Journal articles on the topic 'Histoire Contemporaine Espagnole'

To see the other types of publications on this topic, follow the link: Histoire Contemporaine Espagnole.

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 20 journal articles for your research on the topic 'Histoire Contemporaine Espagnole.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Yusta Rodrigo, Mercedes. "Histoire et mémoire de la Guerre civile dans l'historiographie espagnole contemporaine." Matériaux pour l'histoire de notre temps 70, no. 1 (2003): 51–58. http://dx.doi.org/10.3406/mat.2003.402452.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

CASTELLANI, Jean Pierre. "Un enfant dans la Guerre d’Espagne : Le chapelet d’amours de Francisco Umbral Mémoires réels et mémoires inventés." Revue plurilingue : Études des Langues, Littératures et Cultures 1, no. 1 (November 15, 2017): 31–39. http://dx.doi.org/10.46325/ellic.v1i1.4.

Full text
Abstract:
Résumé L'espace romanesque de Francisco Umbral est, de toute évidence, autobiographique. Cependant, on peut déceler aussi chez lui une volonté de représentation de l'Histoire contemporaine espagnole à partir de récits d’enfance d’un homme qui a connu la guerre civile et le franquisme. Le chapelet d’amours, Hachette (1981), peut servir de base à une réflexion sur la situation originale de l’auteur par rapport aux récits d'enfance. Umbral démonte par ce roman subversif le système idéologique espagnol et la transgression face à la Société, à la Culture et à la Patrie. Resumen El espacio novelesco de Francisco Umbral es evidentemente autobiográfico. Sin embargo, se puede ver también en su obra una voluntad de representar la Historia contemporánea española, a partir de relatos de infancia por un hombre que ha conocido la guerra civil y el franquismo. Le chapelet d’amours, Hachette (1981) puede servir de ejemplo para reflexionar de la situación singular del autor en los relatos de infancia. Umbral destruye con esa novela subversiva el sistema ideológico español y canta la transgresión frente a la Sociedad, la Cultura y la Patria.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Scholz, Johannes-Michael. "Rendre justice: eléments pour une histoire contemporaine de l'espace judiciaire espagnol." Mélanges de la Casa de Velázquez 25, no. 1 (1989): 355–79. http://dx.doi.org/10.3406/casa.1989.2545.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Lopez Izquierdo, Marta. "Les verbes de modalité en espagnol contemporain." Revue belge de philologie et d'histoire 82, no. 3 (2004): 673–90. http://dx.doi.org/10.3406/rbph.2004.4852.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Fauquet, Isabelle. "Autoréférence et engagement dans le roman espagnol contemporain." Bulletin hispanique, no. 116-2 (December 1, 2014): 719–32. http://dx.doi.org/10.4000/bulletinhispanique.3525.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Badie, Bertrand. "La souveraineté sur la scène mondiale : concept ou fiction renouvelée?" Tocqueville Review 19, no. 2 (January 1998): 5–13. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.19.2.5.

Full text
Abstract:
L’histoire du concept de souveraineté se confond volontiers avec celle qui raconte l’émergence de notre système international contemporain. Ses origines ont en même temps un parfum amer de modernité : Jean Bodin en pose les fondements dans un contexte qui était celui de la Saint-Barthélémy, au moment où les déchirements inter-confessionnels affaiblissaient la communauté politique et le pouvoir central et où, de part et d’autre, on faisait appel à l’aide étrangère, aux Espagnols pour aider les Catholiques et aux Anglais pour appuyer les Protestants du royaume de France.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Herr, Richard. "Malthus, Ricardo et les villages désertés en Espagne au XVIIIe siècle." Annales. Histoire, Sciences Sociales 41, no. 1 (February 1986): 201–16. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1986.283266.

Full text
Abstract:
S'agissant de l'histoire contemporaine de l'Espagne, les réformes du XVIIIe siècle constituent une « cause célèbre ». Si elles avaient réussi, ou si leurs buts avaient été atteints au temps des régimes libéraux du XIXe siècle, l'Espagne se serait transformée en un pays de paysans relativement prospères comme la France ; l'influence néfaste des grands propriétaires (qui dominèrent en fait l'économie de Castille et d'Andalousie et la politique de tout le pays jusqu'à la Seconde République) aurait été éliminée. La campagne aurait fourni un marché pour une industrie naissante, et l'Espagne ne serait pas devenue le jouet des nations développées de l'Europe septentrionale. C'est du moins ainsi qu'on peut résumer l'opinion commune des hommes d'État et des historiens qui ont déploré la condition de l'Espagne contemporaine. Dans cet article, nous voudrions considérer la pertinence de ces conceptions.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Bonet, Juan Manuel. "A propos de politique culturelle: Les musees espagnols d'art moderne et contemporain." Vingtième Siècle. Revue d'histoire, no. 74 (April 2002): 131. http://dx.doi.org/10.2307/3771811.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

de la Cueva Merino, Julio. "El laicismo republicano: tolerancia e intolerancia religiosa en la Segunda República española." Mélanges de la Casa de Velázquez Tome 44, no. 1 (May 1, 2014): 89–109. http://dx.doi.org/10.3917/mcv.441.0089.

Full text
Abstract:
La II e République espagnole semblait destinée à résoudre, entre autres problèmes, la vieille question de la coexistence religieuse qui avait tant troublé l’Espagne contemporaine. Jusqu’en avril 1931, l’intransigeance de l’Église catholique fut le principal obstacle à l’instauration de la liberté religieuse par l’État dans les dispositions constitutionnelles et législatives. Après cette date, la solution finalement adoptée par la nouvelle majorité républicaine fut si radicale qu’elle ne servit qu’à enflammer davantage le conflit entre les catholiques et les laïques. Il aurait pu en être autrement si les propositions des uns et des autres qui misaient sur des formules distinctes avaient été prises en considération, propositions puisant leur source dans un idéal de tolérance plus large ou, du moins, s’appuyant sur la nécessité d’apporter une réponse au défi imposé par cette circonstance historique unique en montrant une plus grande ouverture d’esprit.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

BERTHELOT, Martine. "Réflexions sur les études juives contemporaines en Espagne." Revue des Études Juives 168, no. 1 (June 30, 2009): 163–80. http://dx.doi.org/10.2143/rej.168.1.2035305.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Andrés López, Gonzalo. "Las ciudades medias industriales en España. Evolución histórica, proceso de urbanización y estructura urbana / The industrial medium size cities in Spain. Historical evolution, urbanization process and urban structure." Ería 1, no. 1 (May 13, 2019): 25–49. http://dx.doi.org/10.17811/er.1.2019.25-49.

Full text
Abstract:
La industria ha explicado en gran medida el desarrollo contemporáneo de las ciudades como agente económico impulsor del empleo y responsable de los grandes cambios sociales en la historia urbana. De acuerdo con esta función, las empresas y las fábricas han desarrollado una influencia decisiva en la configuración de la mayor parte de los espacios urbanos. Esta actividad ha sido también esencial en la evolución de las ciudades medias, con un proceso industrializador más tardío. Laevolución de la industria en la ciudad ha definido en gran medida la forma urbana de las actuales estructuras o, dicho de otro modo, el plano urbano de las ciudades medias españolas tiene una intensa relación con el proceso industrial contemporáneo. Esta contribución plantea una reflexión acerca de cómo se ha producido este proceso en las ciudades medias españolas, analizando la presencia de la industria en cada unade las etapas del proceso urbanizador contemporáneo.L’industrie a largement expliqué le développement contemporain des villes en tant qu’agent économique moteur de l’emploi et responsable des grands changements sociaux survenus dans l’histoire urbaine. Selon cette fonction, les entreprises et les usines ont développé une influence déterminante sur la configuration de la plupart des espaces urbains. Cette activité aégalement joué un rôle essentiel dans l’évolution des villes de taille moyenne, avec un processus d’industrialisation plus tardif. L’évolution de l’industrie de la ville a largement défini la forme urbaine des structures actuelles ou, en d’autres termes, le plan d’urbanisme des villes de taille moyenne en Espagne entretient une relation intense avec le processus industriel contemporain. Cette contribution soulève une réflexion sur la manière dont ce processus s’est déroulé dans les villes moyennes espagnoles, ainsi que sur la présence de l’industrie à chacune des étapes du processus d’urbanisation contemporain.The role of the industry has largely explained the contemporary development of cities as an economic agent for employment and being responsible for the great social changes in urban history. According to this function, companies and factories have developed a decisive influence on the configuration of most urban spaces. This activity has also been essential in the evolution of medium-sized cities, with a later industrialization process. The evolution of the industry in the city has largely defined the urban form of the current structures or, in other words, the urban plan of the Spanish medium cities has an intense relationship with the contemporary industrial process. This contribution raises a reflection about how this process has taken place in the Spanish middle cities, reflecting on the presence of industry in each of the stages of the contemporary urbanization process.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Gavoille, Antoine. "La philosophie du paysage en Espagne, naissance d'une tradition contemporaine." Mélanges de la Casa de Velázquez 30, no. 3 (1994): 173–220. http://dx.doi.org/10.3406/casa.1994.2717.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Pujante González, Domingo. "Apertura: No hay palabras..." HYBRIDA, no. 5(12/2022) (December 27, 2022): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25813.

Full text
Abstract:
Il me regarde. Parfois il murmure des mots que je ne comprends pas. Et puis il s’assoit sur le lit, et il rabat les couvertures. Il dit mon nom tout bas, tu dormais, mon amour ? Là il n’y a plus d’espoir, je sais que ça commence. J’ouvre les yeux sur le noir de la chambre qui peu à peu s’éclaire et dévoile le visage de papa. Il n’y a pas de mots pour ce qu’il me fait dans la chambre. Voix coupée, je ne pourrai jamais le dire. À moi seule je le dis pour ne pas me perdre de vue. Lori Saint-Martin (1999). Mon père, la nuit (p. 7). L’instant même. Nous voilà au troisième solstice d’hiver pour la revue HYBRIDA. J’ai eu la chance de passer mon anniversaire à Montréal, de recevoir l’automne aux couleurs changeantes, de savourer l’énergie du jaune, ma couleur préférée, décliné à l’infini : citron, cadmium, moutarde, ocre, auréolin, indien, de Naples, de Sienne, de Cambodge… L’Association Internationale des Études Québécoises, incarnée dans la précieuse figure de Suzie Beaulieu, a contribué à la réussite de ce séjour d’un mois à l’Université de Montréal, accueilli par une personne magnifique et généreuse, écrivaine prestigieuse à juste titre, Catherine Mavrikakis, qui venait de publier son dernier roman Niagara (2022), ainsi que par son entourage académique et familial, son frère Nicolas Mavrikakis, perspicace critique d’art ; son conjoint, l’insigne professeur de littérature Terry Cochran, et leur fille Loulou, toujours le sourire aux lèvres et aux yeux… Le mois d’octobre est spécialement animé du point de vue culturel à Montréal ce qui m’a permis de participer à une intense vie culturelle : nouvelles publications, activités théâtrales, expositions artistiques, cycles organisés par la cinémathèque québécoise (dont la superbe rétrospective sur l’œuvre du canadien Bruce LaBruce)… Je me suis plu à visiter les intéressantes librairies montréalaises toujours en ébullition. J’ai eu la chance d’entrer en contact direct avec le monde éditorial québécois qui connaît certainement un nouvel âge d’or, des maisons d’édition d’une longue tradition comme Gallimard, dont l’ancien directeur Rolf Puls m’a parlé de tant d’anecdotes littéraires en nous régalant avec des huîtres et des oursins des mers du Nord, et dont l’actuelle directrice générale, Florence Noyer, m’a ouvert également les portes. Tout comme les éditions du Boréal où je suis passé plusieurs fois, reçu magnifiquement par Jean Bernier, avec qui j’ai passé des moments d’intense complicité où j’ai pu partager la passion pour Marie-Claire Blais, qu’il connaît dans le moindre détail, et le deuil à cause de la disparition douloureuse, cet intense mois d’octobre, du jeune écrivain Simon Roy, qui était venu à Valence présenter son premier roman Ma vie rouge Kubrick (2014) ; ainsi que celle de Lori Saint-Martin quelques jours plus tard. Il me reste à mentionner la maison d’édition Héliotrope. Un vrai bijou. J’ai eu le privilège de partager quelques conversations littéraires et humaines de haut niveau et une belle promenade du côté du Mont Royal, avec une halte dans la petite pâtisserie du quartier portugais pour prendre un vrai café, avec sa directrice, écrivaine elle-aussi, Olga Duhamel-Noyer, une âme sœur, qui dirige cette maison respirant sans aucun doute un air nouveau, fortement stimulant. Ma valise était donc bien pleine au retour à Valence et j’aurai de quoi lire dans les prochains mois. Tout cela m’a permis de rencontrer, parfois intensément, dans divers contextes, plusieurs écrivain·e·s, tous les âges confondus, dont je signalerai, par ordre alphabétique, Martine Audet, Arianne Bessette (écrivaine discrète et sensible avec qui j’ai connecté immédiatement), Lula Carballo (« ma Lula », mon double), David Clerson, Pierre-­André Doucet (charmant auteur et musicien acadien spécialement remarquable), Clara Dupuis-Morency, Benjamin Gagnon Chainey, Julien Guy-Béland (personne exceptionnelle, engagée, et écrivain percutant), Monique Proulx, que j’ai reçue à Valence et que j’apprécie énormément comme écrivaine et comme personne, avec qui j’ai partagé des croissants et de la confiture faite maison sur son balcon en regardant les arbres perdre leurs feuilles lorsqu’elle me dédicaçait son dernier roman Enlève la nuit (2022) ; et, bien entendu, Lori Saint-Martin. Je ne voudrais pas oublier le professeur de l’Université de Montréal Alex Noël, qui s’intéresse à la littérature québécoise récente et à la mémoire queer, et qui m’a fait découvrir le travail de l’artiste multidisciplinaire canadienne, originaire de l’île Maurice, Kama La Mackerel et le professeur espagnol de l’Université du Québec à Montréal Antonio Domínguez Leiva, écrivain lui-aussi, dont j’avais perdu la trace et avec qui je partage bien des intérêts littéraires autour du corps, de la monstruosité et du « panique ». Une dernière mention spéciale pour deux danseurs : Francis Paradis, personne instruite et empathique qui est restée tout le temps à mon écoute et m’a fait découvrir des lieux remarquables ; et, enfin, le danseur tunisien Achraf El Abed, en asile politique à Montréal à cause des persécutions LGBT dans son pays, n’ayant pas pu venir à Valence pour ces raisons lors du Colloque Queer Maghreb que nous avons organisé en juin 2022. Il a dansé pour nous en privé chez moi dans le quartier du Red Light de Montréal, pas loin de l’emblématique Café Cléopâtre, le jour de mon anniversaire, en compagnie de ma collègue et amie Adela Cortijo, qui était venue pour l’occasion. Je n’oublierai jamais ce moment magique. Merci à tous et à toutes pour avoir contribué à rendre ce séjour montréalais si spécial et si riche dans tous les sens. Comme je l’annonçais, nous avons perdu Lori Saint-Martin, excellente professeure, traductrice et écrivaine canadienne, ayant choisi le français comme langue d’asile et de refuge, d’identité réinventée, et surtout personne proche et généreuse, disparue dans la Seine, subitement. Des ombres spectrales ont envahi mon cœur et mes pensées à cause de ce destin trop funeste, trop tragique, trop romanesque, tellement j’ai envie de ne pas y croire… et, pourtant, Lori n’est plus là. Juste un dernier message sur WhatsApp quelques jours avant l’hécatombe : « Aquí todo bien » (« tout va vient ici »). Elle adorait l’espagnol, sa nouvelle demeure, sa nouvelle passion. Lori, mon amie, tu as troublé mon âme et laissé un grand vide difficile à combler. Je n’ai que des mots de gratitude envers toi. Et, pourtant, la vie continue à couler, elle coule et coule… comme les larmes des mères qui perdent leurs enfants dans toutes les guerres de la planète. Cette planète Terre qui pleure de plus en plus fort pour que l’on prenne soin d’elle, pour que l’on développe une conscience écologique efficace et durable… Temps catastrophiques, oui… excessifs, oui… scandaleux, oui… Et, pourtant, temps de Saturnales et de Noël, de fêtes, de chants et de vœux, de décorer les maisons, d’allumer les bougies et d’offrir des cadeaux, de rêves de santé, de paix et d’amour… tellement on a besoin de diluer les tensions que l’on ressent ; temps d’apaiser nos esprits… de se ressourcer, de reprendre haleine… de se projeter dans un meilleur avenir… malgré… Revenons à nos moutons… Le Dossier central de ce cinquième numéro de la revue HYBRIDA, coordonné par Fabio Libasci, vise à s’interroger sur les multiples enjeux de la notion d’extrême, que ce soit du point de vue chronologique que du point de vue conceptuel. En effet, l’expression « extrême contemporain », étant en perpétuel déplacement, reste spécialement attirante mais problématique, depuis sa création attribuée à Michel Chaillou, à la toute fin des années 80 du siècle dernier. On assisterait, de nos jours, à une « deuxième génération » de l’extrême contemporain. On pourrait donc l’actualiser pour faire référence aux productions littéraires et culturelles récentes au sens large. Du point de vue thématique, l’extrême est vite associé à la notion de limite, de démesure, voire de violence. En ce sens, force est de constater une tendance et une présence des esthétiques de rupture et des formes de l’excès chez des auteur·e·s contemporain·e·s, plus ou moins jeunes, ce qui nous a menés à nous pencher sur les usages et, peut-être les abus, de cette notion poreuse et changeante. Ce Dossier est composé de quatre articles venus de Côte d’Ivoire, de Finlande et de France. Ils abordent l’œuvre des écrivain·e·s Azo Vauguy, Koffi Kwahulé et Hélène Cixous et des cinéastes tels qu’Anne Fontaine, Christopher Doyle ou Julien Abraham. Dans la section Mosaïque, nous publions quatre articles très intéressants également. Hassna Mabrouk, de l’Université Chouaïb Doukkali (Maroc), en s’appuyant sur le révisionnisme historique proposé par les études postcoloniales et subalternes, s’empare de la figure historique de l’explorateur et interprète du début du XVIe siècle Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico, connue essentiellement en Europe sous l’angle de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, trop eurocentrée, pour y opposer d’autres représentations de l’explorateur comme celle du personnage Al-Azemmouri qui apparaît dans le roman de Kebir M. Ammi, Les Vertus immorales (2009) où les représentations artistiques qui perdurent dans la ville marocaine d’Azzemmour où il est né. Ahmed Aziz Houdzi, de l’Université Chouaïb Doukkali également, analyse les transformations identitaires du sujet diasporique par rapport aux événements historiques dans le contexte français marqué par les attentats terroristes qui ont eu lieu à Paris en 2015. Il fait une fine lecture de Ce vain combat que tu livres au Monde (2016) de Fouad Laroui où le personnage principal se débat entre le désir d’intégration dans la société laïque et la tentation intégriste incarnée par l’État islamique. Lourdes Rubiales Bonilla de l’Université de Cadix (Espagne) se penche sur « l’affaire Batouala ». Dans son article, elle analyse avec précision les clés de la réception et de la diffusion dans la presse du moment du Prix Goncourt de 1921 octroyé au roman Batouala. Véritable roman nègre de René Maran. Ainsi, elle s’efforce de démontrer les mécanismes de la censure pour essayer de neutraliser le discours politique de l’auteur. Enfin, Diana Requena Romero de l’Université de Valence (Espagne) revient sur la problématique liée à l’étude des personnages féminins dans l’œuvre de Boris Vian. Pour ce faire, elle prend un corpus peu étudié qui est celui des nouvelles de l’auteur afin d’y déceler les processus de métamorphose du corps et les images de l’hybridation de la femme-animal située dans des espaces intermédiaires. Dans la section Traces, plus créative, nous publions trois contributions. Nous avons l’honneur de publier un texte fragmentaire bilingue (en français et en espagnol) de l’écrivaine québécoise, originaire de l’Uruguay, Lula Carballo intitulé restos de barrios (« des restes de quartiers ») où les bribes du passé se mélangent à la rupture du discours à la recherche de nouvelles voies d’expression littéraire. Son premier roman Créatures du hasard (2018) a été spécialement apprécié par la critique. Elle a aussi publié l’album illustré Ensemble nous voyageons (2021), co-écrit avec Catherine-Anne Laranjo et illustré par l’artiste Kesso. Carballo explore avec délicatesse et subtilité la mémoire liée aux souvenirs d’enfance et d’adolescence dans un contexte social spécialement marqué par la pauvreté et la migration, ainsi que les hybridations culturelles et la quête identitaire guidée par l’émotion et par un clair positionnement féministe aux côtés des minorités. Alexandre Melay nous offre [Timescapes], un document photographique présenté par l’auteur où il met en valeur ses préoccupations environnementales et nous fait partager son regard engagé face à « l’impossibilité du paysage » et « l’implacable déconstruction structuraliste du sujet ». Ces photographies en noir en blanc, sorte de cartographie de villes grises, polluées, envahies par les déchets et les éléments inhospitaliers, à l’ère du « Capitalocène », constituent un bel exemple de l’« extrême urbain contemporain ». Enfin, Natalia L. Ferreri de l’Université Nationale de Cordoba et Francisco Aiello de l’Université Nationale de Mar del Plata (toutes deux en Argentine) ont eu la générosité de choisir notre revue pour publier un long entretien en espagnol avec l’écrivaine française (née en Argentine en 1968) Laura Alcoba intitulé « ¿Para qué sirven las historias ? » (« À quoi servent les histoires ? »). Après l’évocation de son sixième et dernier roman intitulé Par la forêt (2022) où la narratrice évoque des expériences traumatiques telles que l’infanticide, le suicide et l’exil, Ferreri et Aiello passent en revue, d’une manière savante et subtile en même temps, les questions essentielles qui traversent l’écriture d’Alcoba où le geste de la traduction, la langue maternelle et la matière des histoires occupent une place prépondérante. Nous inaugurons la section Éventail, où nous voudrions, par le biais des recensions ou des comptes rendus, aérer et diffuser des publications de recherche ou de création proches des intérêts et des perspectives qui animent notre revue. En ce sens, nous publions l’intéressante et complète recension de Martine Renouprez de l’Université de Cadix (Espagne) sur le livre de Laurence Hansen-Love (2022), Planète en ébullition. Écologie, féminisme et responsabilité. Notre revue commence à décoller, à être indexée, répertoriée, présente un peu partout dans le monde grâce au grand intérêt démontré particulièrement par les chercheur·e·s africain·e·s. Un grand merci à vous. Bonne lecture et rendez-vous en juin 2023 pour questionner les « frontières » dans un Dossier intitulé LIMES. Sol invictus.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Pujante González, Domingo. "Ouverture: Connais-toi toi-même." HYBRIDA, no. 3 (December 31, 2021): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.3.22917.

Full text
Abstract:
"Comme Barthes qui pensait que la littérature devait céder la place à l’auto-écriture de tous, je pense que tout le monde devrait faire la même chose : raconter sa vie. Connais-toi toi-même. Mets-toi en forme. Mets-toi en ordre". Dustan, Guillaume (1999). Nicolas Pages (p. 400). Balland. Guillaume Dustan et sa particulière vision de la littérature (« en littérature, soit c’est soi, soit c’est du bidon », Dustan, 1999, p. 384) me permettent de commencer cette Ouverture du troisième numéro de la revue HYBRIDA. Revue scientifique sur les hybridations culturelles et les identités migrantes dont le Dossier central est intitulé SIDA/S – 40 ans. Pour suivre les conseils de Dustan, je vais raconter (un peu) ma vie : en 1994, étant ce que l’on appelle « jeune chercheur », j’ai présenté un projet sur « sida et littérature » qui m’aurait permis d’obtenir une bourse aboutissant à une thèse doctorale. Je n’ai pas eu la bourse et j’ai dû changer de sujet pour candidater à nouveau l’année suivante. J’ai finalement obtenu cette bourse, ce qui m’a permis de commencer ma « carrière » universitaire en 1996. Le fait est que, même si je me suis centré sur le corps dans le discours artistico-littéraire d’avant-garde, notamment dans le théâtre (« panique »), je n’ai jamais quitté ce premier projet et me suis toujours intéressé aux écritures liées à l’expérience de la maladie, et plus concrètement aux « récits de sida », surtout d’écrivains homosexuels ayant pour la plupart disparu à cause de l’épidémie. Le souvenir du congrès Sida y cultura (Sida et culture) à l’Université de Valence en 1997, organisé, il y a 25 ans, par Ana Monleón et Ahmed Haderbache, restera donc toujours comme un moment important dans ma mémoire affective et académique. Je leur serai toujours reconnaissant de m’avoir permis de publier mon premier article de recherche intitulé « Escribir en el apremio » (« Écrire dans l’urgence »). Malheureusement, ce « modeste » volume, qui a même été exposé au Musée d’Art Moderne de Valence (IVAM), n’a pas eu une large diffusion. C’est donc un privilège de pouvoir le rééditer comme Annexe à ce numéro d’HYBRIDA. Nous avons respecté l’édition originale de 1997, même si elle ne répond pas aux normes éditoriales de la revue ni aux critères actuels de « qualité » concernant les publications scientifiques. Le volume est composé d’un bel ensemble de dix-neuf contributions de personnes venues de générations, de formations et d’horizons différents, ce qui a permis une réelle circulation des savoirs et un échange intéressant entre l’activisme et l’Université. Certains d’entre eux nous ont quittés, prématurément. La mort nous surprend toujours. Voici donc toute ma reconnaissance (nunc et semper) à la Professeure de littérature française Elena Real, ma directrice de thèse, qui s’était spécialisée, entre autres, dans l’autobiographie contemporaine, concrètement dans l’écriture des femmes et les thématiques du corps et de la séduction ; et au journaliste et historien de la déportation homosexuelle Jean Le Bitoux, figure emblématique du militantisme en France et fondateur historique, avec d’autres intellectuels et activistes comme Frank Arnal (décédé à 42 ans en 1993) et Jean Stern, du magazine Le Gai Pied dont le premier numéro de 1979 contenait un article de Michel Foucault qui aurait suggéré le nom. Le magazine a été une grande fenêtre ouverte à la liberté d’expression et à l’activisme homosexuel jusqu’à sa disparition en 1992. Il comptait sur la collaboration habituelle d’intellectuel·le·s et d’auteur·e·s comme Jean-Paul Aron, Renaud Camus, Copi, Guy Hocquenghem, Nathalie Magnan, Hugo Marsan ou Yves Navarre, pour n’en citer que quelques-un·e·s. Même Jean-Paul Sartre lui a accordé une interview en 1980. Mais revenons à Sida y Cultura pour ajouter que les approches ont été riches et variées, aussi bien sociologiques que culturelles, sous une perspective historique (en comparant le sida avec d’autres maladies antérieures), du point de vue de l’analyse du discours sur le sida ou de l’analyse concrète d’œuvres et d’auteurs touchés par le sida comme Cyril Collard (mort en 1993 à 35 ans), Copi (mort en 1987 à 48 ans), Pascal de Duve (mort en 1993 à 29 ans), et bien évidemment Hervé Guibert (mort en 1991 à 36 ans). Nous avons eu la chance également de compter sur la collaboration de Juan Vicente Aliaga, critique d’art espagnol réputé, spécialiste en études de genre et LGBT, qui avait publié quelques années auparavant (1993), aux côtés de José Miguel G. Cortés, le premier essai fait en Espagne sur l’art et le sida intitulé De amor y rabia (D’amour et de rage) qui reste un référent important dans ce domaine. Concernant la coordination du Dossier central SIDA/S – 40 ANS, je tiens à remercier sincèrement Didier Lestrade, journaliste, écrivain et militant reconnu, fondateur d’Act Up-Paris, ainsi que du magazine Têtu, possédant une longue trajectoire et une importante production intellectuelle sur l’activisme LGBT. Ses trois derniers essais portent les titres suggestifs de : Minorités. L’essentiel (2014), Le Journal du Sida. Chroniques 1994-2013 (2015), « mon dernier livre sur le sida », affirme-t-il ; et I love Porn (2021), excellent essai qui reprend la forme du témoignage pour retracer une histoire particulière de la sexualité à partir des années 1970 par l’intermédiaire de la pornographie comme instrument politique de contestation. Je remercie également de tout cœur Ahmed Haderbache, traducteur de Guillaume Dustan en espagnol et grand spécialiste de son œuvre, d’avoir accepté de coordonner ce Dossier qui nous a paru nécessaire pour réactiver la mémoire d’une maladie et d’une production artistico-littéraire qui semble lointaine, voire révolue, surtout pour les jeunes générations, mais qui prend toute sa signification dans le contexte pandémique actuel. Ce Dossier, qui débute par un bel Avant-propos de Didier Lestrade intitulé « Sida : une épidémie presque oubliée » et par une Introduction d’Ahmed Haderbache, est composé de sept articles. Il part du fait sociologique et politique pour aborder la production littéraire, en passant par l’analyse filmique et théâtrale. Thierry Schaffauser s’intéresse aux personnes invisibles, voire oubliées, pour nous proposer une pertinente étude sur l’histoire des mobilisations des travailleuses du sexe contre le VIH en France et au Royaume-Uni ; Romain Chareyron fait une riche analyse des images du sida dans le film 120 battements par minute (2017) ; Henry F. Vásquez Sáenz aborde avec précision la pièce Une visite inopportune (1988), ce qui lui permet de restituer et de resituer la figure du dramaturge franco-argentin Copi en tant qu’auteur subversif et engagé, pionnier du théâtre autobiographique lié au sida. Les deux articles suivants, de Daniel Fliege et de l’écrivaine Ariane Bessette respectivement, proposent d’intéressantes analyses littéraires d’œuvres « autobiographiques » d’auteurs « controversés » car défenseurs des rapports sexuels non protégés ou barebacking : Guillaume Dustan (mort en 2005 à 39 ans) et Érik Rémès. Puisque HYBRIDA s’intéresse particulièrement aux contextes francophones ou comparés, nous avons créé une petite section à la fin du Dossier intitulée Autres regards afin de publier deux articles spécialement attirants. Le premier, écrit par Thibault Boulvain dont la thèse doctorale a été publiée en 2021 sous le titre L’art en sida 1981-1997, aborde les dernières années d’Andy Warhol (décédé en 1987) sous la perspective du sida ; le dernier, proposé par Caroline Benedetto, se penche sur les journaux intimes de l’artiste pluridisciplinaire américain David Wojnarowicz (mort en 1992 à 37 ans), en soulignant les influences françaises. Dans la section Mosaïque, où nous publions des études sur les hybridations culturelles et les identités migrantes qui ne correspondent pas à la thématique centrale du Dossier, nous publions trois articles. José Manuel Sánchez Diosdado analyse profondément les récits coloniaux des voyageuses françaises de la première moitié du XXe siècle qui se sont inspirées du Maroc. Feyrouz Soltani aborde le roman Verre Cassé de l’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou pour y déceler les traces du métissage linguistique et culturel et, enfin, Rolph Roderick Koumba et Ama Brigitte Kouakou nous présentent la langue française comme instrument positif dans la construction de l’altérité à travers l’analyse des œuvres de l’écrivaine franco-sénégalaise Fatou Diome et de l’écrivaine franco-camerounaise Léonora Miano. La section Traces de la revue HYBRIDA est consacrée à la création littéraire et s’éloigne volontairement de l’esprit d’évaluation en double aveugle, bien que les soumissions soient strictement analysées et révisées par le comité éditorial. Dans ce numéro 3, nous publions quatre textes aussi différents qu’intéressants. Leurs auteur·e·s se sont inspiré·e·s de la thématique du Dossier central autour du sida. Nous avons l’honneur de publier un court récit de l’écrivaine québécoise Catherine Mavrikakis intitulé « Évitons de respirer l’air du temps » qui nous met en alerte par rapport aux préjugés qui perdurent de nos jours concernant le sida. Nous voudrions rappeler au passage que, partant de la pensée de Michel Foucault sur la santé et l’organisation sociale, ses recherches sur les écrits du sida, ainsi que sur les notions de contamination, d’aveu et de souffrance, sont d’une grande importance pour la thématique qui nous occupe. Nous ne pouvons que rester admiratifs face à sa double facette de professeure universitaire et d’écrivaine ; et souligner la force de ses romans « autofictionnels » dont Ce qui restera (2017), L’annexe (2019) et L’absente de tous bouquets (2020), pour n’en citer que les derniers. Ensuite, nous avons deux « témoignages » sincères et touchants. Le premier, intitulé Les spectres d’ACT UP, nous propose un parcours émotionnel et académique autour de l’expérience du sida. Son auteur, David Caron, Professeur à l’Université du Michigan, a fait une importante recherche dans le domaine des études LGBT et concrètement sur le VIH. Il s’est intéressé également aux études sur l’holocauste. Parmi ses dernières publications, nous trouvons The Nearness of Others. Searching for Tact and Contact in the Age of HIV (2014) et Marais gay, Marais juif. Pour une théorie queer de la communauté (2015). Le court et intense « témoignage » de Lydia Vázquez Jimémez (écrit en espagnol) intitulé « Filou, te fuiste demasiado pronto » (« Filou, tu es parti trop tôt ») nous montre la difficulté de l’aveu et de s’exprimer par rapport au sida, en nous dévoilant son expérience intime et douloureuse face au deuil dû à la perte de l’être aimé. Au-delà de sa brillante carrière universitaire en tant que spécialiste dans l’étude de l’érotisme et de la sexualité (notamment au XVIIIe siècle), avec une focalisation particulière sur les femmes et le collectif LGBT, je ne voudrais pas négliger sa facette de traductrice en espagnol de l’œuvre d’auteur·e·s admiré·e·s comme Abdellah Taïa, Annie Ernaux, Jean-Baptiste del Amo, Gabrielle Wittkop ou Fatima Daas, entre autres. En tant qu’auteure, j’aimerais signaler son livre illustré Journal intime (2019). Pour clore cette section de création littéraire et dans le but d’encourager l’écriture des jeunes écrivain·e·s, nous publions en espagnol la pièce inédite de Javier Sanz intitulée Reset. Volver a empezar (Reset. Repartir à zéro). Avec une fraîcheur et une franchise touchantes, la pièce aborde, en 2021, la problématique de l’incommunicabilité et de la difficulté à établir des relations amoureuses sincères, ainsi que la découverte de la séropositivité. Je suis persuadé que ce numéro d’HYBRIDA, 25 ans après Sida et Culture, marquera notre trajectoire en tant que revue universitaire. Il ne me reste qu’à remercier très sincèrement notre excellente équipe d’évaluation qui se nourrit et se diversifie à une grande vitesse grâce aux apports de spécialistes du monde entier. Et un sincère merci à José Luis Iniesta, Directeur Artistique de la revue, pour son investissement et son savoir-faire ; sans lui rien ne serait possible… Je vous propose un prochain rendez-vous pour fin juin 2022 pour le numéro 4 d’HYBRIDA. Salus in periculis
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Vigneron, Sylvain. "L’argent dans la ville. France, Espagne, Italie ( XVIIe - XVIIIe siècles), textes réunis par François-Xavier Emmanuelli, Liame, Bulletin du Centre d’Histoire moderne et contemporaine de l’Europe méditerranéenne et de ses périphéries, no 8, juillet-décembre 2001,241 p." Histoire urbaine 8, no. 2 (2003): 213. http://dx.doi.org/10.3917/rhu.008.0213.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Freda, Lou. "Lou Freda, Danièle Bussy Genevois y Gérard Brey, pres., Hommage à Brigitte Magnien et à Michel Ralle. Les Cahiers de civilisation espagnole contemporaine (de 1808 au temps présent). Histoire politique, économique, sociale et culturelle. Angers: Hors série." Historiografías, January 5, 2022, 150–57. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_historiografias/hrht.2021226362.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Mollès, Dévrig. "L’histoire globale et la question maçonnique: éléments pour une analyse." Revista de Estudios Históricos de la Masonería Latinoamericana y Caribeña 6, no. 1 (May 1, 2014). http://dx.doi.org/10.15517/rehmlac.v6i1.15225.

Full text
Abstract:
<span>Depuis les années 1950-1960 en France, depuis les années 1980 en Espagne et dans le monde anglo-saxon et depuis les années 2000 en Amérique latine, une historiographie scientifique spécialisée sur la franc-maçonnerie se développe. Cette jeune communauté scientifique a actuellement besoin d’un bilan historiographique critique. Ce bilan-perspective, nécessairement collectif, est indispensable pour orienter utilement la recherche future. Cet article s’inscrit dans cette dynamique. Prototype fondateur de l’opinion publique internationale (ou plutôt des espaces publics internationaux), les réseaux maçonniques remettent à une histoire globale, renvoyant non seulement à l’analyse des relations internationales contemporaines mais aussi à celle des opinions publiques et des sociétés civiles. Comment l'historiographie universitaire généraliste -et notamment l'histoire dite "globale"- traite-t-elle la question maçonnique ? Quelles sont les perspectives et les périodes privilégiées ? Premier d'une série destinée à évaluer la place de la question maçonnique dans l’historiographique universitaire généraliste, cet article se concentre sur certains ouvrages représentatifs de l’histoire "globale": l'histoire de l'opinion publique de Jürgen Habermas, la <em>World History</em> anglo-saxonne, la quadrilogie d’Eric J. Hobsbawm sur les XIX e et XX e siècles et l'histoire générale du XIX e siècle de Robert Schnerb.</span>
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

"Sonia Gómez-Jordana Ferary, Le Proverbe : vers une définition linguistique. Étude sémantique des proverbes français et espagnols contemporains." Mélanges de la Casa de Velázquez, no. 37-2 (November 15, 2007): 287–91. http://dx.doi.org/10.4000/mcv.1951.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Ramírez, Carmen. "Estudio del catálogo de novelas francesas (1863-1926) traducidas por Sara Insúa-Próspero Miranda." Anales de Filología Francesa, no. 30 (October 25, 2022). http://dx.doi.org/10.6018/analesff.527931.

Full text
Abstract:
This article represents a contribution to the history of the reception of French literature in Spain, raised specially within the print media. Our research stems from the study of a group of French novels (28), by various writers (16) and from various times (1863-1926). They are a unique compendium of works translated mainly between 1915 and 1926 by writer Sara Insúa. Upon reconstituting this catalogue of both male and female writers an obvious diversity is observable. This results in a duality substantiated by the repercussion of the 19th century romantic novel and the contemporary fate of the French novel from the Belle Époque. This corpus eventually posits a multifaceted reading of the highly complex European society of the late 1800s and early 1900s. Este artículo es una contribución a la historia de la recepción de la literatura francesa en España, planteada especialmente a partir de la prensa. Nuestra investigación se centra en el estudio de novelas francesas (28), de facturas diversas (16), de tiempos distintos (1863-1926) que forman un singular compendio de obras traducidas principalmente entre 1915 y 1926 por la escritora Sara Insúa. La reconstitución de este catálogo de escritoras y escritores y su examen evidencian una aparente heterogeneidad que se resuelve en una dualidad sustanciada en la repercusión de la novela rosa femenina decimonónica y la fortuna contemporánea de la novela francesa de la Belle Époque. Este corpus propone al cabo una lectura polimorfa/poliédrica de la compleja sociedad europea finisecular en tránsito hacia el siglo XX, y sus turbulentas primeras décadas. Cet article est une contribution à l’histoire de la réception de la littérature française en Espagne, à partir de la presse. Notre recherche s’attache à l’étude d’une série de romans français (28), de différents auteurs (16), de temps différents (1863-1926) qui forment une collection singulière d’œuvres traduites principalement entre 1915 et 1926 par l’écrivaine Sara Insúa. La reconstitution et l’analyse de ce catalogue d’écrivains et d’´écrivaines éclairent l’hétérogénéité d’un corpus dont une dualité essentielle traduit la répercussion du roman rose féminin du XIXe siècle et la fortune contemporaine du roman de la Belle Époque. Ce corpus composite propose notamment une lecture polyédrique de la complexité de la société européenne fin de siècle et du tournant turbulent des premières décennies du XXe siècle.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Bracco, Diane. "El hechizo de las imágenes: Blancanieves, el cuento espectacular de Pablo Berger (2012)." Fotocinema. Revista científica de cine y fotografía, no. 11 (July 12, 2015). http://dx.doi.org/10.24310/fotocinema.2015.v0i11.6074.

Full text
Abstract:
Resumen:En 2012 se estrena el segundo largometraje del director español Pablo Berger, Blancanieves, adaptación cinematográfica del cuento popular basada en la versión escrita de los hermanos Grimm. La originalidad de esta transposición estriba en la opción por parte del cineasta de rodar una película muda y en blanco y negro, en la que propone además una hispanización de la historia original. El presente artículo pretende examinar los resortes de este cuento en imágenes contemporáneo cuyo autor elabora una poética de la exhibición que actualiza el carácter espectacular y el poder hipnótico del cine primitivo. Se analizarán las distintas declinaciones de la dialéctica del mostrar y del ver, piedra angular de una estética que recicla los tópicos de la españolada, a la par que recoge la tradición de los circos de monstruos y el legado del cine mudo como arte de la ilusión. Más allá de los espectáculos que se despliegan dentro de la diégesis, es la propia película la que genera un metadiscurso sobre la naturaleza mostrativa de la imagen cinematográfica y, por tanto, puede ser considerada como un homenaje a las fantasmagorías del séptimo arte.Palabras clave:Blancanieves; Pablo Berger; cuento de hadas; espectáculo; mostración; espectralidadAbstract:In 2012, the Spanish film-maker Pablo Berger directed Blancanieves, cinematographic adaptation of the popular tale based on the Brothers Grimm’s written version. The originality of this transposition lies in the director’s choice of making a black-and-white silent film in which, moreover, he proposes a hispanisation of the original story. The present article aims to examine the resorts of this contemporary tale in pictures whose author elaborates a poetics of monstration that actualizes the spectacular character and the hypnotic power of primitive cinema. We will analyse the different declinations of the dialectic of exhibition and contemplation, cornerstone of an aesthetics that recycles the topics of the españolada and combinates them with the heritage of freak shows and the legacy of silent cinema as an art of illusion. Beyond the shows that take place in the diegesis, the film generates a metadiscourse about the monstrative nature of the cinematographic picture and, consequently, can be considered as a hommage to the phantasmagorias of the cinema.Keywords:Blancanieves; Pablo Berger; Fairy Tale; Show; Monstration; Spectrality L’ENVOÛTEMENT PAR L’IMAGE: BLANCANIEVES, LE CONTE SPECTACULAIRE DE PABLO BERGER (2012)Résumé:En 2012 sort sur les écrans le second long-métrage du metteur en scène espagnol Pablo Berger, Blancanieves, adaptation cinématographique du conte populaire basée sur le récit scriptural des frères Grimm. L’originalité de cette transposition repose sur le choix du réalisateur de tourner un film muet en noir et blanc, dans lequel il procède en outre à une hispanisation de l’histoire originale. Le présent article se propose d’examiner les ressorts de ce conte en images contemporain dont l’auteur élabore une poétique de l’exhibition qui actualise le caractère spectaculaire et le pouvoir hypnotique du cinéma primitif. Nous analyserons les différentes déclinaisons de la dialectique du montrer et du voir, pierre angulaire d’une esthétique qui recycle les topiques de l’espagnolade, tout en recueillant la tradition des foires de monstres et le legs du cinéma muet comme art de l’illusion. Au-delà des spectacles qui se déploient au sein de la diégèse, c’est le film lui-même qui génère un métadiscours sur la nature monstrative de l’image cinématographique et, par là même, apparaît comme un hommage aux fantasmagories du septième art.Mots clés: Blancanieves; Pablo Berger; conte de fées; spectacle; monstration; spectralité
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography