Journal articles on the topic 'Intérêt collectif des créanciers'

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Vila, Jean-Luc. "Spéculation et intérêt collectif." L'Actualité économique 63, no. 2-3 (January 27, 2009): 138–52. http://dx.doi.org/10.7202/601414ar.

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Abstract:
Résumé Cet article décrit une situation où la possibilité de spéculer sur un marché financier incite un individu rationnel à avoir une action socialement néfaste. Pour cela, on utilisera une modélisation microstructurelle du processus d’échange, qui endogénéise le mouvement des prix, leur contenu informationnel et la liquidité du marché. L’exemple considéré ici est à opposer à celui étudié par Hirshleifer (1971), où les opportunités spéculatives favorisent l’internalisation d’externalités positives.
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du Rusquec, Emmanuel. "Action en justice - Syndicat - Intérêt collectif." Revue juridique de l'Ouest 16, no. 2 (2003): 213. http://dx.doi.org/10.3406/juro.2003.3843.

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3

Breton, Margot. "Leçons à tirer de nos traditions en service social des groupes." Service social 39, no. 1 (April 12, 2005): 13–26. http://dx.doi.org/10.7202/706453ar.

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Abstract:
L'article s'inspire des trois sources principales du service social des groupes : le mouvement des « settlements », celui de la « récréation » et celui de « l'éducation progressiste ». S'appuyant sur le double intérêt de cette profession pour l'individuel et le collectif, l'auteure discute et actualise les principes qui ont orienté les trois mouvements précités, et donne un aperçu des défis qu'a à relever le service social des groupes dans notre monde complexe et en état de changement rapide.
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Niboyet, Marie-Laure. "Action collective pour la défense de l’environnement, mesure d’instruction in futurum , dans un contexte international." Revue critique de droit international privé N° 4, no. 4 (October 25, 2023): 749–58. http://dx.doi.org/10.3917/rcdip.224.0749.

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Abstract:
La qualité pour agir d’une association pour la défense d’un intérêt collectif en vue d’obtenir une mesure d’instruction sur le fondement de l’article 145 du code de procédure civile s’apprécie, non au regard de la loi étrangère applicable à l’action au fond, mais selon la loi du for en ce qui concerne les conditions d’exercice de l’action et selon la loi du groupement en ce qui concerne les limites de l’objet social dans lesquelles celle-ci est exercée.
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Collard, Luc, and Frédéric Loyer. "« La bataille des nageurs ». Illustration d’un conflit entre préférences individuelles et intérêt collectif." Mathématiques et sciences humaines, no. 188 (December 31, 2009): 41–53. http://dx.doi.org/10.4000/msh.11263.

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6

بهتان, عبد القادر. "Le Passage à L’acte Collectif : Entre Appartenance, Emprise Et Haine De L’autre." مجلة المعيار 24, no. 4 (March 9, 2023): 939–51. http://dx.doi.org/10.37138/mieyar.v24i4.5329.

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Abstract:
Le sujet du passage à l’acte a fait l'objet d'un grand intérêt dans de nombreuses études, qui semblent avoir peu porté sur l'action collective. Par conséquent, l'importance de cette étude théorique se situe dans le cadre de l’intersubjectivité, nous nous interrogeons donc sur le rôle de « l’emprise» et du sentiment d'appartenance dans l'agression collective. Qu'est-ce qui pourrait expliquer ce passage à l’acte chez le moi collectif ? Les résultats montrent que se concentrer sur un vécu traumatisant par le groupe se traduira, dans un contexte relationnel, par un comportement de passage à l’acte à travers un mécanisme de haine et de négation de l'autre.
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Emerich, Yaëll, and Alexis Hudon. "Les assises conceptuelles du droit de l’environnement en droit des biens : entre patrimoine collectif et relation fiduciaire." Revue générale de droit 47, no. 2 (January 24, 2018): 519–61. http://dx.doi.org/10.7202/1042931ar.

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Abstract:
Le caractère absolu de la propriété est l’un des mythes fondateurs du régime civiliste du droit des biens. Cependant, l’émergence des enjeux environnementaux a rendu nécessaire l’imposition de limites à la propriété individuelle. On peut distinguer deux mouvements de limites. Le premier mouvement, fondé sur le droit privé, est caractérisé par l’interdépendance et par un conséquentialisme anthropocentrique. Il se manifeste, notamment, par le trouble de voisinage. Le second mouvement de limites, ancré dans le droit public, est marqué par une dimension biocentrique. Il est caractérisé par une diminution nette des prérogatives du propriétaire et correspond à l’entrée en scène du droit de l’environnement. Dans une perspective de droit des biens, il est difficile de conceptualiser cet empiètement du droit environnemental sur les prérogatives du propriétaire et d’en établir le fondement. Les concepts qui se situent traditionnellement à la frontière du droit des biens et de l’environnement — comme la chose commune, la fiducie publique et le patrimoine commun — enrichissent l’analyse de l’interaction entre ces branches du droit, sans toutefois parvenir à en rendre compte entièrement. Cet article propose la figure du patrimoine collectif, fondé sur un intérêt collectif dans l’environnement, afin de légitimer l’intervention du législateur en matière environnementale dans le contexte du droit des biens. L’idée de patrimoine collectif évoque, en outre, le registre fiduciaire, particulièrement riche dans le contexte de la protection environnementale.
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Gidrol-Mistral, Gaële. "L’affectation à un but durable, vers une nouvelle forme d’appropriation des biens communs? Réflexions autour de l’article 1030 du Code civil du Québec." Revue générale de droit 46, no. 1 (June 8, 2016): 95–140. http://dx.doi.org/10.7202/1036575ar.

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Abstract:
L’article 1030 du Code civil du Québec est mieux connu pour son principe du droit au partage que pour la possibilité qu’il offre de le tenir en échec lorsque le bien commun se trouve affecté à un but durable. Bien que l’affectation à but durable soit le plus souvent cantonnée aux affectations objectives de biens mis au service d’autres biens ou destinés à l’exploitation de ces derniers, la généralité de la rédaction de cet article ouvrirait la voie à des affectations sans relation directe avec d’autres biens. S’appuyant sur une analyse jurisprudentielle et doctrinale, cette étude révèle l’existence d’affectations subjectives qui détachent l’affectation du bien commun de toute relation de dépendance à d’autres biens. L’affectation durable reposerait dès lors sur un intérêt commun cristallisé dans la somme des intérêts propriétaires, voire sur un intérêt collectif autonome, dévoilant ainsi une nouvelle facette de l’indivision, outil moderne de gestion collective, réfléchie et durable des biens communs.
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Brunson, Liesette. "Le bonheur collectif : Une approche-population au bien-Être subjectif est-elle possible?" Revue québécoise de psychologie 38, no. 1 (June 8, 2017): 225–36. http://dx.doi.org/10.7202/1040077ar.

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Abstract:
Il y a un intérêt croissant pour l’utilisation d’indicateurs de bien-être subjectif pour le monitorage au niveau des populations et pour l’évaluation des politiques sociales. Les indicateurs collectifs de bien-être subjectif fournissent des informations sur la qualité de vie qui complètent d’autres indicateurs sociaux et économiques. Des recherches récentes mettent l’accent sur les conditions sociales qui contribuent au bien-être. Que disent les recherches sur une approche-population pour la promotion du bien-être? Une telle approche est-elle pertinente pour les psychologues? Cet article vise à donner un aperçu non exhaustif de la littérature qui traite des indicateurs de bien-être subjectif et de leurs implications possibles pour les politiques sociales et les interventions au sein de la population.
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Garfinkle, Steven. "Shepherds, Merchants, and Credit: Some Observations on Lending Practices in Ur III Mesopotamia." Journal of the Economic and Social History of the Orient 47, no. 1 (2004): 1–30. http://dx.doi.org/10.1163/156852004323069385.

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Abstract:
AbstractThe numerous surviving loan documents from the Ur III period illustrate the vital role that credit played in the early Mesopotamian economy. The availability of credit was critical at every level of society. In this article, the form and function of credit in the Ur III period are described, along with lending practices and the activities of individual creditors. Despite the overwhelming scale of the institutional economies, there was significant room for non-institutional households to pursue economic gains through money-lending. This entrepreneurial activity took place in an economy that was familiar with a sophisticated range of possible credit transactions. Les nombreux documents de prêt qui survivent de l'époque de la Troisième Dynastie d'Ur illustrent le rôle essentiel que le crédit joue dans l'économie mésopotamienne archaïque. À chaque niveau de la société disposer de crédit était d'une importance essentielle. Cette contribution décrit les forme et fonction du crédit à la période d'Ur III, les pratiques de prêt et les activités des créanciers. En dépit de la grande taille des économies institutionnelles, il existait un secteur important où des maisons non-institutionelles pouvaient faire des gains en prêtant à intérêt. Cette activité d'entrepreneur s'exerçait dans une économie qui possédait une gamme sophistiquée de transactions de crédit.
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Dufour, Jean-Luc. "Le concept d'intérêt dans les litiges juridictionnels à caractère individuel découlant des relations du travail." Les Cahiers de droit 38, no. 3 (April 12, 2005): 607–76. http://dx.doi.org/10.7202/043456ar.

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Abstract:
Le domaine des relations du travail est régi en partie par des lois d'une portée individuelle. Dans le but d'assurer la protection des salariés et le respect de ces lois, le législateur a instauré divers recours. Il peut s'agir de recours visant la récupération monétaire ou pour obtenir la réintégration et la compensation financière des salariés victimes d'une pratique illégale commise par l'employeur. La mise en application de ces régimes de protection permet de voir que plusieurs intérêts sont en cause : l'intérêt individuel du salarié, l'intérêt collectif des salariés réunis en association et l'intérêt de la société. Or, malgré la présence de différents intérêts qui souvent se juxtaposent, le législateur n'a pas accordé à chaque détenteur de ces types d'intérêts, la qualité pour exercer le droit à réclamer la sanction de la loi, que ce soit devant les tribunaux de droit commun ou les tribunaux spécialisés du travail. Fréquemment, bien que les protagonistes aient un intérêt factuel à défendre, le législateur aura préalablement déterminé ceux qui seront aptes à faire reconnaître la violation de la loi et, ainsi, à défendre leur intérêt. C'est ce que l'on observe dans l'exercice d'un recours à portée individuelle touchant le salarié. Dans la présente analyse, l'auteur déterminera les différents types d'intérêt factuellement visés dans un litige découlant d'une réclamation individuelle et mettra en évidence les motifs justifiant le législateur de favoriser un intérêt plutôt qu'un autre.
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Lavieu-Gwozdz, Belinda, and Thierry Pagnier. "La mise en discours du savoir orthographique : que se passe-t-il dans la salle de classe ?" SHS Web of Conferences 78 (2020): 07011. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207807011.

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Abstract:
Cette contribution s’intéresse à la manière dont le savoir est mobilisé en discours dans les interactions langagières collectives au sein de la classe, et notamment au caractère plus ou moins implicite des savoirs et connaissances grammaticales mobilisées. Cet intérêt pour les interactions collectives tient aux formes linguistiques et langagières qui construisent en discours ce collectif. Les constructions de ce collectif sont plus ou moins linguistiquement explicites et participent certainement à l’opacité ou à la visibilité des enjeux cognitifs de ces interactions. Nous nous appuyons sur un corpus de 12 à 15 séances de 5 classes qui porte sur les corrections d’exercices d’orthographe et de dictées. Dans cette première analyse exploratoire, nous chercherons à mettre en évidence les caractéristiques communes de la manière dont les savoirs sont discursivement mobilisés. Il s’agira notamment de questionner l’usage des termes du métalangage grammatical mais aussi la manière dont la justification constitue ou non un moment de stabilisation de savoirs. En effet, nous cherchons à voir si le savoir est explicité, ou au contraire si le savoir concerné donne lieu à des échanges traversés par des implicites discursifs inégalement partagés qui sont susceptibles d'obscurcir les finalités du dispositif, « réduisant » en quelques sortes l’activité cognitive de raisonnement grammatical à la simple exécution de la tâche de correction des formes erronées.
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Joxe, Ludovic, and Stéphanie Meneghini. "Les limites de la mansuétude. Analyse du traitement de la faute dans une organisation humanitaire internationale." Sociologies pratiques N° 46, no. 1 (June 27, 2023): 55–65. http://dx.doi.org/10.3917/sopr.046.0055.

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Abstract:
Au sein du secteur humanitaire, voué à l’allègement de la souffrance d’autrui, comment caractériser une faute et infliger une sanction potentiellement douloureuse ? Comment juger, c’est-à-dire considérer que chacun est responsable de ses actes, dans un milieu fondé sur le fait que les inégalités sociales sont en partie dues à des déterminismes sociaux ? Dans quelle mesure la tolérance à la déviance y est-elle exacerbée et la condamnation atténuée, voire éliminée ? Où situer les frontières de l’acceptable ? Pour répondre à ces questions, nous nous intéressons à une organisation du secteur humanitaire, Médecins sans frontières ( msf ), et nous nous appuyons sur des situations issues de la trentaine de missions que les auteurs de cet article ont, à eux deux, réalisées à travers le monde pour msf depuis 2010, et sur un corpus de matériel ethnographique recueilli entre 2014 et 2016. De ces éléments, il ressort que le traitement de la faute chez msf mène à une première mansuétude, au cœur même du principe de justice d’un collectif, la mansuétude rationnelle, fruit d’un calcul bénéfice/risque visant la protection du groupe. Cette première mansuétude est doublée d’une autre, davantage spécifique au secteur humanitaire, la mansuétude compassionnelle, préservant cette fois-ci l’individu. Nous montrons alors que, chez msf , la mansuétude s’efface et qu’une faute est néanmoins caractérisée lorsqu’un intérêt particulier prévaut sur l’intérêt collectif.
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Tchotourian, Ivan, and Naomi Koffi. "Renforcer le conseil d’administration et mieux encadrer le vote actionnarial : les réponses possibles du droit à l’activisme dur des hedge funds." Les Cahiers de droit 59, no. 3 (October 10, 2018): 617–76. http://dx.doi.org/10.7202/1052479ar.

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Abstract:
L’activisme de certains fonds d’investissement tels que les fonds de couverture ou fonds de placement spéculatif (plus connus sous le nom de « hedge funds ») rompt avec la philosophie et la démarche qui ont longtemps caractérisé l’activisme actionnarial traditionnel. La stratégie des hedge funds consiste à contraindre les administrateurs et les dirigeants d’entreprises à mettre en oeuvre des politiques de rentabilité à court terme en ayant recours aux instruments classiquement utilisés par les actionnaires activistes (batailles de votes, propositions actionnariales, recours judiciaires, etc.). À l’heure actuelle, le comportement des hedge funds activistes est au coeur d’intenses discussions. Beaucoup soulignent les conséquences néfastes que suscite leur action (qualifiée d’activisme « dur ») sur la pérennité des entreprises, sur leurs parties prenantes (salariés, créanciers, etc.) et sur le climat économique. Toutefois, il est exagéré d’affirmer que cet activisme n’a que des aspects négatifs. À ce titre, des spécialistes soulignent les effets disciplinaires positifs de l’activisme des hedge funds aussi bien sur le conseil d’administration que sur la haute direction. Sur le plan juridique, plusieurs solutions sont discutées (et certaines sont déjà mises en place dans certains pays) pour encadrer l’activisme des hedge funds : le renforcement du rôle du conseil d’administration par une compétence accrue de ses membres et un dialogue continu avec les autres actionnaires, d’un côté ; l’encadrement du droit de vote des actionnaires pour le faire davantage correspondre à leur intérêt économique, d’un autre côté. Au travers d’une approche comparative, descriptive et prescriptive, le présent texte contribue à l’intense débat que suscite actuellement l’activisme des hedge funds.
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Arsenault, Joanie, and Myriam Ertz. "Bitcoin et chaîne de blocs : état des lieux et implications pour la gouvernance mondiale." Revue Organisations & territoires 27, no. 2 (December 1, 2018): 117–27. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v27n2.877.

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Abstract:
À la fin de l’année 2017, le cours du Bitcoin a frôlé la barre symbolique des 20 000 dollars américains,créant ainsi un intérêt grandissant de la part des milieux d’affaires, des médias, des preneurs de décision, et du grandpublic. La communauté scientifique n’est pas en reste puisque des courants de recherche entiers sur le sujet sontapparus dans des disciplines aussi variées que la finance, l’économie, le marketing, l’éthique, l’informatique ou encorele droit. L’intérêt du duo cryptomonnaies – chaîne de blocs, en général, et du Bitcoin, en particulier –, s’est toutefoislimité à l’examen des aspects techniques, des capacités transactionnelles et des implications pour le commerce et lafinance. Très peu d’études se sont penchées sur l’examen des conséquences de ces systèmes d’échange décentraliséset pair-à-pair, tels que le Bitcoin et la chaîne de blocs, sur les configurations actuelles de la gouvernance mondiale.Cet article a pour objectif de faire un compte rendu commenté de l’ouvrage collectif Bitcoin and Beyond : Cryptocurrencies,Blockchains, and Global Governance. Dans cet ouvrage, Malcolm Campbell-Verduyn met à contribution plusieursauteurs afin de mettre en lumière la manière dont la chaîne de blocs déborde du strict cadre économique et financierpour s’intégrer dans la gestion des sphères politique, légale et juridique. Ce faisant, l’ouvrage lève le voile sur denombreuses implications des cryptomonnaies et de la chaîne de blocs pour la gouvernance mondiale, souventméconnues et très peu étudiées dans la littérature, mais d’importance capitale dans un monde de plus en plusmondialisé.
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Bauer, Aegerter, Lüthi, Lehmann, and Jost. "Vergleich einer Sulfat-freien Polyäthylenglykol(PEG)-Lösung mit einer Standardlösung für die Koloskopievorbereitung." Praxis 91, no. 8 (February 1, 2002): 303–6. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.8.303.

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Abstract:
Dans le but d'améliorer le goût salé, jugé déplaisant, du lavement se présentant sous la forme classique d'une solution au PEG et de rendre ainsi plus acceptable la préparation à la colonoscopie, on a mis au point, il y a plus de 10 ans déjà, une variante sans sulfate et teneur réduite en sodium. En ce qui concerne l'acceptabilité, les études comparatives ont donné des résultats contradictoires. L'étude devait permettre de comparer de manière prospective la solution classique L (Cololyt®) à une solution sans sulfate S (Colo-Sol®) sur un collectif moyen de patients ambulatoires en gastro-entérologie. Les 144 patients prévus pour une colonoscopie ont bu la veille au soir 1 litre des solutions L et S et le matin de l'examen un litre de la solution qu'ils préféraient. Les deux solutions ont été en outre évaluées non seulement selon le goût (notes de 0 à 10) mais aussi en fonction de la tolérance et de l'efficacité. Les résultats concernant la préférence et donc l'acceptabilité se sont révélés très équilibrés. La solution L a été aussi souvent préférée (50,7%) que la solution S, supposée pourtant avoir un meilleur goût (49,3%). D'après les notes données par les patients à la solution préférée, les deux solutions sont arrivées pratiquement à égalité puisqu'elles ont obtenu des valeurs moyennes/écarts-type de 6,6/2,2 pour la solution L et de 7,0/1,9 pour la solution S. Sur les plans de la tolérance et de la qualité de la préparation, elles n'ont pas présenté de différences susceptibles de présenter un intérêt clinique.
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Veilleux, Diane. "Proposition d'une conception organiciste de la représentation syndicale selon le Code du travail du Québec." Les Cahiers de droit 34, no. 3 (April 12, 2005): 899–948. http://dx.doi.org/10.7202/043239ar.

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Abstract:
En se syndiquant, les salariés adhèrent collectivement à un régime de représentation qui transcende leur choix et leurs intérêts individuels au bénéfice d'un intérêt collectif qu'est chargé de dégager et défaire prévaloir le syndicat accrédité. En quoi consiste alors ce régime de représentation et quel est le rôle des différents acteurs de ce régime ? En tentant d'apporter les éléments de réponse à ces questions, le présent texte offre un cadre d'analyse du concept de représentation syndicale que sous-tend le Code du travail du Québec. L'approche organiciste qui exclut toute relation contractuelle entre le syndicat et les salariés qu'il représente est au coeur même de l'analyse. Dans une première section, l'auteure explique comment la relation juridique entre le syndicat accrédité et les salariés de l'unité d'accréditation dérogent aux règles de droit commun de droit privé et assimile plutôt le pouvoir de représentation syndicale au mandat représentatif de droit public. La deuxième section traite du lien juridique entre le syndicat accrédité et les personnes qui décident et agissent en son nom et pour son compte au moment de l'exercice du mandat représentatif. L’auteure privilégie la théorie de la réalité et distingue ainsi les organes de gestion, les organes de représentation et les mandataires du syndicat accrédité. La troisième section met en relief les conditions que doivent respecter les représentants du syndicat accrédité pour engager la volonté et la responsabilité de ce dernier aux yeux des tiers à l'occasion de l'accomplissement d'actes ou de faits juridiques liés à l'exercice du mandat représentatif. L'auteure conclut que la mise en évidence des organes du syndicat accrédité et de leurs pouvoirs quant à l'exercice du mandat représentatif est nécessaire pour assurer le caractère distinct du syndicat accrédité, ainsi qu'une plus grande transparence de son fonctionnement à l'égard des salariés qu'il représente.
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Lacroix, Laurier. "De l’illustration à la sculpture : Maria Chapdelaine, source d’inspiration de Suzor-Coté." Les Cahiers des dix, no. 71 (May 8, 2018): 115–33. http://dx.doi.org/10.7202/1045197ar.

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Abstract:
C’est à l’initiative de Louvigny de Montigny (1876-1955) que le roman de Louis Hémon, Maria Chapdelaine, est publié pour la première fois à Montréal en 1916. Le texte passe alors de la forme feuilleton à celle de livre. L’édition est confiée à J.-A. Lefebvre qui mandate le soin de l’illustrer à Suzor-Coté (1867-1939). Les vingt-cinq dessins au fusain reproduits maladroitement par les presses de la firme Godin & Ménard sont d’un intérêt inégal. L’artiste reprend et adapte certaines de ses compositions auxquelles il ajoute quelques scènes caractéristiques du roman, traitées de manière sommaire. La parution en 1921 à Paris du roman lance la carrière internationale du livre qui connaît la célébrité. Fort de sa connaissance de cette oeuvre, Suzor-Coté réalise alors un ensemble de sculptures inspirées de personnages dépeints et de situations décrites. C’est ainsi que les époux Chapdelaine, Maria elle-même, le remmancheur, le médecin de campagne, mais également des scènes montrant le défricheur, l’essoucheur, le portageur et le fumeur prennent forme et seront diffusés dans leur version en bronze. La veine rurale de l’artiste qui était jusqu’alors centrée sur la région d’Arthabaska et certains de ses habitants connaît un renouveau. Le roman permet à Suzor-Coté de combiner sa propre fiction de la vie à la campagne à celle de Hémon. Certaines de ces sculptures, L’essoucheur et Le portageur, par exemple, sont parmi ses meilleures réussites dans ce domaine et contribuent à maintenir sa réputation comme artiste polyvalent sensible à la représentation de la réalité canadienne. À leur tour, les dessins originaux, glorifiés par le succès du roman et débarrassés du traitement que leur avait fait subir l’imprimeur, connaissent une nouvelle vie, une fois acquis par le Musée de la province en 1934. Suzor-Coté peut alors s’appuyer sur l’impact du livre pour faire oublier l’échec de 1916 et ajouter sa contribution à la représentation des personnages de Hémon dans l’imaginaire collectif.
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GOCKO, X. "Utopie et pragmatisme." EXERCER 31, no. 161 (March 1, 2020): 99. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.161.99.

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Abstract:
Le Corona virus est désormais responsable d’une pandémie. La France comme plus de 100 pays est touchée par cette épidémie de SARS-CoV-2. Ce virus peut être responsable d’un syndrome respiratoire aigu sévère et son taux de létalité même s’il est encore incertain semble voisin de 3-4 %. Les autorités sanitaires françaises redoutent le pic épidémique potentiel synonyme de l’explosion du système de soins. La communication de la direction générale de la santé est quotidienne. Les rassemblements et manifestations publiques sont interdits. Les écoles et les universités sont désormais fermées. Le niveau d’angoisse de la population face à la maladie COVID-19 est élevé. D’après Eban, ancien ministre des affaires étrangères de l’état d’Israël : « l’Histoire nous enseigne que les hommes et les nations ne se conduisent avec sagesse qu’après avoir épuisé toutes les autres solutions ». Alors, et si la pandémie au SARS-CoV-2 était l’occasion1 : – pour les femmes et hommes politiques de percevoir le caractère transversal de la santé et son importance ; – pour l’état, d’organiser le système de soins et de prendre conscience de l’importance des soins primaires/premiers et de la médecine générale2 ; – pour l’industrie pharmaceutique, d’entrer dans une éthique du soin, de comprendre les limites de la mondialisation vénale et de s’éloigner d’une recherche uniquement lucrative ; la vie humaine ne peut faire l’objet d’une loterie3 ; – pour l’hôpital, de revoir ses missions, de lutter contre la surmédicalisation et de recentrer sur les besoins de la population ; – pour l’hôpital et les médecins généralistes, de comprendre les crises respectives qu’ils traversent afin d’organiser un travail en réseau formel ; – pour les médecins opportunistes, de changer de posture en arrêtant de répondre aux demandes consuméristes de certains patients par appât du gain ou facilité4, et de se concentrer sur leurs vraies missions ; – pour les usagers du système de soins, de comprendre les tensions éthiques entre autonomie, liberté individuelle et intérêt collectif ; – pour l’éducation en santé et la bonne volonté des usagers, de se rencontrer enfin pour endiguer la hausse constante du nombre de passages aux urgences qui frôle les 21 millions par an ; – pour la presse et les médias, de jouer leur rôle de « gate keeper » et de confiner les rumeurs et informations fallacieuses aux espaces de radicalités où elles prennent naissance résistant par là même aux sirènes de l’audimat et du profit. En attendant, plus prosaïquement, j’invite chacun d’entre nous à mettre en place les mesures barrières et à améliorer nos mesures d’hygiène. Face aux infections, l’hygiène a fait la preuve de son efficacité à travers l’histoire et elle est actuellement notre meilleur atout disponible pour protéger les plus fragiles.
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GOCKO, X. "Thuriféraires et démocratie sanitaire." EXERCER 31, no. 163 (May 1, 2020): 195. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.163.163.

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Abstract:
Février 2021, troisième vague. – Bonjour, j’ai été testé positif au Covid-19 par la brigade, et le médecin de la téléconsultation m’a dit de m’adresser au Covid Center le plus proche de chez moi. – Bonjour, je suis l’intelligence artificielle du Covid Center. L’application Tracking Covid-19 avait signalé votre venue, patient 7 777 801. Quel traitement souhaitez-vous prendre : hydroxychloroquine-azithromycine, lopinavir-ritonavir, tocilizumab, remdésivir, chlorpromazine : ces médicaments sont remboursés, vous pouvez aussi ajouter de la micronutrition, comme le zinc, qui n’est pas remboursée. – Mais je n’en sais rien ! Le médecin de la téléconsultation ne m’a rien dit à ce sujet, il a surtout noté le nom de toutes les personnes que j’avais croisées. – Personne n’en sait rien, alors nous laissons le patient choisir1. Si vous ne pouvez pas choisir, je suis pourvu d’un algorithme qui choisira pour vous. – Je vais essayer la chlorpromazine. J’ai lu que ça apaisait, et quatorze jours dans un hôtel sans voir personne… – D’accord, voici votre traitement ; le robot chien va vous accompagner jusqu’à l’hôtel2. Science-fiction ? Ce genre littéraire est selon le Larousse caractérisé par l’invention de « mondes, des sociétés et des êtres situés dans des espaces-temps fictifs (souvent futurs), impliquant des sciences, des technologies et des situations radicalement différentes ». Ce dialogue soulève deux questions : l’influence de la pandémie sur la recherche médicale et l’influence de la technologie sur les soins. Comment ne pas être d’accord avec l’article de la revue Nature1 : les bruits médiatiques autour de tel ou tel principe actif ne sont que des bruits. Ces bruits ralentissent l’apparition de signaux dépendant de la réalisation d’essais cliniques randomisés qui respectent les critères éthiques (information et consentement des patients). Les croyants et leurs thuriféraires politiques ralentissent la recherche et gâche les ressources de temps et d’argent. Comment justifier la position de ceux qui n’expriment plus les doutes inhérents au scientifique et à la recherche ? Sont-ils parcourus d’un sentiment d’urgence de l’action justifiant tout ? Le principe de bienfaisance surdimensionné leur fait-il oublier celui de non-malfaisance ? Moins glorieuse serait la recherche de la gloire : is fecit cui prodest*. Que pensez-vous des soins délivrés au patient 7 777 801 ? Ce patient n’a pas consulté son médecin généraliste. Il se nomme 7 777 801, au lieu d’Albert Camus. Sa décision est solitaire. Il n’a pas pu échanger autour de ses connaissances et de ses valeurs avec son médecin généraliste3. L’approche centrée sur monsieur Camus semble difficilement réalisable par une « brigade », une téléconsultation avec un inconnu ou par un Covid-19 Center. Dans « L’Homme révolté », Camus propose de dépasser l’absurde de l’existence qu’il avait décrit dans « Le Mythe de Sisyphe ». « Qu’est-ce qu’un homme révolté ? C’est un homme qui dit non. Mais s’il refuse, il ne renonce pas : c’est aussi un homme qui dit oui, dès son premier mouvement. » Pouvons-nous dire non à une technologie déshumanisée ? Oui ! Pouvons-nous dire non à l’enquête des cas contacts ? Les médecins généralistes sont des acteurs de santé publique et ils répondront oui à cette mission, mais pas à n’importe quel prix. Ils sont conscients des tensions éthiques entre intérêt collectif et liberté individuelle4. Ils sont vigilants (comme le Conseil constitutionnel) quant aux moyens employés pour assurer cette mission. Aucun argument d’autorité de telle ou telle tutelle ne les empêchera d’avoir une approche centrée sur le patient et une discussion éthique avec lui. Ces discussions participent à l’éducation des deux acteurs et peut-être un jour serons-nous prêts pour une autre méthode, avec une responsabilisation des patients allant dans le sens d’une vraie démocratie sanitaire. Un médecin généraliste est un homme révolté et non un porteur d’encens servile et flagorneur, alias thuriféraire.
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DUMONT, B., P. DUPRAZ, J. RYSCHAWY, and C. DONNARS. "Avant-propos." INRA Productions Animales 30, no. 4 (June 25, 2018): 271–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.4.2256.

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Abstract:
Dix années après la publication du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow », qui fait toujours référence dans les débats sur les impacts de l’élevage et la part des produits animaux dans notre alimentation, quels sont les nouveaux résultats de recherche qui affinent ce panorama mondial ? Pour répondre à cette question, les ministères français en charge de l’Environnement et de l’Agriculture ainsi que l’ADEME ont sollicité l’INRA pour synthétiser les connaissances scientifiques disponibles sur les rôles, impacts et services issus des élevages en Europe. L’exercice, qui a pris la forme d’une Expertise scientifique collective (ESCo), s’est donc intéressé aux différentes fonctions et conséquences de la production et de la consommation de produits animaux sur l’environnement et le climat, l’utilisation des ressources, les marchés, le travail et l’emploi, et les enjeux sociaux et culturels. L’expertise s’est centrée sur les services et impacts des principaux animaux d’élevage « terrestres », bovins laitiers ou allaitants, petits ruminants, porcs et volailles, et de leurs filières à l’échelle européenne. Le terme « services » renvoie à la fourniture d’un avantage marchand ou non marchand issu des activités d’élevage et/ou de l’usage de produits d’origine animale, soit une acceptation plus large que celle des services écosystémiques fournis par les agroécosystèmes. Nous utilisons l’expression « services et impacts » car les deux termes sont spontanément complémentaires, les services étant en général connotés de manière positive tandis que les impacts le sont négativement. Associer ces deux termes conduit à considérer les différents effets de l’élevage conjointement, et à souligner les complémentarités et antagonismes qui résultent des interactions entre les processus écologiques, biotechniques et économiques mis en jeu. La notion de « bouquets de services » constitue aujourd’hui un front de science dynamique dont nous avons cherché à extraire ce qui est spécifique à l’élevage. L’analyse a mis l’accent sur la variabilité des bouquets de services fournis par l’élevage selon les territoires. Une expertise scientifique consiste en un état des lieux critique des connaissances disponibles à partir d’une analyse exhaustive de la littérature scientifique. L’objectif est de dégager les acquis sur lesquels peut s’appuyer la décision publique, et de pointer les controverses, incertitudes ou lacunes du savoir scientifique. Placée sous la responsabilité scientifique de Bertrand Dumont, zootechnicien et écologue (INRA), et de Pierre Dupraz, économiste (INRA) celle-ci a réuni, pendant deux ans, vingt-six experts1 issus de différentes disciplines et institutions, et travaillant dans différents contextes afin que la diversité des résultats et des arguments scientifiques soit prise en compte. Le collectif d’experts a bénéficié de l’encadrement méthodologique de la Délégation à l’expertise, à la prospective et aux études (Depe) qui a assuré la coordination du projet, l’appui documentaire (avec la contribution des départements Phase et SAE2) et l’analyse cartographique. Le travail a abouti à la rédaction d’un rapport principal de plus de mille pages présenté publiquement en novembre 2016, d’une synthèse de 126 pages et d’un résumé en français et en anglais de huit pages. Le tout est disponible sur le site de l’INRA : http://institut.inra.fr/Missions/Eclairer-les-decisions/Expertises/Toutes-les-actualites/Roles-impacts-et-services-issus-des-elevages-europeens. Ce numéro spécial s’appuie principalement sur les éléments développés dans les chapitres 2, 6 et 7 du rapport. Le regard critique des relecteurs et le travail de réécriture des auteurs y apportent une réelle plus-value. Le premier article, coordonné par Michel Duru, présente le cadre conceptuel que nous avons proposé à partir de la littérature sur les systèmes socio-écologiques, afin de représenter de manière structurée la diversité des services et impacts rendus par les systèmes d’élevage (et de polyculture-élevage) dans les territoires. Le deuxième article coordonné par Jonathan Hercule et Vincent Chatellier établit une typologie des territoires d’élevage européens qui repose sur deux critères simples et disponibles dans les bases de données : la part des prairies permanentes dans la Surface Agricole Utile (SAU) et la densité animale par hectare de SAU. En croisant ces deux variables, nous distinguons six types de territoires que nous avons cartographiés à l’échelle européenne. Dans les cinq articles qui suivent, nous décrivons les bouquets de services rendus par l’élevage dans les territoires où il est bien représenté, le sixième type correspondant aux zones de grandes cultures. Nous analysons la variabilité qui existe autour du bouquet de services propre à chaque type, et la dynamique d’évolution de l’élevage selon les territoires. Nous traitons ainsi des territoires à haute densité animale qui concentrent 29% du cheptel européen sur seulement 10% du territoire (Dourmad et al), des territoires herbagers à haute (Delaby et al), moyenne (Vollet et al) ou faible densité animale (Lemauviel-Lavenant et Sabatier), et des territoires de polyculture-élevage (Ryschawy et al). Les deux articles qui suivent s’attachent à des configurations qui ne sont pas représentées sur la carte européenne, mais sont potentiellement présentes dans chaque catégorie de notre typologie. Nous analysons comment certaines filières s’adaptent à des attentes sociétales accrues en matière d’alimentation (produits de qualité, circuits courts) et de qualité de la vie. Marc Benoit et Bertrand Méda abordent cette question à partir d’une analyse croisée des systèmes ovins en Agriculture Biologique et poulets Label Rouge, Claire Delfosse et al en synthétisant la littérature encore fragmentaire sur l’élevage urbain et périurbain. L’article conclusif, coordonné par Bertrand Dumont, porte au débat les enseignements tirés des cartographies de services, et des modélisations et scénarios prospectifs globaux. Il propose différentes pistes pour mieux valoriser la diversité des services fournis par l’élevage. Les différents articles de ce numéro illustrent ainsi le large panorama des services et impacts de l’élevage européen. Nous espérons qu’ils donnent à voir non seulement le rôle de l’élevage vis-à-vis de la production de denrées alimentaires, de l’emploi, des dynamiques territoriales et de la construction des paysages, mais aussi comment l’élevage pourrait mieux répondre aux attentes légitimes de nos concitoyens en matière de préservation de l’environnement, de bien-être animal et de traçabilité des circuits alimentaires. Notre ambition est d’aider à sortir d’un débat qui ne considère trop souvent qu’une partie de ces effets. L’intérêt pédagogique de la grange et de la typologie des territoires d’élevage européens a déjà été largement souligné. Gageons qu’il confère à ce numéro spécial un intérêt particulier pour l’enseignement agronomique et le développement agricole. Bertrand Dumont (Inra Phase), Pierre Dupraz (Inra SAE2), Julie Ryschawy (Inra SAD, INPT) et Catherine Donnars (Inra Depe) -------1 Composition du collectif d’experts : B Dumont et P Dupraz (coord.), J. Aubin (INRA), M. Benoit (INRA), Z. Bouamra-Mechemache (INRA), V. Chatellier (INRA), L. Delaby (INRA), C. Delfosse (Univ. Lyon II), J.-Y. Dourmad (INRA), M. Duru (INRA), M. Friant-Perrot (CNRS, Univ. Nantes), C. Gaigné (INRA), J.-L. Guichet (Univ. Beauvais), P. Havlik (IIASA, Autriche), N. Hostiou (INRA), O. Huguenin-Elie (Agroscope, Suisse), K. Klumpp (INRA), A. Langlais (CNRS, Univ. Rennes), S. Lemauviel-Lavenant (Univ. Caen), O. Lepiller (CNRS, Univ. Toulouse), B. Méda (INRA), J. Ryschawy (INRA, INPT), R. Sabatier (INRA), I. Veissier (INRA), E. Verrier (Agroparistech), D. Vollet (Irstea).
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Bellemare, Diane. "Bien commun et intérêt collectif." Éthique publique, no. 6, n° 1 (January 1, 2004). http://dx.doi.org/10.4000/ethiquepublique.2049.

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Micaëlli, Jean-Pierre. "Is Francophonie a cultural common ?" Revue Internationale des Francophonies, no. 1 (July 15, 2017). http://dx.doi.org/10.35562/rif.295.

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Abstract:
Les catégories économiques peuvent faire plus que qualifier un pan de la francophonie contemporaine. Elles peuvent aider à la penser. Ainsi, cet article présentera comment le cadre théorique d'Elinor Ostrom développé pour analyser les biens naturels communs (commons) présente un intérêt pour comprendre ce qu'est un commun culturel ; la francophonie en étant une forme particulière. Ce bien constitue le sujet et le collectif, repose sur une croissance continue du fonds culturel, est étendu et extensible, et se veut l'objet de communautés créatives. Certaines questions relatives à la francophonie contemporaine seront ensuite abordées à travers ce prisme. Celle-ci sera appréhendée comme un commun culturel à la fois résiliaire, résilient, et dont la gouvernance suppose un véritable cocktail institutionnel autrement plus complexe que celui mis en œuvre pour gérer les communs naturels.
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Oulad Ben Taïb, Hajar. "Paroles d'experte - La transmission de l'histoire des migrations selon Anne Morelli." C@hiers du CRHIDI, 2023. http://dx.doi.org/10.25518/1370-2262.1707.

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Abstract:
Anne Morelli est historienne. Parallèlement à sa carrière universitaire (professeure à l'ULB), elle a pendant 20 ans enseigné, avec plaisir et intérêt, l'histoire dans des écoles secondaires « à discriminations positives ». Auteure de plusieurs livres et de nombreux articles sur la présence italienne en Belgique, elle a aussi coordonné l'Histoire des étrangers et de l'immigration en Belgique, qui a obtenu, lors de sa sortie, le Prix de la communauté française comme meilleur ouvrage de vulgarisation. Elle a également publié un volume collectif consacré aux émigrants belges. Elle faisait partie de la mission française préparatoire à la création de la Cité de l'immigration à Paris. L'exposition « La mémoire retissée », qu'elle a imaginée avec son collègue Jean-Philippe Schreiber, était accompagnée d'un livre-catalogue illustré retraçant 100 ans d'immigration en Belgique. Anne Morelli a pris part à différentes autres initiatives muséales sur l'histoire de l'immigration en Belgique, comme la « Cantine des Italiens » d'Houdeng-Goegnies. L'un de ses cours à l'ULB (Contacts de cultures), donné chaque année à plusieurs centaines d'étudiants, était largement consacré à l'histoire des migrations.
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Debary, Octave. "Restes (anthropologie des)." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.023.

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Abstract:
Le peu, l’altéré, le n’importe quoi, le rien… que contiennent tous ces restes ? Au bord de l’oubli comme de la disparition, les restes sont souvent marqués par la disqualification sociale, par le rejet ou la mise au ban de la société (Douglas 1966). C’est au passage de ces seuils que l’anthropologie tente de comprendre leur valeur. Marcel Mauss (1931) en fera une règle heuristique en invitant les ethnographes à collecter les objets déchus, tous révélateurs de la richesse d’un temps quotidien, ordinaire, en train de passer. On peut regarder une société à partir de ce qu’elle dévalorise et rejette, s’attacher davantage à «une boîte de conserve qu’à son bijou le plus somptueux » ; « en fouillant un tas d’ordures, on peut comprendre toute la vie d’une société » (8-9). L’anthropologie s’est toujours intéressée aux objets, faisant de leur collecte, de leur conservation et de leur exposition un complément à son discours. Elle s’est ainsi exposée à travers les vitrines de ses musées, véritables théâtres d’objets et de mise en scène des cultures. A la fin du XXe siècle, cet intérêt pour la culture matérielle s’est prolongé par le développement des Material Culture Studies, Museum Studies puis par l’anthropologie des sciences et des techniques. Mais l’objet comme reste, objet de l’entre-deux, incertain et instable, n’est pas devenu un thème de prédilection de la discipline. Les penseurs qui l’ont abordé se trouvent à ses marges, comme Pierre Sansot (2009) ou Giorgio Agamben (1999), voire dans l’indiscipline, comme Georges Bataille (1949). Le premier voit dans les petits restes du quotidien (reliefs d’un repas, objets de son enfance ou de vide-greniers…), autant d’inachèvements qui marquent notre finitude et qu’il convient de célébrer. Le second fait du reste une part inaliénable de la condition humaine et de la possibilité d’en témoigner –même après Auschwitz. Quant à Bataille, il fait de la destruction (glorieuse ou catastrophique) des surplus de richesses d’une société (ses restes non consommés, sa part maudite ou sacrée) la condition de son unité. L’anthropologie, elle, se tourne davantage vers l’analyse des différentes formes de requalification des restes. Elle étudie la manière dont un collectif reconduit leur existence en suivant leur trajectoire, leur carrière ou leur biographie. Comment, par différentes opérations de requalification sociale, ils retrouvent une nouvelle valeur, un nouvel avenir, une alternative à leur perte. De la poubelle au musée, ces différents arts d’accommoder les restes ont donné lieu à des recherches consacrées aux déchets (Thompson 1979 ; Rathje, Murphy 1992). Au début des années 1970, l’anthropologue William Rathje développe le Garbage Project à Tucson (Arizona) avant de l’étendre à d’autres villes américaines pendant plus de 20 ans. En s’appuyant sur la valeur biographique et archivistique des déchets, il montre que leur étude permet de comprendre les modes de vie des consommateurs. Dans cette économie du rejet quotidien, les poubelles comme les décharges sont traitées comme des « lieux de mémoire » propices à une archéologie du social. Ces recherches ont été menées en allant recueillir directement les sacs d’ordures chez les gens ou en fouillant des décharges. Leur étude (classement, inventaire) vise à comprendre l’articulation entre ce qui est rejeté et les représentations des pratiques de consommation. On trouve également des études qui portent sur les objets de seconde main (Gregson, Crewe 2003 ; Gabel et al. 2012), l’art, le patrimoine, la mémoire ou les musées (Kirshenblatt-Gimblett 1998). Ces analyses insistent sur la notion de valeur comme sur celle de temps : la valeur des restes vient de leur traversée de l’histoire. Une anthropologie des restes permet ainsi de comprendre comment une société traite de son histoire à travers les usages qu’elle réserve à ce qui résiste à la disparition. Le reste renvoie l’identité à son autre en traçant les frontières de ce qui ne relève pas ou plus d’elle. Il soumet l’identité au traitement de son altération. En dépérissant, il énonce le temps qui passe. La question de la discontinuité historique, des différents « régimes d’historicité » (Hartog 2003), peut être abordée au regard du sort réservé aux restes. Ils engagent différentes formes de retraitement ou de recyclage culturel de l’histoire. Au-delà d’une dimension écologique, l’enjeu de ces requalifications s’ouvre à un projet d’anthropologie générale. A partir de l’usage de ces restes, on cherche à comprendre ce qu’en font les communautés qui les conservent (Godelier 1997), les requalifient ou parfois les détruisent. Restes sacrés (de dieux, de choses ou d’hommes) dont les modalités d’existence et de transmission permettent de témoigner d’une culture. Témoignages d'identités, d'humanités, à travers lesquels une société vient rendre compte de son histoire, lui rendre un compte. Signant et signifiant ses peines, comme ses joies, face à la perte de son propre référent : le temps qui passe.
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