Academic literature on the topic 'Histoire de la psychiatrie et du champ médico-social'

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Journal articles on the topic "Histoire de la psychiatrie et du champ médico-social":

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Bouchard, Anne-Marie, Louis Morissette, and Fédéric Millaud. "L’Institut Philippe Pinel et le Département de psychiatrie de l’Université de Montréal : des parcours intriqués." Santé mentale au Québec 40, no. 2 (September 14, 2015): 229–37. http://dx.doi.org/10.7202/1033053ar.

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Abstract:
L’Institut Philippe-Pinel (IPPM) et le Département de psychiatrie de l’Université de Montréal, qui célèbrent tous deux leurs 50 ans, ont des parcours intriqués et une longue histoire de collaboration. Dès sa conception d’ailleurs à partir de l’Hôpital psychiatrique de Bordeaux, l’IPPM se destinait à devenir un lieu de formation et d’enseignement dans le giron de l’Université de Montréal. Unique dans sa mission d’offrir des soins psychiatriques de pointe et des évaluations médico-légales à une clientèle présentant un risque élevé de violence, l’Institut Pinel a aussi su, au fil des ans, faire sa marque dans l’enseignement aux résidents et stagiaires, dans l’organisation de colloques nationaux et internationaux, dans la recherche et la publication d’ouvrages reconnus dans le champ de la psychiatrie légale. Avec à sa tête des directeurs généraux qui ont tous été psychiatres de formation, l’Institut a de tout temps contribué largement à la vie universitaire, par un engagement marqué de ses psychiatres au sein du Département. Avec l’arrivée de la surspécialité en psychiatrie légale, cet engagement et ce rayonnement ne peuvent que se poursuivre.
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Mathonnat, Christine. "De l’éruption pulsionnelle à l’explosion somatique, ou les enjeux psychiques de la somatisation." Cliniques méditerranéennes 109, no. 1 (March 14, 2024): 175–87. http://dx.doi.org/10.3917/cm.109.0171.

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Abstract:
Dans certaines configurations psychiques et psychopathologiques, le langage verbal n’occupe plus à lui seul la centralité de la scène intersubjective. La clinique du handicap mental invite l’analyste à changer de paradigme s’il veut entendre le sujet dans son lien à l’autre. Plus seulement pris dans le langage, l’imaginaire ou le fantasme, le corps du handicap représente aussi une voix d’expression du registre pulsionnel. Corps réel agi, mobilisant autant la réalité somatique que psychique et imaginaire, il se révèle porteur de sens. Sollicité sur sa capacité à témoigner auprès du sujet du trauma vécu, l’analyste soutient l’émergence du processus d’appropriation subjective en offrant au sujet un lieu d’inscription identitaire et sublimatoire pour une histoire en quête d’une forme. L’engagement du sujet dans cette co-construction signifiante révèle moins l’insuffisance de son fonctionnement psychique que son effort à symboliser des représentations jusque-là inassimilables. Nous proposons, à travers des séquences cliniques élaborées entre professionnels du champ médico-social et dans nos entretiens singuliers, l’exploration de l’histoire d’une femme, déficiente mentale et psychotique, admise en institution suite à des abus sexuels intra-familiaux. La résidente développera d’abord une obésité morbide puis une dermatose grave et plus tard une tumeur agressive, révélant un soma pris dans l’exigence d’une activité pulsionnelle éruptive au défi de son organisation érogène, porteuse autant d’une déliaison mortifère cataclysmique que d’une réelle potentialité symbolisante.
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Maximin, M. "La psychiatrie en 2084 ? Vers une pédopsychiatrie entre neuroscience et médico-social !" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 633. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.140.

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Abstract:
Les mouvements de ruptures actuels, dans une époque où il n’y a jamais eu autant de progrès thérapeutiques et technologiques, posent la question d’un changement de paradigme du soin. Dans le champ infanto-juvénile, la pédopsychiatrie avec son évolution notable sur le plan des neurosciences vit des changements d’orientations mais aussi de pratiques avec un médico-social qui est de plus en plus sollicité et dont l’exercice est presqu’exclusivement éducatif, pédagogique et rééducatif.Évolution sociétale qui accentue un écart entre un savoir, une prescription ponctuelle et un prendre soin inscrit dans le temps qui renforce le champ de prise en charge du médico-social. Dans ce nouveau modèle de soin, les psychiatres ne sont pas seuls en cause dans les pouvoirs réels dont ils peuvent disposer, dans les pouvoirs imaginaires qui leur sont attribués et dans les demandes qui leur sont faites.De fait, comment « imaginer » ce qu’il en sera des évolutions et des articulations possibles entre ces deux courants pour que se continue et se renforce une tension créatrice de progrès en pédopsychiatrie.
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Hennion, A. "Histoire et réalités institutionnelles du champ médico-social en santé mentale en France." French Journal of Psychiatry 1 (November 2018): S84. http://dx.doi.org/10.1016/s2590-2415(19)30211-9.

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5

Curti, Raphaël. "Équipes mobiles autisme : vers la définition d’une nouvelle pratique ?" Perspectives Psy 61, no. 3 (July 2022): 214–21. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2022613214.

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Abstract:
Les équipes mobiles autisme (EMA) sont des équipes pluridisciplinaires spécialisées dans l’accompagnement des personnes avec autisme. L’apparition de ces équipes remonte à 1999, date à laquelle la première EMA est recensée à Marseille (CH Valvert – Unité mobile départementale autisme « UMDA »). Depuis de nombreuses créations d’EMA ont vu le jour. On compte aujourd’hui une cinquantaine d’EMA sur l’ensemble du territoire national. Une grande moitié des EMA est administrée par des associations gestionnaires d’établissements médico-sociaux, les autres sont des équipes hospitalières. Population Les EMA accompagnent tous les âges de la vie. Certaines équipes sont dédiées à l’accompagnement très précoce des troubles du développement (avant 1 an), d’autres aux enfants/adolescents ou encore uniquement à la prise en charge des adultes. Les EMA sont étroitement associées au champ des troubles du neurodéveloppement et de la déficience intellectuelle mais peuvent accompagner également des personnes avec autisme sans déficience intellectuelle. La grande majorité des EMA couvre un territoire départemental. Les demandes d’intervention peuvent provenir de la personne elle-même, de sa famille, de l’établissement ou service médico-social qui l’accompagne ou enfin d’un service hospitalier toujours avec l’accord du responsable légal. Missions Les EMA ont une mission d’interface et de tiers entre les différents intervenants sur une situation clinique complexe (famille, établissements et services médico-sociaux, services hospitaliers, etc.). Cette mission comprend l’évaluation fonctionnelle in situ de la personne, la réalisation d’une synthèse clinique et/ou la transmission d’outils d’accompagnement spécifiques à l’autisme. Certaines EMA participent au repérage diagnostic de l’autisme avec ou sans déficience intellectuelle. Parfois, elles sont organisées pour effectuer un accompagnement thérapeutique régulier (psychologique, psychiatrique, psychomoteur, vers l’emploi ou vers l’autonomie). Les EMA ont vocation à transmettre leurs compétences spécialisées à l’ensemble des acteurs et à participer à l’amélioration de l’accompagnement de l’autisme en France. Fonctionnement Quand la situation le nécessite, l’EMA peut intervenir dans la semaine notamment pour prévenir les hospitalisations en psychiatrie et les ruptures de parcours. Les déplacements se font la plupart du temps en binôme. Les EMA se composent principalement de psychologues, infirmiers, éducateurs spécialisés, psychomotriciens, assistants de service social et médecins (psychiatre mais aussi médecin généraliste). Travail en réseau C’est un des axes principaux de l’activité des EMA. Le bénéfice final pour l’usager repose autant sur l’évaluation clinique que sur la capacité à orienter vers des établissements ou des services adaptés, l’obtention d’aides sociales ou la représentation auprès des tutelles administratives. Depuis 2020, il existe une association des EMA nommée AFUMA (Association Francophone des Unités Mobiles Autisme). Elle a pour objectif la mutualisation des moyens et l’amélioration des connaissances pour soutenir la pratique des professionnels des EMA. Nombre, durée et lieux d’intervention Le nombre d’interventions et la durée de l’accompagnement est très variable : il peut aller d’un mois (pour un bilan diagnostique simple) à un an (dans un suivi thérapeutique régulier). Les professionnels peuvent se déplacer à domicile, dans les établissements médico-sociaux (IME, foyer de vie, foyer d’accueil médicalisé, MAS, etc.), et services hospitaliers. Conclusion Les EMA sont fortement reliées aux CRA (Centres Ressources Autisme), auprès desquels elles peuvent actualiser leurs connaissances. Un travail national vers la labélisation de leurs missions et de leur composition est nécessaire.
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Catheline, N. "Harcèlement en milieu scolaire : un échec de la dynamique de groupe ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 605–6. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.212.

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Abstract:
Phénomène longtemps ignoré par les adultes qui ne le considéraient que sous l’angle sociétal (« ça a toujours existé », « il faut bien apprendre à se défendre », « ce sont des histoires de gosses »), le harcèlement fait désormais l’objet d’études psychologiques et pédopsychiatriques après avoir longtemps été dans le champ de la sociologie et de la criminologie. La France accuse un retard de plus de 20 ans dans la prise en compte de ce phénomène et dans la mise en œuvre d’une politique d’intervention et de prévention à la suite d’études longitudinales qui ont bien mis en lumière la gravité des conséquences psychologiques, souvent la vie durant. Ainsi être harcelé dans l’enfance multiplie par 4 le risque de faire une TS à l’adolescence et de développer une dépression à l’âge adulte. Mais surtout ces enquêtes ont permis de prendre conscience que les risques psychosociaux concernent à la fois harceleurs et harcelés, ainsi que les spectateurs. En France, 2 campagnes ministérielles en 2011 et 2013 ont mis au devant de la scène ce phénomène qui concerne environ 10 % des élèves en âge d’obligation scolaire. Les phénomènes de harcèlement sont inhérents à tout groupe social et les mouvements qui les suscitent sont d’autant plus forts que les individus du groupe se sentent vulnérables, ce qui est le cas pour les enfants et adolescents. Harceleurs et harcelés partagent de nombreux points communs et ont parfois été amis par le passé. Considérer le harcèlement comme un échec de la dynamique de groupe permet de trouver des pistes d’intervention auprès des adultes d’abord et des jeunes ensuite. Cette approche permet également de travailler sur le vivre ensemble et la tolérance de la différence de l’autre, ce qui constitue un réel challenge pour l’école dont la mission de socialisation disparaît actuellement derrière sa mission de formation dans une période de crise de l’emploi où le diplôme reste la valeur-refuge.
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Resnik, Salomon. "La visibilité de l’inconscient." Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe 1, no. 1 (1985): 47–54. http://dx.doi.org/10.3406/rppg.1985.874.

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Abstract:
J’essaye de développer ici, à partir de la rencontre à propos de la position du psychanalyste par rapport au groupe un certain vécu de mon expérience personnelle. Comme dans ma formation psychanalytique, l’expérience en groupe et la théorie groupale n’étaient pas dissociées de l’institution psychanalytique même, pour moi, l’unique position concevable dans le groupe est celle du psychanalyste. C’est-à-dire qu’indépendamment de toute école, l’analyse du transfert reste la clé essentielle qui ouvre le chemin de tout ce qui se montre et se cache à là fois, c’est-à-dire de tout ce qui apparaît en positif ou en négatif. Les associations libres dans un groupe, souvent de vraies “dissociations” libres, rappellent le travail que je fais avec des patients psychotiques en individuel. Bien sûr, l’expérience groupale a son histoire particulière à l’intérieur d’une biographie psychanalytique et Freud, avec raison, craignait et était intéressé à la fois par ce que Gustave Le Bon avait suscité en lui : le “groupe-masse” représente probablement pour Freud la contrepartie sociale des pulsions inconscientes difficiles à maîtriser. En effet, on a eu la preuve dernièrement à propos de ce qui s’est passé en Belgique, de l’affolement de la foule chez qui les “instincts” les plus primitifs se sont manifestés dans leur dimension inquiétante et catastrophique. Les explorations sur la dynamique et théorie groupale nous permettent d’étudier dans un contexte groupal limité (petit groupe de sept à neuf personnes), dans une dimension contrôlable, ce qui se passe dans un contexte macro-social. Il est évident aussi que les travaux d’après-guerre sur les communautés thérapeutiques auxquelles je participais en Angleterre étaient inspirées par les idées de Foulkes, Rickman, Bion, Pines, Démarré et d’autres, qui étaient déjà reliés au monde psychanalytique. La notion de “large groups” s’y relie dune manière agrandie bien que différente aussi (le quantitatif altère le qualitatif) et ajoute une voie de recherche intéressante qui continue de cette manière l’application de certains principes psychanalytiques dans le champ social La notion de “thérapeutic community” développée par le Dr. T. Main, Maxwel Jones et les autres rejoint et complète l’expérience.
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Tremblay, Marc-Adélard. "L'anthropologie de la santé en tant que représentation." Articles - Le quotidien 23, no. 3 (April 12, 2005): 253–73. http://dx.doi.org/10.7202/055985ar.

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Abstract:
Trois traditions scientifiques particulières sont à l'origine de l'anthropologie de la santé en tant que champ distinctif de l'ethnologie: l'intérêt de l'ethnographie traditionnelle pour les médecines dites primitives (les études ethnomédicinales) ; les travaux sur la personnalité et la culture dans les années trente et quarante qui ont favorisé une étroite collaboration entre anthropologues et psychiatres et l'extraordinaire expansion des programmes internationaux de santé publique durant la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale. Ces trois traditions scientifiques ont contribué à la constitution d'un corpus de connaissances se rapportant à la santé et à la maladie dans des contextes transculturels qui élargissent les conceptions bio-médicales de la maladie ainsi que les représentations professionnelles et les modèles thérapeutiques des intervenants du monde occidental. Les anthropologues médicaux américains ainsi que les spécialistes européens de l'ethnomédecine ont mis en relief des modèles opératoires qui incarnent ces conceptions élargies de la santé : ils proposent aux praticiens de la médecine occidentale une définition plus compréhensive de la santé, des démarches thérapeutiques qui tiennent compte du contexte socio-culturel de la dispensation des soins, des principes de réinsertion sociale qui respectent l'univers phénoménologique des patients ainsi que les systèmes d'attente de l'univers social plus large. Ces conceptions scientifiques nouvelles découlent, dans une large mesure, des acquis récents des sciences de l'homme, et, pour autant, elles ne constituent pas pour les agents traditionnels un paradigme évident d'explication de la réalité pathologique ni ne justifient de transformations profondes dans les démarches thérapeutiques centrées sur le patient en tant qu'unité clinique exclusive. D'autres disciplines, telles que la sociologie, la psychiatrie sociale, la psychologie, par des cheminements parallèles ou analogues proposent elles aussi des définitions nouvelles de la maladie et des procès thérapeutiques rajeunis en vue de restaurer la santé. Pourtant la médecine, en tant que science et en tant que pratique, évolue lentement dans sa démarche de renouvellement. L'anthropologie de la santé, une des sciences humaines dont les traditions de recherche portent à la fois sur le biologique, le psychologique et le culturel dans des voies comparatives peut apporter une contribution d'importance dans le rajeunissement des perspectives conceptuelles sur la santé et la maladie et dans la conception de pratiques professionnelles. Une conception systémique de la santé, par exemple, nécessite l'examen d'expériences pathologiques en tant que phénomènes totaux. Ainsi les analyses que poursuit l'anthropologie de la santé établissent les relations qui existent entre la maladie, les systèmes de dispensation des soins et les patrons culturels sans oublier l'univers phénoménologique du patient et les conceptions prophylactiques du professionnel de la santé. Toutes les civilisations du monde ont élaboré des conceptions de la maladie, ont développé des systèmes de dispensation des soins et ont mandaté des spécialistes pour traiter les malades et les aider à restaurer les équilibres physiologiques, psychosomatiques et socioculturels rompus. Conceptions de la maladie, élaboration des méthodes prophylactiques, apprentissage des spécialistes, application des thérapeutiques, constituent autant d'éléments du système médical qui sont influencés par les visions du monde, les systèmes de pensée et les modes de vie. Une des contributions les plus substantielles de l'anthropologie culturelle dans l'étude des diverses civilisations du monde fut d'énoncer des généralisations qui possèdent un caractère d'universalité puisqu'elles se fondent sur des observations récoltées dans des contextes transculturels. Significatifs furent aussi les apports ethnologiques à la connaissance de la maladie et de la pratique médicale dans « la petite communauté » en mettant en relief les représentations sociales de la maladie tant chez les praticiens que chez les clientèles. Les connaissances récemment acquises en ethnomédecine témoignent d'un intérêt renouvelé pour la compréhension des médecines traditionnelles et primitives ainsi que pour la connaissance de leurs fondements philosophiques et théologiques. Finalement, les histoires de vie des medicine men et des guérisseurs représentent des contributions de première main qui donnent directement accès à la culture vécue des malades et des thérapeutes, révélant ainsi non seulement la dynamique d'un segment culturel mais aussi l'ensemble des éléments significatifs de l'organisation sociale et des patrons culturels d'une civilisation particulière. L'anthropologie de la santé est une discipline scientifique, nul ne saurait le contester. Le modèle d'explication de la santé qu'elle propose (basé principalement sur les notions d'adaptation, d'équilibre et de croissance) découle d'études empiriques transculturelles. Toutefois, en tant que représentation scientifique, elle ne peut être dissociée des contextes socio-historiques de sa naissance et de son évolution ni des univers idéologiques de ses premiers promoteurs. Dans cette perspective, il nous apparaît intéressant et instructif à la fois de mieux connaître comment cette sous-discipline est née ici, le processus de son implantation, le genre d'études auxquelles elle a donné lieu, les principaux résultats auxquels elle arrive et les enseignements qu'ils traduisent, les pistes de recherche qu'elle suggère. La pénétration de cette nouvelle représentation dans notre milieu a-t-elle suscité des transformations du monde de la santé ?

Dissertations / Theses on the topic "Histoire de la psychiatrie et du champ médico-social":

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Basset, Isabelle. "Des "idiots" à l'hôpital psychiatrique depuis les années soixante : quand l'histoire institutionnelle devient celle du sujet." Electronic Thesis or Diss., Amiens, 2022. http://www.theses.fr/2022AMIE0097.

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Abstract:
Ce travail s'appuie sur notre expérience de psychologue clinicienne dans une maison d'accueil spécialisée. L'institution, ouverte en 2003, a été créée par un hôpital psychiatrique afin d'y orienter ses patients déficitaires hospitalisés depuis l'enfance. Lors de notre arrivée dans l'institution en 2011, l'histoire subjective de chaque accueilli nous a semblé occultée par une histoire collective où se mêlaient nos représentations historiques de la psychiatrie asilaire évoquant la déshumanisation, la promiscuité et les mauvais traitements. Dans les dossiers d'hospitalisation, nous avons retrouvé le terme générique d'"idiotie" et une certaine confusion diagnostique. Nous nous sommes alors intéressée aux conceptions historiques de l'idiotie pour y reconnaître leur influence sur le traitement, tant thérapeutique que social, de ces sujets présentant des pathologies de type archaïque. En envisageant l'histoire avec une dimension d'héritage transgénérationnel, nous avons éclairé la rémanence des thématiques anciennes d'incurabilité, d'inéducabilité et de dégénérescence, qui sont devenues peu à peu des représentations collectives. Ce sont leurs traces que nous avons étudiées tout au long de ce travail, leur transformation soutenant des processus fantasmatiques envahissants générant des expériences de honte, articulées aux mécanismes d'indifférenciation, de mésinscription et de liminalité. À partir d'un matériel clinique constitué des dossiers, des rencontres avec des familles, mais aussi avec des anciens soignants de l'hôpital, nous proposons qu'une démarche historisante et narrative devienne opérante pour les intervenants de la maison d'accueil spécialisée et ses accueillis, afin d'enrayer les mécanismes déshumanisants du clastique et de l'archaïque qui constituent cette clinique de l'extrême. Ainsi, considérer l'histoire singulière du sujet consiste à lui permettre d'occuper une place différenciée dans la relation intersubjective. Notre thèse s'appuie sur un regard épistémologique au croisement des sciences humaines pour interroger le processus d'institutionnalisation de ces sujets déficitaires et ses impacts, dans une dimension tant métapsychologique que socio-historique. Nous l'articulons à l'évolution des politiques publiques concernant la psychiatrie et le champ médico-social en France
This research is based on the author work as a clinical psychologist in a specialized care home. The institution, opened in 2003, was created by a psychiatric hospital in order to orient its deficient patients who had been hospitalised since childhood. When the author arrived in the institution in 2011, the subjective history of each patient seemed to be obscured by a collective history in which our historical representations of asylums, evoking dehumanisation, promiscuity and ill-treatment, were mixed. In the hospitalization files, the author found the generic term "idiocy" and a certain diagnostic confusion. She then looked at the historical conceptions of idiocy to recognise their influence on the treatment, both therapeutic and social, of these subjects with archaic pathologies. By considering history with a dimension of transgenerational inheritance, she have shed light on the persistence of ancient themes of incurability, ineducability and degeneracy, which have gradually become collective representations. It is their traces that she have studied throughout this work, their transformation supporting invasive phantasmatic processes generating experiences of shame, articulated to mechanisms of indifferentiation, misinscription and liminality. Based on clinical material consisting of files, meetings with families, but also with former hospital carers, she propose that a historicising and narrative approach becomes operative for the workers of the specialised home and its residents, in order to curb the dehumanising mechanisms of the clastic and the archaic which constitute this "extreme" clinical practice. Thus, considering the singular history of the subject consists in allowing him to occupy a differentiated place in the intersubjective relationship. This thesis is based on an epistemological viewpoint at the crossroads of the human sciences in order to question the process of institutionalisation of the subject with an intellectual disability and its impacts, in both a metapsychological and socio-historical dimension. The author link it to the evolution of public policies concerning psychiatry and the medico-social field in France

Book chapters on the topic "Histoire de la psychiatrie et du champ médico-social":

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Benarab, Khedidja, and Vincent Bompard. "Le subjectif à l’épreuve du management dans la formation et le champ médico-social." In Défense de la clinique en psychiatrie, 189. ERES, 2014. http://dx.doi.org/10.3917/eres.sasso.2014.01.0189.

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