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Watelet, Hubert. "Stratégie d'investissement et imprévu en histoire économique. Le Grand-Hornu et la Société Générale de Belgique (1800-1850)." Histoire, économie et société 12, no. 1 (1993): 119–36. http://dx.doi.org/10.3406/hes.1993.1665.

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Landry, Yves, and Louis Pelletier. "D’ALLAIRE, Micheline, Les dots des religieuses au Canada français, 1639-1800. Étude économique et sociale. Montréal, Hurtubise HMH, coll. « Cahiers du Québec, Histoire », n 86, 1986. 244 p. 21,95 $." Revue d'histoire de l'Amérique française 41, no. 2 (1987): 253. http://dx.doi.org/10.7202/304557ar.

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Meybeck, Michel. "Le lac Pavin et ses voisins, histoire d’un patrimoine européen unique / The lake Pavin and its neighbours, history of an unique european heritage." Revue des sciences naturelles d'Auvergne 74, no. 1 (2010): 7–44. https://doi.org/10.3406/rsna.2010.1034.

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Abstract:
Parmi les 100 000 lacs européens seuls quelques dizaines sont d’origine volcanique, situés en Allemagne (Eifel), en Italie (Latium et Mont Vulture), en Islande et en Auvergne-Velay. Parmi ceux-ci les lacs du Plateau d’Auvergne, situés autour du Pavin, se distinguent par l’absence quasi-totale de pressions humaines, à l’exception de la contamination atmosphérique générale. Certains sont exceptionnels, voire uniques : par leur dynamique et leur chimie (Pavin), leur bilan hydrique et leur chimie (Godivelle d’En-Haut), leur morphologie et leur régulation thermique (Creux de Soucy), leur enregistrement du climat Holocène (Chambédaze). Dès le XIXe siècle, ces lacs ont attiré l’attention de grands naturalistes, dont H. Lecoq, E. A. Martel et A. Delebecque, le fondateur de la limnologie en France, qui en fit un inventaire scientifique complet en 1892. L’étude du Pavin s’est amplifiée à deux reprises. En 1951, Olivier décrit des anomalies négatives d’oxygène dissous dans les couches profondes du lac et, en 1962, Pelletier signale une couche sans oxygène permanente à partir de 70 m, le monimolimnion. Cet état, dit méromictique, n’est partagé que par quelques lacs en Europe. En 1986, le dégazage catastrophique du lac-maar Nyos, également méromictique, au Cameroun, établit, pour la première fois dans la communauté scientifique, le phénomène d’éruption limnique. Ce nouveau risque relance au Pavin l’étude géochimique des eaux profondes : on y décrit de nombreuses couches stratifiées, chacune de nature chimique et microbiologique unique. Le Pavin est devenu un observatoire naturel des processus d’oxydo-réduction en milieu aquatique, de renommée mondiale. Le débat sur le risque au Pavin est rouvert ici par l’hypothèse d’une activité passée de dégazage, sans doute étalée sur plusieurs siècles, basée sur : (i) les découvertes récentes de coulées de boues dans la Couze Pavin, ayant pu être déclenchées par des surverses du lac, et de glissements des sédiments sur les pentes du lac, (ii) la ré-analyse ici des descriptions de l’état du Pavin de 1566 à 1831, faites par des témoins locaux et retranscrites depuis le XVIe siècle par les géographes les plus fameux comme Sébastien Münster (1489-1552), appelée ici «récit du Tourbillon et de la tempête » , (iii) la similitude étroite entre cette dernière et l’observation des éruptions limniques de Nyos et de celles des lacs de Monticchio au Mont Vulture (1800-1820), reprises récemment par les volcanologues italiens. Enfin certains des premiers miracles (1557 à 1609) de Vassivière, située à 3 km du Pavin, sont mis en relation avec cette activité de dégazage. Quant à la légende de la Ville engloutie, qui prévaut aujourd’hui, elle serait plutôt liée aux objets cylindriques (meules ?) en pierre taillée trouvés sur le pourtour et dans le Pavin et retombés dans l’oubli. Les analyses préliminaires multicritères du Pavin et son voisinage (rareté limnologique, biodiversité, pression humaine, histoire des sciences, valeurs culturelle et économique des lacs ; valeur du paysage) mettent en évidence la valeur exceptionnelle de cet ensemble, déjà reconnue par l’Unesco en 1969, au titre du patrimoine naturel, dont la conservation concertée est indispensable.
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Dufresne, Sylvie. "Le Carnaval d’hiver de Montréal, 1803-1889." Urban History Review 11, no. 3 (October 25, 2013): 25–45. http://dx.doi.org/10.7202/1019013ar.

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Abstract:
A la fin du XIXe siècle, une nouvelle forme d’amusement public fait son apparition dans le domaine des loisirs montréalais : le carnaval d’hiver. Organisée par les clubs sportifs, encouragée par l’administration municipale et financée par l’entreprise privée, cette manifestation prend la forme d’une vaste campagne publicitaire et touristique dont l’objectif est, d’une part, de provoquer un regain de l’activité économique durant la saison morte en attirant les touristes, et d’autre part, de promouvoir les intérêts de la ville en faisant davantage connaître à l’étranger son potentiel commercial et industriel. Sous ses dehors heureux, le carnaval demeure profondément imprégné par les besoins, les aspirations et les antagonismes qui dominent l’histoire de Montréal au XIXe siècle. Ainsi, au travers les monuments et décorations transparaissent les valeurs culturelles de ceux qui les conçoivent, dans le choix des activités récréatives et mondaines s’impose le caractère bourgeois de la fête alors que dans les diverses formes de tensions s’affirme la complexité des relations entre les différents groupes d’intervenants. Afin de mieux cerner les caractéristiques sociales, culturelles et économiques du carnaval, le présent texte se propose d’examiner successivement quatre aspects de la manifestation soit ceux liés à son histoire, à ses publics, à ses organisateurs et à ses conflits; ce faisant, nous voulons démontrer que cet événement s’insère dans la dynamique sociale de l’époque et qu’il partage peu de points communs avec la fête véritablement « populaire ». C’est donc sous l’angle de l’analyse plus que de la simple évocation que nous abordons ce sujet trop longtemps confiné à la rubrique de la « petite histoire ».
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Magnusson, Lars. "Proto-Industrialisation, Culture et Tavernes en Suède (1800-1850)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 45, no. 1 (February 1990): 21–36. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1990.278820.

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Abstract:
En Europe occidentale, au cours de la période pré-industrielle, le Verlag-System se caractérise par une grande complexité des liaisons sociales. Marchands, maîtres artisans et ouvriers sont liés par un réseau de relations fondées sur la précarité du système économique, et en particulier son incapacité manifeste à contrôler le processus de production. Cette faiblesse contribue à expliquer en quoi les relations de crédit, les pratiques de paiement différé, de rétribution en nature, etc. prennent une importance stratégique pour les marchands entrepreneurs qui cherchent notamment à contrôler le flux de marchandises provenant des producteurs locaux, et la quantité des produits. Je montrerai dans cet article que ce réseau complexe de relations sociales est la clé de la culture artisanale qui prévaut à l'époque à l'intérieur du Verlag-System et qui se manifeste, entre autres, par des pratiques comme les lundis chômés, les escroqueries, la consommation d'alcool en société ou la fréquentation des tavernes.
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Vernet, Julien. "A Community of Resistance: The Organization of Protest in New Orleans against the U.S. Territorial Administration, 1803–1805." French Colonial History 11 (May 1, 2010): 47–70. http://dx.doi.org/10.2307/41938197.

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Abstract:
Abstract En 1804, le gouvernement qui est établi pour la Louisiane par un acte du Congrès est de nature entièrement nominative: le président peut choisir le gouvernement et un conseil législatif composé de treize hommes vivant sur le territoire. Inquiets de leur avenir sous un gouvernement américain, et craignant pour leurs intérêts économiques qui dépendent de l’esclavage, certains habitants de Louisiane ont alors organisé des mouvements de protestation pour demander un gouvernement représentatif. Contrairement à ce que pensent les fonctionnaires américains en Louisiane et à Washington, les Louisianais qui ont pris la tête du mouvement ont une bonne connaissance du gouvernement démocratique des États-Unis. Cet article est centré sur un exposé des arguments des protestataires, arguments qui prouvent que la Louisiane, qui avait des contacts commerciaux avec trois pays qui venaient de traverser des révolutions (les États-Unis, la France et Haïti), comptait parmi ses habitants des personnes qui y malgré leur attachement à l’esclavage, savaient évoquer les idées fondamentales du mouvement démocratique qui a transformé le monde atlantique.
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Bertaud, Jean-Paul. "Documents du Minutier central des notaires de Paris concernant l’histoire économique et sociale (1800-1830)." Annales historiques de la Révolution française, no. 324 (June 1, 2001): 202. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.1108.

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Gossage, Peter. "Les enfants abandonnés à Montréal au 19e siècle : la Crèche d’Youville des Soeurs Grises, 1820-1871." Revue d'histoire de l'Amérique française 40, no. 4 (August 20, 2008): 537–59. http://dx.doi.org/10.7202/304491ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article se fonde sur l'examen des archives de la Crèche d'Youville, tenue par les Soeurs Grises ; cette crèche était la plus importante au Québec au 19e siècle. L'institution, fondée en 1754, reçut plus de 15 000 enfants abandonnés entre 1801 et 1870. Il s'agissait le plus souvent de nouveau-nés, dont le taux de mortalité était extrêmement élevé. Le registre tenu par les soeurs indique qu'entre 80 % et 90 % des enfants déposés à la crèche y moururent. L'analyse comporte trois volets. En premier lieu, elle propose une série de définitions et de postulats pour l'étude de ce qui est essentiellement un sujet neuf en histoire canadienne. En second lieu, elle porte sur certaines caractéristiques des 2 385 enfants déposés à la crèche entre 1820 et 1840 : leur âge, leur provenance géographique et le sort qu'ils connurent à la crèche. La dernière partie tente de départager les influences démographiques et socio-économiques sur la courbe des admissions annuelles, qui connaît des hausses marquées entre 1820 et 1871. L'article vise enfin à comprendre le phénomène des abandons d'enfant, ses liens avec les taux d'illégitimité à Montréal et au Québec et sa place au sein des transformations démographiques et socio-économiques du 19e siècle.
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Stevens, Fred. "Anvers, le bagne oublié (1804-1816/1822). D’un bagne maritime à une entreprise économique." Revue du Nord 432, no. 4 (2019): 773. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.432.0773.

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Ouellet, Fernand. "Le mythe de " l'habitant sensible au marché ". Commentaires sur la controverse Le Goff Wallot et Paquet." Note critique 17, no. 1 (April 12, 2005): 115–32. http://dx.doi.org/10.7202/055711ar.

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Abstract:
Dans notre Histoire économique et sociale, livre dont certains aspects ont tellement accaparé l'attention et les énergies des professeurs Wallot et Paquet depuis 1966, nous avons défini l'habitant canadien-français comme un paysan traditionnel ayant, au début du Régime britannique, un niveau de pratiques agricoles inférieur à celui de la majorité des paysans européens. De 1760 à 1802, nous avons montré comment et à quelles conditions ce paysan s'était adapté positivement à l'ouverture d'un marché extérieur pour son blé.1 Il est évident que nous n'avons jamais, ainsi que les professeurs Wallot et Paquet le répètent d'un texte à l'autre, usant chaque fois d'une terminologie un peu différente, qualifié ce paysan du XVlIIe siècle de « morbidement conservateur ». Nous avons cependant montré qu'à partir du début du XIXe siècle, lorsque les conditions changent et lorsque se pose le défi de la révolution des techniques agricoles, le paysan, au lieu de transformer ses façons de faire, se durcit et résiste aux pressions en faveur de la rénovation du système agricole. Si notre « habitant » a subi un traumatisme, ce n'est pas au moment de la conquête mais au moment où le système agricole traditionnel ne peut plus fonctionner comme autrefois. Les professeurs Wallot et Paquet ont donc construit leur thèse de « l'habitant sensible au marché » pour répondre à une soi-disant définition de la mentalité paysanne comme « morbidement conservatrice ». De même nous avons situé l'émergence du nationalisme canadien-français dans le cadre d'un ensemble de transformations structurelles à la fois économiques, sociales et démographiques. Nous avons dit que ce nationalisme était né pour toutes sortes de raisons parmi les professions libérales et qu'il s'était rapidement diffusé dans les milieux paysans sous l'effet de l'apparition du problème agricole et des pressions démographiques. Encore là, les professeurs Wallot et Paquet ont réduit notre analyse à un simple rapport entre nationalisme et malaise agricole. À partir de cette lecture rapide, ils ont édifié leur remise en question de l'existence d'une crise agricole pendant la première décennie du XIXe siècle en utilisant quelques modèles qui naturellement s'appliquent! Leurs trop nombreux problèmes de lecture, tels ceux que nous avons mentionnés, ont contribué à obscurcir le débat et à le rendre presque stérile. L'intervention du professeur Le Goff dans cette discussion, à laquelle nous avions renoncé, a non seulement servi à la clarifier mais à attirer l'attention sur la vulnérabilité de la thèse Wallot et Paquet. La mise au point magistrale qu'il reçoit des deux auteurs ne fait à notre avis qu'accentuer l'extrême fragilité de leur interprétation. Ce regroupement des données de leurs précédents travaux met en relief les insuffisances de leurs modèles et même de leur information.
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Reis, João José. "La révolte haoussa de Bahia en 1807. Résistance et contrôle des esclaves au Brésil." Annales. Histoire, Sciences Sociales 61, no. 2 (April 2006): 383–418. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900001128.

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Abstract:
RésuméDéveloppé autour de la conspiration d’esclaves africains en 1807, à Bahia, cet article s’intéresse, d’une part, à la présence africaine en contexte brésilien, aux mentalités religieuses, aux symboles politiques, à l’organisation, aux objectifs et stratégies des rebelles ; d’autre part, il examine la politique de contrôle et de répression du gouvernement colonial. Dans la capitale et dans les régions contiguës aux plantations de canne à sucre, la chasse aux suspects mit à jour un monde complexe de relations sociales, économiques et rituelles, qui englobait les esclaves, les affranchis et les maîtres. On découvre que, à côté de la résistance plus ouverte de la révolte, fleurissait une résistance sourde, moléculaire, caractérisée par la lutte pour des espaces d’autonomie, par la formation de réseaux de solidarité et par la construction d’identités où, cependant, les conflits – tant verticaux qu’horizontaux – ne manquaient pas.
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HUBERMAN, MICHAEL. "Les origines de la révolution industrielle aux États‐Unis: entre économie marchande et capitalisme industriel, 1800–1850." Economic History Review 58, no. 2 (April 14, 2005): 422–23. http://dx.doi.org/10.1111/j.1468-0289.2005.00309_14.x.

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Chevalier, Jean-Joseph. "Les « Onze associés » de Cholet (1796-1806). Reconstructions économique et politique au lendemain de la guerre de Vendée." Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest 97, no. 3 (1990): 237–59. http://dx.doi.org/10.3406/abpo.1990.3358.

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Küçükkalay, Mesud. "Imports to Smyrna between 1794 and 1802: New Statistics from the Ottoman Sources." Journal of the Economic and Social History of the Orient 51, no. 3 (2008): 487–512. http://dx.doi.org/10.1163/156852008x317798.

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Abstract:
AbstractThis study is based on the foreign customs registers of the port of Smyrna in the Ottoman Archives of Istanbul. In this paper 115 ports, 112 ships, 2859 pieces of goods, and 1273 merchants have been investigated for the period 1794-1802. This information indicates that the transformation of the Ottoman Foreign trade at the turn of the eighteenth century was linked to the following economic trends of the second half of the eighteenth and the first half of the nineteenth centuries: the emergence of the European supremacy in naval transportation, a change in the terms of trade that was disadvantageous for the Ottomans, and a shift in the trade partners of the Ottoman Empire. Cette contribution exploite les données des registres de la douane ottomane du port de Smyrne, consignant les importations étrangères, conservés aux archives d'Istanbul. L'étude porte sur les cargaisons de 112 navires en provenance de 115 ports, 2859 pièces de marchandises et 1273 marchands dans les années 1794-1802. Les données témoignent que la transformation du commerce ottoman étranger en fin du XVIIIème siècle est liée aux tendances économiques de la seconde moitié du XVIIIème et de la première moitié du XIXème siècles. Elles reflètent la domination européenne dans le domaine du transport maritime, la modification des conditions commerciales au détriment des Ottomans et un changement des partenaires commerciaux de l'Empire.
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Maillard, Jacques. "Jean-Pascal Simonin, François Vatin (dir.), L’oeuvre multiple de Jules Dupuit (1804-1866). Calcul d’ingénieur, analyse économique et pensée sociale." Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, no. 110-2 (July 20, 2003): 254. http://dx.doi.org/10.4000/abpo.1454.

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Malekandathil, Pius. "Winds of Change and Links of Continuity: A Study on the Merchant Groups of Kerala and the Channels of their Trade, 1000-1800." Journal of the Economic and Social History of the Orient 50, no. 2-3 (2007): 259–86. http://dx.doi.org/10.1163/156852007781787422.

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Abstract:
AbstractThe diverse merchant groups that participated in maritime trade emanating from the various exchange centers of Kerala during this period acted within the framework of certain socioeconomic conditions that ensured a remarkable degree of continuity as far as their organizational arrangements and distribution networks were concerned.Familiarization with frequent socio-political changes in the maritime exchange centers of Kerala, which were then exposed to frequent expansionist moves of inland rulers in the initial phase and of European commercial powers in the later periods, gave a great amount of adaptability to the different mercantile groups involved in its maritime trade, capacitating them to develop multiple survival strategies. Different segments of traders, who were unified by the commonality of religion, as in the case of Muslim merchants, developed diverse but better strategies to overcome Portuguese control systems as well as to ensure continuity in trade. Différents groupes marchands étaient engagés, durant cette période, dans le commerce maritime entre les divers centres d'échanges du Kerala. Ils menaient leurs activités dans un cadre où certaines conditions socio-économiques assuraient à leurs réseaux d'organisation et de distribution un remarquable degré de continuité. Avec l'expérience acquise face aux changements fréquents intervenus dans les échanges maritimes entre les divers centres du Kerala à la suite des mouvements d'expansion des souverains de l'intérieur dans un premier temps, et des puissances européennes par la suite, ils surent s'adapter et développer de multiples stratégies de survie face aux divers groupes de marchands impliqués dans le commerce maritime. Unis par une religion commune, tels les marchands musulmans, ils surent par exemple contourner le contrôle mis en place par les Portugais, et garantir la continuité de leurs activités commerciales.
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Montel, Nathalie. "Jean-Pascal Simonin et François Vatin (éd.), L’œuvre multiple de Jules Dupuit (1804-1866). Calcul d’ingénieur, analyse économique et pensée sociale, Angers, Presses universitaires d’Angers, 2002, 252 p." Revue d'histoire du XIXe siècle, no. 26-27 (December 1, 2003): 388–90. http://dx.doi.org/10.4000/rh19.767.

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Minard, Philippe. "Pierre Gervais Les origines de la révolution industrielle aux États-Unis. Entre économie marchande et capitalisme industriel, 1800-1850 Paris, Éditions de l’EHESS, 2004, 347 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 62, no. 3 (June 2007): 738–41. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900029917.

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Maldavsky, Aliocha. "Financiar la cristiandad hispanoamericana. Inversiones laicas en las instituciones religiosas en los Andes (s. XVI y XVII)." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 114. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.06.

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Abstract:
RESUMENEl objetivo de este artículo es reflexionar sobre los mecanismos de financiación y de control de las instituciones religiosas por los laicos en las primeras décadas de la conquista y colonización de Hispanoamérica. Investigar sobre la inversión laica en lo sagrado supone en un primer lugar aclarar la historiografía sobre laicos, religión y dinero en las sociedades de Antiguo Régimen y su trasposición en América, planteando una mirada desde el punto de vista de las motivaciones múltiples de los actores seglares. A través del ejemplo de restituciones, donaciones y legados en losAndes, se explora el papel de los laicos españoles, y también de las poblaciones indígenas, en el establecimiento de la densa red de instituciones católicas que se construye entonces. La propuesta postula el protagonismo de actores laicos en la construcción de un espacio cristiano en los Andes peruanos en el siglo XVI y principios del XVII, donde la inversión económica permite contribuir a la transición de una sociedad de guerra y conquista a una sociedad corporativa pacificada.PALABRAS CLAVE: Hispanoamérica-Andes, religión, economía, encomienda, siglos XVI y XVII.ABSTRACTThis article aims to reflect on the mechanisms of financing and control of religious institutions by the laity in the first decades of the conquest and colonization of Spanish America. Investigating lay investment in the sacred sphere means first of all to clarifying historiography on laity, religion and money within Ancien Régime societies and their transposition to America, taking into account the multiple motivations of secular actors. The example of restitutions, donations and legacies inthe Andes enables us to explore the role of the Spanish laity and indigenous populations in the establishment of the dense network of Catholic institutions that was established during this period. The proposal postulates the role of lay actors in the construction of a Christian space in the Peruvian Andes in the sixteenth and early seventeenth centuries, when economic investment contributed to the transition from a society of war and conquest to a pacified, corporate society.KEY WORDS: Hispanic America-Andes, religion, economics, encomienda, 16th and 17th centuries. BIBLIOGRAFIAAbercrombie, T., “Tributes to Bad Conscience: Charity, Restitution, and Inheritance in Cacique and Encomendero Testaments of 16th-Century Charcas”, en Kellogg, S. y Restall, M. 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Légaré, Jacques, André LaRose, and Raymond Roy. "Reconstitution de la population canadienne au XVIIe siècle : méthodes et bilan d'une recherche." Recherches sociographiques 14, no. 3 (April 12, 2005): 383–400. http://dx.doi.org/10.7202/055628ar.

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Abstract:
Dans le domaine des sciences de l'homme, la démographie historique est l'une des préoccupations les plus neuves. Bien que l'intérêt pour les populations du passé ne date pas d'hier — les généalogistes et les historiens ont précédé les démographes sur ce terrain — l'analyse scientifique des phénomènes démographiques de l'ère préstatistique remonte à peine à l'après-guerre. C'est en 1954 que parut le premier ouvrage de démographie historique portant sur la population canadienne.1 L'auteur, le démographe Jacques Henripin, y montra pour la première fois tout le parti qu'on pouvait tirer des généalogies et des registres paroissiaux. Déjà au XIXe siècle, l'abbé Cyprien Tanguay avait su profiter de la qualité de ces derniers pour faire son Dictionnaire généalogique des familles canadiennes. Une utilisation ingénieuse de cet ouvrage permit à Henripin de soulever le voile sur la population du XVIIIe siècle. Il révélait ainsi au monde entier l'intérêt de cette petite société dont il avait pu mesurer la natalité, la nuptialité et la fécondité. Depuis ce temps, les études de démographie historique se sont multipliées, en Europe surtout et en France en particulier. À côté des monographies de paroisses, fleurissent aujourd'hui des travaux sur les populations urbaines ou régionales et les groupes sociaux, d'autres sur des phénomènes tels la fécondité, la limitation des naissances et les migrations, d'autres encore sur des institutions comme la famille et le ménage.2 Deux articles récents, l'un de l'historien Pierre Goubert et l'autre du démographe Louis Henry, soulignent d'ailleurs les rapports fructueux entretenus en France par les historiens et les démographes depuis vingt-cinq ans et l'enrichissement apporté aux deux parties par cette collaboration interdisciplinaire. Au Québec, c'est à Hubert Charbonneau que revient l'honneur d'avoir introduit la démographie historique à l'université. Pour enrichir le cours d'histoire de la population canadienne qu'il donnait au Département de démographie de l'Université de Montréal, Charbonneau se pencha sur le recensement de 1666 dont il souligna le tricentenaire dans une note de recherche. À la suggestion de son collègue Jacques Légaré et avec la collaboration de celui-ci, il entreprit ensuite le traitement par ordinateur des trois recensements nominatifs du Canada au XVIIe siècle. Deux historiens et un économiste s'intéressèrent à cette initiative et les discussions entre les cinq chercheurs aboutirent à l'élaboration d'un projet de recherche. À l'origine, ce projet impliquait la constitution d'une banque de données démographiques et voulait déboucher sur des réponses précises à de nombreuses questions d'ordre démographique, économique et historique. Il demandait qu'on définisse des techniques permettant la mise sur pied de la banque de données et qu'on utilise les renseignements ainsi recueillis pour vérifier certaines hypothèses, avant d'aboutir à une étude d'ensemble de la population canadienne ayant vécu au Québec, depuis le XVIIe siècle jusqu'au milieu du XIXe. Devant l'impossibilité d'atteindre à court terme les objectifs fixés, les trois collaborateurs non-démographes ont été amenés, en raison de leurs intérêts scientifiques, à remettre à plus tard leur éventuelle collaboration. Avec le temps cependant, trois nouveaux associés se sont joints aux promoteurs du projet: un démographe, un informaticien et un historien. Les travaux dans lesquels l'équipe est engagée — constitution d'une banque de données, élaboration de méthodes de traitement originales pour ces données et analyse démographique proprement dite — demandent en effet de longues années de travail et doivent être envisagés sous plusieurs angles à la fois. Après six ans d'existence, les objectifs de notre programme de recherche sont restés les mêmes, soit le dépouillement et l'exploitation de tous les registres paroissiaux du Québec antérieurs à 1850. Dans une première étape, toutefois, nous nous concentrons sur la période avant 1765, débordant ainsi légèrement le régime français à cause des sources et de l'évolution démographique. Pourquoi nos efforts vont-ils d'abord aux XVIIe et XVIIIe siècles et non aux XIXe? C'est qu'en travaillant sur cette époque éloignée, la probabilité est grande que la conjugaison de plusieurs facteurs, dont l'existence et la qualité des sources dès le XVIIe siècle, les effectifs peu considérables de la population sous le régime français et la possibilité de travailler sur l'ensemble des habitants d'un pays depuis ses origines, conduise une équipe de recherche à un optimum de rendement. Commencer les dépouillements par les documents de 1760 ou de 1800 nous aurait par ailleurs pénalisés en nous privant de la connaissance de la population de base et en nous amenant à manipuler dès le départ des masses considérables de données. L'originalité de notre projet est de vouloir mettre au point une fiche propre à chaque individu, qui soit élaborée par l'ordinateur. Sur cette fiche apparaîtra la liste des événements démographiques auxquels un individu a participé, soit comme sujet d'acte soit comme témoin ; cette liste sera complétée par un certain nombre de caractéristiques provenant des sources exploitées : sexe, âge, état matrimonial, profession, relation de parenté, lieux de résidence et d'origine. La somme de ces fiches biographiques permettra de constituer sur bande magnétique un registre de population fait de dossiers individuels. C'est ce registre qui permettra de reconstituer la population de l'ensemble du territoire étudié à une date donnée. L'expérience nous a montré toutefois que l'élaboration d'un tel registre ne va pas sans une opération préalable qui consiste à situer un individu d'abord par rapport à ses parents et ensuite, par rapport à son conjoint, opération qui fait partie de ce qu'on appelle en démographie historique la « reconstitution des familles ». Or, comme nous travaillons sur une population qui compte au-delà de 4000 personnes au recensement de 1666, environ 20000 en 1700 et 200000 un siècle plus tard, il ne nous est plus possible de recourir aux méthodes manuelles de reconstitution des familles. Nous devons pour cela utiliser l'ordinateur, ce qui nous amène là encore à des innovations méthodologiques, puisque la reconstitution automatique des familles nous entraîne dans le couplage de l'information. La mise sur pied d'un registre de population et le couplage automatique de l'information sont nos objectifs les plus immédiats ; on ne saurait cependant les atteindre sans une longue et patiente collecte des données exécutée selon des méthodes rigoureuses. Ces deux pôles d'activité de notre programme de recherche déterminent le plan de cet exposé où nous montrons comment, après plus de six ans de labeur, a évolué notre recherche, quel est le travail accompli, celui qui est en cours et celui qui reste à faire.
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Mendels, Franklin. "Essai sur la révolution industrielle en Belgique, 1770–1847. By Pierre Lebrun, Marinette Bruwier, Jan Dhondt, Georges Hansotte. Historie Quantitative et Dévelopement de la Belgique, Pierre Lebrun, ed., Tome II, vol. 1, La révolution industrielle, 2nd edition. Brussels; Académie Royale de Belgique, 1981. - Les débuts de la machine à vapeur dans l'industrie belge, 1800–1850. By Anne van Neck. Historie Quantitative et Dévelopment de la Belgique, Pierre Lebrun, ed., Tome II, Vol. 2, La révolution industrielle. Brussels: Académie Royale de Belgique, 1979. - La métallurgie et le commerce international du fer dans les Pays-Bas autrichiens et la Principauté de Liège pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle. By Georges Hansotte. Historie Quantitative et Développement de la Belgique, Pierre Lebrun, ed., Tome II, Vol. 3, La révolution industrielle. Brussels: Académie Royale de Belgique, 1980. - Le commerce extérieur de la Belgique, 1830–1913–1939: Présentation critique des données statistiques. By D. Degrève. Histoire Quantitative et Développement de la Belgique, Pierre Lebrun, ed. Tome VI, vol. 1a and b, Les relations internationales belges 1830–1913. Brussels: Académie Royale de Belgique, 1982. - Le pouvoir central belge et ses comptes économiques, 1830–1913. By Joseph Pirard. Histoire Quantitative et Développement de la Belgique, Pierre Lebrun, ed. Tome VI, vol. la, L'état et les finances publiques belges. Brussels: Académie Royale de Belgique, 1980." Journal of Economic History 46, no. 4 (December 1986): 1047–49. http://dx.doi.org/10.1017/s0022050700050749.

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Freda, Lou. "Lou Freda, Danièle Bussy Genevois y Gérard Brey, pres., Hommage à Brigitte Magnien et à Michel Ralle. Les Cahiers de civilisation espagnole contemporaine (de 1808 au temps présent). Histoire politique, économique, sociale et culturelle. Angers: Hors série." Historiografías, January 5, 2022, 150–57. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_historiografias/hrht.2021226362.

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Béchacq, Dimitri, and Hadrien Munier. "Vodou." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.040.

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Abstract:
Le vodou haïtien compte parmi les religions issues des cultures afro-américaines telles que les différentes formes de candomblé au Brésil, la santería et le palo monte à Cuba ou encore le culte shango à Trinidad. Le vodou partage certains aspects avec ces autres religions nées de la traite et de l'esclavage des Africains, façonné par l'histoire singulière de la société dans laquelle il est s'est formé. Tout au long de l’histoire haïtienne, le vodou a été marqué par des rapports étroits avec le champ politique et religieux. Entre mythe et histoire, à la fois réunion politique et religieuse, la cérémonie vodou du Bois-Caïman est passée à la postérité comme l’événement initiateur de l’indépendance d’Haïti proclamée le 1er janvier 1804. Nées dans le contexte esclavagiste de la colonie française de Saint-Domingue, les pratiques alors assimilées au vodou (fabrication de poisons, danses, assemblées nocturnes, etc.) étaient interdites. Au XIXe siècle, différentes constitutions privilégièrent le catholicisme au détriment du vodou jusqu’au Concordat de 1860 entre Haïti et le Vatican. Si certains dirigeants haïtiens comptaient dans leurs réseaux des serviteurs du culte, d’autres soutenaient les campagnes antisuperstitieuses menées par le clergé. L’Occupation américaine d’Haïti (1915-1934) provoqua un sursaut nationaliste : l’indigénisme et le mouvement ethnologique et folklorique placèrent alors les classes populaires et le vodou au centre d’une refondation culturelle, ce qui fut ensuite récupéré par François Duvalier avec le noirisme (Béchacq 2014a). En 1986, des officiants et des temples vodou furent attaqués à la suite de l’exil de Jean-Claude Duvalier du fait de leur relation étroite, avérée ou supposée, avec la dictature. Deux premières associations de défense et de promotion du culte, Zantray et Bodè Nasyonal furent crées. Un mouvement d’institutionnalisation du vodou se développa dans les années 1990 par des militants souhaitant représenter les pratiquants dans les instances publiques nationales. En 2003, le culte fut reconnu par décret comme « religion à part entière » et en 2008, une fédération d’associations vodou désigna son représentant, Max Beauvoir, comme « Guide Suprême du Vodou » et défenseur du culte contre ses détracteurs (Béchacq 2014b). Le catholicisme, les églises protestantes et plus récemment l’islam entretiennent des relations complexes avec le vodou. Son influence est combattue par les autorités religieuses, notamment protestantes, qui appellent à la lutte contre le vodou, poursuivant ainsi l’œuvre des campagnes antisuperstitieuses catholiques (fin XIXe-milieu XXe siècles). Parallèlement, plusieurs religions peuvent être représentées dans une même famille ; l’adhésion au vodou, comme aux autres cultes, peut constituer une étape dans un parcours religieux, d’autant qu’il existe des similitudes entre vodou et pentecôtisme (glossolalie, transe, etc.). Le vodou est réputé pour être fréquenté majoritairement par des femmes, comme espace de tolérance pour les homosexuels et il existe plusieurs niveaux de rapport au vodou, du client non initié au pratiquant assidu. Si ce culte a pendant longtemps symbolisé la bipolarité socioculturelle haïtienne (pauvres/riches, noirs/mulâtres, campagne/ville, créole/français, etc.), toutes les couches sociales sont aujourd’hui représentées dans le vodou. Les serviteurs sont organisés en familles spirituelles sous l'autorité charismatique d'un oungan ou d'une manbo et liés par une filiation initiatique. De ce fait, et par son mode de transmission principalement oral, le vodou haïtien connaît une grande variabilité d'un groupe à l'autre. Une diversité régionale du vodou se manifeste dans les identités des esprits, les rites, les chants, les rythmes musicaux, la liturgie, l’initiation et dans le rapport à la possession, certains rituels régionaux valorisant des transes plus expressives. Enfin, selon qu'il soit pratiqué en ville, et surtout à Port-au-Prince, ou en milieu rural, lieu de nombreux pèlerinages, le vodou affiche des différences importantes affectant le rapport aux entités, la sophistication des cérémonies ou le rapport à l'environnement. Cette diversité amène certains auteurs à considérer qu'il existe plusieurs vodou (Kerboull 1973). L’essentiel de la liturgie est issu de rites de possessions africains, origine que l’on retrouve dans les noms des lwa (Legba, Danbala, Ogou…), dans ceux de leurs familles ou nanchon (nation), ou encore dans ceux des rituels (Rada, Nago, Kongo...) (Métraux 1958). Pendant la période coloniale, les pratiquants – principalement des esclaves mais également, à différents degrés d’implication, des colons ou des « libres de couleur » – se sont aussi appropriés le catholicisme populaire européen par l'usage des chromolithographies et des prières. Les deux autres influences sont la magie – européenne, diffusée par la circulation de livres, et plusieurs variantes africaines – et la franc-maçonnerie. Par ailleurs, le contact des esclaves avec les premiers habitants de l’île et l’usage d’artefacts taïno (haches polies, céramiques) dans le vodou étant avérés, certains intellectuels y voient la preuve d’une influence sur le culte. L'ensemble de ces influences, sans cesse retravaillées par les dynamiques sociales, a fait du vodou une « religion vivante » (Bastide 1996) parmi les religions afro-américaines. Le vodou fait partie intégrante du pluralisme médical haïtien, aux côtés de la phytothérapie populaire, des doktè fey (docteurs feuilles), de la biomédecine et de certaines églises évangéliques (Brodwin 1996 ; Vonarx 2011 ; Benoît 2015). Pour effectuer leurs trètman (traitements), les praticiens vodou recourent systématiquement à leurs entités, dépositaires du savoir thérapeutique. Les rituels de guérison et les séances de consultation prennent en charge les maux physiques, relationnels et spirituels et comprennent des bains, des prières, des boissons et/ou la confection d'objets magiques (Munier 2013). Ils sollicitent parfois des lieux spécifiques (église, carrefour, cimetière) et des éléments de l’espace naturel (rivière, mer, arbre, grotte). Ces pratiques visent à intégrer le patient dans des collectifs composés d'entités et de pratiquants, reliés entre eux par des échanges mutuels témoignant de la dimension holistique du vodou qui associe étroitement médecine et religion, environnement social et naturel. La diaspora haïtienne – en Amérique du Nord, dans la Caraïbe et en Europe francophone – s’est formée dans les années 1960 et est actuellement estimée à 2 millions de personnes. Ces communautés d’Haïtiens, leurs descendants et leur pays d’origine sont reliés par des réseaux familiaux, économiques, politiques et religieux, dont ceux du vodou (Richman 2005). Ce dernier s’est adapté à de nouveaux environnements urbains et participe de cette dynamique transnationale (Brown Mac Carthey 2001) ; Béchacq 2012). Du fait de son fort ancrage dans la culture haïtienne et de son absence de prosélytisme, le vodou est surtout pratiqué dans ces nouveaux espaces par des Haïtiens et leurs descendants, ainsi que par des Caribéens et des Africains-Américains mais assez peu par d'autres populations.
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Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

Full text
Abstract:
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
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