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Dissertations / Theses on the topic 'Issues Défavorables de Grossesse'

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Swital, Morgane. "Utilisation des Médicaments Innovants de la Sclérose en Plaques Pendant la Grossesse et Risques Associés." Electronic Thesis or Diss., université Paris-Saclay, 2024. http://www.theses.fr/2024UPASR037.

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Abstract:
La sclérose en plaques (SEP) est une maladie chronique du système nerveux central qui touche particulièrement les femmes jeunes en âge de procréer. L'arrivée sur le marché de nombreux médicaments innovants et efficaces au cours de la dernière décennie a engendré un besoin accru de données sur leur sécurité, notamment en cas de grossesse. Cette thèse avait pour objectif général d'évaluer l'utilisation et les risques associés à ces traitements pendant la grossesse au cours de la dernière décennie en France à partir du registre mères-enfants EPI-MERES. Dans une première étude, nous avons inclus un total de 20 567 grossesses de femmes atteintes de SEP terminées entre 2010 et 2021, dont 7 587 étaient exposées à un traitement de fond. Nous avons montré que malgré les adaptations de la prise en charge médicamenteuse de la SEP pendant la grossesse, l'exposition à des traitements dont le profil de sécurité n'a pas encore été clairement établi a considérablement augmenté. Dans une deuxième étude, parmi les 22 413 grossesses de femmes atteintes de SEP terminées entre 2010 et 2022 incluses, 8 477 étaient exposées à un traitement. Nous avons montré que l'exposition à certains traitements de fond de la SEP pendant la grossesse était associée à des risques de fausse couche spontanée (natalizumab, anti-CD20), de prématurité (natalizumab, anti-CD20, fingolimod) et de petit poids pour âge gestationnel (natalizumab, tériflunomide). Ces travaux apportent de nouvelles connaissances sur l'utilisation et la sécurité des traitements de la SEP pendant la grossesse et soulignent le rôle crucial des études de pharmaco-épidémiologie
Multiple sclerosis (MS) is a chronic disease of the central nervous system that particularly affects young women of childbearing age. The market introduction of numerous innovative and effective disease-modifying therapies (DMT) over the last decade has led to an increased need for data on their safety, especially during pregnancy. The general objective was to assess the use and associated risks of these DMTs during pregnancy in France over the last decade, using the EPI-MERES mother-child Register. In the first study, we included 20,567 pregnancies of women with MS that ended between 2010 and 2021, of which 7,587 were exposed to DMTs. We showed that despite MS therapeutic management adaptations to pregnancy, exposure during pregnancy to DMTs whose safety profile has not yet been clearly established has increased sharply. In a second study, among the 22,413 pregnancies of women with MS that ended between 2010 and 2022, 8,477 were exposed to a DMT. We showed that exposure to certain MS DMTs during pregnancy was associated with increased risks of adverse pregnancy outcomes including spontaneous abortion (natalizumab, anti-CD20), preterm birth (natalizumab, anti-CD20, fingolimod), and small weight for gestational age at birth (natalizumab, teriflunomide). These results provides new insights into the use and safety of MS DMTs during pregnancy, highlighting the critical role of pharmacoepidemiology studies
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St-Laurent, Jennifer. "Stress perçu et les issues de la grossesse." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2006. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/3862.

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Abstract:
Les facteurs biomédicaux, tels que la santé maternelle et l'historique obstétrical, n'expliquent pas plus que la moitié des issues défavorables de la grossesse comme la prématurité et le retard de croissance intra-utérine (WILSON et SCHRIRFRIN, 1980). Les récentes études soulèvent que le stress maternel durant la grossesse a un rôle important dans l'issue. Le principal objectif de cette étude est d'évaluer l'impact du stress maternel perçu sur la durée de la grossesse et sur la croissance foetale par le biais d'un modèle psychosocial tout en tenant compte des facteurs biomédicaux. L'hypothèse étant que le stress maternel influence directement la durée de la grossesse et la croissance intra-utérine mais que cette relation est modulée par la présence de facteurs psychosociaux tels que l'estime de soi et le soutien social. Afin de valider notre hypothèse, la présente étude a utilisé une base de données provenant d'une étude antérieure: Étude des déterminants des issues défavorables en Montérégie. Les participantes sont des femmes enceintes de 16 à 20 semaines qui ont voulu répondre à un questionnaire auto-administré lors de leur attente pour une échographie obstétricale de routine dans 9 des 10 hôpitaux de la Montérégie entre novembre 1997 et mai 1998. Au total 2685 femmes ont été approchées par l'équipe de recherche. De ce total, les questionnaires complets de 1602 femmes ont été retenus et compilés. Soixante questions évaluaient l'état de santé maternelle, la grossesse, le score biophysique (âge maternel et l'indice de masse corporelle), la situation socioéconomique, le niveau de stress, l'estime de soi et le soutien social perçu. La présente étude débuta par une recension des écrits portant sur les corrélations entre ces variables. Un modèle théorique qui résume les corrélations soulevées dans la littérature scientifique a été élaboré et les relations causales ont été spécifiées par des flèches. Ensuite, une analyse par pistes causales avec le programme d'équation structurelle Amos 4.0 a été appliquée sur le modèle pour le valider et au sein des 2/3 de l'échantillon. Ce modèle initial a été étayé et simplifié pour ensuite être testé auprès du tiers restant de l'échantillon. Finalement le modèle a été appliqué à l'ensemble de l'échantillon. Seul le score biophysique (IMC et l'âge maternel), un indice composé à partir d'une analyse en composantes principales, a prédit la durée de la grossesse (poids 0.050; p=0.044). Plus précisément, plus l'IMC est élevé moins la durée de grossesse est longue. L'effet du stress perçu sur la durée de la grossesse est non significatif (poids 0.030; p=0.235). Les variables qui expliquent directement la croissance intra-utérine sont: le tabagisme (poids -0.236; p<0.001), le score biophysique (poids 0.129; p<0.001), la santé maternelle (poids -0.053; p=0.031) et l'histoire obstétricale (poids -0.085; p<0.001). Le stress perçu n'influence pas de façon significative la croissance intra-utérine. En conclusion, l'hypothèse selon laquelle la durée de grossesse et la croissance foetale sont influencées par le stress perçu maternel ne s'est pas confirmée."-- Résumé abrégé par UMI.
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St-Laurent, Jennifer. "Stress perçu et les issues de la grossesse." [S.l. : s.n.], 2006.

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Albouy-Llaty, Marion. "Exposition prénatale hydrique aux perturbateurs endocriniens et issues de grossesse." Thesis, Poitiers, 2014. http://www.theses.fr/2014POIT1401/document.

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Abstract:
L'eau potable comme source d'exposition aux perturbateurs endocriniens (PE) est peu étudiée, notamment chez les personnes vulnérables comme les femmes enceintes, dont les modes de consommation d'eau évoluent pendant la grossesse. Les objectifs de la thèse étaient i) déterminer s'il existe une relation entre l'exposition prénatale hydrique aux PE, et la prévalence d'enfants ayant un petit poids de naissance pour leur âge gestationnel (PPAG) ou prématurés tenant compte des facteurs socio-économiques ; ii) estimer pour la première fois en France les usages de l'eau potable pendant la grossesse.Trois études épidémiologiques issues d'une cohorte rétrospective, ont été réalisées auprès de 13654 femmes enceintes ayant accouché dans les Deux-Sèvres entre 2005 et 2010. Une exposition hydrique aux doses moyennes de nitrates au deuxième trimestre augmentait le risque de PPAG, particulièrement chez les femmes résidant dans des quartiers favorisés. En revanche, aucune relation significative entre une exposition prénatale hydrique à la 2-hydroxyatrazine et le risque de prématurité n'a été montrée.Les usages de l'eau potable ont été évalués par un questionnaire administré en face-à-face auprès de 132 femmes enceintes françaises de la cohorte prospective EDDS. La consommation d'eau pendant la grossesse était stable et comprenait plus d'eau du robinet que d'eau embouteillée. Afin de reconstituer la dose absorbée en PE, ces résultats devront être couplés à des dosages environnementaux et dans les matrices biologiques.Ces travaux confirment l'intérêt de l'approche interdisciplinaire en santé environnementale et celui de l'éducation relative à la santé environnementale
Drinking-water as a source of exposure to endocrine disruptors, particularly in pregnant women whose water-use habits change during pregnancy, has seldom been studied. Our objectives were i) to study the possible relationship between prenatal exposure to endocrine disruptors in drinking water, socioeconomic factors and prevalence of neonates born small-for-gestational-age (SGA) or preterm birth ; ii) to estimate for the first time in France the water-use habits of pregnant women throughout pregnancy.Three epidemiologic studies from a retrospective cohort were carried out on 13,654 pregnant women who gave birth in Deux-Sèvres (France) between 2005 and 2010. An exposure to moderate dose of nitrates in drinking-water increased SGM risk, particularly for women living in less deprived areas. No relationship between prenatal exposure to 2-hydroxyatrazin in drinking-water and preterm birth risk was found.Water-use habits during pregnancy were assessed with a questionnaire on 132 women from the EDDS prospective cohort. Water ingestion was stable during pregnancy and tap water predominated over bottled water. In order to reconstitute the dose of pollutant intake from water, the results of this estimation by questionnaire will need to be merged with analytical dosages in waters and biological matrices.Our study confirms the interest of an interdisciplinary approach to environmental health and the key importance of education in that field
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Mariet, Anne-Sophie. "Influence de l’exposition au bruit et à la pollution de l’air en milieu urbain sur la survenue de complications et d’issues défavorables de la grossesse." Thesis, Bourgogne Franche-Comté, 2020. https://nuxeo.u-bourgogne.fr/nuxeo/site/esupversions/b8bd098d-4e78-4f44-b87c-01a65906c7a1.

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Abstract:
La grossesse constitue une période de vulnérabilité où la survenue de complications et d’issues défavorables de la grossesse (CIDG) peut avoir des conséquences majeures sur le devenir de la mère et/ou du nouveau-né. De multiples facteurs en sont à l’origine. Cependant, il reste encore une part non expliquée de CIDG, pour laquelle l’environnement est suspecté de jouer un rôle.Ce travail de thèse est inclus dans le programme PreCEE (Pregnancy Combined Environmental Exposure) et a pour objectif d’étudier l’influence des expositions environnementales aux pollutions sonore et atmosphérique sur la survenue de CIDG, plus particulièrement de troubles de la croissance fœtale et de troubles hypertensifs de la grossesse. Ont été incluses toutes les grossesses de femmes majeures résidant à Besançon ou dans l’unité urbaine de Dijon et ayant accouché au CHU de Besançon ou au CHU Dijon-Bourgogne entre 2005 et 2009, soit plus de 10 000 grossesses. Les caractéristiques socio-démographiques, médicales et médico-obstétricales ont été recueillies à partir des dossiers obstétricaux informatisés et papier. Les niveaux d’exposition au bruit et à la pollution atmosphérique (dioxyde d’azote (NO2) et particules fines (PM10)) ont été modélisés au domicile de la mère selon des fenêtres spatiales et temporelles différentes.Les résultats montrent que l’exposition au bruit n’est pas associée à la survenue de troubles hypertensifs de la grossesse ou de troubles de la croissance foetale, chez les grossesses uniques. L’exposition aux PM10 est associée à la survenue de troubles de la croissance fœtale chez les grossesses uniques. Cette association n’est pas modifiée par la prise en compte de l’exposition au bruit. Enfin, chez les grossesses multiples, l’exposition au NO2 est associée à la survenue de troubles de la croissance fœtale
Pregnancy is a period of vulnerability where the occurrence of adverse pregnancy outcomes (APO) can have major consequences on the future of the mother and/or the newborn. Multiple factors are responsible for this. However, there is still an unexplained part of APO, for which the environment is suspected to play a role.This PhD thesis is included in the PreCEE (Pregnancy Combined Environmental Exposure) program and aimed to study the influence of environmental exposures to noise and air pollution on the occurrence of APO, more particularly on fetal growth disorders and hypertensive disorders of pregnancy (HDP). All pregnancies of adult women living in Besançon or in the urban unit of Dijon and who gave birth to the Besançon University Hospital or the Dijon-Burgundy University Hospital between 2005 and 2009 were included, i.e. more than 10,000 pregnancies. The socio-demographic, medical and medico-obstetrical characteristics were collected from computerized and paper obstetric records. The levels of exposure to noise and air pollution (nitrogen dioxide (NO2) and fine particles (PM10)) were modeled at the mother's home according to several spatial and temporal windows.Results show that noise exposure is not associated with the occurrence of HDP or fetal growth disorders in single pregnancies. Exposure to PM10 is associated with fetal growth disorders. This association is not changed by taking noise exposure into account. Finally, in multiple pregnancies, exposure to NO2 is associated with fetal growth disorders
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Roy-Matton, Naomé. "Profil psychosocial et issues de grossesse des femmes enceintes de l'Estrie une étude pilote prospective." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2008. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/3951.

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Abstract:
Objectif : Établir le profil psychosocial des femmes enceintes de l'Estrie et évaluer de façon préliminaire si ce profil diffère parmi les grossesses avec issues défavorables. Méthode. Cohorte prospective de 120 femmes enceintes, rencontrées à deux reprises (10-20 et 25-30 semaines), entre août 2004 et mars 2006. Il s'agit d'un questionnaire auto-administré des données démographiques, anthropométriques, des facteurs de risques biomédicaux, ainsi qu'un profil psychosocial comportant 6 dimensions: stress psychologique perçu, ennuis quotidiens, détresse psychologique, locus de contrôle, soutien social, traumatismes dans l'enfance. Les paramètres psychosociaux sont présentés en moyennes ou pourcentages. Le profil psychosocial est comparé entre les grossesses normales et anormales avec les tests t de Student ou le test de Mann Whitney, lorsque approprié. Résultats. Trente trois grossesses (27,5%) ont présenté des issues défavorables (prématurité, restriction de croissance intra-utérine, hypertension gestationnelle, diabète gestationnel). L'analyse du profil psychosocial révèle un score de stress psychologique perçu plus élevé entre 10-20 semaines chez les femmes avec issues défavorables de grossesse (score : 34,2 « 12,3 ; P < 0,01) et chez les femmes avec prématurité (score : 36,1 « 11,2 ; P < 0,02) comparativement à celui des femmes avec grossesses normales (score : 28,6 « 9,6). Par ailleurs, les 5 autres dimensions ne semblaient pas différentes selon les issues de grossesse. Conclusion. Ces résultats préliminaires suggèrent une piste possible reliant la perception de stress maternel durant la grossesse et certaines issues défavorables de grossesse, dont l'accouchement prématuré.
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Douteaud, Stéphanie. "Déterminants et effets des trajectoires de stress prénatal sur les issues de la grossesse et la dépression postpartum." Thesis, Montpellier 3, 2014. http://www.theses.fr/2014MON30099.

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Abstract:
Introduction : En France, comme ailleurs, la prévalence de la dépression post-partum (DPP) (environ 10% des femmes) n'est pas plus importante que celle d'autres formes de dépression mais elle pose un important problème de dépistage car, les femmes consultent moins rendant difficile sa prévention. Les recherches visant à améliorer la prévention de la DPP s'appuient sur deux modèles principaux, le modèle de la vulnérabilité au stress et le modèle bio-psycho-social. L'un comme l'autre décrivent le stress psychologique prénatal comme étant un important déterminant de la DPP. Néanmoins, si le stress est fréquemment évalué, il n'est mesuré en général qu'une fois et tardivement dans la grossesse. Il n'est donc actuellement pas possible de connaître ni son évolution ni l'effet de cette évolution sur la DPP. En conséquence, un premier objectif de ce travail doctoral est d'identifier et de caractériser des trajectoires de stress afin d'évaluer leurs effets sur la DPP. Par ailleurs, certaines recherches montrent que les complications obstétricales lors de l'accouchement ont un effet délétère sur la santé psychologique des femmes en postpartum et d'autres que le stress prénatal augmente le risque de complications obstétricales. Nous faisons donc l'hypothèse qu'une élévation du stress associée à des complications obstétricales à l'accouchement augmente considérablement le risque de DPP, mais que cela diffère d'une femme à l'autre en fonction du niveau des déterminants du stress.Méthode : La santé des mères, leur trait d'anxiété et des variables socio-économiques ont été relevées chez 164 femmes avant la fin des deux premiers mois de la grossesse. Le stress perçu, l'état d'anxiété, le soutien social et les stratégies de coping ont été évalués à 2, 6 et 9 mois de grossesse pour 163 femmes puis à 1 et 6 mois postpartum pour 91 d'entre elles. Par ailleurs, les résultats du dépistage prénatal des pathologies fœtales, le terme de la grossesse, le poids de naissance du bébé, ses résultats à l'Apgar et le type d'accouchement (dystocique versus eutocique) ont également été relevés. Enfin, la mesure de la DPP a été effectuée 6 mois après l'accouchement. Nous avons calculé des trajectoires individuelles de stress et mesuré l'effet de ces trajectoires sur les variables liées à l'accouchement pour 163 femmes puis sur la DPP pour 91 d'entre elles.Résultats : Trois trajectoires ont été identifiées en prépartum comme en postpartum. Une première où le stress est faible en début de grossesse, augmente jusqu'en début de post-partum et diminue légèrement en fin de période postnatale. Une seconde où le stress est modéré en début de grossesse, diminue jusqu'au milieu de la grossesse, augmente en fin de grossesse et se stabilise en période postnatale. Une dernière où le stress est élevé en début de grossesse, puis diminue jusqu'en fin de grossesse et continue de diminuer en période postnatale. Lorsque le stress suit les trajectoires 2 et 3, la durée de gestation est plus courte, F(2,138) = 3,45, p < 0,05, η2 = 0,048, l'usage de la césarienne est plus fréquent, OR = 2,62,p < 0,05, IC95% = [1,01 – 6,75] ainsi que l'accouchement dystocique, OR = 3,54, p < 0,005, IC95% = [1,18 – 10,52]. En revanche, les trajectoires de stress n'ont pas d'effet sur la DPP.Discussion : Nos résultats sont encourageants et permettent de montrer que l'évolution de la perception du stress pendant la grossesse a un effet sur la durée de gestation, les complications obstétricales et l'usage de la césarienne. En revanche, elle n'en a pas sur la DPP. Cependant nos résultats suggèrent que le stress pourrait avoir un effet uniquement chez les femmes vulnérables et que la DPP s'insèrerait dans un continuum dépressif, alors contigu à la vulnérabilité au stress. Les recherches ultérieures devraient donc évaluer le lien entre des trajectoires individuelles de dépression et de stress du début de la grossesse en fin de postpartum afin de tester cette hypothèse
Introduction : In France, as well as in other countries, the prevalence of postpartum depression (PPD) (about 10% of women) is not more important than other forms of depression, but it is a major problem of screening, because women less consult, making prevention difficult. Researches to improve the prevention of DPP are essentially based on two models, the stress-vulnerability model and the bio-psycho-social model. The both models describe the prenatal psychological stress as an important determinant of the PPD. However, if stress is frequently assessed, it is usually measured only once and late in pregnancy. So, by now, it is not possible to know its evolution or to know its effects on PPD. Accordingly, a primary objective of this doctoral work is to identify and characterize trajectories of stress to assess their effects on the DPP. Moreover, some researches showed that obstetric complications during childbirth have a deleterious effect on the psychological health of postpartum women. Others proved that prenatal stress increases the risk of obstetric complications. So we assume that an elevated stress associated with obstetric complications in childbirth significantly increases the risk of PPD. Neverthless it differs from one woman to another depending on the level of stress determinants.Method: The health of mothers, their anxiety-trait level and socio-economic variables were recorded among 164 women before the end of two months of pregnancy (T0). Perceived stress, state anxiety, social support and coping strategies were evaluated at 2, 6 and 9 months of pregnancy for 163 women and at 1 and 6 months postpartum for 91 of them. Moreover, the results of prenatal screening for fetal pathologies, the term of pregnancy, baby's birth weight, results of Apgar and type of delivery (dystocic versus eutocic) were recorded. Finally, the measurement of the PPD was performed 6 months after delivery. We calculated trajectories of stress and we measured the effect of these trajectories on the variables related to childbirth for 163 women and on DPP for 91 of them.Results: Three trajectories were identified in prepartum and postpartum. A first trajectory where the stress is low in early pregnancy, increases until early postpartum and decreased slightly at the end of the postnatal period. A second where the stress is moderate in early pregnancy decreases until the middle of pregnancy, increases in late pregnancy and postpartum. A final trajectory where stress is high in early pregnancy and then decreases until the end of pregnancy and continues to decrease in postpartum. When the stress follows the paths 2 and 3, the gestation period is shorter, F(2,138) = 3.45, p <0.05, η2 = 0.048, the use of cesarean section is more common, OR = 2.62, p < 0.05, CI 95% = [1.01- 6.75] as well as dystocic labor, OR = 3.54, p <0.005, CI 95% = [1.18-10.52]. In contrast, the trajectories of stress does not have an effect on the PPD.Discussion: Our results are encouraging and show that the perception of stress during pregnancy has an effect on the duration of pregnancy, obstetric complications and the use of cesarean section. However it has no effect on the DPP, but our results suggest that stress may have an effect only among vulnerable women and that the DPP would fit into a depressive continuum, while adjacent to the vulnerability to stress. In conclusion, future researches should assess the link between trajectories of stress and depression from early pregnancy to late postpartum to test this hypothesis
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Abraham, Émilie. "Associations entre les expositions environnementales et les issues de grossesse d’une part et la méthylation de l’ADN placentaire d’autre part." Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2016. http://www.theses.fr/2016GREAS018/document.

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Abstract:
La pollution atmosphérique et les évènements météorologiques sont reconnus pour avoir des graves conséquences sur la santé telles que la mortalité cardiovasculaire et respiratoire, et par conséquent représentent un enjeu majeur de santé publique. Des travaux plus récents ont suggéré un effet des expositions à ces facteurs environnementaux durant la période intra-utérine. La vie fœtale est déterminante pour le bon développement de l’enfant. L’exposition maternelle aux facteurs environnementaux pendant la grossesse pourrait avoir des conséquences sur les issues de grossesse et la santé à court ou long terme. Par ailleurs, les mécanismes biologiques qui pourraient expliquer l’effet des expositions environnementales sur les issues de grossesse indésirables sont à l’heure actuelle très peu connus. Les objectifs de la thèse étaient : 1) d’étudier les associations entre d’une part la température et l’humidité relative pendant la grossesse et d’autre part le poids de naissance, la durée de gestation et la prématurité ; 2) d’étudier les associations entre l’exposition maternelle aux polluant de l’air et aux évènements météorologiques pendant la grossesse et la méthylation de l’ADN placentaire en utilisant A) une approche agnostique et B) une approche avec a priori basée sur l’intégration de connaissances biologiques. Le premier objectif s’est appuyé les données issues de deux cohortes mère-enfant, EDEN (avec un recrutement à Poitiers et Nancy en 2003-2006) et PELAGIE (Bretagne, 2002-2006) soit au total 5185 couples mère-enfant ; le deuxième objectif s’est appuyé sur un échantillon de 668 femmes de la cohorte EDEN chez qui le placenta a été prélevé et le niveau de méthylation de son ADN caractérisé. Les données quotidiennes de température et d’humidité ont été obtenues de Météo-France et l’exposition à la pollution atmosphérique a été estimée par un modèle de dispersion atmosphérique. Différentes fenêtres d’exposition au cours de la grossesse ont été considérées. Des échantillons de placenta centraux ont été collectés à l’accouchement et la méthylation de l’ADN a été analysée en utilisant la puce Illumina 450K. Pour répondre au premier objectif, des modèles de régression linéaire et des modèles de Cox ont été réalisés. Pour répondre au second objectif, des modèles de régression linéaire robuste, notamment à l’échelle du génome entier, ont été réalisés en appliquant des méthodes de correction de tests multiples telles que Bonferroni et Benjamini-Hochberg. Nos résultats suggèrent un effet délétère de la température et l’humidité sur le poids de naissance et ne mettent pas en évidence d’association entre pollution atmosphérique et issues de grossesse. L’exposition aux polluants atmosphériques (NO2 et PM10) pendant la grossesse était associée à une diminution de la méthylation de l’ADN placentaire pour les gènes ADORA2B et ADARB2 ; le premier gène étant connu pour être potentiellement impliqué dans la pré-éclampsie et l’hypoxie de la femme enceinte et le deuxième étant potentiellement impliqué dans les troubles métaboliques chez l'adulte tels que la circonférence abdominale et l'IMC. Les résultats des approches agnostique et avec a priori étaient cohérents pour le gène ADORA2B. Nous n’avons pas identifié d’association entre les conditions météorologiques et la méthylation de l’ADN placentaire. A notre connaissance, nous sommes les premiers à avoir étudié l’association entre la méthylation de l’ADN dans le tissu placentaire et l’exposition prénatale aux polluants de l’air et aux conditions météorologiques en utilisant des données de l’épigénome entier. Ce travail de thèse ouvre de nouvelles voies possibles concernant les mécanismes d’actions des polluants environnementaux et fournit des pistes quant aux effets à long terme possibles de ces expositions
Nowadays, air pollution and weather conditions represent a major public health issue. It is recognized that they may have serious consequences for health especially in the most sensitive populations such as pregnant women. More recent studies have suggested an effect of exposure to these environmental factors during the fetal period. Fetal life is a critical period for the healthy development of the child. Maternal exposure to environmental exposures during pregnancy could have serious consequences on pregnancy outcomes and short- and long- term health. Furthermore, the biological mechanisms that could explain the effect of environmental exposures on adverse pregnancy outcomes are largely unknown up to now. The objectives of the thesis were: 1) to study the association between maternal exposure to temperature and relative humidity during pregnancy and birth weight, gestational duration and preterm birth; 2) to study the association between maternal exposure to air pollutants and meteorological conditions during pregnancy and placental DNA methylation using A) an agnostic approach and B) a priori approach based on integration of biological knowledge. The first part of this work relied on data from two mother-child cohorts EDEN (Poitiers and Nancy, 2003-2006) and PELAGIE (Britain, 2002-2006) corresponding to 5185 mother-infant pairs analyzed; and the second part relied on a sample of the EDEN cohort for which methylation data were available (n = 668). Daily data of temperature and humidity were obtained from Météo-France and pollution data were obtained using a dispersion model. Their exposure was averaged over different periods during pregnancy. Central placenta samples were collected at delivery and DNA methylation was analyzed using Illumina 450K chip. For the first objective, linear regression models and Cox models were used. For the second objective, robust linear regression models, especially across the genome-wide, were used and correction methods for multiple testing such as Bonferroni and Benjamini-Hochberg were applied. Our results suggest a deleterious effect of temperature and relative humidity on birth weight and did not show an association between air pollution and pregnancy outcomes. Exposure to air pollutants (NO2 and PM10) during pregnancy was associated with a decrease in placental DNA methylation for ADORA2B and ADARB2 genes; the first gene is known to be potentially involved in preeclampsia and hypoxia of the pregnant woman and the second being potentially involved in metabolic disorders in adults such as abdominal circumference and BMI. The results of agnostic and a priori approaches were consistent for ADORA2B gene. We did not found association between weather conditions and placental DNA methylation. To our knowledge, we are the first to study the association between DNA methylation in the placental tissue and prenatal exposure to air pollutants and weather conditions using data from the entire epigenome. This work opens up new possible pathways regarding mechanisms of action of environmental pollutants and provides pointers as to the possible long-term effects of these exposures
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Beltran, Anzola Any Alejandra. "Evaluation de l'état de santé périnatal des enfants nés après assistance médicale à la procréation : trois études transversales réalisées à partir d'une cohorte monocentrique incluant 3829 issues de grossesse." Thesis, Aix-Marseille, 2018. http://www.theses.fr/2018AIXM0639/document.

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Abstract:
L’Assistance Médicale à la Procréation est considérée comme une solution thérapeutique en cas d’infertilité. Au-delà des questions économiques et éthiques qui sont soulevées au niveau de la société, l’impact sur la santé des enfants nés grâce à ces techniques pose de nombreuses questions. En effet, ces techniques ont été introduites chez l’homme sans aucun essai clinique ni aucune évaluation sur les effets à long terme sur la santé.Dans ce travail, nous présentons trois études réalisées à partir d’une cohorte de plus de 3000 enfants (singletons et jumeaux) constituée depuis 1994 au sein du service de médecine et de biologie de la reproduction de l’Hôpital Saint Joseph à Marseille. Nous avons évalué différents indicateurs de la santé périnatale (la prématurité, le faible poids et la macrosomie à la naissance, l’hypotrophie et l’hypertrophie pondérales par rapport à l’âge gestationnel et les anomalies congénitales), chez des enfants conçus à partir de différentes techniques : fécondation in vitro classique, fécondation in vitro avec micromanipulation, fécondation après transfert d’embryon congelé et fécondation après vitrification et réchauffement ovocytaire.Nos résultats ont suggéré que l’Assistance Médicale à la Procréation, quelle que soit la technique mise en œuvre, était associée à des problèmes de santé chez les enfants nés grâce à ces techniques. Il est nécessaire de continuer à développer des systèmes de surveillance visant à rendre plus performant le suivi de l’état de santé à long terme des enfants concernés, d’autant plus que de nouvelles techniques et procédés continueront à être développés
Assisted reproductive technologies are considered as a therapeutic solution in infertility cases. Beyond the economic and ethical questions that arise at the societal level, the impact on children’s health born after these techniques raises many questions. Indeed, these techniques have been introduced to the human without any clinical trial or assessment of long-term health effects. The main interest of this thesis is to contribute to the existing debate on the safety of these techniques regarding children’s health and well-being and to open new perspectives for future research on this subject.This research presents three studies based on a cohort of more than 3000 children (singletons and twins) constituted since 1994 in the Medicine and Reproductive Biology Department at the Saint Joseph Hospital in Marseille. The thesis evaluates various indicators of perinatal health (preterm birth, low birth weight and macrosomia, small and large for gestational age, and congenital anomalies) in children conceived from different techniques: classical In Vitro fertilisation, In Vitro fertilisation with micromanipulation, fertilisation after frozen embryo transfer and fertilisation after vitrified/warmed oocyte.The results suggest that assisted reproductive technologies, regardless of the technique used, were associated with health problems in children born through these techniques. There is a need to continue to develop surveillance systems to improve the long-term monitoring of the health status of children, especially as new techniques and procedures will continue to be developed
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Tararbit, Karim. "Assistance médicale à la procréation et cardiopathies congénitales : études en population." Thesis, Paris 11, 2014. http://www.theses.fr/2014PA11T024/document.

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Abstract:
A partir de données en population, nous avons: 1) évalué le risque de cardiopathies congénitales (CC) chez les fœtus conçus par assistance médicale à la procréation (AMP); et 2) déterminé les effets de l’AMP sur la prise en charge prénatale et le devenir périnatal des fœtus porteurs de CC. Nous avons observé que l'AMP était associée à une augmentation de 40% du risque de CC sans anomalies chromosomiques associées (OR ajusté = 1,4 IC95% 1,1-1,7). Nous avons également retrouvé qu'il existait des associations variables selon la catégorie de CC et la méthode d'AMP considérées. Nous avons observé que l'AMP était associée à une multiplication par 2,4 du risque de tétralogie de Fallot (OR ajusté = 2,4 IC95% 1,5-3,7), alors que nous n’avons pas retrouvé d’association statistiquement significative pour les trois autres CC spécifiques étudiées. Dans notre population, l'exposition à l'AMP ne semblait pas modifier le recours au diagnostic prénatal et à l'interruption médicale de grossesse chez les fœtus porteurs de CC comparés aux fœtus porteurs de CC conçus spontanément. Nous avons par ailleurs observé que le risque de prématurité des fœtus porteurs de CC conçus par AMP était environ 5 fois plus élevé que celui des fœtus porteurs de CC conçus spontanément (OR ajusté = 5,0 IC95% 2,9-8,6). En nous basant sur une méthodologie d'analyses de cheminement, nous avons retrouvé que les grossesses multiples contribuaient pour environ 20% au risque plus élevé de tétralogie de Fallot associé à l'AMP que nous avons observé. Enfin, les grossesses multiples contribuaient pour environ 2/3 du risque de prématurité associé à l'AMP chez les fœtus porteurs de CC
Using population-Based data, we: 1) assessed the risk of congenital heart defects (CHD) in assisted reproductive techniques (ART) conceived fetuses; and 2) evaluated the effects of ART on prenatal management and perinatal outcomes of fetuses with CHD. We observed that ART were associated with a 40% increased risk of CHD without associated chromosomal anomalies (adjusted OR = 1.4 95%CI 1.1-1.7). We also found varying associations between the different methods of ART and categories of CHD. We observed that ART were associated with 2.4-Higher odds of tetralogy of Fallot (adjusted OR = 2.4 95%CI 1.5-3.7), whereas no statistically significant association was found for the three other specific CHD included. In our population, ART exposure did not seem to modify prenatal diagnosis and termination of pregnancy for fetal anomaly in fetuses with CHD compared to fetuses with CHD conceived spontaneously. The risk for premature birth in fetuses with CHD conceived following ART was 5-Fold higher as compared to fetuses with CHD conceived spontaneously (adjusted OR = 5.0 95%CI 2.9-8.6). Using a path-Analysis method, we found that multiple pregnancies contributed for about 20% to the higher risk of tetralogy of Fallot associated with ART that we had found. Finally, multiple pregnancies contributed for the 2/3 of the risk of premature birth associated with ART in fetuses with CHD
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Simonet, Fabienne. "Caractéristiques communautaires et issues de grossesse chez les Inuits du Québec." Thèse, 2011. http://hdl.handle.net/1866/7054.

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Abstract:
Les Inuits sont le plus petit groupe autochtone au Canada. Les femmes inuites présentent des risques beaucoup plus élevés d’issues de grossesse défavorables que leurs homologues non autochtones. Quelques études régionales font état d’une mortalité fœtale et infantile bien plus importante chez les Inuits canadiens par rapport aux populations non autochtones. Des facteurs de risque tant au niveau individuel que communautaire peuvent affecter les issues de grossesse inuites. Les relations entre les caractéristiques communautaires et les issues de grossesse inuites sont peu connues. La compréhension des effets des facteurs de risque au niveau communautaire peut être hautement importante pour le développement de programmes de promotion de la santé maternelle et infantile efficaces, destinés à améliorer les issues de grossesse dans les communautés inuites. Dans une étude de cohorte de naissance reposant sur les codes postaux et basée sur les fichiers jumelés des mortinaissances/naissances vivantes/mortalité infantile, pour toutes les naissances survenues au Québec de 1991 à 2000, nous avons évalué les effets des caractéristiques communautaires sur les issues de grossesse inuites. Lorsque cela est approprié et réalisable, des données sur les issues de grossesse d’un autre groupe autochtone majeur, les Premières Nations, sont aussi présentées. Nous avons tout d'abord évalué les disparités et les tendances temporelles dans les issues de grossesse et la mortalité infantile aux niveaux individuel et communautaire chez les Premières Nations et les Inuits par rapport à d'autres populations au Québec. Puis nous avons étudié les tendances temporelles dans les issues de grossesse pour les Inuits, les Premières Nations et les populations non autochtones dans les régions rurales et du nord du Québec. Les travaux concernant les différences entre milieu rural et urbain dans les issues de grossesse chez les peuples autochtones sont limités et contradictoires, c’est pourquoi nous avons examiné les issues de grossesse dans les groupes dont la langue maternelle des femmes est l’inuktitut, une langue les Premières Nations ou le français (langue majoritairement parlée au Québec), en fonction de la résidence rurale ou urbaine au Québec. Finalement, puisqu'il y avait un manque de données sur la sécurité des soins de maternité menés par des sages-femmes dans les communautés éloignées ou autochtones, nous avons examiné les issues de grossesse en fonction du principal type de fournisseur de soins au cours de l'accouchement dans deux groupes de communautés inuites éloignées. Nous avons trouvé d’importantes et persistantes disparités dans la mortalité fœtale et infantile parmi les Premières Nations et les Inuits comparativement à d'autres populations au Québec en se basant sur des évaluations au niveau individuel ou communautaire. Une hausse déconcertante de certains indicateurs de mortalité pour les naissances de femmes dont la langue maternelle est une langue des Premières Nations et l’inuktitut, et pour les femmes résidant dans des communautés peuplées principalement par des individus des Premières Nations et Inuits a été observée, ce qui contraste avec quelques améliorations pour les naissances de femmes dont la langue maternelle est une langue non autochtone et pour les femmes résidant dans des communautés principalement habitées par des personnes non autochtones en zone rurale ou dans le nord du Québec. La vie dans les régions urbaines n'est pas associée à de meilleures issues de grossesse pour les Inuits et les Premières Nations au Québec, malgré la couverture d'assurance maladie universelle. Les risques de mortalité périnatale étaient quelque peu, mais non significativement plus élevés dans les communautés de la Baie d'Hudson où les soins de maternité sont prodigués par des sages-femmes, en comparaison des communautés de la Baie d'Ungava où les soins de maternité sont dispensés par des médecins. Nos résultats sont peu concluants, bien que les résultats excluant les naissances extrêmement prématurées soient plus rassurants concernant la sécurité des soins de maternité dirigés par des sages-femmes dans les communautés autochtones éloignées. Nos résultats indiquent fortement le besoin d’améliorer les conditions socio-économiques, les soins périnataux et infantiles pour les Inuits et les peuples des Premières Nations, et ce quel que soit l’endroit où ils vivent (en zone éloignée au Nord, en milieu rural ou urbain). De nouvelles données de surveillance de routine sont nécessaires pour évaluer la sécurité et améliorer la qualité des soins de maternité fournis par les sages-femmes au Nunavik.
Inuit are the smallest Aboriginal group in Canada. Inuit women are at much higher risks of adverse birth outcomes than their non-indigenous counterparts. Both fetal and infant mortality has been reported to be much higher among Canadian Inuit vs. non-indigenous populations in some regional studies. Both individual and community-level risk factors may affect Inuit birth outcomes. Little is known about the relationships between community characteristics and Inuit birth outcomes. Understanding the effects of community-level risk factors may be critically important for developing effective maternal and infant health promotion programs to improve birth outcomes in Inuit communities. In a postal code linkage-based birth cohort study based on the already linked stillbirth/live birth/infant death data files for all births in Quebec, from 1991 to 2000, we assessed the effects of community characteristics on Inuit birth outcomes. While appropriate and feasible, birth outcomes data on another major Aboriginal group, First Nations, are also presented. We first assessed individual- and community-level disparities and trends in birth outcomes and infant mortality among First Nations and Inuit versus other populations in Quebec. Then we studied trends in Inuit, First Nations and non-Aboriginal birth outcomes in the rural and northern regions of Quebec. Because there is limited and inconsistent evidence concerning rural versus urban differences in birth and infant outcomes for Indigenous peoples, we investigated birth and infant outcomes among Inuit, First Nations and French (the majority in Quebec) mother tongue groups by rural versus urban residence in Quebec. Finally, since there was a lack of data on the safety of midwife-led maternity care in remote or Aboriginal communities, we examined birth outcomes by primary birthing attendant type in two sets of remote Inuit communities. We found large and persistent disparities in fetal and infant mortality among First Nations and Inuit versus other populations in Quebec based on individual- or community-level assessments. There was also a disconcerting rise of some mortality outcomes for births to First Nations and Inuit mother tongue women and to women in predominately First Nations and Inuit communities, in contrast to some improvements for births to non-Aboriginal mother tongue women and to women in predominately non-Aboriginal communities in rural or northern Quebec. Living in urban areas was not associated with better birth and infant outcomes for Inuit and First Nations in Quebec despite universal health insurance coverage. Risks of perinatal death were somewhat but not significantly higher in the Hudson Bay communities with midwife-led maternity care as compared to the Ungava Bay communities with physician-led maternity care. Our findings are inconclusive, although the results excluding extremely preterm births are more reassuring concerning the safety of midwife-led maternity care in remote Aboriginal communities. Our results strongly indicate a need for improved socioeconomic conditions, perinatal and infant care for First Nations and Inuit peoples, no matter where they live (remote northern, rural or urban areas). Further routine surveillance data are needed for assessing the safety and improving the quality of midwife-led maternity care in Nunavik.
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Gamaoun, Rihab. "Exposition à la caféine durant la grossesse : les facteurs prédictifs de la consommation et association aux issues indésirables de grossesse." Thèse, 2013. http://hdl.handle.net/1866/9607.

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Abstract:
INTRODUCTION: Plusieurs études ont été menées sur le risque d’issus indésirables de grossesse associé à la prise de caféine durant la grossesse; cependant aucune étude n'a encore été réalisée sur les facteurs prédictifs de cette exposition. Pourtant, une prise en considération de ces facteurs augmenterait l’efficacité des recommandations nutritionnelles à ce sujet. En outre, peu d'études ont évalué le risque de nouveau-nés petits pour l'âge gestationnel (PAG) comparé aux autres issues indésirables de grossesse. OBJECTIFS: 1) Déterminer la fréquence de la consommation de caféine durant la grossesse et ses facteurs prédictifs ; 2) quantifier l’association de cette exposition au risque de (PAG). MÉTHODE: 3458 participantes ont été sélectionnées aléatoirement dans le Registre Québécois des Grossesses (RQG) créé par l’appariement de trois banques de données administratives : RAMQ, MED–ÉCHO et ISQ. Des analyses statistiques ont permis d’étudier les facteurs prédictifs de cette utilisation et une étude cas-témoins a permis de quantifier le risque de (PAG) qui lui est associé. RÉSULTATS: 87,3% des participantes consommaient de la caféine avant leur grossesse et 71,4% durant. L'âge maternel avancé, le tabagisme, l'hypertension et les hospitalisations avant la grossesse sont des facteurs prédictifs de la consommation de caféine durant la grossesse. Une augmentation de 20% de risque de PAG a été observée [OR = 1,19; 95% IC (1,01–1,40)]. CONCLUSION: La consommation de caféine pendant la grossesse est répandue et la sécurité de cette utilisation doit être questionnée. Nos résultats suggèrent que la consommation de caféine durant la grossesse augmenterait le risque de PAG.
BACKGROUND: Several studies have been conducted on the association between several adverse pregnancy outcomes and caffeine intake during pregnancy; but, no study has yet been conducted on the predictors of such exposure. However, a consideration of these factors would contribute in making nutritional recommendations in this regard more efficient. In addition, few studies had evaluated the risk of small for gestational age infants (SGA) compared to other adverse pregnancy outcomes. OBJECTIVES: 1) To determine the frequency of caffeine consumption during pregnancy and its predictors, 2) Quantify the association between SGA outcome and this exposure. METHODS: 3458 participants were randomly selected from the Quebec Pregnancy Registry (QPR) created by the linking of three administrative databases: RAMQ, MED-ECHO and ISQ. Statistical analyzes were used to examine predictors of the use and case-control study was conducted to quantify the risk of SGA associated with it. RESULTS: 87.3% of participants consumed caffeine prior to pregnancy and 71.4% during. Maternal age, smoking, hypertension and hospitalizations before pregnancy are predictors of caffeine consumption during pregnancy. A 20% increase in SGA risk was observed [OR = 1.19, 95% CI (1.01 - 1.40)]. CONCLUSION: Caffeine consumption during pregnancy is common and safety of this use must be questioned. Our results suggest that caffeine consumption during pregnancy increases the risk of SGA.
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Cossette, Benoit. "Utilisation de médicaments pour le traitement de l’asthme durant la grossesse et impact sur les issues périnatales." Thèse, 2014. http://hdl.handle.net/1866/10917.

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Abstract:
L’asthme est l’une des pathologies chroniques les plus fréquemment rencontrées durant la grossesse, affectant environ 8% des femmes enceintes. Les lignes directrices pour le traitement de l’asthme affirment que le risque d’un développement non optimal du fœtus dû à un asthme mal maîtrisé est supérieur au risque associé à la prise de médicaments pour le traitement de l’asthme durant la grossesse. Des questions persistent par contre sur l’innocuité des hautes doses de corticostéroïdes inhalés (CSI) et très peu de données sont publiées pour les bêta2-agonistes à longue action (BALA). Un programme de recherche en deux volets a été développé afin de répondre à certaines de ces questions. Dans un premier volet, une cohorte de femmes asthmatiques accouchant au Québec de 1998 à 2008 a été assemblée à partir des bases de données de la Régie de l’assurance maladie du Québec et de MED-ÉCHO afin d’évaluer l’impact de la prise de CSI ou de BALA sur la prévalence de faible poids à la naissance (FPN), de prématurité et de bébé petit pour l’âge gestationnel (PAG). La cohorte était composée de 7376 grossesses dont 56,9% étaient exposées aux CSI et 8,8% aux BALA. Dans cette cohorte, l’utilisation de BALA n’était pas associée à des prévalences plus élevées de FPN (OR=0,81, IC95%:0,58–1,12), prématurité (OR=0,84, IC95%:0,61–1,15) ou PAG (OR=0,92, IC95%:0,70–1,20). Lors de la comparaison des BALA (salmétérol comparé au formotérol comme référence) la différence la plus importante était pour le PAG (OR=1,16, IC95%:0,67–2,02). Pour les CSI, une tendance à une augmentation de FPN, prématurité et PAG a été observée avec l’augmentation des doses. Le OR le plus élevé était pour une dose > 500 ug/jour (équivalent fluticasone) pour le FPN: (OR=1,57, IC95%:0,86–2,87). La comparaison des CSI les plus utilisés (fluticasone comparé au budésonide comme référence) montre des différences non statistiquement significatives avec la différence maximale observée pour le PAG (OR=1,10, IC95%:0,85–1,44). Dans un second volet, une sous-cohorte de femmes asthmatiques avec visites médicales pour exacerbation d’asthme au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS) a été constituée pour comparer le traitement des exacerbations durant et hors grossesse. Les résultats montrent que le traitement par CS était moins fréquent et différé pour les femmes enceintes comparées aux femmes non-enceintes. Le traitement de maîtrise de l’asthme (CSI et/ou BALA) dans l’année précédant l’exacerbation était sous-optimal. Les résultats présentés dans cette thèse démontrent l’innocuité des BALA et des doses faibles à modérées de CSI pendant la grossesse pour les issues de FPN, prématurité et PAG alors que des études supplémentaires sont nécessaires afin d’évaluer l’innocuité des hautes doses de CSI. Une innocuité comparable entre les CSI (budésonide, fluticasone) et les BALA étudiés (formotérol, salmétérol) a également été démontrée. Les résultats montrent également un recours moindre aux CS pour le traitement des exacerbations d’asthme durant la grossesse comparativement à hors grossesse. Ces résultats sont un ajout important aux évidences permettant aux cliniciens et aux femmes enceintes asthmatiques de faire les meilleurs choix pour optimiser le traitement pharmacologique durant la grossesse.
Asthma is one of the most common chronic medical conditions encountered during pregnancy, affecting approximately 8% of pregnant women. Current asthma treatment guidelines emphasize the importance and safety of the use of asthma medications during pregnancy compared to the risk of poorly controlled asthma for the fetus. In the evaluation of the safety of asthma medications during pregnancy, the literature review shows that questions persist, amongst others, on the safety of high inhaled corticosteroids (ICSs) doses and that there is a paucity of data on the safety of long-acting beta2-agonists (LABAs). A two components research program was developed to answers some of these questions. In the first component, a cohort of asthmatic women giving birth from 1998 to 2008 was constructed from the Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) et de MED-ÉCHO databases to assess the impact of the use of long-acting β2-agonists (LABAs) and the dose of inhaled corticosteroids (ICSs) during pregnancy on the prevalence of low birth weight (LBW), preterm birth (PB), and small for gestational age (SGA). The cohort included 7,376 pregnancies: 8.8% exposed to LABAs and 56.9% exposed to ICSs. LABA use was not found to be associated with increased prevalence of LBW (OR=0.81; 95%CI: 0.58–1.12), PB (OR=0.84; 95%CI: 0.61–1.15), or SGA (OR=0.92; 95%CI: 0.70–1.20). In the LABAs comparison (salmeterol compared to formoterol as reference), the most important difference was observed for PAG (OR=1.16, 95%CI: 0.67–2.02). For the ICSs, increasing doses were associated with a trend of increased LBW, PB, and SGA. The maximal observed OR was for a dose > 500 ug/day (fluticasone-equivalent) for LBW: (OR=1.57, 95%CI: 0.86–2.87). The comparison of the most frequently used ICSs (fluticasone compared to budesonide as reference) revealed non-statistically significant differences with a maximal difference observed for SGA (OR=1.10, 95%CI: 0.85–1.44). In the second component, a sub-cohort of asthmatic women with medical visits for asthma exacerbations was constructed to compare the treatment of exacerbations during and outside of pregnancy. The results show a reduced and delayed use of systemic corticosteroids for the treatment of asthma exacerbations in women when pregnant than when non-pregnant. The preventive treatment of asthma (ICSs and/or BALAs) could also be optimized. The results presented in this thesis support the safety of the use during pregnancy of LABAs and low to moderate doses of ICSs for the outcomes of LBW, PB and SGA and point to the need for additional data on the safety of high ICS doses. A comparable safety between studied ICSs (budesonide and fluticasone) and BALAs (formoterol and salmeterol) was also demonstrated. We also observed a reduced and delayed use of systemic corticosteroids for the treatment of asthma exacerbations in women when pregnant than when non-pregnant.
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Lucas, Michel. "Les oméga-3 d'origine marine dans l'alimentation traditionnelle des inuits du Nunavik et leurs effets sur les issues de la grossesse /." 2004. http://proquest.umi.com/pqdweb?did=790298801&sid=3&Fmt=2&clientId=9268&RQT=309&VName=PQD.

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Muanda, Flory Tsobo. "Utilisation des anti-infectieux chez la femme enceinte et issues indésirables de grossesse (avortement spontané, malformations congénitales et faible poids à la naissance)." Thèse, 2017. http://hdl.handle.net/1866/19988.

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Bidet, Gwënaelle. "Devenir obstétrical des patientes atteintes de cardiopathies congénitales." Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/18860.

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Abstract:
Contexte : L’objectif primaire de l’étude est de décrire les issues maternelles cardiaques, périnatales et obstétricales des femmes enceintes avec cardiopathie congénitale. L’objectif secondaire porte sur l’application des scores prédictifs de complications cardiaques (score ZAHARA 1 et classification modifiée de l’Organisation mondiale de la Santé) dans notre population. Méthodologie : Nous avons mené une étude descriptive de type série de cas incluant 408 grossesses de 283 patientes avec cardiopathies congénitales ayant accouchées au Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine, entre 1992 et 2013. La collecte de données a été réalisée à partir des dossiers médicaux. Les issues périnatales sur les plans obstétrical et néonatal ont été décrites. La comparaison des scores de complications cardiaques a été réalisée avec le test de Pearson Chi carré. Résultats: Notre cohorte à faible risque de complications était composée de 405 grossesses (99,3%) de classes fonctionnelles New York Heart Association I et II. La proportion de complications obstétricales était de 49,0% (200 grossesses), dont 16,9% d’admissions aux soins pour surveillance étroite en post-partum, 12,7% de diabète gestationnel et 11,3% d’hémorragie du post-partum. Les complications fœtales ou néonatales ont compliqué 148 grossesses (36,3%). Les fréquences de petit poids selon l’âge gestationnel (16,6%) et de prématurité (14,9%) étaient significativement plus élevées que celles rencontrées dans la population générale. Seulement 4,7% des grossesses (19 grossesses) ont compliqué d’un évènement cardiovasculaire. La classification modifiée de l’Organisation mondiale de la Santé estimait bien le risque de complications cardiaques, sauf pour la classe à haut risque (IV). Conclusions: Les patientes atteintes de cardiopathies congénitales sont plus à risque de complications obstétricales et périnatales que la population obstétricale générale, tels les accouchements vaginaux assistés, l’hémorragie du post-partum, la prématurité et le petit poids de naissance inférieur au 10e percentile. La classification modifiée de l’Organisation mondiale de la Santé semblait adéquate dans la prévision d’évènements cardiaques, mais le score ZAHARA 1 reste un bon outil complémentaire dans l’évaluation du pronostic de la grossesse.
Background: The aim of the study was to describe cardiac maternal outcomes as long as perinatal and obstetrical morbidities of pregnant women with congenital heart disease. Secondary outcome was to validate predictive cardiovascular events risk scores (ZAHARA 1 score and modified World Health Organization classification) in our population. Methods: We conducted a case series study including 408 pregnancies of 283 women with congenital heart disease, who delivered at Sainte-Justine Hospital in Montreal (Canada) from 1992 to 2013. Data were collected from chart review. Perinatal issues were described. Comparison of cardiac risk scores was analysed using Chi square test. Results: Our low-risk cohort was composed of 405 pregnancies (99.3%) with New York Heart Association functional classes I or II. Obstetrical complications rates among women with congenital heart disease was 49.0% (200 pregnancies), such as intensive care admission for close monitoring (16.9%), gestational diabetes (12.7%) and post-partum haemorrhage (11.3%) which are higher than the general obstetrical population. Furthermore, offspring complications occurred in 148 pregnancies (36.3%); the rates of small for gestational age (16.6%) and preterm delivery (14.9%) were significantly higher than general population. Only 4.7% pregnancies (19 pregnancies) were complicated by a cardiac event. The modified World Health Organization classification gave the best overview of cardiac prognostic during the pregnancy, except for the highest risk class (IV). Conclusions: Compared to Canadian obstetrical population, pregnant women with congenital heart disease had higher rates of assisted vaginal delivery, post-partum haemorrhage, preterm delivery and birth weight lower than the 10th percentile. The modified World Health Organization classification risk seemed better to predict cardiovascular events, while ZAHARA 1 score is complementary in the evaluation of prognosis of pregnancy.
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