Academic literature on the topic 'Influenceurs – Réseaux sociaux – Afrique du Nord'

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Journal articles on the topic "Influenceurs – Réseaux sociaux – Afrique du Nord":

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Leveau, Philippe. "Occupation du sol, géosystèmes et systèmes sociaux. Rome et ses ennemis des montagnes et du désert dans le Maghreb antique." Annales. Histoire, Sciences Sociales 41, no. 6 (December 1986): 1345–58. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1986.283352.

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Abstract:
« Entre le nomade redoutable par sa mobilitéet le montagnard inaccessible dans ses hauteurs,le paysan des plaines et des collinesméditerranéennes avait presque toujourssuccombé » (J. DESPOIS, « Géographie et histoireen Afrique du Nord, retouche à unethèse », dans Éventail de l'histoire vivante.Hommage à Lucien Febvre, t. 1, Paris, 1953,p. 194).Pour l'historien de l'Antiquité, l'étude de l'occupation du sol ne peut être réduite à la confection de cartes de localisation des sites. De natures différentes, les sites s'organisent en réseaux qui nous renseignent sur l'organisation des espaces ruraux. Les différenciations dans l'organisation des campagnes permettent d'individualiser et de caractériser des systèmes sociaux et des périodes chronologiques. L'étude de l'occupation du sol est donc obligatoirement diachronique (on ne peut entreprendre une prospection en étant fermé à tout vestige d'occupation qui paraît relever d'une période autre) et inter- ou même trans-disciplinaire. Il faut être, comme l'historien, sensible aux successions : succession des événements, succession des formes sociales, succession des paysages ; il faut être géographe ; il faut être attentif aux structures sociales.
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Vinck, Dominique. "Science(s)." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.025.

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Abstract:
Les sciences désignent à la fois une série d'activités productrices de connaissances, plus ou moins différenciées d'autres activités sociales, et le résultat de ces activités (descriptions et énoncés de découvertes ou de lois décrivant ou prédisant des phénomènes, théories, méthodes de travail, savoir-faire incorporés, normes de comportement des scientifiques). Pour l'anthropologue, elles sont à la fois un objet de recherche et un cadrage (institutionnel, méthodologique et cognitif) de son travail, ce qui l'engage aussi dans une inévitable réflexivité. Du point de vue des sciences sociales, la science a été appréhendée (tradition mertonienne) comme une institution sociale distincte et exemplaire, dont la finalité est la production de connaissances rationnelles certifiées par les pairs. L'institution se caractérise par une structure normative qui régit le comportement des scientifiques telles que : universalisme, communalisme, désintéressement et scepticisme organisé. Les scientifiques qui agissent conformément à ces normes sont rationnels et humbles, capables de soumettre leurs productions à l’évaluation critique de leurs pairs, d’évaluer sans à priori le travail d’autrui et de s’auto-contrôler. Le respect de ces normes dépend de systèmes de communication (publication dans les revues scientifiques en particulier) et de gratification (nomination, distinction, obtention de fonds) dont l'analyse permet d'expliquer certains phénomènes de stratification au sein de la "communauté" scientifique. Cette approche a toutefois suscité de nombreux débats notamment quant à ce que représentent vraiment ces normes. Des contre-normes (p.ex. « garder le secret ») seraient aussi explicatives des comportements des scientifiques que les normes identifiées par Merton. Par ailleurs, dans leurs discussions internes, les scientifiques mobilisent autant les normes que les contre-normes pour défendre leur position ou affaiblir celle d’un collègue. Et surtout, ces normes seraient de nature idéologique et politique, utilisées par les scientifiques pour légitimer l’autonomie des sciences vis-à-vis du reste de la société, en particulier dans un contexte de montée en puissance de régimes autoritaires menaçant les scientifiques dans différentes régions du monde, comme ce fut le cas au cours du XXe siècle. Dans ce contexte, Merton (1973) a traité l'institution scientifique comme un modèle de démocratie des esprits, à l’abri des influences politiques. Toutefois, mobilisées au profit du développement technico-économique et de l’action publique (parfois militaire), les sciences constituent des sources de pouvoir, notamment en faisant autorité. Les questions de l'orientation et de la mobilisation des sciences fait dès lors l'objet de débats politiques récurrents. Elles soulèvent des questions de légitimité dans la société (sciences au service du progrès, de l'industrie, du prestige des Nations, de l'exploitation de la nature vs de projets de libération ou de résolution des problèmes auxquels le monde est confronté) tandis que leur spécificité a fait l’objet de nombreux débats chez les philosophes. Dans les relations Nords-Suds, elle est parfois traitée comme un enjeu des relations entre pays hégémoniques et non-hégémoniques ou en terme de centre-périphérie. Plus généralement, sa légitimité est questionnée vis-à-vis d'autres savoirs, locaux et indigènes notamment. De même, la fragmentation interne des sciences (prolifération de sous-spécialisations) a conduit les Nations Unies (convention de Rio de 1992) à demander qu'un effort d'intégration soit accompli car les problèmes auxquels sont confrontées les sociétés ont besoin d'une approche globale et non émiettée. Les dynamiques internes des sciences ont également été analysées de diverses autres façons : comme système d’échange de dons (Hagstrom 1965), comme système d’échange capitaliste et de lutte compétitive pour l’accumulation d’un capital symbolique (Bourdieu 1976), comme système politique où chacun tend à développer son domaine en gagnant de la crédibilité, convertible en ressources permettant de poursuivre (Latour, Woolgar 1988). Les relations entre scientifiques, voir aussi avec des non-scientifiques (industriels, médias, gouvernements, mouvements citoyens, communautés paysannes, etc.), constituent des réseaux sociaux dont les caractéristiques (taille, homogénéité / hétérogénéité, structure) expliquent les sciences en tant que phénomène social plus ou moins articulé à d'autres activités des sociétés. Depuis les années 1970, des chercheurs en sciences sociales (anthropologie, sociologie, histoire) ont investi l’étude des sciences en s’inspirant notamment des travaux de l’historien Kuhn (1957) (paradigme) et de l'anthropologie avec pour prétention de rendre compte des contenus (Sociology of Scientific Knowledge, SSK) et des pratiques scientifiques. Les sciences apparurent alors sous un nouveau jour. Les sciences sociales ne se cantonnent dès lors plus à l’examen des conditions sociales de possibilité de la science mais tentent d'expliquer aussi les productions scientifiques (données, théories, concepts) à partir de facteurs sociaux ou à partir des pratiques sociotechniques concrètes. Elles mettent en évidence la flexibilité interprétative des énoncés scientifiques (ni la nature, ni la méthode, ni la logique n’impose de vérité unique aux chercheurs) qui conduit à prendre en compte aussi d'autres facteurs explicatifs, notamment les rapports de forces, les mouvements de société, les traditions de pensée, les savoirs tacites, la nature du rapport au monde et à la nature, et les savoir-faire hérités. Du côté de la sociologie et de l'histoire, des auteurs vont rendre compte de l’action scientifique comme d'une rivalité entre scientifiques pour produire des énoncés de connaissances et les imposer aux autres. Ces scientifiques étant liés à des groupes sociaux, les intérêts de ces derniers orienteraient en partie le choix des objets de recherche, des approches et, par conséquent, les productions scientifiques. Les controverses entre chercheurs conduiraient ceux-ci à renforcer la robustesse de leurs affirmations et constitueraient ainsi un moteur des dynamiques scientifiques. Ces approches conduisent aussi à symétriser les analyses portant sur la constitution des savoirs scientifiques et celles portant sur les autres formes de savoirs, de systèmes de pensées ou de croyances. Des chercheurs britanniques (Bloor 1976 ; Collins 1985) prônent alors des principes de causalité, d'impartialité, de symétrie et de réflexivité dans l'étude des sciences. “Connaissances vraies” et “croyances fausses” devraient être expliquées par les mêmes registres de causalité (relations causales entre des variables sociologiques et contenus de connaissance, production négociée de connaissances consensuelles et clôture des controverses, analyse du discours). A la fin des années 1970, des chercheurs commencent à s’intéresser aux pratiques scientifiques concrètes. Ils observent les processus d’ajustement locaux et contingents et décodent les savoirs tacites incorporés dans les individus, instruments et formes d’organisation. Leurs études rendent compte de la production des faits, des données, des énoncés et des accords entre chercheurs, de l’articulation entre éléments hétérogènes, de la construction collective et négociée des publications. Adoptant des postures héritées de l'anthropologie, ils décrivent les processus de fabrication et de stabilisation des énoncés scientifiques en séjournant longuement au sein de laboratoires où se produisent des savoirs scientifiques. Ainsi, Latour, de retour d'une enquête en Afrique, débarque dans un laboratoire de biochimie réputé ; il cherche à y étudier “la pensée scientifique” en train de se faire et rend compte de l'importance des pratiques d'inscription. Il publie Laboratory Life. The Social Construction of Scientific Facts en 1979 (Latour, Woolgar, 1988). Knorr-Cetina (1981), en Allemagne, Lynch (1985), aux États-Unis, mobilisent l’ethnométhodologie et montrent les productions scientifiques comme des accomplissements pratiques situés. D’autres chercheurs héritiers de l’école pragmatique américaine et de l’interactionnisme symbolique de Chicago rendent aussi compte des productions scientifiques en rendant compte des perspectives des acteurs en présence. L’anthropologue Traweek (1988) étudie le monde des physiciens des particules, de même que d'autres le feront d'autres laboratoires (p.ex. Houdart 2013) ou de lieux de fabrication de connaissances technologiques (Downey 1998 ; Vinck 1999). Soucieux de rendre compte de l'intrication des sciences dans la société, notamment via les processus d'innovation, des chercheurs (Callon 1986 ; Latour 1989) conçoivent une approche (théorie de l’acteur-réseau, analyse des processus de traduction et de construction de réseaux sociotechniques) devant permettre de rendre compte des sciences et techniques en évitant les dichotomies héritées (nature/culture, sujet/objet, notamment). Ils ouvrent ainsi la réflexion sur une nouvelle anthropologie des connaissances.
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Deirdre, Meintel. "Ethnicité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

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Abstract:
Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.

Dissertations / Theses on the topic "Influenceurs – Réseaux sociaux – Afrique du Nord":

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Ahmed-Boumaza, Amina. "Production et réception de la communication numérique persuasive des PME de luxe au Maghreb : l’influence des e-leaders sur les réseaux sociaux." Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2020. http://www.theses.fr/2020AIXM0578.

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Abstract:
Depuis une vingtaine d’années, l’utilisation d’Internet au Maghreb connaît une forte croissance. L’augmentation des utilisateurs d’Internet dans cette région du monde a entraîné des changements conséquents dans la société maghrébine dans le domaine politique mais également économique. Notre thèse est destinée à étudier les dispositifs d’influence mis en place sur les réseaux sociaux par les entreprises de luxe au Maghreb. Nous étudions les modalités de production de ces dispositifs persuasifs mais également leur réception et leurs effets sur les socionautes/consommateurs. Les réseaux sociaux numériques ont pu acquérir une nouvelle dimension tout en gardant certaines bases propres au réseau social traditionnel. Ces plateformes ont pu impacter de manière significative les entreprises au Maghreb et amplifier les caractéristiques d’influence du réseau social traditionnel très centré sur la communauté et le groupe dans cette région. Ainsi, notre thèse propose une analyse détaillée, d’une part, de la conception de la communication persuasive sur les réseaux sociaux avec l’utilisation des e-leaders par les PME de luxe au Maghreb, productrices d’influence. D’autre part, nous nous penchons sur la réception de cette communication numérique persuasive par les consommateurs. Nous avons recours à une méthodologie qualitative et en particulier à des entretiens semi-directifs pour interroger, d’une part, les décideurs dans les PME de luxe au Maghreb (PMELM) et, d’autre part, les consommateurs. L’objectif est de comprendre comment chacun perçoit cette communication sur les réseaux sociaux et son influence
For twenty years, Internet use in the Maghreb has experienced strong growth. The increase in Internet users in this region of the world has brought about significant changes in Maghreb society in the political but also economic fields. The democratization of the Internet in the Maghreb has taken place through social networks as access was initially often limited to social platforms. Our thesis is intended to study the influencing devices set up on social networks by luxury companies in the Maghreb. We study the production methods of these persuasive devices but also their reception and their effects on social users / consumers. Digital social networks have been able to acquire a new dimension while keeping certain bases specific to the traditional social network. These platforms have been able to significantly impact businesses in the Maghreb and amplify the influence characteristics of the traditional social network very focused on the community and the group in this region. Thus, our thesis, which is part of SIC, offers a detailed analysis, on the one hand, of the conception of persuasive communication on social networks with the use of e-ledares by luxury SMEs in the Maghreb, producers of affecting. On the other hand, we are looking at the reception of this persuasive digital communication by consumers. We use a qualitative methodology and in particular semi-structured interviews to question, on the one hand, decision-makers in luxury SMEs in the Maghreb and, on the other hand, consumers. The goal is to understand how everyone perceives this communication on social networks and its influence
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Khelifi, Meriem. "Le discours religieux dans les médias arabes : nouveau lieu de mobilisation." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2017. http://www.theses.fr/2017PA080164.

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Abstract:
Il s’agissait dans cette thèse d’étudier comment le nouveau discours religieux produits par les prédicateurs dans les chaînes satellitaires religieuses peut donner lieu à l’expression d’une nouvelle forme de mobilisation. Cette étude a été menée dans le contexte des révolutions arabes, et plus précisément en Egypte, avec quelques aspects de comparaison avec l’Algérie. Les trois axes sur lesquelles nous avons articulé cette recherche sont le politique, la communication et le retour de l’acteur tel qu’il est identifié par A. Touraine. Prenant l’exemple du discours de Amr Khaled, l’un des prédicateurs les plus influents du monde arabo-musulman, nous avons analysé le discours produit et la réceptions qui en est faite directement auprès du public égyptien et plus largement par un public plus large, via les réseaux sociaux
The objective in this thesis was to study how the new religious discourse produced by the preachers in the religious satellite channels can give rise to the expression of a new form of mobilization. This study was carried out in the context of the Arab revolutions, and more specifically in Egypt, with some aspects of comparison with Algeria.The three axes on which we have articulated this research are the policy, the communication and the return of the actor as identified by A. Touraine.Taking as an example the speech of Amr Khaled, one of the most influential preachers of the Arab-Muslim world, we analyzed the product discourse and receptions made directly by the Egyptian public and more broadly by a wider audience , Via social networks
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Escoffier, Claire. "Communautés d'itinérance et savoir-circuler des transmigrant-e-s au Maghreb." Phd thesis, Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2006. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00085929.

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Abstract:
Les pays du Maghreb sont devenus des pays de transit pour les transmigrant-e-s originaires d'Afrique sub-saharienne se dirigeant vers l'espace Schengen. Notre recherche examine les types de rapports que ces individu-e-s entretiennent avec l'espace traversé. De la recherche empirique a émergé la notion de « communautés d'itinérance » constituées d'hommes et de femmes - liés par des liens de connivence, de complicité et de sociation - qui en partageant une expérience commune, se reconnaissent subjectivement en un espace-temps donné en tant que membres d'une communauté. Cette forme transnationale de la communauté - éphémère mais stable au-delà des passages de ses membres - permet des systèmes d'appartenances multiples qui font réseau international, alliance, franchissement des frontières interdites et contournements des accords internationaux. Si les appartenances nationales ou linguistiques permettent le regroupement initial, facilitent l'ajustement social temporaire et le passage, elles laissent l'individu libre de s'affilier à de nouveaux groupes, de développer ses propres réseaux qui deviennent la matière première à association et à production de liens originaux. L'étude a montré comment les femmes organisent, canalisent et invisibilisent le mouvement et la manière dont l'ordre des hiérarchies familiales s'inverse en transmigration.
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Nur, Goni Marian. "Réparer (avec) l'archive ? Histoires de photographies somalies et de leurs circulations (1890-2016)." Thesis, Paris, EHESS, 2017. http://www.theses.fr/2017EHES0092/document.

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Abstract:
Cette thèse suit les trajectoires de quelques images choisies, d'abord réalisées sur et puis par des hommes et des femmes somalis de la Corne de l'Afrique depuis la fin du 19ème siècle à nos jours.Supports et vecteurs de la production et diffusion de savoirs anthropologiques auXIXème siècle, notamment dans le cadre d'exhibitions ethnographiques somalies en Europe - dont l'étude propose une reconstruction chronologique à partir de 1890 - ou au cours de missions d'explorations à caractère politico-commercial, ce travail entreprend d’étudier modalités et contextes de production, appréciation et filiation des « images somalies » produites en France dans les milieux savants et populaires.L’étude des circulations et réappropriations de quelques-unes de ces images historiques sur Internet, pour servir des enjeux contemporains, a conduit ensuite à analyser comment, à l’ère numérique, une jeune génération issue de la diaspora somalienne prend aujourd'hui la parole (et questionne ainsi qui peut parler et comment) à travers des projets de blogs/sites et tente ainsi de constituer (réparer ?) une « autre » archive photographique somalie. Ce faisant, elle interroge à la fois l’image du pays dans le médias internationaux (image associée, en grande partie, à la famine, au terrorisme islamique, à la piraterie et/ou à l’« État en faillite ») et les modalités de transmission d’autres mémoires, enfouies, de ce pays, dans un contexte de « destruction de l’histoire ».Enfin, la troisième et dernière partie de l’étude s'intéresse brièvement aux pratiques photographiques observées à Djibouti de 2010 à 2012, ici aussi avec une attention particulière à la manière dont les images produites ont été (ou sont aujourd’hui) conservées.Ce travail fait le pari d’une écriture de l’histoire (en cours) qui assume les manques et les vides – point que partagent ici chercheuse et sujets de la recherche - et s’élabore à partir de fragments (matériels tout autant que numériques) en mouvement, en s’efforçant de mettre en relief comment leurs circulations affectent à chaque fois leur compréhension et significations
This thesis traces the trajectories of some selected images, first taken of and then by Somali men and women from the Horn of Africa since the late 19th century to the present.Taken during ethnographic exhibitions of Somalis in Europe (of which this workproposes a detailed timeline since 1890) or commercial and political exploration missions to East Africa, these photographs have been both the medium and vector through which a certain knowledge has been produced and circulated concerning these people. This study undertakes, therefore, to examine the modes and contexts ofproduction, consumption and filiation of these "Somali images" in learned societies and popular newspapers in France.The study of the circulation and reappropriation of these historical images today on the Internet to serve contemporary purposes then leads to an analysis of how, in the digital era, a young, Internet-savvy generation from the Somali diaspora is now reclaiming its voice (raising questions about who can speak and how) through new website and blog projects, which attempt to establish (or mend?) an alternative Somali photographic archive. Thus, these projects both question the image of Somalia in the international media (an image associated, to a great extent, with famine, Islamic terrorism, piracy and "failed states") and offer new ways of preserving and transmitting other, often buried, memories of this country and its past before the civil war in the context of a certain "destruction of history".Finally, the third and last part of this study briefly revolves around photographicpractices observed in Djibouti during fieldwork from 2010 to 2012, here again with aparticular attention to the ways in which images are produced and conserved.This thesis raises the challenge of writing an on-going history that embraces itslacunae and voids – a feature that the researcher and the "subjects" of the research share – based on evolving material and digital fragments, in an attempt to highlight how their circulations profoundly affect their meanings and they ways in which we understand and make sense of them

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