Journal articles on the topic 'Identités impériales'

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Aillet, Cyrille. "Les indigènes de l’Islam, ou comment être musulmans sans être arabes dans le monde musulman occidental (VIIIe-IXe siècles)." Hispania Sacra 73, no. 147 (June 29, 2021): 107–14. http://dx.doi.org/10.3989/hs.2021.010.

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Abstract:
Il est question dans cet article d’une phase particulière du processus d’islamisation, à savoir le moment où se manifeste un décalage entre l’identité islamique impériale issue des conquêtes et des identités islamiques locales, autochtones. Émergent alors ceux que l’on peut appeler les «indigènes de l’Islam»: musulmans sans être identifiés comme arabes, ils témoignent de l’autochtonisation de la religion impériale. L’un des objectifs est de saisir comment, en contexte impérial, les frontières qui définissent et différencient les entités collectives se redessinent sur le plan religieux, linguistique et ethnique.
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Gaibulina, Karina. "The role of the “frontier” in conceptualising the Russian imperial identity: a study based on Polish political prisoners." HYBRIDA, no. 6 (June 29, 2023): 179. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.6.26243.

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Abstract:
Cet article explore les subtilités de la construction et de la définition de l’identité des individus résidant aux frontières du sud et de l’est de l’Empire Russe. Les habitants de ces cités impériales et des fortifications, nichées entre deux cultures, étaient principalement constitués d’individus déplacés forcés et leurs descendants, à l’exception de ceux en service militaire ou administratif de l’Empire. La présence d’exilés polonais dans les périphéries est et sud de l’Empire Russe était une conséquence directe de sa politique expansionniste. À travers les journaux intimes, la correspondance et les travaux publiés de trois prisonniers politiques polonais – Adolf Januszkiewicz, Bronis?aw Zaleski et Seweryn Gross – nous plongeons dans les identités complexes, ambiguës et multiformes de leurs oppresseurs, les habitants des steppes et les exilés politiques eux-mêmes, tous entrelacés dans des relations coloniales complexes. Cette enquête remet en question les distinctions simplistes telles que « nous » contre « eux » et « ici » contre « là-bas ».
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Le Huérou, Anne. "Marlène Laruelle, La quête d’une identité impériale." Cahiers du monde russe 48, no. 48/4 (December 2, 2007): 789–93. http://dx.doi.org/10.4000/monderusse.6110.

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Crossley, Pamela Kyle. "Pluralité impériale et identités subjectives dans la Chine des Qing." Annales. Histoire, Sciences Sociales 63, no. 3 (June 2008): 597–621. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900023337.

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Abstract:
RésuméLa pluralité de l’empire des Qing se manifestait à la fois dans les rituels de l’empereur, sa cour, ses histoires et ses monuments et dans la construction historique des cultures dont l’empire tirait sa légitimation. Le résultat fut, à la fin du XVIIIesiècle, l’objectivation par les textes et les rituels d’un nombre fini d’identités historiques, correspondant d’abord aux cultures qui avaient été instrumentalisées dans les conquêtes des Qing de 1616 à 1755. Cependant ces identités objectivées, à la fois historiques et rituelles, existaient parallèlement à des cultures plus subjectives et locales, inscrites dans la vie quotidienne, non seulement pour les Mandchous, les Mongols et les Hans, mais aussi pour les peuples qui n’avaient jamais eu d’existence officielle dans l’historiographie des Qing, en particulier les diverses communautés musulmanes réparties dans l’empire. Au moment de la crise de l’empire, à la fin du XIXeet au début du XXesiècle, les identités objectives produites par le pouvoir impérial ont fourni une ressource disponible pour la construction d’identités nationales et ont nourri les mouvements nationalistes.
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Monet, Pierre. "La patria médiévale vue d'Allemagne, entre construction impériale et identités régionales." Le Moyen Age CVII, no. 1 (2001): 71. http://dx.doi.org/10.3917/rma.071.0071.

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Gladney, Dru C. "La question Ouïgour. Entre islamisation et ethnicisation." Annales. Histoire, Sciences Sociales 59, no. 5-6 (December 2004): 1157–82. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900022927.

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Abstract:
RésuméL’article examine les relations entre la Chine et l’Asie centrale à la lumière de la longue histoire des échanges intercontinentaux. Quelques aspects de ces relations historiques perdurent jusqu’à nos jours : la transnationalisation (due tout à la fois à l’essor de la route de la Soie et à l’unification monghole), l’islamisation (touchant aux transformations économiques affectant à la fois la Chine et l’Asie centrale) et l’ethnicisation des identités locales (stimulées par les politiques successives de la Russie impériale, des Soviets et de la Chine communiste).
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Amandry, Michel. "Numismatique romaine impérialeIconographie du pouvoir impérial et des identités civiques." École pratique des hautes études. Section des sciences historiques et philologiques. Livret-Annuaire, no. 146 (September 1, 2015): 95–100. http://dx.doi.org/10.4000/ashp.1706.

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Crowley, John. "État, identité nationale et ethnicité au Royaume-Uni." Anthropologie et Sociétés 19, no. 3 (September 10, 2003): 53–69. http://dx.doi.org/10.7202/015369ar.

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Abstract:
Résumé État, identité nationale et ethnicité au Royaume-Uni Son passé impérial a doté le Royaume-Uni d'une conception originale de la citoyenneté qui attache à des statuts juridiques différents ses principales composantes institutionnelles (droit de vote, liberté de circulation, etc.). Le Royaume-Uni est également caractérisé par la relative tiédeur de l'attachement identitaire à son égard, dont témoigne une représentation sportive fondée sur ses nations constitutives (Angleterre. Ecosse. Pays de Galles. Irlande du Nord). La conjonction des deux phénomènes conduit à une identité nationale particulièrement complexe qui explique certaines difficultés de l'intégration des minorités issues de l'immigration. L'exemple britannique désigne ainsi certaines lacunes théoriques de la promotion d'une citoyenneté « postnationale », dépourvue de contenu identitaire.
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Benoist, St. "Identité du prince et discours impérial: le cas de Julien." Antiquité Tardive 17 (January 2009): 109–17. http://dx.doi.org/10.1484/j.at.3.31.

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Barrier-Roiron, Virginie. "Une identité impériale sans Empire? Le sens de la politique de décolonisation britannique." Revue LISA / LISA e-journal, Vol. V - n°3 (September 1, 2007): 14–23. http://dx.doi.org/10.4000/lisa.1483.

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Vidal, Cécile. "Francite et situation coloniale." Annales. Histoire, Sciences Sociales 64, no. 5 (October 2009): 1019–50. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900024306.

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Abstract:
RésuméÀ partir du cas louisianais, cet article cherche à démontrer que la formation de sociétés coloniales nouvelles aux Amériques, reposant sur l’esclavage ou le travail forcé, la constitution d’empires multiethniques et multiraciaux et les rivalités impériales qui ont accompagné ces phénomènes, ont contribué à faire de la nation un problème et une question. D’une part, le nombre de personnes pour lesquelles le fait d’avoir une identité nationale est devenu significatif s’en est trouvé accru. D’autre part, la définition donnée à la nation française, en opposition aux autres nations et en relation avec les différents groupes la composant, en a été modifiée. En questionnant les concepts d’empire colonial, de nation et d’identité, et en analysant les significations particulières que la francité prit dans le contexte louisianais, il s’agit de suggérer qu’il paraît difficile de continuer à penser la nation au XVIIIesiècle sans tenir compte des rapports complexes entre nation, empire et race.
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Hébert, Virginie. "Le mythe de l’anglais langue universelle dans les débats éducatifs d’entre-deux-guerres au Québec : appropriation et contestation d’une construction coloniale britannique1." Revue d’histoire de l’Amérique française 71, no. 3-4 (June 13, 2018): 61–85. http://dx.doi.org/10.7202/1048513ar.

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Abstract:
Certains chercheurs proposent de considérer le discours sur l’universalité de l’anglais comme un « mythe », soit comme une construction culturelle enracinée dans l’histoire impériale britannique. À l’aide d’une approche inspirée du courant d’étude sur les mythes sociaux, l’article analyse le rôle joué par ce mythe de l’anglais langue universelle dans les débats sur l’enseignement de l’anglais au Québec pendant l’entre-deux-guerres. Dans un premier temps, il retrace la genèse du mythe dans le contexte de l’Inde coloniale britannique puis, dans un second temps, il analyse comment certains acteurs canadiens-français se sont approprié ou ont contesté cette construction discursive extérieure. Il propose enfin une réflexion sur les conséquences de son appropriation dans l’interprétation qu’ont fait les Québécois de leur propre histoire, de leur langue et dans la définition de leur identité.
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Mabrouk, Hassna. "Mise en récit d’une conquête de l’Ailleurs, du XVIe siècle : mémoire et représentations du personnage historique Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico." HYBRIDA, no. 5(12/2022) (December 27, 2022): 111. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).24045.

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Abstract:
Cet article a pour objet de parcourir une mémoire inscrite dans l’histoire de la conquête et des grandes découvertes, au XVIe siècle, menée par une puissance impériale de l’époque, l’Espagne. Longtemps présentée de la seule perspective de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, la mémoire de l’explorateur marocain Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico incarne une vision eurocentrée qui a mis le voile sur la contribution de cet explorateur à l’événement historique de la Rencontre. L’apport considérable des études subalternes et des études postcoloniales, associé à la réflexion sur l’histoire connectée, ont animé un chantier qui projette un regard sur la mémoire des identités niées et occultées du moment historique. Ces études mettent en valeur une production littéraire et artistique contemporaine qui porte un intérêt à la reconfiguration des mémoires du passé. Celle du personnage historique, Al-Azemmouri, trouve sa manifestation dans le roman de Kébir Ammi, Les Vertus immorales, et dans les représentations artistiques qui fonctionnent dans l’espace natal de cet explorateur, la ville d’Azemmour.
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Jami, Catherine. "Légitimité dynastique et reconstruction des sciences. Mei Wending (1633-1721)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 59, no. 4 (August 2004): 701–27. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900019752.

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Abstract:
RésuméL’article aborde la question du rôle des sciences dans la construction de l’ordre impérial des Qing en Chine. L’analyse de deux ouvrages de Mei Wending, savant chinois du début de la dynastie mandchoue, éclaire les stratégies que celui-ci met en oeuvre pour justifier la reconstruction des mathématiques et l’adoption des méthodes astronomiques occidentales, toutes deux primordiales pour le nouveau pouvoir. En affirmant l’ancrage historique de ces sciences dans la civilisation chinoise, et en reconnaissant l’autorité de l’État en matière de rites, Mei donne une légitimité à la nouvelle dynastie. Il définit un domaine en même temps qui est du ressort du seul spécialiste, travaillant ainsi à construire sa propre identité professionnelle.
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Zhou, Yiqun. "The Status of Mothers in the Early Chinese Mourning System." T’oung Pao 99, no. 1-3 (2013): 1–52. http://dx.doi.org/10.1163/15685322-9913p0001.

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Abstract:
This essay examines the prescriptions on mourning for mothers in the Yili and the Liji, aiming to bring out the complex and evolving nature of the status of mothers in the centuries that saw the initial codification of the Chinese mourning system. The discrepancies between texts and within the same text, together with the ambiguity and lacunae in prescriptions, show that women’s identities in the patrilineal family were continuously contested and reshaped in the preimperial and early imperial periods. Major themes explored include: the fragmentation and fluidity of maternal roles, the tension between patrilineal principles and natural feelings, the ambivalent roles of divorced mothers and remarried mothers, the systematic suppression of mothers of concubine status, and the intricate linkage between the wife’s status and the mother’s status. The changes and ambiguities emphasized in the paper have important implications for our understanding of the later evolution of the mourning system. Cet article s’intéresse aux prescriptions relatives au deuil des mères dans le Yili et le Liji; l’objectif est de mettre en évidence la complexité et le caractère évolutif du statut des mères pendant les siècles qui ont vu les débuts de la codification du système de deuil en Chine. Les divergences entre les textes ou à l’intérieur d’un même texte, en même temps que les ambiguïtés et les lacunes des prescriptions, montrent que les identités féminines au sein de la famille patrilinéaire n’ont cessé d’être contestées et refaçonnées pendant la période pré-impériale et au début de l’empire. Les principaux thèmes abordés incluent la fragmentation et la fluidité des rôles maternels, la tension entre les principes patrilinéaires et les sentiments naturels, le rôle ambivalent des mères divorcées ou remariées, le refoulement systématique des mères ayant le statut de concubines, et les relations complexes entre le statut de l’épouse et celui de la mère. Les évolutions et les ambiguïtés mises en avant dans l’article ont des implications importantes pour notre compréhension de l’évolution ultérieure du système de deuil.
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Rey, Marie-Pierre. "Marlène Laruelle. Mythe aryen et rêve impérial dans la Russie du XIXe siecle. Paris, CNRS Éditions, 2005, 223 p. - La quête d’une identité impériale, le néoeurasisme dans la Russie contemporaine. Paris, Éditions Petra, 2007, 315 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 64, no. 3 (June 2009): 711–12. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900026706.

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Goujon, Alexandra. "MARLÈNE LARUELLE La quête d'une identité impériale : le néo-eurasisme dans la Russie contemporaine Paris, Pétra, 2007, 316 pages." Critique internationale 39, no. 2 (2008): 201. http://dx.doi.org/10.3917/crii.039.0201.

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Torrivellec, Xavier Le. "Laruelle Marlène, La quête d’une identité impériale. Le néo-eurasisme dans la Russie contemporaine, Paris, PETRA éditions, 2007, 314 p." Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, no. 125 (July 2, 2009): 317–19. http://dx.doi.org/10.4000/remmm.5693.

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Barcellos da Silva, Jorge Luiz. "O Atlas Imperio do Brazil: uma ação pedagógica na construção de um Estado Nacional e de uma Nação." Ateliê Geográfico 10, no. 3 (February 26, 2017): 47. http://dx.doi.org/10.5216/ag.v10i3.36417.

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Abstract:
ResumoO objetivo desse texto é examinar como o Atlas Imperio do Brazil constituiu-se em uma ação pedagógica na construção identitária do Estado Nacional e da nação brasileira. Referenciado nos estudos de Lefebvre (1987), Dardel (2011) e Moreira (2004), refletimos sobre a premissa de que construção da identidade é também a construção de uma territorialidade. A essas preocupações somamos as colocações de Thissé (2014) a respeito de formações de identidades nacionais no século XIX. Consideramos as proposições de um conjunto de elementos simbólicos e materiais pelo Estado Imperial brasileiro, no sentido de difundir uma imagem do território e propor que todos os indivíduos, nas suas diferenças, fossem comuns à nação imaginada (Anderson, 2008). As interpretações de mapas foram efetivadas a partir de apreciações de Harley (2005), Jacob (1998), Wood (2012) e Black (2005). Os resultados encontrados evidenciam que a ordem tópica dos fenômenos representados foi levada em conta na construção do Estado Nacional e do sentimento de pertencimento da nação em formação.Palavras-chave: Atlas, mapas, identidade, territorialidade. AbstractThis paper examines how the Brazilian Empire Atlas had a pedagogical role in constructing the identity of the Brazilian National State and nation. Based on Lefebvre (1987), Dardel (2011) and Moreira (2004), we ponder the notion that identity-building also entails building a territoriality. The discussion includes Thissé’s (2014) observations on the formation of national identities in the 19th century. In that framework, we analyze how the Brazilian Imperial Government proposed a symbolic and material set designed to propagate a particular image of its territory and to imply that all of its different individuals were part of the imagined nation (Anderson, 2008). The maps are interpreted based on the findings of Harley (2005), Jacob (1998), Wood (2012) and Black (2005). The results show that the spatial organization of phenomena had its part in the construction of the National Estate and in fostering a feeling of belonging to the budding nation.Keywords: Atlas, maps, identity, territoriality. RésuméCet article examine comment l’Atlas Empire du Brésil s’est constitué en action pédagogique pour la construction identitaire de l’État National et de la nation brésilienne. On s’appuie sur les études de Lefebvre (1987), Dardel (2011) et Moreira (2004) pour réfléchir sur la prémisse que la construction de l’identité soit aussi la construction d’une territorialité. À ces préoccupations on ajoute celles de Thissé (2014) concernant les formations des identités nationales au XIXème. On considère que l’État Impérial brésilien proposa un ensemble d’éléments symboliques et matériaux, ayant pour but de diffuser une image du territoire et de proposer que tous les individus, dans ses différences, fussent communs à la nation imaginé (Anderson, 2008). Nôtres interprétations des cartes se font sur les considérations de Harley (2005), Jacob (1998), Wood (2012) et Black (2005). Pour les résultés, on trouve que l’ordre topique des phénomènes représentés fut considérée dans la construction de l’État National et du sentiment d’appartenance à la nation qui se formait.Mots-clés: Atlas, cartes, identité, territorialité.
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Piovanelli, Pierluigi. "Odio humani generis." Dossier 70, no. 3 (August 31, 2015): 459–74. http://dx.doi.org/10.7202/1032786ar.

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Abstract:
Tacite est le seul témoin explicite d’une persécution des « chrétiens » de Rome à la suite du célèbre incendie de la capitale, en 64 de notre ère, une catastrophe dont la population aurait attribué la responsabilité criminelle à l’empereur Néron, si les adeptes de cette « superstition pernicieuse » originaire de la Judée n’avaient pas été opportunément identifiés comme les coupables. Si, d’un côté, il est facile de comprendre la nécessité pour le pouvoir impérial de trouver rapidement des boucs émissaires, de l’autre, il n’est pas aisé de concevoir les raisons qui firent que le choix se porte sur les membres d’un groupe sectaire judéen tout à fait marginal. L’examen de quelques textes clés de Flavius Josèphe et des écrits apocalyptiques contemporains permet de mieux comprendre quelles étaient les attentes des milieux radicaux judéens et quelle était la perception que les Romains pouvaient avoir de ceux qui, à leurs yeux, n’étaient que des agitateurs et des brigands.
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Veyne, Paul. "La « plèbe moyenne » sous le Haut-Empire romain." Annales. Histoire, Sciences Sociales 55, no. 6 (December 2000): 1169–99. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2000.279911.

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Abstract:
RésuméDeux auteurs de la Rome impériale parlent d'une plebs média, opposée à la plebs humilis. Il existait une classe moyenne dans cette société à ordines, qui se manifeste par son énorme présence matérielle (maisons, inscriptions, art funéraire). Sa définition est négative et hétérogène : les plébéiens moyens ne sont ni membres des ordines privilégiés, ni réduits à gagner quotidiennement leur pain, ni positivement riches (ils sont pauvres au sens antique du mot), ni de naissance servile ; ils incarnent le citoyen moyen et aussi le « lecteur idéal » de la semiotique littéraire. Pour la classe gouvernante, ils sont la « partie saine » du peuple. On appartient à la plèbe moyenne dès qu'on ne vit plus au jour le jour et qu'on est rentier du sol qui vit de loisir ou boutiquier ayant un gros outillage ou un entrepôt. Cette catégorie se signale par la conscience de soi des marchands ou artisans, par le concept de métier comme exploit et non comme identité, par l'entraide par le crédit entre confrères ; le souci de faire des affaires s'oppose à avoir un patrimoine ; la morale d'Horace, l'iconographie du banquet dit funèbre et le fantasme compensatoire : « vous avez la richesse, nous avons la bonne vie » ; les Disticha Catonis sont « un miroir de bourgeoisie » qui renvoie aux plébéiens leur propre sagesse, sous prétexte de la leur enseigner. La plebs de l'Urbs n'était pas une tourbe dépolitisée ; sous des leaders issus de la plèbe moyenne, elle conserve une légitimité politique et parfois militaire. Mais une économie d'échanges au processus très morcelé, sans vrai système bancaire, sans marché large et transparent, mais avec de la corruption, des squeezes et des pots-de-vin partout, a maintenu la plèbe moyenne dans une dépendance économique à la classe gouvernante.
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Chivallon, Christine. "Diaspora." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.064.

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Définir la « diaspora » ne peut se faire sans signaler immédiatement que deux grands courants théoriques assignent à ce terme des acceptions assez différentes qui, si elles semblent se succéder, donnent lieu à des usages bien typés où se reconnaissent encore aujourd’hui les deux composantes majeures des ″diasporas studies″. Il existe ainsi un paradigme que l’on peut qualifier de ″classique″ qui cohabite de manière plus ou moins sereine avec un autre paradigme plutôt ″post-structuraliste″ lequel a largement dominé le champ consacré à l’objet ″diaspora″ depuis les années 1990. Pour entrer dans le domaine des études du fait diasporique, il nous faut ainsi partir d’une définition ″traditionnelle″ pour mieux comprendre la déconstruction dont la notion a fait l’objet. Dans cette perspective, le terme ″diaspora″ désigne les populations dispersées depuis une terre natale (homeland) qui ont conservé des liens durables entre les membres issus de cette dissémination, la longévité du sentiment d’appartenance collective se construisant en rapport avec la mémoire du territoire d’origine. L’étymologie du mot remonte à la Bible des Septante, traduction grecque des textes bibliques connus en hébreu et en araméen effectuée par des religieux juifs hellénophones. Le mot ″diaspora″ est formé à partir du verbe grec speiren (semer) et plus exactement du verbe composé diaspirein (disséminer). Selon les sources, il concerne soit l’exil de Babylone et la dispersion des Juifs après la destruction du second temple de Jérusalem (Bruneau 2004 : 8), soit la menace de dispersion comme châtiment divin envers les Juifs qui ne respecteraient pas la Loi de Dieu (Dufoix 2011 : 64). Historiquement, le nom ″diaspora″ appliqué à d’autres populations que le peuple juif s’accomplit dans une sphère judéo-chrétienne où Chrétiens, Grecs Orthodoxes, puis Protestants et Arméniens accèdent à cette dénomination selon le même schéma d’identification qui articulent les motifs de l’exil et de la persécution au sein d’un complexe mû par la religion. La dispersion volontaire au sein de diasporas dites ″marchandes″ s’affirme de son côté comme une sorte d’appendice de ce modèle religieux. La ″sortie″ d’une caractérisation par le religieux s’opère en même temps que la notion pénètre les milieux académiques. Les usages y sont d’abord sporadiques tout au long du XXème siècle, puis se resserrent autour d’une définition applicable à bien d’autres populations que celles du foyer biblique originel. Le premier des textes le plus remarquable est celui de John Armstrong (1976) qui pose le cas juif comme archétypal pour décliner à partir de lui une typologie où se distinguent des « diasporas mobilisées », plutôt « avantagées » à des « diasporas prolétaires » « appauvries » et « discriminées » au sein des « sociétés modernisées ». C’est avec l’ouvrage du politologue Gabriel Sheffer (1986) qu’est véritablement entamée la construction du champ des diasporas studies et que se trouve désignée une compétence migratoire particulière, à savoir celle de minorités qui dans les pays d’accueil, sont en mesure de ″préserver leur identité ethnique ou ethnico religieuse″ en lien avec ″un intérêt continu (...) dans les échanges avec leur terre d’origine″ (Sheffer 1986 : 9). Le modèle dit ″classique″ se consolide à partir de textes qui ont acquis le statut de références incontournables. Parmi eux figure l’article de William Safran (1991) publié dans le premier numéro de la revue phare fondée par Khachig Tölölyan en 1991 – Diaspora : A Journal of Transnational Studies – ainsi que l’ouvrage de Robin Cohen (1997). Ces deux écrits sont représentatifs de la perspective adoptée sur la base du modèle juif, même si c’est pour le ″transcender″ comme le dira Cohen (1997 : 21). La définition de critères sert à sélectionner parmi les populations migrantes celles qui correspondent à une formation diasporique. Plus ou moins nombreux, ces critères placent au premier plan la dispersion, le maintien durable d’une forte conscience communautaire, l’idéalisation de la patrie d’origine (Safran 1991 : 83-84 ; Cohen 1997 : 26). Sur cette base, des typologies sont proposées comme celle de Cohen (1997) où se côtoient des ″diasporas victimes″ issues de traumatismes (Africains, Arméniens), des ″diasporas de travail″ (Indiens), des ″diasporas impériales″ (Britanniques), des ″diasporas de commerce″ (Chinois, Libanais), enfin des diasporas dites ″culturelles″ (Antillais). Ces dernières, dont il faut noter qu’elles ne sont plus définies en rapport avec la cause de la dispersion, mais plutôt en lien avec la culture et l’identité, signalent en fait, comme nous le verrons plus loin, la nouvelle conception qui a émergé en adéquation avec les perspectives postmodernes. D’emblée, le concept de diaspora se présente comme transdisciplinaire. Politistes, historiens, sociologues, géographes anthropologues sont engagés dans les études des phénomènes diasporiques. On ne peut donc pas déceler une approche spécifiquement anthropologique tant les références sont facilement exportées d’une discipline à l’autre, et c’est sans doute ce qui fait la spécificité des diasporas studies. Le grand bouleversement du champ s’opère quand deux contributions majeures s’emparent de la notion et la font basculer dans un univers de significations réévaluées à l’aune de la posture anti-essentialiste. La diaspora classique, de par son insistance sur le caractère continu et quasi pérenne de la communauté par-delà la dispersion, véhicule les présupposés d’une nature sociale immuable. Avec les écrits de Stuart Hall (1990) et de Paul Gilroy (1993), la perspective est renversée. Plutôt que d’être réfutée, la diaspora devient au contraire emblématique d’une tout autre dispersion, celle qui concerne l’identité elle-même et touche aux fondements toujours incertains, contingents et labiles des façons d’être au monde. Le concept, de par sa charge sémantique évoquant la mobilité, la multi-territorialité, le voyage, l’exil, l’entre-deux, se trouve en concordance parfaite avec les exigences théoriques de la déconstruction post-structuraliste qui appelle la transgression des limites des grands récits. D’origine caribéenne, Hall et Gilroy élèvent au rang paradigmatique la diaspora noire issue de la traite transatlantique, cette formation culturelle leur paraissant être l’antithèse des cultures ethno-nationales transportées dans la dispersion par les anciennes diasporas. La Black Atlantic de Gilroy (1993 : 19) se définit ainsi ″à travers le désir de transcender à la fois les structures de la nation et les contraintes de l'ethnicité″. Avec Stuart Hall (1990 : 235), la notion d’hybridité est consubstantielle à la diaspora : ″L'expérience diasporique comme je l'entends est définie, non par essence ou par pureté, mais par la reconnaissance d'une nécessaire hétérogénéité et diversité, (…) par hybridité″. Autant chez Hall que chez Gilroy, ces modèles ne sont rendus intelligibles qu’au travers du rejet d’autres identités diasporiques, puisque ″la diaspora ne fait pas référence pour nous à ces tribus dispersées dont l'identité ne peut être confortée qu'en relation à une terre d’origine sacrée où elles veulent à tout prix retourner (…). Ceci est la vieille forme de ‘l’ethnicité’, impérialiste et hégémonique″ (Hall 1990 : 235). Cette contradiction théorique qui rend le postulat anti-essentialiste fortement dépendant de l’existence supposée réelle d’identités ″non-hybrides″ a donné lieu à des approches critiques (Anthias 1998 ; Chivallon 2002) sans pour autant miner les perspectives qu’elles ont ouvertes. En dissonance avec les premiers usages classiques du terme ″diaspora″ appliqué déjà anciennement au monde noir des Amériques (Chivallon 2004 : 149), elles ont permis de mettre au premier plan les multiples enseignements de l’expérience (post)esclavagiste des Amériques dans son rapport avec la modernité occidentale, bien au-delà des cercles spécialisés sur la diaspora noire. L’amplification des textes de Hall et Gilroy a été étonnamment rapide et a produit un véritable déferlement dont le texte de James Clifford (1994) s’est fait l’un des plus remarquables échos trouvant matière à alimenter sa perspective sur les travelling cultures auprès d’une diaspora devenue l’antithèse du modèle ″centré″ de Safran. La myriade des études diasporiques développées tout au long des années 1990 en est devenue insaisissable, amenant à parler de ″fétichisation″ du terme (Mitchell 1997) au sein d’un vaste ensemble discursif où se fabrique la coalition entre les épistémologies post-modernes, post-structuralistes, post-coloniales et l’objet providentiel de la ″diaspora″ pour les substantialiser. Cette ferveur académique s’est sans doute essoufflée au cours de la dernière décennie. Une fois l’engouement passé et qui aurait pu faire croire à l’abandon définitif de la perspective traditionnelle, les dichotomies demeurent. De ce point de vue, la conférence donnée par Khachig Tölölyan à l’Université d’Oxford en 2011, peut faire office de dernier bilan. Il y est question d’une cohabitation toujours effective entre les conceptions classiques et ″post″, non sans que son auteur évoque une opposition qui fait encore débat, préférant pour sa part réserver à la notion de ″diaspora″ les tonalités de la définition classique, et réclamant en définitive le mot ″dispersion″ pour englober (réconcilier ?) les binarités qui ont structuré le champ des diasporas studies. Dans tous les cas, à l’écart de la révolution conceptuelle à laquelle a pu faire penser la diaspora, la routinisation semble bel et bien aujourd’hui installée.
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Avila, Isabelle. "Les cartes de l'Afrique au XIXe siècle et Joseph Conrad: perceptions d'une révolution cartographique (Maps of Africa in the 19th century and Joseph Conrad: Perceptions of a Cartographic Revolution)." PORTAL Journal of Multidisciplinary International Studies 12, no. 1 (March 29, 2015). http://dx.doi.org/10.5130/portal.v12i1.4382.

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Abstract:
La communication proposée aura pour but de s’interroger sur la notion de « carte mentale ». Qu’est-ce qu’une carte mentale ? Comment se construit-elle ? Comment et pourquoi faire des recherches sur les cartes mentales? Cette réflexion théorique sera accompagnée d’une étude sur les représentations cartographiques de l’empire britannique au tournant du vingtième siècle. Comment retrouver les cartes mentales de l’empire britannique au moment de son apogée à partir des discours des géographes et des cartes présentes dans les atlas, les manuels scolaires et les revues des sociétés de géographie? Tout d’abord, ces cartes présentent un empire relié au monde grâce à de nombreux liens de communication. C’est un empire qui est compris comme un véritable résumé du monde. Les cartes affirment aussi la puissance symbolique d’un empire associé à la couleur rouge, couleur qui confère une certaine homogénéité à cette construction impériale et qui suggère ainsi une identité impériale. Cependant, si de nombreuses cartes construisent l’image d’un empire unifié, certaines laissent entrevoir la diversité des statuts des différents territoires qui en font partie. D’autres encore tentent de représenter, aux côtés de l’empire formel en rouge, un empire informel commercial, c’est-à-dire la partie invisible de l’iceberg. Enfin, la plupart des cartes de l’empire britannique utilisent la projection de Mercator. Quelle image de l’empire est transmise par cette projection et quelles sont les tentatives entreprises par les géographes du début du vingtième siècle pour changer cette image? L’analyse de ces variations autour des portraits cartographiques de l’empire britannique permettra ainsi de voir comment les cartes influencent la perception d’un espace dont les territoires sont éparpillés sur les cinq continents. Cette étude conduira enfin à considérer les cartes comme des « lieux de mémoire », comme des images qui contribuent à inscrire des territoires dans les mémoires.At the end of the nineteenth century, the maps of Africa underwent a complete revolution. The blanks that they used to show were covered in a few years by the colours of the European powers colonizing the continent. The aim of this article is to study the perception of that cartographic revolution by mapreaders at the time, including one of the most famous: Joseph Conrad. In his work Heart of Darkness, published in 1899, at the close of a century of geographical progress, he dealt both with the blanks on the maps of Africa and the European colours that replaced them. His fascination for maps led him to create a very powerful literary map of Africa where the rainbow colours of the Europeans are surrounded by darkness. That oxymoronic image enables him not only to symbolically reflect a consciousness of space but also of time, summarizing the proud certainties of the imperialism and nationalism of European powers with their colours and announcing the uncertainties and the darkness of the first half of the twentieth century. Ultimately, this article aims at showing that it is necessary to replace the literary work of Joseph Conrad in its historical context in order to understand how much his inspiration was linked both to his own experience and to a zeitgeist shared by his contemporaries.
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