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Journal articles on the topic 'Investissements long terme'

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Lorenzi, Jean-Hervé, and Julien Navaux. "L'utilité des investissements de long terme." Revue d'économie financière 108, no. 4 (2012): 17. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.108.0017.

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Gollier, Christian. "Valorisation des investissements ultra-longs et dÉveloppement durable." Articles 92, no. 4 (July 12, 2017): 667–701. http://dx.doi.org/10.7202/1040502ar.

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Abstract:
En faisons-nous assez pour les générations futures? Cette question est sous-jacente à de nombreuses questions économiques actuelles, comme celles de la réduction de la dette, de la réforme des retraites, de la lutte contre le changement climatique, de la préservation des ressources naturelles, des investissements d’infrastructure ou de la fiscalité de l’épargne par exemple. Notre responsabilité sociale envers les générations futures se traduit en termes économiques par le taux d’actualisation, qui donne une valeur au futur relativement au présent, et qui détermine l’arbitrage présent/futur des agents économiques. Si on reconnaît qu’une société court-termiste utilise un taux d’actualisation trop élevé, comment déterminer le niveau désirable de ce taux? Dans cet article, je synthétise les importants développements scientifiques récents sur ce sujet. Étant donné la baisse tendancielle de nos anticipations de croissance et les fortes incertitudes sur les évolutions longues de notre société, je recommande un taux sans risque de deux fois le taux de croissance anticipé de la consommation (pour actualiser des cash flows engendrés sur les horizons inférieurs à 20 ans) à 1 % (pour des maturités au-delà de 100 ans). La prime de risque devrait aussi avoir une structure par terme, s’étalant de 1 % à court terme jusqu’à 3 % pour le long terme.
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3

Boissinot, Jean, and Claire Waysand. "Le financement des investissements de long terme : quel rôle pour les pouvoirs publics ?" Revue d'économie financière 108, no. 4 (2012): 133. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.108.0133.

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4

Bascuñán, Mauricio, René Garcia, and Michel Poitevin. "Information asymétrique, contraintes de liquidité et investissement." Symposium sur les marchés financiers dans un contexte international 71, no. 4 (February 13, 2009): 398–420. http://dx.doi.org/10.7202/602187ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le présent article étudie l’influence de la structure des marchés financiers sur les décisions d’investissement des entreprises à partir de données longitudinales d’entreprises de six pays : l’Allemagne et le Japon d’une part, où s’établissent plutôt des relations de long terme entre prêteurs et emprunteurs, le Canada, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni d’autre part, dont les marchés financiers tendent à privilégier les relations de court terme. Les systèmes financiers qui favorisent les relations de long terme devraient réduire les imperfections de marché et permettre donc aux entreprises de moins recourir aux fonds autogénérés pour financer leurs investissements. Les résultats de nos estimations confirment qu’en Allemagne et au Japon, les coefficients des variables de flux et de stocks de liquidités dans les équations d’investissement sont soit faibles soit statistiquement non différents de zéro. Par ailleurs, indépendamment du système financier d’un pays, ces mêmes imperfections devraient se manifester plus dans les petites entreprises que dans les grandes entreprises. Nos résultats montrent effectivement que les petites firmes ont davantage recours à leurs propres fonds pour financer leurs investissements, non seulement aux États-Unis mais encore au Japon, ce qui constitue une confirmation plus convaincante de l’hypothèse des contraintes financières.
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MOULOUD, Abdenour, and Rachid Lalali. "L' investissement privé en Algérie : Chronologie de 60 années de réformes juridiques inachevées (1962 – 2022)." les cahiers du cread 38, no. 3 (September 3, 2022): 197–228. http://dx.doi.org/10.4314/cread.v38i3.8.

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Abstract:
Depuis le 1er code des investissements de 1960 jusqu’à nos jours, le cadre juridique régissant l’investissement privé en Algérie est un perpétuel chantier de réformes. En effet, en soixante ans d’indépendance, l’Algérie en est à son 7ème code des investissements et un 8ème est en cours d’élaboration. Cet article retrace, chronologiquement, les faits marquants de l’évolution de l’investissement privé en Algérie, depuis l’indépendance à nos jours, dans sa dimension juridique. Dans cette optique, une étude descriptive et une analyse chronologique ont été adoptées, consistant à décrire et analyser le cadre juridique régissant l’investissement privé, une démarche méthodologique appuyée bien évidemment, par des données statistiques relatives à la place du secteur privé pour chaque période étudiée. Les résultats obtenus lèvent le voile sur l’instabilité juridique caractérisant l’investissement privé en Algérie et témoignent de l’absence de vision stratégique à long terme du législateur algérien.
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Guindo, Issiaka. "La protection des investissements étrangers face aux vulnérabilités au Sahel." Revue internationale de droit économique XXXVIII, no. 1 (September 17, 2024): 65–89. http://dx.doi.org/10.3917/ride.381.0065.

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Abstract:
Des événements ayant cours au Sahel depuis plus d’une décennie, aggravés par des renversements des gouvernements civils, ont fait l’objet d’immenses commentaires. L’insécurité soulève de multiples questions de droit international, qui mettent en jeu les engagements de protection des investissements souscrits par ces États. Toutefois, cette question tant importante semble avoir échappé aux observateurs, même les plus avertis. La protection des investissements étrangers implique des engagements de long terme qui sont vulnérables dans des conditions de conflit ou l’insécurité. À cet effet, la force majeure et l’état de nécessité peuvent être considérés comme des moyens d’exonération possibles mais limités en droit de responsabilité internationale des États au profit de ces États. Les accords d’investissement ratifiés par ces États et les codes d’investissement prévoient plusieurs dispositions comme les clauses dites de la protection entière et de la pleine sécurité ainsi que les clauses de compensation pour perte. Ces dispositions traitent des situations critiques comme l’insécurité ou l’instabilité politique. L’objet de cet article est de démontrer que l’applicabilité de ces règles de protection dans le contexte actuel au Sahel reste contrastée à l’égard des investissements étrangers.
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7

Tensaout, Mouloud. "Estimation des effets de court terme et de long terme des décisions marketing : Les modèles VAR, la modélisation ECM et la théorie de la cointégration." Recherche et Applications en Marketing (French Edition) 15, no. 2 (June 2000): 59–79. http://dx.doi.org/10.1177/076737010001500204.

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Abstract:
La théorie marketing a mis en évidence plusieurs facteurs qui peuvent influencer durablement les performances d'une marque. Cet article propose d'étudier l'existence de ces effets par une méthodologie fondée sur les modèles VAR, la théorie de la cointégration et la modélisation VECM. Elle comporte trois étapes : — d'abord des tests de racine unitaire sont effectués pour déterminer si les variables sont stationnaires ou évolutives; — lorsque celles-ci sont non-stationnaires des tests de cointégration sont réalisés pour vérifier l'existence d'une relation de long terme entre ces variables et l'estimation éventuelle de leur représentation VECM par des méthodes appropriées; — et enfin, les fonctions de réponse impulsionnelle sont utilisées pour analyser les effets permanents sur les variables d'un choc exogène sur l'une d'elles. Cette méthodologie est illustrée par une application portant sur la relation entre la publicité et les ventes. Les résultats montrent que dans les marchés évolutifs, les effets des investissements publicitaires sur les ventes persistent dans le temps.
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Touratier, Pascale, Jean-Paul Méreaux, Ababacar Mbengue, and Jimmy Feige. "Investissements immatériels et politiques de formation : Outils de gestion « responsable » et attentes des parties prenantes." Management & Sciences Sociales N° 19, no. 2 (July 1, 2015): 52–64. http://dx.doi.org/10.3917/mss.019.0052.

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Abstract:
Aujourd’hui, il est crucial de réaliser des investissements immatériels à long terme compte tenu de leurs effets sur la croissance économique. La bonne gestion du capital humain constitue un levier de croissance économique et du développement des entreprises ; elle permet en effet d’améliorer la politique sociale menée et la prospérité de l’entreprise. Dans ce cadre, le modèle d’évaluation comptable du capital humain proposé par Méreaux et al. (2012) se présente comme un outil de gestion « responsable » qui pourrait permettre de concilier les intérêts des différentes parties prenantes, au service de l’emploi et de la croissance économique.
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GBAME, Hervé Daniel. "Libéralisation des télécommunications et performance du secteur de la téléphonie mobile dans les pays de l’UEMOA." International Journal of Economic Studies and Management (IJESM) 2, no. 1 (May 5, 2022): 01–22. http://dx.doi.org/10.52502/ijesm.v2i1.240.

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L’objectif de ce papier est d’analyser les effets de la libéralisation des télécommunications sur la performance du secteur de la téléphonie mobile dans les pays en développement particulièrement ceux de l’UEMOA. A partir d’un échantillon des 7 pays de cette zone, sur la période 1998 - 2019, et suite à l’utilisation d’une approche pooled mean group (PMG) sur données de panels, les résultats montrent qu’à long terme la libéralisation a accru significativement la performance du secteur de la téléphonie mobile. Par ailleurs, la source des disparités de performance entre les pays relève du niveau de développement économique mais aussi des investissements réalisés dans le secteur.
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Pinard, Émilie. "Les femmes propriétaires à Pikine, au Sénégal : entre nouvelles responsabilités familiales et désir d’autonomie." Articles 29, no. 2 (January 16, 2017): 43–62. http://dx.doi.org/10.7202/1038720ar.

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Abstract:
Cet article porte sur les femmes propriétaires des quartiers périphériques de Pikine, au Sénégal, et sur l’intégration de leur participation accrue à la production résidentielle dans les processus d’émancipation en cours. En s’appuyant sur des entretiens narratifs auprès de 17 propriétaires, l’auteure examine les évènements et les motivations qui ont mené ces femmes à acquérir une maison, de même que les normes et les logiques dans lesquelles s’inscrit une telle démarche. L’auteure met ainsi en lumière les processus de négociations particuliers par lesquels ces propriétaires ont élargi le champ de leurs responsabilités familiales, de la gestion de l’espace domestique à la mobilisation des ressources pour la construction, tout en faisant des investissements qui favorisent leur indépendance économique et résidentielle à long terme.
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Sogbossi Bocco, Bertrand, and Mariette Hounton Dognon. "Les entreprises face à la responsabilité sociale au Bénin." Management & Sciences Sociales N° 14, no. 1 (January 1, 2013): 54–68. http://dx.doi.org/10.3917/mss.014.0054.

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Abstract:
Cette étude est une contribution au débat sur la RSE en Afrique et spécialement au Bénin. Elle répond à la question : quel est le sens que les entreprises au Bénin donnent à la responsabilité sociale ? Elle vise à déterminer la position des entreprises face à la responsabilité sociale des entreprises (RSE) au Bénin à travers l’analyse de leur management. Pour atteindre cet objectif, nous avons adopté une méthodologie qualitative inductive. Il ressort de cette étude que la plupart des entreprises ne connaissent pas la notion de la responsabilité sociale et sa démarche, mais leur gestion est marquée parfois par des signes très forts de sensibilité sociale. Elles sont toutes favorables à la prise en compte des responsabilités sociales et les considèrent non pas comme des coûts supplémentaires, mais comme des investissements à long terme ou comme un devoir. Manquent avant tout à ces engagements des lignes directrices, et l’engagement et l’incitation des pouvoirs publics.
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DAHANI, Zouhair, Mohamed DEHHAOUI, and Ahmed BOUSSELHAMI. "Analyse et Modélisation du Progrès Technique au Maroc: Les Enseignements d’un Modèle VECM." Journal of Academic Finance 11, no. 2 (December 30, 2020): 209–25. http://dx.doi.org/10.59051/joaf.v11i2.389.

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Abstract:
Le présent travail de recherche a pour objectifs d’analyser le progrès technique achevé par le Maroc et déceler l’impact des différents déterminants de ce progrès technique. L’estimation de la fonction du progrès technique marocain à court et long terme s’est avérée nécessaire pour répondre aux objectifs de notre recherche. L'analyse des données montre que le Maroc occupe une position modeste en termes de R&D et innovation. Devant cette situation, le pays s’oriente souvent vers l’extérieur pour satisfaire ses besoins, notamment à travers l’importation de la technologie étrangère. Les résultats de notre modélisation économétrique "VECM" montrent que le progrès technique marocain mesuré par la productivité globale des facteurs de production dépend amplement de l’investissement dans le capital humain ainsi que la réalisation des investissements directs étrangers (IDE). En outre, la demande de brevets ainsi que l’importation massive des biens d’équipements industriels et agricoles et les technologies d’information et de communication (TIC) ont un faible impact sur la productivité des facteurs de production. En effet, la majorité des produits importés sont considérés comme étant des inputs traditionnels de la production marocaine à cause d’une offre nationale insuffisante.
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Khelfaoui, Mahdi. "Le nucléaire dans la stratégie énergétique du Québec, 1963-2012." Scientia Canadensis 37, no. 1-2 (May 20, 2015): 105–32. http://dx.doi.org/10.7202/1030642ar.

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Abstract:
Cet article retrace l’évolution de la stratégie électronucléaire du gouvernement du Québec, entre 1963 et 2012. L’analyse se divise en trois périodes principales: l’émergence d’un programme nucléaire entre 1963 et 1970, un moment d’opposition politique sur son évolution à long terme entre 1971 et 1976, et son abandon progressif entre 1977 et 1983. À partir de 1983, avec la mise en service de la centrale Gentilly-2, et jusqu’à son arrêt définitif en 2012, aucun autre projet nucléaire d’envergure n’est entrepris dans la province. À partir de l'analyse de ces différentes périodes, nous mettons en évidence les raisons qui ont poussé le gouvernement du Québec à développer une industrie nucléaire locale. Nous discutons les divers facteurs, techniques, économiques et politiques qui ont conduit à un tel développement et au maintien de l’intérêt politique pour l’énergie nucléaire, malgré des investissements massifs en hydroélectricité durant les années soixante-dix. Enfin, nous mettons à jour les déterminants politiques qui ont poussé le gouvernement à abandonner la filière nucléaire à partir de 1977.
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Ehrhart, Christophe. "Croissance, redistribution et lutte contre la pauvreté : l’évolution non linéaire de l’approche de la Banque mondiale." L'Actualité économique 82, no. 4 (September 18, 2007): 597–641. http://dx.doi.org/10.7202/016405ar.

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Abstract:
RésuméCet article passe en revue 60 années d’activités de la Banque mondiale, en mettant l’accent sur les variations dans le temps de son attitude face au combat contre la pauvreté. Durant les années cinquante et soixante, la Banque mondiale considérait que le meilleur moyen de lutter contre la pauvreté consistait à créer les conditions d’une croissance la plus forte possible en procédant à des investissements lourds dans les infrastructures physiques. Toutefois, devant la persistance de la pauvreté de masse et de fortes inégalités dans bon nombre de pays en développement malgré des performances assez satisfaisantes en termes de croissance, la Banque mondiale plaça, dès la fin des années soixante, et pour la première fois, « la guerre contre la pauvreté » au centre de son agenda puis elle s’efforça d’élaborer, pendant les années soixante-dix, de nouvelles stratégies de croissance qui soient plus favorables pour les pauvres. Sous l’ère de l’ajustement structurel, la vision de la Banque mondiale a connu également de nombreuses modifications. Durant la première moitié des années quatre-vingt, dans un contexte de crise de la dette, la Banque mondiale a été conduite à reléguer l’objectif de réduction de la pauvreté au second plan, au profit de la restauration des équilibres macroéconomiques et du potentiel de croissance des pays en difficulté. Cependant, en réponse à la critique des coûts sociaux de ses programmes d’ajustement, l’institution financière internationale a réaffirmé son engagement à lutter contre la pauvreté en accordant, dès la fin des années quatre-vingt, une plus grande importance aux conséquences sociales de l’ajustement à court terme et surtout en proposant par la suite de nouvelles stratégies de lutte contre la pauvreté à long terme.
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Kobila, Par James Mouangue. "Some current legal questions raised by the management of natural resources in Central Africa (States members and zone ECCAS) / Quelques questions juridiques actuelles soulevées par la gestion des ressources naturelles en Afrique centrale (États membres et espace CEMAC)." Journal of the African Union Commission on International Law 2021 (2021): 204–68. http://dx.doi.org/10.47348/aucil/2021/a7.

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Abstract:
Based on the case study of ECCAS’s member states, this study raises a series of problems which can be linked to the highly theoretical problematic of the relationship between international investment law and the regional law, two autonomous normative systems which pursue different objectives on the basis of international law standard that binds different parties. This study proposes short, medium and long term legal solutions which can be used by states to restore their sovereignty over their natural resources, in particular by indicating to them how to cancel the excessive tax expenditure granted to investors in establishment conventions and how to overcome stabilisation clauses inserted in these same state’s contracts. These measures are particularly useful in protecting states from possible legal consequences of measures taken in the context of the fight against the pandemic of the new corona virus. Finally, this study contains many proposals relating to the reform of investment law applicable to Africa, such as regionalism which would facilitate the generalisation of the right to regulate in the general interest. À partir du cas des États membres de la CEMAC, cette étude soulève une série de problèmes que l›on peut rattacher à la problématique éminemment théorique des rapports de système entre le Droit international des investissements et le Droit communautaire, deux systèmes normatifs autonomes qui poursuivent des objectifs différents sur le fondement de normes internationales liant des parties distinctes. Elle permet d’offrir aux États des solutions juridiques utilisables à court, à moyen et à long terme pour restaurer leur souveraineté sur leurs ressources naturelles, notamment en leur indiquant comment revenir sur les dépenses fiscales excessives accordées aux investisseurs dans les conventions d’établissement et comment faire échec aux clauses de stabilisation insérées dans ces mêmes Contrats d’État. Ces mesures s’avèrent particulièrement utiles pour protéger les États des éventuelles conséquences juridiques des mesures prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie du nouveau Corona virus. Cette étude renferme enfin de nombreuses propositions relatives à la réforme du Droit des investissements applicable en Afrique, parmi lesquelles celle du régionalisme qui faciliterait la généralisation du Droit de règlementer dans l’intérêt général.
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Georges MORISHO, MUYOLOLO NDARILOKO Crispin, WATANGA LUKANGE Ernest, FARAY MAKONGA Fabrice, and FATAKI DONATIEN Alexandre et OKANDJU MASANGU. "« EFFETS DE LA GESTION DES CREANCES SUR LA TRESORERIE DE LA SOCIETE NATIONALE D’ELECTRICITE-KINDU/MANIEMA DE 2013 A 2020 »." IJRDO - Journal of Business Management 8, no. 4 (April 25, 2022): 35–44. http://dx.doi.org/10.53555/bm.v8i4.4926.

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Abstract:
Dans ce papier, nous sommes parti du constat selon lequel la pérennité de l’entreprise est fortement dépendante de la gestion optimale de ses différentes ressources à savoir: humaines, financières et matérielles; mais la gestion des ressources financières occupent une place centrale dans la gestion des autres ressources. Cette dernière s’effectue sur le long terme (investissements) ainsi que sur le court terme (trésorerie). Et pour pouvoir équilibrer la situation financière de l’entreprise , il faut gérer de manière optimale la trésorerie. Celle-ci nécessite une gestion saine, règlementée et normale afin de ne pas mettre en difficulté l’entreprise et de causer sa faillite. La gestion des créances demeure le principal pilier sur lequel s’appuie la trésorerie pour le cas de la SNEL-Kindu. Une analyse corrélative de ces deux variables a demeuré nécessaire. Après analyse et traitement des données, nous sommes aboutis aux résultats ci-dessous : Concernant les recettes de la SNEL/Kindu, celles-ci ont connu une évolution à dents de scie durant toute la période sous-examen, respectivement les recettes issues des entreprises commerciales et celles des domestiques. Par ailleurs, le taux de recouvrement est de 47%. Donc, les 53% restent encore non recouvrés. Pour ce qui est des effets de la gestion des créances sur la trésorerie de la SNEL-Kindu, il a été ressorti du traitement des données dans le logiciel Eviews que les variations annuelles de la trésorerie sont expliquées à 58% par les créances des abonnés de cette entité économique. Ensuite, il existe une relation positive et significative entre la trésorerie et les créances de la SNEL/Kindu sur ses abonnés étant donné que la probabilité associée au test de student reste inférieure au seuil de significativité de 5%. Ainsi, tout accroissement d’une unité monétaire de créance entraine une hausse de la rentabilité de 0,058 USD. Enfin, au vue de la probabilité associée au test de Fisher qui, a demeuré inférieure au seuil de rejeter à tort de 5%.
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Bouzid, Amel, Karima Boudedja, Foued Cheriet, Mehdi Bouchetara, and Ahmed Mellal. "Facteurs influençant l’adoption de l’innovation en agriculture en Algérie. Cas de deux cultures stratégiques : le blé dur et la pomme de terre." Cahiers Agricultures 29 (2020): 15. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020013.

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Abstract:
Cet article tente de répondre à la question suivante : au-delà des caractéristiques de l’exploitation agricole, quels sont les autres facteurs qui influencent les différents types d’innovation dans les filières stratégiques de l’agriculture algérienne ? En effet, la politique algérienne actuelle ambitionne de moderniser les filières stratégiques pour accroître la production, substituer la production nationale à l’importation et augmenter le volume des exportations. Ce travail de recherche porte sur l’innovation agricole adoptée par les producteurs de blé dur et les producteurs de pomme de terre. Pour cela, nous avons réalisé une enquête auprès d’une centaine d’agriculteurs et des entretiens qualitatifs auprès d’acteurs locaux du développement et de l’accompagnement agricoles. Les résultats obtenus montrent que le niveau d’innovation dans les techniques agricoles conventionnelles est appréciable : adoption de la rotation des cultures, introduction de nouveaux produits phytosanitaires, de désherbants et de fertilisants pour le blé dur ; adoption de nouvelles variétés, introduction de nouvelles machines et techniques de plantation pour la pomme de terre. Par contre, les innovations en matière de marketing, de commercialisation ou de techniques durables sont inexistantes pour le blé dur, alors que certaines innovations en matière d’organisation et de marketing sont observées chez les producteurs de pomme de terre. Globalement, ces derniers présentent une autonomie financière, sont plus jeunes, plus instruits et exploitent de plus grandes superficies que les producteurs de blé dur, ce qui semble expliquer leur propension à innover davantage. Enfin, les résultats suggèrent que les politiques de subvention et de garantie de la commercialisation pour les producteurs de blé dur freineraient l’innovation dans cette filière, alors que la forte concurrence entre régions nord et sud stimulerait l’innovation chez les producteurs de pomme de terre. À l’inverse, le statut non sécurisé du foncier dans cette dernière filière agirait comme un frein à l’innovation et aux investissements de long terme.
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Baumann, P. "Pharmacovigilance en psychiatrie : données récentes." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 661–62. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.047.

Full text
Abstract:
Le manque d’introduction de nouveaux médicaments psychotropes dont l’effet pharmacologique est basé sur des mécanismes innovants nous oblige à utiliser au mieux ceux actuellement disponibles. En effet, le nombre d’hospitalisations suite à des effets adverses de médicaments est impressionnant. D’autre part, les comorbidités psychiatriques et somatiques, une réponse insuffisante à un seul agent thérapeutique exigent une association médicamenteuse parfois abondante, qu’il s’agit de gérer au mieux afin d’éviter des effets indésirables. D’ailleurs, la législation exige qu’ils soient déclarés aux autorités sanitaires.Le symposium a pour but de faire le point sur les données récentes de la pharmacovigilance en psychiatrie, par un résumé sur les obligations légales, la présentation de travaux internationaux récents dans des domaines spécifiques de la pharmacovigilance des psychotropes : hépatotoxicité des antidépresseurs [1], hématotoxicité des antipsychotiques, prolongation de l’intervalle QT associée aux médicaments psychotropes [2]. Les schémas de contrôle sanguin hebdomadaire des neutrophiles obligatoire pour tout patient recevant de la clozapine varient considérablement sur le long terme selon les pays. Le NNT est > 5000 patients pour escompter une vie sauvée d’une septicémie liée à une neutropénie sévère (agranulocytose) : les investissements se montent à plusieurs million d’Euros par année de vie gagnée ajustée à la qualité de vie (QALY). En revanche, l’ECG, peu employé en psychiatrie, se révèle nettement plus coût-efficace pour prévenir la mort suite liée à une arythmie induite par les psychotropes (torsades de pointe). Enfin, le projet de pharmacovigilance (Arzneimittelsicherheit in der Psychiatrie [AMSP]) mis en place dans des pays germanophones [3] sera présenté et illustré par des exemples d’études de pharmacovigilance.
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Blondel, Christine. "Investissement à long terme et capitalisme familial." Revue d'économie financière 108, no. 4 (2012): 57. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.108.0057.

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Drèze, Jacques H., and Edmond Malinvaud. "Croissance et emploi : l'ambition d'une initiative européenne." Revue de l'OFCE 49, no. 2 (June 1, 1994): 247–88. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.49n1.0247.

Full text
Abstract:
Résumé Depuis bientôt vingt ans, le chômage européen est un problème social majeur et le signe d'une importante sous-utilisation des ressources à une époque où existent bien des besoins insatisfaits. Alors que l'emploi a crû de près de 6 % entre 1987 et 1990 dans la Communauté Européenne des douze, le taux de chômage dépasse à nouveau 10 % et s'élève. Même selon des prévisions raisonnablement optimistes (un taux de croissance de 2,5 à 3 %) le taux de chômage dépassera 10 % durant au moins quatre ou cinq ans. Cette note prend position sur les politiques de court, moyen et long terme que nous considérons comme les mieux aptes à promouvoir la croissance et l'emploi en Europe Occidentale. Nous prétendons qu'actuellement une politique budgétaire active ne paraît pas constituer un instrument adéquat pour la stabilisation économique à court terme. L'attention devrait plutôt se concentrer sur la consolidation structurelle à moyen terme des budgets, un objectif négligé durant l'expansion de la fin des années 80. Mais nous plaidons pour une stimulation monétaire, à obtenir par une forte réduction des taux d'intérêt nominaux à court terme ; nous proposons le niveau de référence zéro pour les taux d'intérêt réels à court terme, pour aussi longtemps que l'on n'observe pas clairement que la reprise est engagée. S' agissant des politiques de moyen terme, nous recommandons deux ensembles de mesures relatifs respectivement aux coûts du travail et à l'investissement. Nous notons que le chômage élevé se concentre fortement sur les travailleurs non qualifiés. De plus nous trouvons la preuve d'un désaccord croissant entre les structures par qualifications de l'offre et la demande de travail, la composition de celle-ci se modifiant vite au détriment des travailleurs non qualifiés. Cette observation justifie que l'on investisse dans l'enseignement et la formation. Nous considérons qu'elle justifie aussi des mesures visant à réduire le coût du travail non qualifié par rapport aux coûts du travail qualifié et du capital. Un élément important du coût du travail est constitué par des impôts et contributions sociales, qui entraînent un écart, particulièrement substantiel pour le travail non qualifié, entre le coût pour les employeurs et le coût d'opportunité pour la société — de 30 % à 50 % dans les pays de la Communauté. Nous prétendons que le moment est venu de réduire cet écart et nous proposons d'exempter le salaire minimum des contributions sociales à la charge des employeurs. Cela peut se faire soit en percevant de telles contributions, pour tout salaire, sur la part excédant le salaire minimum, soit en introduisant une exonération dégressive s'élevant à 100 % au niveau du salaire minimum et décroissant linéairement jusqu'à zéro au niveau double. La première modalité implique une réforme substantielle des systèmes fiscaux, car son coût direct s'élève à environ 3,2 % du PIB en moyenne dans la Communauté, avec des différences importantes suivant les pays. En revanche, le coût de la seconde modalité est plutôt de l'ordre de 1,2 % du PIB. Dans les deux cas, des ressources de remplacement doivent être trouvées pour la sécurité sociale. Une source naturelle serait l'impôt sur les émissions de CO2 qui est actuellement examiné par les pays de la Communauté (avec un rendement estimé de l'ordre de 1 à 1,3 % du PIB). Une autre source résiderait dans un relèvement des taux de la TVA. Pour la définition exacte, la mise en œuvre et le financement de cette mesure, il y a évidemment place à des mesures spécifiques aux divers pays. Les simulations économétriques faites en France et en Belgique concernant les exonérations de taxes sur le travail, doivent être considérées comme imprécises. En termes généraux elles confirment nos idées selon lesquelles il ne faut certes pas espérer un miracle, mais des gains appréciables en emploi peuvent être attendus à moyen terme, sans coût budgétaire, si notre proposition est appliquée sans timidité. A propos de l'investissement, nous reconnaissons que des capacités inutilisées limitent les perspectives immédiates d'équipe- ment des entreprises. Mais nous prétendons que des ressources inemployées peuvent être mobilisées pour des investissements riches en travail, qui auraient des rendements sociaux adéquats et contribueraient de plus à soutenir la demande globale. C'est aussi la logique de l'initiative d'Edimbourg, où les réseaux trans-euro- péens ont reçu la priorité, ainsi que les petites entreprises. Nous prétendons cependant que l'ensemble convenu à Edimbourg est insuffisant. Un programme d'investissement dont le montant correspondrait aux efforts à venir pour la consolidation structurelle des budgets ne créerait pas de tension sur les marchés du capital, tout en compensant le retard pris par les investissements publics dans la décennie passée. Nous avançons le chiffre de 250 milliards d'Ecus (soit grosso modo huit fois l'objectif d'Edimbourg) comme un but réaliste à moyen terme. Nous proposons de privilégier aussi des domaines tels que le logement pour les ménages à bas revenus, la rénovation urbaine et les transports urbains. Afin de stimuler les investissements ainsi visés, nous suggérons que l'on s'en remettre surtout aux subventions à l'emploi, en proportion du contenu en travail des projets retenus. Une telle disposition renforcerait, voire anticiperait, sur notre proposition précédente destinée à réduire les coûts du travail ; elle aurait surtout pour effet d'élargir l'ensemble des projets attractifs pour des investisseurs privés et des autorités locales. De plus un meilleur accès au marché du capital devrait être recherché grâce à la collaboration d'intermédiaires institutionnels, à l'accroissement des missions de la Banque Européenne d'Investissement, à l'extension ou à la duplication du Fonds Européen d'Investissement. Notre discussion des problèmes structurels se concentre sur les principes de base. Nous insistons d'abord sur les effets défavorables des incertitudes actuelles qui touchent non seulement certains taux d'inflation, d'intérêt et de change, mais aussi les évolutions institutionnelles dans le domaine monétaire, y compris la tentation récurrente de dévaluations compétitives. Nous ne choisissons pas un programme politique spécifique. Mais nous proclamons que réduire les incertitudes institutionnelles à propos des monnaies constitue un objectif important en lui-même. Il devrait être poursuivi activement, afin d'engager l'Europe monétaire sur une voie plus prometteuse pour l'emploi qu'un retour à des taux de change flottants libres entre les monnaies d'économies relativement petites et intégrées entre elles par d'étroits liens commerciaux. Nous examinons ensuite les finances publiques et l'Etat-provi- dence, en reconnaissant que plusieurs pays ont besoin d'une consolidation structurelle de leurs budgets et qu'il existe des éléments de déception quant aux effets des régimes sociaux. Etudiant la logique économique de l' Etat-providence, nous concluons que les réformes à réaliser devraient viser à le rendre plus svelte et plus efficace, non à le démanteler. Pour cela il faut revoir à fond l'efficacité opérationnelle et distributive des programmes existants, afin d'atteindre deux objectifs difficilement compatibles : réduire dans la plupart des pays la part des transferts sociaux dans le PIB, renforcer la protection des plus mal dotés. Les économistes devraient intensifier leur participation aux recherches destinées à relever cet important défi. Enfin, nous tirons les conséquences salariales d'une Initiative Européenne de Croissance visant à une période d'expansion soutenue, donnant la priorité à l'emploi par rapport aux salaires réels. Nous estimons qu'un schéma réaliste associe une croissance de la production de plus de 3 % l'an à une augmentation de l'emploi de plus de 1 % l'an. Cela laisse une marge d'au plus 2 % pour les salaires réels. Etant donné la présence du glissement salarial, le calcul semble conduire à des accords négociés avec des taux réels à peu près constants. Ce schéma est-il réaliste ? Nous soulevons alors la question controversée du rôle que peuvent jouer sur les salaires les poids comparés des impôts sur le capital et le travail. Nous reconnaissons que la baisse de la part des salaires au cours des années 80 a été accompagnée d'une augmentation de la part des revenus d'intérêt, qui dans de nombreux cas sont peu taxés, notamment en raison de la mobilité des capitaux et d'une concurrence fiscale entre pays. A défaut de déclarations systématiques, un prélèvement à la source uniforme au niveau européen, est le seul moyen de corriger ce déséquilibre en faveur des revenus d'intérêt. La question de savoir si un tel prélèvement est ou non désirable en lui-même de façon permanente est débattue entre spécialistes de la fiscalité. Le débat devrait être élargi pour tenir compte de ce que l'équité dans le traitement fiscal du capital et du travail pourrait contribuer de façon significative à la modération salariale, bien qu'il soit prématuré de considérer les preuves empiriques comme concluantes à cet égard. Nous espérons avoir identifié un ensemble de mesures formant un tout cohérent et avoir défini une initiative ayant la taille du problème qui nous confronte. Ces mesures ont des implications budgétaires conduisant à réallouer quelques pour cent du PIB, donc davantage qu'on l'envisage habituellement. Et elles relèvent de la responsabilité d'un vaste ensemble d'institutions qui ne sont pas engagées dans une coordination systématique de leurs politiques. De sérieux problèmes devraient ainsi être résolus pour une mise en œuvre. Nous en appelons aux responsables politiques pour qu'ils fassent preuve d'audace et de détermination en affrontant ces problèmes. Et nous en appelons aux économistes des milieux académiques pour qu'ils participent activement à la définition et à la promotion d'une initiative européenne ambitieuse.
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Richard, Sylvie. "Le Grand Carénage, pierre angulaire de l’exploitation à long terme." Revue Générale Nucléaire, no. 2 (2023): 24–27. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20232024.

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Abstract:
Pour passer la visite des 40 ans et viser les 60 ans d’exploitation, EDF a engagé un investissement massif sur l’ensemble de son parc nucléaire : le programme Grand Carénage. Un chantier colossal, inédit et qui permet d’envisager l’exploitation à long terme des réacteurs.
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LIENARD, G., M. LHERM, M. C. PIZAINE, J. Y. LE MARECHAL, B. BOUSSANGE, and J. F. BELARD. "Adaptation des élevages de bovins allaitants. Références sur 10 ans (1989-1999) d’un groupe d’éleveurs du Limousin." INRAE Productions Animales 15, no. 4 (September 15, 2002): 273–91. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.4.3708.

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Abstract:
L’étude présente l’évolution adaptative d’un échantillon constant d’exploitations d’élevage de bovins allaitants en race Limousine, sur 10 années. Cette période est particulièrement mouvementée, car elle comprend les quatre dernières années précédant la première réforme de la PAC, les trois années de sa mise en place, la première crise de l’ESB et les deux années de rétablissement qui suivirent. Cinq situations sont représentées dans l’échantillon : i/ des élevages Naisseurs vendant leurs veaux en broutards de 7 à 9 mois, et pour certains des reproducteurs mâles et femelles, ceci dans deux régions différant par l’altitude et les potentialités agronomiques, le Plateau de Millevaches (700-800 m) et la Moyenne Corrèze (300-600 m) - ii/ des Naisseurs engraissant la totalité de leurs bovins, mâles, génisses et vaches, dans des zones se prêtant mieux aux cultures et au maïs fourrage. L’étude est réalisée dans une optique de références, pouvant servir de repères pour le futur, déjà engagé par la mise en place de la deuxième réforme de la PAC (Agenda 2000) et l’irruption de la deuxième crise de l’ESB en octobre 2000, qui se prolonge. L’analyse met en évidence l’excellente aptitude à la production de viande de la race, à la fois par sa bonne productivité en veaux et sa capacité à produire des bovins de boucherie d’âges très variés, dès 11 à 12 mois, ce qui permet des adaptations rapides aux changements de marché. L’étude montre aussi la grande diversité des systèmes de conduite possibles permettant la mise en valeur des territoires soit dans une optique d’occupation d’un espace menacé d’abandon - c’est le cas des zones d’altitude - soit dans un objectif de maintien d’un haut niveau d’emploi grâce à une intensification des troupeaux et des sols qui peut être menée avec des charges très contenues, sauvegardant une forte autonomie fourragère tout en restant éloigné des risques de pollution des eaux. La présentation des trajectoires d’évolution de chaque exploitation permet seule de mettre en lumière le rôle prépondérant des aspects humains et familiaux, notamment l’âge de l’éleveur et les perspectives de succession à plus ou moins long terme, pour les décisions de développement, la croissance des troupeaux, leur amélioration génétique, les investissements et l’endettement. L’adaptation au nouveau contexte créé par la deuxième réforme de la PAC et la deuxième crise de l’ESB est discutée, avec le maintien de l’installation des jeunes comme enjeu majeur pour l’avenir.
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do Nascimento, Nena, Amarynth Sichel, Adele Waugaman, Joy Kamunyori, Robert Rosenbaum, Jessica Shearer, Emily Carnahan, et al. "Learning from digital health investments during COVID-19 vaccine program implementation: a research collaboration and theory of change." Oxford Open Digital Health 2, S1 (2024): i7—i15. http://dx.doi.org/10.1093/oodh/oqae005.

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Abstract:
Abstract Responses to recent epidemics provide critical lessons on how the use of digital technologies and data systems can support timely and evidence-driven responses to public health emergencies. The arrival of COVID-19 and, subsequently, the COVID-19 vaccine, compelled many countries to attempt to create digitized, individual-level records on a large scale and quickly. In 2022, the United States Agency for International Development (USAID) brought together four global USAID-funded projects to explore whether and how USAID’s COVID-19 vaccine data and digital health investments supporting the emergency response strengthened the digital health enabling environment and, by extension, contributed to broader health system strengthening. Each project designed and implemented individual learning activities aligned to their specific USAID-funded COVID-19 vaccine response activities. The group collaboratively developed a theory of change to explore the potential relationship between COVID-19 vaccine-related digital and data investments and their immediate COVID-19 response, as well as two intermediate- and longer-term impact pathways: one focused on COVID-19-specific outcomes and impact, and a second focused on strengthening the digital health enabling environment and broader health system. The focus of this supplement is primarily to explore the theory of change associated with this latter pathway. Recognizing that health emergencies triggered by shocks due to disease outbreaks, climate change and conflict are likely to continue to characterize the environment in which health programs are delivered, this research seeks to contribute to a better understanding of how digital technologies and data systems can be most effectively leveraged to meet immediate needs while strengthening country resilience over the long term. Abrégé Les réponses aux récentes épidémies ont permis de tirer d’importants enseignements sur la façon dont le recours aux technologies numériques et aux systèmes de données peut appuyer le déclenchement rapide d’interventions fondées sur des éléments probants contre les urgences de santé publique. L’arrivée de la COVID-19 et, par la suite, celui du vaccin contre la COVID-19 ont contraint de nombreux pays à tenter de créer des dossiers numérisés au niveau individuel à grande échelle et rapidement. En 2022, l’United States Agency for International Development (USAID) a rassemblé quatre projets mondiaux qu’elle finançait dans le but d’explorer si et comment les données de l’USAID relatives au vaccin contre la COVID-19 ainsi que les investissements en santé numérique appuyant la réponse d’urgence avaient renforcé l’environnement propice à la santé numérique et, par extension, s’ils avaient contribué au renforcement du système de santé dans son ensemble. Chaque projet a conçu et mis en œuvre des activités d’apprentissage individuelles alignées sur leurs activités spécifiques de riposte au vaccin contre la COVID-19 financées par l’USAID. Le groupe a collaboré pour élaborer une théorie du changement afin d’étudier la relation potentielle entre les investissements dans le numérique et dans les données liées au vaccin contre la COVID-19 et leur réponse immédiate à la COVID-19 ainsi que deux itinéraires d’impact à moyen et à long terme: l’un était axé sur l’impact et les résultats spécifiques à la COVID-19 et le second sur le renforcement de l’environnement propice à la santé numérique et du système de santé dans son ensemble. Ce supplément a pour objectif principal d’examiner la théorie du changement associée à ce dernier itinéraire. Reconnaissant qu’il est probable que les conflits, les changements climatiques et les urgences sanitaires causées par des chocs dus à des épidémies continueront de caractériser l’environnement dans lequel sont offerts les programmes de santé, cette recherche vise à mieux faire comprendre la façon dont les technologies numériques et les systèmes de données peuvent être exploités le plus efficacement possible pour répondre aux besoins immédiats tout en renforçant la capacité de résilience des pays sur le long terme. Resumen Las respuestas a las epidemias recientes proporcionan lecciones críticas sobre cómo se puede apoyar respuestas oportunas y de base empírica a las emergencias de salud pública mediante el uso de tecnologías digitales y sistemas de datos. La llegada de la COVID-19 y, posteriormente, la vacuna contra esa enfermedad, obligó a muchos países a tratar de crear registros individuales digitalizados, a gran escala y rápidamente. En 2022, United States Agency for International Development (USAID) reunió cuatro proyectos globales que había financiado para estudiar si sus datos sobre la vacuna contra la COVID-19 y las inversiones en salud digital en apoyo de la respuesta de emergencia habían fortalecido el entorno propicio para la salud digital y, por extensión, si habían contribuido a fortalecer el sistema de salud en general, y de qué forma lo habían hecho. En cada proyecto se habían diseñado e implementado actividades de aprendizaje individuales, acordes con las actividades específicas de respuesta vacunal financiadas por USAID. El grupo desarrolló en forma colaborativa una teoría del cambio para analizar la posible relación entre las inversiones digitales y de datos y la vacuna contra la COVID-19 y su respuesta inmediata a la pandemia, así como dos vías de impacto a mediano y largo plazo: una primera centrada en los resultados y efectos específicos en la pandemia, y una segunda centrada en fortalecer el entorno propicio para la salud digital y un sistema de salud más amplio. El enfoque de este suplemento consiste principalmente en examinar la teoría del cambio vinculada con esta última vía. Reconociendo que es probable que las emergencias sanitarias provocadas por los brotes de enfermedades, el cambio climático y los conflictos continúen caracterizando el entorno en el que se ejecutan los programas de salud, esta investigación busca ayudar a que se comprenda mejor la forma en que las tecnologías digitales y los sistemas de datos pueden aprovecharse de manera más efectiva para satisfacer las necesidades inmediatas, fortaleciendo la resiliencia de los países a largo plazo.
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Gritli, Mohamed Ilyes, and Fatma Marrakchi Charfi. "Taux d'intérêt et investissement privé en Tunisie: Asymétrie à court terme et symétrie à long terme." African Development Review 31, no. 1 (March 2019): 43–57. http://dx.doi.org/10.1111/1467-8268.12362.

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Nadal, Alejandro, and Francisco Aguayo. "Use or destruction: on the economics of ivory stockpiles." Pachyderm 57 (July 21, 2016): 57–67. http://dx.doi.org/10.69649/pachyderm.v57i.391.

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Abstract:
This paper examines the economic arguments surrounding the fate of ivory stockpiles. It centres on the polarized debate between their destruction and various schemes of how to put them to economic use in the context of conservation policy. In section I we examine the policy option consisting in the destruction of ivory stockpiles. We argue that maintaining stockpiles in place supports expectations of a future stable supply of ivory. The self-reinforcing effects from the combination of these expectations, sunken investments and the creation of new market-associated institutions can contribute to a lock-in process in a trajectory of consolidated and expanding ivory trade. Section II focuses on arguments that favour the strategic use of stockpiles as a deterrent against speculators. We show that results of economic models that recommend this option (including models on extinction scenarios) are heavily dependent on simplifying assumptions about key market interactions and on logically inconsistent notions. In section III we examine the case for selling stockpiles in a legal market as a policy instrument to reduce poaching. We show that the economic analysis used to support this recommendation is deficient on many grounds. Its theoretical foundations are flawed and it abstracts from crucial aspects of market structures and dynamics of price formation. Our conclusions hinge around the fact that in the present context destroying ivory stockpiles is the best option to reduce poaching in the long term. Cet article examine les arguments économiques relatifs au sort des stocks d’ivoire. Il se focalise sur le débat polarisé entre leur destruction et les différentes propositions concernant leur utilisation économique dans un contexte d’une politique de conservation. Dans la première partie nous examinons l’option qui consiste à détruire les stocks d’ivoire. Nous soutenons que le maintien des stocks en place encourage les anticipations sur une offre d’ivoire stable dans l’avanir. Les effets auto-renforçant qui résulteraient de la combinaison de ces anticipations, des investissements déjà faits et la création des institutions de marché nouvelles pourraient contribuer à un processus qui renfermerait les agents économiques dans une trajectoire de commerce de l’ivoire á la fois consolidé et élargi. La Partie II traite les arguments favorisant l’utilisation stratégique des stocks comme un facteur de dissuasion contre les spéculateurs. Nous montrons que les résultats des modèles économiques qui recommandent cette option (y compris les modèles de scenarios sur l’extinction) dépendent des hypothèses simplificatrices sur les interactions clés du marché et des notions logiquement contradictoires. Dans la Partie III nous examinons la proposition de vendre les stocks sur le marché légal comme un instrument de politique visant à réduire le braconnage. Nous montrons que l’analyse économique utilisée pour appuyer cette recommandation est déficiente pour de nombreuses raisons. Ses fondations théoriques sont incorrectes et elle laisse de côté des aspects cruciaux des structures de marché et des dynamiques de la formation des prix. Nos conclusions ressortent du fait que dans le contexte présent, détruire les stocks d’ivoire est la meilleure option pour réduire le braconnage dans le long terme.
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Jaillet, Pierre. "Investissement à long terme : enjeux pour la croissance, la stabilité monétaire et financière." Revue d'économie financière 108, no. 4 (2012): 169. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.108.0169.

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Boillot, Jean-Joseph. "Épargne et investissement dans le décollage de l'Inde : les défis du financement de long terme." Revue d'économie financière 107, no. 3 (2012): 19. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.107.0019.

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Figuières, Charles, Philippe Gardères, and Frédéric Rychen. "Infrastructures publiques et politiques de développement décentralisées." Articles 78, no. 4 (January 19, 2005): 539–70. http://dx.doi.org/10.7202/007264ar.

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Abstract:
Résumé Cet article apporte une contribution théorique au débat sur le sous-investissement en capitaux publics. Il utilise pour cela un jeu différentiel d’accumulation de capitaux entre deux collectivités. Dans ce jeu l’équilibre de Nash en boucle ouverte et la solution centralisée du jeu convergent à long terme vers un régime stationnaire. Dans le long terme nous étudions la nature de l’inefficacité de l’équilibre de Nash en prenant comme référence la solution centralisée utilitariste. Lorsque les stocks d’infrastructures sont des compléments stratégiques, les collectivités surinvestissent (sous-investissent) en présence d’externalités négatives (positives). Lorsque les stocks d’infrastructures sont des substituts stratégiques, les mêmes résultats restent vrais si les collectivités sont similaires. En revanche, nous montrons dans un exemple que lorsque les collectivités ont des structures de coûts assez différentes, la collectivité qui a le coût le plus faible sous-investit tandis que la collectivité qui a le coût le plus fort surinvestit. Nous discutons ensuite brièvement les implications de ces résultats en termes de politiques économiques.
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Marimoutou, Velayoudom, Éric Girardin, and Christian Bordes. "Les effets des variations de taux d'intérêt dans le nouvel environnement financier français." Revue économique 46, no. 3 (May 1, 1995): 635–44. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1995.46n3.0635.

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Abstract:
Résumé Nous étudions dans quelle mesure les effets des variations de taux intérêt court terme ou long terme sur les composantes de la demande globale se sont trouvés modifiés en France par la déréglementation financière du milieu des années quatre-vingt utilisation un modèle VAR bayes/en permet de remédiera la faible longueur de échantillon postérieur la libéralisation financière Globale ment cette déréglementation semble avoir réduit la capacité de la politique de taux intérêt engendrer une variation du PIB inverse investissement des ménages et des sociétés serait devenu nettement plus sensible aux variations de taux.
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Rajamarison, Docteur Lazanoe. "Essai de Détermination d’une Fonction d’Epargne Nationale pour Madagascar, Approche Econométrique." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 39, no. 1 (June 30, 2023): 386. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v39.1.5434.

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Abstract:
Dans le contexte actuel ou l’economie du marche domine presque la majorit´e de l’activite de production, le passage de chaque pays par le syst`eme lib´eral est incontournable. Ainsi, la mise en place d’un marche financier devient une pr´eoccupation de nombreuse ´economie dont Madagascar figure parmi les pays qui ; (depuis l’ann´ee 2009), devrait ´eriger ce systeme.Parler de marche financier suscite l’idee d’un lieu de rencontre entre Offre d’epargne et de Demande de capitaux, longtemps precise par les theoriciens ´economiques d’un endroit ou le liberalisme economique et financier retrouve son ultime apogee. Il doit y avoir, par voie de consequence, une certaine potentialite au niveau des acteurs du marche, mais ce qui nous pr´eoccupe en ce qui concerne ce concept, c’est la capacite que repr´esente l’Offre › d’epargne sur le marche. Pour ce qui est de la Demande cela est d´eja effectue il y a des annees par des experts et faisait l’objet d’une ´etude sp´ecifique sur le projet ayant les mˆemes objectifs que la philosophie d’une ´edification d’un march´e financier. Certes, le march´e peut ˆetre mis en place, mais est-ce qu’il peut g´erer, voire drainer, la ca- pacit´e d’´epargne du pays ? C’est cette question qui - dans le pass´e - est d´ej`a trait´ee par une autre ´etude, induit un nouveau probl´ematique relatif au potentiel d´eterminants de l’´epargne nationale; objet mˆeme de l’existence du-dit march´e. D’apr`es la th´eorie orthodoxe, l’´epargne est le solde entre le revenu et la consommation glo- bale, et n’est expliqu´ee, par ailleurs, que par le niveau de l’investissement ; or on sait que dans la r´ealit´e, le comportement d’un agent ´economique dans l’utilisation de son revenu est dict´e par plusieurs param`etres. Il est alors n´ecessaire de pr´eciser que l’approche th´eorique relative a` l’´epargne est insuffisant si on ne se r´ef`ere qu’au structure ´economique des pays en voie de d´eveloppement dont Madagascar fait partie. Il faut dire que la relation I=S, fr´equemment uti- lis´e par les ´economistes th´eoriciens occidentaux, demeure trop simpliste et doit ˆetre compl´et´ee par d’autres facteurs, ´etant donn´e que pour financer ces investissements, les pays en voie de d´eveloppements font imp´erativement recours a` d’autres types de financements. Ainsi d´emontr´e, Il nous appartient, dans cet article, de chercher les diff´erentes variables qui d´eterminent le niveau de l’´epargne nationale malagasy, et de concevoir en cons´equence, une fonction d’´epargne nationale conform´ement a` l’exigence de notre ´economie. Une corr´elation doit ˆetre, a` cet effet, ´etablie entre la part de l’´epargne nationale par rapport au PIB, et les diff´erentes variables exog`enes y aff´erentes. En ce qui concerne les exp´eriences d’autres pays pour ce qui est de la formation d’une fonction d’´epargne, quelques auteurs comme Kavatri et Diaw ont pour leur part essay´e de mener des ´etudes sur les ´economies du S´en´egal et du Rwanda, et ont r´eussi a` d´egager une fonction d’´epargne nationale pour ces pays respectifs. Bien que ces pays, aient a` peu pr`es la mˆeme structure ´economique que Madagascar quinze ans auparavant, on pense que les variables obtenue dans ces pays pourront nous aider a` indiquer une piste pour celui de Madagascar. En proc´edant a` des techniques ´econom´etriques et a` l’estimation de la fonction d’´epargne malagasy, on a observ´e qu’elle est influenc´ee par le FBCF, le taux de change effectif r´eel, le service de la dette, le PNB par habitant et enfin le taux d’int´erˆet r´eel. Ces variables influences a` long terme le niveau de l’´epargne nationale a` Madagascar.Dans le court terme, par contre, l’´epargne nationale malagasy est expliqu´ee par le FBCF priv´e et public, les recettes fiscales, le taux d’inflation, le service de la dette et enfin le taux de crois- sance ´economique. Une autre relation nous a permis ´egalement de d´egager que la propension marginale a` ´epargner s’´el`eve a` un taux de 43% a` Madagascar. Enfin, par rapport a` ces r´esultats, nous avons ´emis dans cet article un certain nombre de recommandations afin de bien mener une politique de croissance sans pour autant se perdre dans le processus de l’´evolution de notre capacit´e d’´epargne nationale.
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Berdot, Jean-Pierre, Gérard Kébabdjian, and Jacques Léonard. "Corrélations investissement-épargne et mobilité internationale des capitaux." Recherches économiques de Louvain 69, no. 1 (2003): 5–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800006515.

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Abstract:
RésuméOn admet généralement que la mobilité internationale serait devenue très forte à la suite de la libéralisation et de l'intégration financière des vingt dernières années. De façon surprenante, la plupart des travaux empiriques « à la Feldstein-Horioka » ne valident cette hypothèse. Une reconsidération de ces estimations conduit toutefois à des résultats neufs. Les tests, même classiques, confortent l'idée d'un accroissement à long terme de la mobilitéet la tendance s'est accentuée depuis le début des années quatre-vingt. Tous les pays industrialisés, grands ou petits, sont concernés par cette augmentation; la globalisation financière marque néanmoins une frontière entre ces pays et les pays émergents pour lesquels l'investissement demeure dépendant de l'épargne intérieure. Dans l'ensemble, la décorrélation entre investissement et épargne se manifeste par une plus grande autonomie des flux de capitaux. La relation linéaire entre investissement et épargne pivote autour d'un point fixe représenté par le taux d'épargne mondial. Le positionnement des pays par rapport à ce point fixe permet d'établir une typologie robuste qui remet en cause l'idée reçue selon laquelle tous les pays seraient égaux devant la globalisation financière.
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Cette, Gilbert, Sophie Garcia, and Jean-Pierre Villetelle. "La croissance potentielle de l’économie française à l’horizon 2050." Économie appliquée 59, no. 2 (2006): 165–77. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2006.1804.

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Abstract:
À long terme, les évaluations de croissance potentielle dépendent de nombreux facteurs, liés à l’emploi et aux tendances de la productivité. L’originalité des évaluations présentées ici est défaire intervenir de plus la dynamique du prix relatif de l ’investissement par rapport à celui du PIB, cette déformation pouvant trouver sa source dans la diffusion des technologies de l’information et de la communication. Ces évaluations aboutissent à des fourchettes assez larges, dans lesquelles la dynamique du prix relatif contribue pour 1/2 à 3/4 de point de croissance par an.
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Bonetto, Fabienne. "Équilibres multiples et poids de l’histoire: Quelle responsabilité pour la politique économique?" Panoeconomicus 54, no. 2 (2007): 159–84. http://dx.doi.org/10.2298/pan0702159b.

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Abstract:
(francuski) En formalisant une dynamique ? effets de seuil, les mod?les ? ?quilibres multiples enrichissent le paradigme de la croissance endog?ne; l?objectif de cet article est de montrer qu?ils renforcent ?galement la responsabilit? de la politique ?conomique. En effet, d?s lors que les conditions initiales s?lectionnent l??quilibre de long terme, l?histoire de la politique publique d?investissement (au sens large) devient d?terminante. Par ailleurs l?intervention publique peut permettre la sortie de la trappe de pauvret?. Sur la p?riode 1970-1995, nous testons l?hypoth?se d?effets de seuil en liaison avec le niveau initial du stock de capital (au sens large) d?velopp? par l??tat. Nos r?sultats empiriques sugg?rent un r?le pour la politique publique dans la diff?renciation des r?gimes de convergence de sorte que la relation entre la croissance et la politique ?conomique n?est pas n?cessairement lin?aire.
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Moussavou, Ferdinand. "Investissements Directs Étrangers et Croissance Économique au Congo-Brazzaville : une Étude par L'approche Vectorielle À Correction D'erreur (Vecm) Pour la Période de 1980 à 2016." Revue Internationale des Économistes de Langue Française 6, no. 1 (2021): 213–33. http://dx.doi.org/10.18559/rielf.2021.1.11.

Full text
Abstract:
This article analyzes the effects of foreign direct investment on economic growth in Congo-Brazzaville over the period from 1980 to 2016. The empirical analysis is based on the vector error correction model (VECM). The results show that in the short term, human capital, net investments and the exchange rate impact economic growth. In the long run, economic growth is affected by foreign direct investment, human capital, terms of trade, net investment, the exchange rate and domestic credits distributed to the private sectors. Moreover, in the short and long term, the econometric results show that human capital, net investments and the exchange rate influence this growth. These results have important implications for economic policy in Congo-Brazzaville
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Giuliano, Romina, and Carole Monaco. "Pratiques socialement responsables et investisseurs institutionnels : une conciliation possible ?" Management & Sciences Sociales N° 17, no. 2 (July 1, 2014): 4–25. http://dx.doi.org/10.3917/mss.017.0004.

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Abstract:
L’objectif de cet article est d’analyser dans quelle mesure les notions d’investisseurs institutionnels et d’investissements socialement responsables peuvent être complémentaires. Pour cela, nous nous focalisons sur le cas précis du fond d’investissements français Eurazeo. À travers la méthodologie développée dans le cadre de cette recherche qui consiste, d’une part, à analyser le contenu des rapports d’activité d’Eurazeo pour les trois dernières années et d’autre part, à réaliser une analyse linguistique de la partie RSE de son rapport d’activité, nous tentons de montrer qu’en plus de se positionner en tant qu’investisseur institutionnel actif, Eurazeo se considère comme un investisseur socialement responsable. En effet, Eurazeo se présente comme un institutionnel long-termiste-actif, dont le métier est d’accompagner les sociétés et équipes dirigeantes sur le long terme. Par ailleurs, au-delà de sa volonté de rentabiliser son investissement initial, la mission d’Eurazeo consiste à transformer les sociétés au sein desquelles elle investit. Par ailleurs, d’après la cartographie de Le Saout et Buscot (2009), Eurazeo se trouverait dans la catégorie des fonds dits «activistes » de par sa capacité à se soucier de l’éthique des entreprises. Enfin, l’analyse sémantique de la partie RSE du rapport d’activité d’Eurazeo permet de constater qu’il existe une interaction forte entre la RSE et Eurazeo .
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Ndiaye, Amath, and Komlan Amen Dogbe. "Régimes de change et croissance économique dans la communaute économique des états de l'Afrique de l'Ouest." La Revue Internationale des Économistes de Langue Française 4, no. 2 (December 30, 2019): 46–71. http://dx.doi.org/10.18559/rielf.2019.2.3.

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Abstract:
L ' objectif ici est d ' étudier l ' effet du régime de change sur la croissance du revenu par tête des pays de la CEDEAO, à partir des données de panel couvrant la période 2000- 2015.L ' étude s ' appuie sur la méthode des moments généralisés en système, pour mettre en relief, qu ' en dehors des fluctuations conjoncturelles, le régime de change, qu ' il soit fixe ou flexible, n ' a pas d ' influence sur la croissance du revenu par tête des pays de la CEDEAO. D ' après nos résultats, le régime de change fixe exerce un effet négatif mais conjoncturel sur la croissance du revenu par tête des pays de l ' UEMOA, tandis que, pour les pays de la ZMOA, l ' effet du régime flexible sur la croissance reste positif mais conjoncturel. A long terme, les déterminants structurels de la croissance du revenu par tête dans les pays de la CEDEAO sont l ' écart de production, la valeur ajoutée de l ' agriculture et l ' investissement. Le régime de change n ' est pas un déterminant structurel de la croissance économique des pays de la CEDEAO.
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Fayolle, Jacky, and Françoise Milewski. "L'Europe crée et exporte sa monnaie." Revue de l'OFCE 59, no. 4 (November 1, 1996): 5–100. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1996.59n1.0005.

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Abstract:
Résumé Au tournant des années 1995-1996, le repli conjoncturel s'est diffusé, via les interdépendances commerciales, à l'ensemble des pays européens. Les révisions à la baisse de la croissance prévue affectent notamment les pays du Nord et du Sud européens qui avaient impulsé la reprise continentale de 1994 en profitant des dépréciations de leurs monnaies. Ce repli européen a-t-il atteint, au cours de 1996, son point bas ? Des signes de redémarrage, encore ténus, apparaissent dans certains pays, surtout en Allemagne et dans les pays adjacents. Après un mauvais début d'année 1996, les signaux de reprise se multiplient en Allemagne depuis le printemps. La consommation a bénéficié des exonérations fiscales et les commandes à l'exportation se sont redressées. Mais le retournement positif de certains postes de demande n'a pas encore pleinement convaincu les producteurs de sa durabilité. L'intensité de la reprise restera limitée par les contraintes durables affectant l'économie allemande, même si elle est soutenue par une attitude accommodante des autorités monétaires. La croissance allemande retrouverait une performance moyenne en 1997 (2,2 % après 1,3% en 1996). La reprise se diffusera en Europe dans les mois à venir si, dans les pays auparavant contraints par la restriction monétaire, le relâchement est assez incitatif pour libérer un comportement de stockage plus offensif et contrer l'impact des ajustements budgétaires en cours. La dépression européenne a laissé libre, pour s'investir à l'extérieur du continent, un excédent d'épargne nourri par le désendettement des agents privés. De pair avec une politique japonaise active de placement à l'étranger, cet apport a amorti les tensions que pouvait engendrer la croissance rapide d'autres régions du monde. La reprise qui se dessine en Europe ne serait pas d'une intensité telle qu'elle modifie radicalement cette situation. Elle reste compatible avec une détente progressive des taux d'intérêt à long terme, même si celle-ci est freinée, courant 1997, par la vigilance des marchés face aux risques inflationnistes américains. Aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, la croissance est de nouveau au rendez-vous, après le ralentissement de 1995. Dans les deux cas, la demande intérieure y contribue fortement. Les limites à la croissance paraissent cependant plus rapprochées dans le cas américain que dans le cas britannique. La croissance de l'économie américaine, encore élevée en moyenne annuelle (2,6 % en 1997 après 2,4 % en 1996), reviendrait à hauteur de 2% l'an sur la seconde partie de 1997. Le Royaume-Uni devrait réaliser en 1997 l'une des meilleures performances européennes de croissance (2,7 % après 1,8 % en 1996). Au Japon, les hésitations de la consommation des ménages et le reflux de la demande publique font douter de la solidité de la reprise. Elevée en 1996 (3 %), la croissance resterait médiocre en 1997 (+ 1,6 %), même si son rythme tendanciel est plutôt de l'ordre de 2% l'an. Les corrections intervenues dans nombre de pays émergents consolident les perspectives de croissance dans ces pays, qui se traduiront cependant par des rythmes plus soutenables de progression de leurs importations. Au total, le commerce mondial, qui aura considérablement ralenti de la mi- 1995 à la mi- 1996, retrouverait un rythme honorable à partir du second semestre 1996, approchant les 7 % l'an. La progression modérée du dollar attendue sur cette même période favorisera aussi une meilleure répartition de la croissance mondiale. En France, les informations conjoncturelles restent contradictoires. Les carnets de commandes dans l'industrie sont toujours très dégradés, notamment dans les biens intermédiaires, mais un redressement s'est opéré à partir de l'été. Les stocks sont encore jugés excessifs, mais davantage au stade de la production qu'à celui de la distribution. Les perspectives personnelles de production, habituellement en avance sur le cycle, sont désormais plutôt orientées à la hausse. Toutefois, l'attentisme des entreprises traduit une défiance vis-à-vis de la reprise, en contrepartie de l'optimisme excessif formulé à la charnière de 1994 et de 1995. La conséquence de ces désillusions demeure un comportement de dépense restrictif : réduction des effectifs dans l'industrie, faibles hausses des salaires individuels, révision en baisse des investissements. Les enchaînements prévisionnels reposent d'abord sur l'arrêt du déstockage, qui a été important au premier semestre pour les produits manufacturés. Mais le prolongement de cette reprise technique en une phase ascendante du cycle, dépendra crucialement de la demande finale hors stocks. La consommation des ménages aura connu une forte croissance en 1996, sans rapport avec la progression du revenu. Elle croîtrait moins vite que ce dernier en 1997, et le taux d'épargne augmenterait par rapport à son bas niveau de 1996. La reprise de l'investissement en 1994 s'est rapidement interrompue. Depuis lors, l'effort de renouvellement des matériels issus de la vague d'accumulation initiée il y a dix ans, a été stoppé. Mais les besoins de remplacement subsistent et leur satisfaction devrait fonder la reprise des achats ; elle serait favorisée, dans un premier temps, par les dispositions relatives à l'amortissement des biens nouvellement acquis et par la poursuite de la détente monétaire. L'investissement total, quant à lui, pâtirait du recul des dépenses des administrations. La demande intérieure finale (hors stocks) freinerait légèrement, passant de 1,8% en 1996à 1,5 % en 1997. Grâce à une contribution modérée du commerce extérieur et à une forte impulsion des stocks, la croissance du Pib serait de 2,1 % l'an prochain, après 1,2 % cette année, si la rigueur budgétaire ne s'intensifie pas outre mesure. L'inflation ralentira à nouveau et l'excédent extérieur progressera encore. Mais le chômage poursuivra sa hausse.
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Passet, Olivier. "Le rôle des déficits publics dans la formation des taux d'intérêt." Revue de l'OFCE 62, no. 3 (September 1, 1997): 29–74. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1997.62n1.0029.

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Abstract:
Résumé Les déficits publics ont-ils une forte influence sur les taux d'intérêt réels ? Ce point de vue a largement imprégné le discours politique et est étayé par un certain nombre de démonstrations empiriques. Il s'appuie sur des représentations théoriques selon lesquelles le niveau des taux d'intérêt réel est représentatif des déséquilibres entre épargne et investissement (ou de manière équivalente des déséquilibres sur le marché des biens). Mais cette interprétation suppose en outre que l'état, par son action discrétionnaire, modifie fortement l'équilibre du marché des capitaux et donc le taux d'intérêt. L'article qui suit n'a pas V ambition d'offrir une contradiction d'ordre théorique à cette thèse. Il cherche plutôt à inventorier un certain nombre d'anomalies factuelles qui contredisent la version selon laquelle la hausse puis la persistance d'un niveau élevé des taux d'intérêt seraient surtout imputables aux modifications exogènes des comportements d'épargne, en particulier publics. Trois types ď arguments sont avancés qui peuvent faire l'objet d'une lecture séparée : La première partie, souligne d'abord les limites de certaines démonstrations empiriques du lien entre déficit public et taux d'intérêt. Le simple examen des enchaînements financiers depuis 1960 permet de constater que les principales variations de taux d'intérêt {en premier lieu celle de 1979) précèdent en général de plusieurs années les inflexions les plus notables des comportements d'épargne. Cette chronologie ne facilite donc pas les interprétations qui partent de l'épargne, en tant que variable exogène, pour expliquer les taux. La seconde partie rappelle ensuite qu 'à court terme, dans le cas américain, la volatilité des taux longs réels au cours du cycle est relativement faible et peu corrélée avec les tensions sur le marché des biens ou l'évolution du déficit public. Enfin, dans le cas américain, une représentation alternative, certes aussi partielle que la précédente, peut être validée empiriquement : selon cette dernière, la formation des taux, relève (directement pour les taux courts, indirectement pour les taux longs) de la fonction de réaction de la Banque centrale. Les taux ne sont plus alors la résultante d'un mécanisme ď ajustement de marché, mais le fruit de la mise en œuvre d'une règle monétaire, qui à partir de la fin de 1979 incorpore notamment une cible d'inflation. Sous cette hypothèse, les déséquilibres entre épargne et investissement que certains interprètent comme exogènes au taux d'intérêt apparaissent avant tout liés au changement de priorité que se sont fixées les autorités monétaires en matière d'inflation.
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Iron, Mayalen. "Les 1 000 premiers jours de l’enfant." Les Tribunes de la santé N° 77, no. 3 (September 1, 2023): 39–48. http://dx.doi.org/10.3917/seve1.077.0039.

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Abstract:
Comment construire un consensus à partir d’un concept scientifique permettant de mettre en chantier une nouvelle politique ? Les « 1 000 premiers jours » de l’enfant constituent cet enjeu qui, depuis la remise du rapport du même nom, a fait l’objet d’un intérêt accru : enjeu à la fois quotidien et intime mais enjeu également universel et sociétal. Les connaissances scientifiques confirment que cette période est particulièrement sensible pour le développement et la sécurisation de l’enfant. Elle contient les prémices du bien-être et de la santé de l’individu tout au long de la vie. Pour autant, tout déterminisme biologique, développemental, social serait une approche simpliste : car c’est bien « là où tout commence », comme l’indique le rapport des 1 000 premiers jours. Ces 1 000 premiers jours qui vont du 4 e mois de grossesse aux 3 ans de l’enfant mettent au défi les pouvoirs publics d’élaborer une nouvelle politique publique, autour de la prévention précoce (tant il est difficile de le faire plus tôt) et de la lutte contre les inégalités sociales et de santé, qu’elles soient déjà présentes au début de cette période ou/et qu’elles se forment pendant celle-ci. Plus qu’un projet dont la fin serait déterminée, c’est un véritable « chantier » de long terme qui a été ouvert pour frayer la voie à une nouvelle approche, ancrée dans la durée, un investissement humain dans le sens le plus entier du terme. À peine 1 000 jours après la remise du rapport, un certain nombre d’actions ont pu être engagées. Chercheurs et professionnels, décideurs et acteurs de terrain sont de plus en plus nombreux à s’investir, croisant les regards, les réflexions et les interventions, soulignant la richesse et les potentialités de cette approche. L’enjeu reste de maintenir la dynamique décloisonnée et innovante qui la caractérise, alors même que le contexte semble de moins en moins propice à la prise en compte de la complexité inhérente à cette période des 1 000 premiers jours de l’enfant.
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CHERIF, Redouane Amine, Lyèce YARGUI, Abdelkader AMROUNE, Youcef LALAYMIA, Mahdia SAIDI, and Yamina OUARHLENT. "Pharmacoeconomic impact of methotrexate therapeutic monitoring at Benflis Touhami Batna’s University Hospital." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 5, no. 1 (December 25, 2018): 50–52. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2018.5112.

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Abstract:
Objectif : Estimation du coût de l’introduction du suivi thérapeutique du méthotrexate lors des cures à hautes doses. Méthodes : Les coûts ont été calculés sur la base des consommations des produits pharmaceutiques utilisés lors des cures à haute dose de méthotrexate sur une année, de janvier à décembre 2016, au niveau du Service d’Hématologie du CHU Benflis Touhami Batna, Algérie. Le coût de l’introduction du suivi thérapeutique du méthotrexate a compris les dépenses relatives à l’achat des kits Siemens Syva EMIT. Les résultats ont permis une comparaison entre le coût du suivi thérapeutique du méthotrexate et le coût des cures. Résultats : Les produits pharmaceutiques nécessaires au lancement des cures de méthotrexate à haute dose ont révélé un coût global de 441.591,88 DA alors que le coût du suivi thérapeutique, qui nécessite 6 kits de réactifs par année permettant la surveillance de 90 cures, a été estimé à 410.400,00 DA. Discussion : Les résultats de la présente étude impliquent une dépense quasi-équivalente entre le suivi thérapeutique du méthotrexate et le lancement des cures. Cependant, cette évaluation ne s’est limitée qu’au Service d’Hématologie, le seul où sont lancées des cures de méthotrexate à hautes doses au niveau du CHU Batna ce qui explique le rapprochement des dépenses. Mais bien qu’il présente un coût certain, le suivi thérapeutique constitue un investissement justifié par de nombreux avantages qui garantissent un meilleur encadrement des cures et amortissent les dépenses aussi bien sur le court que le long terme.
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Dezetter, Anne, and Xavier Briffault. "Coûts et bénéfices d’un programme de financement des psychothérapies auprès des Français souffrant de troubles dépressifs ou anxieux." Santé mentale au Québec 40, no. 4 (April 5, 2016): 119–40. http://dx.doi.org/10.7202/1036097ar.

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Abstract:
Les psychothérapies structurées sont des traitements des troubles dépressifs ou anxieux recommandés par les guides de bonne pratique internationaux, dont l’efficacité et l’impact positif sur la santé et les coûts, ont été largement démontrés. Toutefois en France, malgré le lourd fardeau économique que ces troubles représentent, les psychothérapies effectuées avec un psychothérapeute non-médecin ne sont pas remboursées.L’étude vise à évaluer les coûts et bénéfices qu’un programme de prise en charge partiel des psychothérapies permettrait pour les Français souffrant de troubles dépressifs ou anxieux.Les données sont issues d’une enquête transversale portant sur 20 777 adultes en population générale. L’évaluation économique s’est inspirée de la méthodologie du programme anglaisImproving Access for Psychological Therapiesadaptée à la France. Le coût de la séance a été estimé à 41 EUR, le taux de remboursement à 60 % ; les coûts annuels induits par les troubles dépressifs à 4 702 EUR, par les troubles anxieux à 1 500 EUR ; et le taux de rémission attribuable aux psychothérapies à 30 % +/-10 %.Résultats Pour le suivi moyen de 12,1 séances, le coût du suivi psychothérapeutique annuel s’élèverait à 308 millions EUR pour le régime obligatoire, pour traiter 2,3 % de la population. Le ratio coût-bénéfice de la psychothérapie s’élèverait, pour les troubles dépressifs à 1,95 EUR (1,30-2,60) et pour les troubles anxieux à 1,14 EUR (0,76-1,52).Financer les psychothérapies s’avère être un investissement rentable à court et long terme, d’autant plus que l’impact sur la rémission des troubles somatiques n’a pas été évalué. Le nombre de psychothérapeutes nécessaires s’avère suffisant pour cette prise en charge.
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Garcias, Frédéric, and Stéphanie Tillement. "« Face au mur énergétique » : industrie électronucléaire et planification dans la France post-plan Messmer." Entreprises et histoire 114, no. 1 (July 5, 2024): 140–60. http://dx.doi.org/10.3917/eh.114.0140.

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Abstract:
Cet article propose une analyse socio-historique, à plusieurs échelles, des projets ou programmes électronucléaires conduits ces trente dernières années, à l’aune de l’absence ou de la présence de démarches de planification publique. Si de nombreux travaux en sciences sociales ont analysé les premiers projets de développement de technologies nucléaires (des années 1950 aux années 1990), la période récente (des années 1990 à nos jours) a été moins étudiée. Partant des résultats de la commission d’enquête sur la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France (couvrant précisément cette période) et de recherches conduites sur les principaux projets français menés à l’issue du plan Messmer, l’EPR de Flamanville et ASTRID, nous montrons comment l’industrie nucléaire est progressivement entrée dans un régime de projets uniques, au détriment d’une logique de programme. À rebours de l’idée dominante selon laquelle la responsabilité en revient avant tout à l’État, ayant abandonné son rôle de stratège et, partant, sa capacité à fournir à l’industrie une vision et un soutien à long terme à travers la planification publique, nous défendons l’idée que la fin de la planification repose tant sur l’État que sur les exploitants nucléaires, EDF en particulier. Nous mettons en évidence, paradoxalement, les failles court-termistes inhérentes au plan Messmer, le lancement d’un programme de constructions quasi-simultanées de réacteurs nucléaires ayant, d’une part, fait perdre de vue la nécessité de construire de nouvelles centrales et, d’autre part, conduit l’opérateur EDF à se centrer sur ses activités d’exploitation, au détriment d’un investissement fort et durable dans un nouveau programme de construction.
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Requena-Ruiz, Ignacio, Thomas Leduc, and Daniel Siret. "Une méthodologie d’analyse des dispositifs de rafraîchissement estival basée sur la métrologie climatique mobile." Climatologie 20 (2023): 8. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202320008.

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Abstract:
Les stratégies d’adaptation des environnements urbains aux changements climatiques, comme le développement de parcs urbains ou la révision des règles d’urbanisme, ne porteront leurs fruits qu’à moyen et long termes. Dans l’intervalle, des solutions palliatives doivent être mises en œuvre. Elles se déploient souvent sous la forme d’installations éphémères ou durables capables de proposer des opportunités de rafraîchissement en différents points de l’espace public. Ces dispositifs de rafraîchissement se développent dans les grandes villes depuis deux décennies et mettent en œuvre une grande diversité de techniques. Face aux investissements que représentent de tels aménagements, les pouvoirs publics sont demandeurs de connaissances sur leur capacité à répondre aux enjeux d’habitabilité des espaces publics sous la canicule. Il s’agit de savoir si ces « points frais » ont un réel pouvoir de rafraîchissement et s’ils sont appropriés par les citadins lorsque les températures augmentent. C’est pour apporter des réponses à ce type de questions et mieux connaître les spécificités des dispositifs urbains de rafraîchissement que nous avons développé une démarche multidisciplinaire basée notamment sur un système de métrologie climatique mobile original. Nous avons mis en œuvre ce système pour étudier différents dispositifs de rafraîchissement estival à Nantes et à Paris. La première partie de l’article décrit le synopsis de notre démarche qui se développe suivant quatre approches portant successivement sur l’analyse architecturale et urbaine du dispositif et de son environnement proche, la simulation d’ensoleillement dans le dispositif et son environnement, la métrologie climatique associant des instruments fixes et mobiles, ainsi que des observations d’usage du dispositif en situation de forte chaleur. La deuxième partie décrit plus en détail les principes de métrologie climatique que nous proposons. La troisième partie illustre la méthode par une étude de cas réalisée en 2022 en collaboration avec Nantes Métropole.
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Reid, Daniel. "Jardins Communautaires ET Sécurité Alimentaire Community Gardens and Food Security." Open House International 34, no. 2 (June 1, 2009): 91–95. http://dx.doi.org/10.1108/ohi-02-2009-b0010.

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Abstract:
En 1977, les autorités municipales de Montréal ont décrété que 10% du territoire serait dorénavant zoné espaces verts. La plupart des quartiers avaient suffisamment de terrains disponibles pour respecter cette norme. A la même époque, l′administration municipale a mis en place un programme municipal de jardins communautaires. Les jardins communautaires offrent l′opportunité aux citadins de cultiver leurs légumes et de fraterniser. À Montréal, 1.5% de la population adulte jardine dans un jardin communautaire municipal. Les jardins sont dispersés sur tout le territoire et sont facilement accessibles, soit 8200 jardinets dans 97 jardins communautaires. Dans les arrondissements les plus peuplés, il faut attendre de 1 à 3 ans sur la liste d′attente avant d′accéder à un jardinet. Le programme comporte un minimum de réglementation afin de simplifier l′activité. En terme de coût, la contribution moyenne d′un jardinier revient à 10$/jardinet pour un lopin de terre mesurant 3m x 6m. Avant la réorganisation municipale de 2002, suite à laquelle chaque arrondissement gérait ses propres jardins communautaires (Ville de Montréal), l′investissement de la municipalité, il est d′environ 0,2% du budget du Service des sports, des loisirs et du développement social. Le jardinage communautaire permet l′auto-production d′aliments de qualité sur des terrains gérés par la municipalité. Cette activité populaire favorise l′estime de soi et l′acquisition de nouvelles connaissances pratiques et techniques. A Montréal, les saisons de cultures sont réduites dû aux longs hivers et ne permettent qu′une récolte; ainsi, pendant les mois de récolte, cette initiative municipale allège la problématique de la sécurité alimentaire. Le programme des jardins communautaires de Montréal est considéré comme le programme de jardinage collectif le plus accessible et le mieux organisé en Amérique (Reid, 2006).
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Chagny, Odile, Jacky Fayolle, Olivier Passet, Christine Rifflart, Françoise Milewski, Bruno Coquet, and Hervé Péléraux. "Un horizon conjoncturel dégagé." Revue de l'OFCE 51, no. 4 (November 1, 1994): 5–88. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.51n1.0005.

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Abstract:
Résumé Les économies occidentales connaissent pour la plupart des rythmes de croissance soutenus, mais les écarts de conjoncture sont très accusés. L'optimisme réel s'accompagne d'une grande confusion financière : les changes sont perturbés par les déséquilibres commerciaux ; les taux d'intérêt à long terme ont partout monté fortement, d'abord par crainte de l'inflation aux Etats-Unis, puis par révision des perspectives de croissance en Europe. Le niveau actuel des taux longs reflète la difficulté des appareils de production existants à financer des projets d'investissement mondialement plus nombreux. Cependant les taux réels s'avèrent moins élevés que lors de la reprise précédente, et les capacités financières actuelles des firmes européennes les rendent peu sensibles au coût du capital à l'horizon de la fin 1995. Les interrogations portent donc sur la maîtrise des endettements publics, et sur la capacité des sociétés européennes à supporter les ponctions exercées sur les revenus du travail du fait des taux d'intérêt élevés. Aux Etats-Unis, l'activité est à présent renforcée par la demande étrangère, ce qui implique un nouveau durcissement de la politique monétaire en vue d'interrompre la dérive inflationniste. Un ralentissement est attendu au cours de 1995, initié par la consommation. Le Japon est en reprise, tiré à présent par la consommation. Il tend à renforcer la croissance mondiale. Au Royaume-Uni, investissement et exportations ont accéléré la production et réduit le chômage ; la consommation a surtout bénéficié d'une moindre propension à épargner. Les risques inflationnistes vont continuer à durcir la politique économique, et la croissance se modérera l'an prochain. L'Allemagne se redresse à l'Ouest, grâce aux exportations et au restockage. Le logement et la consommation résistent en dépit des prélèvements fiscaux. Les capacités de production manufacturières retrouveront un niveau normal d'utilisation dès la fin 1994, ce qui stimule l'investissement et fait craindre l'inflation. Cependant le chômage reste élevé et les prix au détail devraient rester calmes. A l'Est, la croissance s'annonce vigoureuse. Les capitaux ont délaissé l'Europe pour privilégier le Japon puis les pays émergents. Les investisseurs japonais reviennent sporadiquement et seraient plus présents en 1995, cependant que les besoins de financement américains se modéreront. Le commerce mondial est entré dans une phase de forte croissance qui se poursuivra l'an prochain. Les pays d'Europe continentale regagneront des parts de marché au détriment du Japon. En France, la reprise de l'activité a été significative au premier semestre 1994. L'optimisme se confirme dans les enquêtes de conjoncture. La reprise est d'autant plus nette qu'elle découle de l'interruption de comportements privés très dépressifs. La croissance du PIB serait de 2,2 % en 1994, le ralentissement puis l'arrêt du déstockage y contribuant pour près d'un point. La reprise de la demande intérieure finale, qui s'opère depuis le deuxième trimestre, s'amplifierait. La consommation des ménages continuerait de progresser. Mais la hausse de l'investissement des entreprises serait encore faible en moyenne annuelle, car surtout marquée au second semestre. La croissance des importations dépasserait celle des exportations, à cause d'un début d'année nettement divergent. En 1995 la croissance atteindrait 3,5 % ; cette consolidation de la reprise est usuelle, mais avec une ampleur plus faible que lors du cycle précédent: les objectifs de désendettement n'ont pas disparu, d'autant que les taux d'intérêt à court terme ont cessé de baisser et que les taux d'intérêt à long terme s'élèvent. Ces mouvements ne sont pas de nature à interrompre la reprise en cours, mais vont en limiter l'accélération. L'investissement des entreprises croîtrait aussi fortement qu'il avait reculé en 1993 ; ce ne sera qu'un rattrapage partiel après trois années de recul. Du fait de l'amélioration rapide de leur situation patrimoniale, les entreprises peuvent à présent satisfaire des besoins d'investissement longtemps différés ; la remontée récente des taux d'utilisation des capacités de production constitue une forte incitation à investir. La consommation des ménages s'amplifierait, portée par davantage de revenus et par une baisse du taux d'épargne. Un restockage interviendrait progressivement, supportant la croissance. Importations et exportations iraient de pair, signe d'une évolution plus synchrone des demandes intérieure et extérieure. En 1994 et 1995, les soldes extérieurs se tasseraient un peu à cause des mouvements de prix, mais l'excédent resterait confortable. Le chômage serait un peu réduit et l'inflation ne s'accélérerait guère. Le déficit public pourra être contenu sans coupe importante dans les dépenses grâce aux recettes de privatisation, mais les déficits sociaux ne pourront l'être sans prélèvements supplémentaires.
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Kanembou, Lawandi, Maigari Malam Assane, and Mamadou Malam Bourna Bagale. "Impacts socio-économiques des cultures des cuvettes-oasiennes sur la sécurité alimentaire des populations : cas de la cuvette de Guirsilik dans la commune de Goudoumaria (Région de Diffa/ Sud-Est du Niger)." European Scientific Journal, ESJ 20, no. 29 (October 31, 2024): 105. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n29p105.

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Abstract:
La commune de Goudoumaria renferme un potentiel inestimable de cuvettes oasiennes, qui constituent des zones à haute valeur agro-sylvo-pastorale. Mais celles-ci (cuvettes) sont de nos jours majoritairement dégradées ou en voie de l’être, du fait de la combinaison des mauvaises pratiques anthropiques (défrichement abusif exposant les cuvettes à l’ensablement, feux de végétation non contrôlé, (déboisement, techniques culturales peu conservatrices de l’environnement, surpâturage, etc.) et des effets du changement climatique. L’objectif principal visé par la présente étude est d’appréhender l’impact socio-économique et surtout alimentaire de l’exploitation agricole de la cuvette du village de Guirsilik pour les exploitants. À cet effet, une approche à la fois théorique et pratique a été adoptée. De l’approche théorique, qui a consisté à une revue de la littérature, il ressort que les cuvettes sont les principales sources de revenus des populations de la commune de Goudoumaria. Des entretiens individuels avec chaque exploitant dans la cuvette et par focus groupe (au niveau du village) sont menés auprès des producteurs de la cuvette de Guirsilik afin de collecter des données et mesurer la rentabilité économique et financière de l’exploitation. Les spéculations à cycle court (l’oignon et le chou) se sont révélées plus rentables que celles à cycle long comme le manioc, et que les produits agricoles de la cuvette sont majoritairement plus destinés à l’autoconsommation (70%) qu’à la vente (30%), dont 10 % sur les marchés locaux et 20% exportés au Nigeria. En effet, les tubercules représentent 40% de l’écoulement et l’oignon 60 %. En termes d’apport économique, l’exploitation agricole de la cuvette permet à chaque exploitant d’avoir un revenu moyen de 125000 FCFA par campagne, en 2024, pour un investissement agricole de 25000 FCFA. Malgré son importance pour la survie de la population, cette cuvette reste sous la menace constante de l’ensablement, mais aussi de l’inondation selon les années. Goudoumaria municipal area offers a high-rated potential of oasis basins, areas of high agricultural nomadic and pastoral value. However, these basins are nowadays mostly degraded or in the process of being degraded, due to a combination of man negative practices (abusive land clearing exposing the basins to silting, uncontrolled vegetation fires, deforestation, environmentally-unfriendly farming techniques, overgrazing, etc.) and the effects of climate change. The main objective of this surveil is to comprehend the inhabitants’ socio-economic and food impact of farming in the basin of Guirsilik village. Thus, a methodological approach comprising both theoretical and practical aspects is adopted. The theoretical approach, which consisted of a literature review, revealed that the basins are the main sources of income for Goudoumaria municipality people. Individual and focus group interviews were carried out with producers in the Guirsilik basin to collect data and measure the economic and financial profitability of their operations. Short-cycle crops (onions and cabbage) proved to be more profitable than long-cycle crops such as cassava, and most agricultural products in the basin are aimed for self-consumption (70%) rather than sale (30%), with 10% sold on local markets and 20% exported to Nigeria. Tubers account for 40% of sales and onions 60%. In terms of economic contribution, farming in the basin will provide each farmer with an average income of 125,000 FCFA per season, in 2024, for a farm investment of 25,000 FCFA. Despite its importance for the survival of the population, this basin remains under constant threat of silting up, as well as flooding, depending on the year.
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Louppe, Dominique. "Plantations forestières : un sujet d'actualité ? [Editorial]." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 4. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20465.

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Abstract:
L'Afrique intertropicale sert de cadre à notre réflexion bien que les autres continents tropicaux regorgent d'exemples tout aussi édifiants. Forêt naturelle et forêt plantée ont bien souvent été considérées comme deux pôles opposés de la foresterie, pôles entre lesquels les projets de développement effectuent un mouvement de balancier. Déjà en 1953, Alba1 écrivait : " Il semble inutile d'opposer la sylviculture basée sur la régénération naturelle et celle basée sur la régénération artificielle. D'une part, cela risque d'entraîner des querelles qui, quoique faites sur un ton toujours extrêmement courtois, peuvent blesser inutilement les uns et les autres qui croient le plus souvent, et en toute bonne foi, il faut bien le dire, détenir la vérité en la matière, ce dont on ne saurait les blâmer. " Cette mise en garde n'a pas empêché les deux " clans " d'être plus souvent en opposition qu'en synergie. Dans les années 1960-1970, le balancier était du côté des plantations. C'était l'époque des grands programmes de reboisement, teck en Afrique francophone : gmélina au Mali, pins à Madagascar et okoumé au Gabon dans les années 1950- 1960, puis des grands reboisements périurbains des années 1970 pour le bois énergie. Ces projets étatiques onéreux se sont avérés peu rentables en raison des faibles prix du bois de forêt naturelle pratiqués sur les marchés locaux, ce qui a découragé les bailleurs de fonds. Les plantations sont un investissement à long terme alors que le financement des projets est à court ou moyen terme. Même lorsque les premières rentrées financières des plantations arrivent après six à sept ans (pour le bois de trituration), la faible valeur marchande de ce bois fait que plusieurs rotations sont nécessaires pour rentabiliser l'investissement. Pour les bois d'oeuvre, la révolution est de plusieurs décennies, incompatible avec les cycles des bailleurs de fonds. Ceux-ci considèrent généralement que l'investissement forestier s'arrête quelques années après la plantation et les premiers entretiens. Pourtant, il est nécessaire de financer les travaux ultérieurs pour obtenir in fine des bois de haute qualité à forte valeur marchande car les élagages de pénétration et la première éclaircie fournissent des bois de faibles dimensions qui sont abandonnés sur place en l'absence d'usine de trituration, ce qui est le cas en Afrique. Les éclaircies suivantes produisent des perches et des piquets dont la vente ne finance au mieux que le coût des travaux. Cette absence de retour financier rapide a généré, dans les années 1980, des problèmes au sein des programmes nationaux de reboisement. Par exemple, la Société de développement des forêts ivoiriennes a, faute de pouvoir vendre les premières éclaircies, cessé de planter des tecks pendant plusieurs années, jusqu'au jour où des acheteurs étrangers se sont intéressés à ces produits. À Madagascar, le bailleur de fonds voulait arrêter de financer les plantations de pins initialement destinées à la pâte à papier ; une longue négociation permit de modifier l'objectif du projet et de faire comprendre que les éclaircies et l'élagage étaient indispensables à la production d'un bois de qualité à haute valeur commerciale, et d'obtenir la poursuite du financement des travaux : ce n'est que 26 ans après les premières plantations de pins que les plantations ont commencé à s'autofinancer. Les calculs financiers montrent de très faibles taux de rentabilité interne des plantations ; mais ces calculs ne prennent pas en compte les emplois créés dans les plantations ni le développement des filières de transformation et de commercialisation en aval. (Résumé d'auteur)
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Fayolle, Jacky. "Cycles et trends d'épargne et d'investissement dans une économie moyenne et ouverte : le cas de la France." Revue de l'OFCE 45, no. 3 (June 1, 1993): 443–517. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.45n1.0443.

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Abstract:
Résumé Le problème des rapports entre l'épargne et l'investissement est un vieux débat dans le monde des économistes, mais son intensité est variable et obéit aux rythmes cycliques qui gouvernent la nature des préoccupations macro-économiques. Ce débat est revenu sur le devant de la scène depuis quelques années, parallèlement au redémarrage de la croissance intervenu dans les grands pays industrialisés sur la seconde moitié des années quatre-vingt. On pourrait donc voir dans ce remake un événement de nature principalement conjoncturelle : les besoins et désirs d'investissement associés à la phase d'expansion de la seconde moitié de la décennie quatre-vingt ont fini, classiquement, par trop tirer sur la corde des financements et fait ainsi ressentir un déficit d'épargne. De plus, à la fin de cette période d'expansion, le choc spécifique des changements affectant les pays est-européens et révélant brutalement l'ampleur de leurs besoins de financement, aurait aggravé ces tensions. On notera cependant d'emblée que la polarisation récente du débat macroéconomique sur le thème de la pénurie d'épargne est, au premier degré, quelque peu paradoxal, au terme d'une décennie qui, par réaction aux excès antérieurs de l'économie d'endettement administrée, prétendait rétablir des incitations saines et puissantes à une épargne volontaire et stable par le retour en force et l'approfondissement des marchés financiers. Si le thème de la pénurie d'épargne a une certaine vérité, il témoigne en ce cas d'une mise en échec des réformes financières intervenues au cours des années quatfë-vihgtV On peut aborder la question des rapports de l'épargne et de l'investissement comme un problème de nature conjoncturelle, lié au déroulement habituel du cycle économique de moyenne période, et commenter sous cet angle les indicateurs conjoncturels disponibles. Cette manière de voir est cependant insuffisante pour rendre compte des évolutions intervenues durant les années quatre-vingt : ces évolutions relèvent aussi de « changements de régime » qui infléchissent ou modifient les trends apparents et ces changements interfèrent avec le cycle conjoncturel. Pour saisir l'originalité de la configuration macro-économique présente, il faut bien évidemment prendre en compte ces interférences et expliciter leur contenu. Interpréter les enchaînements des décennies quatre-vingt et quatre-vingt-dix comme le moment d'une interaction forte entre cycles de différente périodicité, courts et longs, parait alors une hypothèse de travail stimulante. L 'article est articulé en deux parties. La première s 'attache à fournir un schéma général des interactions entre épargne et investissement au cours du cycle conjoncturel. Elle examine les données françaises sur l'ensemble de l'après-guerre, situées dans leur contexte international, à la lumière de ce schéma. La seconde partie se concentre sur le rôle joué par les facteurs patrimoniaux et financiers dans les dynamiques cycliques à l'œuvre durant les décennies quatre-vingt et quatre-vingt-dix.
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Baudchon, Hélène, Odile Chagny, Thierry Latreille, Catherine Mathieu, Olivier Passet, Christine Rifflart, and Paola Veroni. "Une certaine hésitation. Perspectives 2000-2001 pour l'économie mondiale." Revue de l'OFCE 75, no. 4 (December 1, 2000): 7–104. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p2000.75n1.0007.

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Abstract:
Résumé L'année 2000 sera le meilleur millésime de croissance mondiale depuis 1984, grâce à la conjonction de facteurs favorables : effets de la nouvelle économie, surtout aux Etats-Unis ; sortie de crise en Asie, en Amérique latine et en Russie ; dynamisme persistant de la Chine et de plusieurs pays d'Europe en transition ; nouvel essor européen. Seuls quelques pays (Japon, Argentine) restent en retrait. Pourtant, les incertitudes se sont amplifiées au cours des six derniers mois. Le prix du pétrole reviendrait de 30 dollars fin septembre 2000 à 26 en 2001, le marché retrouvant un certain équilibre et l'OPEP reprenant le contrôle de la situation. La glissade de l'euro depuis janvier 1999 s'explique par des facteurs psychologiques, mais surtout structurels (les États- Unis ont repris le leadership dans les secteurs innovateurs ; leur taux de change réel d'équilibre s'est apprécié) et conjoncturels (un dollar fort permet aux États-Unis de lutter contre l'inflation, et à l'Europe d'impulser sa croissance). L'euro se redresserait lors du basculement de croissance en faveur de l'Europe, vers la mi-2001. Depuis le début de l'année, la Bourse stagne aux États- Unis. Compte tenu du niveau élevé atteint par les PER et de la fin de la montée en puissance des valeurs technologiques, une période prolongée de fluctuations autour d'une tendance plate, permettant le retour progressif des PER à un niveau normal est envisageable. Les taux d'intérêt à court terme ont fortement remonté depuis la mi-1999. La hausse des taux longs a été beaucoup plus faible. Aux États-Unis, une détente monétaire aurait lieu courant 2001. La politique monétaire ne constituerait pas un frein puissant à l'échelle mondiale, les taux restant bas relativement au taux de croissance anticipé. Les premiers signes de ralentissement apparaissent aux États-Unis. Grâce aux gains de productivité induits par les technologies de l'information et de la communication, l'inflation reste modérée, malgré un taux de chômage historiquement bas. Les plus-values boursières ne soutenant plus la consommation, le taux d'épargne remonterait en 2001. Les effets induits de la nouvelle économie limiteraient l'infléchissement de l'investissement. La croissance serait de 5,3 % en 2000 et de 3,3 % en 2001, le déficit extérieur atteignant 5,1 % du PIB. En 2000, comme en 1999, le PIB Japonais serait en net repli au second semestre en raison des à-coups de la politique budgétaire. L'investissement productif, tiré par les technologies de l'information est en accélération. Mais les indicateurs de commandes et de ventes restent atones. La dégradation de l'emploi et la stagnation des revenus pèseraient encore sur la consommation des ménages ; la mauvaise rentabilité des entreprises et leur surendettement sur leur investissement. Après 1,7% en 2000, la croissance ne serait que de 1,6% en 2001. Depuis le passage à vide de la fin 1998-début 1999, la zone euro a connu une croissance vigoureuse et généralisée, l'Italie restant seule en retrait. La hausse du prix du pétrole grève la croissance en 2000, d'un point de PIB. L'inflation a dépassé 2% dans les onze pays en juillet. Aucune spirale inflationniste ne s'est enclenchée, la hausse des prix de l'énergie et les tensions sur le marché du travail ne s'étant pas traduites en fortes augmentations salariales. La ponction pétrolière continuerait à peser sur la consommation des ménages au second semestre 2000, mais celle-ci serait soutenue en 2001 par la baisse du taux de chômage et les réductions d'impôts. Grâce à la bonne santé financière des entreprises et la nécessité d'investir dans les nouvelles technologies, l'investissement ne serait pas fortement affecté. L'indice de confiance dans l'industrie s'est légèrement tassé dans les dernières enquêtes, mais demeure à un haut niveau. La zone euro connaîtrait un certain ralentissement au second semestre 2000, corroboré par l'indicateur avancé de l'OFCE, puis une reprise en 2001. La croissance serait de 3,5% en 2000 et de 3,3% en 2001.
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Milward, David. "Sweating it Out: Facilitating Corrections and Parole in Canada Through Aboriginal Spiritual Healing." Windsor Yearbook of Access to Justice 29 (February 1, 2011): 27. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v29i0.4479.

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Abstract:
Aboriginal peoples continue to be subjected to drastic over-incarceration. Much of the existing literature explores contemporary adaptations of Aboriginal justice traditions that resemble restorative justice as a solution. There is by comparison a lack of literature that considers searching for solutions during the correctional phase of the justice system, after Aboriginal persons have already been convicted and imprisoned. The objective of this paper is to explore a number of reforms in order to better facilitate rehabilitation, reintegration, and parole for Aboriginal inmates. One is to invest greater resources into culturally sensitive programming that emphasizes spiritual healing for Aboriginal inmates. This is premised on the theme of “spend now, save later” with the idea that increasing the chances for Aboriginal re-integration may represent the better long term investment than simply warehousing large numbers of Aboriginal inmates year after year. Another problem is that many Aboriginal inmates are classified as higher security risks, which results in them being cut off from needed programming. The suggestion here is that criminal history as a static factor for determining security classifications may have little predictive value for the actual security risk posed by Aboriginal inmates, and therefore should be de-emphasized. Correctional Services of Canada should seriously consider developing an Aboriginal-specific classification scale that de-emphasizes criminal history, and emphasizes instead offender participation in culturally appropriate programs and spiritual healing, and behavioural progress while in prison. Risk assessment to re-offend for purposes of granting parole may also represent a form of systemic discrimination since criminal history represents a static factor that encumbers parole for many Aboriginal inmates. Risk assessment should instead emphasize dynamic risk factors by assessing Aboriginal participation in culturally appropriate programming, and attendant behaviourial progress while in prison. The difficult issue of Aboriginal gang activity can perhaps be dealt with through a more flexible system of risk assessment that gauges a willingness to reform and dissociate from the gang lifestyle rather than require Aboriginal inmates to endure nearly permanent penalties for past involvement. Finally, the paper will suggest that it is possible to overcome the political obstacles to implementing these reforms and obtain a political mandate to pursue them after the public is made aware of the benefits they offer.On continue à infliger des peines d’emprisonnement beaucoup trop sévères aux autochtones. Une grande partie des documents existants examinent des adaptations contemporaines des traditions autochtones en matière de justice qui proposent une forme de justice réparatrice comme solution. Par contre, trop peu de documents examinent la possibilité de rechercher des solutions pendant la phase correctionnelle du système de justice, après que les autochtones ont été reconnus coupables et incarcérés. Cet article examine un certain nombre de réformes en vue de faciliter la réhabilitation et la réintégration des détenus autochtones et leur libération conditionnelle. Nous devons en premier lieu consacrer davantage de ressources aux programmes qui tiennent compte des spécificités culturelles et mettent l’accent sur la guérison spirituelle des détenus autochtones. Cette approche repose sur le principe « dépenser maintenant – épargner plus tard » et sur l’idée selon laquelle accroître les chances de réintégration des autochtones représente peut-être un meilleur investissement à long terme qu’incarcérer ceux-ci en grand nombre année après année. Par ailleurs, le fait qu’un bon nombre d’autochtones soient considérés comme représentant un risque élevé pour la sécurité et ne puissent pour cette raison bénéficier des programmes dont ils ont besoin suscite une autre difficulté. Dans cet article, l’auteur avance que s’appuyer sur les antécédents criminels comme facteur statique pour déterminer les classifications de sécurité a peut-être peu de valeur prédictive en ce qui concerne le risque réel de sécurité posé par les détenus autochtones et, par conséquent, qu’on ne devrait plus leur accorder la priorité. Les Services correctionnels du Canada devraient envisager sérieusement de mettre au point une échelle de classification propre aux autochtones qui n’accorde plus la priorité aux antécédents judiciaires et met plutôt l’accent sur la participation du contrevenant à des programmes culturellement adéquats, sur la guérison spirituelle et sur les progrès comportementaux des autochtones pendant leur incarcération. L’évaluation du risque de récidive avant que ne soit accordée la libération conditionnelle peut également représenter une forme de discrimination systémique puisque les antécédents criminels représentent un facteur statique qui empêche de nombreux autochtones d’obtenir une libération conditionnelle. L’évaluation du risque devrait plutôt mettre l’accent sur les facteurs de risque dynamiques en tenant compte de la participation des autochtones à des programmes culturellement adéquats et des progrès comportementaux découlant de cette participation aux programmes pendant l’incarcération. La délicate question des activités de bandes criminelles autochtones pourrait être abordée dans le cadre d’un système plus souple d’évaluation du risque qui tient compte de la volonté de se réformer et de se dissocier du style de vie des gangs au lieu d’exiger que les détenus autochtones subissent des pénalités somme toute permanentes pour leur implication antérieure. Finalement, l’auteur laisse entendre qu’il est possible de surmonter les obstacles politiques à la mise en oeuvre de ces réformes et d’obtenir un mandat politique afin de donner suite à ces réformes une fois que le public aura été informé des avantages qu’elles offrent.
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