Academic literature on the topic 'Immigrants du sud du Zhejiang en France'

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Journal articles on the topic "Immigrants du sud du Zhejiang en France"

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Beraha, Richard. "Enfants chinois du Zhejiang en France." Diversité 150, no. 1 (2007): 171–78. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2007.2804.

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Abstract:
Quarante pour cent des enfants et des adolescents parmi les primo-arrivants reçus dans les dispositifs scolaires de l’académie de Paris sont chinois. Ce nouveau public – distinct des enfants issus du Sud-Est asiatique des années 1970 et 1980 – interroge enseignants et travailleurs sociaux. En effet, la barrière linguistique et culturelle dresse parfois un mur d’incompréhension entre les institutions et les familles, propice aux préjugés et au rejet. Cette défiance génère chez l’enfant comme dans sa famille un sentiment de « peur » et aboutit parfois à l’échec scolaire et à un repli sur « sa » communauté.
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Tarrius, Alain. "Birth of a Nomadic European People, History and Actuality of the Transmigrant Territories of Globalisation from Below in Southern Europe." Sociétés plurielles Exaptriate, Articles (August 31, 2021). http://dx.doi.org/10.46298/societes-plurielles.2021.8407.

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Abstract:
1980s: Algerian immigrants since 1962, little visible on the public scene, developed transnational commercial initiatives to supply vast underground markets emerging in France, Italy, Germany, Belgium and the Netherlands, then in Spain, while strengthening their ties with the Maghreb. After 1990, the Algerians of Europe, who were suffering the aftershocks of the civil war in Algeria, withdrew to local micro markets at the same time as the great Moroccan migration was unfolding: more than a million people in the decade created all sorts of European networks for housing, work, ... took over the cross‑border commercial activities of the Algerians, with more flexible and diversified logistics. It was in the early 2000s that they met the Afghan, Georgian, Russian and Ukrainian cohorts of East Asian transmigrants working for Southeast Asian firms, negotiating “poor to poor”, i.e. “by the poor for the poor”, duty and quota‑free, electronic products. Goods sent from Hong Kong to the Persian Gulf Emirates, where they escape the control of the WTO in order to invade, through sales at half price, the huge market of the poor in Europe, who are solvent under these conditions. Taking the trans‑Balkan route, they merged in 2003 in Italy with the Moroccans: a major route of Globalization from below, or among the poor, was thus born from the Black Sea to Andalusia via Bulgaria, Albania, Italy, Southern France and the Spanish Levant. Informal notaries» ensure the ethics of exchanges along this “circulatory territory”. Bypassing the survival markets of the big metropolises, Istanbul, Sofia, Naples, Marseilles, Barcelona, the capitals of the territories of the transmigrants of the “poor among the poor” are medium‑sized cities. In France, Perpignan is one of them. Little by little, Balkan women are joining the sex work movement in Spain, with psychotropic drug traffickers linked to the Italian ‘ndrangheta, Sacra Corona Unita, and the Russian‑Ukrainian Dnieper mafia, who are particularly active in the border areas of the Adriatic Sea, from Albania to Italian Puglia, and in the Catalan area, from Perpignan, Andorra, La Junquère, Sitges. Années 1980 : des « beurs, orphelins de la République » succèdent à leurs pères Algériens immigrés depuis 1962, peu visibles sur la scène publique. Échappés au regard, au contrôle, à la soumission étatique nombre de ces « pères disparus » ont développé des initiatives commerciales transnationales, pour alimenter de vastes marchés souterrains en France, en Italie, en Allemagne, Belgique et Pays Bas, puis en Espagne tout enrenforçant leurs liens avec le Maghreb. Organisés en interminables tournées, ces transmigrants deviennent des nomades de la mondialisation par le bas. Après 1990, les Algériens d’Europe, qui subissent les contrecoups de la guerre civile en Algérie se replient vers des micro‑marchés locaux alors même que se déploie la grande migration marocaine : plus d’un million de personnes créant toute sorte de réseaux européens pour se loger ou travailler, reprennent les activités commerciales transfrontalières des Algériens, avec des logistiques plus souples et diversifiées. C’est au début des années 2000 qu’ils rencontrent les cohortes afghanes, géorgiennes, russes et ukrainiennes de transmigrants de l’Est oeuvrant pour les fabriques du sud‑est‑asiatique en négociant en « poor to poor » c’est à dire « par les pauvres pour les pauvres », hors taxes et contingentements, des produits électroniques. Marchandises envoyées de Hong Kong vers les Émirats du golfe Persique où elles échappent au contrôle de l’OMC afin d’envahir, par des ventes à moitié prix, l’immense marché des pauvres en Europe, solvable à ces conditions. Empruntant la route trans‑balkanique, ils fusionnent, dès 2003, en Italie, avec les Marocains : une route majeure de la mondialisation par le bas, ou entre pauvres, naît ainsi de la mer Noire à l’Andalousie par la Bulgarie, l’Albanie, l’Italie, le Sud français et le Levant espagnol. Peu à peu des femmes balkaniques s’agrègent aux circulations pour le travail du sexe en Espagne, avec des trafiquants de psychotropes liés à la ‘ndrangheta, à la Sacra Unita italiennes, et à la mafia russo‑ukrainienne du Dniepr particulièrement actives dans les espaces frontaliers de la mer Adriatique, d’Albanie aux Pouilles italiennes, et dans l’espace Catalan, de Perpignan, Andorre, La Junquère, Sitges. Ces milieux financent les réseaux du poor to poor, après que Gordon‑Brown et Sarkozy l’aient interdit aux banques émiraties en 2006. Contournant les marchés de survie des grandes métropoles, Istanbul, Sofia, Naples, Marseille, Barcelone, les capitales des territoires des nomades de « l’entre pauvre » sont des villes moyennes. Désormais plus de deux cent mille nomades forment avec plusieurs millions de sédentaires une société cosmopolite en mouvement le long de l’Europe méridionale, susceptible de modifier les équilibres locaux
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Dominguez, Virginia. "Anthropologie israélienne." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.130.

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Abstract:
Israël est un pays complexe et les anthropologues qui en font l’étude le savent bien (Dominguez 1989; Marx 1980; Motzafi-Haller 2018). La plus grande partie de l’anthropologie en Israël a jusqu’à présent été réalisée par des anthropologues juifs, hommes et femmes, ashkénazes (principalement d’ascendance européenne du nord et de l’est d’Europe) et mizrachi (principalement d’origine nord-africaine, ibérique et du Moyen-Orient). Les juifs ashkénazes ont largement prédominé dans les domaines politique, universitaire, économique et artistique au cours des premières décennies qui ont suivi la création de l'État d'Israël, ce pays qui vient de fêter ses 70 ans. Il n'est donc pas surprenant qu’on y retrouve beaucoup plus d'anthropologues juifs ashkénazes que d’anthropologues juifs Mizrachim ou d’anthropologues palestiniens. La plupart des anthropologues en Israël sont des anthropologues sociaux ou socioculturels (Abuhav 2015). Certains d’entre eux sont des anthropologues praticiens / appliqués qui travaillent dans les ministères de l’éducation, de la santé et de l’absorption des immigrants juifs et qui ont font partie d’une association d’anthropologie appliquée. Mais beaucoup n’adhèrent à aucune association. L'archéologie, partie des quatre champs de l’anthropologie selon la conception américaine de cette dernière, n'est pas considérée comme une carrière anthropologique en Israël, même si elle y est considérée comme une discipline visible et importante. On trouve la présence d’anthropologues médicaux et biologiques en Israël, mais ils ne sont certainement pas la majorité et ils sont rarement embauchés par les départements de l'université ou du collège dans lesquels travaillent la plupart des anthropologues universitaires. Jusqu'à récemment, tous ces départements étaient dans les faits des départements de sociologie et d'anthropologie, composés d’une majorité de sociologues. Ce n'est que depuis 5 ans qu'un département entièrement composé d’anthropologues a vu le jour, soit le département de l'Université de Haïfa qui se consacre au niveaux supérieurs de formation. L’association d’anthropologie d’Israël ((HaAguda HaAntropologit HaYisraelit)) remonte au début des années 1970 et n’a compté jusqu’à présent que des anthropologues juifs comme chefs ou présidents. Des efforts ont été faits pour changer cette situation au fil des ans, car tous les membres de l’Association ne sont pas juifs et certains d’entre eux croient fermement qu’ils ne doivent pas tous être juifs. Cette question demeure délicate pour certains des membres les plus en vue de la communauté anthropologique en Israël, citoyens d’Israël mais également Palestiniens (Kanaaneh 2002; Sa’ar 2016). Alors que l’association d’anthropologie d’Israël s'oppose largement à l'occupation de la Cisjordanie et à toute forme de discrimination à l'encontre des Palestiniens, en particulier de ses concitoyens, cette organisation est toujours israélienne et a toujours été une association fortement juive. En fait, ce n’est que récemment que la plupart des départements universitaires israéliens ont engagé des Arabes, des Palestiniens, voire des musulmans, en tant que membres du corps enseignant. Pour les quelques Palestiniens qui occupent actuellement ces postes dans des universités ou des collèges israéliens, les postes de direction de l'association anthropologique israélienne les laisseraient ouverts à la critique selon lesquelles ils seraient simplement des collaborateurs ou des complices des sionistes israéliens qui considèrent Israël comme un pays réservé aux juifs et un pays réalisé par les juifs dont les valeurs morales l'obligent à être tolérant envers les non-Juifs parmi eux. Ainsi, une nouvelle association appelée Insaniyyat a simplement été créée ces dernières années pour et par des anthropologues palestiniens Pendant des années et avant la date de la fondation de l’association (1973) l’anthropologie a été enseignée aux niveaux universitaire dans toutes les grandes universités israéliennes et les étudiants ont obtenu un baccalauréat en sociologie et en anthropologie, une maîtrise en anthropologie et un doctorat en anthropologie en Israël. Le corps professoral et les étudiants israéliens font des recherches, présentent leurs travaux lors de conférences et pratiquent périodiquement des activités d'anthropologie engagée ou de plaidoyer. La qualité de leurs recherches et de leurs publications est généralement élevée, et les universités s'attendent à de nombreuses publications dans des revues savantes internationales de haute qualité destinées à toute personne considérée pour une promotion et une permanence. Pendant des années aussi, l'anglais a été fortement enseigné et fortement favorisé à la fois dans la communauté universitaire en général en Israël et dans la communauté anthropologique israélienne en particulier. En fait, la publication en hébreu dans des revues israéliennes n'a pas autant de valeur que celle dans des revues de langue anglaise au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Australie ou au Canada. Une partie de cette tendance est valable pour les universités israéliennes en général, mais une autre est spécifique à l'anthropologie en Israël. Au fil des ans, plusieurs influences ont marqué l'anthropologie en Israël. Le regretté professeur Shmuel Eisenstadt (1967), qui a marqué la sociologie et l'anthropologie en Israël, en particulier dans son département d'origine à l'Université hébraïque de Jérusalem, compte parmi celles-la. Pendant bon nombre d'années, ce professeur a été nommé à Harvard (pendant six mois) alors qu'il était également à l'Université hébraïque de Jérusalem. Ce professeur se croyait autant anthropologue que sociologue et considérait l'anthropologie comme une branche de la sociologie, cela bien que ce n’était généralement pas l’opinion des anthropologues qu’il était disposé à engager comme professeurs dans ce même département. Sa connexion à Harvard était importante. C’est vers les États-Unis qu’il s’est tourné en ses qualités de sociologue et d’anthropologue, mais aussi que sur l’organisation de l’enseignement supérieur en Israël. Ce n’était pas l’Allemagne, la Pologne, la France, l’Italie ou tout autre pays imaginable. Ce n’est donc pas un hasard si ce chercheur a privilégié les publications en anglais et plus particulièrement aux États-Unis. La deuxième influence importante qui a marqué l’anthropologie israélienne a été celle de la Manchester School dirigée par Max Gluckman, un juif sud-africain émigré en Angleterre à l’origine de ce puissant département d'anthropologie à l'Université de Manchester en Angleterre. Gluckman a formé des anthropologues à Manchester pour effectuer des travaux d'anthropologie sociale en Israël, et certains de ses plus importants étudiants sont restés en Israël et y sont devenus professeurs d'anthropologie sociale. Une troisième influence sur le développement de l'anthropologie en Israël fut le sionisme travailliste lui-même. Des juifs d'autres pays sont venus s'installer en Israël pour participer au développement d'un Israël à tendance socialiste dans les années 1950 et 1960. Certains d'entre eux étaient des anthropologues titulaires d'un doctorat de pays anglophones (ou dominants anglophones), comme les États-Unis, le Royaume-Uni, Canada, l’Australie, l’Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande. Pendant de nombreuses années, peu de postes de professeur d’anthropologie dans des universités israéliennes ont été occupés par des Israéliens nés dans le pays, et certainement pas par des anthropologues n’ayant jamais étudié dans un pays anglophone, suivi une formation postuniversitaire dans un pays anglophone ou encore terminé au moins un postdoc dans un pays anglophone. Quand des collègues qui sont des rédacteurs de revues anglophones en anthropologie aux États-Unis, au Royaume-Uni ou au Canada font une remarque sur le nombre de manuscrits qu’ils reçoivent d’anthropologues israéliens et sur leur qualité, je souris. Les anthropologues israéliens publient en dehors d’Israël parce que leur université accorde plus d’importance, en particulier dans les articles de revues, et que leurs textes sont bons (c’est-à-dire que leurs problèmes sont familiers et qu’ils respectent les normes des articles de journaux aux États-Unis), car ils ont en grande partie été formés et par des anthropologues anglophones. Une génération plus jeune est maintenant moins à l'aise de publier ou de présenter ses recherches en anglais, parce que l'anglais n'est pas la langue maternelle des anthropologues israéliens, mais le fait demeure qu'ils lisent des livres et des articles en anglais tout au long de leurs études universitaires. Il faut mentionner que peu de livres ou d'articles académiques sont traduits de l’anglais vers l’hébreu. Quoi que les conférences et conversations universitaires soient en hébreu, de nombreux livres et articles qu'ils sont censés lire sont en anglais. Quels sont les champs et thèmes de recherche privilégiés par ces anthropologues ? Sans surprise, ils travaillent sur une variétés de sujets, mais aussi, sans surprise, on note quelques changements au fil des ans (Feldman 2008; Levy et Weingrod 2004; Markowitz 2013). Les premières vagues d'anthropologues en Israël avaient tendance à travailler sur des groupes d'immigrants juifs non ashkénazes en Israël ou sur des communautés non juives vivant en Israël. Pour la plupart, ils ont étudié les kibboutzim et les moshavim ou villes de développement en Israël. Cette tendance s’est partiellement modifiée dans les années 1980 et 1990, mais la plupart des anthropologues israéliens travaillent encore largement sur le terrain en Israël et non en dehors d’Israël. L'adaptation et l'intégration des nouveaux arrivants ne sont plus des thèmes dominants. D’autres thèmes de recherche apparaissent tels que les LGBTQ, les New Agers en Israël, certains se penchent sur la science et la technologie en Israël, d’autres sur la reproduction et sa politique en Israël, sur le néolibéralisme en Israël ou encore les tribunaux de conversion en Israël. Les autres sujets prédominants sont l'anthropologie médicale et psychologique, la jeunesse, le féminisme et le genre, et ainsi que les études environnementales. L'anthropologie israélienne interroge de nombreux aspects de la vie en Israël. Elle se considérait de gauche dans les premières décennies d’Israël (quand Israël avait un gouvernement à tendance socialiste) comme c’est toujours le cas aujourd’hui (malgré le mouvement connu d’Israël vers la droite) (voir Lomsky-Feder et Ben-Ari 2000). L'anthropologie israélienne a longtemps été influencée par l'anthropologie dans le monde anglophone et aucun signe n’indique que cela soit en train de changer. L’anthropologie israélienne a longtemps été centrée sur la vie en Israël (juive et arabe) ; bien que les thèmes de recherche aient tendance à se diversifier, et encore là tout indique que cette tendance se poursuit, même si davantage d’anthropologues israéliens travaillent dorénavant sur terrains en dehors d’Israël. Les anthropologues israéliens ont reçu une formation rigoureuse à tous les niveaux de leurs études universitaires, et je vois que cela continue. Reste à savoir si les juifs et les palestiniens trouveront davantage de collaborations que ce que l’on constate aujourd’hui. Lorsque la communauté anthropologique américaine a sérieusement envisagé le mouvement BDS (mouvement britannique de boycott, désinvestissement et sanction face à Israël) (voir Redden 2016) les anthropologues israéliens se sont préparés au boycott qu'ils attendaient des départements, revues et maisons d'édition anthropologiques américains. Ils ont également subi un peu de pression (de leurs universités et de leurs collègues) pour combattre le BDS. Beaucoup s'inquiètent de l'impact du BDS sur la communauté anthropologique israélienne. Rétrospectivement, c’est un signe vraiment visible de la manière dont la communauté anthropologique israélienne a été liée - et continue de l’être - à la communauté anthropologique américaine. Certains[DVR1] [DVR2] [DVR3] [DVR4] anthropologues israéliens de la première génération craignent que la jeune génération ne fasse plus de travail sur le terrain en immersion totale et, partant, que l'anthropologie disparaisse bientôt de la vie et du monde universitaire israéliens, mais je vois des continuités tout autant que des changements dans l'anthropologie israélienne, et je ne pense pas que l'anthropologie est susceptible de disparaître en Israël.
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Dissertations / Theses on the topic "Immigrants du sud du Zhejiang en France"

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Ke, Hongyi. "The Chinese Immigrants from Wenzhou in France, since the 1970's." Electronic Thesis or Diss., Lyon, École normale supérieure, 2024. http://www.theses.fr/2024ENSL0048.

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Abstract:
Depuis la fondation de la République populaire de Chine en 1949 jusqu'à la période postérieure à 1990 suivant la Réforme et l'Ouverture, la Chine a connu des transformations politiques, économiques et culturelles significatives. En tant que groupe spécial, les Chinois d'outre-mer ont été profondément affectés par ce processus. Cette thèse, basée sur des perspectives politiques et des documents gouvernementaux déclassifiés, étudie l'histoire des immigrants chinois du sud du Zhejiang en France (principalement de Wenzhou et Qingtian), tentant de révéler les politiques chinoises à l'égard des Chinois d'outre-mer et les conditions sociales auxquelles ces immigrants ont été confrontés au cours de différentes périodes historiques.La communauté des immigrants chinois du sud du Zhejiang en France a commencé à se former à la fin du XIXe siècle, restant relativement petite et maintenant des liens étroits avec leurs villes natales. Après la fondation de la République populaire de Chine, le refroidissement des relations sino-françaises a rendu difficile le retour de ces immigrants chez eux, beaucoup étant dissuadés par la propagande et les obstructions du Kuomintang. Les mouvements politiques internes tels que la Réforme agraire et le Grand Bond en avant ont davantage porté atteinte aux droits des Chinois d'outre-mer, entravant leur retour.Cependant, l'atteinte aux droits des Chinois d'outre-mer n'était pas constante tout au long de ces mouvements politiques. Dans les premières années de la République populaire, les politiques chinoises oscillaient entre « gauche » et « droite ». Les Chinois d'outre-mer, en raison de leur statut économique spécial, étaient souvent vus comme un remède aux récessions économiques causées par des mouvements politiques extrémistes de gauche. Des institutions telles que le Conseil des Affaires d'État et la Commission des Affaires des Chinois d'Outre-mer ont saisi ces occasions pour mettre en œuvre des politiques protégeant les droits des Chinois d'outre-mer, attirant certains immigrants chinois du sud du Zhejiang en France à rentrer chez eux pour rendre visite à leurs proches. Ils ont également mené une série de travaux de front uni à travers les médias et les associations chinoises en France, engageant des luttes fréquentes et intenses avec le Kuomintang, soulignant le lien indissociable entre les immigrants chinois du sud du Zhejiang en France et les tendances politiques plus larges de la Chine. Avec le réchauffement des relations diplomatiques sino-françaises et l'établissement de relations diplomatiques en 1964, la tendance des immigrants chinois en France à rentrer chez eux pour rendre visite a augmenté, et l'influence du Kuomintang dans la communauté chinoise française a diminué. Pendant la Révolution culturelle, les droits des Chinois d'outre-mer ont de nouveau été gravement violés. Cependant, il convient de noter qu'après 1970, sous la direction de Zhou Enlai et l'incident de Lin Biao, l'impact sur les immigrants chinois du sud du Zhejiang en France a progressivement diminué à mesure que la situation politique en Chine s'apaisait, et leurs droits ont été restaurés plus tôt que ce que suggèrent les conclusions universitaires existantes.Après la Réforme et l'Ouverture, le gouvernement chinois a mis l'accent sur le rôle des Chinois d'outre-mer dans le développement économique, assouplissant progressivement les politiques d'entrée et de sortie et encourageant les investissements des Chinois d'outre-mer. Cependant, la mise en œuvre de ces politiques n'a pas été sans heurts, connaissant des revers avec les directives du gouvernement central souvent confrontées à la résistance au niveau local. Des changements significatifs à Wenzhou n'ont eu lieu qu'après 1984. Le grand flux de personnes a également conduit naturellement à des problèmes d'immigration illégale. [...]
From the establishment of the People’s Republic of China in 1949 to the post-1990 period following the Reform and Opening-up, China underwent significant political, economic, and cultural transformations. As a special group, overseas Chinese were deeply affected during this process. This thesis, based on policy perspectives and declassified government documents, studies the history of Southern Zhejiang Chinese immigrants in France (primarily from Wenzhou and Qingtian), attempting to reveal the Chinese overseas Chinese policies and social conditions faced by these immigrants during different historical periods. The Zhejiang Southern Chinese immigrant community in France began to form at the end of the 19th century, remaining relatively small and maintaining close ties with their hometowns. After the founding of the People’s Republic of China, the cooling of Sino-French relations made it difficult for these immigrants to return home, with many deterred by the propaganda and obstructions from the Kuomintang. Domestic political movements such as Land Reform and the Great Leap Forward further infringed on the rights of overseas Chinese, impeding their return. However, the infringement on overseas Chinese rights was not constant throughout these political movements. In the early years of the People’s Republic, China’s policies oscillated between “left” and “right.” Overseas Chinese, due to their special economic status, were often seen as a remedy for economic downturns caused by extreme leftist political movements. Institutions like the State Council and the Overseas Chinese Affairs Commission took these opportunities to implement policies protecting the rights of overseas Chinese, attracting some Zhejiang Southern Chinese immigrants in France to return home to visit relatives. They also carried out a series of united front work through media and Chinese associations in France, engaging in frequent and intense struggles with the Kuomintang, highlighting the inseparable link between the Zhejiang Southern Chinese immigrants in France and China’s broader political trends. With the warming of Sino-French diplomatic relations and the establishment of diplomatic ties in 1964, the trend of Chinese immigrants in France returning home to visit increased, and the influence of the Kuomintang in the French Chinese community diminished. During the Cultural Revolution, the rights of overseas Chinese were again severely violated. However, it is worth noting that after 1970, with Zhou Enlai’s leadership and the Lin Biao incident, the impact on Zhejiang Southern Chinese immigrants in France gradually diminished as the political situation in China eased, and their rights were restored earlier than existing scholarly conclusions suggest. After the Reform and Opening-up, the Chinese government emphasised the role of overseas Chinese in economic development, gradually relaxing entry and exit policies and encouraging investment from overseas Chinese. However, the implementation of these policies was not smooth, experiencing setbacks with central government directives often facing resistance at the local level. Significant changes in Wenzhou only occurred after 1984. The large outflow of people also naturally led to issues of illegal immigration. Today, the hundreds of thousands of Chinese living in France maintain close ties with their hometowns, a connection deeply rooted in the historical and demographic characteristics of Zhejiang Southern Chinese immigrants. This thesis highlights their experiences during different historical periods, revealing their significant and complex role in China’s modernization process. The study aims to use this group with “overseas relations” as a mirror to reflect on China’s historical progress from 1949 to the post-Reform and Opening-up era
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Books on the topic "Immigrants du sud du Zhejiang en France"

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Colette, Zytnicki, and Bordes-Benayoun Chantal, eds. Sud-nord: Cultures coloniales en France, XIXe-XXe siècles. Toulouse: Privat, 2004.

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éd, Zytnicki Colette, and Bordes-Benayoun Chantal éd, eds. Sud-Nord: Cultures coloniales en France (XIXe-XXe siècles). Toulouse: Privat, 2004.

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Artinian, Yves. Du Kharabagh au sud de la France: Chroniques franco-arméniennes. Paris, France: Harmattan, 2004.

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