romans"

1

Darwin, Emma. Les mathématiques de l'amour. Neuilly-sur-Seine, France: Michel Lafon, 2007.

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2

Nelson, Sandra. Ouragan sur la Riviera: Roman. Saint-Victor-d'Épine]: City, 2016.

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3

Fabre, Nicole. La nuit italienne: Roman. Paris: JC Lattès, 2006.

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4

Portal, Louise. Souvenirs d'amour: Journal de mes vingt ans. 2nd ed. Montréal: Hurtubise HMH, 2009.

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5

Martine, Le Coz. Nos lointains et nos proches: Roman. Paris: Albin Michel, 2004.

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6

Murphy, Monica. Deux mois sans elle. Paris: Milady, 2014.

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7

Loving. London: Sphere, 2009.

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8

Shilova, I͡Ulii͡a. Rozhdennai͡a blistatʹ, ili Muzhchiny v moeĭ zhizni ne zaderzhivai͡utsi͡a. Moskva: AST, 2013.

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9

See, Lisa. Le pavillon des pivoines: Roman. Paris: J'ai lu, 2009.

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10

Vorpsi, Ornela. Le pays où l'on ne meurt jamais. Arles: Actes Sud, 2004.

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Conference papers on the topic "Jeunes femmes Hongkong Romans"

1

Aragón Ronsano, Flavia. "Renata Mauperin, la liberación de la feminidad a través del elemento líquido." In XXV Coloquio AFUE. Palabras e imaginarios del agua. Valencia: Universitat Politècnica València, 2016. http://dx.doi.org/10.4995/xxvcoloquioafue.2016.3882.

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Abstract:
Le roman des frères Goncourt dédié à la bourgeoisie, Renée Mauperin (1864) met en place différentes scènes dans lesquelles la jeune Renée doit faire face aux attentes de sa famille et de son entourage, la bourgeoisie des années 1850, et ainsi, incontournablement, un long et minutieux portrait de cette jeune femme se dessine tout au long des pages. L’accent est mis sur l’absurde éducation que le XIXᵉ siècle impose à ces jeunes demoiselles à marier, rompues aux arts d’agrément et à toutes les délicatesses comme si elles devaient vivre à la Cour. La jeune Renée transgresse les interdits imposés par les mœurs, et manifeste des excentricités inquiétantes. Comme pour la plupart des romans des Goncourt, Renée Mauperin commence au milieu d’un dialogue, et tout l’intérêt se concentre sur le langage des personnages ; c’est donc la première scène du roman, celle de la baignade dans la Seine, celle qui fit scandale tant par l’audace et la supposée inconvenance de la posture, que par les familiarités pittoresques et malicieuses que Renée y égrène à plaisir, avec une franchise et une gaieté, qualifiées par Nadine Satiat de « rafraîchissantes ». L’agencement des éléments linguistiques de l’écriture artiste des Goncourt, ainsi que les différentes traductions espagnoles du texte, vont nous montrer à quel point la présence de l’eau et du monde imaginaire qu’elle évoque, sont par eux-mêmes des éléments transgresseurs et évocateurs de l’interdit pour les jeunes femmes de l’époque.DOI: http://dx.doi.org/10.4995/XXVColloqueAFUE.2016.3882
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