Journal articles on the topic 'Idéel et matériel'

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1

Landais, Benjamin. "Entre idéel et matériel: Espace, territoire et légitimation du pouvoir (v. 1200–v. 1640). Actes de la conférence organisée en 2013 à Pise par SAS en collaboration avec l’École française de Rome et la Scuola Normale Superiore de Pise Actes du colloque de Pise (2013), edited by Patrick Boucheron, Marco Folin and Jean-Philippe Genet." Imago Mundi 73, no. 1 (January 2, 2021): 92–93. http://dx.doi.org/10.1080/03085694.2021.1835350.

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2

Liu, Li, Gisèle Contreras, Nathaniel J. Pollock, Lil Tonmyr, and Wendy Thompson. "Idées suicidaires chez les jeunes adultes au Canada pendant la pandémie de COVID-19 : données tirées d’une enquête populationnelle transversale." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 43, no. 5 (May 2023): 289–96. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.43.5.05f.

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Abstract:
Nous avons utilisé les données des cycles de 2020 et de 2021 de l’Enquête sur la COVID-19 et la santé mentale pour étudier les idées suicidaires chez les adultes de 18 à 34 ans au Canada. La prévalence des idées suicidaires chez les adultes de 18 à 34 ans était de 4,2 % à l’automne 2020 et de 8,0 % au printemps 2021. C’est le sous-groupe des adultes de 18 à 24 ans qui a connu la prévalence la plus élevée, avec 10,7 % au printemps 2021. La prévalence variait en fonction des caractéristiques sociodémographiques et tendait à être plus élevée chez les personnes vivant dans un milieu défavorisé sur le plan matériel. Les idées suicidaires se sont révélées fortement associées aux facteurs de stress liés à la pandémie subis par les répondants.
3

Roberge, Michel. "La génération des Idées dans la Paraphrase de Sem (NH VII, 1)." Articles spéciaux 70, no. 1 (January 27, 2015): 143–72. http://dx.doi.org/10.7202/1028170ar.

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Abstract:
Le mythe cosmogonique de la Paraphrase de Sem utilise le schéma médio-platonicien de deux Intellects : l’Intellect paternel et l’Intellect démiurge. Il situe cependant l’Intellect paternel à l’origine dans le chaos précosmique, recouvert d’un feu agité et soumis au principe mauvais, l’Obscur. De plus, la succession des Intellects procède selon le mode biologique de l’engendrement. Selon ce modèle la production des Idées ou Formes s’accomplit en deux étapes : 1) lorsque le Pneuma, principe intermédiaire entre l’Obscur et la Lumière, agissant à la façon d’un principe actif stoïcien, chute dans le chaos, l’Intellect qui était inerte reçoit l’impulsion qui le rend actif et produit, avec l’aide du feu, les Idées qui illuminent alors le chaos (2,19-3,29). 2) Lorsque le Sauveur, venu à la rescousse de la lumière du Pneuma, provoque la formation de la Matrice cosmique, l’Obscur s’unit à elle et éjacule son Intellect comme une semence. Il engendre alors le second Intellect en même temps qu’il transfère dans la Matrice les Idées que la Nature utilisera comme des « raisons séminales » pour fabriquer le monde matériel (3,30-6,30a). Traduire et interpréter ces pages exige de tenir compte du contexte philosophique et du vocabulaire technique de l’embryologie de l’époque.
4

Deneire, Marc. "Cultures francophones et mondialisation : le cas du français dans le Midwest états-unien." Les visages de la vitalité des francophonies en Amérique, no. 26 (September 15, 2009): 185–207. http://dx.doi.org/10.7202/037981ar.

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Abstract:
RésuméCet article vise à montrer comment, grâce à des décennies de survivance en milieu extrêmement défavorable, certaines communautés francophones du Midwest américain ont réussi à marquer de leur empreinte le paysage social, culturel et matériel de leurs régions respectives. Après avoir analysé les facteurs qui auront finalement eu raison de la langue française dans ces communautés, nous observerons les différentes manifestations à caractère francophone dans un univers mondialisé où l’enracinement a fait place à la circulation des idées et des produits et l’authenticité, au symbolique.
5

Holzer, Peter. "Kulturwissenschaftliche Theorien – Basis einer translationsrelevanten Kultur(transfer)kompetenz." La traduction : formation, compétences, recherches 57, no. 1 (October 10, 2012): 35–47. http://dx.doi.org/10.7202/1012739ar.

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Abstract:
Les théories et le transfert culturels gagnent en importance dans le cadre de la communication interculturelle ou transculturelle. Cet état de fait ne se limite pas à un secteur culturel spécifique, il comprend le transfert des idées, des produits culturels, des pratiques et des institutions d’un système de société à un autre. Les processus de transfert culturel sont dynamiques, car ils touchent autant le monde matériel et tangible que les sphères intellectuelles et spirituelles. Si l’on se penche sur la traduction d’ouvrages ou sur la transmission d’informations en provenance d’autres cultures ou d’autres espaces culturels, comme dans le cas des nouvelles ou d’autres catégories spécifiques de textes, ces processus sont directement perceptibles et ils peuvent être caractérisés tant sur le plan quantitatif que qualitatif. Les emprunts sont présentés comme des originaux, et une interprétation permet aux objets et aux idées de remplir leur fonction dans un contexte nouveau. Les théories culturelles, les modèles culturels anthropologiques et les théories traductologiques aident à définir plus précisément ce qu’est la « culture », à saisir les différentes facettes du concept et à comprendre les processus de transfert pertinents.
6

Boulay, Aline. "Dans les labyrinthes du délire féminin (La femme, la folie et l’histoire)." Santé mentale au Québec 4, no. 2 (June 2, 2006): 3–10. http://dx.doi.org/10.7202/030053ar.

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Abstract:
Afin de comprendre le problème de la relation entre les femmes et la folie, il est important de prendre l'histoire en considération. La maladie mentale consiste dans la difficulté d'exprimer sa différence sexuelle au sens large (économique, politique, idéologique, imaginaire et symbolique), c'est-à-dire où l'histoire entre en ligne de compte. Les femmes, reléguées dans la lointaine histoire, privées de la possibilité de s'exprimer elles-mêmes, cherchent aujourd'hui leur véritable expression. Aussi loin que la confusion des idées de l'homme est concernée, à cause de son déni des femmes, tout ce qu'il a laissé était de se différencier lui-même de lui-même et dès lors de créer les classes sociales symboliques ; cette thèse n'en est pas une idéaliste – il va sans dire que cette évolution symbolique se développe elle-même en interrelation avec le développement économique et matériel de la société. La confusion masculine des idées (délire) est historique alors que celle de la femme est hystérique.
7

Pacifici, Paola. "Le corps : anatomie d’un symbole." Protée 36, no. 1 (September 15, 2008): 29–38. http://dx.doi.org/10.7202/018803ar.

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Grâce à la dissection, une idée nouvelle du corps s’affirme à l’aube de la Renaissance : il s’agit d’un corps matériel et saisissable, qui trouve dans son nouveau statut les prémisses – philosophiques et esthétiques – de sa représentation. Néanmoins, loin de se réduire à un schéma fonctionnel, le corps anatomique se détermine dans le cadre d’une saisie symbolique qui le lie étroitement à la religion, à l’astronomie et à l’art. Par l’analyse d’un choix de textes, cet article se propose de revoir cette construction à la fois symbolique et scientifique et d’expliquer comment le corps se définit dans un réseau pragmatique, devenant une clefd’interprétation du monde.
8

Berdoulay, Vincent, Iná Castro, and Paulo C. Da Costa Gomès. "L’espace public entre mythe, imaginaire et culture." Cahiers de géographie du Québec 45, no. 126 (April 12, 2005): 413–28. http://dx.doi.org/10.7202/023001ar.

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L'aménagement fait souvent appel à l'idée d'espace public, dont la portée sociale et politique demeure toutefois très discutée. Or une approche géographique peut aider à clarifier les aspects qui conditionnent son utilisation. On note d'abord que l'idée d'espace public s'inscrit sur un fond mythique porté par les idées de modernité, de justice, de démocratie, de rationalité et de sujet. Mais l'espace public ne fonctionne pas sur le mode du mythe, car il repose sur des normes et des règles qui mobilisent la rationalité du sujet. Il n'est pas pour autant un espace sans qualifications matérielles, sociales ni culturelles. Au contraire, il constitue un lieu, à la fois matériel et immatériel, qui fait aussi appel à l'imaginaire et à l'activité narrative du sujet.
9

Ducard, Dominique. "Les avatars1 numériques de l'encyclopédisme." Protée 32, no. 2 (August 11, 2005): 29–36. http://dx.doi.org/10.7202/011170ar.

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Abstract:
Résumé Tout projet encyclopédique est un projet intellectuel et éditorial qui vise à thésauriser, organiser et transmettre des connaissances constituées en domaines de savoir. Appartenant au genre didactique, le « livre des livres » qu’est une encyclopédie ne se conçoit pas sans une certaine représentation de la culture, avec ses figures d’autorité et son image du lecteur. La médiologie (R. Debray) a mis en avant la dépendance de la circulation des pensées et de leurs portées d’avec les modalités de leur présentation et de diffusion : le commerce des idées via le véhicule matériel. Nous nous interrogeons plus particulièrement, en référence à des pratiques de recherche documentaire et de lecture-écriture dans les encyclopédies électroniques (à partir de l’exemple de l’Encyclopaedia Universalis), sur quelques effets de l’informatisation de ce type de document, que nous ramenons à quatre caractères significatifs : abstraction, fragmentation, homogénéisation, juxtaposition.
10

Chervet, Bernard. "Contribution à la métapsychologie de la sublimation." Revue française de psychanalyse Vol. 87, no. 4 (September 20, 2023): 875–87. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.874.0875.

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Abstract:
La sublimation est un destin de pulsion à différencier de la désexualisation et de la production des formations de l’inconscient. Elle réunit une retenue pulsionnelle première, un court-circuit de l’autoconservation, une référence à un idéal et un usage de matériaux concrets tangibles. La matérialité des réalités tangibles externes tient lieu d’inscription narcissique. La désexualisation fondatrice des investissements narcissiques utilise la tendance à la réduction à l’inorganique, alors que la création de nouvelles réalités est mue par l’aspiration à une extension infinie. Le travail de sublimation de Freud se déroule selon des après-coups successifs. Chaque étape offre aux précédentes une intelligibilité quant à la fonction anti-traumatique qu’elles assurent et à leur fonction fondatrice du psychique. La sublimation crée un matériau censé être idéal. Mais par sa création elle réintroduit des différences et par elles les éprouvés de manque qu’elle a cherché à éliminer. Elle est infinie.
11

Brosseau, Marc. "Réflexion sur l’influence éventuelle de la géographie française dans l’évolution de la géographie scolaire au Québec." Cahiers de géographie du Québec 38, no. 103 (April 12, 2005): 39–56. http://dx.doi.org/10.7202/022406ar.

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Abstract:
À partir d'une reconstitution de révolution de la discipline dans les manuels de géographie québécois entre 1920 et i960, l'auteur examine certains indices de la diffusion des idées de la géographie française classique dans les manuels. L'auteur met en lumière le rôle important qu'a joué la première génération de géographes professionnels dans la redéfinition de l'architecture générale de la discipline à l'intérieur du matériel scolaire. Il suggère, en cours de route, quelques filiations possibles avec la géographie française par l'entremise de certains grands thèmes qui l'ont caractérisée à pareille époque (analyse des processus en géographie physique; examen des relations homme/nature, des genres de vie et de la notion de paysage en géographie humaine).
12

Wolfe, Charles T. "Le rêve matérialiste, ou « Faire par la pensée ce que la matière fait parfois »*." Articles 34, no. 2 (January 24, 2008): 317–28. http://dx.doi.org/10.7202/016993ar.

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Abstract:
Résumé Cet article vise à expliciter la notion de « rêve matérialiste » à partir d’une réflexion sur l’ouvrage de Diderot, Le Rêve de D’Alembert. Quel lien y a-t-il entre le matérialisme philosophique proclamé dans ce livre et la forme du rêve qui donne un caractère inédit à la présentation de cette philosophie? Une approche purement textuelle montrerait, déjà, une indissociabilité particulière entre forme et contenu; mais l’approche proposée ici s’attache à la manière dont une certaine idée du rêve sert de condition nécessaire conceptuelle à l’élaboration du matérialisme de Diderot : à l’affirmation de l’unicité du monde matériel sans perdre de vue l’état mental d’un sujet rêvant.
13

Béranger, Aurélien. "La politisation de la moindre pièce." Réseaux N° 244, no. 2 (May 29, 2024): 223–56. http://dx.doi.org/10.3917/res.244.0223.

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Cet article porte sur l’articulation entre enjeux techniques et militants dans la low-tech à travers le cas du développement communautaire de l’éolienne Piggott. Il raconte les façons dont les acteurs promouvant le petit éolien auto-construit sont amenés à mobiliser des outils éloignés de leur idéal, à explorer les tensions qui sont générées et à les gérer. L’enquête auprès de ces communautés éclaire trois moments de la fabrique de cette technologie, guidée par un rapport singulier à la matière que je propose de nommer la « politisation de la moindre pièce ». Reconnaissant la dimension politique des choix technologiques, les membres de ces communautés problématisent l’ensemble de leur environnement matériel et de ses ramifications, de façon vertigineuse. Ils ne sombrent pourtant pas dans un purisme immobilisant et montrent à travers le succès de la diffusion de cette machine à vent artisanale la manière dont se combine leur idéalisme à une efficacité pratique.
14

Lévy, Fabien. "L’artiste, entre production et destruction." Circuit 32, no. 2 (August 31, 2022): 63–70. http://dx.doi.org/10.7202/1091904ar.

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Abstract:
Nous connaissons maintenant les causes de la crise climatique comme l’inévitable solution : produire et consommer moins, et mieux. Ce texte est un plaidoyer pour une nouvelle définition de la valeur, matérielle ou immatérielle, qui prenne en compte dans tous les domaines ce qui est produit, mais également ce qui est détruit, que cela concerne les humains, le monde du vivant, ou Gaïa dans son ensemble. Quelles seraient alors les conséquences pratiques, sociétales et esthétiques de cette nouvelle « comptabilité » de la valeur sur l’art ? Nous concluons avec ce que nous appelons maintenant un « idéal Hindewhu » de la musique.
15

Walerich, Elżbieta. "Bergson et la connaissance intellectuelle du monde extérieur." Studia Philosophica Wratislaviensia 16, no. 4 (December 28, 2021): 65–79. http://dx.doi.org/10.19195/1895-8001.16.4.4.

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Abstract:
Bergson offre une étude profonde et originale du savoir intellectuel qui englobe les actes de perception effectués par le sens commun et la connaissance scientifique. Il constate qu’aussi bien notre perception ordinaire que les théories scientifiques concernant le monde matériel, sont déformées par le schéma spatial. Quel est donc le degré d’adéquation de la connaissance intellectuelle par rapport à la réalité extérieure? Nous tentons d’examiner son caractère afi n de préciser à quel point nous pouvons en obtenir le savoir fiable. Dans notre étude, nous nous référons à certaines idées de Roman Ingarden, le disciple de Husserl, qui dans son oeuvre peu connue Intuition et intelligence chez Bergson a réalisé une analyse pénétrante de la conception bergsonienne. D’autre part, nous essayons de déterminer quel est exactement l’apport de la mémoire dans la connaissance intellectuelle. Il semble que son rôle n’est pas assez reconnu par les interprètes de la pensée du philosophe.
16

Molho, Anthony. "Les réseaux marchands à l’époque moderne." Annales. Histoire, Sciences Sociales 58, no. 3 (June 2003): 567–79. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900004789.

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Abstract:
” Circuits et réseaux se trouvent dominés régulièrement par des groupes tenaces qui se les approprient et en interdisent l’exploitation aux autres, le cas échéant. » Cette réflexion de Fernand Braudel s’est trouvée au coeur des préoccupations d’un séminaire qui s’est tenu àl’Institut universitaire européen de Florence pendant l’année 2001-2002, dont le but était de relire les deux grands ouvrages de Fernand Braudel. Quelles sont les idées, les suggestions, les hypothèses qui, dans La Méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II comme dans Civilisation matérielle, économie et capitalisme, continuent àoffrir d’utiles points de référence pour explorer certains des thèmes centraux dans les domaines que Braudel avait privilégiés ? Et comment cet exercice peut-il contribuer àune nouvelle approche de l’histoire globale de l’Europe moderne ?
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Saillant, Francine, Joseph J. Lévy, and Alfredo Ramirez-Villagra. "Immigrants et réfugiés au prisme de la vie sociale des droits." Anthropologie et Sociétés 40, no. 2 (September 27, 2016): 61–88. http://dx.doi.org/10.7202/1037512ar.

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Abstract:
La proposition s’appuie sur une recherche en cours portant sur la mémoire des droits dans les organismes communautaires au Québec sur une période de cinquante ans (1960-2010), laquelle rassemble les témoignages d’acteurs-témoins du mouvement dans cinq secteurs d’action, ceux des femmes, de la migration, du handicap, de la santé mentale et des LGBT. L’article propose une analyse préliminaire de ce matériel, qui retient les propos de 16 des acteurs-témoins rencontrés dans le secteur migration, lesquels portent sur les principales luttes auxquelles ils ont participé. Une attention particulière est portée à la formulation du litige et aux interactions entre la société civile et le gouvernement, en particulier les instances de l’immigration. La question du travail fait l’objet d’analyses spécifiques. La formulation du litige, soit le différend entre les acteurs-témoins, les groupes qu’ils représentent et le pouvoir étatique ainsi que la société dominante, permet de voir comment s’expriment et se transforment les idées de droit et plus généralement de droits humains dans cet univers spécifique. Le concept de vie sociale des droits est mis de l’avant en relation avec la mémoire collective, le témoignage, et la problématique de la culture ou de la vernacularisation des droits humains.
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Roué, Marie. "Les trois scènes de la Confédération crie à Chisasibi (Baie James)." Anthropologie et Sociétés 28, no. 2 (March 14, 2005): 121–39. http://dx.doi.org/10.7202/010611ar.

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Abstract:
Résumé Cet article analyse quelques unes des scènes qui se déroulèrent simultanément en août 2001 à Chisasibi, communauté de l’Est de la baie James, lors d’une réunion de la Confédération des Nations Cries du Canada. Le fait que ces activités se déroulent ainsi en quelques heures au lieu de quelques semaines dans la vie quotidienne, crée une condensation d’espace-temps et d’authenticité. Entre Cris des plaines et Cris du subarctique se joue un jeu d’admiration réciproque où chacun représente pour l’autre l’Indien idéal, dans la recherche d’une identité qui aurait su à la fois préserver la chasse, la pêche et l’essentiel de la vie matérielle des Cris du Nord, sans oublier la danse, le chant et les liens au spirituel des Indiens des Plaines.
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McFalls, Laurence. "Les fondements rationnels et sociaux des passions politiques." Anthropologie et Sociétés 32, no. 3 (April 20, 2009): 155–72. http://dx.doi.org/10.7202/029721ar.

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Abstract:
RésuméCet article s’inspire de la sociologie historique de Max Weber afin de : 1) dégager les conditions de possibilité sociales de l’expression des passions humaines ; et 2) identifier les acteurs, les intérêts et les institutions qui façonnent l’expression contemporaine des passions politiques et les formes de violence concomitantes. Dans saSociologie de la musique, Weber (1921) démontre que l’expression de la passion est soumise à des conditions de possibilité inhérentes à une rationalité parfaitement impersonnelle et que la rationalité propre à la musique occidentale est le produit des intérêts matériels et idéels d’une couche sociale particulière ainsi que des moyens techniques à sa disposition. Cet article s’appuie sur cet aperçu wébérien afin de proposer un ancrage sociologique et historique à l’analyse des passions politiques de la contemporanéité. Si le biopouvoir actuel façonne l’expression des passions et les canalise vers de nouvelles formes de violence, les technès de pouvoir seuls ne peuvent expliquer le devenir des passions humaines. L’article expose comment la gouvernementalité contemporaine repose non seulement sur un régime de véridiction logiquement cohérent, mais sur des acteurs sociaux particuliers partageant des intérêts et des institutions.
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Pardesi, Manjeet S. "Perspectives historiques sur l’Indo-Pacifique." Hérodote N° 189, no. 2 (June 22, 2023): 7–21. http://dx.doi.org/10.3917/her.189.0007.

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Abstract:
Que nous disent l’histoire et les échanges mondiaux de l’Indo-Pacifique et de l’ordre émergent en Asie ? Envisagées dans la longue durée, les régions contemporaines qui forment l’Indo-Pacifique (l’Asie du Sud, l’Asie du Sud-Est, et l’Asie du Nord-Est, ainsi que l’espace maritime qui les relie de l’océan Indien à la mer de Chine méridionale) forment un seul continuum interconnecté. Il semblerait que trois caractéristiques principales de cette Asie au sens large puissent être identifiées au cours des siècles. Premièrement, l’Asie a toujours été une région ouverte. En tant que centre gravitationnel historique de l’économie mondiale, cette région, qui s’étend de l’Inde jusqu’à la Chine englobant l’Asie du Sud-Est, était profondément en lien avec l’économie afro-eurasienne, et par conséquent ses frontières extérieures étaient toujours ouvertes et mouvantes. Deuxièmement, malgré la taille de la Chine, l’Asie était décentrée, tant d’un point de vue économique qu’idéationnel. Économiquement, le sous-continent indien aux multiples centres était aussi important que la Chine, tandis que, d’un point de vue idéationnel, les idées chinoises coexistaient avec les idées indiennes et islamiques. Troisièmement, l’ère de la domination occidentale a été d’assez courte durée. Elle a commencé par l’impérialisme britannique au lendemain de la révolution industrielle et des guerres napoléoniennes et s’est poursuivie jusqu’à nos jours avec une prédominance américaine. L’ascension du pouvoir britannique et l’expansion quasi simultanée de l’empire Qing en Asie centrale ont aussi créé une Asie continentale qui existe toujours et interagit avec l’Asie maritime. Toutefois, de nombreux événements, notamment la guerre froide, la guerre sino-indienne de 1962, la formation de l’Asean et l’émergence des études régionales dans les universités américaines (pour des raisons en partie relatives à la guerre froide), ont contribué à l’avènement de l’Asie divisée qui nous est plus familière de nos jours. Alors que l’Asie historique, interconnectée, plus vaste, réémerge sous la dénomination moderne d’Indo-Pacifique, il est probable qu’elle comporte ces mêmes trois caractéristiques identifiées dans le temps long : son ouverture par des frontières fluides et mouvantes, son absence de centre, malgré la rivalité sino-américaine, et la nature interconnectée de ses dimensions stratégiques maritime et terrestre. Pour autant, l’utilisation du terme Indo-Pacifique reflète surtout le pouvoir matériel et discursif de l’Amérique.
21

de Médicis, François. "L’adaptation d’une forme à un style : les thèmes à retour dans la musique instrumentale de Brahms." Canadian University Music Review 20, no. 2 (March 4, 2013): 45–79. http://dx.doi.org/10.7202/1014458ar.

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La difficulté de situer Brahms dans le camp des conservateurs ou des progressistes résulte probablement du caractère protéiforme de sa musique. Cette flexibilité caractérise également les structures à retour, qui sont les formes thématiques les plus abondantes dans la musique instrumentale de Brahms. Ces formes sont fondées sur le retour d’une idée initiale après un matériau intermédiaire, comme dans la période ou la forme ternaire. L’analyse des deux paramètres fondamentaux de ces structures, le retour et la cadence, montre que leur faveur peut s’expliquer par une bonne adaptation aux nouvelles exigences stylistiques du romantisme, comme le rejet de conventions trop prévisibles du discours, et l’élargissement de l’espace tonal.
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Saillant, Francine. "Le navire négrier." Ethnologies 31, no. 2 (March 9, 2010): 69–97. http://dx.doi.org/10.7202/039366ar.

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L’article présente l’analyse de la narration théâtrale d’une mère de saint d’un terreiro de Rio de Janeiro portant sur le départ, le voyage et l’arrivée des esclaves au Brésil. La pièce est jouée par des enfants et des membres de la famille de saints d’un terreiro d’une périphérie de Rio de Janeiro dans le cadre d’une activité éducative. La narration est porteuse d’une idée centrale : les esclaves sont venus au Brésil porteurs d’une culture matérielle et immatérielle, d’une mémoire et de traditions transposés au Brésil par l’intermédiaire de ceux qui surent résister aux lois de l’esclavage et aux conditions de la servitude. Le candomblé, religion qui prend ici une signification politique forte, est un élément structurant de la narration puisque les entités servent de figures, celles des esclaves et ancêtres divinisés mais aussi libératrices. La figure victimaire de l’esclave se trouve renversée et se transforme en héros tandis que la narration de la nation brésilienne place les esclaves et l’Afrique comme figures premières et civilisatrices.
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Safty, Essam. "Les difficultés du débat sur la justice entre Socrate et Thrasymaque dans la République I." L'antiquité classique 87, no. 1 (2018): 13–53. http://dx.doi.org/10.3406/antiq.2018.3962.

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Abstract:
La formidable diversité des interprétations relatives aux thèses soutenues par Thrasymaque dans la République de Platon ne fut pas sans porter préjudice à l’intelligence même desdites thèses : la divergence inattendue de lectures appela à son insu la multiplicité d’impressions de fragmenté voire de désordonné ; et le hasard des lectures exégétiques, lesquelles ne se départissent que rarement du ton polémique, continue à noyer à la fois dans l’impressionnisme et dans l’hypothétique la trajectoire réelle de la pensée du sophiste. De nouveaux efforts doivent ainsi être consentis afin de replacer la pensée du sophiste dans son cadre conceptuel propre : conséquente et irréductible, la réflexion de Thrasymaque doit être éclairée par une analyse d’ensemble, qui ne perde pas de vue qu’elle suit une marche, non pas concurrente, mais parallèle à celle des thèses soutenues par Socrate. Nous ne nous engagerons donc pas dans la polémique définitionnelle, ni ne jugerons la réflexion de Thrasymaque à l’aune de celle de Socrate, mais proposerons une relecture objective d’un débat qui non seulement soulève des questions d’ordre légal, épistémologique, politique ou éthique, mais fournit l’essentiel de son matériel théorique à l’édifice idéal de la République.
24

Lemieux, René. "Thanatographie d’Étienne Dolet : spéculer sur la liberté en traduction, la Modernité et la crainte de mourir." Cygne noir, no. 4 (June 29, 2022): 82–103. http://dx.doi.org/10.7202/1090132ar.

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Abstract:
Comme l’indique son titre, cet article propose de raconter non pas la vie, mais la mort d’Étienne Dolet, humaniste du XVIe siècle, accusé d’impiété et condamné au bûcher par un tribunal de l’Inquisition. L’acte d’accusation tient sa preuve d’une « mauvaise » traduction d’un dialogue erronément attribué à Platon, l’Axiochus, qui se veut un écrit consolant un homme gravement malade à l’approche de la mort. L’erreur de Dolet se situerait dans trois mots en trop (« rien du tout ») dans un argument visant à montrer que la mort n’est rien (« après la mort, tu ne seras plus rien du tout ») et qui serait la preuve que Dolet ne croyait pas – ou ferait croire que Platon ne croyait pas – en l’immortalité de l’âme après la mort. Dans ce jeu du texte en traduction entre l’auteur, le traducteur et l’Inquisition, l’article veut faire de cette anecdote le contre-exemple des normes enseignées et pratiquées dans le domaine de la traduction encore aujourd’hui. La manière de traduire de Dolet était perçue par l’Inquisition comme la continuation de ce qui se faisait avant la Modernité : le texte en sciences (naturelles ou humaines) était un matériau que le traducteur ou la traductrice pouvait et devait réécrire au regard des nouvelles connaissances de son temps. La Modernité serait donc un moment de rupture en traduction en créant une fonction « traducteur », non seulement entre la liberté et la contrainte, mais surtout entre l’autorité de l’auteur et la subordination de la traduction. L’article propose de comprendre cette fonction « traducteur » comme la conséquence de la crainte de mourir pour des idées – surtout les idées d’un autre.
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Bertau, Marie-Cécile. "Pour une notion de forme linguistique comme forme vécue. Une approche avec Jakubinskij, Vološinov et Vygotskij." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 24 (April 9, 2022): 5–28. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2008.1402.

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Abstract:
Jakubinskij ainsi que Vološinov partent dans leur approche de la langue de la situation extra-verbale, entendue comme situation vécue et partagée avec un autre. Les liens avec cette situation forment et l'événement langagier et son aspect proprement linguistique. Les deux linguistes pensent un recul ou une réduction de l'aspect linguistique ; ainsi, Vološinov parle d'un «énoncé dépourvu de mots» où ce qui subsiste est une forme : une intonation, un geste. Ce qui devient visible est le corps parlant et écouté, par là l'autre et le social, puis le rôle que jouent l'intonation et la voix. Devient visible, finalement, une forme réciproque et mutuelle, sensible et matérielle. L'objectif de la contribution est de développer l'approche de Jakubinskij et de Vološinov, d'élaborer ensuite une notion de forme linguistique se basant sur le moment du vécu. L'argumentation suivra également une logique ontogénétique, visant à préciser le développement de la forme linguistique par la voix de l'autre ; c'est ici que nous ferons référence à Vygotskij et aux concepts d'intériorisation et de langage intérieur. Finalement nous proposerons une idée de la langue correspondant à l'idée de forme linguistique élaborée.
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Glanc, Tomáš. "L’utilisation des textes de W. von Humboldt pour justifier la singularité slave dans l’ouvrage de P. J. Šafařík Les antiquités slaves (1837)." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 33 (November 19, 2012): 113–26. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2012.819.

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Abstract:
Cet article est consacré à la réception des idées humboldtiennes sur la langue et la culture dans l’oeuvre de P.J. Šafařík. C’est dans le cadre de l’idéologie du renouveau national que Šafařík transforme l’universalisme éclairé de Humboldt, en s’appuyant avant tout sur un travail de jeunesse de Humboldt «Prüfung der Untersuchungen über die Urbewohner Hispaniens vermittelst der Vaskischen Sprache» (1821). Il adapte à son projet slave l’idée d’une égalité entre les Slaves et les Grecs, qu’il cultive dans les décennies suivantes au moyen de renvois à un commun «MoyenÂge » mythique (Křížek). Une autre composante du programme antique de l’idéologie slave fut son travail de recherches philologiques et de traduction, qui adaptait au matériau slave la philologie germanophone classique. Humboldt construit l’identité idéale des langues avec leurs locuteurs, il récuse le concept de signe linguistique ; Šafařík oppose à la philologie des mentalités celle de la géopoétique et de la géopolitique. Humboldt fait de l’humanité un ensemble multiple, libéré de la prison du signe. La construction de Šafařík est séparatiste et (post-)coloniale: l’inscription du monde slave dans l’humanité se fait par la confrontation et des procédés de domination.
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Salagnac, Jean-Michel. "Intérêt diagnostique et thérapeutique de l’étude du nez en orthopédie dento-maxillo-faciale." L'Orthodontie Française 89, no. 2 (June 2018): 169–80. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2018014.

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Abstract:
Introduction : Prévoir la croissance faciale chez un sujet en période de croissance est l’un des souhaits les plus chers des orthodontistes, mais aussi l’un des objectifs les plus difficiles à obtenir avec précision malgré les différentes méthodes proposées de prévision de croissance. Une méthode simple basée sur la lecture clinique et radiologique du nez et du prémaxillaire permet sans aucun calcul de se faire une idée valable de la croissance maxillaire à venir et d’en déduire les indications thérapeutiques en orthopédie dento-faciale. L’étude morphologique du nez constitue également un élément important dans le diagnostic des syndromes malformatifs cranio-faciaux. Matériels et méthodes : À partir d’une étude sémiologique clinique détaillée et de l’étude radiologique des structures nasales et prémaxillaires, cet article présente une méthode d’évaluation et de prévision de croissance de l’étage supérieur de la face. Résultats : Basée sur l’expérience de très nombreuses observations, et sur des bases embryologiques actuelles, la détection précoce des troubles de la croissance de l’entité ethmoïdo-naso-prémaxillaire fournit à l’orthodontiste de précieuses indications thérapeutiques. Discussion : L’étude de la morphologie nasale, clinique et radiologique associée à l’étude du prémaxillaire constitue un bon indicateur de la direction et du potentiel de croissance de l’étage supérieur de la face, ainsi qu’un indice de dépistage de syndrome malformatif. Conclusion : Cette étude devrait être intégrée systématiquement dans le diagnostic en orthopédie dento-maxillo-faciale.
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Audouze, Françoise, and Claudine Karlin. "La chaîne opératoire a 70 ans : qu’en ont fait les préhistoriens français." Journal of Lithic Studies 4, no. 2 (September 15, 2017): 5–73. http://dx.doi.org/10.2218/jls.v4i2.2539.

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Abstract:
L’article porte sur l’origine et le développement de l’école française de technologie préhistorique. En remontant aux sources, les auteurs montrent comment la chaîne opératoire, concept proposé par A. Leroi-Gourhan, ethnologue et préhistorien, a d’abord été développé par les ethnologues puis appliqué à l’étude du lithique préhistorique en liaison avec eux. La découverte du site de plein air de Pincevent a permis à Leroi-Gourhan de développer ses idées quant à une approche ethnographique d’une occupation préhistorique et les remontages de silex qui restituent les séquences de débitages ont été pour la première fois utilisées de façon systématique. La lecture de ces remontages a conduit à développer le concept de chaîne opératoire. Parallèlement J. Tixier concevait une méthode d’étude spécifiquement adaptée à l’analyse des productions taillées lithiques en s’appuyant sur la lecture de débitages expérimentaux pratiqués par son équipe. La mise en commun des idées développées par Tixier et son équipe et par le laboratoire d’Ethnologie préhistorique de Leroi-Gourhan, la pratique de l’expérimentation, de la taille du silex et des remontages de nucléus a conduit à des développements qui ont porté d’abord sur les techniques et méthodes de taille. Puis cette coopération a permis d’affiner une identification des niveaux de compétence, de l’apprentissage à la haute performance, puis, au delà, une reconnaissance des individus tailleurs à partir de caractéristiques idiosyncratiques de débitage. S’ouvrait ainsi le chemin vers l’analyse du domaine économique et enfin des domaines cognitif et social à partir de l’organisation spatiale d’habitats du Paléolithique supérieur. Le concept et tous les champs de recherche qu’ouvrait son application ont ensuite été adoptés dans d’autres domaines que le lithique : l’os, la céramique, le métal, l’archéozoologie et le funéraire, impliquant le développement de critères appropriés et de techniques d’observation et d’expérimentation adaptées au matériau ou aux pratiques. Tout en s’appuyant sur les acquis, deux démarches récentes portant sur le moyen et long terme ouvrent de nouvelles pistes. Flexibilité, vision dynamique des processus et connexion structurelle de la sphère technique à toutes les dimensions humaines font de la chaîne opératoire une efficace machine à penser les processus de production et leur place dans la société.
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Rakopoulos, Theodoros. "Of Fascists and Dreamers." Social Anthropology/Anthropologie sociale 30, no. 1 (March 1, 2022): 45–62. http://dx.doi.org/10.3167/saas.2022.300104.

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Abstract:
English Abstract: Examining conspiracy theory authors has not been seen as worthy of ethnographic inquiry in anthropology as of yet. This is intriguing, as encountering conspiracy theorists inspires a process of reassessing the critical nature of our own discipline, with its doubting mechanisms and thrill for alternative realities, and the essay offers analogies between such theories and the discipline. This article tackles conspiracy theory through ethnographically encountering the people largely responsible for the creation and dissemination of such theories. I argue that ethnography of conspiracy theory is ethnography on and with conspiracy theorists. The essay responds to recent calls to address uncomfortable ideas ‘at eye level’. Such calls to take seriously people who adhere to challenging ideas comes from work among far-right thinkers, an area sometimes converging with conspiracy theory. Reviewing material from fieldwork in Greece among authors in the conspiracy genre illuminates a wide array of concerns, from the idea that their work is science-worthy to statements both associated and dissociated from fascist ideas. The essay shows how professionals of the conspiracy theory field craft such theories and (re)work their own social standing, while I take conspiracy theory arbiters’ claims to the epistemic seriously and explore their relations to the far-right.French Abstract: Cet article aborde la théorie du complot par le biais d’une rencontre ethnographique avec des personnes largement responsables de la création et de la diffusion de ces théories. Il soutient que l’ethnographie de la théorie du complot est une ethnographie sur et avec les théoriciens du complot. L’essai répond ainsi aux récents appels à aborder les idées inconfortables « au niveau des yeux ». Ces appels à prendre au sérieux les personnes qui adhèrent à des idées difficiles proviennent des travaux des penseurs d’extrême droite, un domaine qui converge parfois avec la théorie du complot. L’examen du matériel issu d’un travail de terrain parmi les auteurs du genre conspirationniste en Grèce met en lumière un large éventail de préoccupations, allant de l’idée que leurs travaux sont dignes de la science à des déclarations à la fois associées et dissociées des idées fascistes. Je montre comment les professionnels du domaine de la théorie du complot élaborent de telles théories et (re)travaillent leur statut social. Tandis que je prends au sérieux les revendications épistémiques des arbitres de la théorie du complot, j’explore leurs relations avec l’extrême droite. L’examen des auteurs de théories du complot n’a pas encore été considéré comme digne d’une enquête ethnographique en anthropologie. Cela est intriguant, car la rencontre avec les théoriciens du complot inspire un processus de réévaluation de la nature critique de notre propre discipline, avec ses mécanismes de doute et sa soif de réalités alternatives. Je propose donc des analogies entre ces théories et la discipline anthropologique.
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Elhaddaoui, Rajae, Loubna Bahije, Fatima Zaoui, and Wiam Rerhrhaye. "Calendrier de la greffe osseuse et séquences d’éruption canine dans les cas de fentes labio-alvéolo-palatines : revue systématique." L'Orthodontie Française 88, no. 2 (June 2017): 193–98. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2017011.

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Abstract:
Introduction : La greffe osseuse alvéolaire (GOA) constitue une phase chirurgicale importante dans le traitement des fentes labio-alvéolo-palatines (FLAP). Elle permet d’éliminer les fentes oro-nasales, de rétablir la continuité du maxillaire et de fournir un support parodontal optimal pour l’éruption spontanée des canines permanentes adjacentes à la fente. Le but de la présente revue systématique était de déterminer le calendrier idéal de la GOA qui permettrait d’atteindre ces objectifs. Matériels et méthodes : Les bases de données consultées étaient MEDLINE, Embase et EBSCOhost, en utilisant les mots-clés présents dans le MeSH : [cleft lip and palate] and [alveolar bone graft] and [tooth eruption]. Les critères de sélection ont inclus les études rétrospectives, prospectives et les méta-analyses depuis janvier 2005 et dont le texte intégral est disponible. Résultats : Parmi 105 références, 9 articles répondaient à nos critères de sélection. La GOA réalisée avant ou juste après l’éruption des canines permanentes adjacentes à la fente, entre 8 et 12 ans, présente le meilleur taux de succès de la greffe (71 % à 89 %) et le risque d’inclusion canine le plus faible (5 à 19 %). Conclusion : D’après les données de la littérature, le calendrier optimal de la GOA garant de meilleurs résultats est situé entre 8 et 12 ans, avant ou juste après l’éruption des canines permanentes adjacentes à la fente. Cependant, ce calendrier pourrait être modifié par l’équipe pluridisciplinaire en fonction des priorités, particulièrement esthétiques, définies pour chaque enfant.
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Queralto, Isabel, and Imen Bouallègue. "Apport des ancrages vissés dans les avulsions mono maxillaires des secondes prémolaires maxillaires en technique linguale : à propos d’un cas." Revue d'Orthopédie Dento-Faciale 57, no. 3 (September 2023): 295–311. http://dx.doi.org/10.1051/odf/2023033.

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Abstract:
Introduction : le recours aux extractions mono maxillaires de prémolaires peut constituer chez les patients adultes présentant une malocclusion de classe 2 une solution thérapeutique de choix lorsqu’il existe peu ou pas de dysharmonie dents-arcade d’origine mandibulaire. Les avulsions des deuxièmes prémolaires sont souvent à privilégier à celles des premières prémolaires, pour des raisons tant occlusales qu’esthétiques. Cependant, elles se heurtent en technique linguale, notamment du fait de la plus grande difficulté d’ancrage, à de nombreux effets parasites. Le recours à des ancrages vissés dans la zone palatine s’avère être un auxiliaire idéal. Matériel et méthode : le but de cet article est de présenter grâce à un cas clinique, un dispositif d’ancrage palatin dans la région palatine médiane : le Bitripod Anchor Plate (BAP). Puis, face à une intolérance au niveau de ce site, une alternative en zone palatine paramédiane : le Palatal Retractor Device (PRD). Discussion : les avantages et inconvénients de ces ancrages sont ensuite comparés entre eux et à d’autres alternatives. Conclusion : en technique linguale, il est important d’utiliser l’ancrage adapté selon les mouvements nécessaires pour aboutir aux objectifs du plan de traitement. Pour cela, le recours aux ancrages palatins fait partie de nos jours du Gold Standard. La maîtrise de leurs propriétés permet de s’adapter à la situation clinique de chaque patient pour s’assurer d’une pose sécurisée.
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AWO, Dieudonné A. "Stratégies des ONG internationales dans le maintien des élèves à l’école au Bénin: Cas de Bornefonden dans la commune de Bassila de 1996 à 2016." Journal of Quality in Education 11, no. 17 (May 5, 2021): 131–59. http://dx.doi.org/10.37870/joqie.v11i17.254.

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Abstract:
L’accélération de la mondialisation et les nouvelles victoires de la science de la fin du XXème siècle ont davantage rapproché les peuples les uns des autres et confronté les différents pays du monde, surtout ceux en développement, à de nouveaux défis politiques, économiques et culturels qu’on ne peut appréhender que grâce à l’acquisition de nouveaux savoirs. Cette bataille pour la science, oblige ces Etats retardataires à accorder une importance singulière à l’éducation par l’organisation, le contrôle et la gestion rigoureuse et efficiente de l’école formelle qui reste le cadre idéal d’instruction et de formation capable de tirer les apprenants de leur nuit sépulcrale et de les conduire vers l’acquisition des connaissances qu’impose le monde en perpétuelles mutations. La République du Bénin a bien compris cet impératif en décrétant l’éduction pour tous dans sa constitution du 11 décembre 1990. Mieux, des écoles maternelles, primaires et secondaires sont créées un peu partout sur le territoire national. Mais, les apports publics en infrastructures, en matériels didactiques et en personnels enseignants qualifiés ne suivent malheureusement pas pour permettre aux apprenants de se maintenir à l’école et d’y recevoir la formation requise pour une vie intellectuelle épanouie et productive. Cette situation pénalise notamment les élèves des familles pauvres des zones rurales où ils sont astreints à des recrutements biennaux dans les écoles primaires et aux classes volantes dans les Collèges d’Enseignements Généraux. Cette incapacité de la puissance publique à résoudre les problèmes de l’école béninoise pousse des ONG internationales à caractère humanitaire et à but non lucratif à intervenir pour compléter ou suppléer les efforts de l’Etat dans certains milieux déshérités. Quelles sont les stratégies développées par l’ONG Bornefonden pour maintenir les élèves dans les établissements d’enseignements secondaires de la commune de Bassila de 1996 à 2016 ? Les sources et les ressources bibliographiques consultées pour répondre à cette interrogation offrent une moisson complétée par les informations issues des entretiens semi-directifs réalisés et soumises aux techniques d’analyse quantitative et qualitative. Les résultats obtenus permettent de dire qu’en vingt ans d’activités, Bornefonden a réussi à maintenir 3 651 élèves dans les cours secondaires dans la commune. Quoique minimes, les apports matériels et financiers de l’ONG ont été déterminants dans le fonctionnement des établissements ayant accueilli ces apprenants parrainés. Grâce aux activités génératrices de revenus, les ménages enrôlés ont retrouvé l’équilibre financier requis pour se prendre en charge à la fin du séjour du programme.
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Garcia Herrera, Miguel Angel. "Démocratie, Etat et Union Européenne dans la proposition de statut politique de la Communauté d' Euskadi." Civitas Europa 12, no. 1 (2004): 45–77. http://dx.doi.org/10.3406/civit.2004.1024.

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Abstract:
La proposition de statut politique pour la Communauté d'Euskadi est un assemblage mêlant statut d'autonomie et Constitution. Elle associe les contenus propres à l'organisation régionale à ceux qui touchent à l'organisation de l'Etat. Débordant son contenu spécifique, elle entre dans des matières qui ne sont guère de son domaine d'attribution et propose simultanément un ordre des autonomies et un ordre étatique. Cette juxtaposition désordonnée et nullement respectueuse de l'ordre juridique entraîne de nombreuses difficultés au plan du droit. Les aspects analysés clans le présent travail sont au nombre de trois. En premier lieu, le mélange des contenus empêche de soutenir la thèse consistant à présenter le statut politique comme une réforme statutaire selon les termes de l'article 46 EAPV. En ce qui concerne la procédure, nous exposons deux objections : d'un point de vue formel, elle doit se conformer aux prescriptions de la révision de la constitution ; d'un point de vue matériel, l'analyse qu'elle défend équivaut à méconnaître le concept de Constitution démocratique basée sur une idée de consensus concernant les règles fondamentales de la vie en société. Or, le projet de statut se base sur une dialectique majorité/minorité et sur la confrontation avec l'Etat. De plus, nous analysons les relations avec l'Etat, ce qui nous amène à analyser le concept de citoyenneté et le fait de vider de leur contenu les compétences de l'Etat au profit de la Communauté d'Euskadi. Enfin, nous considérons qu 'il se produit une inadéquation entre la réglementation proposée sur la présence des Régions dans l'ordre de l'Union et le contenu des articles
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Lightman, Bernard. "Pope Huxley and the Church Agnostic: The Religion of Science." Historical Papers 18, no. 1 (April 26, 2006): 150–63. http://dx.doi.org/10.7202/030904ar.

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Abstract:
Résumé En 1858, Henry Longueville Mansel donna une série de conférences, dans le cadre des "Bampton Lectures' ', qui suscitèrent de vives réactions. Il y défendait, entre autres, l'infaillibilité de la Bible à partir de prémisses selon lesquelles l'homme étant un être limité alors que Dieu et le monde transcendantal se situent au-delà de ces limites, l'homme ne peut, par conséquent, critiquer la Bible qui est une communication de Dieu, un Etre qui est inconnaissable par définition. Parmi ceux qui réagirent aux propos de Mansel se trouvaient plusieurs naturalistes de l'époque et, en particulier, Thomas Henry Huxley. Celui-ci compara Mansel à un personnage caricaturé par Hogarth qui est en train de scier la branche sur le bout de laquelle il est perché. Selon Huxley, Mansel ne faisait pas que détruire la théologie chrétienne qu'il voulait défendre mais il fournissait en plus des arguments à ses délateurs. De fait, une nouvelle forme de scepticisme religieux s'édifiait à l'époque, à partir du concept que le monde matériel étant seul connaissable, le transcendantal s'avérait donc inaccessible pour l'homme. Huxley, qui partageait ces idées, désigna plus tard cette forme de scepticisme religieux sous le nom d'agnosticisme. Cette nouvelle forme de scepticisme engendra d'ailleurs de longues polémiques concernant la science et la religion et Huxley se retrouva souvent au centre de ces débats. L'auteur analyse ici les démêlés et les jalons qui marquèrent l'évolution de l'agnosticisme et il constate que, ironiquement, si Mansel fit du tort à la religion en s'appuyant sur une perception de l'homme comme étant limité dans sa capacité de connaître, Huxley et les agnostiques qui lui empruntèrent cette vision des choses, firent, de leur côté, beaucoup de tort à la science.
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Eagleson, Hannah. "The Texture of Time." Renaissance and Reformation 32, no. 2 (April 1, 2009): 73–103. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v32i2.11261.

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Des ciseaux et de la colle. Des ailes sur une page. La grandeur des caractères. Ces matériaux ont tous eu leur importance lorsque les lecteurs du début du XVIIe siècle ont tenté de comprendre leur théologie du temps à travers les pages de leurs livres. Cet article montre que la poésie de George Herbert revêt une profonde association entre les idées concernant le texte et celles relevant de l’histoire théologique, association qui était familière pour les lecteurs d’almanachs et d’harmonies bibliques. Les poèmes d’Herbert impliquent que l’individu puisse donner une signification à sa propre vie, dans le cadre d’une histoire théologique linéaire et cohérente basée sur la création, la chute, la rédemption et la résurrection des morts. Puisque cette histoire linéaire se basait sur les Écritures et sur son interprétation dans l’Angleterre du XVIIe siècle, la démarche consistant à donner une signification à une vie individuelle dans le cadre de cette histoire théologique était expérimentée à travers le texte, considéré à la fois comme un contenu intellectuel et comme une forme matérielle. The Temple révèle également des tensions entre l’exploration d’Herbert dans le temps de chaque jour apparemment chaotique et sa foi dans la cohérence de l’histoire théologique linéaire. Ses efforts pour réduire ces tensions le conduit à utiliser des métaphores impliquant la matérialité du texte, renforçant ainsi les liens entre la théologie du temps et la matérialité du texte dans son œuvre, ainsi que dans l’expérience de ses lecteurs contemporains.
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Corbo, Stefano, and Marie-Pierre Duhamel Muller. "Les cicatrices de la ville." Le Visiteur N° 27, no. 1 (March 1, 2022): 43–50. http://dx.doi.org/10.3917/visit.027.0043.

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Abstract:
En dix-huit mois, le Liban a été confronté à une série d’événements dramatiques. L’aggravation de la crise économique systémique a fait passer le PIB du pays de 55 milliards de dollars en 2018 à 33 milliards en 2020. L’épidémie de Covid-19 et les terribles explosions au port de Beyrouth en août 2020 ont fait des centaines de victimes et des milliers de blessés, et ont causé des dégâts matériels, qui concernent essentiellement les logements et le patrimoine culturel, estimés à 4 milliards de dollars. De larges zones du front de mer, ainsi que des bâtiments historiques, des hôpitaux, des infrastructures, des entrepôts et le silo à grain principal, ont été sérieusement endommagés. Aujourd’hui, dans le centre-ville, les traces des dégâts causés par ces explosions côtoient d’autres ruines, qui remontent à la guerre civile de 1975-1990, et qui sont tout aussi chargées de connotations politiques et culturelles. À quelques kilomètres du port, en effet, se dresse ce qu’on appelle l’Œuf, une coquille de béton dégradée située à proximité de la place des Martyrs. Conçu en 1965 par l’architecte libanais Joseph Philippe Karam, l’Œuf fait figure de paradigme des problèmes actuels de Beyrouth, mais aussi de ses enjeux et de ses exceptionnelles possibilités. Sa situation nous renseigne sur les relations complexes entre architecture, politique et espace public. Le texte souligne la pertinence de l’Œuf en tant que caisse de résonance de questions plus larges, et décrit son appropriation en tant qu’acte politique. Le choix de l’Œuf comme lieu idéal de débat a cristallisé l’essor de modèles alternatifs de participation, et en même temps a témoigné de la capacité latente de l’architecture à fournir un cadre à l’action. L’Œuf est un amplificateur : ses intérieurs absorbent et réverbèrent l’expression de nouvelles exigences, spatiales et politiques.
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Sebastiani, Valentina, and Wendell Ricketts (translator). "Froben Press Editions (1505–1559) in the Holdings of the Centre for Reformation and Renaissance Studies Library: A Brief Survey." Renaissance and Reformation 37, no. 3 (March 5, 2015): 213–34. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v37i3.22463.

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Abstract:
Analysis of the material aspects of books has opened new fields for historical enquiry that connect humanist learning, theology, and the press. The collaboration between Erasmus of Rotterdam and the printers Johannes and Hieronymus Froben of Basel between 1514 and 1536 offers itself as a vantage point from which to observe the making of written culture for humanists, allowing investigations into the media strategies and marketing communication tools employed to produce and disseminate humanist books in early modern Europe. This contribution provides a brief survey of Froben’s editions held in the collections of the Centre for Reformation and Renaissance Studies (CRRS) at Victoria University in the University of Toronto. A deep scrutiny of some of the CRRS library’s copies sheds light on the technical and economic aspects of Froben’s printing activity, while supplying significant information on Erasmus’s readership. L’analyse des aspects matériels des livres a initié de nouvelles avenues de recherche historique mettant en lien la formation humaniste, la théologie et les milieux de l’imprimerie et de la publication. La collaboration entre Érasme de Rotterdam et les imprimeurs Johannes et Hieronymus Froben de Bâle entre 1514 et 1536 constitue un cas idéal à partir duquel observer la fabrication de la culture écrite des humanistes, ouvrant la porte à des études des stratégies médiatiques et de la communication de marketing utilisées pour produire et disséminer les livres humanistes en Europe au début des temps modernes. Cet article effectue un survol des éditions de Froben présentes dans les collections du Centre for Reformation and Renaissance Studies (CRRS) à la Victoria University in the University of Toronto. Un examen minutieux de quelques uns des livres de ces collections met en lumière certains aspects techniques et économiques de l’activité de Froben, et donne également des informations importantes au sujet du lectorat d’Érasme.
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Perwitosari, Dian. "ANALYSE DE L’ECRANISATION ET L’APPROCHE CULTURELLE DE LA BANDE DESSINEE AU FILM ASTERIX: LE DOMAINE DES DIEUX." Lingua Litteratia Journal 6, no. 1 (June 12, 2019): 65–75. http://dx.doi.org/10.15294/ll.v6i1.30841.

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Abstract:
Astérix : Le Domaine des dieux est le dix-septième album de la série de bande dessinée « Astérix » de René Goscinny et Albert Uderzo, publié le 29 juillet 1971. Cette série raconte les aventures du guerrier gaulois s’opposer aux Romains. Cette bande dessinée a pour fond la région de l’empire romain vers 50 av. J.-C. avec l’histoire humoristique. Cette recherche vise à analyser la transformation dans la bande dessinée au film « Astérix : Le Domaine des dieux » en utilisant la théorie d’écranisation de Pamusuk Eneste. Cette théorie comprend la réduction, l’addition, et les changements variés de scène dans le déroulement, le personnage, et le fond. La chercheuse analyse aussi les éléments culturels en utilisant l’approche culturelle de Koentjaraningrat avec les trois formes culturelles. Ce sont la forme culturelle comme un complexe des idées, d’activité, et des objets d’œuvres humaines. Dans cette recherche, la bande dessinée et le film « Astérix : Le Domaine des dieux » sont choisis comme les objets matériels, tandis que l’objet formel est la théorie d’écranisation et l’approche culturelle. La chercheuse utilise l’approche qualitative avec la méthode d'analyse descriptive. La méthode de cette recherche est « la comparaison de référence », tandis que la technique de cette recherche est Pilah Unsur Penentu (PUP). Dans l’écranisation du déroulement, il y a seize réductions, quarante-six additions, et onze variations. En autre, dans l’écranisation du personnage, il y a deux réductions, cinq additions, et deux variations. Alors, dans l’écranisation du fond, il y a deux réductions, cinq additions, et deux variations. Dans l’approche culturelle, parmi les trois formes culturelles que la chercheuse a analysé, on peut voir la troisième forme culturelle est fidèle aux faits de l'histoire. La troisième forme culturelle de cette bande dessinée décrite les faits historiques vers 50 av. J.C.
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Tehami, Mohamed, and Karima Anouche. "Présences des préoccupations énergétiques dans l’approche conceptuelle de Fernand Pouillon dans les années 50 Cas d’étude de la cite Climat de France de Pouillon à Alger." Journal of Renewable Energies 20, no. 1 (October 12, 2023): 11–24. http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v20i1.605.

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Abstract:
Après la deuxième guerre mondiale, il y a eu une grande crise de logement dans l’Europe. Plusieurs réponses ont été proposées à travers les chartes des CIAM qui voyaient l’avenir de la construction du logement de masse dans la standardisation et l’utilisation de nouveaux matériaux ainsi que des techniques et procédés de construction industrialisés à l’image de l'industrie de préfabrication. Le développement durable, ainsi que la réduction de la consommation énergétique n’étaient de loin leurs premières préoccupations. Dans les années 90, les préoccupations énergétiques faisaient partie des problèmes de la qualité du bâtiment à soulever dans la conception architecturale. Cependant, les solutions proposées étaient la plus part du temps isolées et purement techniques. C’est toujours une vision industrielle pour résoudre un problème architectural. En parallèle, dans les années cinquante, Fernand Pouillon, arrive avec de nouvelles idées et une nouvelle vision pour l’avenir de la construction du logement de masse tout en se préoccupant de l’environnement bâti et de la durabilité du matériau. Sa méthode de conception du logement était en avance par rapport à son temps. Il a développé un processus de conception basé sur une industrialisation des procédés de construction par élément simple au lieu d’une préfabrication lourde du logement. A travers l’analyse de la cité d’habitations Climat de France de Fernand Pouillon en Algérie, on essayera de montrer sa vision moderne de l’avenir du logement et la présence des préoccupations énergétiques dans son approche conceptuelle.
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Tchougounnikov, Serguei. "Les paléontologues du langage avant et après Marr." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 20 (April 9, 2022): 295–310. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2005.1521.

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Abstract:
N. Marr n'est l'inventeur ni de la notion ni de la méthodologie de l'approche dite «paléontologie linguistique». Cette dernière est conçue comme une branche de la linguistique comparée à partir du milieu du XIXème siècle (A. Kuhn, A. Pictet, M. Müller, C. Abel, W. Wundt). Nous essayons de dégager les principes de la paléontologie linguistique et de la situer en tant que projet scientifique dans l'histoire des sciences humaines de la fin du XIXème jusqu'au début du XXème siècle. Il s'agit, en outre, de poser la question des relations existant entre la paléontologie linguistique traditionnelle (paléontologie- l) et la «nouvelle paléontologie» proposée par N. Marr (paléontologie-2). Cette comparaison de deux projets paléontologiques se concentrera sur les auteurs mentionnés ci-dessus, importants pour la constitution de ce type de pensée, auteurs qui ne sont pas d'habitude cités dans le contexte des idées de N. Marr. L'histoire de la linguistique européenne de l'ouest montre qu'à mesure de sa constitution en tant que science moderne autonome elle refuse de façon de plus en plus catégorique l'approche de type paléontologique. Il en va très différemment dans la tradition russe, où la problématique paléontologique se trouve ressuscitée par le biais de la «culture matérielle» dans l'approche formaliste et structuraliste.
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Veyne, Paul. "La « plèbe moyenne » sous le Haut-Empire romain." Annales. Histoire, Sciences Sociales 55, no. 6 (December 2000): 1169–99. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2000.279911.

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Abstract:
RésuméDeux auteurs de la Rome impériale parlent d'une plebs média, opposée à la plebs humilis. Il existait une classe moyenne dans cette société à ordines, qui se manifeste par son énorme présence matérielle (maisons, inscriptions, art funéraire). Sa définition est négative et hétérogène : les plébéiens moyens ne sont ni membres des ordines privilégiés, ni réduits à gagner quotidiennement leur pain, ni positivement riches (ils sont pauvres au sens antique du mot), ni de naissance servile ; ils incarnent le citoyen moyen et aussi le « lecteur idéal » de la semiotique littéraire. Pour la classe gouvernante, ils sont la « partie saine » du peuple. On appartient à la plèbe moyenne dès qu'on ne vit plus au jour le jour et qu'on est rentier du sol qui vit de loisir ou boutiquier ayant un gros outillage ou un entrepôt. Cette catégorie se signale par la conscience de soi des marchands ou artisans, par le concept de métier comme exploit et non comme identité, par l'entraide par le crédit entre confrères ; le souci de faire des affaires s'oppose à avoir un patrimoine ; la morale d'Horace, l'iconographie du banquet dit funèbre et le fantasme compensatoire : « vous avez la richesse, nous avons la bonne vie » ; les Disticha Catonis sont « un miroir de bourgeoisie » qui renvoie aux plébéiens leur propre sagesse, sous prétexte de la leur enseigner. La plebs de l'Urbs n'était pas une tourbe dépolitisée ; sous des leaders issus de la plèbe moyenne, elle conserve une légitimité politique et parfois militaire. Mais une économie d'échanges au processus très morcelé, sans vrai système bancaire, sans marché large et transparent, mais avec de la corruption, des squeezes et des pots-de-vin partout, a maintenu la plèbe moyenne dans une dépendance économique à la classe gouvernante.
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Mille, C. "Groupes d’anorexiques, groupes de parents : penser le trouble ensemble et autrement ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S97—S98. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.410.

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Abstract:
Divers dispositifs d’accompagnement des patient(e)s anorexiques et de leurs familles sont proposés par les équipes de soins. Les groupes de parents et les thérapies familiales sont les plus courants, les groupes de patient(e)s sont moins répandus mais depuis quelques années ont été mis en place des groupes multifamiliaux associant plusieurs familles et plusieurs patient(e)s à des fréquences variées. Nous tenterons de rendre compte d’un « montage » peu décrit dans la littérature que nous avons mis en place au CHU d’Amiens depuis quelques années : un groupe de parents et un groupe d’adolescents anorexiques sont ainsi réunis successivement et alternativement un samedi matin par mois avec un même thérapeute qui assure un rôle de « go-between », mais aussi de facilitateur de pensée du trouble. Les notes prises dans l’après-coup des rencontres offrent un matériau permettant de mettre en valeur les axes de réflexion qui circulent dans chaque groupe et d’un groupe à l’autre à la demande des participants. Les adolescent(e)s reprennent certes à leur compte les stéréotypes largement utilisés pour caractériser leurs symptômes, mais parviennent secondairement à forger d’autres représentations plus inédites ou moins « avouables » du piège anorexique. Ils/elles souhaitent que leurs parents prennent conscience de leur accrochage nostalgique à l’enfance et de leur propension excessive à répondre aux attentes de leurs proches venant faire obstacle à leurs revendications adolescentes. Par contre, l’évocation de la fierté tirée de leur volonté inflexible et de la poursuite d’un idéal de minceur auquel les autres ne parviennent pas à accéder est plus difficilement transmissible. Les parents se soutiennent mutuellement, font d’abord état du bouleversement survenu dans la vie familiale depuis l’éclosion de cette maladie qui leur semble venue de nulle part, avant de pouvoir questionner timidement leurs principes éducatifs, leurs propres adolescences sans vagues, voire même le culte de l’esprit de famille et la position sacrificielle qu’il implique.
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Cerney, Mary S. "Healing the Past: An Incest Victim’s Journey Back to Health Guided by Psychological Testing in Her Treatment Process." Rorschachiana 20, no. 1 (January 1995): 112–33. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.20.1.112.

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Abstract:
Il est difficile de traiter les personnes qui ont été victimes d’un inceste, en partie à cause de leur culpabilité sous-jacente et réticence à partager la douleur et de la rage qu’elles ressentent envers celui qui a abusé d’elles, qui se trouve fréquemment être un membre de la famille qu’elles aiment. Cet article rend compte du déroulement du traitement d’une femme de 47 ans victime d’inceste qui a souffert de dépression et présenté des idées suicidaires pendant plus de 12 ans. Pendant cette période, elle a suivi divers traitements: psychothérapie, multiples médications, et sismothérapie. Malgré cinq hospitalisations et tous les traitements que nous avons mentionnés, son état ne faisait qu’empirer. Lorsqu’elle a été admise à l’Hôpital C. F. Menninger Memorial de Topeka, Kansas, Andrea présentait une symptomatologie multiple. Elle avait des troubles de la mémoire, était incapable de se concentrer, et ne s’intéressait à rien. Elle se sentait sans espoir et sans secours, et avait fait deux tentatives de suicide, l’une en 1971, l’autre en 1991. Elle disait ne plus se souvenir de portions entières de sa vie, et rapportait que sa dépression l’avait rendue incapable de faire face à la moindre situation de la vie quotidienne. C’est l’examen psychologique d’Andrea, pratiqué au début de sa prise en charge, qui nous a fourni le schéma de son traitement. On y voyait une Andrea qui, tout en apparaissant sans défense, abandonnée, passive et malheureuse, faisait des efforts considérables pour rester coupée d’elle-même et des autres. Elle craignait d’être submergée par de puissants affects et gardait ses distances; et pourtant, elle craignait la solitude. Cette lutte interne pour tenter de trouver un compromis entre ces deux extrêmes consommait une quantité considérable d’énergie et contribuait à son aspect sans vie et inefficace. Les résultats des tests indiquaient qu’il serait dangereux de prendre son apparence pour argent comptant, car il y avait beaucoup de choses sous la surface. Elle était terrifiée à l’idée d’explorer et négocier ses expériences intérieures, et se considérait comme faible et sans défense. Toutefois, les résultats des tests confirmaient aussi qu’elle avait plus de ressources disponibles qu’elle ne voulait reconnaître. Conscients des appels à la prudence indiqués par l’examen psychologique, le travail avec Andrea fut soigneusement dosé en fonction de sa capacité, et on la poussa doucement en avant chaque fois qu’elle hésitait à avancer. Après un peu plus de deux ans de thérapie, et lorsque le progrès était évident, Andrea exprima des inquiétudes, disant qu’elle faisait semblant, qu’elle n’avait fait aucun progrès, et qu’il suffirait qu’elle change d’environnement pour que ses anciens symptômes reviennent. On lui proposa alors un deuxième examen psychologique. Andrea aborda la session avec plaisir, mais aussi avec une certaine nervosité. Son Rorschach était maintenant très différent, avec beaucoup plus de réponses que la première fois. Ses percepts étaient élaborés et commentés. Un changement substantiel était évident. Le rendu de l’examen psychologique fut un épisode particulièrement riche. Il permit à Andrea de reconnaître combien elle avait effectivement changé pendant sa thérapie. Andréa s’est sentie disculpée de voir combien elle avait réellement été malade, qu’elle n’avait pas “fait semblant”, ni “tout inventé”. Cela n’avait pas été “seulement dans sa tête”. Plus tard, Andrea reconnut en riant que “ça l’était justement peut-être”. Le fait de prendre part à la discussion de ses résultats donna à Andrea une autre façon de se penser elle-même, et de penser son évolution, et le matériel devint une source d’encouragement et un étayage qui lui permit d’aborder son avenir avec plus de confiance.
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Watson, Ellen. "Saskatchewan Physics Teachers’ Epistemic Beliefs: A Glimpse Into an Under Examined Area of Teachers’ Professional Education." Alberta Journal of Educational Research 67, no. 1 (March 3, 2021): 53–67. http://dx.doi.org/10.55016/ojs/ajer.v67i1.56942.

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Abstract:
Teachers’ beliefs about knowledge in their subject deeply impact their classroom practice. This study analyzed the epistemic beliefs about physics knowledge held by Saskatchewan high school physics teachers using a newly designed framework of epistemic beliefs about physics knowledge. Results suggest that teachers’ epistemic beliefs about physics knowledge are relatively consistent within the areas of certainty and structure of physics knowledge; most participants believed that physics knowledge was tentative and subject to change as well as coherent and connected in its structure. However, participants rarely agreed on the source and content of physics knowledge. As teachers’ beliefs likely influence the way a curriculum document is interpreted and implemented, students across the province of Saskatchewan might develop very different understandings of physics knowledge due to variations in teachers’ epistemic beliefs. The findings of this study provide insights into areas of professional development for teachers and pre-service teacher instruction. The article concludes with suggestions for educating teachers to better understand their own epistemic beliefs about knowledge in the subjects they teach as well as the impact these beliefs may have on their classroom. Key words: epistemic beliefs; physics education; teacher education Les croyances des enseignants quant à leur connaissance de la matière ont un impact important sur leur pratique pédagogique. S’appuyant sur un nouveau cadre des croyances épistémiques portant sur les connaissances en physique, cette étude a analysé les croyances épistémiques qu’ont des enseignants de la physique au secondaire en Saskatchewan quant à leurs connaissances en physique. Les résultats indiquent que les croyances épistémiques des enseignants sont relativement homogènes dans les domaines touchant la certitude et la structure des connaissances en physique, la plupart des participants ayant indiqué qu’ils croient que les connaissances en physique sont provisoires, sujettes aux changements et cohérentes et liées sur le plan structurel. Toutefois, les participants étaient rarement en accord quant à la source et au contenu des connaissances en physique. Étant donné qu’il est probable que les croyances des enseignants influencent l’interprétation et la mise en œuvre de matériel pédagogique, il se peut que les élèves de partout en Saskatchewan développent des idées très différentes des connaissances en physique en raison des variations dans les croyances épistémiques de leurs enseignants. Les résultats de cette étude permettent de mieux comprendre certains domaines du développement professionnel pour enseignants et de la formation des étudiants en pédagogie. L’article se termine par des suggestions visant une formation des enseignants qui leur permettrait de mieux comprendre leurs propres croyances épistémiques des connaissances de la matière qu’ils enseignent ainsi que l’impact que pourraient avoir ces croyances dans leur salle de classe. Mots clés : croyances épistémiques; enseignement de la physique; formation des enseignants
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Mitton, Jennifer, Joanne Tompkins, and Laura-Lee Kearns. "Exploring the Impact of an Anti-Homophobia and Anti-Transphobia Program on a Teacher Education Program: LGBTQ Pre-Service Teachers Identify Benefits and Challenges." Alberta Journal of Educational Research 67, no. 1 (March 3, 2021): 32–52. http://dx.doi.org/10.55016/ojs/ajer.v67i1.56915.

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Abstract:
Anti-oppressive pedagogical practices that counter the marginalization of lesbian, gay, bisexual, transgender, two-spirit, queer, and/or questioning youth continue to foster new understanding in teacher education. Researchers note that many pre-service teachers are not prepared to address classroom concerns regarding homophobia, heterosexism, and cisnormativity, fail to identify biases in curricular materials, and resist ideas related to the intersectionality of race, class, ethnicity, gender, ability, and sexuality. While Canadian teacher education programs generally espouse a commitment to equity education, there continues to be a need to provide explicit education on how to create safe and inclusive classrooms and schools for LGBTQ+ learners. The voices of LGBTQ+ pre-service teacher educators are particularly important in terms of understanding what challenges are reduced or remain in teacher education programs adopting an anti-homophobic and anti-transphobic stance. Results from our ongoing work suggests that when faculties of education advocate for safe and positive climates, LGBTQ+ pre-service teachers can bring their full selves into the program. In this article, we explore how the anti-oppressive training related to LGBTQ+ learners and inclusive curricula impacted the experiences of pre-service LGBTQ+ teachers in our program, as presented through their perceptions of who they were in the program, their concerns about who they might be in schools, and their suggestions for acknowledging and implementing anti-oppressive education in formal and informal educational spaces. Key words: Pre-service teacher education; LGBTQ+ teacher candidates; LGBTQ+-inclusive curriculum; anti-oppressive pedagogy; gender identity, and sexual orientation. Les pratiques anti-oppressives pédagogiques qui combattent la marginalisation de jeunes personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres, bispirituelles, allosexuelles ou en questionnement (LGBTQ+) continuent à favoriser une nouvelle conception de la formation des enseignants. Les chercheurs notent que plusieurs enseignants en formation ne sont pas prêts à traiter des questions en classe qui portent sur l’homophobie, l’hétérosexisme et la cisnormativité; ne savent pas reconnaitre les préjugés dans le matériel pédagogique; et résistent aux idées liées à l’intersectionalité de la race, la classe, l’ethnicité, le genre, la capacité et la sexualité. Alors que les programmes de formation des enseignants au Canada adhèrent de manière générale à un engagement envers l’éducation équitable, le besoin de fournir une éducation explicite sur la création de classes et d’écoles sécuritaires pour les apprenants LGBTQ+ persiste. Les voix des formateurs LGBTQ+ d’enseignants sont particulièrement importantes pour comprendre les défis qui sont amoindris et les défis qui subsistent dans les programmes de formation d’enseignants qui adoptent une position anti-homophobe et anti-transphobe. Les résultats de notre travail en cours portent à croire que lorsque les facultés d’éducation préconisent un climat sécuritaire et positif, les enseignants LGBTQ+ en formation ont l’occasion d’être authentiques et entiers dans le programme. Dans cet article, nous explorons l’impact qu’a eu la formation anti-oppressive en lien avec les apprenants LGBTQ+ et un curriculum inclusif sur les expériences des enseignants en formation dans notre programme, tel que révélé par leurs perceptions de la personne qu’ils étaient dans le programme, leurs préoccupations quant à la personne qu’ils pourraient être dans les écoles et leurs suggestions portant sur la reconnaissance et la mise en œuvre d’une éducation anti-oppressive dans des milieux éducatifs formels et informels. Mots clés : formation des enseignants; enseignants LGBTQ+ en formation; curriculum inclusif des personnes LGBTQ+; pédagogie anti-oppressive; identité de genre; orientation sexuelle
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Julien, Germain, and Denys Trudel. "Bilan de la recherche sur l'administration publique québécoise." Dossiers 16, no. 3 (April 12, 2005): 413–38. http://dx.doi.org/10.7202/055705ar.

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Abstract:
L'objectif général de ce texte est d'esquisser un bilan des principales publications sur l'administration publique québécoise, en vue de faire le partage entre les connaissances acquises et les connaissances à acquérir. Quand on essaie de faire l'inventaire des travaux sur les divers aspects de l'administration publique québécoise, on est pris de vertige, parce que la documentation est absolument considérable. Pour pouvoir donner une idée exacte des contributions apportées à la recherche administrative par les spécialistes des différentes disciplines et institutions, il faudrait lire et analyser une quantité énorme de volumes, de documents gouvernementaux, d'articles de revues et de thèses d'étudiants. Étant donné l'ampleur du sujet, nous avons donc dû définir de façon plutôt restrictive le champ de l'administration publique québécoise. Ce texte porte en fait sur l'ensemble des agents publics qui sont à l'emploi des ministères, des organes centraux du Gouvernement (tels que le Secrétariat général, le Conseil du trésor, la Commission de la fonction publique, le Service des achats, etc.), des organismes publics autonomes (tels que l'Hydro-Québec, la Société des alcools, etc.), et finalement des bureaux régionaux et locaux des ministères et des organismes autonomes. Nous avons renoncé à aborder les études relatives aux administrations municipales et scolaires et aux établissements publics de santé et de services sociaux. Seront aussi exclus de notre inventaire les travaux portant sur des processus administratifs généraux comme la planification, l'administration du budget, l'acquisition et la gestion des matériels, l'information et la consultation des clientèles, etc. Nous ne traiterons pas non plus des études reliées à l'analyse des politiques gouvernementales. Ces différents champs de recherche exigeraient des relevés distincts. Les lecteurs particulièrement intéressés par ces secteurs pourront toujours se reporter à notre bibliographie sur l'administration publique canadienne (78, 79). En somme, ce texte a pour objet les matériaux qui permettent de mieux connaître la fonction publique québécoise au sens étroit du terme, de même que ses institutions administratives. Le bilan présenté ici est également incomplet sur le plan de la documentation retenue. L'inventaire porte uniquement sur les livres, les articles de revues (et dans quelques rares cas de journaux quotidiens), les publications gouvernementales et les thèses d'étudiants mis en dépôt dans les grandes bibliothèques et facilement accessibles aux chercheurs universitaires. Nous avons dû ignorer de nombreux documents gouvernementaux destinés exclusivement à l'administration elle-même: par exemple, des études menées au sein des unités administratives, des rapports de commissions ou comités spéciaux d'étude, des travaux réalisés par des firmes privées de consultation ou des centres universitaires de recherche, etc. Il faut regretter que la tradition de secret de notre administration conduise à réserver le résultat de ces recherches à de trop rares privilégiés. Ces travaux apporteraient une contribution plus importante à la connaissance de l'administration publique québécoise s'ils avaient une diffusion plus grande. Les mêmes remarques s'appliquent aux projets d'intervention réalisés par les étudiants de l'Ecole nationale d'administration publique et commandités par des organismes publics ou para-publics. Nous n'en avons pas tenu compte vu que la majorité de ces rapports sont confidentiels ou doivent être consultés sur place. De même, nous n'avons pu consulter quelques thèses de maîtrise que les bibliothèques universitaires ne peuvent prêter. Nous avons écarté aussi. Les communications présentées lors de congrès ou de colloques, étant donné que ces textes demeurent pour la plupart enfouis dans les archives de leurs auteurs ou de divers groupements. Nous sommes bien conscients que ce faisant plusieurs travaux de grand intérêt ont été négligés. Soulignons enfin qu'il aurait été extrêmement difficile de faire l'inventaire des recherches en cours sur l'administration publique québécoise. Dans le but de permettre une connaissance à la fois globale et multiforme de l'administration publique québécoise, cet inventaire retient des références qui auraient été laissées de côté dans un autre type de bilan. Il ne tient pas compte de cette distinction entre publications scientifiques et autres publications faite seulement à partir du caractère universitaire ou spécialisé d'un ouvrage ou d'une revue. En outre, quelques références relèvent plus de l'information que de l'analyse scientifique d'un problème. L'importance de la documentation retenue est donc très inégale: cela va de l'ouvrage qui renouvelle complètement un sujet ou l'épuisé, à un article sommaire qui ne fait qu'effleurer une question. Nous croyons néanmoins que ce type d'articles peut fournir certains points de départ, voire même certaines avenues pour des recherches plus fouillées. Notons, par ailleurs, que cet inventaire exclut des études théoriques qui n'ont pas un rapport très immédiat avec l'administration publique québécoise, même si elles ont été écrites par des Québécois. Ce bilan n'est pas limité aux seuls travaux des spécialistes de la science administrative, mais il tient compte également des travaux des disciplines connexes (notamment le droit public, la science politique, etc.), bref de toutes les publications permettant de mieux connaître les divers aspects de ce champ d'étude vaste et complexe que constitue l'administration publique. Toutes ces limites étant posées, nous pouvons maintenant aborder les œuvres recensées en les regroupant selon quatre grands secteurs de recherche : la fonction publique, les administrations centrales, les administrations déconcentrées et les organismes autonomes.
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Aparecido Trindade, Thiago. "O QUE SIGNIFICAM AS OCUPAÇÕES DE IMÓVEIS EM ÁREAS CENTRAIS?" Caderno CRH 30, no. 79 (September 22, 2017): 157–73. http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v30i79.20061.

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Abstract:
RESUMOAdotando como referência empírica o movimento de moradia do centro de São Paulo, o presente artigo tem como objetivo principal analisar o significado das ocupações de imóveis ociosos promovidas por atores desse movimento na área central da cidade. Demonstramos, com isso, o papel dos movimentos sociais como atores que se colocam na posição de desafiantes das ideias, dos discursos e valores hegemônicos na sociedade. Por meio da fala dos próprios ativistas engajados nessa mobilização, discute-se também como o direito de morar no centro tornou-se uma pauta política gradualmente construída pelos setores populares. A metodologia adotada, de caráter predominantemente qualitativo, consistiu em revisão teórica, coleta de dados em documentos e material jornalístico e entrevistas com militantes. Como conclusão, sugerimos que o principal significado das ocupações nas áreas centrais consiste no questionamento do modelo hegemônico de urbanização na sociedade brasileira, que, historicamente, afastou as camadas mais pobres em direção aos cinturões periféricos das cidades.Palavras-Chave: Movimento de moradia; Ocupações; Conflito; Direito à cidade; UrbanizaçãoWHAT DO PROPERTY OCCUPATIONS IN CENTRAL AREAS MEAN?ABSTRACTTaking as an empirical reference the housing movement of the São Paulo downtown, the objective of this article is to analyze the meaning of occupations of unoccupied real estate promoted by actors of this movement in the central area of the city. We try to demonstrate that the role of the social movements as actors who place themselves in the position of challengers of ideas, discourses and hegemonic values in society. By the speech of the activists engaged in this mobilization, it is also discussed how the right of living in downtown became a political agenda gradually built by popular sectors. The method of the study is predominantly qualitative, as it consisted in theoretical review, data collection of documents, journalistic material, and interviews with activists. As a conclusion, we suggest that the main meaning of occupations in the central areas consist in the questioning of the hegemonic model of urbanization in Brazilian society, which historically moved the poorer strata toward the peripheries of the cities.Key words: Housing movement; Occupations; Conflict; Right to the city; UrbanizationQUELLE EST LA SIGNIFICATION DES OCCUPATIONS D’IMMEUBLES DANS DES ZONES CENTRALES?ABSTRACTEn prenant comme référence empirique le mouvement pour le logement du centre de Sao Paulo, l’objectif principal de cet article est d’analyser la signification des occupations d’immeubles vides promus par les acteurs de ce mouvement dans le centre de la ville. Nous démontrons ainsi le rôle des mouvements sociaux comme acteurs qui assument une position de défi des idées, des discours et des valeurs hégémoniques dans la société. Par le biais des discours des activistes eux-mêmes engagés dans cette mobilisation, il y a lieu de savoir aussi comment le droit d’habiter au centre de la ville est devenu un sujet politique construit progressivement par les secteurs populaires. La méthodologie adoptée, essentiellement qualitative, a consisté en une révision de la théorie, une collecte de données issue de documents et de matériel journalistique ainsi que d’interviews avec des militants. Pour conclure, nous estimons que le sens principal de l’occupation des aires centrales consiste en une remise en question du modèle hégémonique de l’urbanisation dans la société brésilienne qui, tout au long de l’histoire a éloigné les couches plus pauvres vers les ceintures périphériques des villes.Key words: Mouvement pour le logement; Occupations; Conflit; Droit à la ville; Urbanisation
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Zamith Cruz, Judite. "Marina. Lucchesi, Marco. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023." EccoS – Revista Científica, no. 67 (December 18, 2023): e25392. http://dx.doi.org/10.5585/eccos.n67.25392.

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Abstract:
Jogo de espelhos e palavras Analogias duma beleza transitiva Foi entre “formigas e cupins”[1] que descobri e inventei por “ver” o que lia. Do jardim a casa, numa aprazível “distração”, li Marina (do latim, marinus, “marinho”). Se ia em busca de cupins, absorvi-me logo numa bela atividade intrínseca de “ler” a natureza humana. Os estados/processos emocionais deram-se ao meu sonho acordado, frente à lua cheia. Por contraste mínimo, o que acontece no sonho propriamente dito é antes uma não narrativa, uma dissociação não controlada, exibida a superfície de fundo inacessível[2], graciosa alternativa criativa à “associação de ideias”. “O sonho de uma sombra”, em Píndaro (522 – 443 a.C.)[3], foi a ofuscação da “verdade” nua e crua. O sonho e a fantasia permitem a estranha fragmentação da sequência do pensamento escorreito, quando se experiencie a realidade de All-Self (ser com tudo em redor). Um efeito é imaginarmos sermos nós aquela “estrela” e recategorizamos algo num “todos juntos”, “transitarmos”[4], sem fixação, encontrado “tudo em tudo”[5]. “Somos plurais”[6] e mutantes sem “coerência”. Colocado a par o ser e o não ser, dada a aparência de Marina, numa superfície lisa refletida, convoca à reflexão que muda, quando “… todos querem, buscam, sonham com você”[7]. Na afirmação do narrador, Celso, é partilhado o desejo de alguém ou dele com “você”. Num detalhe ora geral, ora específico, algo dela poderá ser comparável ou semelhante a outra coisa, uma analogia. No encalço dela, Marco Lucchesi acompanha-nos no “eterno retorno da leitura”[8], trocadas cartas entre Celso e Marina, na década de noventa do século passado[9]. “Rasgadas”, anos passados por ele, entendidas “inúteis e vazias”[10], tendo ela dirigido um e outro e-mail inúteis, para “confissões”, via ”correspondências”[11], em que culpas confessadas nem sejam alheias a “amores mortos”[12]. Anteriormente, Celso chegaria a procurar Marina em “mundos improváveis”. Em locais de sua casa, a falsa presença, inviável, “tão querida”… Possivelmente desejada, chega a ser atingido o paradoxo da perenidade da vida, no espaço exíguo, amor eterno. Marina encontra-se em quase tudo[13]: “Digamos: a) no terreno baldio das gavetas; b) na agenda que perdeu a validade; c) nas fotos inquietas de um álbum (andorinhas em queda: sem cola, pálidas ou saturadas); d) no velho sótão que não tenho.” Como se “pousássemos os pincéis”, em continuidade, o modelo analógico varia no tempo… O escritor acrescenta: “nosso passado é analógico”[14]. Celso escuta cantos, sons e silêncios (a música “dela”?), no aparelho de rádio analógico... “Analogia”, nas nuances de significado no dicionário, são uma entre outras. E dada a representação de um objeto assemelhar-se ao original, pode Marina ser “pintada” em eternas obras de arte. “Vejo-a”, no que vejo e no que leio: “Coroação da Virgem”, de Fra Angélico (1395 — 1455); “A Madona de San Sisto”, de Rafael (1483 — 1520) … Escolho logo a bela Gioventü, de Eliseu Visconti (1866 - 1944). Figura nº 1 – Óleo sobre tela, Gioventü, de Eliseu Visconti (1898) Fonte: https://en.wikipedia.org/wiki/Giovent%C3%B9 Mas é em Candido Portinari[15], numa obra de 1957 – “O menino com pássaro”, que a voz e ela… se me apagou. Seria recolhida e cuidada por aquele que a encontrasse. Figura nº 2 – Elemento de obra de Candido Portinari (1957) – O menino com pássaro Fonte: https://www.wikiart.org/en/candido-portinari/menino-com-p-ssaro-1957 Numa analogia, a figura oscila de forma contínua, entre passado e presente, imparável no tempo. Sem comparecer perante Celso, também ele num não-lugar se quedou[16]. Os seus braços, “irredentos do todo”[17], vivido um “como se…”, avançariam o distanciamento/estranheza[18] face ao espelhado “teatro de sentimentos”. Fora Marina ferida? Num “jogo de espelhos e palavras”[19], “escrevo por espelhos reticentes, com frases e lacunas movediças” …. “Estendo as mãos para o espelho…”[20]. “Refletida” a escrita em processo, encontro Lucchesi solto no outro. Nos seus termos, a palavra “espelho” dará lugar ao oculto no “jogo de espelho, analogias”[21]. Quando a reflexão teria ainda o Sol no “espelho”, o encontro de ambos jorrava luz. Perdida a década de oitenta, o que é dado, antecipado[22]? Novas luzes e sombras. Celso e Marina foram inicial “espelho de paixão”. Seguiu-se a brecha na paixão. Num salão espelhado da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo, em 1507, vejo uma figuração pintada por Hans Schäufelein. “Herodes” deu lugar à figuração doutros maus tempos, no “Espelho da Paixão” (Speculum Passionis). Cristo diante de Herodes, o malvado, que morreu com o Eclipse lunar. Num “reflexo“, o culpado, no julgamento em “Herodes”[23], convocara Cristo[24], um culpado. Eu sou o outro do outro eterno Eleia, às portas da atual Itália. Numa primeira estrofe de Poema, a expressão dum outro, Parménides (530 a.C. — 460 a.C.), para quem “deus” não foi gerado, existindo[25] ad eternum... A estaca foi colocada num limiar doutro lugar estranho, em Poema: “Aí se encontram as portas”. Talhada a via inovadora do caminhar, tendemos a cruzar linhagens para não nos perdermos. Nem tudo se desgasta e corrompe, com Parménides. No rumo incerto, outra conquista do explorador Ulisses[26], foi ter encontrado o retorno? Ulisses, Celso, Alice, Marina… Pierre e Natacha, Tristão e Isolda. No desencontro, Molly e Leopold ou Eurídice e Orfeu ... A ficarmos “aos pés da biblioteca”[27], a ler vidas nas figuras centrais, estas oferecem um recuo[28]. Abrem portas. Eternas personagens, nem todas juvenis. Celso, o narrador? Alguém que já teve um “matagal” de cabelo perdido, que “nasceu no coração [uma floresta, cabelos…] … com espinhos” - “O elogio da calvície” [29]. Outra personagem de Marina, Alice, foi um exemplo de ajuda, porto marítimo, seguro, onde atracar? Substitui, sem substituir Marina? Alice adotará, também ela, o enigmático porte de “Gioconda”, “a senhora Lisa, esposa de Giocondo”, representada por técnica do sfumato, de Da Vinci (1452 — 1519). Foi seu o “vaso”[30], que Celso amou - “vasos quebrados” [31]. Acresce que “Alice e o vira-lata branco” encontram-se ambos registados num “resumo” de carta[32], em união, bem juntos. Bem articulado no pensado é o que a carta diz e não diz. Mas quem será aquele outro vira latas? Marina ainda pede foto da outra – Alice[33]. Num e-mail registado: “Se puder [você, Celso], mande-me fotos ou vídeos de Alice. Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”. Será verdade? Uma inquebrável lembrança de Celso, uma só vez, Marina tocara piano com ele, a quatro mãos[34]. Celso poderá ter reparado (n)o vaso, a dado passo. Pode ter tido outra imagem fixada à Alice, de então. Seria aquele vaso que “amava”, ou Alice[35], uma figura magnética? “Para fugir de mil perigos”, a quem não faltou Alice? Alice usou “ampolas e unguentos, magos e poções”[36]? Cuidadora, Alice, com Celso, representado nos rapazes com pássaros feridos[37]? Em suma, pareceria a Celso não existir punção operada ou poder maior, quando os relacionamentos morrem, ainda que os vasos sejam compostos de cacos que se colam: “Não posso reparar o irreparável”[38]. No entanto, Celso conhecia a técnica das peças coladas do Japão - a técnica do kintsugi[39]. Observou, até mesmo o outro vaso por si trazido com os gerânios, da sua antiga casa… “Distancia que se perde. Vaso que se encontra…”[40] Na ficção, a fiação tudo interliga “Vimos a fiação que tudo interliga. Semântica e sintaxe”[41]. Dos golpes de génio ficcional e da sangrenta História, Marco Lucchesi concebeu comparações, em que “mudam as guerras”[42] e as linguagens. Numa realidade de rapto, guerra e paixão, o poema épico transcende o amor passado que eterniza. Homero fundador da literatura ocidental, numa autêntica carnificina, a incerta “Guerra de Troia”, contou com Ájax[43] dentro do cavalo, dando guerra (infinita)[44] a Heitor, o destemido troiano, incapaz de lhe perfurar o escudo. A guerra teve que ser interrompida ao pôr do sol, intervindo Apolo. Do inicial “pomo de discórdia” entre deusas até aos feitos, nove anos passados em guerra, Ájax é “muralha”. A Ilíada evidencia que esmagou o escudo de Heitor, com uma só pedra. Quem sabe se Celso seria uma barreira inexpugnável, de tão “glacial”[45], que se tornou? Numa contenda, para o romance histórico, de 1865 e 1869, Liev Tolstói cruzou aqueles que se amaram, na passagem do Grande Cometa, em 1811: na invasão napoleónica, em 1812, a personagem recorrente, Pierre encontra-se com a bela Natacha, aparentemente apaixonada por Boris, amada por Denisov. Como foi possível a “guerra sem paz”[46]? Celso e Marina viveram dessa “Guerra de quase e talvez”[47], no que foi a “guerra que nos mata”[48]. Lendários amores infelizes e apaixonados, trágicos, na bárbara Idade Média (século V a século XV)? Tristão («tristeza») e Isolda (“das mãos de fada”)[49]. E o Rei Marcos que a perdeu[50]. Guerras nos ensaios não-ficcionais e nas ficções. Já a estranha paixão da cantora Molly e Leopold termina com o “sim” dela, apenas num solilóquio. O corpo de Molly – no livro de James Joyce - seria “sensual”[51], no que ressalta o “incêndio” interior. Divergências? Foi numa dada “tarde”, vinte anos passados, que a caixa eletrónica de Celso recebe um primeiro e-mail de Marina. Iria acabar com a guerra entre ambos. Não parece de comparar com a ficção? Marina e Celso encontrar-se-iam no fim da “guerra fria”[52], em data marcada pela queda do muro de Berlim, 9 de novembro de 1989. Numa Rádio Londres, com “mensagem de Inglaterra aos aliados”, durante a longínqua Segunda Guerra Mundial, ele passava a escutar outra transmissão no rádio bem comum, no sistema analógico. Um sinal da mensagem dela, vulgar. Metáforas básicas da descrição do real Quando se coloque uma figura de estilo, cujos sentidos figurados utilizem comparações como a “metáfora do corpo em lua cheia”[53], é a Lua “tão nua e desarmada a vaporosa Lua”. A pessoa é então toda inteira, se bem que a Lua seja fragmentada noutra fase lunar. Damo-nos a facetas diversas, também. E a não ser a transição de fase a mesma daquela grande lua, Marco Lucchesi ainda afrontou a perda irreparável de parte dela, por Celso, num desaforo: “se você esperava tapetes e fanfarras, perdeu a viagem. Abandonei a timidez, digo o que penso, e sem rodeios.”[54] Dada a acentuada guerra entre Celso e Marina, ao referencial “real”, preferi antes juntar à lua a palavra “viagem” e a palavra “mundo”, no que coloco mais do que o que (a)parece – numa alegoria. Assim, na minha perceção subjetiva, uma fenomenologia, ocorreu algo mais a aprofundar. Nessa viragem, limito mais do que o que se me abra à fixação de “guerra”, quando se sucedam figuras de estilo, no livro[55]. Num jogo de linguagem, retiro a desafogada imagem concreta: o passeio na praia, junto da Cinelândia e o que faço? No termo metafórico duma “psicologia de viagem-vida”, encontro logo ali o figurativo, portanto, com os rodeios à casa velha de Celso, com os eventos no trânsito, com as margens do mar face à praia. Meios mundos são a frente “subaquático”[56] e outros territórios e sítios. Poderia convocar imensos espaços de transição, imaginando[57] além de um “mundo submarino”[58]. Lucchesi tantas vezes observa “estrelas”, algumas “estrelas não promissoras”[59]… Voltando ao avesso, na Terra, à “viagem à roda do piano e do quarto”[60], essas são breves viagens e têm fim. Contudo, é dada à incompletude a infinita “viagem à roda dos teus olhos, punhado de beleza, informe, passageira”[61]. Numa estranha viagem de recuo (na revirada do avesso), focada uma “correspondência” sem troca, é de antemão inviabilizado o “sim” e a chegada a bom porto[62]? Da presença na ausência de Marina: tempo de sonho e pesadelo Como “resumir” os “20 anos”[63] de afastamento? Um desapego de “dez mil dias”, após o “terremoto”. “Dez mil dias” sem se falarem? Pretendo dar forma ao texto, quando pense que uma correspondência convencionada abranja reciprocidade e presença, ainda que evitada a “literatice”[64] e o “episódico”. Não “agradará” ao narrador contar das cartas, para se livrar efetivamente delas. Ameaça que irá “destruí-las”. Celso foi intempestivo, aquando do primeiro e-mail de Marina[65], após aqueles vinte anos de alheamento dela… O livro Marina reproduz a reduzida “novela”[66] de singelas cartas e e-mails. Passado o texto a pente fino, no segundo e-mail de Celso, este redige uma desculpa: “Perdi tudo, não sei como. Preciso de um novo computador. Como se não bastassem formigas e cupins. Obstinado, insisto e recupero apenas uma parte”[67]. Numa convencional “não-narrativa”, coloco a tónica na congruência e na intencional, quando seja a “dissonância”[68] desarmante de “lirismos”. Alcançada a agressividade, a crítica mordaz, a sagacidade e o ardil… Frente ao quebra-cabeças, pede-se abertura (de espírito), quando se leia o “romance de ideias”, no pensamento do ser (em Parménides e Heidegger). Na dimensão emocional, a obra de resiliência traz-me a consciência da artificialidade da ficção. Cubro de culpas a protagonista Marina. Coloco logo a poção de amor viático, um mantimento para sustento num “líquido destino”[69]. Logo passa a parecer-me que “essa viagem nunca termina”[70], numa entusiástica volta no carrocel do mundo, num “eterno retorno”[71]. Essa segunda vez que é nomeado o eterno, dá-me esperança, ainda que Celso assuma: … “não quero este destino circular”. ~ E eu quero! Se o “nosso encontro não estava escrito [no destino] … Não houve um deus a decidir nosso destino, nem brilho de uma estrela promissora. Deixámos simplesmente de escrevê-lo [ao destino]”[72]. Escrevamos o que desejemos, então, por linhas tortas. Há ocasiões, em que um sonho se repete e elucida algo[73]… As produções estéticas de artistas foram os produtos de imaginações, ainda que acreditassem ser ajudados pelo diabo, por um santo ou pelo próprio sonho avassalador e as visões enigmáticas. Giuseppe Tartini (1692 - 1770), William Blake (1757 - 1827) ou o cavaleiro Adolf von Menzel (1815 - 1905) são exemplos elucidativos do pensamento mágico dominante, nos séculos XVIII e XIX. Há quase 100 anos, o psicanalista Carl Jung[74] escreveu o seguinte, com um sentido determinista do sonho: “uma experiência anómala, que não é compreendida permanece uma mera ocorrência; compreendida torna-se uma experiência [humana excecional] vivida”. Uma característica desse tipo de experiências únicas é serem inefáveis, mal descritas. Inefáveis ilações, na sombra que vira a luz? Posso recuar atrás, ao sonho e ao tempo de Píndaro[75]. O que alcançou aquele da Verdade, quando viveu entre 522 e 443 antes da nossa era? Com Píndaro, ficou assente que “[no humano] sonho é uma sombra”. Assim colocado, “sombra” opõe-se a brilho, a luz, quando a “verdade” seja ofuscada, esboroada na obscuridade. E na medida em que seja ausente um sentido puro para as palavras, damo-nos a alegorias, a metáforas, da “transparência” da palavra, da luz ao sábio recuo paradoxal. Possa o sonho ser “iluminação”, tal Marina, duma “beleza transitiva”[76], entre as luas cheias. Marina conforma aquilo[77], o deslocado pela sombra, quando fuja a juventude, na transitória impermanência. Que espelho da “verdade”? Logo na primeira configuração, se o par não foi (ou foi?) um “espelho inverso”[78], Marina chega a ser retratada no vidro fosco, na “transformação [dela] num espelho”[79]– “uma Gioconda cheia de segredos”, representada pelo impressionista Eliseu Visconti, em Gioventü. Indecidíveis formatos. Como abordar palavras guardadas num “poço” que, a ser “raso”[80], sempre igual e espalmado, lembra o “infinito” do “abismo (líquido)”[81], entre duas pessoas que “comunicam”[82]? 2 Analise textual de marina O método de analisar textos “Coerência” traduz a ideia, cunhada pelo psicoterapeuta Carl Rogers (1902 – 1987), em que o participante apresente um relato de experiência bem estruturada - lógica, a faceta cognitiva e interpretativa, uma significação de peso na experiência “arrumada”. Na narrativa literária, a noção de “coerência” coloca-se, no antigo Dicionário de teoria da narrativa[83]: “texto como unidade no processo comunicativo, resultante de intenções e estratégias comunicativas específicas, ele é também um texto semanticamente coerente... elementos recorrentes… não integralmente redundante… progressão de informação no interior de um texto … na ‘enciclopédia’ do recetor”[84]. Na nova literatura, Marina alude o “vórtice” do redemoinho amoroso de Celso e Marina, o forte movimento do “terramoto” bem rápido, cruzado com a empolgante sonoridade das bravas ondas. Marina retém uma imensa fluidez, em torno dum eixo fixado ao vórtice entre ambos. Sorvida a voragem sentimental no turbilhão do mar, noutra asserção a “vórtice” – um turbilhão, o fenómeno “incoerente” trespassa a vitalidade dos movimentos guerreiros de “homens”, nos tempos atuais. Onde encontrar uma “secreta harmonia”[85]? Em mulheres, no desaguisado com homens? “Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado”[86]. Seremos bem menos coerentes do que se pensou, tanto mulheres quanto homens. Todos nós, humanos, somos sujeitos de analogias. Com o “corpo inelutável”[87] de Marina, que foi o “corpo em fuga” e se encontra ao lado do seu, Celso é já do outro lado. Seja que suba ele à Tocata e Fuga em ré menor, de Bach[88]? A inconsistência é presente na ausência de outrem. Outra mexida foi dada ao mundo amoroso, com as híbridas histórias-ficções, realidades e alternativas. Na alternativa ao modo de organização de “identidade do ‘eu’ estacionário”, sem fluidez de maior, teríamos a fixação eterna. Um risco pode ser nem encararmos a vida sujeita a contingências/acasos – o sem ganhar folgo, “… e, de repente… o sobressalto”. Em Marina, o leitor transcende o sabido (ontológico) e o instituído “romance”, o que não pressupõe que todos os planos sejam antecipadamente traçados. Não sabemos se Marina nos deixou. Ela foi a “glória de um destino”[89]? Um famigerado destino? Um Deus não decide do destino do par amoroso[90]. “Desconheço a direção [do futuro, indeterminado]. Soubesse de uma senha [mágica, um código … e o controlaria Celso. No fluxo permanente de mudança, já o passado e o devir são escapes [na aparente “fuga”], uma “disfunção” no presente [na fantasia inviável]. Porque não viver o aqui-e-agora? Amplificado o tempo, a “hipertrofia…”, é inviável a luta interior, “contra a qual luta o presente”[91]. “Deu-se por fim a glória de um destino. Porque, Marina, os relógios não morrem”[92]. “O vento segue os rumos do destino [ou da predisposição de sorte]”[93], tão mais improvável do que a precisão do tempo dos relógios. Abordagem narrativa na psicologia Numa aproximação literária, na psicologia narrativa, “as personagens são os elementos permanentes que sustentam o desenrolar do enredo”[94]. Nem as personagens fogem, nem restam fragmentadas, na “transparência da voz”[95]. Quem fale no esqueleto narrativo, pensa em episódios de um “guião” (scripts) identitário ou coletivo e, para a “narrativa de perda”, em Celso, congrega-se uma “organização de significado”, no que dê conta de mudanças dessa organização afetiva e psicológica, tão frequente e intensa de privação, podendo tornar-se duradoura ou reatar uma mera ocorrência súbita. O presente texto sobre Marina apresenta “fenómenos” talhados. Dito de outro modo, dá corpo a “ideias centrais, ao happening, ao incidente em torno do qual um conjunto de ações e de interações são dirigidas, com vista a serem reconhecidas, geridas e integradas, ou com as quais um conjunto de ações se relaciona”[96]. Numa forma de encontrar e descobrir ocorrências, farei um parêntesis para o que sabemos de um autor. Na sua suspensão de ideias feitas, como nos “lugares comuns”, nos “hiatos” e nos “silêncios”, o que “lemos” nos não ditos, sem um código? Para o efeito enredado, temos a ajuda de comparações constantes, numa “codificação aberta” do texto. Utilizam-se atributos/características para as palavras todas inteiras e para a variabilidade de significados não ficar de fora. E as “palavras (sem) envelope”, plenas de pregnância e fugidias, impõem afundar numa rigorosa análise linha-a-linha. Haverá ainda que conceber dimensões gerais, para “linhas-da-história”, duma ou doutra mini narrativa ou história, em Marina, o “tempo eterno” e o imparável “relógio dos ponteiros”; a vida e a morte; a terra e o mar, a nuvem e a pedra, o fogo do amor e as suas cinzas… Ao “questionar” os dados/textos, no aprofundamento que se justifica, efetuam-se as aludidas “comparações constantes entre fenómenos”. Da projeção, da narrativa e do episódio Em Marina, identificam-se esparsas narrativas míticas, nas guerras e nos amores. No amor, o “projetado” Orfeu[97] chega a parecer ser Celso, na sua ânsia de que Marina não morra …[98]. Celso poder-se-á sentir, noutra volta, um Marcus[99], chegando tarde, perdida Isolda, amante de Tristão[100]. “Pobre rei Marcos. Tão tarde descobriu o desamor”[101]. Marina não é escrito na primeira pessoa, autorreferenciada. Discriminada a faceta “projetiva” (ex.: uma pessoa não específica ou segunda pessoa, outros, alguém de quem se fala ou escreve): Marina ou Alice descobrem-se entre uma “Gioconda cheia de segredos”, uma Molly, o “verbo infinito”, na “voz” da cantora. Um eco repetido da voz dela, Marina. O narrador e Marina “nadam no monólogo de Molly”[102]. É preciso dizer que “não sei até que ponto lembro da tua voz [Marina]”[103]. Dito de outro modo, Celso mal se recorda do que Marina “disse/diz”, repetidamente. Falhou a voz e “deixou de dizer”[104]. Por seu lado, os episódios reais reportam-se às mínimas ações/interações, as quais podem ser relatos de experiências significativas, por vezes truncadas nas premissas, donde a maior ou menor coerência lógica ou consistência lógica. Quando as palavras chegam a mudar de estado, digamos, aluadas, tornam-se “líquidas, turvas, transparentes”[105]. Passam palavras estranhas pela fluência de selves (“múltiplos eus”, mentais e subjetivos), transformações identitárias. Apreender-se-ão coerências doutros implícitos, aspetos tácitos e inaudíveis da daqui e dali. Narrativa episódica A partir dos fenómenos esparsos, no grosso volume da vida, alcançamos registos de realizações pessoais e dos impedimentos, destinos e acasos, sortes e desaires. Foi a partir dessas constatações que distingui os fenómenos de meros episódios, nas narrativas/histórias, que lembram “todo o texto mostrar de forma holística as cognições e os processos emocionais do autor”[106]. O que se designou de plot (na língua inglesa) para um “episódio”, portanto, vai de encontro à narrativa, ao deparar-se o leitor com uma sequência de eventos ao longo do tempo (“sucessão”), para um “texto”[107], mesmo no mínimo “enredo”[108]. Na forma bem estruturada, visou-se o elemento sequencial e dinâmico, na literatura (na lógica, “gramática” ou “sintaxe”), considerado o episódio o “único esqueleto indispensável” e “menos variável”[109]. A variabilidade de Marina encontra-se nas intercaladas unidades de significado/segmentos de tópico, nas breves temáticas, as quais identificam a substituição de conteúdos, nos registos escritos por Celso. Acresce haver processos narrativos de vários modos evidenciados, no sentir, no experienciar e no pensar: a “descrição externa/concreta de acontecimentos de vida (atuais ou imaginados / passados, presentes ou futuros); a “descrição interna experiencial” (subjetiva), de episódios/narrativas, com a identificação verbal de “reações afetivas e/ou estados emocionais” (ex.: “triste”, “zangado”, “frustrada”, etc.); e a “análise reflexiva/interpretativa da descrição de eventos e/ou da experiência subjetiva, sendo os eventos presentes, passados ou futuros”[110]. No primeiro domínio narrativo, a ênfase no sentir alcança menor complexidade do que o experienciar (interno) e o refletir/pensar. Episódios mínimos Após o desenlace por afastamento, surge um episódio elaborado quase no final do livro. Possui a tónica na conduta de Celso, antes da adesão ao refletido, somente após a imersão interior num quadro e num cenário: Episódio - Título Promessa de calor na aflição dela: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite (p. 91). Registei outros episódios relatados, com mais de “vinte anos”, exceto o primeiro, possivelmente mais recente: (1) Aflições de Celso no mar[111]; (2) Celso e Marina nadaram no mar e, sentir-se-iam “alegres”, possivelmente ao saírem para a praia[112]; (3) “Mística do encontro” de dois “tímidos” (“dissemos algo escasso, imponderável ... o clima, as gentes, a história”)[113]; e (4) Aludidos passeios de bicicleta[114]. Na narrativa criam-se então replays de experiência, quando se atenda ao “eu” subjetivo frente ao quotidiano, a rituais e a “inéditos”, como nos encontros a dois. Somente o episódio de Celso sozinho e aflito no mar não correu bem. Será invencível o revolto mar e a doença de coração: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[115]. E se é tremendo o risco de morte no mar bravo, não é impossível lutar a dois contra o tempestuoso. O que nem quer dizer deixar de ter mão para apagar aquela ou outra terrível imagem recordada. Afinal, qualquer um sonha com “você”[116]. Ora aquele primeiro “episódio de ‘sonho’”, mas pavoroso, é ilustrativo do mundo irreal, na forma “narrativa”[117]: “um belo dia quase me fui na onda[118] de seis metros. Eu me livrei a muito custo. Um sonho breve que o sal interrompeu. Vantagem provisória...” é acordar. Já o fustigou o voraz turbilhão real da ameaça e perigo no medo da morte dela, quando volte a passar ao mar… Deixar de ser, naquela praia – que “quase levou” Marina … e que é a mesma praia, que “seduz” o narrador[119]. O perigo de afogar-se na praia é real e irreal. Anotei ilações, decorrentes interpretações do texto, nas expressões do autor: (1) Risco frente ao mar[120]; (2) Juventude, em que se possa morrer com alegria[121]; (3) Encontros, fruto de “um milagre matemático… acaso e o seu mistério”[122]; e (4) A bicicleta que “morreu”[123]? A bicicleta? Um indicador do encontro com Marina: “Passeio de bicicleta. Voa o vestido azul. Essa viagem nunca termina”[124]. Noutra apropriação do contexto, o par poderia [ver] “baleias”, ao longe, “delicadas” [125], quando iam pedalando na “bicicleta” … Num contrassenso forjado na comparação, a bicicleta dele era um “cavalo”[126]? Antes dela “morrer”[127], melhor dito, “enferrujar”[128]. Na transição de pensamentos, afetos à morte: “Não há resumo para a última carta. Porque esta é uma carta definitiva. Porque se trata da morte de Marina”[129]. E adiante: “Imploro, Marina, que não morras antes de morrer”[130]. Ficaria ela sem maior sentido de vida? A viragem de alegre “surpresa” chegou a ser concebida, numa anterior “carta destroçada”, restos do que ficou dentro do “caderno escolar” e “cujos pedaços recomponho num mosaico bizantino”[131]: “Carta de amor (desesperado) que rasguei: “...pousa nos lábios uma estrela... secreta harmonia... deserto amanhecer... teu corpo inelutável... lagoa iluminada e seios úmidos... bosque sutil... pequena morte... jogo de espelhos e palavras... teu rosto desenhado no meu peito... à mesa um copo de absinto... duas palavras e voltamos a dormir... infame precipício...” (p. 86). Os procedimentos de análise de experiências são guias de leitura, no que prendem o elucidado “desespero”, o isolamento e o limitado prazer de Celso, quando a vida pudesse afigurar-se um pesado fardo, irado contra Marina, contra o violento mar, o amor eterno… A súmula de alegria - a “surpresa” … Num resumo analítico[132], estabelecem-se relações entre um fenómeno, no sentido da conceção de um episódio. Donde, uma ilustração de seis fatores envolvidos, no episódio Promessa de calor na aflição dela[133]: - Condições causais antecedentes, para a ocorrência reportada (antes do amanhecer, já levantado Celso da areia da praia onde dormiu, ao despontar do sol); - Fenómeno per se (“sacudidos ossos” ao sol, no limite do ser, entre eternas rochas, com a ausência de Marina); - Contexto (a praia junto ao mar ensoleirado); - Estratégias somente idealizadas de ação interativa (ser tomada Marina por indefesa a proteger, no que Celso escreve da sua possibilidade de “ajuda”); - Condições intervenientes (quadro “menino com pássaro” de Portinari…), - O que constrange ou facilita o incidente/fenómeno (recordações de encontros com Marina, num local partilhado e o fenómeno de imaginar um quadro) e - Condições consequentes (a dificuldade de continuar pela noite, sem a presença de Marina e a fixada promessa de calor humano). Nessa leitura duma abstração da experiência, um episódio pode ser idealmente estruturado, se bem que escapem as estratégias de ação interativa. Noutra margem encontram-se a filosofia (de Parménides e Heidegger), o jogo com textos míticos (Ájaz, Rei Marcus…). No “romance de ideias” de Marco Lucchesi, são vastos os domínios de conhecimento. Com o autor aprendi que, ao não aceder a “coisas em si”, tenho as coisas para mim e, talvez, nos apareçam amores e guerras, por prismas do entendimento e da sensibilidade. Dos fenómenos - as aparências - “O que sei?” No quotidiano, sei que vivemos de forma a criarmos conexões entre inauditos episódios, flashbacks, substituições de interesses/temáticas nem buscadas, redundâncias e omissões (como “lacunas de memória”), numa apreensão do que nisso assuma perene “relevância”. O núcleo duro, o “essencial”[134], segundo o autor? “Perdemos as palavras essenciais”[135]. Perdemos “baleias” naquele mar alto, enferrujaram-se as “bicicletas” e desapareceu o “corpo feminino em fuga”[136]. As cartas dizem muito “mais do que parece”[137]. 3 Do mundo poético “Tornei-me um leitor de Parmênides”[138] e de Heidegger No mundo eterno, Parménides colocou o “motor imóvel” do tempo, o “livre-arbítrio”[139], o “cálculo integral”[140] … “causa e concausa”[141] … “tudo em tudo”[142]… Bastará “puxarmos o fio…”[143]? Numa passagem paradoxal da breve (?) “novela”[144], logo vemos como “tudo muda” no (des)encontro, a par de “rádios, guerras, amores”[145]. Não há confissão, não há reparação, na “narrativa não projetiva”. As “narrativas” antes partem dela[146], nos “lugares comuns”[147], registados nas mensagens. O que procura despertar Celso? “A voz de quem morreu, não as histórias”[148]. Bastaria o alcance da superfície, na “voz” dela[149]… No início de Marina, nem se espera a finalização do encontro. Não é desejado o fim do amor. Um mal irremediável. Terá morrido? Obra de “criatividade” dissonante face a espectativas de cartas de amor, Marco Lucchesi coloca-nos a margem de manobra, uma deriva, mudado Celso em permanência e, nesse sentido, as suas posições emocionais básicas são sublevadas e revoltosas, sublimadas, substituídas. Existentia, como a explicitar? Quando numa página inicial, não numerada, o autor nomeia um filósofo italiano, Emanuele Severino (1929 - 2020), que escreveu sobre Martin Heidegger, que exploração de fenómenos “metafísicos”? Martin Heidegger[150], de que trata? Li algures que Heidegger se interessou por “atualidade, realidade, em oposição a possibilidade concebida como ideia”. Ser é a totalidade do que existe. “Aí onde está cada um de nós” - da sein, seria o lugar da nossa presença, duplicada pela sombra da subjetividade. Subjetividade é o vivido que torna algo maior, quanto dá à presença novas formas afetivo-cognitivas. Mundos universais musicais Tenho aquela “vontade” de mudar o passado[151] e de criar uma ideia prospetiva de florescimento. Do mito de amor a Marina, nem estranho virem três damas dar uma flauta a um príncipe, Tamino, que buscará a sua amada. A harmonia da música condensa o “universal”, atingidos géneros e variadas “vozes” trocadas, na “Flauta Mágica”, de Mozart (1756 – 1791). O poder unificador da música é uma metáfora para o príncipe neutralizar o mal. Outra das óperas que acompanham Celso? A ópera de Verdi (1813 – 1901)? Recuo, à procura de La forza del destino, de 1862, cantado por Galina Gorchakova. Será que soubemos escutar o ciciado na voz da atualidade e o que nem se abra ao previsível, no acaso, sem destino[152]? Vozes pessoais de visionários? Na aparência, as palavras são soltas numa poéticas. Meia página abala o leitor. Meia página, umas quantas linhas de “voz”[153] , “voz marinha”, vinda do mar, submarina. Marina. Na “poética da dissonância”, fica aberta a superfície ao “espaço descontínuo”, criado por Lucchesi para ela[154]. A inatingível voz dela? Não sabemos. Na aceção do termo “fragmento”, Heidegger sublinharia essa origem deslocada de textos únicos e incompletos, que deixam espaço por concretizar. Escritores como Lucchesi, coligindo fragmentos, escapam às “correntes literárias”, “movimentos identitários” e “evidências” repetidas. Um significado de recusa de continuidade no vestígio escrito, fragmentado, foi adquirido no mar, que não é terra firme. Todavia, com “intencionalidade”[155] na voz, “nunca poderemos deixar o mundo, o que nunca deixámos”[156], o mundo terreno. Numa particular fenomenologia[157], poder-se-á conceber a “suspensão de julgá-lo”. Como não julgar o mundo do pensamento oblíquo, da metafísica passada? Ficando pela rama, na área concreta, terrena (não marítima, à beira mar, o que “sobrenada” ...). No que importa, não estamos nós fora de água? É de todo difícil alcançar maneira de arrancar o “pensamento de superfície”, também a superfície da página de Marina encante, pela superfície que cobre os reflexos incessantes, os jogos de reflexos, como ilusões e evasões, que surgem e desaparecem. Se não for atingido o que aparece antes do fundo das letras, ficamos aquém de imergir: foi muito antes que Parménides e Heidegger viveram. É preciso dizer que a superfície não se confunde com a aparência - a realidade energética, a dança terreste, da vida dançante[158]. A máscara de Marina já arrasta a ilusão do que aflora (a superfície) – a “transparência da voz”[159]. Esconde-se ela algures, no “re-dobrar” do seu ser[160]. A sua aparência causar-me-ia a diligência em “lê-la” a preceito. A voltar a Parménides e Heidegger, a profundidade[161] do livro dá antes a explorar o ser e as coisas[162], ao invés da superfície (mas com a superfície), a sua luminosidade. Quando a metáfora da luz (do dia, do Sol, da Lua promissora do brilho dos olhos verdes…) não encontra um reino perdido que persiga o ser, quantas ideias ficam subterradas e obscuras ao leitor? Foi a partir daquele ilusório mundo de reflexos (a superfície), que alcancei a incerta profundidade. Será o outro mundo (“marinho”) contrastado ao ilusório da realidade e ainda aquele outro mundo perdura, mutável e instável, matizado de cor intensa e de brilho ténue de águas passadas. Quanto ao retorno à superfície, ao aparecer, no emergir de novo, volta a agitação do mar emocional, que se ressente, no que permanece do eterno esvaziamento. Ficou um poço vazio daquele outro momento de amor ou do que dele reste nas rochas imutáveis. “Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”[163]. Quando “aparecer é um compromisso metafísico”? A “metafísica” foi além de physis. Cientistas designam a metafísica de “especulação” de ideias, tantas vezes incertas, com que se debatam. O que se entende por “real” é, nesse segundo sentido, o que ultrapassa a “realidade” que conhecemos por perceção (inter)subjetiva. O real é um referencial profundo[164]e infinito; a realidade é o que conhecemos ou julgamos conhecer. Numa mediação poética para a metafísica, “aparecer” situa a presença original no mundo do ser, sendo que o mundo adote a incerteza na errância (e na morada no novo mundo). ~ Quanto “aparecer” vive acima da superfície e da aparência das coisas, é o ser que reflete um inóspito caminho de linguagem reflexiva, aproximativa e assintótica[165]. No ato de escrever, Marco Lucchesi delineou-me a possibilidade de especulação, a liberdade crítica e a ironia, abertas portas à metafísica fenomenológica. O existir em processo trouxera-me antes outros saberes e, nos espaços do mundo daqui, foi indicada a deslocação para a saída de “ex-” (em “existir”). Entretanto, aprendi que existir alcança o sentido de “pôr-se de pé”, de acordo com a etimologia. Num apelo a erguer-se (pondo-se de pé), já o próprio ser permanece em lugar recôndito, na condição de vir a aliar o desvelamento do ente – objeto, coisa, um ser, Marina... Outros “reivindicam” para si o “estar-aí” (da-sein), dito que todos “querem, buscam, sonham com você” [Marina], um corpo no que não “fuja”[166], na errância noturna. Consequência da fuga da luz? Será ela dada a “despertar” outra, a emergente Marina de Celso? Encontra-se ela ausente, no que seria de voltar a abordar a limpidez, a superfície, a “transparência”[167] da constelação “prometida” de dois seres. Uma forma de profundidade incompleta. Numa lúcida forma de escrita, patamar de sonho lúcido, Celso encontra-se em guarda. O narrador não deseja “despertar [vidas escritas]” … Talvez busque tão somente a “voz” dela, naquele eco, em que ressoa a limpidez, alcançará outra “voz”. A quem dar “voz”? A Molly, no seu solilóquio, na primeira pessoa[168]. Molly, uma inigualável cantora de ópera; Marina, de que nem sabe Celso se se lembra… da voz, dada à imagem fugidia na melodia, ao piano[169]. O que passou não se encravou. No ser em mudança, serão cristalizadas mínimas recordações, rareando “o caminho da verdade”[170], sem saída (uma aporia) tantas vezes paradoxal. Guerras dos mundos de ideias As ideias “verdadeiras” e as guerras de “opiniões” não se consolidam, nas correntes do paradoxo. Conjugam batalhas sem fim: Parménides e Zenão vs. Platão; Nicolau de Cusa vs. os que não cooperavam… Numa oposição ao seu tempo, questão cerrada e a descoberto, foi a permanência e a transformação. Parménides reteve a pura permanência, unilateral. Exigente na “ponderação”, Platão (428/427 – 348/347 a.C.) dedicou-lhe um diálogo inteiro - Parménides, em que Sócrates levou uma revisão verbal dum oponente, Zenão de Eleia (século V a.C.), para o efeito de inquirir o sentido do Uno, cujas “absurdas consequências seguem (ou não seguem?) em contradição com a referida doutrina”[171]. E se o ser é múltiplo? “Parménides”, um arauto da “revolução”? Esse é um ponto de um “resumo” do livro. Sendo que o germe da destruição estivesse plantado[172], que revisões foram geradas, a propósito das suas ideias? O que queriam mostrar os eleatas, com Zenão adiante das forças, o arauto da geometria e dos estranhos números, o infinito e o zero? Uma revolução, no conceito de tempo: fluxo constante e deixa de haver presente? O paradoxo de Zenão assinala o contrário à opinião recebida e comum, para o tempo virar uma sequência de mínimos momentos separados, donde vivermos o presente e a mudança ser ilusão. Quanto ao espaço? Sendo uno, não dá condições a haver “lugar” e “aqui”. No espaço fragmentado só há “aqui”, ausente o movimento. A revolução tem sentido no paradoxo, forjadas inesperadas dissensões. “Mudam [os tempos e] as guerras”[173]. No século XV, novo sobressalto. Gerador de ódios por contemporâneos, Nicolau de Cusa (1401 – 1464) alarmou muitos, pelo acento na compatibilidade entre extremos. Encarou a conjetura de “opostos”[174], dicotomizado o mundo por valores antagónicos, quando se creia num ponto de vista considerado válido. Nova batalha. Era Napoleónica, em França e na Europa, no ano VIII (ou, no calendário vigente, datado a 9 de novembro de 1799). Contrastaram adesões e oposições a Napoleão, herói e anti-herói, arrebatado o poder no golpe “18 do Brumário”[175]. As mudanças foram inquestionáveis, com a chefia e as saradas guerras. A guerra entre Marina e Celso não foi uma constante, também não persistiu. No foco da maior peleja, a distância a Marina[176] antecedeu outra circunstância: o entendimento de “como [Celso] se vê”[177]. Num “sinal de transição, de deslocamento”[178], veio de Celso a afirmação séria, numa trégua consigo mesmo: “já não habito na distância”[179]. Anteriormente, despedir-se-ia dela, como um Catulo[180], numa linguagem coloquial, sem intensidade e sem profundidade maior… Poderia estar a recuperar o “habitar”, junto dela. Existirem compatibilizados, nas suas oposições, requer o significado: “habitar”. Talvez se encontre algures, na linguagem. Para “morar”, fica bem longínqua a raiz etimológica, no sânscrito - vatami -, cujo termo alemão é wesen. Dir-se-ia que Celso possa já “estar-aí” (da-sein)[181]. No seu lugar - aí -, à fluência não lhe faltará diferença. Como expor uma diferença melhor do que com o ruído feito pelas diferenças da fala e do canto de Celso e Marina? Revejo a aliança, a separação, o que nem quer significar uma divisão de opostos. Há uma distinção nas “vozes”, para um sistema caótico, em várias escalas de linguagens. A organização de mundos No século XXI, em 2023, há ordem para parar e avançar no terreno do ser. “Há mais de dois milénios…”. Heidegger[182] introduziu essa conjetura perdurante[183], nas primeiras palavras de Ser e Tempo. Fora há muito “esquecido” o que surgira em Parménides, uma abstração – Poema – “onde se encontra o ser e o ente”? Ente pode ser objeto, coisa, ser … E o ser é o mais próximo do ser humano, sem que seja “um Deus ou um fundamento do mundo”[184]. Não existe um ente sem um ser. Acresce perguntar: “o que significa pensar?”[185]. Pensa-se em alguém, um ser, enquanto as guerras matam pessoas. Desde que a nossa imaginação pejou o mundo de deuses, entre ninfas, dragões ou quimeras, foi feita a equação, pelo menos: esquecido o humano. Não neutro, mas esclarecido, Heidegger rebelou-se contra ter sido minada essa incógnita do mundo – o ser, o guardião da questão[186]. Colocado o tão saliente à parte (o ser) e juntas as palavras a ideais, “ordenaram-se” melhor as coisas. Nessa incessante transformação, contra as utopias, foram cometidas “supressões” de coisas, acrescentos de quimeras, os “suplementos”, esquecidas possíveis “deformações”[187]. Aguardado o alvorecer da modernidade líquida, após a linha humanista dos anos sessenta do século passado, ainda seria antecipado o outro tempo do ser frágil, das diferenças e vulnerabilidades acrescidas. Vemos superada a razão não linear, o princípio da não-contradição[188], a alinhar o excluído. Arrastamos até mesmo para a paz a “coincidência de opostos”[189]. No reiterado pensamento ímpar de Lucchesi, um visionário de saberes ontológicos, preside o ser humano que é pensado, dito que ser e não ser não sejam iguais. Os seus conhecimentos são buscados entre um que é muitos[190]: ser e não ser e “ser de todo o ser”, na expressão de Giordano Bruno (1548 – 1600). Ruínas e salvação Um genial revolucionário, Giordano Bruno, foi o que retomara o ser, em On the infinite universe and worlds (“Sobre o infinito, o universo e os mundos”). Recordado num post scriptum[191], o opositor, Bruno, foi morto. Para mais escrevera “A ceia das cinzas”[192], em gritante contraste com o fogo da paixão. Deu-se ao desfecho inolvidável, à morte horrenda, após outra intrincada conjetura resistente à “ignorância” por dogmatismo e ceticismo do tempo. Bem além e aquém do “estar aí“, em substancial presença, o que resiste à fixação ao lugar encontra-se na imaginação, em múltiplas superfícies, no não linear, cujas diversas escalas se coloca Marina. Celso vive numa efetiva transição temporal, quando “o agora é um índice [indicador] da eternidade”[193]. Quando ainda se creia na “eternidade do mundo”[194], uma exceção. Enquanto nos insurgimos, Marina poderia “fixá-lo” ao passado em comum[195]. Na “correspondência” truncada, o narrador assumirá a perspetiva de “crer na eternidade do ser. Mundo sem fim e sem Deus. Essa é a ideia que me salva”[196]. Ademais, imaginar a “eternidade” não diz que não se “aclare a contingência” [197], o acaso, por contemplação intuitiva[198] e sensível. No perpétuo salto entre histos, reparo no ocaso do relacionamento, na paragem e esgotamento dum percurso: “[As cartas de Marina, “ibérica prudência”?] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo. Cartas inúteis e vazias! Abracem do não ser a eternidade!!”[199]. Creio no indecidível. Não cumpriremos todas as “promessas”, as coisas voltarão a ser as mesmas nas guerras e nos amores à beira mar: o “vestido azul”, a “pedra”, os “passeios” e as “bicicletas”[200]. Recordações e ilusões para “todas as cartas em princípio circular”[201]. “Quem sabe se…”[202], se “tudo se passa aquém da superfície”[203]? A verdade - domínio duplicado da aparência - agarra o “desvendamento”[204]. Da substância/essência não temos algo, além da aparência. E ainda que deixássemos há muito de atingir “as coisas em si”, vivemos demasiado no escuro em volta. Quanto muito, realizemos nova viragem às partes, quando “o passado é órfão do presente [índice de eternidade]”[205], no mundo compartimentado. Vivemos num “tempo inabordável”[206]. De forma paradoxal, deixámos o “museu”[207] e as “espécies” à solta, que diminuem com seres impreparados. Do ser e tempo[208] à nova hermenêutica, reatada “presença”, o que “aparece” no “compromisso metafísico” com o ser[209]? Numa filosofia para o século XX, o existencialismo ainda contou para O ser e o nada[210], no que importou o significado, o valor e o propósito da vida. Na época, avançado distanciamento/estranheza[211] face ao “teatro de sentimentos”. Na Europa, tanto “narrativa”, quanto “ficção” deram lugar ao “novo romance”[212], uma mistura de atores sociais e coletivos, de géneros misturados, uma “polifonia”[213]. A psicologia da vontade e a narrativa Na psicologia então emergente, William James[214] discriminara a “vontade de acreditar” do que queremos fazer “desacreditar” - o que seja convencionado para a época ou para a “troca” correspondida de “cartas” a e-mails, o que escape à explicação e/ou à compreensão[215]. Narrativa, na psicologia pós-racionalista, congregou a ideia de que “contadores de histórias” seriam os que estariam incrustados ao amor e ao sofrimento. Como sublinhado, nas teorias semânticas, havia outras “vozes” e “polifonias”, quando um discurso se enuncie. Fora enunciado. Ademais as (re)autorias e sensibilidades eram provenientes doutros domínios de saber, tomadas por empréstimo (nas teorias feministas, na narratologia, nas ciências sociais e humanas…). As temáticas ganharam sentidos segundos, o significado de ridículo e a ironia alcançou outra voz crítica, ainda com o romance de ideias. Com Laurence Stern[216] é possível “justificar” uns “resumos” dum Celso[217]. Os condensados foram ordenados, entre “ideias confusas”[218] dum amor límpido. Num modelo dos mundos emocionais e do “eu em processo”, as “organizações de significado pessoal” (OSP) remeteram, em fim de século, a "metáforas básicas da descrição do real”. Traduziram apreensões dinâmicas para “estrutura da personalidade” e consumaram “significados”, para formas de dar sentido à vida. O modelo OSP, de Vittorio Guidano Vittorio Guidano foi um psicoterapeuta romano, que viu a criatividade como possibilidade de transitarmos duma para outra organização de “significado pessoal”, da falta e perda à reorganização noutra emoção, talvez pelo receio da distanciação. Correu na margem de entendimentos do corpo e da culpa. Concebeu uma epistemologia, com Leslie Greenberg, Humberto Maturana, Michael Mahoney e Óscar Gonçalves. Numa visão emocional integradora, a faceta de experienciar a vida (I, em inglês; o nível de “eu experiencial”) nem se opôs mais a “significar” a experiência (a narrativa da experiência). Pode ser dado o exemplo buscado no que conheci em Guidano e num seu amigo, Leslie Greenberg, de saúde mental. Quando com eles estudei, partiram dde G. H. Mead[219], entre muitos outros. No sul africano Leslie Greenberg[220] senti a primazia conferida a existir, tão visceral, no âmago da experiência imediata, o "eu". Frente a frente ao vivido subjetivo, Vittorio Guidano[221] colocava-se noutro plano de conhecimento: o “mim reflexivo” (me, em inglês). Contrastava na relação à energia de Greenberg, uma “presença” por inteiro, uma conexão no momento, em níveis diversos (físico, emocional, cognitivo e espiritual), ou seja, havia uma consciência da plena experiência corporal e emocional, vontade de escuta ativa, busca de compreensão. Modelos para fazer mundo Na distância cavada, lemos que “a gota do mar é pequena, quando o tempo de ausência seja longo.” A memória nem se esvai na comparação e compreendido desgaste. O “piano – sobrenada”[222] … – voga à tona de água, assim sendo a memória[223], num “abismo líquido”[224]. Poderia ser a voz “atemporal”[225], inesquecível, aquela voz entretanto quebrada de Marina? Tendo lá permanecido uma presença, não se cravou… No incomensurável passar dos anos, quais “cardumes de palavras”[226], arrastaram “o vazio”[227]. A eternidade deixou de ser. Morreu um mundo terreno junto do mar. O eco imaginário de Marina, na ausência quedou-se. Existem as “rochas” [que] continuam imutáveis[228], fustigadas por ventos e marés. Do revolto mar à mata-bioma e às pedras encalhadas, sobressai o abandono, nas “correntes indomáveis”[229]. Celso, continente/recetáculo, sem mãos. Haja o que desapareça e volte com a “correnteza”[230]. Sem alcance do “mundo submarino”[231], as águas não brilham. Somente na “superfície” são “transparentes” [232] águas, para um mundo que foi desarticulado e fragmentado em partes. Como referido, no uno, teríamos um mundo total e eterno. Numa perspetiva particular, um amigo meu acentuou a condição física, metafórica e metafísica (“especulativa”) do ser. Sem ler Marina, António Maurício enfatizou o transitório – o humano para “ondas do mar” (o seu mundo parcial). Na expressão oral, coloquei as suas palavras de permeio, com parênteses retos, para elucidar o refletido do infinito: Em resumo, e metaforicamente, parece-me que [esse processo humano, dinâmico instável] tem semelhanças com o que acontece às ondas do mar[233] (…) configurações/formas locais e transitórias desse mar/suporte e alimento de todas as outras formas/configurações potencialmente possíveis do mesmo. Que podem nascer, crescer, viver/existir, reproduzir-se e morrer/deixar de ser/existir, porque são fenómenos/seres transitórios. (…) Mas não é por isso [por haver formas locais e transitórias de mar], que o mar/vácuo quântico/TAO/[234]o sem nome/... (pressuposto background/suporte/meio/ e fim de tudo o que é possível, e por isso intemporal, Total, global, cognoscível e/ou incognoscível), sem ser… seja redutível a qualquer aspeto antropomórfico[235] .... mas contendo-os... O meu amigo tem uma conceção física e de recipiente – o “vaso vazio”, o inamovível Uno[236]. Nessa substância, Maurício faz conter os mundos parciais contrastantes. Na “leitura desviante”, colocamos “entrelinhas”[237]. A “colocar parêntesis” no que se saiba ou julgue saber, houve um retorno ao mundo, no abalo cultural da consciência. Na aproximação a coisas[238], podemos condensar “cardumes de palavras”[239], no que sobreviveu unido, o par que se afastou: As “cartas deitam iodo [como o mar] e sal… [como lágrimas] [240]… novo sal”[241] Crescem as ondas que me arrastam para dentro [daquele mundo submerso]. Põe-se Celso “a nadar“[242]. [No mar] Haveria “… a correnteza“… e entretanto “as ondas sobem cada vez mais altas… Já não encontro salva-vidas. [Celso dirigindo-se a Marina, pede-lhe uma vez:] Nademos juntos”[243]… No relacionamento, terá havido … um “naufrágio e tempestade”[244]. Até no “perigo de [Celso] afogar-se na praia”[245]. Ergue-se, subleva-se ele, humano, que “não tem guelras nem escamas”[246] … No salva-vidas da terrena praia, onde não “para de chover” … “mal sei nadar em tanto azul… [Celso] Andava a saltar “nas rochas, acima do cinturão das algas”, mas mergulhara no mar, “quando é escassa a correnteza”[247]. “Caminho sobre a chuva, ondas revoltas [no mar], branca espuma”[248] … “nadar [para] tão longe” …[249]. Na deriva, as “leituras desviantes” de uma temática[250], colocam vários caminhos de leitura. Não fosse o vazio deixado de palavras… [Sempre permanecem] “As pedras [que] rugem no bater das ondas”[251] [instáveis]. [Muda o significado de] “Praia - Cadeia alimentar, baleias, pescadores”[252] … “Sinto no meu corpo a maresia [que muda também, após a vazante, de cheiro intenso do mar] e assim transformo o sal em novo sal”[253] [Em casa] O “relógio de areia” de Celso, quando se encontrava com Marina, no passado, “ficava na estante” … [porque o tempo era subjetivo]. “Um belo dia [a ampulheta] quebrou-se” … “Vinte anos” separaram [Celso e Marina] … quantos “grãos” de areia [na ampulheta] são necessário” para tanto tempo passado?[254] “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[255], sendo que o sal eliminado, baixe a pressão[256] [arterial] e “transformo o sal em novo sal”[257]. Nova vida. As palavras vão e vêm, na modernidade líquida. A tornarem-se as palavras “úmidas”, é o sinal de sofrimento no “sal” e na “lágrima” salgada. Qual garrafa que se joga ao mar? Flutuaram ambos num domínio intemporal, deram-se a palavras inevitavelmente “fartas de imprecisão, saudosas da beleza”[258]. E que “cartas” se virão a “salvar” do mar do esquecimento, com agrestes “ventos do Atlântico”? Na insana movimentação vital, Celso “decide [a dado momento] atravessar a maresia”[259] e quedou-se o mar de distância entre si e Marina[260], ao primeiro e-mail dela, seguido-das imagens coloridas, palavras dela. Marina aparecer-lhe-ia na imaginação dovbelo solilóquio de Molly Bloom[261], um encantatório eco. É dele o repente, quando não queira voltar ao passado: “Não me afasto deste mundo de areia… Passam navios à distância”[262]. Em terra firme, Celso, não sai de si mesmo. No final do livro, arredio, Celso dará conta do inesquecível mau tempo, em que se sentira “naufrago”, abraçado ao não-lugar[263]: “Passada a tempestade, me afogo nos teus olhos [verdes e do mar]”[264], olhos de luz fina e penetrante. Do repetido reparo no olhar de lince, o que ficamos cientes do passado na marinha de salinas, na praia e noutras paragens? A lembrança foi ter à imagem da “jovem” Lívia, sua prima e amiga de Marina… [Lívia] “deu-se às ondas”[265]. Deixou de ser. Condenado, Marcus, perdeu alguém; Celso perdeu Marina, não fossem as “fugas” intempestivas. Anunciado casamento ou “condenação”, na escuta de Grande Missa em Dó Menor, K 427[266], de Amadeus Mozart (1756 – 1791), o significado diverge, para o cineasta Robert Bresson[267]. A perda não justifica uma causa, que seja culpa de falta de pontualidade dela ou o atraso dele. Preso ao antecipado mito: “Cheguei tarde como o Rei Marcus”[268], já que a bela Isolda amava Tristão e vogariam num barco do amor à beira mar[269]. No enlevo por Isolda, Celso assumia encontrar-se na condição do rei[270]. Outro fora a lição de Orfeu[271], que olhou para trás… “Não se ergueu” (no existir). E como a palavra concretiza o pensamento (quando o alcance), em inumeráveis mundos atingimos a parte num ou noutro fator – o mar subterrâneo, o envelope na palavra, uma sinédoque. A crer na memória “líquida”, mais uma vez, em imaginação de Marina[272], Celso “lembrou-a” de que já teriam pisado as pedras até à onda, ao imenso mar[273] Quando o a sair último apaga a luz Na ausência de fundamentos externos e de princípios internos, temos o reino perdido do ser. No mundo abandonado, aliado no estranhamento, é o esquecimento (“o fundador”) uma implicação do recuo do ser[274]. Como constatado, em Heidegger[275], surgiu o ser, um dos seus dois temas constantes. Como ser nem seja fundamento, nem seja princípio, incorreria na dobra original “ser-ente”[276]. Donde, a possibilidade de “re-dobra” do ser em Marina. Para o incauto efeito, somente desviando-se um autor, poderá recuar o ser, em que as hierarquias da existência passam a ser independentes (ser e ente), deixando de fazer sentido o que veio primeiro. Nenhum deus alguma vez pode unir o disperso, nos tempos que correm. Em Heidegger (1986 [1982]), para quê escrever “Porquê poetas”. Andaria o filósofo nos caminhos da floresta obscura, no que recuaria e o conduziu a Hölderlin (1770 — 1843): “E porquê poetas em tempos atribulados?[277]” Além da destroçada condição de “autor-idade”, o autor deslocou-se à poesia de vestígios inacessíveis. Marco Lucchesi pode ter atendido ao segundo tema de Heidegger, quando foque o eterno, em Parménides[278]. Visado fundamento do enigmático “pensamento”: leu as primeiras descobertas nos fragmentos ou vestígios escritos. De Marina, Lucchesi arrasta já o leitor às primeiras interrogações, como nos ousados fragmentos pré-socráticos incompletos, desbravados e arredios a um ponto, excêntrico a linhagens ou a “influências”. Ocorre pensar noutro ângulo de visão criativa, sem articulação entre o próximo e o longínquo, alcançado um brilho lateral, que perpassa na contemporaneidade. Qual será o derradeiro lugar em que pulse o pensar? – Pergunte-se. Em Poema, de Parménides, fragmento de conceitos acutilantes. Possuímos além da “dobra” constitutiva do ser (nos limites entre ser e ente), a prerrogativa de interrogar, de hesitar, de duvidar e de afirmar. Em que mundos desaparece e reaparece a consciência? Resposta: Nos dias que se sucedem a noites, a alternância revela-se à consciência, no sonho e na realidade percetiva. Da diferença entre mundos, Marina, o que perdura na ausência? Memórias de palavras “recorrentes: o nada, a Morte, abismos e fantasmas”[279]. Perdura o “sonho” no eterno “menino”[280]. Em Marina, o coprotagonista Celso, um retirado fazedor de “não histórias”, afigura-se retirado, o que não significa derrotado. Noutra asserção crítica, quando não se bata em retirada, poderão ser dados saltos na compreensão duma obra de múltiplas leituras. Foi no Prefácio à segunda edição de Crítica da razão pura, que Kant alertou para o pensamento, cujos “saltos temerários” nem seriam escusados. Poder-se-ia ir mais longe, no arriscando, nas nossas frágeis sociedades, a ponto de nem ser dito o que se pense, nem ousar-se o criticar. [1] Lucchesi, Marco. Marina. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023, p. 89. Quanto à “romaria de formigas” (p. 78), a ser desfeita, “vivo em guerra contra os cupins…” (p. 23). “Só as cartas ficaram intactas. Desprezadas até pelos cupins” (p. 24). “Pobres cartas! Ai de nós! Indigestão de todos os cupins” (p. 28). Afinal, outra maçada, será o velho computador perder cartas, “perder tudo” (p. 89). [2] A crença no acesso à profundidade teve os seus dias melhores, quando se acreditou numa via única, uma dimensão da base ao topo, entretanto barrados os códigos e a exatidão, buscada na modernidade. [3] Marina, p. 73. [4] Marina, p. 56: Marina possui uma “beleza transitiva”. Marina, p. 60: “Sou trilho morto, intransitivo [que não chega a ela]. Se não te alcanço não me basto”. Marina, p. 71: o caráter transitivo, sendo o que muda, aproximou-se de “sinal de transição, deslocamento”. [5] Marina, p. 27. [6] Marina, p. 76. [7] Marina, p. 76. [8] Marina, p. 15. [9] Marina, p. 13. [10] Marina, p. 87. [11] Marina, p. 13, p. 17. [12] Marina, p. 67. [13] Marina, p. 85. [14] Marina, p. 85. [15] Marina, p. 91. [16] Marina, p. 55. [17] Marina, p. 87. [18] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [19] Marina, p. 86. [20] Marina, p. 72. [21] Marina, p. 69. [22] Marina, p. 84. [23] Marina, p. 33. [24] Na alusão do autor, a xilogravura de 1507, de Hans Schäufelein the Elder? Um idoso, “o mais velho” (the elder). Ou “Cristo diante de Anás, do espelho da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo”, também de 1507? [25] Marina, p. 22. Parménides é também referido na p. 35 e na p. 98. [26] Marina, p. 49). Ulisses representa o que enfrentou perigos e riscos do mar, explorando o mundo. Escritores foram “navegadores”, por caminhos sem guia e sem antecipação, como James Joyce (1882 – 1941). [27] Marina, p. 49. [28] Marina, p. 71. Celso efetua ainda um recuo, quando “uma janela abre-se ao vento” e se desfaz o enlevo com Marina. Concretamente, recuo terá o sentido militar, na guerra. [29] Marina, pp. 34-34. [30] O vaso é um recetáculo, um contentor para as coisas sensíveis, no Timeu de Platão, datado de 360 a.C. Identifica a chora, no que acolhe as coisas em devir. [31] Marina, p. 89. [32] Marina, p. 77. Nas folhas ímpares, são dados a ler “resumos”, como o da página 27: “Sobre a morte das cigarras e o motor imóvel. As garras do leão. Livre-arbítrio, borboleta e tempestade. Software e cálculo integral. Termina com um verso de Mallarmé.” Geralmente, os “resumos” são ampliados em textos de duas páginas. [33] Marina, p. 81. [34] Marina, p. 43. [35] Marina, p. 89. [36] Marina, p. 78. [37] Marina, p. 67, post scriptum: “Leitor de pássaros, sou como um áugure romano a decifrar tua mensagem”. Na Roma antiga, desde o século VIII a.C., os sacerdotes tornar-se-iam augures, tirando presságios, partindo dos voos, do canto e das entranhas de pássaros, entre outras aves. [38] Marina, p. 89. [39] Marina, p. 87. [40] Marina, post scriptum, p. 98. [41] Marina, p. 50. Na perspetiva computacional, disse-me um informático, a diferença é nítida entre significado e semântica: “fornece-se uma semântica para um argumento (ou seja lá o que for), quando se fornece um método de traduzir os símbolos, que contém para qualquer coisa que tenha significado: dar uma semântica para uma linguagem pressupõe, ou envolve, uma Teoria do Significado. Contrasta com a sintaxe, que é apenas a gramática formal do sistema, que determina que os símbolos estão corretamente juntos ou não. Pode assim seguir-se uma sintaxe do sistema sem ter a mínima ideia da sua semântica”. [42] Marina, p. 43. [43] Marina, p. 18. Na Ilíada, poema homérico, salienta-se o belo e valente Ájax, com que lutou Heitor, sem vencedor ou vencido. [44] Marina, p. 53. [45] Marina, p. 35. [46] Marina, p. 36. [47] Marina, p. 83. [48] Marina, p. 39. [49] Marina, p. 79. [50] Marina, p. 86. [51] Marina, p. 49. [52] Marina, p. 18. A Guerra Fria, tensão geopolítica, no final da Segunda Guerra Mundial (1945), abrangeu Os Estados Unidos da América e a União das Repúblicas Socialistas Soviéticas (URSS), desde a Presidência de Truman, em 1947, tendo fim na dissolução da URSS. [53] Marina, p. 31. [54] Marina, p. 35. [55] Quando a alegoria apresenta dois significados, literal e figurado, as palavras, cujo significado seja literal, devem dar lugar ao significado alegórico (figurado). [56] Por extensão, ao mundo subaquático, Marina, p. 50: “… o abismo líquido”. Marina, p. 37: “um líquido destino terra adentro. Marina, p. 79: “Presumo que se lembre (ó, líquida memória!) da onda que das pedras nos levou ao mar.” [57] Imagino até mesmo O mundo à minha procura, de Ruben A, um relato autobiográfico em que o escritor dá conta da vida e da escola, que “esquece os livros”. [58] Marina, p. 49. [59] Marina, p.54. [60] Marina, p. 65. [61] Marina, p. 65. [62] Marina, p. 13. [63] Marina, p. 27, p. 29. Na mesma página 29: “de dez mil dias” …, após o “terremoto” - “uma “falha sísmica”. [64] Castro, Ruy. A vida por escrito: ciência e arte da biografia. Lisboa: Tinta da China, 2023., p. 16. A “literatice” passa pela ideia de um biógrafo atravessar a pessoa-personagem, para dela extrair o que não saiba de si mesma nos pormenores, para o efeito de conceção de episódios “inesquecíveis”. [65] Marina, p. 16. [66] Marina, p. 13. [67] Marina, p. 89. [68] Marina, p. 13. [69] Marina, p. 37. [70] O interminável percurso, é destacado na página 93. O texto continua com a presença do tempo, para “Zenão de Eleia: Aquiles corre com a tartaruga”, um paradoxo da verdade de Parménides, numa demonstração “por absurdo”. [71] Marina, p. 16. [72] Marina, p. 54. [73] Durante uma noite, após ter querido escrever insistentemente uma sonata, o compositor italiano Giuseppe Tartini compô-la a dormir e a sonhar. Intitulada O Trilo do Diabo, imaginou que o próprio maligno lhe apareceu em pessoa para tocar violino e o “ajudar”. Ele não era capaz de terminar a obra musical, mas quando acordou conseguiu acabá-la com a única parte da música de que se lembrava. [74] Jung, Carl. (1954 [1951], p. 123) [75] Marina, p. 73. [76] Marina, p. 56. [77] Marina, pp. 55-56: “A jovem [caveira sem carne] cedeu sua beleza ao brinquedo”, tratando-se de morta, que na urna funerária tinha a sua boneca de marfim, segundo Marco Lucchesi, preservada do Tempo dos antoninos, na Roma antiga, pelo autor. Portanto, aquilo, demarca a figura histórica, no achado brinquedo, que a acompanhou na urna. https://en.wikipedia.org/wiki/Crepereia_Tryphaena [78] Marina, p. 56. O “espelho inverso”, do aveso, passa o par a dois contrários ou simetricamente opostos. [79] Marina, p. 69. Quem diga a transformação dela alude à sua representação no quadro de outra. [80] Um poço é um recetáculo, a chora, em Platão. Um continente retém um conteúdo, as ideias sensíveis. [81] Marina, p. 50. [82] Marina, p. 96. Nessa página, é salientada a comunicação, quando gatos ronronam e cães latem. [83] Reis, Carlos, & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, pp. 152-155. [84] Idem, pp. 152-153. [85] Marina, p. 86. [86] Marina, p. 91. [87] Marina, p. 86. [88] Marina, p. 63. [89] Marina, p. 95. [90] Marina, p. 54. [91] Marina, p. 73. [92] Marina, p. 96. [93] Marina, post scriptum, p.97. [94] Reis, Carlos & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, p. 154. [95] Marina, p. 91. [96] Strauss, Anselm, & Corbin, Juliet. Basics for qualitative research: Grounded theory procedures and techniques. Newbury Park, CA: Sage, 1990, p. 96. [97] Marina, p. 95. Numa intercalação da história de Proteu com o mito de Orfeu, essa invenção do poeta romano Virgílio (70 a.C. — 19 a. C.), encontra-se nos versos de número 453 a 527 do Livro IV, das Geórgicas. [98] Marina, pp. 71-72. Vale ouvir a rádio Orfeu … Ouço distante a voz de Orfeu. [99] Marina, p. 80, p. 86. [100] Marina, pp. 79-80. [101] Marina, p. 80. [102] Marina, p. 49. [103] Marina, p. 91. [104] Marina, p. 91. [105] Marina, p. 49. [106] Neymeyer, Robert A. & Mahoney, Michael. Construtivismo em psicoterapia. Tradução de Mônica Giglio Armando e Fábio Appolinário. Porto Alegre, Rio Grande do Sul: Artes Médicas, 1997, p. 173. [107] Quem diga texto, poderia referir-se a trabalhos com que um texto se cruza, num filme, romance ou peça de teatro. [108] Forster, Eduard Morgan. Aspects of the novel. New York, NY: Harcourt, Brace and World, 1927. O “enredo” (plot) distingue-se da “história” (story), na medida em que o enredo ordena os acontecimentos de forma temporal e de forma causal, mas a “história” limita-se a ordená-los no tempo. [109] Scholes, Robert, & Kellogg, Robert. The nature of narrative. New York, NY: Oxford University Press, 1966, p. 207, pp. 238-239. [110] Angus, Lynne; Lewin, Jennifer; Boritz, Tali; Bryntwick, Emily; Carpenter, Naomi; Watson-Gaze, James, & Greenberg, Leslie. Narrative Processes Coding System: A Dialectical Constructivist Approach to Assessing Client Change Processes in Emotion-Focused Therapy of Depression. Research in Psychotherapy: Psychopathology, Process and Outcome 2012, 15(2), 54–61. DOI: 10.7411/RP.2012.006 [111] Marina, p. 23. [112] Marina, pp. 79-80. [113] Marina, p 83. [114] Marina, p. 94. [115] Marina, p. 71. [116] Marina, post scriptum, p. 76. [117] Marina, p. 23. [118] No risco de morte no mar bravo, noutro lugar: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração” (Lucchesi, 2023, p. 71). [119] Marina, p. 23. [120] Marina, p. 23. [121] Marina, p. 80. A expressão é atribuída pelo autor a um livre pensador, Lucilio Vanini (1585 – 1619), que se autodenominou outro, nas obras publicadas como Giulio Cesare Vanini. [122] Marina, p. 83. [123] Marina, p. 93. [124] Marina, p. 93. [125] Marina, p. 14, p. 79. As baleias primam nos seus “afetos radicais” (p. 79). [126] Marina, p. 93. [127] Marina, p. 93. [128] Marina, p. 93. [129] Marina, p. 95. [130] Marina, post scriptum, p. 99. [131] Marina, pp. 85-86. [132] Strauss, Anselm. Qualitative analysis for social scientists. New York, NY: Cambridge University Press, 1987, p. 32. [133] Marina, p. 91: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, num eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite”. [134] Marina, pp. 13-14. [135] Marina, p. 54. [136] Marina, p. 14. [137] Marina, p. 13. [138] Marina, p. 22. [139] A noção de “livre arbítrio contracausal” indica a decisão livre, não determinada por uma causa, um motor. [140] No cálculo integral, pensa-se na heurística, de Arquimedes (287 – 212 a.C.) , com a finalidade inicial de calcular áreas e volumes e seguir a pista e gravar o movimento dos corpos celestes, do sol, da lua e dos planetas, no que se partiu da aritmética e da geometria. [141] Concausa introduz a causa, que coexiste com outra causa, cujo efeito seja conjugado. [142] Marina, p. 27. [143] Marina, p. 27. [144] Marina, p. 13. A brevidade contrasta como o longo tempo que passou, após o encontro prolongado. [145] Marina, p. 43. [146] Marina, p. 69: “Teus olhos sabem narrativas”. [147] Marina, p. 87. [148] Marina, p. 91. [149] Marina, p. 91. [150] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, (1970 [1947]), p. 65. [151] Marina, p. 75. [152] “O acaso dá-nos os pensamentos, o acaso retira-no-los”. Esse é um pensamento de Blaise Pascal (1623 – 1662). [153] Bakhtin, Mikhail M. Speech genres and other late essays. Austin, Texas: University of Texas Press, 1986. Partindo de “géneros de fala”, certas vozes farão coisas diferentes. A noção de “voz” tornou-se um conceito adequado e útil para a caracterização do narrador num texto: “quem ‘fala’”. “Quem é ‘ouvido’”, “quem expressou algo” … A ser “dada uma voz”, a “voz”, conduziu à critica de uma só voz, com Bakhtin. Na conexão de “voz”, com as ciências sociais, avançamos entre “múltiplas vozes”. [154] Marina, p. 13. [155] A “intencionalidade” em Edmund Husserl (1859 – 1938) e) colocou-se em “Meditações cartesianas”, para a forma basilar da consciência e dos processos psíquicos: “consciência de alguma coisa”. Donde, a proximidade das coisas. [156] Lévêque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Publico, 2001, p. 13. [157] O mundo e a consciência veem em conjunto, dum único golpe: se o mundo é exterior/interior à consciência, o que escape é o ribombar de “tempestade”, o espanto perante uma explosão, o ribombar do trovão. [158] Marina, p. 75. [159] Marina, p. 91. [160] A ser retomado o sentido do ser (do ser em si mesmo, do ser do “homem” e do ser do pensamento), com Martin Heidegger (1889 – 1976), a “metafísica” ganhou terreno, na tradição filosófica. Ficou a crítica ao que tenha sido “esquecido” - o ser, com frequência, entre Platão (428/427 – 348/347 a.C.) e Nietzsche (1844 – 1900). [161] Na etimologia de “profundidade”, “pro” indica uma direção a, e “fundus” é o esvaziamento, por extensão de fundo. [162] Na especificidade, “coisa” denota o objeto natural. Acresce o tratamento dado ao objeto ou ao termo natural-artificial, ao real-irreal, ao mental-físico. Na filosofia, “coisa” incorre numa aparição, vaga presença, quando faltem as palavras, por incerteza na “errância”, falhado o alvo … Uma tempestade abrupta, uma explosão. Coisa chega a ser conhecimento, imaginação, vontade... [163] Marina, p. 81. [164] Num referencial da personalidade do adulto, adiante aludido, a psicologia pós-racionalista enquadra um modelo da realidade humana, que conjuga a experiência e o significado da experiência (“eu-mim reflexivo”). À superfície emocional da infância, estudada em John Bowlby, o psiquiatra Vittorio Guidano, aliou a “organização do significado pessoal” (OSP). [165] Uma assíntota, na geometria, para uma curva plana, é uma linha que explora uma distância infinita em relação a um ponto (P), quando esse ponto se distancia ao infinito, sem jamais encontrar a linha. [166] Marina, post scriptum, p. 76. [167] Marina, p. 91. [168] Galindo, Caetano W. Sim, eu digo sim: Uma visita guiada ao Ulysses de James Joyce. São Paulo: Companhia das Letras, 2016, pp. 1104-1106. [169] Marina, p. 43. [170] Parménides. Fragments du poème de Parménides. Paris: PUF, 1996. Na primeira parte do poema, foi concebido um saber puro, a “verdade”, que afeta a via dos jogos de aparência das coisas, vindo a duplicar as aparências, no “desvendamento” (a-letheia, no grego clássico). O Uno, em Parménides, deixou-nos a mensagem fragmentada, na “revelação”, a “abertura”, a verdade escrita, no poema Sobre a natureza. Tanto as diversidades do mundo exterior, quanto as “opiniões dos mortais” (referidas num décimo da segunda parte da obra – o mundo da aparência), foram distanciadas da contemplação. Parménides inspirou a noção de Platão, para a dialética (partindo de duas ideias opostas, gerada uma síntese). [171] Platón. Parménides. Tradução de Guillermo R. de Echandía. Madrid: Alianza, 1987, pp. 55-56. [172] Na circunstância, as tensões antagónicas, entre a unidade e a diversidade, haviam sido protagonizadas por Parménides e Heráclito (cerca de 500 – 450 a.C.). Forçada a ultrapassagem da disputa inicial? [173] Marina, p. 43. [174] Nicolau de Cusa manifestou a sua forma de pensar num mundo em transição, tendo defendido a necessidade de contingência (coincidentia oppositorum), por parte da natureza e aderiu à contemplação intuitiva, em que o conhecimento fosse a unidade dos contrários (no livro Docta ignorantia, “Sobre a ignorância aprendida/sobre a ignorância científica”). [175] Marina, p. 35. [176] Marina, p. 31. [177] Marina, pp. 27-36. Na página 27, assumido ter-se tornado “perigosos”, na página 35, Celso diz ter medo de si mesmo. [178] Marina, p. 71. [179] Marina, post scriptum, p. 97. [180] Marina, p. 87: “[As cartas] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo”. Catulo foi um poeta romano (87/84 a.C. – 57/54 a.C.), entre outros “modernos”, criticados por Marco Cícero, um contemporâneo, escritor e autor de cartas, mas que mudou a literatura europeia, com impacto no século XVIII. [181] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970 [1947]. Na parte final de Carta sobre humanismo, Heidegger esclareceu: “não eis-me aqui! mas sim, se posso expressar-me num francês obviamente impossível, ‘être le là’ e o ‘aí’ é precisamente a-letheia. Como esquecer que da-sein representa o “estar aí”, o “habitar”? [182] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [183] Uma ontologia dedicada ao ser, existência e realidade. [184] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970, p. 77. [185] Heidegger, Martin. Que veut dire penser? In Essais et conferences. Paris: Gallimard, 1958. [186] O ser foi abandonado, quando se colocou adiante o ousia. No saber dos ousiai, enfatizadas substâncias. [187] Goodman, Nelson. Ways of world making. Indianapolis, Indiana: Hackett, 1985, pp. 7-17. [188] Marina, p. 93. Na lógica clássica, uma proposição não pode ser, em simultâneo, “verdadeira” e “falsa” (princípio da não contradição). Uma proposição é falsa ou é verdadeira (princípio do terceiro excluído). [189] Marina, p. 89. Em De docta ignorantia, de 1449, Nicolau de Cusa criou três momentos do “espírito” no itinerário, uma hermenêutica, ora voltado para o “exterior”, ora para o “interior”. Importa para a coincidência de sorte, em não serem anulados pontos de vista diferentes (opostos), do ser humano ao infinito. [190] Marina, p. 89. [191] Marina, post scriptum, p. 62. [192] Marina, p. 89. [193] Marina, p. 73. [194] Marina, p. 35. [195] Marina, p. 35. [196] Marina, p. 93. “Salva-nos” pensar que a unidade primeira não torne a escamotear o ser, frente ao ente, em Deus. A base da metafísica, ciência do ser, foi por muitos anos o debate de “substâncias”, para o que se mantenha por baixo, o “elemento” permanente da coisa. Embora o ser tenha múltiplas aceções, formulam-se todas para um princípio (arché) único, material e definido. Na “correspondência”, o ser não pretende servir a ideia de “ser para Deus”, de ser a pessoa concreta, o que se mantém (ousia, “substância”, “no bem fundo”). [197] Marina, p. 96. [198] Como Nicolau de Cusa, que viu nesse acaso o conhecimento de Deus. [199] Marina, p. 87. [200] Marina, p. 93. [201] Marina, p. 98. [202] Marina, p. 17. [203] Marina, p. 18. [204] O “desvendamento” - aletheia, no remoto Poema de Parménides, um saber do Uno, entretanto desfeito,encontra-se antes de recolocada a ordem do vivido, ou seja, “todas as formas de presença afetivas e intelectuais”, em Jean Lévèque. Lévèque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Público, p. 114. [205] Marina, p. 73. [206] Marina, p. 95. [207] Marina, p. 73. [208] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [209] Marina, p. 22. [210] Marina, p. 93. “Não ser” tem no francês a palavra “néant”. E “nada” encontra-se em mè eon (“o não-ente”), em grego. Nem sendo a chora, o “nada”, o não-ente, nem chega a ser privação do ser, porque o “lugar” não tem qualquer objeto. O vazio de um contentor – o “vaso” - é diferente: possui forma, é chora. [211] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [212] Kundera, Milan. 1988. A arte do romance. Lisboa: Dom Quixote, 1988. Nessa obra, o “romance” é de ideias, a partir de Cervantes (1547 – 1616), por longo tempo “aguardada” a inspiração de Laurence Sterne (1713 – 1768), em D. Quixote. Ao romance de ideias foi dada outra linhagem, na marcação francesa: François Rabelais (1494 — 1553) e Denis Diderot (1713 — 1784), quando alcançaram liberdade crítica e ironia revolucionária, no renascimento e no século XVIII. O multifacetado Rabelais cruzou até as facetas na palavra, ora erudita, ora aventureira, percorrendo o lado festivo e o lado religioso e solene. [213] Marina, post scriptum, p. 76: “São minhas essas vozes: que me indagam, enlaçam, apertam, comprimem. Polifonia da gente que me habita. Mas todos querem, buscam, sonham com você”. [214] James, William. The will to believe and other essays in popular philosophy. New York, NY: Longmans, 1897. [215] Marina, p. 49. Para Carl Gustav Jung (1875 - 1961), a “humanidade” dividiu-se em duas partes: nos que “nadariam”, com James Joyce, no Ulisses, havendo quem se “afogasse” (numa autoridade, num qualquer saber dogmático). No Ulisses, é o monólogo de Molly Bloom condutor a um “sim”. [216] A obra de Lucchesi remete a Viktor Shklovsky. um crítico literário russo, em paralelo a Laurence Stern, autor de dissonantes observações, no que este último escreveu “A vida e as opiniões do cavalheiro Tristram Shandy”, um novo Quixote.” [217] Marina, p. 17: “Cada qual começa com um resumo”. [218] Marina, pp. 29-30. [219] Mead, George Herbert. Works of George Herbert Mead. Vol. 1 Mind, self and society from the standpoint of a social behaviourist. Chicago, Illinois: University of Chicago Press, 1967. A explicação das diferenças entre si e Greenberg, foi esclarecida por Guidano, que utilizou os termos de George Herbert Mead – I (“eu”) e me (“mim”), frente a Greenberg. Mead (1863 — 1931) concebeu o self social (Mead, 1913), no sentido de sermos a única espécie que usa a linguagem, aquisição a partir da qual planeamos, pensamos e comunicamos a experiência. A vida de uma pessoa não seria um atributo individual e privado em Mead, cuja narrativa seja uma autoexpressão, envolvendo o controlo da informação do self. [220] Geller, Shari M. & Greenberg, Leslie S. (2012). Therapeutic presence: A mindful approach to effective therapy. American Psychology Association. https://doi.org/10.1037/13485-000 [221] Guidano, Vittorio. The self in process: Towards a post-racionalist therapy. New York, NY: Guilford, 1991. [222] O que seja acima do nada, sobrenada num “lugar” das coisas sensíveis, que soam e ressoam. [223] Marina, p. 43. [224] Marina, p. 50. [225] Marina, p. 49. “Persegue os temporais”, os maus tempos de vendavais no passado-presente-futuro. [226] Marina, p. 18. [227] Marina, p. 49. [228] Marina, p. 73. [229] Marina, p. 73. [230] Marina, p. 18. [231] Marina, p. 49. [232] Marina, p. 73. [233] Tanto “mar” quanto o cérebro são “suportes físicos” e “alimentos”. A imensidão das “ondas do mar” e da mente em movimento configuram um fluxo movediço e inatingível, em que o ser é originariamente “bem-fundo”, a “substância” (no latim, ousia), para o que sejam variações e transformações das coisas. [234] Lao Tzu. Tao Te Ching. Capítulo 4, n.d. http://pt.wikisource.org/wiki/Tao_Te_Ching/IV. No mundo parcial ancestral chinês, pensar é agir. Reiterada a filosofia no T’ai Chi, a conexão ocorrida no Universo propicia a combinação de mente (li) e matéria (chi), “realidade última”, numa acomodação da unidade do Tao, à semelhança do “ancestral das dez-mil-coisas”: O Tao é um vaso vazio // Cujo uso nunca transborda. // Abismo! // Parece o ancestral das dez-mil-coisas! // Abranda o cume; Desfaz o emaranhado; Modera o brilho; Une o pó. // Profundo! // Parece existir algo! // Eu não sei de quem o Tao é filho. // Parece ser o anterior ao Ancestral. [235] Antropomorfismo para uma forma de pensamento em que elementos da natureza ou figuras de deuses alcançam características humanas. [236] O princípio da identidade, em Parménides, assumiu que todo o objeto é idêntico a si próprio. [237] Marina, p. 18. [238] Sartre, Jean-Paul. Une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl, l’intentionalité. La Nouvelle Revue Française, 1939, 304(1), 129-132. Na medida em que a consciência traduz uma aproximação às coisas, poderá “ser algo que não ela própria”. [239] Marina, p. 18. [240] Marina, p. 18. [241] Marina, p. 37. [242] Marina, p. 18 [243] Marina, p. 18. [244] Marina, p. 21. [245] Marina, p. 23. [246] Marina, p. 23. [247] Marina, p. 23. [248] Marina, p. 26. [249] Marina, p. 28. [250] Marina, p. 28. [251] Marina, p. 28. [252] Marina, p. 29. [253] Marina, p. 37. [254] Marina, p. 42. [255] Marina, p. 71. [256] Marina, p. 37. [257] Marina, p. 37. [258] Marina, p. 49. [259] Marina, p. 16. [260] Marina, pp. 16-18. [261] Marina, p. 49. Na obra publicada em 1922, Molly Bloom, cujo nome verdadeiro era Marion, é a personagem de Ulisses, de James Joyce, uma cantora de ópera, reconhecida em Dublin, na Irlanda. No monólogo, é colocado um “fluxo de consciência”, sem parágrafos e sem pontuação de vírgulas e travessões. [262] Marina, p. 55. [263] Marina, p. 55. [264] Marina, p. 95. [265] Marina, p. 61. [266] Marina, p. 95. [267] Casar não foi contemplado por Mozart, tendo vivido poucos mais anos que Jesus. Bresson utilizou a música de Mozart, em 1956, no filme “Um condenado à morte escapou”, passado durante a Segunda Guerra Mundial (1939 a 1945), nomeadamente no Kyrie, de Mozart (caso vocativo da palavra grega kyrios, para “senhor”). No Antigo Testamento, utilizou-se Kyrie na mais antiga tradução grega (Septuaginta), para traduzir a palavra hebraica Yahweh. No Novo Testamento, Kyrie foi o título dado a Cristo, como em Filipenses 2:11. [268] Marina, p. 86. [269] Marina, p. 86. [270] Marina, p. 79. [271] Marina, p. 95. [272] Marina, p. 79. [273] Marina, p. 79. [274] Marina, p. 55: “Ao não lugar me abraço como um náufrago”. No recuo do ser, não será “dispensado” o ser, no que me recorda o protagonista e narrador de Marina, encontrado num não lugar, sob um batimento da “pressão”. [275] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980, pp. 88-89. [276] A dobra é franzida. “Eu-ente”, um depósito material insolúvel, na dobra existe o “sedimento”, em Ensaios e conferências, de Heidegger. [277] No Romantismo, após o Século das Luzes (século XVIII), Hölderlin viveria já ao “cair da noite”. Teriam deixado o mundo três deuses “fraternos” – “Héracles, Dionísio e Cristo”. Acresce dizer, sem romantismo, que alcançada a “noite”, perdermos as referências-guias, as linhagens e ficamos sós. Deixa-se de referir a autoridade (“quem sabe”) e configura-se um destino nem certo, nem seguro. Na incerteza da errância, falharia o alvo que seja excessivamente arriscado. [278] Marina, p. 22, p. 35 e p. 98. [279] Marina, p. 76. [280] Marina, p. 78.
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Curry, Ann. "Bums, Poops, and Pees: A Scholarly Examination of Why Children Love and Adults Censor the Scatological in Children’s Books." Proceedings of the Annual Conference of CAIS / Actes du congrès annuel de l'ACSI, October 28, 2013. http://dx.doi.org/10.29173/cais633.

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Abstract:
Interviews with Canadian children’s public librarians reveal that they believe fiction and non-fiction scatological content has an important place in library collections, that children have an intellectual freedom right to access this material, and that adults have many misconceptions about the role of library collections and the development of juvenile humour.Des entrevues auprès de bibliothécaires jeunesses au Canada révèlent qu’ils croient que le contenu scatologique dans les documents de fiction et de non-fiction a sa place dans les collections en bibliothèque, que les enfants ont un droit intellectuel d’accès à ce type de matériel et que les adultes ont de nombreuses fausses idées quant au rôle des collections en bibliothèque et au développement d’un sens de l’humour juvénile.
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Rousseau, Phillip. "Sur les ondes transculturelles. La diversité (des expressions) culturelle(s) selon l’UNESCO." Intermédialités, no. 30-31 (July 10, 2018). http://dx.doi.org/10.7202/1049949ar.

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Abstract:
Cet article se penche sur le cas de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles adoptée par une très grande majorité à l’UNESCO en 2005. Les pages qui suivent sont consacrées aux manières dont cette convention, qui joua un rôle d’interface, devint opérationnelle à travers un parcours sinueux au sein des organisations internationales. Je chercherai à mettre à l’avant-plan les divers engrenages nécessaires (idéels et matériels) ayant facilité son assemblage (et son acceptation) et qui tentent d’assurer aujourd’hui son fonctionnement. Nous verrons comment le problème de l’occupation de l’espace médiatique (notamment le problème de l’hégémonie américaine) est à la source de la promotion d’une certaine esthétique de la diversité culturelle précisément accordée aux supports et capacités médiatiques contemporaines.

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