Academic literature on the topic 'Histoire diplomatique – Angleterre (GB) – 17e siècle'

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Dissertations / Theses on the topic "Histoire diplomatique – Angleterre (GB) – 17e siècle":

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Lemée, Emmanuel. "Devenir prince : James Stuart, réseaux européens et ambitions britanniques (1660-1685)." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2021. http://www.theses.fr/2021SORUL097.

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Abstract:
Cette thèse étudie le rôle politique et social de frère d’un roi européen de l’époque moderne à travers le cas de James Stuart, duc d’York et d’Albany, frère du roi d’Angleterre Charles II. Prince pluriel, amené à se réinventer et à évoluer au fil des crises en se fondant sur son expérience et ses prédilections personnelles, James Stuart demeura toujours le fidèle second du souverain. Les frères Stuart se partagèrent les tâches : à Charles le soin de gouverner l’Angleterre, cœur politique et économique des îles britanniques, à James celui d’entretenir la fidélité des marges sociales et géographiques du royaume. Il y parvint en s’imposant progressivement comme le principal patron des îles britanniques et la clé de voûte de la diplomatie anglaise. À la fin années 1670, il était ainsi devenu responsable de l’essentiel des échanges avec les puissances catholiques du continent européen, tout en contrôlant les nominations au sein de l’armée et de la Royal Navy. Son rôle informel, qui faisait de lui l’un des principaux acteurs de la guerre comme de la paix, lui permit non seulement de se maintenir à la cour d’Angleterre malgré les oppositions croissantes, mais de devenir de plus en plus puissant et irremplaçable. Ce faisant, il contribua peu à peu à l’intégration des marges britanniques, accélérant le rapprochement des Couronnes d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande. Ce rôle de prince, conçu pour projeter une image publique valorisante, conduisit cependant à faire naître la légende noire de James Stuart, perçu par les Anglais comme un prince belliqueux, corrompu et inquiétant
This thesis studies the political and social function of the brother to an early modern European King through the case study of James Stuart, Duke of York and Albany, brother to Charles II of England. A multifaceted prince, he had to reinvent himself and evolve to overcome multiple crises while staying the king’s loyal second. He did so using his own experience and personal preferences, gradually shaping the function of brother to the King to mirror his identity. The Stuart brothers shared the Crown’s burden: Charles ruled England, the political and economic heart of the British Isles, while James managed the geographical and social fringes of the realm, ensuring their fidelity to the Crown. He did so by becoming gradually the main patron in the British Isles and the cornerstone of English diplomacy. By the end of the 1670’s, he was overseeing the essential part of the negotiations with the Catholic powers in Europe, while managing most of the appointments in the King’s army and the Royal Navy. His function, while informal, made him one of the main promoters of war and peace alike. This enabled him not only to keep his position at court, despite growing oppositions, but also to become increasingly powerful and irreplaceable. In doing so, he helped gradually integrate the British fringes, speeding up the unification of England, Scotland, and Ireland. This princely role, which was meant to broadcast an attractive public image, instead made James Stuart appear to the English population as a warlike, corrupted, and ominous prince, thus creating the black legend attached to him
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Carre, Christine. "La peste à Londres en 1665." Paris 6, 1989. http://www.theses.fr/1989PA060114.

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Reiplinger, Charles. "Naissance de la constitution écrite : la constitution des corps politiques en Angleterre et en Amérique du Nord aux seizième et dix-septième siècles." Paris 2, 2004. http://www.theses.fr/2004PA020074.

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Abstract:
Cette étude est consacrée à la naissance de l'idée de constitution écrite, en Angleterre et Amérique du Nord au seizième et dix-septième siècles. Partant de la Réforme en Angleterre, il est montré que la théologie congrégationaliste, branche du calvinisme anglais, en développant l'idée que l'église est un corps politique fondé par contrat et doté d'une constitution, est une source directe de l'idée de loi fondamentale écrite. Cette idée est conjuguée en Nouvelle-Angleterre au droit anglais, spécifiquement des corporations, qui fait des colonies des bodies politic, fondés et régis par des chartes d'incorporation. Ces influences causent le Mayflower Compact, contrat social qui fonde New Plymouth en 1620. Les Fundamental Orders du Connecticut en 1639 ajoutent au contrat social l'idée d'une loi fondamentale écrite, qui établit et limite les attributions de l'autorité politique. Cette idée est prolongée en 1643 par les Articles de confédération des colonies unies de la Nouvelle-Angleterre
This study is dedicated to the birth of the idea of a written constitution, in England and North America, during the sixteenth and seventeenth centuries. Taking as starting point Reformation in England, it shows that congregationalist theology, a branch of english calvinism, by developping the idea that the church is a body politic created by a covenant and given a constitution, is a direct source of the idea of a written fundamental law. This idea is joined in New England by the english law, specificly corporate law, which makes the colonies bodies politic, based upon and ruled by a charter of incorporation. These influences lead to the Mayflower Compact, a social contract by which New Plymouth is founded in 1620. The Fundamental Orders of Connecticut in 1639 add to the social contract the idea of a written fundamental law, meant to establish and limit the powers of political authority. This idea is extended in 1643 by the adoption of the Articles of Confederation of the United Colonies of New England
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Juillet, Garzón Sabrina. ""Unis par la couronne, indépendants par l'Eglise" : la confessionnalisation en Angleterre et en Ecosse, 1603-1707." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2009. http://www.theses.fr/2009VERS013S.

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Abstract:
Le XVIIe siècle a vu les choix confessionnels des chrétiens d'Europe se confirmer. Ce phénomène s'est produit au travers du processus de confessionnalisation qui fut à la fois européen, national et individuel. L'Angleterre et l'Ecosse ont profondément subi ce processus. Celui-ci y fut le fruit et le moteur d'une affirmation identitaire qui a permis aux deux nations de se différencier au sein de l'union des couronnes, à partir de 1603, et plus encore lors de l'Union de 1707. Cette thèse a pour ambition de comprendre ce qui a motivé cette affirmation à la fois identitaire et confessionnelle et ce qu'elle reflète des identités anglaise, écossaise et britannique. En un siècle, les Eglises nationales de l'Ile sont devenues les porte-parole et les garantes de l'indépendance culturelle de leur nation. L'indépendance des Eglises des royaumes unis s'est finalement imposée comme une nécessité, une condition sine qua non dans la construction de la Grande-Bretagne alors que durant la première moitié du XVIIe siècle, les protestants anglais et écossais ont plutôt cru en l'uniformité, voire en l'union des Eglises. Les contextes nationaux et européens, les intérêts de la couronne et des factions la soutenant ou s'y opposant ont progressivement esquissé un nouveau paysage religieux sur l'Ile, permettant la naissance d'une unité protestante à visages multiples, reflet de ce qu'est encore aujourd'hui la Grande-Bretagne: un pays aux nations attachées à préserver leurs spécificités
The 17th century witnessed the confirmation of the confessional choices of the European Christians. This phenomenon occurred through the European, national and individual process of confessionalisation. England and Scotland experienced this process as much as the rest of Europe. It became there the consequence and the motivation of the affirmation of national identities which enabled the two nations to differentiate from each other within the union of the crowns, from 1603, and during the organisation of the Union of 1707. The aim of this thesis is to understand what motivated these identity and confessional affirmations and what it reflected of the English, Scottish and British identities. Within a century, the national Churches of the Isle became the representatives and the warrants of the cultural independence of their nations. The independence of the Churches of the united kingdoms was eventually recognised as a necessity in the shaping of Great Britain whereas during the first half of the 17th century, the English and Scottish Protestants believed in Church uniformity, if not in Church union. The national and European contexts, the crown's interests or those of its supporters and opponents, progressively shaped a new religious landscape on the Isle. It led to the birth of a new multi confessional Protestant unity which still reflects today what Great Britain is: a country made of nations all determined to keep their specificities
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Lobry, Bellamy Stéphanie. "L'échec du règne de Jacques II en Angleterre (1688) et en Irlande (1690) : analyse d'une personnalité mise en contexte." Phd thesis, Université de la Sorbonne nouvelle - Paris III, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00951750.

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Abstract:
Ce travail de recherche explore le rôle de la personnalité de Jacques II dans son insuccès en tant que roi en Angleterre en 1688 et en Irlande en 1690. Il a pour objectif de montrer que son échec dans les deux pays n'est pas uniquement le résultat de situations religieuse, politique et économique très complexes qui sont déstabilisées à l'arrivée d'un roi catholique sur le trône, mais aussi le résultat d'une personnalité inapte aux fonctions royales. Dans un premier temps, nous avons analysé le contexte religieux, politique et économique dans lequel s'inscrit le début du règne de Jacques II en 1685. Notre objectif était de comprendre la nature des enjeux et des tensions dans les deux pays avant son arrivée au pouvoir pour déterminer à quel point sa gouvernance était vouée, ou non, à un échec. Malgré l'existence de nombreux facteurs indéniablement défavorables, la présence d'éléments tout aussi importants permettant de stabiliser et même de renforcer son autorité et ses soutiens en début de règne nous a montré que les raisons de l'échec de Jacques II doivent aussi trouver des réponses dans la psychologie du personnage. Par conséquent, nous avons entrepris une analyse psychologique de Jacques II pour définir ses traits les plus caractéristiques et comprendre si ces derniers le rendaient apte à assumer la fonction royale. Nous avons découvert que l'échec du règne de Jacques II est en grande partie celui d'un homme qui, non seulement n'était pas fait pour être roi mais, de surcroît, était enfermé dans des principes personnels très rigides qui plaçaient ses décisions presque systématiquement en décalage avec les attentes de ses alliés principaux en Angleterre et en Irlande.
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Berget, Claire. "Les représentations et l'imaginaire de la viole de gambe en Angleterre aux dix-septième et dix-huitième siècles." Thesis, Tours, 2013. http://www.theses.fr/2013TOUR2031.

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Abstract:
La viole de gambe en Angleterre connaît un destin singulier, passant d’une popularité incontestable dans l’aristocratie anglaise au dix-septième siècle à un rejet d’une intensité croissante au fil du dix-huitième siècle. Les représentations de l’instrument dans des documents périphériques à la sphère musicale – lettres, poèmes, peintures – trahissent la complexité de l’imaginaire qui entoure la viole. Dans sa période faste, la viole génère simultanément des images lubriques de corps sensuel, et d’instrument noble en raison de la mélancolie supposée de son timbre. Elle est alors étroitement associée au sentiment national anglais, dont elle cristalliserait la spécificité. Cependant, sa popularité décroissante auprès de l’élite voit la prolifération d’images négatives : vieillesse et stérilité semblent désormais être l’apanage de la viole, que l’on met également à distance idéologiquement comme instrument étranger. La viole réapparaît dans la deuxième moitié du dix-huitième siècle au moment où le culte de la sensibilité se développe : brièvement, son archaïsme et son timbre unique donnent voix à l’individu et ses émotions. La viole, dans le paradigme cyclique de la Renaissance tout comme dans le paradigme linéaire et discursif des Lumières, parvient à s’incarner selon des modalités esthétiques et idéologiques très différentes dans l’imaginaire anglais
In England, the viola da gamba has a singular destiny, from an incontestable popularity with the aristocracy in the seventeenth century to a rejection of increasing intensity over the eighteenth century. The representations of the instrument in documents peripheral to the musical sphere, such as letters, poems or paintings, reveal the complexity of the imaginaire surrounding the instrument. Although, in prosperous times, the viol conjures up lewd images of a sensual body, it is simultaneously associated with ideals of nobility through the supposed melancholy of its tone. At that period, it is also felt to be closely connected to the English national identity, whose specificity it appears to crystallise. However, its dwindling popularity with the elite leads to the proliferation of negative images. Senescence and sterility are increasingly associated with the viol, while ideologically, the instrument is spurned as non- English. The brief resurgence of the viol in the second half of the eighteenth century is brought on by the development of the cult of sensibility. Individual emotions are voiced through its perceived archaism and unique tone. The viola da gamba, both in the circular paradigm of the Renaissance, and in the linear and discursive paradigm of the Enlightenment, successfully embodies contrasting aesthetic and ideological imaginaires
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Philamant, Luc. "Images du monde rural à l'âge de Shakespeare : mythes et réalités." Montpellier 3, 2002. http://www.theses.fr/2002MON30050.

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Abstract:
Méprisé, exploité, craint, idéalisé, le monde rural n'a jamais laissé les écrivains indifférents. Il a été source d'inspiration pour le poète et le dramaturge et objet d'étude pour l'historien. Cette étude se propose d'explorer la représentation dans la littérature de la société agraire à l'époque de Shakespeare au sens large, c'est à dire pendant les règnes d'Elisabeth 1ère et Jacques 1er. Comme les problèmes agraires des XVIème et XVIIème siècles ont leurs racines dans le passé, nous explorerons également les rapports qui existent avec les époques antérieures. Par monde rural, nous entendrons les laboureurs, les bergers et les propriétaires terriens, et tous ceux qui exercent une activité para-agricole ou vivent au rythme des saisons.
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Ducrocq, Myriam-Isabelle. "Le réalisme dans la pensée politique anglaise de la Grande Rébellion à la Glorieuse Révolution : à travers les oeuvres de Thomas Hobbes, James Harrington, Algernon Sydney et John Locke." Paris 3, 2007. http://www.theses.fr/2007PA030153.

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Abstract:
Cette thèse se propose d’opérer un rapprochement entre quatre penseurs emblématiques de la période qui va de la Grande Rébellion à la Glorieuse Révolution en Angleterre au dix-septième siècle : Thomas Hobbes, James Harrington, Algernon Sydney et John Locke. Ces penseurs au statut et à la postérité différents se caractérisent par de fortes divergences théoriques : théoricien de l’absolutisme pour Hobbes, partisans d’un régime de représentation populaire pour Harrington et Sydney, tenant d’une monarchie parlementaire pour Locke. Malgré ces divergences, on a pu dégager une perspective commune chez ces auteurs, marquée par le souci de prendre en compte les conditions réelles dans lesquelles s’exerce le pouvoir politique. Cette perspective commune, qualifiée de réaliste, s’articule autour de trois grands axes : tout d’abord elle se signale par une volonté de fonder l’organisation politique dans les principes de nature, tels qu’ils sont découverts par un examen historique des sociétés humaines, ainsi que par une démarche rationnelle ; elle les conduit ensuite à rechercher les conditions optimales de préservation de la République ainsi fondée ; enfin, elle les entraîne à prendre en compte l’intérêt de la République dans le traitement d’un certain nombre de questions politiques fondamentales qui se posaient alors. On conclura en établissant que ce réalisme les pousse à formuler des propositions similaires sur la nature et l’étendue du pouvoir qui doit être confié aux gouvernants, quel que soit le régime envisagé
The purport of this doctoral thesis is to bring in perspective four emblematic thinkers of the period of English history extending between The Great Rebellion and the Glorious Revolution : Thomas Hobbes, John Harrington, Algernon Sydney and John Locke. These authors, whose respective status and posterity widely differ, are divided by strong ideological differences : Hobbes was a proponent of absolutist government, Harrington and Sidney inclined in favour of a regime based on popular representation and John Locke was a partisan of parliamentary monarchy. Whatever their differences, these philosophers share a common attitude that consists in taking into account the real conditions presiding over the exercise of political power. This common perspective which has been described as political realism is founded on three main axes : the first one is the will to choose a foundation of all political organisations the principles of nature as evidenced by the historical study of human societies and rational analysis ; the second axis is to be found in their search for optimal conditions to ensure the preservation of the Commonwealth built on such foundation ; the third and last axis consists in taking into account the Commonwealth ‘s interest in the resolution of a certain number of fundamental political questions that prevailed during that period. We shall establish in conclusion that their common realism induces them to put forward similar propositions on the nature and extent of the power that political leaders must be entrusted with, whatever the chosen form of government may be
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Roynier, Céline. "Le problème de la liberté dans le constitutionnalisme britannique." Thesis, Paris 2, 2011. http://www.theses.fr/2011PA020090.

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Abstract:
Le relatif échec que fut le Human Rights Act 1998 et les condamnations régulières du Royaume-Uni par la CEDH peuvent être considérés comme les symptômes, parmi d’autres, d’un problème de la liberté dans le constitutionnalisme britannique. Comment expliquer que cet Etat, membre fondateur du Conseil de l’Europe, résiste si fortement à l’application de cette déclaration de droits qu’est la Convention Européenne de Sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales ? Nous proposons dans ce travail une solution appuyée sur une étude de la culture classique de la common law, c'est-à-dire, essentiellement mais pas seulement, de la grande doctrine parlementaire anglaise du dix-septième siècle. Il nous semble en effet que cette doctrine a fixé la conception anglaise de la liberté et l’a définitivement envisagée comme devant relever de la common law. Nous suggérons que c’est par une redéfinition permanente de la common law que la liberté a été pensée en droit public anglais et que ce travail de redéfinition est encore à l’oeuvre aujourd’hui. Tout d’abord le problème de la liberté – qui s’est aussi posé en France et en Amérique par exemple – a pris une forme particulière en Angleterre : plutôt que de penser la source de légitimité du pouvoir, les juristes anglais ont réfléchi à ce que pouvait être les « marques » d’un droit acceptable pour tous. Cette réflexion a engendré des vagues de politisation du droit mais elle a rendu l’apparition d’un peuple sujet de droit beaucoup plus difficile. La première vague de politisation fait de la common law, le droit de la communauté, c'est-à-dire le droit commun à tous (Partie 1). La seconde vague de politisation de la common law correspond à un approfondissement de la première et fait de la common law un droit de la liberté en articulant le langage de la common law à l’individu par le biais d’une morale constitutionnelle (Partie 2)
Many are the signs revealing a certain difficulty with liberty or freedom in british constitutionalism. The relative failure of the Human Rights Act 1998 in terms of efficiency , the never-ending debate about the enactment of a british declaration of rights and the numerous sanctions taken by the ECHR against the UK, can be considered as symptoms of this problem. How, then, is it possible to explain the overwhelming role of the UK in the adoption of the ECHR in the 1950’s and this resistance of the UK towards the European Convention ? Our aim, in this work, is to provide an explanation which would be based on the study of the early modern common law tradition that is mainly (but not exclusively) the parliamentary Doctrine of the Seventeenth Century. We think that this doctrine or discourse established the english conception of liberty and considered this latter as originating in the common law. We suggest that liberty was and is thought as a permanent redefinition of the law itself (the common law) and that this idea gave birth to Public Law exactly at the same time. First of all, the above-mentioned problem of liberty – which appeared in America and France as well – arose in a particular way in England. Rather than focusing on power and its legitimacy, english state lawyers concentrated their work on the marks of a law which could be acceptable for all. This reflexion led to successive waves of politisation of the law itself but did not enable the apparition of a people which would be the source of both law and power. The first wave of politisation established that common law was the law common to all (Part 1). The second wave deepened the first one and enabled the common law to be « the law of liberty » by linking the language of the common law with the individual, through constitutional morality (Part 2)
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Simon, Laurent. "L’œuvre vocale sacrée de Henry Purcell : à la recherche d’un équilibre." Thesis, Paris 4, 2009. http://www.theses.fr/2009PA040238.

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Abstract:
Le développement de la musique religieuse de Henry Purcell pendant la seconde moitié du dix-septième siècle est le fruit d’un compromis fructueux entre les contraintes politiques et religieuses de l’Angleterre de la Restauration et l’influence du baroque continental. L’évolution stylistique de ses compositions reflète la politique menée par les souverains successifs : Charles II, Jacques II et Guillaume d’Orange. Musicien baroque en pays anti-papiste, Purcell se montre particulièrement habile dans la manière de mettre les mots en musique et parvient à un équilibre entre l’exigence des réformateurs en matière d’intelligibilité du texte et l’esthétique de la contre-réforme
The development of Henry Purcell’s sacred music in the second half of the seventeenth century originates in a fruitful compromise between the political and religious constraints of Restoration England and the contribution of the continental baroque. The stylistic evolution of his religious compositions reflects the political and religious developments which took place during the successive reigns of Charles II, James II and William of Orange. As a baroque musician and a native of an anti-papist country, Purcell showed considerable skill in the art of setting words to music and managed to blend in the Reformers’ emphasis on the intelligibility of the text and Counter-Reformation aesthetics

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