Journal articles on the topic 'Incertitude du taux de change'

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Viviani, Jean-Laurent. "Incertitude, arbitrage et taux de change." Économie & prévision 123, no. 2 (1996): 223–28. http://dx.doi.org/10.3406/ecop.1996.5801.

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Belke, Ansgar, and Ralph Setzer. "Incertitude sur le taux de change et chômage dans les pays candidats : un argument pour l'euroïsation ?" Économie & prévision 163, no. 2 (2004): 63. http://dx.doi.org/10.3917/ecop.163.0063.

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3

Belke, Ansgar, and Ralph Setzer. "Incertitude sur le taux de change et chômage dans les pays candidats : un argument pour l’euroïsation." Économie & prévision 163, no. 2 (2004): 63–74. http://dx.doi.org/10.3406/ecop.2004.7343.

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4

Correa, Francisco. "Tasa de descuento ambiental Gamma: una aplicación para Colombia." Lecturas de Economía, no. 69 (February 16, 2009): 141–62. http://dx.doi.org/10.17533/udea.le.n69a739.

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Abstract:
Este artículo tiene como objetivo central describir y aplicar una metodología para estimar la tasa de descuento en proyectos de largo plazo para Colombia, como son los proyectos relacionados con la conservación ambiental y el cambio climático global. La metodología aplicada es conocida como el descuento gamma. Para la aplicación de este método se realizó una encuesta a 120 economistas de Colombia, de esta forma se obtuvo una tasa descuento mucho menor que la tasa social de descuento usualmente utilizada en la evaluación económica de proyectos de largo plazo en el país. Adicionalmente, las estimaciones realizadas permiten verificar la declinación en el tiempo de dicha tasa de descuento. Palabras clave: descuento, preferencias intertemporales, impactos ambientales, análisis costo-beneficio, incertidumbre. Clasificación JEL: B41, D91, Q51 Abstract: The main purpose of this article is to describe and apply a methodology to estimate the discount rate on long-term projects, such as those related to environmental conservation and global climate change, for Colombia. The applied methodology is known as gamma discount. For the application of this method, a survey of 120 Colombian economists was conducted. This yielded a much smaller discount rate than the social rate of discount typically used in the economic evaluation of domestic long-term projects. Additionally, the obtained estimations allow verifying the decline in time of such a discount rate. Keywords: discount rate, intertemporal preferences, environmental impacts, cost-benefit analysis, uncertainty. JEL Classification: B41, D91, Q51 Résumé : Cet article présente une méthodologie permettant d.estimer le taux d.actualisation dans la valorisation des projets de long terme pour la Colombie, notamment les projets associés à la préservation de l.environnement et le changement climatique. La méthodologie que nous appliquons est connue comme l.escompte gamma. Pour ce faire, nous avons fait un sondage auprès de 120 économistes de Colombie, ce qui nous a permit d.établir un taux d.escompte beaucoup plus petit que le taux social d.escompte traditionnellement utilisé dans l'évaluation économique des projets de long terme dans le pays. En plus, les estimations effectuées permettent de vérifier la chute de ce taux d.escompte dans le temps. Mots Clef: taux d.escompte, préférences intertemporelles, impacts environnementaux, analyse coût bénéfice, incertitude. Classification JEL: B41, D91, Q51
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Baudchon, Hélène, Odile Chagny, Thierry Latreille, Catherine Mathieu, Olivier Passet, Christine Rifflart, and Paola Veroni. "Une certaine hésitation. Perspectives 2000-2001 pour l'économie mondiale." Revue de l'OFCE 75, no. 4 (December 1, 2000): 7–104. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p2000.75n1.0007.

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Abstract:
Résumé L'année 2000 sera le meilleur millésime de croissance mondiale depuis 1984, grâce à la conjonction de facteurs favorables : effets de la nouvelle économie, surtout aux Etats-Unis ; sortie de crise en Asie, en Amérique latine et en Russie ; dynamisme persistant de la Chine et de plusieurs pays d'Europe en transition ; nouvel essor européen. Seuls quelques pays (Japon, Argentine) restent en retrait. Pourtant, les incertitudes se sont amplifiées au cours des six derniers mois. Le prix du pétrole reviendrait de 30 dollars fin septembre 2000 à 26 en 2001, le marché retrouvant un certain équilibre et l'OPEP reprenant le contrôle de la situation. La glissade de l'euro depuis janvier 1999 s'explique par des facteurs psychologiques, mais surtout structurels (les États- Unis ont repris le leadership dans les secteurs innovateurs ; leur taux de change réel d'équilibre s'est apprécié) et conjoncturels (un dollar fort permet aux États-Unis de lutter contre l'inflation, et à l'Europe d'impulser sa croissance). L'euro se redresserait lors du basculement de croissance en faveur de l'Europe, vers la mi-2001. Depuis le début de l'année, la Bourse stagne aux États- Unis. Compte tenu du niveau élevé atteint par les PER et de la fin de la montée en puissance des valeurs technologiques, une période prolongée de fluctuations autour d'une tendance plate, permettant le retour progressif des PER à un niveau normal est envisageable. Les taux d'intérêt à court terme ont fortement remonté depuis la mi-1999. La hausse des taux longs a été beaucoup plus faible. Aux États-Unis, une détente monétaire aurait lieu courant 2001. La politique monétaire ne constituerait pas un frein puissant à l'échelle mondiale, les taux restant bas relativement au taux de croissance anticipé. Les premiers signes de ralentissement apparaissent aux États-Unis. Grâce aux gains de productivité induits par les technologies de l'information et de la communication, l'inflation reste modérée, malgré un taux de chômage historiquement bas. Les plus-values boursières ne soutenant plus la consommation, le taux d'épargne remonterait en 2001. Les effets induits de la nouvelle économie limiteraient l'infléchissement de l'investissement. La croissance serait de 5,3 % en 2000 et de 3,3 % en 2001, le déficit extérieur atteignant 5,1 % du PIB. En 2000, comme en 1999, le PIB Japonais serait en net repli au second semestre en raison des à-coups de la politique budgétaire. L'investissement productif, tiré par les technologies de l'information est en accélération. Mais les indicateurs de commandes et de ventes restent atones. La dégradation de l'emploi et la stagnation des revenus pèseraient encore sur la consommation des ménages ; la mauvaise rentabilité des entreprises et leur surendettement sur leur investissement. Après 1,7% en 2000, la croissance ne serait que de 1,6% en 2001. Depuis le passage à vide de la fin 1998-début 1999, la zone euro a connu une croissance vigoureuse et généralisée, l'Italie restant seule en retrait. La hausse du prix du pétrole grève la croissance en 2000, d'un point de PIB. L'inflation a dépassé 2% dans les onze pays en juillet. Aucune spirale inflationniste ne s'est enclenchée, la hausse des prix de l'énergie et les tensions sur le marché du travail ne s'étant pas traduites en fortes augmentations salariales. La ponction pétrolière continuerait à peser sur la consommation des ménages au second semestre 2000, mais celle-ci serait soutenue en 2001 par la baisse du taux de chômage et les réductions d'impôts. Grâce à la bonne santé financière des entreprises et la nécessité d'investir dans les nouvelles technologies, l'investissement ne serait pas fortement affecté. L'indice de confiance dans l'industrie s'est légèrement tassé dans les dernières enquêtes, mais demeure à un haut niveau. La zone euro connaîtrait un certain ralentissement au second semestre 2000, corroboré par l'indicateur avancé de l'OFCE, puis une reprise en 2001. La croissance serait de 3,5% en 2000 et de 3,3% en 2001.
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Drèze, Jacques H., and Edmond Malinvaud. "Croissance et emploi : l'ambition d'une initiative européenne." Revue de l'OFCE 49, no. 2 (June 1, 1994): 247–88. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.49n1.0247.

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Abstract:
Résumé Depuis bientôt vingt ans, le chômage européen est un problème social majeur et le signe d'une importante sous-utilisation des ressources à une époque où existent bien des besoins insatisfaits. Alors que l'emploi a crû de près de 6 % entre 1987 et 1990 dans la Communauté Européenne des douze, le taux de chômage dépasse à nouveau 10 % et s'élève. Même selon des prévisions raisonnablement optimistes (un taux de croissance de 2,5 à 3 %) le taux de chômage dépassera 10 % durant au moins quatre ou cinq ans. Cette note prend position sur les politiques de court, moyen et long terme que nous considérons comme les mieux aptes à promouvoir la croissance et l'emploi en Europe Occidentale. Nous prétendons qu'actuellement une politique budgétaire active ne paraît pas constituer un instrument adéquat pour la stabilisation économique à court terme. L'attention devrait plutôt se concentrer sur la consolidation structurelle à moyen terme des budgets, un objectif négligé durant l'expansion de la fin des années 80. Mais nous plaidons pour une stimulation monétaire, à obtenir par une forte réduction des taux d'intérêt nominaux à court terme ; nous proposons le niveau de référence zéro pour les taux d'intérêt réels à court terme, pour aussi longtemps que l'on n'observe pas clairement que la reprise est engagée. S' agissant des politiques de moyen terme, nous recommandons deux ensembles de mesures relatifs respectivement aux coûts du travail et à l'investissement. Nous notons que le chômage élevé se concentre fortement sur les travailleurs non qualifiés. De plus nous trouvons la preuve d'un désaccord croissant entre les structures par qualifications de l'offre et la demande de travail, la composition de celle-ci se modifiant vite au détriment des travailleurs non qualifiés. Cette observation justifie que l'on investisse dans l'enseignement et la formation. Nous considérons qu'elle justifie aussi des mesures visant à réduire le coût du travail non qualifié par rapport aux coûts du travail qualifié et du capital. Un élément important du coût du travail est constitué par des impôts et contributions sociales, qui entraînent un écart, particulièrement substantiel pour le travail non qualifié, entre le coût pour les employeurs et le coût d'opportunité pour la société — de 30 % à 50 % dans les pays de la Communauté. Nous prétendons que le moment est venu de réduire cet écart et nous proposons d'exempter le salaire minimum des contributions sociales à la charge des employeurs. Cela peut se faire soit en percevant de telles contributions, pour tout salaire, sur la part excédant le salaire minimum, soit en introduisant une exonération dégressive s'élevant à 100 % au niveau du salaire minimum et décroissant linéairement jusqu'à zéro au niveau double. La première modalité implique une réforme substantielle des systèmes fiscaux, car son coût direct s'élève à environ 3,2 % du PIB en moyenne dans la Communauté, avec des différences importantes suivant les pays. En revanche, le coût de la seconde modalité est plutôt de l'ordre de 1,2 % du PIB. Dans les deux cas, des ressources de remplacement doivent être trouvées pour la sécurité sociale. Une source naturelle serait l'impôt sur les émissions de CO2 qui est actuellement examiné par les pays de la Communauté (avec un rendement estimé de l'ordre de 1 à 1,3 % du PIB). Une autre source résiderait dans un relèvement des taux de la TVA. Pour la définition exacte, la mise en œuvre et le financement de cette mesure, il y a évidemment place à des mesures spécifiques aux divers pays. Les simulations économétriques faites en France et en Belgique concernant les exonérations de taxes sur le travail, doivent être considérées comme imprécises. En termes généraux elles confirment nos idées selon lesquelles il ne faut certes pas espérer un miracle, mais des gains appréciables en emploi peuvent être attendus à moyen terme, sans coût budgétaire, si notre proposition est appliquée sans timidité. A propos de l'investissement, nous reconnaissons que des capacités inutilisées limitent les perspectives immédiates d'équipe- ment des entreprises. Mais nous prétendons que des ressources inemployées peuvent être mobilisées pour des investissements riches en travail, qui auraient des rendements sociaux adéquats et contribueraient de plus à soutenir la demande globale. C'est aussi la logique de l'initiative d'Edimbourg, où les réseaux trans-euro- péens ont reçu la priorité, ainsi que les petites entreprises. Nous prétendons cependant que l'ensemble convenu à Edimbourg est insuffisant. Un programme d'investissement dont le montant correspondrait aux efforts à venir pour la consolidation structurelle des budgets ne créerait pas de tension sur les marchés du capital, tout en compensant le retard pris par les investissements publics dans la décennie passée. Nous avançons le chiffre de 250 milliards d'Ecus (soit grosso modo huit fois l'objectif d'Edimbourg) comme un but réaliste à moyen terme. Nous proposons de privilégier aussi des domaines tels que le logement pour les ménages à bas revenus, la rénovation urbaine et les transports urbains. Afin de stimuler les investissements ainsi visés, nous suggérons que l'on s'en remettre surtout aux subventions à l'emploi, en proportion du contenu en travail des projets retenus. Une telle disposition renforcerait, voire anticiperait, sur notre proposition précédente destinée à réduire les coûts du travail ; elle aurait surtout pour effet d'élargir l'ensemble des projets attractifs pour des investisseurs privés et des autorités locales. De plus un meilleur accès au marché du capital devrait être recherché grâce à la collaboration d'intermédiaires institutionnels, à l'accroissement des missions de la Banque Européenne d'Investissement, à l'extension ou à la duplication du Fonds Européen d'Investissement. Notre discussion des problèmes structurels se concentre sur les principes de base. Nous insistons d'abord sur les effets défavorables des incertitudes actuelles qui touchent non seulement certains taux d'inflation, d'intérêt et de change, mais aussi les évolutions institutionnelles dans le domaine monétaire, y compris la tentation récurrente de dévaluations compétitives. Nous ne choisissons pas un programme politique spécifique. Mais nous proclamons que réduire les incertitudes institutionnelles à propos des monnaies constitue un objectif important en lui-même. Il devrait être poursuivi activement, afin d'engager l'Europe monétaire sur une voie plus prometteuse pour l'emploi qu'un retour à des taux de change flottants libres entre les monnaies d'économies relativement petites et intégrées entre elles par d'étroits liens commerciaux. Nous examinons ensuite les finances publiques et l'Etat-provi- dence, en reconnaissant que plusieurs pays ont besoin d'une consolidation structurelle de leurs budgets et qu'il existe des éléments de déception quant aux effets des régimes sociaux. Etudiant la logique économique de l' Etat-providence, nous concluons que les réformes à réaliser devraient viser à le rendre plus svelte et plus efficace, non à le démanteler. Pour cela il faut revoir à fond l'efficacité opérationnelle et distributive des programmes existants, afin d'atteindre deux objectifs difficilement compatibles : réduire dans la plupart des pays la part des transferts sociaux dans le PIB, renforcer la protection des plus mal dotés. Les économistes devraient intensifier leur participation aux recherches destinées à relever cet important défi. Enfin, nous tirons les conséquences salariales d'une Initiative Européenne de Croissance visant à une période d'expansion soutenue, donnant la priorité à l'emploi par rapport aux salaires réels. Nous estimons qu'un schéma réaliste associe une croissance de la production de plus de 3 % l'an à une augmentation de l'emploi de plus de 1 % l'an. Cela laisse une marge d'au plus 2 % pour les salaires réels. Etant donné la présence du glissement salarial, le calcul semble conduire à des accords négociés avec des taux réels à peu près constants. Ce schéma est-il réaliste ? Nous soulevons alors la question controversée du rôle que peuvent jouer sur les salaires les poids comparés des impôts sur le capital et le travail. Nous reconnaissons que la baisse de la part des salaires au cours des années 80 a été accompagnée d'une augmentation de la part des revenus d'intérêt, qui dans de nombreux cas sont peu taxés, notamment en raison de la mobilité des capitaux et d'une concurrence fiscale entre pays. A défaut de déclarations systématiques, un prélèvement à la source uniforme au niveau européen, est le seul moyen de corriger ce déséquilibre en faveur des revenus d'intérêt. La question de savoir si un tel prélèvement est ou non désirable en lui-même de façon permanente est débattue entre spécialistes de la fiscalité. Le débat devrait être élargi pour tenir compte de ce que l'équité dans le traitement fiscal du capital et du travail pourrait contribuer de façon significative à la modération salariale, bien qu'il soit prématuré de considérer les preuves empiriques comme concluantes à cet égard. Nous espérons avoir identifié un ensemble de mesures formant un tout cohérent et avoir défini une initiative ayant la taille du problème qui nous confronte. Ces mesures ont des implications budgétaires conduisant à réallouer quelques pour cent du PIB, donc davantage qu'on l'envisage habituellement. Et elles relèvent de la responsabilité d'un vaste ensemble d'institutions qui ne sont pas engagées dans une coordination systématique de leurs politiques. De sérieux problèmes devraient ainsi être résolus pour une mise en œuvre. Nous en appelons aux responsables politiques pour qu'ils fassent preuve d'audace et de détermination en affrontant ces problèmes. Et nous en appelons aux économistes des milieux académiques pour qu'ils participent activement à la définition et à la promotion d'une initiative européenne ambitieuse.
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des, Département, Jacky Fayolle, and Françoise Milewski. "Le crépuscule des monnaies fortes." Revue de l'OFCE 57, no. 2 (July 1, 1996): 5–94. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1996.57n1.0005.

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Abstract:
Résumé En 1996, le commerce mondial évoluera, dans la foulée du ralentissement de 1995, à un rythme bien plus proche de sa tendance de longue période (5 % l'an) que de la performance moyenne des années 1994-1995 (plus de 10 % l'an). L'infléchissement est net début 1996, surtout pour le commerce intra-européen. Ensuite, le commerce mondial et la demande adressée aux pays européens reviendraient, jusqu'à la fin 1997, sur un rythme de 6 à 7% l'an. La révision des comptes nationaux américains amène à une vision renouvelée de l'expansion enregistrée par les Etats-Unis ces dernières années. C'est dès l'année 1995 désormais que l'atterrissage en douceur paraît s'être inscrit dans les chiffres de croissance (+2,1 % pour le PIB après 3,5 % en 1994). Ce ralentissement doit être compris non pas comme le terme définitif de la phase d'expansion engagée en 1991- 1992, mais comme une pause, qui diffère les tensions, avant un rebond ultérieur. Comme l'action de la Réserve fédérale devrait être assez pragmatique pour éviter aussi bien le risque inflationniste que celui d'une déstabilisation de l'activité, la croissance du PIB, encore en ralentissement en 1996 (+ 1,6 %), reprendrait de la vigueur en 1997 (+ 2 %). Depuis la fin 1995, l'embellie de l'économie japonaise est confortée par la multiplication de signes précurseurs favorables. L'économie japonaise n'en est cependant qu'au stade de la récupération du terrain perdu lors de la rechute du printemps 1995. Le redressement de la demande privée reste partiel. Au-delà d'un horizon de quelques trimestres, la croissance envisageable pour le Japon reste modérée. Le gain sera net en 1996 (+ 2,3 % pour le PIB contre + 0,7 % en 1995) mais 1997 n'enregistrerait pas d'accélération (+ 2,2 %). L'affaissement de la croissance européenne au cours de 1995 n'est pas une simple pause technique, qui manifesterait l'adaptation normale _du_çomportement de stockage aprèsja reprise rapide de 1994. Il repose sur une sérieuse défaillance de la demande finale externe eTinferne, qui interrompt à contretemps le cycle européen, avant que des tensions substantielles sur l'offre aient pu être enregistrées. L'Allemagne rencontre aujourd'hui des difficultés spécifiques sur les marchés internationaux. Elle n'a pas engagé, comme cela était attendu, la reconstitution de ses parts de marché à l'exportation, qui avaient fortement chuté en 1992- 1993. La déception causée par la rechute allemande de 1995 ne signifie pas pour autant une détérioration cumulative de l'activité Outre-Rhin. Les signes de faiblesse sont maximaux en début d'année. Mais les facteurs existent pour une récupération progressive de l'activité, à partir du second semestre 1996. La politique monétaire est supposée rester accommodante. Les exonérations fiscales entrées en vigueur vont redonner du tonus au revenu des ménages. La normalisation des taux de change aidera à la stabilisation des parts de marché à l'exportation. Lestée par les mauvaises performances de la fin 1995 et du début 1996, la progression du PIB resterait faible en 1996 (+ 0,9 %), mais serait plus honorable en 1997 (+ 2,3 %). En France, après le repli du quatrième trimestre 1995, quelques bonnes nouvelles sont apparues au début de 1996, en particulier du côté de la consommation des ménages. Mais les anticipations des entreprises restent dégradées, les carnets de commande sont encore dégarnis, et surtout, les stocks sont jugés excessifs ; l'ajustement des stocks à la demande est donc encore à venir. La demande intérieure finale resterait modérée. Les composantes publiques de la demande (consommation et investissement des administrations) sont orientées à la baisse. La consommation des ménages pâtirait cette année de la faiblesse du revenu ; elle se redresserait à la charnière de 1996 et 1997 grâce à un regain de la masse salariale. C'est la condition pour que la reprise de l'investissement s'amplifie. Les entreprises ont déjà, en 1995, reporté nombre de leurs projets ; leur réalisation suppose un retour d'anticipations favorables sur la demande finale. La reprise des exportations serait progressive, mais supérieure à celle des importations en 1996. Dans le cycle actuel, la France, qui avait dépassé la moyenne européenne dans la reprise de 1994, a décliné plus fortement dans le repli de 1995 et 1996. Les incertitudes sont de deux ordres : en premier lieu, elles concernent la nature de l'ajustement du marché du travail. Depuis l'automne 1995, les effectifs ont stagné ; si les embauches redémarrent progressivement avec le rebond d'activité, alors le regain de la masse salariale fondera celui du revenu disponible et de la consommation. Mais cela signifie que la productivité reste faible. En second lieu, les incertitudes de politique économique demeurent. En matière monétaire, on a supposé que les taux d'intérêt courts continueraient de baisser jusqu'à la fin 1996 et se stabiliseraient ensuite. La baisse des taux longs serait faible. Cette détente est favorable à la croissance, mais elle intervient tardivement dans le cycle. Sur le plan budgétaire, on a retenu qu'il n'y aurait pas de restriction supplémentaire du point de vue des prélèvements, mais une surveillance accentuée des dépenses. Ces deux incertitudes conditionnent la consolidation de la reprise en 1997, après qu'elle aura été portée, à la fin de 1996, par l'arrêt du déstockage. Il faut ainsi prévoir que la détente monétaire se poursuive, que la restriction budgétaire ne s'accentue que modérément, que la reprise de l'emploi survienne, qu'enfin le contexte mondial permette une accélération de la demande extérieure, pour envisager une croissance économique de 1 % cette année et 2,5 % l'an prochain. C'est une croissance sous conditions. Laissant l'économie très en retrait de son potentiel, elle emporterait une très faible hausse des prix, une consolidation de l'excédent extérieur et une légère baisse du chômage en 1997, après sa remontée en 1996.
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Crettez, Bertrand, and Johanna Etner. "Les effets d'un risque démographique sur l'épargne." Recherches économiques de Louvain 64, no. 3 (1998): 269–91. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800012823.

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RésuméCet article étudie les effets sur l'épargne d'une incertitude sur le taux de croissance de la population dans un modèle à générations imbriquées. Nous montrons que les hypothèses nécessaires à la formation d'une épargne individuelle de précaution ne suffisent pas dans un cadre d'équilibre général. Le motif de précaution ne permet plus à lui seul ainsi de déterminer l'influence d'un accroissement du risque sur l'épargne d'équilibre.
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Fayolle, Jacky, and Françoise Milewski. "L'investissement fuit le risque." Revue de l'OFCE 53, no. 2 (June 1, 1995): 5–106. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.53n1.0005.

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Abstract:
Résumé Le commerce mondial a bénéficié, en 1994, du cumul d'un ensemble de facteurs expansifs, qui lui ont permis d'enregistrer une croissance de l'ordre de 10 %. Tous ces facteurs ne se reprodui- ront pas avec la même intensité en 1995 et 1996 : — sous l'impulsion d'un durcissement déjà largement acquis de la politique monétaire, l'économie américaine enregistrera un ralen- tissement maîtrisé mais net, qui l'amènera en-deçà d'une crois- sance de 2 % l'an en 1996 ; — les économies émergentes qui connaissent des déséquilibres courants menaçants chercheront à mieux contrôler la croissance de leurs importations; — la faiblesse du dollar, sur l'ensemble de l'horizon de prévi- sion, exercera une pression concurrentielle prononcée envers les autres régions du monde. Même s'il se relève en 1996 par rapport à ses très bas niveaux actuels, le dollar ne le fera que modérément. Face à ces évolutions, les perspectives sont différenciées selon les régions du monde. Le Japon manifeste de grandes difficultés à réussir une sortie endogène de la récession des dernières années. Il n'y parvient que dans la mesure où l'impulsion publique ne se relâche pas. Les reconstructions nécessitées par le séisme de Kobé contribueront positivement à la croissance japonaise en 1995. C'est seulement en 1996 que celle-ci connaîtra une performance supé- rieure à 3 % l'an, lorsque la demande privée prendra le relais de l'impulsion publique. En 1995 la croissance allemande bénéficiera du cycle d'investis- sements engagé chez ses partenaires européens, tandis que ceux- ci seront entraînés par la consolidation de l'expansion germanique. La reprise allemande, qui s'est engagée en 1994 sous l'impulsion de la reconstitution des stocks et des exportations, deviendra en 1995 une expansion prenant plus fermement appui sur la consom- mation des ménages. Ce sera le principal effet de l'issue des négociations salariales que de donner un coup de fouet à celle-ci. La croissance allemande atteindrait 3,7 % en 1995 (3,2 % pour la partie occidentale). L'Allemagne franchira au cours de 1995 le niveau jugé normal d'utilisation de ses capacités productives. Les autorités monétaires allemandes en tiendront compte pour resserrer progressivement, à l'horizon de 1996, les conditions monétaires. La croissance alle- mande reviendra alors à hauteur de sa croissance potentielle et enregistrera en moyenne annuelle un chiffre de 3,5 % (3 % pour les lànder occidentaux). Les autres pays européens deviendront plus contraints par le resserrement monétaire allemand. En France, la reprise s'est confirmée : les carnets de com- mandes et la production restent à haut niveau. Le redémarrage de l'investissement est effectif, l'ajustement des stocks s'est réalisé, la demande étrangère reste soutenue. Si la consommation a souffert du repli de l'automobile en fin d'année, les anticipations des pro- ducteurs de biens de consommation courante restent bien orien- tées. Le logement semble être le seul secteur où un retournement s'opère. A la date de cette chronique, les perspectives que l'on peut tracer pour l'économie française sont nécessairement tendan- cielles ; quelle qu'en soit l'issue, les élections présidentielles déboucheront sur une inflexion de la politique économique à la mi- 1995. Les incertitudes majeures de cette prévision concernent trois domaines : — la politique budgétaire suivie ne permettrait pas de vérifier le critère de Maastricht concernant le déficit public (qui doit être inférieur à 3 % du PIB) avant 1997 au plus tôt ; — la politique monétaire resterait dictée par la politique du change. L'inversion des taux, en mars 1995 serait éphémère grâce à la réduction de la prime de risque par rapport à l'Allemagne ; — l'évolution des salaires est également incertaine. Notre antici- pation de croissance des salaires (taux de salaire horaire, heures supplémentaires, primes) pourrait être sous-estimée si continuent de se développer les mouvements revendicatifs du printemps. Cette prévision tendancielle conduit à une croissance du PIB de 3,5 % en 1995 et 3 % en 1996. La reprise de la demande intérieure finale concernerait tout particulièrement l'investissement des entre- prises. Les achats des ménages pourraient s'intensifier sous l'effet d'un regain modéré du revenu et de la poursuite de la baisse du taux d'épargne ; les dépenses de consommation bénéficieraient de l'atonie de l'investissement logement. Le restockage, amorcé à la mi-1994, soutiendrait encore fortement la croissance de 1995, mais beaucoup plus faiblement en 1996. La forte reprise des exporta- tions serait compensée par celle, encore plus soutenue, des impor- tations. A la fin de 1996 le niveau d'équilibre du PIB à son potentiel ne serait pas encore atteint. L'utilisation des capacités de production resterait en-deçà des seuils de saturation conduisant à accélérer les hausses de prix et/ou élever le taux de pénétration des importa- tions sur le marché intérieur. Le chômage reculerait peu, la pro- gression des effectifs, même en incluant le développement du temps partiel, absorbant juste le surcroît de population active. En l'absence de tensions sur les capacités, l'inflation resterait très modérée, les prix des services évoluant de plus en plus près de ceux de l'industrie. Et les soldes extérieurs (commercial et courant) conserveraient des excédents proches de ceux de 1994.
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Bénassy-Quéré, Agnès, Sophie Béreau, and Valérie Mignon. "Taux de change d'équilibre." Revue économique 60, no. 3 (2009): 657. http://dx.doi.org/10.3917/reco.603.0657.

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Nancy, G., M. Aloy, Ph Gilles, and L. Gonçalves. "Cycles de change et choix d’investissement en incertitude." Recherches économiques de Louvain 59, no. 1-2 (1993): 235–56. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800044328.

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Abstract:
SummaryStarting from the definition of “probability” which provides an approach to monetary and real determinants of exchange rates, that paper tries to explain the relation-ships between the investment choices, business and exchanges rates cycles. The methodological framework is based on the Engel and Hamilton (1991) statistical investigations and an expectation modelling according to Bernanke (1983) work. The empirical results point out, on one hand, a very high option value for the investors in the real sector with respect to the monetary and financial assets. On the other hand, an option value differential according to the countries involved in the international investment process is proved.
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Blot, Christophe, Paul Hubert, and Rémi Odry. "Taux de change euro/dollar." Revue de l'OFCE 155, no. 1 (2018): 335. http://dx.doi.org/10.3917/reof.155.0335.

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Sabiston, David R. "Le pass-through du taux de change." L'Actualité économique 77, no. 3 (February 5, 2009): 425–54. http://dx.doi.org/10.7202/602359ar.

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Abstract:
RÉSUMÉÀ la suite de la disparition du système de Bretton Woods, le taux de change flottant n’a pas joué son rôle prévu d’équilibrage; les balances commerciales des principales nations impliquées dans le commerce n’ont tout simplement pas répondu, selon les attentes, aux appréciations et dépréciations de la monnaie. La piètre valeur prophétique des modèles traditionnels de l’élasticité du taux de change a renouvelé l’intérêt dans le lien théorique entre les taux de change et les prix des biens commerciaux. Cet article présente une étude critique de la nouvelle documentation théorique et empirique portant sur lepass-throughdu taux de change dans le but de donner une ligne directrice aux recherches ultérieures.
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Davies, Charles Nana. "Risque souverain et objectif de taux de change réel." Économie appliquée 55, no. 4 (2002): 61–84. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2002.3087.

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Abstract:
Cet article étudie les implications de la stabilisation du taux de change réel sur la BdP, le taux d'inflation et le taux d'intérêt domestique. L'hypothèse que le taux d'intérêt qui s'applique sur les actifs nets du pays inclut une prime de risque spécifique (PRS) est employée dans un modèle d'optimisation intertemporelle. Nous montrons que l'équilibre macroéconomique n'est stable que si le niveau de LT de cette PRS ne dépasse pas un seuil critique dont la maîtrise échappe aux autorités monétaires. Lorsque le taux de la PRS est endogéneisé par la suite, la superneutralité de la monnaie disparaît et, en même temps, des mécanismes de transmission des chocs internationaux à l'économie nationale sont mis à jour.
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Dohni, Larbi. "Incertitude sur le change et multinationalisation en concurrence imparfaite." Revue économique 52, no. 4 (2001): 791. http://dx.doi.org/10.3917/reco.524.0791.

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Demangeot, Jean. "Certitudes et incertitudes du « Global Change » (Certitude and incertitude of « Global change »)." Bulletin de l'Association de géographes français 73, no. 4 (1996): 278–82. http://dx.doi.org/10.3406/bagf.1996.1938.

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Gente, Karine. "Taux d’intérêt et taux de change réel dans un modèle à horizons finis." Recherches économiques de Louvain 66, no. 4 (2000): 439–62. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800008381.

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Abstract:
RésuméDans cette étude, il s’agit de caractériser le taux de change réel d’équilibre de long terme d’une petite économie ouverte à deux secteurs de production, dans laquelle les agents ont une durée de vie finie au sens de Blanchard (1985). Ce cadre théorique permet de relâcher l’hypothèse d’égalité entre le taux de préférence pour le présent et le taux d’intérêt mondial. Par ce biais, l’écart entre le taux d’intérêt et le taux de préférence pour le présent détermine la position financière nette de l’économie domestique vis-à-vis du reste du monde. Celle-ci conditionne en retour la réaction des principales variables économiques à une modification exogène du taux d’intérêt. L’impact d’une hausse du taux d’intérêt sur le taux de change réel d’équilibre dépend de la valeur des élasticités de la production par rapport au capital dans les deux secteurs, tandis que la consommation et le stock de capital se comportent différemment selon la position financière du pays.
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Sauner-Leroy, Jacques Bernard. "Incertitude environnementale, aversion au risque du dirigeant et investissement productif des petites et moyennes entreprises." Revue internationale P.M.E. 12, no. 3 (February 16, 2012): 33–57. http://dx.doi.org/10.7202/1008658ar.

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Abstract:
Cet article a pour objet de tester empiriquement les liens entre le niveau d'investissement productif des PMI et le degré d’incertitude de leur environnement et d’aversion au risque de leur dirigeant. Cette analyse est effectuée à partir de données issues de l’enquête qualitative de la Banque de France menée en 1996 sur les comportements stratégiques de 1439 PMI de l’industrie manufacturière française. Quatre styles de management, correspondant à des niveaux d’incertitude et d’aversion au risque opposés, sont mis en évidence et associés à des taux d’investissement significativement différents. Le recours à une régression multiple permet ensuite de confirmer et d’affiner les résultats obtenus. Il en ressort notamment que les phénomènes combinés d’incertitude et d’aversion au risque apparaissent comme des déterminants pertinents de la décision d’investir. Les conclusions de cette étude indiquent que, nonobstant un nécessaire renforcement de leur structure financière, la stimulation de l’investissement des PMI passe par des actions de sensibilisation à l’importance du recueil et du traitement de l’information stratégique ainsi que par des incitations à l’accroissement de leurs efforts en matière de dépenses en recherche et développement.
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Hissler, Sébastien. "Les taux d'intérêt aident-ils à prévoir les taux de change ?" Économie & prévision 178, no. 2 (2007): 159–65. http://dx.doi.org/10.3406/ecop.2007.7650.

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Hissler, Sébastien. "Les taux d'intérêt aident-ils à prévoir les taux de change ?" Économie & prévision 178-179, no. 2 (2007): 159. http://dx.doi.org/10.3917/ecop.178.0159.

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Hadjmaoui, Toufik, and Hanane Benatek. "Mésalignemlent et efficience du taux de change parallèle « cas du dinar Algérien »." Dirassat Journal Economic Issue 4, no. 1 (January 1, 2013): 225–41. http://dx.doi.org/10.34118/djei.v4i1.611.

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Abstract:
Les déviations du taux de change réel observé par rapport à sa valeur d’équilibre (mésalignement) pourraient avoir des implications indésirables sur l’économie réelle, en particulier sur la compétitivité internationale et sur l’allocation des ressources nationale. Pour cela, les autorités monétaires algérienne cherchent, en adoptant le régime de flottement géré, à assurer la stabilisation du taux de change réel du dinar à son niveau d’équilibre qui participe à la promotion d’un climat favorable à l’investissement en mettant en œuvre des réformes monétaires dans le but d’aligner le taux de change officiel sur le taux de change informel d’un part et la stabilisation macroéconomique d’autre part. L’objectif principale de ce travail est de d’étudier la possibilité d’utiliser le taux de change parallèle du dinar Algérien comme outil pour évaluer l’ampleur du mésalignement.
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Hairault, Jean-Olivier, Lise Patureau, and Thepthida Sopraseuth. "Le surajustement du taux de change." Revue économique 53, no. 3 (2002): 689. http://dx.doi.org/10.3917/reco.533.0689.

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23

Teiletche, Jérôme. "Le taux de change euro/dollar." Revue économique 54, no. 2 (2003): 295. http://dx.doi.org/10.3917/reco.542.0295.

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24

Bineau, Yannick, and Bernard Dupont. "Taux de change et soutenabilité extérieure." Revue économique 55, no. 4 (2004): 675. http://dx.doi.org/10.3917/reco.554.0675.

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25

Bouveret, Antoine, and Henri Sterdyniak. "Les modèles de taux de change." Revue de l'OFCE 93, no. 2 (2005): 243. http://dx.doi.org/10.3917/reof.093.0243.

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26

Davanne, Olivier. "La dynamique des taux de change." Economie et statistique 236, no. 1 (1990): 37–50. http://dx.doi.org/10.3406/estat.1990.5491.

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Hua, Ping, and Sylviane Guillaumont Jeanneney. "Politique du change et développement des exportations manufacturées en Chine." Revue économique 47, no. 3 (May 1, 1996): 851–60. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1996.47n3.0851.

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Abstract:
Résumé L'article montre comment les modalités de la politique de change, dans sa double dimension (réglementation des opérations et taux de change), contribue à expliquer la forte dépréciation réelle de la monnaie. Il se fonde sur un modèle explicatif du taux de change réel qui intègre, à côté de la dévaluation, la politique monétaire et le contrôle des prix. Il teste ensuite la sensibilité des exportations de biens manufacturés à la variation du taux de change réel.
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Decaluwe, B., and J. S. Bhandari. "Un cadre d’analyse pour l’étude d’un régime de double marché des changes imparfaitement cloisonné." Recherches économiques de Louvain 53, no. 1 (March 1987): 75–88. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800083032.

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Abstract:
I. INTRODUCTIONLes autorités du Fonds monétaire international ont toujours dévoilé une grande préoccupation face au développement de systèmes de taux de change doubles ou multiples. Malgré ces préoccupations et l’avis généralement exprimé par les experts qu’un système de taux de change multiples est discriminatoire et moins efficace qu’un mécanisme de change unifié, de nombreux pays ont eu recours à des sytèmes de taux de change multiples ou doubles pour atténuer leurs problèmes de balance des paiements. Inventorier la nature des régimes de taux de change doubles ou multiples dépasse l’objet de notre étude. Toutefois, un examen attentif des dispositions 1égales prises par les autorités monétaires de pays utilisant de tels régimes fait apparaître qu’ils fonctionnent différemment des schémas théoriques présentés par les économistes. Selon ces derniers, un régime de double marché des changes se caractérise par un cloisonnement complet entre le marché des changes réglementé réservé aux transactions commerciales et le marché des changes libre réservé aux transactions financières. C’est en s’appuyant sur cette hypothèse que les premiers travaux de Baratieri et Ragazzi [1971], Fleming [1971], Abraham et Martin [1970], Kouri et Porter [1974] et Swoboda [1974] évaluèrent l’efficacité des instruments de la politique fiscale et monétaire en régime de double taux de change en la comparant aux régimes de taux de change fixe ou flexible.
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Guillaumont Jeanneney, Sylviane. "La stabilisation des prix relatifs,objectif de la politique monétaire." Économie appliquée 38, no. 1 (1985): 309–23. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1985.4038.

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Abstract:
La variabilité de l’inflation caractéristique de la conjoncture économique contemporaine entraîne une très grande instabilité des prix relatifs, notamment des taux d’intérêt et des taux de change réels. L’article explique comment cette instabilité est simultanément une cause d’inflation et de chômage tant en courte qu’en longue période, et en tire les conséquences pour la politique monétaire : il convient de mener une politique monétaire stable, qui régularise les taux d’intérêt et les taux de change réels (et s’accompagne d’une indexation des créances).
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Couharde, Cécile, and Jacques Mazier. "La détermination des taux de change d’équilibre fondamentaux : une approche simplifiée." Économie appliquée 53, no. 3 (2000): 59–86. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2000.1732.

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Abstract:
L’objet de cet article est d’estimer, à partir d’une maquette simplifiée des échanges extérieurs, les taux de change d’équilibre fondamentaux des principaux pays industrialisés sur la période 1970-1998. Les résultats obtenus permettent de conclure que les taux de conversion des monnaies européennes en euro étaient proches de leur niveau d’équilibre et que le taux de change d’équilibre de la zone euros ne devrait pas être éloigné de un euro pour un dollar.
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Bénassy, Agnès, Murielle Fiole, Emmanuel Fourmann, and Henri Sterdyniak. "De la flexibilité des taux de change et de ses conséquences macroéconomiques." Revue de l'OFCE 40, no. 2 (June 1, 1992): 201–47. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1992.40n1.0201.

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Abstract:
Résumé Cet article présente une première tentative pour rendre endogènes les taux d'intérêt et les taux de change du modèle macroéconomique multinational MIMOSA, construit et géré conjointement par le СЕРН et l'OFCE. Les hypothèses, la structure et les propriétés des principaux modèles proposés par la théorie économique pour expliquer l'évolution des taux de change sont d'abord discutées : formation des anticipations, description de la politique monétaire, prise en compte de la contrainte extérieure et des effets de richesse... Les solutions choisies dans les autres modèles multinationaux sont exposées. Nous justifions alors le choix pour MIMOSA d'une spécification combinant un modèle de portefeuille, des fonctions de réaction des autorités monétaires et des anticipations semi-rationnelles des agents privés. Par la suite sont présentés les résultats des estimations économétriques des comportements financiers et les nouvelles propriétés variantielles du modèle MIMOSA intégré financièrement. Enfin, sont évaluées grâce au modèle intégré les hypothèses exogènes retenues pour la projection MIMOSA en 1991 pour les taux de change et les taux d'intérêt.
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Coiteux, Martin. "Le taux de change réel et le problème de l’ajustement : une synthèse des trois approches classiques de la balance des paiements." L'Actualité économique 72, no. 4 (February 13, 2009): 433–50. http://dx.doi.org/10.7202/602216ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article offre une synthèse originale des trois approches classiques de la balance des paiements dont le but est de mieux comprendre le rôle du taux de change réel dans l’ajustement d’une économie à sa contrainte de financement. En s’appuyant sur le respect de cette contrainte, la synthèse fait valoir que le développement récent d’une théorie de la balance des paiements d’inspiration essentiellement microéconomique ne devrait pas remettre en cause l’utilité des approches macroéconomiques traditionnelles. L’un des aspects originaux de cette synthèse est la formulation d’une approche monétaire sans parité des taux d’intérêt réels ni parité des pouvoirs d’achat permettant de traiter directement du taux de change réel plutôt que du taux de change nominal.
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Laskar, Daniel. ""Incohérence temporelle" de la politique monétaire optimale. Un argument en faveur des zones cibles." Revue économique 48, no. 1 (January 1, 1997): 5–22. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1997.48n1.0005.

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Abstract:
Résumé Le texte considère le problème que doit résoudre une Banque centrale qui veut stabiliser à la fois le taux de change et le taux d'intérêt. En l'absence de pos­sibilité d'engagement, la politique d'équilibre (la politique « temporellement cohé­rente ») n'est pas optimale. On montre que s'engager à maintenir le taux de change à l'intérieur d'une zone cible peut être bénéfique pour deux raisons. En premier lieu, parce que stabiliser le taux de change permet de se rapprocher de la solution linéaire stationnaire optimale. En second lieu, à travers l'effet de « lune de miel » une zone cible possède une propriété additionnelle commune avec la poli­tique qui est optimale lorsqu'il est possible de s'engager sur la politique future.
34

Carton, Benjamin, Karine Hervé, and Nadia Terfous. "Interventions de change asiatiques et taux de change d'équilibre." Économie & prévision 168, no. 2 (2005): 141. http://dx.doi.org/10.3917/ecop.168.0141.

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35

Oughlissi, Mohand Akli, and Samer Mehibel. "Régimes de change sous un modèle DGSE : question de choix dans une petite économie exportatrice du pétrole dans une perspective de diversification." les cahiers du cread 38, no. 3 (September 3, 2022): 27–54. http://dx.doi.org/10.4314/cread.v38i3.2.

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Abstract:
Dans la perspective d’une diversification économique en Algérie, il est intéressant de s’interroger sur la pertinence du régime de change à adopter ou plutôt le degré de flottement optimal du régime actuel. Nos résultats indiquent que le degré de flottement, dans une situation optimale, est estimé à 32,22% ce qui peut caractériser un régime flottant dirigé. A ce niveau du taux de change le producteur national est prêt à utiliser dans sa production finale 36% de la matière première importée tenant compte du niveau du taux de change, alors que la quantité requise pour la production est de 21%. Il y a lieu de signaler que notre simulation concerne les mêmes pourcentages, mais avant de simuler le niveau optimal du taux de change, était respectivement de 30% et 25%. Au niveau microéconomique nos résultats indiquent une forte stabilité des coûts marginaux à ce niveau du taux de change.
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Bouveret, Antoine, and Bruno Ducoudré. "Taux de change d'équilibre et politiques économiques." Revue économique 59, no. 3 (2008): 551. http://dx.doi.org/10.3917/reco.593.0551.

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37

López-Villavicencio, Antonia, Jacques Mazier, and Jamel Saadaoui. "Dimension temporelle et taux de change d'équilibre." Revue économique 63, no. 3 (2012): 535. http://dx.doi.org/10.3917/reco.633.0535.

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38

Khoudour-Castéras, David. "Taux de change fixes et migrations internationales." Revue de l'OFCE 82, no. 3 (2002): 83. http://dx.doi.org/10.3917/reof.082.0083.

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39

Ghadban, Socrat. "Taux de change et politique touristique durable." Management & Avenir 76, no. 2 (2015): 169. http://dx.doi.org/10.3917/mav.076.0169.

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40

Bineau, Yannick. "Équilibre extérieur et taux de change réel : apport du modèle de croissance contrainte par la balance des paiements." Articles 84, no. 3 (December 8, 2009): 263–85. http://dx.doi.org/10.7202/038709ar.

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Abstract:
Résumé L’article met l’accent sur les taux de croissance du taux de change réel et de ses déterminants fondamentaux, c’est-à-dire sur leur vitesse d’évolution, alors qu’une large part de ces travaux sur les taux de change porte sur son niveau. Les bases théoriques sont postkeynésiennes. Plus précisément, le modèle de croissance contrainte par la balance des paiements qui a été développé en 1979 par Thirlwall est étendu afin d’incorporer plus particulièrement les flux nets de capitaux de long terme. Le modèle ainsi amendé permet de montrer qu’une économie, qu’elle soit créditrice ou débitrice nette, qui souhaite atteindre une valeur donnée du taux de croissance de son taux de change réel doit prendre en compte une double contrainte sur sa balance des paiements. La première constitue la contrainte d’équilibre de long terme sur le solde des transactions courantes que tous les pays subissent. La deuxième décrit le déséquilibre courant temporaire qui peut exister à moyen terme en raison des flux compensateurs de capitaux. La combinaison des élasticités du commerce extérieur conditionne l’articulation entre ces deux contraintes et les modalités d’ajustement d’une nation à la suite d’un choc sur les flux nets de capitaux dépendent alors étroitement de cette combinaison entre ces deux expressions des comptes extérieurs. Le modèle montre qu’une politique d’appréciation ou de dépréciation du taux change réel doit tenir compte des valeurs prises par les élasticités du commerce extérieur.
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Couharde, Cécile, and Didier Borowski. "Euro, dollar, yen. Pour une approche multilatérale des taux de change d'équilibre." Revue économique 51, no. 3 (May 1, 2000): 671–81. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p2000.51n3.0671.

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Abstract:
Résumé L'objectif de cet article est d'estimer des taux de change d'équilibre des trois monnaies qui constituent le nouveau socle du SMI : l'euro, le dollar et le yen. Sur le plan théorique, notre analyse s'inscrit dans le cadre de l'approche dite de « l'équilibre macroéconomique » développée par le FMI et l'Institute for International Economics. Sur le plan empirique, les taux de change d'équilibre estimés résultent d'une approche de statique comparative qui repose sur les équations du bloc d'échanges mondiaux du modèle multinational Nigem. La nouveauté réside dans la présentation des sensibilités des taux de change d'équilibre aux écarts des balances courantes structurelles à leur cible.
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Rey, Serge. "L’apport du NATREX à la modélisation des taux de change d’équilibre : théorie et application au dollar canadien." Articles 85, no. 2 (September 1, 2010): 131–81. http://dx.doi.org/10.7202/044252ar.

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Abstract:
L’analyse des mésalignements des taux de change, sur/sous-évaluations des monnaies, reste au coeur des débats de la finance internationale. Or, ces mésalignements ne peuvent être définis et mesurés qu’en référence à un taux de change d’équilibre. On considère que le modèle pertinent doit répondre à certaines exigences, qui relèvent à la fois du contenu théorique et du caractère opérationnel. Au niveau théorique ce modèle devra s’attacher d’une part à expliquer la dynamique des taux de change réels, en distinguant notamment les équilibres de moyen et long terme; d’autre part à rendre compte de l’interaction taux de change-dette externe. On montre que les modèles standard de la littérature que sont la PPA, le modèle FEER et le modèle BEER, ne répondent que partiellement à ces exigences, et qu’a contrario, le NATREX constitue à ce jour l’approche la plus élaborée. On procède à une application empirique au cas du dollar canadien à partir des trois modèles de référence, le FEER, le BEER et le NATREX, sur la période débutant au 1er trimestre de 1970 et se terminant au 3e trimestre de 2008. On en déduit les valeurs correspondantes pour le taux de change nominal d’équilibre du dollar canadien contre dollar américain. On conclut que le NATREX constitue un guide utile pour les autorités monétaires, comme pour les opérateurs privés.
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Terfous, Nadia, Karine Hervé, and Benjamin Carton. "Interventions de change asiatiques et taux de change d’équilibre." Économie & prévision 168, no. 2 (2005): 141–47. http://dx.doi.org/10.3406/ecop.2005.7426.

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Artus, Patrick. "Degré d'asymétrie du SME et politiques monétaires en Europe." Recherches économiques de Louvain 61, no. 1 (1995): 43–67. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800010952.

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Abstract:
RésuméNous examinons l'effet de la situation économique de l'Allemagne après la réunification sur les taux d'intérêt en Europe et sur les taux de change vis-à-vis du dollar. Nous nous demandons en particulier ce qu'est la perspective la plus probable pour les parités, l'écart de taux d'intérêt entre la franc et le mark et les dettes exterieures. Nous ana-lysons la possibilité pour la France de mener une politique monétaire indépendante sans quitter le S.M.E. Cette possibilité dépend largement, nous le verrons, de la nature du risque de change entre franc, mark et dollar.
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KAHINDO SINAHALI. "Incidence de la hausse du taux de change sur le revenu des enseignants des écoles secondaires publiques de la commune de Kimemi/ ville de Butembo." Revue du Centre de Recherche Interdisciplinaire de l'Université Pédagogique Nationale 96, no. 1 (June 3, 2023): 175–81. http://dx.doi.org/10.62362/tgvt8197.

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Abstract:
Résumé Ce travail a analysé l’incidence de la hausse du taux de change au marché des biens et services sur les revenus des enseignants de la ville de Butembo vu que ces derniers sont payés en monnaie nationale alors que l’économie de la RDC est dollarisée. L’analyse des données a révélé que le taux officiel a connu une hausse au long de l’année 2018 et tout au long de l’année 2019, le taux de change officiel n’a pas tellement oscillé. Les revenus des enseignants sont restés identiques pendant toute la période de notre investigation.
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Bénassy, Agnès, Murielle Fiole, Emmanuel Fourmann, and Henri Sterdyniak. "De la flexibilité des taux de change et de ses conséquences macroéconomiques [La détermination des taux d'intérêt et des taux de change dans le modèle MIMOSA ]." Revue de l'OFCE 40, no. 1 (1992): 201–47. http://dx.doi.org/10.3406/ofce.1992.1273.

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Dai, Meixing, and Moïse Sidiropoulos. "Politiques économiques et dynamiques du taux de change et du prix des actions avec effets de «pass-through»." Économie appliquée 55, no. 1 (2002): 195–221. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2002.3065.

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Abstract:
Dans cet article , nous étudions l'efficacité de politiques économiques dans le cadre d'une petite économie ouverte où la relation entre le taux de change, le prix des actions et le niveau d'activité est soumise à des interactions entre l'effet de «pass-through » incomplet et l'effet de richesse. Ces derniers influencent d'une manière cruciale, d'une part, l'efficacité des politiques budgétaire et monétaire et, d'autre part, la relation entre les mouvements du taux de change et ceux du prix des actions. Les effets des politiques budgétaire et monétaire se différencient en fonction de l'intensité de ces deux effets et peuvent devenir dans certains cas différents des effets obtenus précédemment. En outre, la relation entre le taux de change et le prix des actions nationales devient ambiguë.
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Nicolini, Matteo. "Law, the Humanities and Political Incertitude in a Time of Climate Change." Legalities 1, no. 1 (March 2021): 91–115. http://dx.doi.org/10.3366/legal.2021.0008.

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Abstract:
This article addresses how climate change triggers relevant transformations in the realm of the law and affects our politico-legal paradigms. To this end, it delivers cross-disciplinary research by focusing on a non-fictional literary genre, i.e. climate-change pop-science, which has arisen very recently. The article also explores the concept of ‘strategic formalism’, i.e. a strategic legal device unable to govern societal concerns. On the one hand, it shapes our approach to climate change and migration; on the other, it adapts ecological issues to the ‘traditional’ legal framework. Against this background, the article argues that non-fictional texts also reflect the ideas of the most active forces within society, and fuel dynamism when tackling the ecological crisis. In a time of climate change, these forces stir strategic formalism, and make the law act as a bridge linking our troubled reality to an inclusive future.
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Baulant, Camille, Virginie Coudert, and Michel Aglietta. "Compétitivité et régime de change en Europe centrale." Revue économique 50, no. 6 (November 1, 1999): 1221–36. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1999.50n6.1221.

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Abstract:
Résumé Les pays d'Europe centrale connaissent une ouverture rapide au commerce international et le plus souvent une appréciation de leur taux de change réel. En construisant un modèle dont les équations sont estimées pour trois pays, la Hongrie, la Pologne et la République tchèque, on montre que la conjonction de ces deux facteurs structurels met en péril la modernisation dans le respect de l'équilibre extérieur. L'inflation est sous contrôle mais doit rester à un niveau assez élevé pour que les entreprises financent l'investissement productif sans recours excessif aux entrées de capitaux. Ces contraintes conduisent à des politiques de taux de change réel guidées par la profitabilité des entreprises.
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Hoarau, Jean-François. "Un modèle NATREX synthétique pour une petite économie « développée » ouverte contrainte sur les marchés internationaux de capitaux." Articles 89, no. 4 (September 2, 2014): 259–303. http://dx.doi.org/10.7202/1026445ar.

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Abstract:
L’objectif de cet article est de présenter un modèle synthétique de taux de change réel d’équilibre de type « NATural Real EXchange rate » pour une petite économie « développée » et ouverte mais confrontée à des marchés de capitaux imparfaits. Conformément à la tradition NATREX, le taux de change réel d’équilibre dépend de l’horizon temporel considéré. À moyen terme, il est déterminé, dans le cadre d’un équilibre de flux, conjointement par un ensemble de fondamentaux réels (la productivité globale, la demande étrangère, les termes de l’échange, le taux d’intérêt réel, la préférence pour le présent et les dépenses publiques) et de variables prédéterminées (le capital productif et la dette externe). À long terme, par contre, des ajustements de nature stock-flux, liés aux mouvements endogènes des variables prédéterminées, entrent en jeu. Le taux de change réel d’équilibre ne dépend plus alors que des seuls fondamentaux réels. Par ailleurs, cette présentation fait ressortir l’importance de certains paramètres structurels du modèle, à savoir l’effet richesse, l’élasticité des importations par rapport à l’investissement national et le degré de mobilité internationale des capitaux.

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