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Journal articles on the topic 'Hausses de taxes'

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Laffargue, Jean-Pierre. "Effets et financement d'une réduction des charges sur les bas salaires." Revue économique 51, no. 3 (May 1, 2000): 489–98. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p2000.51n3.0489.

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Abstract:
Résumé Cet article examine comment une baisse des cotisations sociales employeurs sur le travail non qualifié peut être financée par des hausses d'autres taxes ou para-taxes, et quelles sont les conséquences pour l'économie. Quel que soit son mode de financement, l'allégement des cotisations sociales employeurs sur les bas salaires a des effets favorables sur l'emploi. La mesure qui vient au premier rang est l'imposition des bénéfices des entreprises. Un mode de financement est très bon pour l'emploi et l'activité, mais mauvais pour les salaires réels nets de taxes : la hausse des cotisations sociales employeurs sur les qualifiés. Une augmentation de l'imposition de la FBCF productive est meilleure pour les salaires des qualifiés, moins bonne pour l'activité et a un effet voisin sur l'emploi. La cotisation à la valeur ajoutée et la taxation de la consommation donnent des résultats légèrement inférieurs. Cependant, le choix du mode de financement a des effets relativement secondaires à côté de l'important gain d'emplois que génère la baisse des charges patronales sur le travail non qualifié.
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Dubois, Gérard. "Pour un renforcement du contrôle du tabac en France : place des hausses dissuasives et répétées des taxes sur le tabac." Bulletin de l'Académie Nationale de Médecine 196, no. 3 (March 2012): 755–57. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-4079(19)31813-8.

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3

Garon, Jean-Denis, and Alain Paquet. "LES ENJEUX D’EFFICIENCE ET LA FISCALITÉ." Articles 93, no. 3 (March 29, 2019): 297–337. http://dx.doi.org/10.7202/1058424ar.

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Abstract:
Cet article passe principalement en revue différentes questions liées aux impacts de la fiscalité sur l’efficience et discute de propositions clés de la Commission d’examen sur la fiscalité québécoise (CEFQ). Tout en faisant référence à des propositions de réformes majeures à l’étranger, à l’aide d’une recension de la littérature, il présente les grands principes économiques sur lesquels doit reposer une révision du système fiscal. Il fait notamment ressortir le rôle des taux effectifs marginaux d’imposition et différents aspects à considérer lors d’une restructuration d’une taxe sur la consommation. Ceux-ci incluent le mode de prélèvement fiscal qui peut différer d’un prélèvement d’une taxe indirecte sur la valeur ajoutée, de la pertinence ou non d’appliquer un taux uniforme,etc.D’autres questions sont aussi abordées telles que les taxes sur les revenus du travail et du capital, de même que la taxation environnementale.En Grande-Bretagne en 1978, le rapport Meade faisait émerger plusieurs idées importantes telles que : privilégier la taxation du revenu dépensé (consommation) à un taux uniforme pour détaxer l’épargne, réduire les taux de taxation statutaire sur le revenu, abolir des échappatoires fiscales et réformer l’imposition sur les héritages. En 2011, le rapport Mirrlees s’est concentré sur la réduction des effets distortifs de la fiscalité au Royaume-Uni en maintenant les recettes du gouvernement constantes et en affectant le moins possible la redistribution des revenus. Le rapport recommande un impôt sur le revenu progressif et transparent sur le revenu des particuliers. Par ailleurs, quant à l’impôt sur les rendements du capital, le système fiscal devrait être neutre en évitant d’influencer le calendrier et la nature des investissements.Des éléments de théories viennent appuyer les arguments de Meade et Mirrlees. Le modèle néoclassique canonique permet de tirer plusieurs conclusions quant aux effets de la fiscalité sur l’efficacité économique. Notamment, il est préférable que les taux marginaux de taxation varient peu à travers le temps, car de trop grandes variations pousseront les ménages à modifier leurs décisions intertemporelles quant à leur consommation et leur travail à travers le temps, occasionnant ainsi des pertes sèches dans l’économie. Les taxes sur le revenu du travail et sur la consommation vont impacter sur les choix de consommation et de travail des ménages. Les taxes sur le revenu du capital ont à la fois des impacts sur la capacité de production future et les choix intertemporels des ménages.Plusieurs considérations doivent être prises en compte pour analyser la taxation des rendements du capital, qui tendent à décourager l’investissement privé. Premièrement, le gouvernement doit être intertemporellement cohérent, notamment si on veut éviter le recours à une taxe confiscatoire sur l’ensemble du revenu du capital. Deuxièmement, une taxe sur les rendements du capital est une taxe sur la consommation future. Troisièmement, pour des biens intermédiaires produits en situation de concurrence imparfaite, tout comme le mark-up inhérent au pouvoir de marché des firmes, l’impact d’une taxe sur revenu du capital sur l’investissement peut être accentué. Des considérations similaires s’appliquent également à l’investissement en capital humain. Par ailleurs, en présence d’agents hétérogènes soumis à des risques spécifiques non diversifiables, une taxe sur les rendements du capital pourrait être optimale afin d’éviter une épargne excessive.Les agents économiques peuvent être très sensibles à une hausse de la taxation des revenus du travail. Selon les cas, elle peut les pousser à réduire le nombre d’heures travaillées (à la marge intensive), à quitter le marché de l’emploi (à la marge extensive), à rechercher des formes de rémunération du travail non imposées ou moins imposées, voire à adopter des stratagèmes d’évitement fiscal, ou carrément se tourner vers l’économie clandestine. Tout en reconnaissant l’existence d’un débat sur l’ampleur empirique de chacun de ces effets, plusieurs travaux récents suggèrent que les impacts macroéconomiques sur les marges intensive et extensive peuvent être plus importants qu’on le pensait, surtout en fonction de l’âge et de la situation familiale des ménages. En outre, un impact négatif significatif de l’imposition des revenus du travail se ferait sentir sur l’accumulation de capital humain.D’autre part, en raison de l’interaction et du calcul applicable aux multiples crédits d’impôt existants de différents niveaux de gouvernement, les taux effectifs marginaux d’imposition sur le revenu du travail, notamment au Québec, sont souvent très élevés pour des travailleurs à faibles et moyens revenus, avec des effets désincitatifs vraisemblablement significatifs sur l’emploi. Un bouclier fiscal, dans la foulée d’une des recommandations de la CEFQ, peut compenser, dans une certaine mesure, la non-éligibilité partielle ou totale d’aides gouvernementales survenant avec une hausse du revenu personnel. Cette question mérite que les gouvernements y accordent une attention soutenue.La réforme proposée par la CEFQ a pour objectif de réduire les distorsions économiques causées par le système fiscal. La CEFQ propose notamment de taxer davantage la consommation et de réduire la taxation des intrants. Elle privilégie la TVQ à taux uniforme en tant que principal moyen de taxer la consommation, tout en préservant des biens détaxés. Pourtant, Boadway et Pestieau (2003) énumèrent des situations où il serait optimal de différencier les taux de taxation sur les biens, même en présence d’un impôt direct linéaire. Par souci d’équité, il est toutefois nécessaire de bonifier le crédit d’impôt pour solidarité pour les ménages à faibles revenus. Ces différentes questions font l’objet d’une réflexion approfondie.Les taxes environnementales viennent, avant toute chose, corriger les externalités négatives générées par l’activité économique. À l’instar des autres formes de taxation, elles génèrent tout de même des distorsions, qui réduisent l’assiette fiscale. De plus, une littérature émergente sur les changements technologiques « dirigés » montre que la combinaison de taxes sur le carbone et de subventions de recherche pour stimuler l’innovation et le développement de technologies propres peut être socialement optimale, lorsque des technologies propres et polluantes sont en concurrence.Réformer la fiscalité est une tâche de grande ampleur. De telles réformes affectent le quotidien des citoyens et suscitent des débats et les oppositions de certains groupes et personnes à une telle démarche. Pour augmenter les chances de succès d’une telle entreprise, et notamment sa faisabilité politique, le Québec aurait avantage à s’inspirer d’expériences ailleurs dans le monde. La proposition de réforme fiscale doit se fonder sur la science et sur les bonnes pratiques suggérées à la fois par les enseignements microéconomiques et macroéconomiques de la théorie de la taxation, ainsi que ceux tirés de la recherche empirique. Sans atteindre la perfection, tout en tenant compte des impondérables et des exigences démocratiques, un système fiscal peut être plus performant sur le plan de l’efficacité et de l’équité à la condition qu’un gouvernement fasse preuve de vision, de profondeur, de transparence et de volonté.
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Drèze, Jacques H. "L’arbitrage entre équité et efficacité en matière d’emploi et de salaires." Recherches économiques de Louvain 55, no. 1 (1989): 3–31. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800031560.

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Abstract:
RésuméL’arbitrage entre équité et efficacité en matière d’emploi et de salaires est abordé de deux manières. D’une part, un modèle simple permet d’analyser les conditions qui rendent la politique de salaire minimum un instrument plus efficace de redistribution que les taxes et les transferts. Une condition nécessaire et suffisante est que la perte de bien-être associée à une hausse des taxes de un franc excède l’élasticité (en valeur absolue) de l’emploi par rapport au salaire net. D’autre part, le modèle est élargi à l’incertitude et aux marchés incomplets. Il est démontré qu’en absence d’un mécanisme adéquat de partage efficient du risque entre tous les agents (en particulier entre les actionnaires et les travailleurs) une forme de rigidité à la baisse des salaires est plus efficace au sens de Pareto.
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Hernu, Paul. "Des relations financières difficiles et très contraintes entre l’État et les colectivités locales." Gestion & Finances Publiques, no. 5 (September 2020): 04–17. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2020.5.001.

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Abstract:
La régulation centralisée des ressources et des dépenses des collectivités territoriales n’a fait que se renforcer par des transferts financiers, en hausse mais inégalement réparti ; par une régulation drastique des ressources, mais non ajustée à la situation de chaque collectivité et, en dernier lieu, par l’encadrement contractuel de la progression des dépenses de fonctionnement et les incidences de la réforme de la taxe d’habitation qui poursuivent les restrictions à l’autonomie financière des collectivités. Les mesures d’urgence prises à la suite de la crise sanitaire ne modifient guère cette tendance.
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Jolidon, René-Marc. "Taxe, mensonge et idéaux Ou quand la révision de la TVA promet une hausse de 5,5% du coût de la santé." Revue Médicale Suisse 2, no. 90 (2006): 2822–23. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2006.2.90.2822.

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Classen, Albrecht. "Kathryn L. Smithies, Introducing the Medieval Ass. Cardiff: University of Wales Press, 2020, xv, 163 pp., 7 b/w ill." Mediaevistik 34, no. 1 (January 1, 2021): 360–61. http://dx.doi.org/10.3726/med.2021.01.59.

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Abstract:
Even if we might not think much about the ass within the spectrum of medieval culture and nature, it was closely associated already with Jesus, being one of the animals in the shed where he was born. And later, when the savior rode into Jerusalem, he used an ass as a symbol of his humility. Agriculture and the transportation system during antiquity and the Middle Ages, and actually far beyond, cannot be imagined without this beast, and in times of need, such as in crusades, the ass was also eaten. Not surprisingly, the ass also appears almost ubiquitously in fable literature and in the visual arts serving as a symbolic animal. We find some references to the ass in the Lexikon des Mittelalters or in dictionaries of symbols (Hans Biedermann, Knaur Lexikon der Symbole, 1989; Christoph Wetzel, Das grosse Lexikon der Symbole, 2008), but it proves difficult to identify any major study on this animal. However, it’s use in Christianity, in fairy tales, symbolism, and elsewhere is quite well covered in the German online article at <uri href="https://de.wikipedia.org/wiki/Hausesel">https://de.wikipedia.org/wiki/Hausesel</uri> (last accessed on Feb. 2, 2021). But all this is now, more or less, superseded by Kathryn L. Smithies’s at first sight quite pleasant, unpretentious, but informative study. As she points out right away, the ass appeared as a rather ambiguous animal, being mocked at, despised, praised, idealized, and ridiculed again, all depending on the context and the intention of the artist or narrator.
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Dias, Fernando Rodrigues, Laura Castro de Sá, Tadeu Ribeiro Toledo, and Júlia Eduarda Queiroz Grossi. "SÍNDROME DE MAYER-ROKITANSKY-KÜSTER-HAUSER: UMA REVISÃO BIBLIOGRÁFICA SOBRE AGENESIA UTERINA." Revista Ibero-Americana de Humanidades, Ciências e Educação 10, no. 10 (October 9, 2024): 1494–99. http://dx.doi.org/10.51891/rease.v10i10.15991.

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Abstract:
A síndrome de Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser (SMRKH) é uma malformação congênita rara, caracterizada pela agenesia do útero e dos dois terços superiores da vagina em mulheres com cariótipo 46XX e características sexuais secundárias normais. O diagnóstico, geralmente feito durante a adolescência, é desencadeado pela ausência de menstruação (amenorreia primária) e pode ter um impacto emocional significativo nas pacientes. Esta revisão tem como objetivo explorar a etiologia, o diagnóstico e as opções terapêuticas para a SMRKH, destacando o tratamento conservador com dilatação vaginal e as intervenções cirúrgicas, como a vaginoplastia. A dilatação vaginal é recomendada como tratamento de primeira linha, devido à sua abordagem minimamente invasiva e altas taxas de sucesso. No entanto, a cirurgia continua sendo uma alternativa eficaz para pacientes que não respondem ao tratamento conservador. A importância do acompanhamento multidisciplinar é enfatizada, considerando os desafios psicológicos e físicos enfrentados pelas pacientes.
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Lovell, A. E., T. Kawano, S. Okumura, M. R. Mumpower, I. Stetcu, and P. Talou. "The Extension of the Hauser-Feshbach Fission Fragment Decay Model to Multi-chance Fission and its Application to 239Pu." EPJ Web of Conferences 284 (2023): 04015. http://dx.doi.org/10.1051/epjconf/202328404015.

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Abstract:
The Hauser-Feshbach fission fragment decay model, HF3D, calculates the statistical decay of fission fragments through both prompt and delayed neutron and γ-ray emissions in a deterministic manner. While previously limited to the calculation of only first-chance fission, the model has recently been extended to include multi-chance fission, up to neutron incident energies of 20 MeV. The deterministic decay takes as input prescission quantities–fission probabilities, pre-fission neutron energies, and the average energy causing fission– and post-scission quantities–yields in mass, charge, total kinetic energy, spin, and parity. From those fission fragment initial conditions, the full decay is followed through both prompt and delayed particle emissions. The evaporation of the prompt neutrons and γ rays is calculated through the Hauser-Feshbach statistical theory, taking into account the competition between neutron and γ-ray emission, conserving energy, spin, and parity. The delayed emission is taken into account using time-independent calculation using decay data. This whole formulation allows for the calculation of prompt neutron and γ-ray properties, such as multiplicities and energy distributions, both independent and cumulative fission yields, and delayed neutron observables, in a consistent framework. Here, we describe the implementation of multi-chance fission into the HF3D model, and show an example of prompt and delayed quantities beyond first-chance fission, using the example of neutron-induced fission on 239Pu. This expansion represents significant progress in consistently modeling the emission of prompt and delayed particles from fissile systems.
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Heyer, Éric, and Xavier Timbeau. "Le prix de l’inflation." Revue de l'OFCE N° 180, no. 1 (March 6, 2024): 139–76. http://dx.doi.org/10.3917/reof.180.0139.

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Abstract:
La reprise de l’activité post-Covid a été violemment freinée par de multiples événements, en premier lieu les conséquences de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. La crise énergétique, le retour du spectre de l’inflation, les tensions internationales et les difficultés d’approvisionnement, la remontée brutale des taux… l’ensemble de ces chocs amputeraient la croissance du PIB de 3 points sur trois ans malgré les mesures budgétaires déployées. Si le reflux des prix de l’énergie depuis le pic de l’été 2022 devrait permettre d’éviter officiellement une récession, l’économie française ne devrait cependant croître que de 0,8 % en 2023, marquée encore par la diffusion du choc monétaire et énergétique. En 2024, sous l’hypothèse d’une relative stabilité des prix de l’énergie et sans crise financière majeure, la croissance du PIB serait de 1,2 %. La croissance de l’activité serait principalement amputée par la diffusion de la hausse des taux et une politique budgétaire plus restrictive. Tirée par les prix de l’alimentaire, l’inflation resterait élevée jusqu’à la fin de l’année 2023 oscillant entre 5,5 % et 6,5 %. Elle commencerait à se dégonfler seulement à partir de 2024 pour converger vers les 3 % à la fin de l’année prochaine. Au total, l’inflation mesurée par l’IPC, augmenterait en moyenne de 5,8 % en 2023 et de 3,8 % en 2024. Le pouvoir d’achat par unité de consommation baisserait de 1,2 % sur la période 2022-2024. Il reviendrait en 2024 à un niveau proche de 2019 malgré les mesures fiscales déployées. Le taux d’épargne des ménages, encore près de 3 points au-dessus de son niveau de 2019 à la fin 2022, convergerait vers son niveau d’avant-crise à l’horizon de la prévision, soutenant ainsi la consommation. La « surépargne » accumulée depuis le début de la crise Covid représenterait 12,6 % de leur revenu annuel, hors taxe inflationniste sur le patrimoine, à la fin de l’année 2024. Le climat des affaires des entreprises contraste avec les déficits extérieurs historiques. Cependant, le moindre restockage et la stabilité attendue du taux d’investissement, couplés à un rattrapage partiel des parts de marché avec notamment l’amélioration de la situation dans l’aéronautique, permettrait au commerce extérieur de contribuer positivement à la croissance au cours des trimestres à venir. L’année 2023 devrait être l’année du retournement du marché du travail, le taux de chômage augmentant à partir du second semestre, avec la baisse de l’apprentissage et la hausse de la durée du travail. Nous attendons 101 000 pertes d’emplois entre la fin de l’année 2022 et celle de 2024 et un taux de chômage à 7,9 % à la fin de l’année prochaine (contre 7,2 % actuellement). Cependant la productivité du travail ne retrouverait pas sa tendance d’avant-crise d’ici la fin 2024, révélant un cycle de productivité encore largement creusé. Le déficit public à 4,7 % du PIB en 2022, plus bas que prévu dans le PLF 2023, diminuerait légèrement, sous l’effet de l’extinction progressive des mesures sanitaires et énergétiques pour atteindre 4 % du PIB en 2024. Le ratio entre dette publique et PIB baisserait, passant de 111,6 % en 2022 à 107,8 % en 2024, ce dernier bénéficiant d’une croissance du PIB nominal vigoureuse avec la hausse marquée des prix du PIB. L’inflation élevée relève compta-blement le niveau de déficit qui stabilise la dette en points de PIB, allégeant ainsi le poids de la dette.
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Papathanasiou, Panagiotis, Beat Kissling, Vivek Kumar, Adrian Rohner, Oliver Berberig, and Michal Bezdek. "Effect of an asymmetric flow disturber on an ultrasonic flowmeter." tm - Technisches Messen 87, no. 1 (January 28, 2020): 3–17. http://dx.doi.org/10.1515/teme-2019-0131.

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Abstract:
AbstractAn ultrasonic flowmeter used in custody-transfer heat metering applications is subject to several test applications for approval. A flow disturbance test with an asymmetric swirl generator upstream of the device is performed to evaluate its accuracy with and without the swirl generator. This standard asymmetric swirl generator is designed to reproduce the behaviour of applications in the field, such as an out of plane 90° double bend. To assess the compliance of the already approved device (Endress+Hauser Prosonic Flow E Heat) for heat metering applications with the standard asymmetric swirl generator, extensive Computational Fluid Dynamics (CFD) simulations are performed. The steady and transient CFD simulations are carried out on a High-Performance Computer (HPC) for several volume flows. With the developed automated simulation method, a virtual calibration of the device takes place. The calibration curves for the cases of a straight pipe, and an asymmetric flow disturber mounted upstream of the flowmeter are attained from experiments and simulations. The agreement of experiments and simulations is discussed and physical insight for the behaviour of the flow disturber and the flowmeter is gained.
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Docquier, Frédéric, Philippe Liégeois, and Jean-Philippe Stijns. "Comptabilité générationnelle et vieillissement démographique : les enseignements d’un modèle d’équilibre général calculable calibré pour la Belgique." Textes d’analyse 75, no. 1-2-3 (February 9, 2009): 333–56. http://dx.doi.org/10.7202/602294ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Dans la plupart des pays développés, un vieillissement démographique important s’annonce. À politique économique inchangée, ce vieillissement générera un accroissement important des charges supportées par les individus jeunes et actifs, présents et à venir, et donc une détérioration de la situation des générations futures. Dans ce débat, la comptabilité générationnelle d’Auerbach et al. (1991, 1994) et Kotlikoff (1992) occupe une place prépondérante. Elle permet, en effet, de comparer le bilan fiscal moyen des générations à venir avec la charge supportée par les générations actuelles. Nous proposons dans ce papier une extension immédiate de la comptabilité générationnelle d’Auerbach et al., qui consiste à estimer, de manière mécanique, la distribution de la charge léguée entre les générations futures. En supposant que la taxe sur les salaires équilibre le budget de l’État à chaque période, il ressort que ce sont les générations qui atteignent l’âge adulte entre 2020 et 2035 qui supportent la charge la plus forte. Les résultats sont établis sur base de données valables pour la Belgique. Puis nous comparons les enseignements de cette approche avec les résultats livrés par un modèle d’équilibre général dans lequel les agents ont une durée de vie incertaine. Ce type de modèle restitue un ensemble de grandeurs établies sur base d’hypothèses de comportement rationnel des individus et d’équilibre des marchés. Il nous montre que les écarts entre les charges supportées par les individus actuellement en vie et ceux à naître pourraient être beaucoup plus prononcés que ceux dégagés par une simple extrapolation mécanique. Cet effet est essentiellement dû à un rétrécissement des bases fiscales résultant d’une hausse du taux de taxation des salaires.
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Parens, Henri. "Book Review: OUT OF THE WOODS: TALES OF RESILIENT TEENS. By Stuart T. Hauser, Joseph P. Allen, and Eve Golden. Cambridge: Harvard University Press, 2006, 321 pp., $27.95." Journal of the American Psychoanalytic Association 56, no. 1 (March 2008): 325–30. http://dx.doi.org/10.1177/0003065108315723.

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Dufouleur, Pierre-Bénigne. "La présence des cardinaux à la Curie et leur participation politique au gouvernement de l’Église (1418-1517)." Revue historique 711, no. 3 (November 13, 2024): 435–69. http://dx.doi.org/10.3917/rhis.243.0435.

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Abstract:
Les historiens se sont intéressés depuis longtemps à la question théorique de la résidence des cardinaux à la Curie et à leur participation fluctuante au gouvernement de l’Église. Néanmoins la présence des sénateurs de l’Église aussi bien aux consistoires qu’aux cérémonies liturgiques pontificales n’avait jamais été envisagée de manière pratique. Il est pourtant possible de mesurer avec précision cette présence à l’aide des journaux des cérémoniaires, des lettres consistoriales et surtout par le biais d’une source comptable. En effet, les cardinaux ne peuvent toucher une part de la taxe des services communs qu’à la condition de participer aux consistoires. Plusieurs registres des Divisiones , dans lesquels sont enregistrées les répartitions de ce revenu fiscal entre les cardinaux, ont été conservés pour le xv e siècle. L’étude de ces sources montre que le taux d’absentéisme à la Curie augmente de manière sensible chez les cardinaux de la fin du xv e et du début du xvi e siècle. Cette hausse s’explique certainement par des créations de cardinaux d’État de plus en plus nombreuses. Le Sacré Collège se divise donc à cette époque en deux catégories : d’une part des cardinaux, souvent italiens, qui résident auprès du pape et le conseillent et, d’autre part, des sénateurs qui restent dans leur pays d’origine, généralement pour conseiller le souverain local, et pour lesquels la pourpre représente avant tout une distinction honorifique. Toutefois, tous les cardinaux qui entourent le pape ne participent pas à parts égales au gouvernement de l’Église. À la Renaissance, les souverains pontifes s’appuient de plus en plus sur un petit groupe informel de conseillers dans lequel plusieurs cardinaux tiennent les premières places. Il faut donc nuancer l’idée selon laquelle le pouvoir du Sacré Collège diminuerait au xv e siècle, préfigurant ainsi la situation du xvi e siècle, mais plutôt veiller à différencier les situations en son sein.
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RUSZKOWSKA, MILLENA, and MARIA ŚMIECHOWSKA. "PHYSICOCHEMICAL PROPERTIES OF INNOVATIVE MULTICOMPONENT DIETARY SUPPLEMENTS." Zywnosc Nauka Technologia Jakosc/Food Science Technology Quality 30, no. 4 (2023): 94–114. http://dx.doi.org/10.15193/zntj/2023/137/474.

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Abstract:
Background. In recent years, dietary supplements have become the subject of interest among con sumers, food producers and the pharmaceutical industry. Dietary supplements are not medicinal products and are not considered as such. However, the majority of society in many countries treats dietary supple ments as equal to medicinal products. The article draws attention to innovative dietary supplements con taining many ingredients from exotic plants, which have not been used in supplements to such an extent so far. The aim of this study was to determine the physicochemical properties of multi-ingredient Purella Super Mix dietary supplements. These supplements are produced by Purella Food, and the series includes five products with various advertised effects on the human body. Purella Super Mix products were charac terized in terms of their composition and the resulting importance for human health. A number of physico chemical analyzes of Purella Super Mix were carried out, which have not been published to this extent before. Water content, water activity, bulk density and the angle of repose and cone angle were measured, as well as the Hausner ratio and the Carr index were determined. These properties deliver important in formation both for the technological process and for subsequent stages of the product life cycle. Results and conclusions. The results of the research on the physicochemical properties of innovative multi-ingredient dietary supplements can be used to predict the durability of these products and to design the packaging that takes into account the behavior of supplements during storage. The results obtained may also constitute the basis for further research on improving the composition and properties of multiingredient dietary supplements.
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Ouali, Tejeddine Ben. "Etude de la Pression Fiscale en Tunisie." European Scientific Journal, ESJ 20, no. 7 (March 31, 2024): 79. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n7p79.

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Abstract:
La pression fiscale exerce une influence notable sur l’investissement et sur le taux de croissance des recettes de l’Etat. En partant des résultats d’Ibn Khaldoun (1377) et de Fisher (1974) et des données du ministère des finances tunisien. Nous avons constaté un accroissement vertigineux du taux de la pression fiscale. Cette dernière est presque restée constante entre 1995 et 2010 en se situant à 20,58%. Elle a atteint son apogée en 2022 pour se situer à 24,5%, compte non tenu des cotisations sociales et de la contribution sociale de solidarité (CSCSS) et 32,5% compte tenu de ces obligations sociales. Notre objectif est d’examiner l’effet de l’accroissement de la pression fiscale sur les recettes des impôts en Tunisie. Nous utilisons la droite de régression qui relie les recettes fiscales à la pression fiscale. Il se révèle que l’accroissement du taux de la pression fiscale d’un point augmente les recettes fiscales de 472,371 millions de dinars. Le taux optimal de la pression fiscale est d’environ 20,1%. La confirmation empirique de la théorie, nous a conduits à la réflexion relative à la politique fiscale et à la politique monétaire d’accroissement des taux et de hausse des impôts différés. L’Etat doit chercher des substituts à des mesures conjoncturelles, par l’élargissement de l’assiette imposable, l’attraction de la population active informelle, l’imposition d’un taux attractif augmentant les recettes fiscales sans nuire aux contribuables. La politique monétaire expansionniste ne doit pas émaner d’un refinancement des banques pour les créances gouvernementales. Elle doit avoir pour objectif une baisse du taux d’intérêt en vue de stimuler l’économie et catalyser les agrégats macroéconomiques de croissance. La restructuration des entreprises publiques passe par des montages financiers par la haut et par le bas du bilan, tout en gardant l’intérêt de l’Etat et des salariés, par l’usage d’instruments financiers de pointe. Tax pressure significantly influences investment and the growth rate of state revenue. Based on the findings of Ibn Khaldoun (1377), Fisher (1974), and data from the Tunisian Ministry of Finance, there has been a notable increase in the tax pressure rate. This rate remained almost constant between 1995 and 2010, standing at 20.58%. It peaked in 2022, reaching 24.5%, excluding social contributions and the social solidarity contribution (SCSSC), and 32.5% when considering these social obligations. This paper focuses on examining the effect of the increase in tax pressure on tax revenues in Tunisia. Utilizing a regression line linking tax revenue to tax pressure reveals that a one-point increase in the tax pressure boosts tax revenue by 472.371 million dinars. The optimal tax rate is approximately 20.1%. The empirical confirmation of this theory prompts reflection on fiscal and monetary policies regarding increasing rates and deferred taxes. The State must explore substitutes for temporary measures by broadening the tax base, attracting the informal working population, and imposing attractive rates to increase tax revenue without burdening taxpayers. Expansionary monetary policy should not rely on bank refinancing of government debts. Its objective should focus on reducing interest rates to stimulate the economy and catalyze macroeconomic growth aggregates. The restructuring of public companies necessitates financial adjustments across the balance sheet, while maintaining the interests of the State and employees through the use of advanced financial instruments.
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Meil, Gerardo. "Geographic job mobility and parenthood decisions." Journal of Family Research 22, no. 2 (September 1, 2010): 171–95. http://dx.doi.org/10.20377/jfr-273.

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Abstract:
The aim of this paper is to analyse, differentiated by gender, the effects that high geographical job mobility has on parenthood decisions. In particular, in a first part we will examine whether job mobility fosters childlessness and/or postponement of childbearing and if mobility implies a lower family size. In a second part we will analyse how the specific working conditions of mobile people and their resources for balancing working and private lives affect childlessness and postponement of parenthood. The analysis will be based on a representative survey of people aged 25 to 54, performed in six European countries (Germany, France, Spain, Poland, Switzerland and Belgium) in 2007, oversampling mobile people in order to get enough cases to analyse. Results show that the impact of high job mobility on the timing and quantum of parenthood is important, both for men and women, but stronger for the latter. Besides gender, the strength of the impact depends on the duration of job mobility and when it takes place in the lifecycle. Resources for promoting a better balance of working and private lives such as flexitime and teleworking have no clear impact on parenthood decisions, but having a supportive employer facilitates family development of mobile employees. A greater involvement of men in unpaid work does not seem to facilitate fertility decisions of mobile women. Zusammenfassung In diesem Beitrag wird der Frage nachgegangen, inwieweit hohe berufsbedingte räumliche Mobilität negative Folgen auf die Familienentwicklung hat. Im ersten Teil des Aufsatzes wird getrennt nach Geschlecht analysiert, ob Mobilität Kinderlosigkeit fördert, eine Verschiebung des Geburtenkalenders verursacht und ob sie eine Reduktion der Familiengröße zur Folge hat. Darüber hinaus wird in dem zweiten Teil analysiert, welchen Einfluss bestimmte Arbeitsbedingungen sowie die Ressourcen, die Familien zur Verfügung stehen, um Familie und Beruf zu vereinbaren, auf die Entscheidungen bezüglich Elternschaft ausüben. Die Analyse stützt sich auf eine repräsentative Umfrage in sechs europäischen Ländern (Deutschland, Frankreich, Spanien, Polen, Schweiz und Belgien) mit Personen im Alter zwischen 25 und 54 Jahren. Die Daten wurden in 2007 erhoben. Mobile Erwerbstätige wurden überproportional erhoben, um eine ausreichende Fallzahl zu gewährleisten. Die Ergebnisse zeigen, dass die Auswirkung der Mobilität auf die Familienentwicklung von Bedeutung ist, wobei sich Mobilität von Frauen stärker auswirkt. Darüber hinaus ist von Bedeutung, wann im Lebenslauf Mobilität und Elternschaft stattfinden und wie lange die Phase der mobilen Arbeit andauert. Flexible Arbeitszeiten oder die Möglichkeit, einen Teil der Arbeit zu Hause zu leisten, haben keinen eindeutigen Einfluss auf die Entscheidungen zur Elternschaft von mobilen Erwerbstätigen, wohl aber die Unterstützung durch den Arbeitgeber. Unterstützung seitens des Partners scheint die Entscheidung mobiler Frauen für Kinder nicht zu fördern.
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Pläsken, Cornelia. "Mit saurer Milch und Würstchen mit Vanillesoße gegen die schlechte Laune." merz | medien + erziehung 59, no. 1 (February 2, 2015): 86–87. http://dx.doi.org/10.21240/merz/2015.1.22.

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Abstract:
Boehme, Julia (2014). Tschüss, kleines Muffelmonster! Alle drei Muffelmonster-Geschichten. Hörbuch, Der Audio Verlag, 30 Min., 9,99 €. Eines Morgens wurde Moritz von einem lauten Geräusch geweckt – es klang, als würde jemand gegen sein Bett treten. Da rieb er sich verschlafen die Augen und konnte kaum glauben was er sah: ein kleines schwarzes Monster mit zotteligem Fell, das am Ende seines Bettes stand. Es war ganz überrascht, dass Moritz es sehen konnte. Aber da wurde dem Monster klar, dass sie anscheinend schon sehr schlimm sein musste – nämlich seine Laune. Nur wenn es so richtig miese Laune hat, wird es sichtbar. „So ein mistiger Mistkäfer Mist“, schimpfte es gleich darauf los. Daraufhin bot Moritz dem muffeligen Monster seine Hilfe an, damit seine Laune wieder besser wird. Er hatte viele Ideen, wie es klappen könnte: auf dem Bett rumhüpfen, das Monster kraulen, mit Kuscheltieren kuscheln oder Schokoladenkekse essen. Doch das wollte das zottelige Wesen alles nicht und schnaubte weiter herum. Moritz war nach all seinen Vorschlägen etwas verzweifelt und ließ sich auf den Boden sinken. Da bekam das Monster ein schlechtes Gewissen und meinte kleinlaut, dass sie all die Dinge vielleicht doch ausprobieren könnten, damit seine Laune wieder besser wird. Als sie beim Kuscheln mit dem Plüschtiger angelangt waren, verlangte die grummelige Gestalt nach Salz und Pfeffer. Moritz verstand nicht ganz, was es damit vorhatte. Da meinte das Monster, dass so ein Kuscheltiger ohne Salz und Pfeffer nicht schmecken würde. Moritz riss ihm seinen Tiger entsetzt aus den Pfoten, worüber sich das Muffelmonster so sehr amüsierte, dass es zu lachen begann und langsam wieder unsichtbar wurde. Es bedankte sich noch bei dem Jungen und verschwand. Moritz war etwas traurig darüber und hoffte, dass es irgendwann wieder auftauchen würde. Eines anderen Tages tauchte das grummelige Monster erneut bei Moritz auf. An diesem Tag hatten allerdings beide schlechte Laune. Moritz erklärte ihm, dass er keine Lust habe sein Zimmer aufzuräumen. Das Monster wusste gar nicht, was dieses „Aufräumen“ sein sollte, wollte es aber, nachdem Moritz es aufgeklärt hatte, auch mal ausprobieren. Daraufhin warf es einen Bauklotz in die Kiste – und hatte Spaß dabei! Moritz machte mit, bis sie sein ganzes Zimmer aufgeräumt hatten. Da beide Spaß hatten, verblasste das zottelige Monster langsam wieder. Moritz wollte es aufhalten und hielt es an seiner Pfote fest. Doch dann passierte es: auch er wurde immer durchsichtiger! Plötzlich waren die beiden nicht mehr in seinem Zimmer, sondern in der Welt des Muffelmonsters. Dort angekommen bot es ihm zuerst freudig etwas zu Essen an: Würstchen mit Vanillesoße. Das aß das Monster sehr gerne. Moritz blieb nichts anderes übrig, wollte seine Würstchen allerdings lieber ohne die Soße. Das konnte das grummelige Monster zwar nicht nachvollziehen, ließ ihm aber dennoch seinen Willen. Nach dem Essen lernte Moritz seine Monsterfreunde kennen und spielte mit ihnen „verstecken erschrecken“. Als die anderen nach ein paar Runden wieder nach Hause mussten, fragte auch er sich, wie er denn jetzt wieder zurückkommen würde. Er versuchte das Muffelmonster zu ärgern, was allerdings nur mit Nettigkeiten statt Beschimpfungen funktionierte – schwupps waren die beiden wieder in seinem Zimmer! Doch dann war es schon wieder an der Zeit sich zu verabschieden, jedoch sie hofften beide, dass sie sich bald wiedersehen würden. Eines Abends – Moritz war gerade dabei einzuschlafen – zog ihm jemand seine Decke weg und forderte ihn auf aufzuwachen. Moritz öffnete die Augen und freute sich als er sah, dass das Muffelmonster wieder vor ihm stand! Das zottelige Wesen war etwas empört darüber, dass Moritz gerade am Einschlafen ist, wenn es zu Besuch kommt. Aber Moritz konnte ja nichts dafür, dass seine Mama ihn kurz zuvor ins Bett gebracht hatte. Da wurde das Monster etwas muffelig, da es nie von jemandem ins Bett gebracht wird. Deshalb schlug der Junge vor, dass er das ja machen könnte. Die Idee fand das Monster gut und wollte sofort loslegen. Als erstes wollte es ein Glas saure Milch vor dem Einschlafen haben, aber damit konnte Moritz nicht dienen, da sie nur normale Milch zu Hause hatten. Als sich das grummelige Monster dann endlich ins Bett gelegt hatte, wollte es noch eine Socke zum Einschlafen haben. Es sollte aber keine gewaschene Socke sein, sondern eine benutzte, da die so schön stinken. Moritz reichte dem Monster leicht irritiert eine getragene Socke, mit der es dann im Arm, nachdem der Junge ihm ein schauriges Gute-Nacht-Lied gesungen hatte, selig einschlief. Am nächsten Morgen wachte Moritz allerdings allein in seinem Bett auf. Hatte er das alles also nur geträumt? Nein, denn neben ihm lag zumindest noch die Socke und was würde er denn sonst schon mit einer getragenen Socke im Bett machen? Er lachte und hoffte, dass das Muffelmonster bald wieder zurückkehren würde. Das Hörbuch Tschüss, kleines Muffelmonster! basiert auf den Muffelmonster-Bilderbüchern, die in drei Teilen erschienen sind. Die Geschichten Tschüss, kleines Muffelmonster!, Hallo, kleines Muffelmonster! und Bist du müde, kleines Muffelmonster? werden mit viel Hingabe von Stefan Kaminski in der Hörbuch-Version erzählt. Er nimmt die Zuhörerinnen und Zuhörer mit in die Welt des kleinen Moritz, der eines Tages von einem Muffelmonster überrascht wird und sich gleich mit diesem zotteligen Wesen anfreundet. Kaminski schafft es mithilfe seiner Erzählungen den beiden Figuren Leben einzuhauchen, so dass man sich das kleine schwarze Monster bildlich vorstellen kann, wenn es in Moritz‘ Zimmer schnaubt und schimpft. Innerhalb von 30 Minuten erwacht in einem selbst der Wunsch nach einem genauso zotteligen und grummeligen Freund, wie das Muffelmonster einer ist. Trotz seiner schlechten Laune und seinen sturen Verhalten, das es zumeist an den Tag legt, wie auch seiner eigentümlichen Vorlieben für Essen und Trinken – denkt man an Würstchen mit Vanillesoße und saure Milch – muss man dieses muffelige Geschöpf am Ende doch gern haben. Nicht umsonst wurde das lustige Kinderzimmer-Abenteuer, das durchweg gute Laune verbreitet, mit dem AUDITORIX-Hörbuchsiegel 2014/15 ausgezeichnet. Für Kinder ab drei Jahren ist daher bei Tschüss, kleines Muffelmonster! jede Menge Spaß und Humor angesagt, wenn sie mit Moritz in seinem Zimmer sind und auf das Muffelmonster warten.
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Bakhtiari, Aida. "Ein Wunder!" merz | medien + erziehung 68, no. 4 (October 15, 2024): 96. https://doi.org/10.21240/merz/2024.4.28.

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Abstract:
Die Tür geht auf, eine Dame tritt ein. Bei der Digitalen Hilfe weiß man nie, wer kommt, welche Hilfe gesucht wird, welcher Wissensstand vorhanden ist oder welche Probleme wir gemeinsam lösen werden. Wir haben uns zum Ziel gemacht, Menschen zu helfen, ihre Geräte selbst zu bedienen. Digital souverän zu werden. Doch ob sich die Sitzung wirklich um ein digitales Problem dreht oder ganz andere Baustellen bearbeitet werden, können wir nicht wissen. Einsamkeit, Erkrankungen, Wohnungsnot. Klar ist, es gibt ein Gefälle, welches wir zu überwinden versuchen. „Herzlich willkommen! Kommen Sie herein!“ Eine Dame, gestützt auf einen Rollator. „Guten Tag, mein Name ist Papadopoulos.“ Ich schiebe einen Stuhl zurecht. Ein alter Laptop wird ausgepackt, ein Thinkpad T60, Baujahr 2006, mit Windows 95. Es scheint eine Ewigkeit her, dass ich diese Farben und den Look gesehen habe. Die Dame muss gut beraten worden sein; zu seiner Zeit war dieser Laptop ein Vorreiter! Sie zeigt mir ihren Browser. Seitdem sie in Griechenland bei ihrer Familie war, funktioniert ihre Nachrichtenseite nicht mehr. Ich übersetze die Seite mit Google Lens. Die Cookie-Zustimmung der Website muss neu eingerichtet werden. Frau Papadopoulos ist begeistert, dass die „magische Kamera“ ihre Sprache für mich übersetzt. „Ein Wunder!“ Die Cookies sind abgelehnt und die Seite funktioniert wieder. Sie erzählt mit Begeisterung von der Technik. Schon immer wollte sie in ihrem Leben auf einen Berg in Griechenland wandern. Ihre Beine haben ihr das nie erlaubt. Aber durch ihr Thinkpad kennt sie jetzt jede Ecke dieses Berges. „Für mich wird jeden Tag ein Traum wahr, ich sitze zu Hause und kann Orte besuchen, von denen ich nur geträumt habe.“ Die Beratungszeit ist zu Ende. Mit unseren Ressourcen haben wir um die 45 Minuten pro Person. Ein Drittel unserer Klient*innen kommt wieder. Als nächstes holt Frau Kohler ein modernes iPhone aus der Tasche. Sie beginnt ihre Frage, indem sie mir versichert, dass sie keine Ahnung von der Technologie hat. Doch ihre Augen funkeln, während sie – das iPhone schwingend – erzählt, wie sie ihr Leben lang Briefe schrieb und telefonierte, aber nie ein Smartphone nutzen wollte. „Meine Tochter ist wirklich hartnäckig gewesen! Sie wohnt in den USA. Sie brachte mir eines Tages dieses kleine Ding. Sie können sich vorstellen, ich wollte erst nichts davon wissen. Ich bin zu alt für sowas. Aber als ich plötzlich das Gesicht meiner Enkelkinder auf dem Bildschirm sah, war es, als hätte jemand ein Fenster zu meiner Familie geöffnet.“ Tränen füllen ihre Augen bei der Erinnerung. „Ich konnte mit denen sprechen, als wären sie direkt vor mir! Ein Wunder! Jetzt reden wir zweimal die Woche. Nur so habe ich die Corona-Zeit überlebt! Ich darf miterleben, wie sie erwachsen werden. Jetzt will ich meine Enkeltochter überraschen und ihr meine Urlaubsbilder schicken. Dafür muss ich eine App herunterladen, oder? Können Sie mir dabei helfen?“ Das sind die schönsten Momente im Alltag. Die eine Person ist weniger in Not, die andere weniger einsam. Allein zwischen Januar und Juni 2024 haben wir mehr als 1000-mal beraten. https://digitalehilfe-muc.de
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Achatz, Markus. "Kinder, wie die Zeit vergeht …" merz | medien + erziehung 58, no. 3 (June 1, 2014): 79–82. http://dx.doi.org/10.21240/merz/2014.3.25.

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Abstract:
Regisseur Richard Linklater hat sich auf ein monumentales Projekt eingelassen, um im Kino etwas zu zeigen, was es in dieser Form noch nicht gegeben hat. Über einen Zeitraum von zwölf Jahren begleitet der Film Boyhood das Heranwachsen von Mason (Ellar Coltrane) sowie seiner Schwester Samantha (gespielt von Lorelei Linklater, der Tochter des Regisseurs). Das außerordentliche Experiment ist gelungen und nimmt das Publikum mit ins Leben einer Patchworkfamilie aus der texanischen Mittelschicht. Patricia Arquette spielt die alleinerziehende Mutter Olivia und Ethan Hawke den getrennt lebenden Vater Mason Sr. „Wir haben uns jedes Jahr ein paar Tage zum Dreh getroffen“, so Linklater – insgesamt 39 Drehtage verteilt auf sage und schreibe zwölf Jahre. Der Begriff „Coming-of-Age“ hat durch diesen Film eine neue Dimension erhalten. Als der Filmemacher seinen ‚Hauptdarsteller‘ Ellar Coltrane findet, ist dieser sechs Jahre alt, am Ende 18 und hat als Mason gerade ein Stipendium fürs College bekommen. Das Phänomen Boyhood ist schwer zu greifen. Im Grunde bleibt die Story stets nah dran am richtigen Leben. Es geht um kleine und große Sehnsüchte, um Sorgen, Hoffnungen und alltägliche Bedürfnisse nach Glück und Zufriedenheit. Es gibt wenig, was nicht schon in vielen anderen Filmen zu sehen war. Linklater konstruiert keine großen Dramen, sondern zieht Exzerpteaus den Biografien seiner Figuren, die berühren und eigene Erfahrungen und Gedanken wecken. Heraus gekommen ist eine ausgesprochen kurzweilige und flüssig erzählte Studie des Lebens und von vergehender Zeit, die stets eine unvergleichliche Leichtigkeit in sich trägt und das Publikum zu bannen vermag. Mason und Samantha wachsen bei ihrer Mutter auf. Der Vater war irgendwann nach Alaska abgehauen, taucht aber eines Tages wieder auf und kümmert sich zeitweise wieder um die Kinder. Für kurze Zeit scheint alles gut zu laufen, doch Olivia kommt letztlich nicht mit der Situation zurecht. Sie geht zurück an die Uni, um ihren Abschluss nachzuholen und mehr Geld zu verdienen. Dort begegnet sie dem Dozenten Bill Wellbrock. Beide heiraten und Olivia, Samantha und Mason ziehen mit Bill und dessen beiden Kindern zusammen. Bill beginnt immer mehr Alkohol zu trinken und als seine Gewalt gegen die Familie eskaliert, flieht Olivia mit ihren Kindern an einen anderen Ort. Olivias nächster Partner ist ein Irak-Kriegsveteran und diese Beziehung hält auch nur eine Weile. Mason weiß sich inzwischen mehr zu behaupten, muss aber parallel seine eigene Gefühlswelt koordinieren. Auf einzigartige Weise sieht man in Boyhood wie die Zeit vergeht. Nicht nur bei Mason, der sich vom sechsjährigen Kind zum 18-jähringen jungen Erwachsenen mit Bart verändert, sondern auch bei Patricia Arquette und Ethan Hawke. Ihre Rollen verändern sich mit ihnen, ihre Ansichten und Lebensweisheiten erhalten neue Komponenten. Beispielsweise die Szene, als Mason gegen Ende von zu Hause auszieht, um aufs College zu gehen, wird für Olivia zu einem emotionalen Moment, der ihr den Lauf der Dinge vor Augen führt. Das Publikum hat miterlebt, was Olivia erlebt hat. Ein sentimentaler, aber authentischer Rückblick auf die Jahre. Fiktives und Reales verwischen wie sonst kaum in einer fiktionalen Kinogeschichte. Knapp drei Stunden dauert Boyhood und obwohl ich kein großer Freund der Überlänge bin, hat mich Linklaters Inszenierung überzeugt. Bei der Premiere von Boyhood im Wettbewerb der Berlinale 2014 (vgl. merz 2-2014 Perspektiven des Aufwachsens) war die Resonanz überwältigend. Der Film lief am vorletzten Festivaltag, wenn die Journalistinnen und Journalisten teilweise schon am Rande des ‚Kino-Overkills‘ sind und schon mal im Dunkeln wegschnarchen. Doch am Ende der voll besetzten Pressevorführung brandete eine selten erlebte Applauswelle über den Abspann. Als ‚Bären‘-Gewinner hoch gehandelt, erhielt Richard Linklater für Boyhood schließlich den Silbernen Bären für die beste Regie. Mit dem Phänomen Zeit hat er sich auch schon in seiner Beziehungsgeschichte von Céline und Jesse (Julie Delpy und Ethan Hawke) auf ganz eigene Weise beschäftigt. 18 Jahre verbinden die Trilogie Before Sunrise (1995), Before Sunset (2004) und Before Midnight (2013). Hier liegt die Relevanz der Zeit zum einen in der Exposition der Geschichte, indem die gemeinsame Zeit für beide Hauptfiguren begrenzt bleibt, zum anderen im großen Abstand der erzählten Begegnungen von jeweils neun Jahren. Mit dem ersten Filmder Reihe hatte Linklater 1995 ebenfalls den Silbernen Bären gewonnen, für das Drehbuch zu Before Sunset war er für einen Oscar nominiert. Boyhood setzt nun mit seiner neuen Form der Langzeitstudie wiederum Maßstäbe. Linklater wollte gezielt die Phase des Heranwachsens über einen längeren Zeitraum zeigen. Der Prozess selbst rückt mehr in den Vordergrund als die einzelnen Meilensteine und einschneidende Erlebnisse. Letztere kommen zwar in der Geschichte von Mason und seiner Familie durchaus vor, drängen sich dabei aber nicht als dramaturgische Höhepunkte nach vorne. Alltäglichkeiten, Nebensätze und beiläufige Begebenheiten stehen gleichberechtigt neben den größeren Dramen und Übergangsriten. Das ist raffiniert und unkonventionell. Insofern ist diese Geschichte, dieser Film weit mehr als die Summe seiner einzelnen Teile. Für den 54-jährigen Regisseur war das Risiko stets groß, ob alle dabei bleiben, und es war vor allem schwierig, die Finanzierung dieses Monsterprojekts zu stemmen – angesichts der Länge des Zeitplans nicht weiter verwunderlich. Für Ellar und sein Umfeld war es sicher ebenfalls nicht einfach, die Hauptrolle im Film eines berühmten Regisseurs zu spielen, dessen Szenen – geschweige denn das gesamte Werk – auf absehbare Zeit niemand zu sehen bekommen würde. In einem Interview antwortet Ellar auf die Frage, ob er nicht irgendwann einmal überlegt habe, nicht mehr weitermachen zu wollen: „Nicht wirklich“ und ergänzt, dass er jedoch erst mit 13/14 Jahren angefangen habe, es zu mögen. Im Lauf der Zeit war er mehr in den Prozess eingebunden und konnte an der Ausgestaltung seines Charakters mitwirken. Linklater berichtet, dass sich seine Tochter mit etwa elf Jahren einmal gewünscht hatte, er solle ihre Rolle sterben lassen. Die besondere Leistung Linklaters steckt darin, die Geschichte so weiterentwickelt zu haben, dass am Ende alles flüssig, ohne künstliche Übergänge ineinander greift. Zeitsprünge werden über die Gesichter, Styles und Frisuren und in Details wie den Modellen von Mobiltelefonen oder Spielzeug gezeigt. Daneben werden Ausschnitte aus dem gesellschaftlichen Leben in der Handlung angedockt, wie beispielsweise der Präsidentschaftswahlkampf 2012, in dem Mason Sr. mit seinen Kindern Wahlplakate für Obama in der Nachbarschaft verteilt. Ein wesentliches weiteres Stilelement Linklaters ist in Boyhood – wie in den meisten seiner Filme – die Musik. Songs aus den verschiedenen Jahren werden zum Chronometer und zur Orientierungshilfe. Der Bogen spannt sich von Coldplay („Yellow“) und The Hives („Hate To Say I Told You So”) im Jahr 2000 über Weezer („Island in the Sun“), Flaming Lips („Do you Realize“), Family of the Year („Hero“) bis Yo La Tengo, Arcade Fire und Daft Punk („Get Lucky“) 2013. Mit der engen Verknüpfung von Songs und Plot knüpft Linklater an seine früheren Filme Slacker (1991), Dazed & Confused (1993) oder Suburbia (1996) an. Wenn Mason gegen Ende des Films mit einer neuen Studienkollegin im Abendlicht sitzt und über den Sinn des Lebens nachdenkt, ist auch dies eine kleine Etappe, aber kein Abschluss. Seine Erkenntnis, dass Augenblicke stets geradejetzt stattfinden, ist keine altersweise Einsicht, sondern eine dokumentierte Momentaufnahme in Masons Leben. Das wirkt beinahe ironisch, ist für ihn aber nun gerade von Bedeutung. Dies geschieht mit Linklaters Magie und Leichtigkeit, die sich zu einem Schmunzeln in den Gesichtern der Zuschauerinnen und Zuschauer verwandeln lässt. Wie nebenbei wird eine neue Facette von Adoleszenz in Kinobildern gespeichert und der Beweis erbracht: Zeit ist relativ. Und: Was sind schon drei Stunden im Vergleich zu zwölf Jahren?
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Achatz, Markus, and Michael Bloech. "Genre-Crossover und spannende Kinogeschichten aus Fernost." merz | medien + erziehung 61, no. 3 (May 30, 2017): 80–83. http://dx.doi.org/10.21240/merz/2017.3.19.

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Abstract:
Vier aktuelle Filme aus Fernost bieten spannende Einblicke in gesellschaftliche Veränderungsprozesse und zeigen frische Crossover-Qualität mit vielfäl­tigen Genremischungen. Alle Neuerscheinungen liefen als Weltpremieren auf den Internatio­nalen Filmfestspielen Berlin 2017 und stellen heranwachsende Protagonistinnen und Protagonisten ins Zentrum ihrer unterschiedlichen Geschichten: Die internationale Großproduktion Mr. Long spielt mit Genres und überwindet mühelos die Grenzen zwischen Action-Thriller und Gefühlskino. Den Kern bilden dabei ein untergetauchter Profikiller, ein achtjähriger Junge, dessen drogenabhängige Mutter sowie eine Handvoll merkwürdiger Nachbarn. ­Neben zwei einsamen jungen Menschen spielt in The Tokyo Night Sky is Always the Densest Shade of Blue die Großstadt eine weitere Hauptrolle. Der chinesische Independent-Film Ben Niao (The Foolish Bird) schildert die verzweifelte Suche einer 16-Jäh­rigen nach Glück und eigener Identität. Ein Coming-of-Age-Film mit einem nüchternen Blick auf Perspektivlosigkeit und Isolation im heutigen China. Karera ga Honki de Amu toki wa (Close-Knit) führt eine ungewöhnliche Patchwork-Familie zusammen und ist ein warmherziges Plädoyer für Toleranz. Strick-Kurs für neue Familienformen Grob übersetzt heißt der Originaltitel des japanischen Films Karera ga Honki de Amu toki wa (Close-Knit) von Naoko Ogigami in etwa ‚Wenn sie anfangen, ernsthaft zu stricken‘. Die elfjährige Tomo ist laufend allein. Nach der Schule isst sie jeden Tag abgepackte Reisbällchen aus dem Super­markt. Ihre Mutter kümmert sich kaum um das Kind und kommt häufig spätnachts betrunken nach Hause. Als sie – nicht zum ersten Mal – längere Zeit wegbleibt, kontaktiert Tomo ihren Onkel Makio. Der nimmt sie bei sich auf, allerdings unter neuen Vorzeichen: Er lebt inzwischen mit seiner Freundin Rinko zusammen. Nach anfänglicher Überraschung, dass Rinko eine Transgenderfrau ist, wird bald klar, mit welch großer Fürsorge und Liebe sich alle um Tomo kümmern. Das Mädchen fühlt sich schnell wohl und die drei wachsen zu einer kleinen Familie zusammen. Doch diese Idylle wird von der Außenwelt nicht mitgetragen. Beispielsweise zeigt die Mutter eines Klassenkameraden Tomos offen ihre Abneigung gegenüber Rinko und ihrer Transsexualität. Dabei geht Rinko in ihrer Aufgabe als Ersatzmutter völlig auf und genießt auch als Altenpflegerin im Beruf Anerkennung. Dennoch muss sie immer wieder neuen Mut fassen. Die Zweifel an ihrer sexuellen Identität kanalisiert Rinko durch permanentes Stricken. Der Griff zu den Stricknadeln verleiht der Geschichte eine beinahe meditative Atmosphäre, die an asiatische Filme ganz anderer Genres anknüpft. Auch Tomo lernt hierdurch mit ihren Verunsicherungen umzugehen. In einer unge­mein entspannten Sequenz sitzen Rinko, Tomo und Makio strickend unter Kirschblüten an einem Flussufer. So gewinnen glückliche Momente die Überhand gegen gesellschaftliche Normen und Repres­salien. Regisseurin Naoko Ogigami setzt dabei nicht auf zu viel Melodramatik, vielmehr webt sie leichtfüßigen und auch skurrilen Humor in die Geschichte. Rinko strickt nämlich nicht irgendetwas, sondern exakt 108 wollene Penisse. Diese sollen sie auf dem Weg bis zur offiziellen Änderung des Geschlechts in ihrem Pass begleiten, um dann – in Anlehnung an 108 Glieder einer buddhistischen Gebetskette – feierlich verbrannt zu werden. Der Film idealisiert einerseits ein eher klassisch-konservatives Familienbild, konterkariert dieses aber durch eine eigene Dynamik aus Rinkos Transsexualität und ihrem Wunsch nach einer stereotypen Frauenrolle sowie ihrer Beziehung zu Makio und Tomo: Makio mit seiner vorbehaltlosen Zuneigung und beeindruckenden Besonnenheit, Tomo mit ihrem kindlichen Gemüt und Bedürfnis nach Geborgenheit. Wie kompliziert die Welt in Wahrheit ist, verdeutlicht die ungeschnittene Schlussszene, als Tomos Mutter zurückkehrt, um ihr Kind wieder abzuholen. Close-Knit nähert sich einem Tabu-Thema auf sensible Weise und verknüpft dies mit einer Coming-of-Age Geschichte, die mit Tomo sowie (anhand von Rückblenden) mit Rinko gleich zwei ­starke Hauptfiguren hat. Bereits mit dem Debütfilm ­Barber Yoshino (Yoshinos Frisörsalon), der 2004 auf dem Kinderfilmfest der Berlinale lief, bewies ­Ogigami viel Gespür für feinen Humor und die Welt von Heranwachsenden. Zuletzt kam ihre bunte Komödie Rentaneko (Rent-a-Cat; Berlinale Panorama 2012) über eine junge Frau, die Katzen an einsame Menschen vermietet, in die Kinos. Close-Knit spiegelt die Torheit von Vorurteilen und ist ein empathisches Plädoyer für Menschlichkeit und Mitgefühl. Perspektivlosigkeit in einer chinesischen Kleinstadt Deutlich düsterer und drastischer geht es im Alltag der jungen Hauptprotagonistin Lynn im chinesischen Film Ben Niao (The Foolish Bird) zu. Die 16-Jährige ist ebenfalls von ihrer Mutter verlassen, allerdings aufgrund der in vielen Regionen Chinas weit verbreiteten Arbeitsmigration. Das Mädchen und ihre kleinen Geschwister leben bei den Groß­eltern während Lynns Mutter in einer weit entfernten Großstadt arbeitet. Auf Druck der Mutter bewirbt sich Lynn an der örtlichen Polizeiakademie. Sie ist eine fleißige Schülerin, verstrickt sich aber mit ihrer Freundin May in gefährliche Geschäfte mit geklauten Handys. Die Mädchen verkaufen Smartphones, die Mitschülerinnen an ihrer Schule abgenommen wurden und dort lagerten. Dabei geraten die beiden Mädchen an einen korrupten ­Hehler und in ein Netz aus Kriminalität und sexueller Gewalt. Als May eines Tages nicht mehr auf Lynns Nachrichten antwortet, muss sie das Schlimmste befürchten. Regisseurin Huang Ji hat Ben Niao gemeinsam mit Kameramann Ryuji Otsuka inszeniert, der auch für ihren Debütfilm Jidan he Shitou (Egg and Stone, 2012) hinter der Kamera stand. Beide Filme porträtieren zurückgelassene Kinder. Im Interview betont Huang Ji die starken autobiografischen Züge der Geschichte. Sie hätte viele Ereignisse, die der Film zeigt, selbst erlebt – bis hin zur Isolation und negativen ersten sexuellen Erfahrungen. Sie sei eines von diesen Tausenden jungen Mädchen gewesen, die sich alle ähneln und im immer gleichen Trainingsanzug herumlaufen. Der Film spielt in der Stadt Meiching (Provinz Hunan), in der Huang Ji viele Jahre gelebt hat. Mit etwa 100.000 Einwohnern eine typische Kleinstadt, in der heute immer mehr Kinder und Jugendliche ohne Eltern aufwachsen, weil diese fernab in den Metropolen arbeiten. Huang Ji und Ryuji Otsuka haben die ­Story in die Jetztzeit verlagert. Das Streben der Heranwachsenden nach materiellem Glück mündet im Verkauf der gestohlenen Smartphones, was aber nur wenige hundert Yuan einbringt. Social Media-Kommunikation und die Anonymität der virtuellen Welt sind omnipräsent im Leben der Teenager – im Film wunderbar konterkariert durch Lynns lange Fahrradfahrten durch die Stadt, ein Sinnbild ihrer verlorenen Suche nach Individua­lität, Zuneigung und Wärme. Bis heute ist unklar, ob und wann der Film in China gezeigt werden kann. Die Zensur­behörden haben noch keine Freigabe erteilt. Vielleicht nützt es, dass Ben Niao eine ‚Lobende Erwähnung‘ der internationalen Jury in der Sektion Generation 14plus der Berlinale 2017 erhalten hat. Einsame Herzen in Tokios Großstadtdschungel Yozora ha itsu demo saikou mitsudo no aoiro da (The Tokyo Night Sky is Always the Densest ­Shade of Blue) – der poetische Titel passt gut zur Geschichte dieses Films, die inspiriert wurde von der Melancholie junger Erwachsener und vom ‚Sich-Verlieren‘ im Puls der Großstadt. Das Protagonisten-Duo Mika und Shinji braucht eine ganze Weile bis es sich gegenseitig wahrnimmt und erkennt, dass das Leben und die Liebe kein Zufall sind. Mika geht zwei Jobs nach und arbeitet tagsüber als Krankenschwester, nachts als ­Bardame. Shinji jobbt als Bauarbeiter. Beide begegnen sich auf wundersame Weise immer wieder, wohl wissend, dass die Einsamkeit ebenso Bestandteil ihres Lebens ist wie ihre Überzeugung, seltsame Außenseiter zu sein. Mika leidet unter der Leere nach dem Tod ihrer Mutter und einer gescheiterten Beziehung. Shinji fühlt sich als Freak, auch weil er auf einem Auge blind ist. Dennoch glaubt er, dass er gerade deswegen viele Dinge anders sehen kann. In Szenen mit Shinji und drei seiner Kollegen auf der Großbaustelle für die Olympischen Spiele 2020 entstehen immer wieder tragikomische Momente. Regisseur und Drehbuchautor Yuya Ishii verweist auf Gedichte über Tokio als eine wichtige Vorlage für den Film und schildert beinahe zärtlich die Verlorenheit inmitten der Riesenmetropole, die von verunsicherten Menschen bevölkert wird. Am Ende steht die Frage, ob man nicht auch gemeinsam einsam sein kann. Mit Poesie und märchenhaften Stimmungsbildern begleitet Ishii seine Figuren durch eine Stadt, dessen Nachthimmel so blaue Nuancen hat wie sie nur zwei sehen können, die die Liebe gefunden haben. SABUs Genre-Mix über einen kochenden Samurai Der japanische Regisseur Hiroyuki Tanaka, der nur unter seinem Künstlernamen SABU firmiert, ist ein gern gesehener Gast auf der Berlinale. Bereits 1997 wurde er in die Sektion Panorama mit D.A.N.G.A.N Runner eingeladen. Anschließend tauchte er in loser Folge immer wieder mit Filmen im Programmblock Forum oder im Panorama auf. So gewann er im Jahr 2000 mit seinem Film Monday den renommierten FIPRESCI Award, den Preis der internationalen Filmkritik. Im Zentrum seiner Filme stehen oft gebrochene Heldinnen und Helden, sympathische Außenseiterinnen und Außenseiter, die in abstruse Situationen geworfen werden und ihre Probleme meistern müssen. Herausragendes Moment der Erzählkunst von SABU ist dabei der kühne Genre-Mix aus Martial Arts, Film Noir, Slapstick, Liebesfilm und dieses Mal in seinem neuen Werk Mr. Long zusätzlich aus Elementen des ‚Koch-Films‘. Gekonnt stürzt SABU die Zusehenden dabei in eine permanente Achterbahn der Gefühle, auf harte Action folgen Szenen skurriler Komik oder Augenblicke anrührender Emotionen. Zu Beginn von Mr. Long erleben wir eine Szene, die den Helden bei seiner anstrengenden Arbeit zeigt. Emotionslos und nahezu wortlos verrichtet Long, wie schon zuvor in den 1970er-Jahren Jeff (Alain Delon) in Melvilles Klassiker Le samouraï (Der eiskalte Engel), seine Arbeit als Auftragskiller. Dabei gerät Mr. Long – wie auch Jeff – anschließend in eine schier ausweglose Situation. Nach einem Mordauftrag in seiner Heimat Taiwan wird Long nach Japan geschickt, allerdings misslingt sein Auftrag und er muss sich schwer verletzt, ohne Sprachkenntnisse und völlig mittellos in einer Abbruchszenerie am Rande von Tokio zurechtfinden. Ein kleiner Junge und auch nette, aber naive Menschen aus der Nachbarschaft kümmern sich hingebungsvoll um ihn. Sie basteln sogar eine kleine fahrbare Suppenküche, mit der Long nun seinen Lebensunterhalt kochend bestreitet. Dann tritt Lily, eine drogenabhängige Prostituierte, in sein Leben und er findet mit ihr eine neue, schwere Aufgabe. Mit Entschlossenheit kümmert er sich um sie und ihren Sohn, die beiden verlieben sich, doch das scheinbare Glück währt nicht lange. Im Gegensatz zu Melville verlässt SABU dabei das strenge ästhetische Korsett des Film Noir und spielt kühn und gekonnt mit unterschiedlichsten Stilelementen. Er bringt zusammen, was eigentlich nicht zusammen passt. Dennoch besitzt gerade diese Mixtur etwas magisches, sie überhöht die Wirkung der einzelnen Elemente. So bleibt einem beispielsweise die drastische Szene, in der Lily von einem Zuhälter in die Drogenabhängigkeit gezwungen wird, besonders nachhaltig im Bewusstsein, da sie eingebettet wurde in emotional kontroverse Szenen. SABU ist mit Mr. Long nicht nur der Sprung in das erlauchte Programm des Wettbewerbs der Berlinale geglückt, sondern ihm ist tatsächlich ein berührendes, kleines Kunstwerk gelungen. Ein Kunstwerk insofern, als dass es bei Mr. Long nicht um das nackte Abbilden oder Bebildern von Wirklichkeiten oder der Präsentation von Fantastischem geht, sondern vielmehr um eine unterhaltsame Fabel. Das ‚Fabelhafte‘, die moralische Komponente, erschließt sich dabei vollends in der unerwarteten Schlusssequenz, die hier natürlich nicht verraten werden soll. Der Film Mr. Long kommt am 14. September in die deutschen Kinos.
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Bloech, Michael, and Markus Achatz. "Perspektiven des Aufwachsens." merz | medien + erziehung 58, no. 2 (March 31, 2014): 82–86. https://doi.org/10.21240/merz/2014.2.18.

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Abstract:
Die unterschiedlichen Facetten des Heranwachsens, die Suche nach Identität und Orientierung, das Erleben von Sehnsüchten und ersten Enttäuschungen – in allen Programmsparten der 64. Internationalen Filmfestspiele Berlin fanden sich herausragende Produktionen mit Hauptfiguren in dieser Lebensphase. Im Wettbewerb beispielsweise Richard Linklaters Langzeitstudie Boyhood oder der österreichische Beitrag Macondo von Sudabeh Mortezai. Zwölf Jahre hat Linklater an Boyhood gearbeitet und dabei jedes Jahr einige Sequenzen gedreht, so dass die zunächst kindlichen Hauptprotagonisten real beim Aufwachsen begleitet werden. Ein gewagtes und in dieser Form einzigartiges Unterfangen. Im Zentrum der Familiengeschichte stehen der Junge Mason – anfangs sechs Jahre alt, am Schluss ist er mit der High-School fertig – sowie seine Schwester Samantha und die Eltern (dargestellt von Patricia Arquette und Ethan Hawke). Linklaters Experiment ist gelungen, denn der 164-Minuten-Film ist nicht nur kurzweilig und humorvoll, sondern auch eine feinsinnige Sozialstudie über das Leben der texanischen Mittelschicht. Die Auffangsiedlung Macondo liegt zwischen Autobahn, Flughafen und Donauufer im Wiener Stadtbezirk Simmering. Regisseurin Sudabeh Mortezai, geboren in Ludwigsburg, aufgewachsen in Teheran und Wien, portraitiert anhand des elfjährigen tschetschenischen Flüchtlingsjungen Ramasan das Leben in dieser eigenen Welt hinter Blechzäunen und Kasernenmauern. Etwa 3.000 Asylsuchende aus 22 Ländern sind hier untergebracht. Überfordert von der Aufgabe, den fehlenden Vater in der Familie zu ersetzen und im Konflikt zwischen den Idealen und der Realität, befindet sich der muslimische Junge auf der Suche nach Antworten für seine komplizierte Lebenssituation. Die Kamera bleibt dabei konsequent auf Augenhöhe des Kindes. Kinderfilme bei Generation: Eine Frage der Perspektive Im Programmbereich GENERATION hat diese Perspektive bereits Tradition und die Sektion hat sich inzwischen zu einem echten Geheimtipp für Berlinale-Besucherinnen und -Besucher entwickelt. In diesem Jahr traten zwölf abendfüllende Kinderfilme bei Generation Kplus und 17 Jugendfilme bei 14plus in den Wettstreit um die Gläsernen Bären. Mit dem neu renovierten Zoo-Palast stand auch wieder eine renommierte und repräsentative Spielstätte zur Verfügung. Also konnte in den insgesamt gut besuchten Veranstaltungen gespannt darauf geblickt werden, was die Festival-Leitung um Maryanne Redpath diesmal aus aller Welt ausgewählt hatte. In Kplus war es zunächst ein wenig bedauerlich, dass sich das Programm mit seiner Auswahl teilweise vom kognitiven Entwicklungsniveau vor allem jüngerer Kinder entfernte. Das ästhetische Niveau der Filme war dagegen erfreulich hoch, aber in der Summe waren es leider eher Filme über Kinder und für Erwachsene. Mögen die fünf gezeigten Animationsfilme zunächst formal den Genre-Geschmack der Kinder getroffen haben, die Mehrzahl dieser Produktionen war jedoch sowohl von der Machart als auch vom Thema nicht für Kinder angemessen, teilweise sogar emotional überfordernd. Symptomatisch dafür war bereits der Eröffnungsfilm Lolou, l’incroyable secret (Loulou, das unglaubliche Geheimnis), der in der Exposition seine Protagonisten, einen coolen Wolf und ein lustiges Kaninchen, für kleine Kinder passend einführt, aber dann in der szenischen Folge mit einer überflüssigen Härte aufwartet. Auch das Grundthema von Loulou, ob es Kindern gelingt, die genetisch geprägten Determinanten durch eine positive Sozialisation zu überwinden, ist durchaus relevant, kann aber in der bedrohlich präsentierten Art und Weise für kleinere Kinder verstörend wirken. Leider setzt sich dieser Trend bei den Realfilmen teilweise fort. Finn, eine holländisch belgische Produktion über einen Jungen, der in Kontakt mit seinem verstorbenen Großvater tritt, behandelt damit ein Thema, von dem viele Kinder betroffen sind. Die Geschichte wird hier jedoch für Kinder nur schwer nachvollziehbar, da Traumwelt und Realität so miteinander verschmolzen werden, dass Kinder die Ebenen kaum differenzieren können. Die türkisch-deutschfranzösische Produktion Were Dengê Min (Folge meiner Stimme) kämpft mit ähnlichen Rezeptions-Problemen. Konkret geht es um ein kleines Mädchen aus einem einsamen Dorf in der Bergwelt Kurdistans, die eine Schusswaffe für ihren inhaftierten Vater bei seinen Verwandten in der weit entfernten Stadt organisieren möchte, um ihn aus dem Gefängnis auszulösen. Das komplexe politische Geschehen im türkischen Teil Kurdistans bleibt dabei nicht nur für Kinder unverständlich und die Oma des kleinen Mädchens gerät im Verlauf der Geschichte zunehmend in den Fokus der Story, das Kind wird zusehends zum schmückenden Beiwerk. Kamera in Augenhöhe – Die Welt aus den Augen von Kindern Dass es auch anders geht, beweist der indische Film Killa (Das Fort) von Regisseur Avinash Arun. Zu Recht gewann er als erster indischer Feature-Film überhaupt den Gläsernen Bären für den besten Film im Generation Kplus-Wettbewerb. Killa erzählt die Geschichte des elfjährigen Chinu, der mit seiner Mutter an einen neuen Wohnort in der Provinz Maharashtra ziehen muss. Nachdem Chinus Vater gestorben war und die Mutter beruflich versetzt wurde, müssen die beiden einen Neuanfang machen. Andere Umgebung, neue Schule, fremde Mitschülerinnen und Mitschüler – alles Herausforderungen, die der Junge zu meistern hat. Chinu geht die Aufgabe mit großer Neugier und ohne Vorbehalte an. Er trifft dabei auf eine Gruppe Jungen, die für den einen oder anderen Streich aufgeschlossen sind. In der Schule wird der Neue als begabter Schüler vorgestellt, was ihm unter den Gleichaltrigen den Spitznamen Stipendium einbringt. Avinash Arun hat Regie und Kamera geführt sowie das Buch geschrieben. Die Story basiert auf seinen realen Erfahrungen, denn auch seine Familie zog häufiger um. Kaum hatte er sich an den neuen Ort gewöhnt und Freundschaften geschlossen, kam der nächste Umzug. Die Berlinale Kinderjury war vor allem von den Kameraeinstellungen und der Leistung der jungen Schauspielerinnen und Schauspieler beeindruckt. Ebenfalls stark auf die Perspektive von Kindern fokussiert war auch der deutsche Wettbewerbsbeitrag Jack, der in der Cross-Section von Generation Kplus lief. Die Produktion weist aus, was möglich ist, wenn sich Geschichte und Kamera ganz auf die Erlebniswelt eines Kindes konzentrieren. Regisseur Edward Berger wagt sich an ein radikales Experiment, so präsentiert er mit vehementer Geradlinigkeit ausschließlich die Geschehnisse seiner Hauptperson Jack, einem zehnjährigen Jungen, der sich um seinen kleineren Bruder Manuel kümmern muss, da die alleinerziehende Mutter auf Grund von Beziehungsproblemen und ihrer Arbeitssituation hoffnungslos überfordert ist. Nachdem das Gericht der Mutter das Sorgerecht entzogen hat und Jack in einem Jugendheim landet, verschwindet die Mutter und lässt Manuel das Wochenende über bei einer Freundin. Als die Mutter dann jedoch nicht mehr auftaucht und Jack im Jugendheim zudem eine Dummheit begeht, reißt Jack aus und macht sich zusammen mit Manuel auf die Suche nach der geliebten Mutter. Der Film schildert auf sehr ernste Weise ihre Suche nach Liebe und Geborgenheit. Dass all dies letztlich zum Scheitern verurteilt ist, aber nicht unbedingt das unversöhnliche Ende darstellen muss, zeigt Jacks Entscheidung am Schluss. Er übernimmt mit einem mutigen Schritt nicht nur die Verantwortung für seinen Bruder, sondern auch für seine gänzlich überforderte Mutter. Den beeindruckenden, erfreulich unsentimentalen Film trägt nicht nur die besondere schauspielerische Leistung von Ivo Pietzcker in der Rolle des in der Großstadthölle taumelnden Jack sondern auch die teilweise entfesselte Hand-Kameraarbeit von Jens Marant, der einen ohne Betroffenheitsheischerei mitnimmt auf eine alptraumhafte Odyssee durch ein hartes Stück Berliner Realität und dies ausschließlich aus dem Blickwinkel eines Kindes. Was damit insgesamt nach einfältiger Rührseligkeitsdramaturgie aus der Sichtweise von abgeklärten Erwachsenen anmutet, dokumentiert vielmehr eine Verschiebung der Perspektive auf die Wahrnehmung eines zehnjährigen Jungen. So gesehen war es vielleicht sogar bezogen auf die Adressaten des Films ein wenig unpassend, Jack im ‚Erwachsenen‘-Wettbewerb zu präsentieren, da er sich ausschließlich auf die Gedankenwelt und Gefühle eines Kindes konzentriert. Coming of Age – Einfühlsame Geschichten bei 14plus Eine komplexe, schwierige Mutter-Kind Beziehung steht auch im Vordergrund des prämierten Generation 14plus-Beitrags 52 Tuesdays von Sophie Hyde. Was als rein formale Idee der Dokumentarfilmemacherin Sophie Hyde begann, nämlich ein Jahr lang jeden Dienstag mit Laiendarstellerinnen und -darstellern nachmittags bis in die späten Abendstunden zu filmen, gewinnt durch den von ihr erst anschließend gewählten Inhalt eine sehr gefühlvoll packende Wendung und Dichte. Erzählt werden emotionale Brüche und Entwicklungen im Verlauf eines Jahres aus der Sicht des Teenagers Billie, die mit einer komplexen und für sie überraschenden Situation konfrontiert wird. Konkret geraten die Beziehungsstrukturen innerhalb Billies Familie völlig durcheinander, als die Mutter ihre geplante Geschlechtsumwandlung eröffnet. Ihr Leben im falschen Körper möchte sie durch massive medizinische Eingriffe und Manipulationen in neue Bahnen lenken. Damit jedoch verändert sich nicht nur die Körperlichkeit der Mutter, sondern wandeln sich auch die Entwicklungsprozesse der Tochter und die emotionalen Bindungen untereinander. Nach der Aussprache über die Entscheidung der Mutter entschließt sich das Mädchen, ein Jahr lang nur noch jeden Dienstagnachmittag ihre Mutter zu besuchen, um aus der Distanz heraus die Entwicklung zu beobachten. Erzählt wird daher nicht nur die dramatische Geschichte einer Gender-Transformation sondern auch die exzessive Suche nach Identität und sexueller Orientierung der 16-jährigen Tochter mit allen Tiefen und Höhen. Der anrührende und formal eigenwillige Film erhielt damit zu Recht als bester Film den Gläsernen Bären der Jugendjury bei der Sektion Generation 14plus. Eher sachte und ruhig hat die 34-jährige Regisseurin Inés María Barrionuevo ihren Film Atlántida (ebenfalls 14plus) inszeniert und dabei die Themen jugendlicher Identitätsfindung und vorsichtiger sexueller Orientierung an einen kleinen Ort irgendwo im ländlichen Argentinien verlegt. Die Geschichte spielt an einem einzigen heißen Sommertag im Jahr 1987. Die Hitze gibt das schleppende Tempo vor. Lucía ist schon früh unterwegs, um im Schwimmbad ihre Bahnen zu ziehen, später sitzt sie zu Hause in der Küche schwitzend über ihren Büchern, denn sie möchte unbedingt nach Buenos Aires auf die Universität gehen. Das wäre schon anstrengend genug, doch ihre jüngere Schwester Elena liegt mit Gipsbein im Bett und kommandiert sie permanent herum. Alle anderen treffen sich am Pool und reden nur darüber, wer wen geknutscht hat. Fast alle, denn es gibt noch Ana, die gerne Bücher liest und eigentlich bei Elena zu Besuch ist. Als Lucía genug von allem hat, schnappt sie sich das Auto ihrer Eltern und fährt mit Ana ins Grüne. Die beiden lassen sich treiben und wissen, dass sie Außenseiterinnen sind, aber gleichzeitig – jede für sich – etwas Besonderes. Eben nicht wie all die anderen. Atlántida ist geprägt von der Lethargie und Last eines heißen Sommers, öffnet dabei aber Räume für Sehnsüchte und sanfte Leidenschaft. Obwohl nicht jede Figur ausgefeilt und jeder Handlungsstrang schlüssig erscheint, wird das Publikum in den zähen Rhythmus des Tages mitgenommen und durch kleine Begebenheiten in die Sehnsüchte der Charaktere gezogen. Ausgefallene Perspektiven sowie fantastische Lichtstimmungen machen Atlántida zu einem besonderen Film. Beeindruckende Bildästhetik, bedrückende Geschichten Den großen Preis der Internationalen Jury 14plus erhielt die belgisch-niederländische Produktion Violet. Ein Film, der in seiner Intensität auffiel. Im dokumentarischen 4:3-Format und in einer stilsicher an Videoclips und Kunstfotos erinnernden Ästhetik inszenierte Regisseur und Autor Bas Devos ein eindringliches Drama, das gleichermaßen fasziniert und beklemmt. Der 15-jährige Jesse muss miterleben, wie in einer verlassenen Einkaufspassage sein bester Freund erstochen wird. Der Schock des Mordes lähmt Jesse vollends. Er kann nicht eingreifen, nicht die fliehenden Täter verfolgen, seinem Freund nicht sofort zu Hilfe eilen. Dieser Augenblick verändert für Jesse alles. Der Film begleitet den Jungen beim Versuch, zu verarbeiten und am restlichen Leben ansatzweise teilzunehmen. Doch er bleibt mit seinen Schuldgefühlen und seiner Einsamkeit allein, auch wenn die BMX-Clique wieder vor der Türe steht und Jesse mitfährt. Die aufgeräumte Vorortsiedlung liegt unter einem erdrückenden Teppich des Schweigens. Weder Jesses Eltern noch die BMX-Gruppe können mit der Tragödie umgehen. Am ehesten behält Jesses Vater noch Anschluss zu seinem Sohn. Regisseur Bas Devos spielt mit den Elementen: Die Kamera zeigt Unschärfen, dunkle Felder, einzelne Sequenzen fließen ineinander oder sind wie Farbspiele, die manchmal wie in einem Rätsel in einer Totalen oder Halbtotalen aufgelöst werden. In einer festen Einstellung sehen wir Bäume in einem Wald. Immer wieder springen die BMX-Biker von unten ins Bild und verschwinden wieder. Einer nach dem anderen. Monotonie und Flow, Routine und Nervenkitzel. Die Loops der Biker laufen immer weiter. Die Tonspur des Films spielt eine eigene Hauptrolle, mal mit purem Lärm, mal durch erdrückende Stille. Den Beginn der Mordszene am Anfang sehen wir nur über die Überwachungsmonitore des Einkaufszentrums. Rein akustisch nehmen wir wahr, dass der Wachmann den Raum verlässt, worauf das Drama tonlos seinen Lauf nimmt. Als später Jesse mit der Clique ein Black-Metal-Konzert besucht, hören wir einen kompletten Track in voller Lautstärke, sehen aber nur die wogende Menge des Publikums. In den Gesichtern spiegelt sich die Lightshow der Bühne und entgegen des rasenden Tempos der Drums fährt die Kamera langsam an die Menschen heran bis ganz nah in Jesses Gesicht. Nichtsehen und gesehen werden Aus dem Programm der Sektion PANORAMA ragte der brasilianische Film Hoje eu Quero Voltar Sozinho (The Way He Looks) heraus. Der jugendliche Drang nach Unabhängigkeit steht hier im Zentrum. Im Falle von Leonardo ist damit aber eine ganz besondere Komponente verbunden, denn er ist von Geburt an blind. Mit seinen 15 Jahren möchte er endlich selbständiger sein und leidet zunehmend unter dem Kontroll- und Sicherheitsbedürfnis seiner Mutter. Ganz entgegen der Bedenken der Eltern bemüht sich Leonardo um Informationen für einen Schüleraufenthalt in den USA. Nur seine Klassenkameradin und Freundin Giovana unterstützt ihn in diesen Bestrebungen. Beide sind seit vielen Jahren ein eingespieltes Team und hängen wie zwei beste Freunde ständig zusammen. Der neue Mitschüler Gabriel bringt in der Beziehung von Leonardo und Giovana einiges durcheinander. Leonardo ist von Gabriel auf ungewohnte Art fasziniert. Schließlich vertraut Leonardo Giovana an, dass er sich in Gabriel verliebt hat. Daniel Ribeiro hat einen behutsamen Film gemacht, der ganz nah an Leonardos Alltag bleibt, mit den ganz speziellen Sorgen und Schwierigkeiten des Jungen, jedoch in keinem Moment auf Mitleid abzielend. Die Hauptfigur wird als facettenreicher Charakter gezeigt, auf dem Weg zur Selbstfindung und beim Entdecken seiner Gefühle. Unaufdringlich, aber dennoch intensiv setzt Ribeiro die Tonspur ein, mit leisen Geräuschen oder dem Atem der Protagonisten. Wir treten als Zuschauer im wahrsten Sinne zurück, wenn in einer Sequenz Leonardo spät nachts auf einer Decke im Freien sitzt. Die Kamera entfernt sich von der Szene, als Giovana den Platz verlässt und Leo allein auf einer Wiese zurückbleibt, während die Geräusche der umliegenden Partyaktivitäten unverändert präsent bleiben. In einer emotionalen Szene bringt Gabriel Leonardo zu einem Song der schottischen Band Belle & Sebastian das Tanzen bei. „I feel like dancing on my own, where no one knows me, and where I can cause offence just by the way I look” heißt es da.
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Djokovic, Zorica. "Stanovnistvo istocne Makedonije u prvoj polovini XIV veka." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 40 (2003): 97–244. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340097d.

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Abstract:
(francuski) Le but du pr?sent ouvrage est de pr?senter la structure ethnique de la Mac?doine de l'Est dans la p?riode entre 1300 et 1341, et cela en se basant sur les donn?es anthroponymiques. Cette limitation dans le temps et l'espace a ?t? impos?e par les sources elles-m?me, qui sont les praktika (une sorte de registre des cadastres) des monast?res d'Athos, car ils sont les seuls ? avoir ?t? conserv?s. Les monast?res en question avaient eu des propri?t?s dans cette r?gion-l? et c'est uniquement pour cette p?riode qu'ils permettent de suivre continuellement la population dans certains villages. Il faudrait prendre en consid?ration le fait que dans les praktika ?taient recens?s uniquement les par?ques (paysans d?pendants) des monast?res d'Athos dans 65 villages, et non pas la population enti?re de cette r?gion. Parfois un monast?re dans un certain village n'avait qu'un ou deux m?nages de par?ques. Cela signifie que les r?sultats que nous avons obtenus ?taient relatifs. Deuxi?mement, toutes les agglom?rations ne sont pas couvertes par les sources pour toute la p?riode mentionn?e. Rares sont les cas o? pour un village il existe 3-4 praktika ce qui nous permet de suivre sa population dans 2-3 g?n?rations. Le cas le plus fr?quent est lorsqu'il n'existe qu'un seul praktika ce qui nous permet uniquement de constater dans quelle circonstance avait apparu le praktika, mais pas de suivre les changements ?ventuels dans la structure de la population. ?galement, il faudrait tenir compte du fait que c'est uniquement la population paysanne qui a ?t? recens?e. Dans la majorit? des praktika, les m?nages de par?ques sont d?crit en d?tail, quant aux par?ques eux-m?me, ils sont identifi?s de mani?re diff?rente, le plus souvent d'apr?s leur nom individuel ou d'apr?s une autre caract?ristique comme par exemple un surnom, une profession compl?mentaire une origine ethnique, lieu d'o? la personne ?tait venue, relation familiale par rapport ? une autre personne. Ces moyens d'identification nous pr?sentent des donn?es pr?cieuses sur la soci?t? rurale et sur les professions compl?mentaires exerc?es par les paysans (il s'agit le plus souvent de m?tiers et plus exactement le m?tier de cordonnier, de forgeron et de potelier), sur les rapports entre les gens, les conditions mat?rielles, les migrations, la langue utilis?e par la population... Afin d'?tudier la structure ethnique d'apr?s l'anthroponymie, il fallait avant tout classifier les pr?noms. En effectuant cela, nous nous sommes confront?s ? plusieurs probl?mes. Il arrive parfois que dans la litt?rature scientifique que nous avons consult?e, on donne des interpr?tations compl?tement diff?rentes des pr?noms que nous avons rencontr?s, c'est pourquoi, nous avons d? juger de nous-m?me assez souvent. Tout en nous basant avant tout sur l'?tymologie mais ?galement sur l'observation de la situation sur le terrain. Par exemple si pour un pr?nom ou un mot on suppose qu'il est d'origine slave, nous nous sommes efforc?s de d?finir si ce nom apparaissait plus souvent dans un milieu o? il y a des Slaves. Les listes des noms et surnoms sont aussi donn?es afin que nos conclusions puissent ?tre contr?l?es. Certains des probl?mes sont originaires des recenseurs eux-m?mes. Ils ?taient Grecs et certains d'entre-eux ne savaient pas transcrire correctement les pr?noms et les surnoms non-grecs. Cela est particuli?rement valable pour les sons qui n'existent pas dans la langue grecque. Parfois ils hell?nisent les pr?noms non-grecs et leur donnent un sens qu'ils n'avaient pas. Par exemple: le surnom slave Stur (St?nr?z) est transcris d'une mani?re incorrecte en tant que surnom grec Zgur (Sgsyr?z). Derri?re ces formes aussi modifi?es il est impossible de reconna?tre la forme v?ritable sauf s'il existe des s?ries praktika qui permettent que les donn?es soient compar?es. Pourtant, la classification m?me des pr?noms ne suffit pas pour aboutir ? des conclusions fiables sur l'appartenance ethnique de leur porteurs. N?anmoins, le plus grand nombre repr?sentent les pr?noms du calendrier qui n'indiquent rien sur l'appartenance ethnique, ? moins que des variations populaires de ces pr?noms ne soient utilis?es (par ex. Joanakis ou Joanikije au lieu de Jovan chez les Grecs ou Ivan, Ivanko Janko chez les Slaves) et ceci est extr?mement rare. Les plus pr?cieux sont les pr?noms populaires. Mais, l? aussi il faut ?tre tr?s vigilant. En g?n?ral, si quelqu'un porte un pr?nom slave, il est Slave. Cependant, il arrivait souvent que ce pr?nom devienne un nom patronymique et soit ainsi transmis ? travers les g?n?rations, quant ? la famille, elle s'hell?nisait entre-temps. Nous sommes arriv?s ? la conclusion que l? o? les noms individuels apparaissent au moins dans deux g?n?rations, il s'agissait s?rement des Slaves pop-hell?nis?s (qui parlent le slave). Au cas o? les descendants des Slaves portent des noms individuels grecs, nous avons de bonnes raisons ? douter qu'il s'agisse d'une hell?nisation (qui est du moins entam?e, ce qui ne veut pas dire qu'elle ait aboutit ? une fin). Les surnoms sont nombreux et vari?s. Ils peuvent nous ?tre d'une grande utilit? dans la d?termination de l'appartenance ethnique de quelqu'un. Vu que la majorit? de par?ques porte des pr?noms eccl?siastiques c'est-?-dire neutres, comme nous les avons nomm?s pour les besoins de notre ouvrage, les surnoms sont particuli?rement pr?cieux lorsque nous rencontrons ce genre de situations. N?anmoins, l'existence de surnoms slaves nous montre que dans le milieu o? ils apparaissent, la langue slave est comprise et parl?e, alors que le grec nous indique que le grec est compris et parl?. En principe, celui qui porte un surnom slave est le plus souvent Slave. Cependant, l'existence de ce genre de surnom n'exclut pas Fhell?nisation. Il existe une autre difficult? qui est que les membres d'un groupe ethnique peuvent avoir un surnom dans la langue de l'autre peuple avec lequel le plus souvent ils cohabitent. Il existe plusieurs cas o? les Slaves pour lesquels nous sommes certains qu'ils sont Slaves, car les membres de leur famille portent des noms individuels slaves ont un surnom grec. L'analyse a montr? que ce genre de cas se rencontrent dans les r?gions bilingues o? ce surnom avait ?t? compr?hensible aux membres des deux ethnies. C'est pourquoi, les surnoms, en tant qu'indices de l'appartenance ethnique ne peuvent en aucun cas ?tre utilis?s individuellement, mais uniquement en combinaison avec d'autres donn?es. Les r?sultats auquels nous sommes parvenus sont les suivants. La Mac?doine de l'est ?tait au XIVe si?cle une r?gion encore ethniquement h?t?rog?ne ce qui ne fait que confirmer les r?sultats des autres chercheurs. Pourtant, la question de la structure ethnique est r?duite ? la question des relations entre Grecs et Slaves. Les autres peuples qui se rencontrent, et qui sont les Latins, les Valaches, divers peuples turcs, les Albanais, les Arm?niens les Rom et m?me un Juif et une famille hongroise, ils forment tous une minorit? g?n?ralement d?j? assimil?e. Dans la moyenne, les pr?noms et surnoms slaves se manifestent dans un peu plus d'un quart de familles recens?es. Cela ne veut pas dire que les Slaves pop-hell?nis?s repr?sentaient r?ellement une partie si importante de la population de l'est de la Mac?doine, car leur pr?noms et surnoms se transformaient parfois en nom de famille et ?taient ainsi conserv?s m?me apr?s que la famille se soit hell?nis?e. D'autre part il faut prendre en consid?ration qu'un certain nombre de Slaves se dissimulait derri?re des pr?noms eccl?siastiques et c'est pourquoi il est rest? pour nous imperceptible. Donc, les donn?es statistiques pr?sentent uniquement une image relative de la r?alit?, mais elles sont donn?es dans l'ouvrage car il a ?t? n?cessaire de donner un certain rapport num?rique de la pr?sence des Grecs et des Slaves. La pr?sence de la population slave dans la Mac?doine de l'Est n'est pas proportionn?e. On observe plusieurs r?gions qui se distinguent par la pr?sence des Slaves ? leur sein, c'est pourquoi nous les avons analys?s individuellement. La Chalcidique est une r?gion o? le nombre de Slaves, dans la p?riode depuis le d?but du XIVe si?cle jusqu'en 1341 ?tait consid?rable. En moyenne, leurs pr?noms et surnoms se manifestent dans environ 25% de m?nages ce qui, statistiquement parlant, nous indique que les Slaves repr?sentait un quart de la Chalcidique, qu'il s'agisse des Slaves qui avait encore gard? leurs caract?ristiques ethniques, ou qu'il s'agisse de ceux qui se sont hell?nis?s mais qui ont gard? leur noms individuels ou leurs surnoms slaves en tant que noms de famille. Lorsque l'on effectue une coupe dans le temps de la pr?sence des pr?noms et surnoms slaves, il est ?vident que le nombre de Slaves en Chalcidiques diminue sans cesse. De 35,98% combien il y en avait au d?but du XIVe si?cle, leur nombre jusqu'aux ann?es vingt avait diminu? et repr?sentait 20,81% et le d?croissement continuait jusqu'? 1341 lorsqu'ils apparaissent dans uniquement 13,69% de m?nages. Dans cette m?me p?riode, on distingue une hausse du nombre de m?nages portant des pr?noms grecs, ainsi qu'une baisse de m?nages portant des pr?noms mixtes c'est-?-dire avec des pr?noms populaires d'au moins deux peuples, dans ce cas-l?, le plus souvent grec et slave. Nous pensons que dans ce ph?nom?ne se cache l'explication de la diminution du nombre de familles portant des pr?noms slaves. N?anmoins, comme les mariages mixtes ?tait une chose fr?quente, avec le temps, dans ces couples dominait l'influence grecque ce qui est tout ? fait compr?hensible, ?tant donn? que les Grecs, comme on peut le remarquer sur le tableau 3, d?j? au d?but du si?cle ?taient dominants. En plus du fait que l'on remarque que le nombre de Slaves est en baisse continue, on remarque que leur pr?sence n'?tait pas partout la m?me. En relation avec cela, il existe de nombreuses diff?rences entre la Chalcidique de l'Ouest et de l'Est. En g?n?ral, pour la Chalcidique de l'Ouest on pourrait dire que le nombre de Slaves, plus exactement, les familles portant des pr?noms et surnoms slaves est petit. Statistiquement observant, ce nombre s'?l?ve ? environ 13% et reste stable pour toute la p?riode de 1301 jusqu'? 1341. Cependant, dans certains endroits comme par exemple Epan?-Bolbos Skyloch?rion, N?akitou ainsi que d'autres endroits, ils n'apparaissent pas du tout. M?me dans les endroits o? il y en avait dans un nombre consid?rablement plus grand que la moyenne, comme c'est le cas avec Sainte-Euph?mie, nous sommes les t?moins de leur disparition ? la suite de l'hell?nisation compl?t?e. Deux autres faits t?moignent de la fin du processus d'hell?nisation des Slaves dans la Chalcidique de l'Ouest. Le premier fait est que dans la majorit? des cas o? nous rencontrons des pr?noms ou surnoms slaves, ils apparaissent en fonction de noms fig?s et sont port?s par des personnes aux pr?noms eccl?siastiques voire m?me grecs alors qu'il y a tr?s peu de noms individuels slaves. Deuxi?mement, l? o? les pr?noms slaves apparaissent comme noms individuels, ils sont le plus souvent port?s par des immigrants, dont certains d'entre eux sont devenus les gendres dans certaines familles grecques autochtones. En Chalcidique de l'Est il y avait consid?rablemet plus de Slaves que dans la partie ouest de la p?ninsule. En moyenne, les pr?noms slaves apparaissent dans un tiers de m?nages. Pourtant si nous observons chronologiquement les sources, nous nous apercevons que le nombre de Slaves est en baisse continue. De 38,29% combien ils ?taient au d?but du si?cle, leur nombre baisse ? environ 30% dans les ann?es vingt du XIVe si?cle pour ensuite baisser ? seulement 14,49% en 1338-1341. Ce dernier r?sultat est ? prendre avec r?serve. N?anmoins pour les ?tapes pr?c?dentes nous disposons de dix fois plus de donn?es que pour la derni?re ?tape. C'est pourquoi nous estimons que le r?sultat obtenu est, au moins partiellement, la cons?quence de la nature fragmentaire des sources, et qu'il y aurait pu ?tre beaucoup plus de Slaves. Ici, les Slaves ?taient encore rest?s en tant que groupe ethnique solide. L'hell?nisation ?tait ici aussi entam?e, mais elle n'a pas ?t? compl?t?e. Ce qui caract?rise en g?n?ral cette r?gion, c'est l'importante mixit? ethnique de la population, la coexistence et le bilinguisme. Cependant, la situation varie d'un village ? un autre. Il y en a de ceux o? les pr?noms et les surnoms slaves se manifestent uniquement en fonction de patronymes, alors qu'aucun membre de la communaut? ne porte un pr?nom slave en tant que nom individuel ce qui t?moigne du fait que les Slaves, autrefois, dans un pass? pas si lointain, ?taient pr?sents, l?, mais qu'une hell?nisation a ?t? effectu?e comme c'est le cas avec Hi?rissos et Gomatou. Il y en a aussi o? le nombre de Slaves est important mais qui dimunue avec le temps ce qui indique que l'hell?nisation est en cours comme ? Kozla. Certains villages indiquent un haut pourcentage de population slave comme Gradista, Simeon et S?lada, mais on y rencontre pourtant des traces d'hell?nisation. Dans d'autre, n?anmoins le nombre de Slaves augmente: ? Kontogrikon et ? M?tallin.Ce qui peut aussi ?tre observ? c'est qu'une si grande pr?sence de Slaves pourrait ?tre expliqu?e non seulement par leur r?sistance vis-?-vis de l'hell?nisation mais aussi par leur migrations r?centes dans ces r?gions-l?, ce qui signifie qu'ici nous ne rencontrons pas uniquement les descendants des Anciens Slaves, c'est-?-dire ceux qui ?taient venus dans ces r?gions d?j? au septi?me si?cle, mais aussi que la communaut? ethnique slave ?tait renforc?e avec l'arriv?e des nouveaux Slaves. Dans la r?gion de Strymon, on distingue plusieurs r?gions caract?ristiques. La premi?re r?gion est la vall?e de Strimona pour laquelle on pourrait dire la m?me chose que pour la Chalcidique de l'Ouest, c'est pour cela que nous ne r?p?terons pas les r?sultats ? cet endroit-l?. La deuxi?me est la r?gion montagneuse de Kerdylion et Bolb?. Malheureusement, pour cette r?gion nous disposons uniquement de donn?es pour les dix premi?res ann?es du XIVe si?cle. En g?n?ral, on pourrait dire pour elle que le nombre de Slaves est ?lev?. Leur pr?sence correspond ? celle de la Chalcidique de l'Est, elle est m?me quelque peu plus importante. Malgr? l'hell?nisation qui s'?coule en toute ?vidence, leur nombre est relativement stable. Le fait qu'en 1318-1321, les pr?noms populaires slaves se rencontrent seuls dans plus de 20% de m?nages nous indique qu'au moins un cinqui?me de la population devait ?tre slave et pop-hell?nis?e. Le nombre de mariages mixtes est important. On parle les deux langues, le slave et le grec. Cependant, ceci est valable uniquement pour une p?riode de vingt ans, de 1301 jusqu'? 1321. Malheureusement, les sources ne nous permettent pas de suivre ce qui se passait plus tard avec la population de ces villages-l?. La troisi?me province est la r?gion du mont de Pang?e qui est caract?ris?e par une forte pr?sence de Slaves. Ils repr?sentaient presque la moiti? de la population de cette r?gion. Dans certains villages il y en avait m?me beaucoup plus par exemple ? Boriskos en 1316, dans certains villages ils ?taient plus nombreux que les pr?noms purement grecs comme dans le m?toque de Saint-Pent?l??im?n et Ob?los. Les pr?noms slaves se rencontrent comme noms individuels, c'est-?-dire pr?noms vivants, et non pas comme des mots slaves fig?s en fonction des noms patronymiques. Sur l'existence de l'?l?ment slave nous parlent non seulement les nombreux cas que les descendants des Slaves portent des pr?noms slaves mais il y a aussi de nombreux cas o? les enfants issus de mariages mixtes gr?co-slave portent ?galement des pr?noms slaves. Ceci d?montre que dans ces mariages-l? il n'y avait pas la domination de l'?l?ment grec, ou du moins pas tout de suite. Nous sommes les t?moins que les enfants de parents aux pr?noms grecs portent parfois des pr?noms slaves. Ceci pourrait signifier que m?me l? o? l'on donnait des pr?noms grecs aux Slaves, ces derniers n'ont pas ?t? automatiquement hell?nis?s, mais vu qu'entour?s d'une importante population slave, ils r?ussissaient ? conserver encore leurs caract?ristiques ethniques ainsi que le fait qu'ils ?taient hell?nis?s tr?s difficilement et lentement. Ils s'?taient maintenus ici en tant qu'?l?ment ethnique extr?mement fort et ils n'ont pas ?t? hell?nis?s jusqu'? l'arriv?e des Turques. Les exemples de villages de Dobrobikeia et Ob?los le montrent tr?s bien, ces villages ?taient d?plac?s ? la suite d'attaques turques dans la p?riode entre 1316 jusqu'? 1341. En g?n?ral, on pourrait y ajouter encore que la population slave s'est beaucoup mieux maintenue dans les r?gions montagneuses que dans les r?gions maritimes et dans les plaines. On pourrait dire que la Mac?doine de l'Est ?tait une r?gion interm?diaire entre les provinces slaves du nord et les provinces grecques du sud. Il est imp?ratif d'ajouter que la mixit? de la population est grande et que tout partage en population purement grecque ou purement slave pourrait ?tre artificiel. On peut facilement remarquer dans les sources que les habitants de certaines r?gions et agglom?rations comprenaient les deux langues et que le nombre de mariages mixtes ?tait consid?rable. Il y avait des familles qui contenaient voire m?me trois ?l?ments ethniques. Le bilinguisme et la coexistence ?taient chose commune c'est pourquoi nous pensons qu'ils repr?sentent m?me le principal facteur d'hell?nisation ?tant donn? qu'avec le temps, il y a eu une domination de l'?l?ment ethnique grec m?me dans les milieux caract?ris?s par une forte pr?sence des Slaves.
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Bloech, Michael, Markus Achatz, and Nicole Lohfink. "Berlinale 2018 – Politik und Filmkunst." merz | medien + erziehung 62, no. 2 (April 2, 2018): 80–86. https://doi.org/10.21240/merz/2018.2.20.

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Abstract:
Die Berlinale hat seit Jahren einen ausgesprochen politischen Anspruch. In diesem Jahr waren hier die Erwartungen allerdings besonders hoch: Ausgelöst durch die #MeToo-Debatte und aufgrund der geringen Frauenquote in nahezu allen Bereichen der Filmindustrie, wurde gespannt darauf gewartet, welche Schwerpunkte das Festival setzen würde. Doch vielleicht war die Berlinale von der Dynamik dieses Themas überrascht worden, denn es kam nur zu einzelnen, wichtigen Aktivitäten. Aus dem riesigen Programmangebot sind Michael Bloech, Markus Achatz und Nicole Lohfink einige bemerkenswerte Geschichten in Erinnerung geblie¬ben, die sie innerhalb von drei Schwerpunkten reflektieren. Unterhaltung darf sein! Neben der Setzung von relevanten Schwerpunkten möchte die Berlinale unbedingt ein attraktives Angebot für das breite Publikum bieten und bekanntlich ein Publikumsfestival sein. Zwar hat in punkto verkaufter Tickets das Filmfestival im kanadischen Toronto inzwischen die Nase vorne, doch das gesamte Filmangebot mit seinen vielfältigen Programmblöcken bedient auch auf der Berlinale ein sehr breites Publikum. Gewisse Zugeständnisse an das Unterhaltungsbedürfnis waren damit für eine positive Annahme des Angebots unumgänglich. Grund genug, sich unter dem Aspekt des Unterhaltungswertes die jeweiligen Eröffnungsfilme des Wettbewerbs und der Jugend- und Kinderfilm-Sektionen 14plus und Kplus anzuschauen. Besonders „fabelhafte“ Eröffnung des Wettbewerbs Eröffnet wurde der diesjährige Wettbewerb mit dem Puppentrick-Animationsfilm Isle of Dogs (Ataris Reise) von Wes Anderson, der seit 2001 bereits zum fünften Mal als Filmemacher bei einer Berlinale vertreten war. In der wunderbaren, moralischen Fabel geht es laut Wes Anderson in erster Linie um den Hund und erst in zweiter Linie um eine postmoderne, moralische Parabel: „Ich wollte unbedingt einen Film über Hunde machen“. Herausgekommen ist eine Dystopie über die Megacity Megasaki, die von dem omnipotenten, tyrannischen Bürgermeister Kobayashi regiert wird. Alle Hunde werden per Gesetz, wegen vorgeblich nicht behandelbarer Seuchengefahr, auf eine Insel deportiert. Die ferne Insel mit ihrer gigantischen Müllkippe und den monströsen Industrieruinen ist Heimat der streunenden, zotteligen Hunde, die zunehmend verwildern und vom Hungertod bedroht sind. Als sich Atari, der Pflegesohn des Despoten, auf den gefährlichen Weg dorthin macht, um seinen geliebten Hund Spots zu suchen, beginnt eine klassische Heldenreise. Allerdings ist es nicht Atari, der im Mittelpunkt der Geschichte steht, sondern die struppige und ungeheuer liebenswerte Hundemeute rund um Chief, Rex, King, Duke und Boss. Wes Anderson nimmt dabei Jung und Alt mit auf eine wunderbar altmodisch animierte Reise und transportiert dabei ganz nebenbei die wichtige Message, dass es im Leben immer Sinn macht, schier Unmögliches zu wagen, um gegen Missstände solidarisch organisierten Widerstand zu leisten. Anderson konnte mit Isle of Dogs, für einen Animationsfilm etwas überraschend, den Silbernen Bären für die Beste Regie gewinnen. „Endlich erwachsen?“: Wiederkehrende Kernfrage im Eröffnungsfilm bei 14plus Um eine Reise geht es auch in 303 von Hans Weingartner, dem Eröffnungsfilm der Jugendfilm- Sektion 14plus der Berlinale. Halb Europa bildet dabei den Hintergrund der gefühlsbetonten Geschichte zweier sehr unterschiedlicher, junger Menschen, die beide noch nicht zu sich selbst gefunden haben. Schon nach wenigen Minuten erinnert 303 an Richard Linklaters Independent- Filmklassiker Before Sunrise. Weingarnter hat 1995 bei dieser Produktion seine ersten Filmerfahrungen, sowohl als Nebendarsteller als auch Produktionsassistent gemacht. Hier wie dort sind es vor allem die pointierten, natürlich wirkenden Dialoge, die ein Zusehen spannend machen. Eine junge Frau und ein junger Mann treffen durch einen Zufall aufeinander und schon beginnt das spannende Sprachduell um Anziehung, Auseinandersetzung und Zurückweisung. Ort der Handlung bildet ein mehr als betagtes Mercedes Wohnmobil, dessen modifiziertes Typenschild für den Filmtitel verantwortlich zeichnet. Die Kombination von romantisch gefärbtem Dialogfilm und ästhetisch ansprechendem Roadmovie unterhält bestens, zumal dabei Themen diskutiert werden, die über den Austausch von Banalitäten weit hinausgehen. Fantasievoll bunte Eröffnung des Kinderfilmprogramms bei Kplus Das populäre Kinderbuch Die unglaubliche Geschichte von der Riesenbirne von Jakob Martin Strid bildete die Vorlage für den gleichnamigen Auftaktfilm der Sektion Kplus: Den utrolige historie om den kæmpestore pære der Filmemacher Philip Einstein Lipski, Amalie Næsby Fick und Jørgen Lerdam. In diesem farbenfroh animierten Film wird die abenteuerliche Reise der wasserscheuen Katze Mika, dem ängstlichen Elefanten Sebastian und dem verschrobenen Professor Glykose erzählt. Gemeinsam machen sie sich, in einer als Boot umfunktionierten Riesenbirne, auf eine abenteuerliche Suche nach ihrem verschwundenen Bürgermeister. Dabei müssen sie auf hoher See mit diversen Widrigkeiten kämpfen, treffen auf vermeintlich böse Piraten und Seeungeheuer, bevor sie schließlich im Showdown auf den verbrecherischen, größenwahnsinnigen Stellvertreter des entführten Bürgermeisters treffen. Zwar mangelt es der Dramaturgie ein wenig an Eleganz, aber insgesamt wird die Geschichte für junge Zusehende durchaus fantasievoll und unterhaltsam präsentiert. Michael Bloech arbeitete als Medienpädagoge am Medienzentrum München des JFF mit den Schwerpunkten Videoarbeit, Kinder- und Jugendfilm. Das Gewicht von Verantwortung: Filme bei GENERATION der 68. Berlinale - Von den Sorgen um andere und den Grenzen des Lebens Aus dem Programm der Berlinale-Sektion GENERATION ragten Filme heraus, die die jungen Hauptfiguren mit einer widersprüchlichen Welt und schwer verstehbaren Realitäten konfrontieren. Häufig ging es um die Übernahme von Verantwortung für andere und Fragen nach den Grenzen des Lebens. Wenn Superhelden sterben Ein berührendes Highlight im diesjährigen Berlinale-Programm der Sektion GENERATION Kplus war die kenianisch-deutsche Koproduktion Supa Modo. Die neunjährige Jo ist unheilbar an Krebs erkrankt. Jos Mutter Kathryn beschließt, ihr Kind für die verbleibende Zeit mit nach Hause zu nehmen. Kathryn ist eine starke Persönlichkeit, doch mit dem Wissen um das unaufhaltbare Sterben ihrer Tochter kann sie ihrer Arbeit als Hebamme nicht mehr nachkommen. In dieser Konstellation übernimmt Mwix, Jos ältere Schwester, mehr und mehr Verantwortung. Jo liebt Superhelden-Geschichten und Mwix erkennt in Jos Fantasie einen Schlüssel für glückliche Momente. Sie bestärkt das kranke Kind in der Vorstellung, selbst magische Superkräfte entwickeln zu können. Dabei gewinnt sie immer mehr Dorfbewohner, sich an dem Spiel zu beteiligen und gemeinsam erfüllen sie Jo den sehnlichen Wunsch, Superheldin in einem eigenen Film zu werden. Neben der herausragenden Darstellerleistung der drei Protagonistinnen liegt die Stärke von Supa Modo darin, aus dem todtraurigen Plot auch hoffnungsvolle Botschaften zu ziehen. Durch die Film-im-Film-Story schafft Regisseur Likarion Wainaina ein Element der Distanz, das Jos Familie (und letztlich auch den Zuschauenden) hilft, mit der Tragödie umzugehen. Supa Modo wurde durch das deutsch-kenianische Produktionskollektiv One Fine Day (gegründet von Marie Steinmann Tykwer und Tom Tykwer) realisiert und ist mit einem rein afrikanischen Team entstanden. Auf der Webseite von One Fine Day findet sich das mit Jugendlichen aus dem Kibera-Slum Nairobi gedrehte Tanzvideo „Ping“. Begrüßenswert wäre es, wenn es künftig mehr afrikanische Filme nach Europa schaffen würden. Supa Moda wurde unter anderem mit Zuschüssen der Deutschen Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit gefördert. Über Bilder und Geschichten Emotionen zu wecken und den jungen Zuschauerinnen und Zuschauern Wege zu mehr Empathie aufzuzeigen, sind gut angelegte Mittel zur Förderung der internationalen Gemeinschaft. Die Kplus-Kinderjury sprach dem Film eine Lobende Erwähnung aus. Poetische Wege des Abschieds Eine ungewöhnliche und bewegende Geschichte über das Abschiednehmen erzählt auch der balinesische Film Sekala Niskala (The Seen and Unseen). Auch hier bestimmt eine unheilvolle Diagnose den Verlauf des Geschehens. Tantris Zwillingsbruder Tantra wird schwerkrank. Im Hospiz wagt sich die zehnjährige Tantri nicht ans Krankenbett ihres Zwillingsbruders – außer, wenn sie völlig in magische Zwischenwelten abgleitet, in denen sie mit Tantra spielt und tanzt. Das Mädchen nutzt alles Mystische und Symbolhafte, was sich ihrer kindlichen Welt erschließt, um mit dem nahenden Verlust umzugehen. Mit Kostümen und Körperbemalungen beginnt sie der Trennung zu begegnen. Sekala Niskala – das Sichtbare und das Unsichtbare – spielt dabei auf einer hoch stilisierten Ebene mit langen Traumsequenzen, in denen sich Tantri mit der jenseitigen Welt befasst. Obwohl sie dies alles nicht wirklich begreifen kann, möchte sie mehr Verantwortung übernehmen. Sie äußert einmal, wie gerne sie mit Tantra tauschen würde, damit er weiterleben könnte. Eine Rückblende zeigt, wie sich die Kinder gekochte Eier teilen: Tantri das Eiweiß und Tantra das Eigelb. Eines Tages öffnet Tantri ein Ei, darin fehlt das Eigelb, so wie Tantra. Die indonesische Regisseurin Kamila Andini hat ebenso das Buch zum Film geschrieben. Ihr Regiedebüt The Mirror Never Lies lief 2012 bei Berlinale GENERATION. Mit Sekala Niskala hat sie 2018 den Großen Preis der Internationalen Jury Kplus gewonnen. Fortuna – Moral und Verantwortung Fortuna vom Schweizer Regisseur Germinal Roaux hat gleichzeitig den Gläsernen Bären der Jugendjury 14plus und den Großen Preis der Internationalen Jury 14plus erhalten. Die 14-jährige Fortuna ist als Flüchtling aus Äthiopien in einem Kloster in den Schweizer Bergen gestrandet. Seit der Überquerung des Meeres in einem Boot fehlt von Fortunas Eltern jede Spur. Die Abgeschiedenheit und das rauhe Klima verstärken ihre Einsamkeit und Sehnsucht nach Geborgenheit. Auch andere Flüchtlinge haben vorübergehend im Kloster Zuflucht gefunden und dennoch kann sie nur mit den Tieren des Hofes über alles reden. Vor allem fürchtet sich Fortuna davor, Kabir die Wahrheit zu sagen: Sie ist schwanger von dem 26-Jährigen, der ebenfalls aus Äthiopien kommt. Als sie allen Mut zusammennimmt und es ihm erzählt, reagiert er schroff und gibt dem Mädchen die Schuld. Zunächst hofft das Mädchen auf eine gemeinsame Zukunft, doch bei einer unerwarteten Polizei-Razzia im Kloster verschwindet Kabir spurlos. Der Film besticht vor allem durch seine ästhetische Schärfe. In klaren Schwarz-Weiß-Bildern (im Format 4:3) erhält die Bergwelt eine eigene Hauptrolle. In den Rückblenden der Flucht fließen die tosenden Wellen des Meeres auf imposante Weise mit den Wolkenbewegungen über dem Gebirge ineinander. Fortunas Schwangerschaft kommt allmählich ans Licht und der Film wechselt den Blickwinkel auf andere Instanzen: Einerseits die Politik und Einwanderungsbehörden – repräsentiert in der Figur des Herrn Blanchet –, die auf Basis von Paragraphen Entscheidungen fällen. Er versucht, unbegleitete Minderjährige an Familien zu vermitteln und sieht in einer Abtreibung den einzigen Ausweg. Andererseits die Mönche des Klosters – allen voran Bruder Jean (dargestellt von Bruno Ganz) –, die ihr Haus als Zufluchtsort zur Verfügung stellen. Verantwortung richtet sich hier nach dem Prinzip von Nächstenliebe und göttlicher Weisung. Und es gibt noch eine dritte Ebene – in deren Perspektive wir am Ende zurückkehren: Was wünscht sich Fortuna selbst? Es ist ein Film über ein ergreifendes persönliches Schicksal vor dem Hintergrund der humanitären Katastrophe. Anhand von Fortunas jungem Leben stehen alle, die sich darauf einlassen, vor der Frage nach der Verantwortung. Roaux liefert am Ende keine Antwort, aber viele neue Fragen, die weit über das eine Leben hinausgehen. Markus Achatz ist Erziehungswissenschaftler und Medienpädagoge, Leiter des Bereichs Bildung im Deutschen Jugendherbergswerk und nebenbei als freier Journalist, Filmrezensent, Musiker und DJ aktiv. Die ‚persönliche‘ Seite der Berlinale - Die Attraktivität des Autobiographischen Mit eindrücklichen Filmen quer durch die Sektionen rückten persönliche Lebensgeschichten in den Blickpunkt und verbanden zwei klassische Wahrheiten miteinander. Das Leben schreibt die interessantesten Geschichten – und Kunst, ob auf der Bühne, im Bild oder Film, bildet Leben ab, manchmal auch ‚larger than life'. Besonders beeindruckt dies, wenn es gelingt, diese Realität ganz nah an die Zuschauerin bzw. den Zuschauer heranzurücken. So erzählten folgende drei Beispiele aus dem diesjährigen Programm persönliche Geschichten von realen Menschen und schlagen eine Brücke zu anderen Lebenswelten, aber auch zu universalen Themen wie tiefe Freundschaft, der eigenen Verwundbarkeit und Stolpersteinen des Erwachsenwerdens. Mut zur eigenen Schwäche – vom äußeren und inneren Terror Ein bestechender Film aus der Sektion Panorama Special heißt Profile, ein Film von Timur Bekmambetov. Im Mittelpunkt steht die britische Journalistin Amy Whittaker und ihre Recherche über die Rekrutierung junger europäischer Frauen durch den IS. Die Journalistin nimmt über ein gefälschtes Facebook-Profil Kontakt zu einem IS-Kämpfer auf und gibt sich als junge Konvertitin aus. Hierauf folgt ein Katz-und-Maus-Spiel zweier Jäger. Der Film beginnt als Einblick in die Struktur des Terrors, legt aber später zunehmend Gewicht auf die verschwimmende Grenze zwischen sich einlassen und Distanz wahren, Zerbrechlichkeit der eigenen Persönlichkeit und emotionale Manipulationsmechanismen. Der gesamte Film verläuft dabei nur auf der Computer-Bildschirm-Oberfläche, auch das alltägliche Leben der Protagonistin wird über online geführte Unterhaltungen via diversen Web-Diensten gezeigt. Der Zuschauende wechselt zwischen Identifikation mit der Protagonistin und der Beobachterposition. Trotz Eile in der Erzählung, welche die Genauigkeit bestimmter Abläufe überholt, wird die gesamte Tragweite offenbar, wenn Protagonistin – und Zuschauende – mit den Konsequenzen der eigenen Handlungen konfrontiert werden: Die französische Journalistin, auf deren Geschichte der Film basiert, lebt heute unter anderem Namen. Die Veröffentlichung ihres Berichts führte zu mehreren Verhaftungen und einer Todesdrohung durch den IS-Staat. Profile gewann den Publikums-Preis in der Sektion Panorama. Spirituelle Begegnung mit einem Ausnahme-Musiker Aus der Reihe Berlinale Special bewies der Dokumentarfilm Gurrumul aus down under erneut die verbindende Wirkung von Musik und macht mit der Persönlichkeit und Musiker Geoffrey Gurrumul Yunupingu, einem Aboriginal aus dem australischen Arnhemland, vertraut. Bewiesen als ein außerordentlich begabter Musiker von Kindheit an, aber blind geboren, bietet Gurrumuls Leben schon genug Stoff, um erzählt zu werden. Aber die Geschichte erlaubt der Zuschauerin bzw. dem Zuschauer einen Einblick in die Würde einer Kultur mit deren Werten einer uns zunächst unvertrauten Gesellschaft. In persönlichen Bildern und Interviews erzählt Regisseur Paul Williams von der frühen Begabung des Musikers – der sich vier Instrumente selbst beibrachte –, von seinem Stammesleben, den Ängsten seiner Verwandten, dass er als blinder Mann keine Unabhängigkeit leben kann, aber auch von der Wertschätzung, die er in seinem Stamm erfährt. Der Zuschauende erfährt von der Begegnung Gurrumuls mit seinem langjährigen engen Freund und Wegbegleiter Michael Hohnen, einem Musiker und ‚baladan‘, das heißt ‚weißer Typ‘ auf Yolngu Matha. Hohnen wird zum Sprachrohr und Übersetzer für den extrem scheuen Musiker, der dennoch Konzerte vor vielen tausenden Menschen gibt. Vor dieser Hintergrundgeschichte schafft es der Film Gurrumul eine Geschichte von persönlicher Freiheit zu erzählen. Dazu kommen Momente, in denen mündlich überlieferte Lieder die Traditionen und Geschichten der früheren Generationen vermitteln und somit den kulturellen Reichtum erlebbar machen. Die Suche nach einer visuellen Entsprechung der Tiefgründigkeit der Musik gelingt durch intime Einblicke, die der Film in die Lebensumstände des Künstlers gewährt – Einblicke, die das enge freundschaftliche Verhältnis zwischen den beiden Musikern Michael und Gurrumul erst ermöglichen und welche so zwischen einem ‚baladan‘ und einem ‚yolnu‘ (schwarzer Typ) selten vorkommen. So findet sich der eigentliche Schatz des Films darin, dass ein ungewollter Star nicht nur Wissen über das kulturelle Erbe Australiens vermittelt, sondern auch die Universalität dieser Traditionen enthüllt. Geoffrey Gurrumul Yunupingu starb kurz vor Veröffentlichung des Films. Erwachsenwerden – die Suche nach der Identität in turbulenten Bildern animiert Der Animationsfilm Virus Tropical von Regisseur Santiago Caicedo ist die autobiographische Geschichte der kolumbianisch-ecuadorianischen Cartoonistin Paola Gaviria, basierend auf ihrem gleichnamigen Comic von 2014. Mit der eigenen Existenz als Ergebnis eines tropischen Virus startet der Film in eine humorvolle und bildgewaltige Reise zum Thema Stolpersteine der Kindheit und Jugend im Programm von GENERATION 14plus. Dabei geht es vordergründig um das Mädchen Paola und die Entwicklung ihrer Familienbeziehungen – insbesondere zur Mutter und zu den beiden Geschwistern. Es geht um den Umgang mit Veränderungen, den Umzug in eine andere Stadt, Zugehörigkeitsgefühle der Protagonistin und die eigene Definition. Es ist die Inventur eines Lebens und Konstruktion des eigenen Selbst, inklusive aller Elemente und Orte des Aufwachsens, die eine wichtige Rolle in der Kindheit und Jugendzeit der Autorin gespielt haben. Der Zuschauerin bzw. dem Zuschauer bietet sich dadurch ein Spiegel der Erinnerung, während der Film mit Augenzwinkern und Rasanz die verschiedenen Stationen anläuft. Die Bedeutung von Familie, Erkundung von Sexualität und auch, was es bedeutet, eine Frau zu sein, samt der Entwicklung der persönlichen Identität als zentrale Themen des Erwachsenwerdens werden sowohl inhaltlich als auch stilistisch erfahrbar gemacht. Die turbulenten Wechsel der Kindheit und die Auseinandersetzung mit der Außenwelt spiegeln sich unentwegt in diversen graphischen Spielarten wider. Der Haupt-Charakter ist immer im Entwicklungszustand. Auch musikalisch wird handlungsorientiert gearbeitet – die Liedtexte stehen für die jeweilige Situation in Paolas Leben. Entstanden ist ein sehr ansprechendes und persönliches Werk, dem die Cartoonistin insgesamt neun Jahre ihres Lebens gewidmet hat. Vier Jahre für die Erarbeitung der Novelle und fünf Jahre für die Gestaltung des Films, für den sie über 1.000 Zeichnungen erstellt hat. Real existierende Menschen im Fokus der Filme schaffen so eine gelungene persönliche Begegnung zwischen Fremden und bieten in ihrer Vielseitigkeit noch lange Stoff zum Nachdenken und Nachspüren – und damit sicherlich eine Leistung von gesellschaftlicher Relevanz durch die Berlinale.Nicole Lohfink ist freie Journalistin, Film- und Theaterkünstlerin und medienpädagogische Referentin.
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Harrison, Klisala, Robert Peary II, and Pirkko Moisala. "Kohti ihmisenjälkeistä musiikintutkimusta." Musiikki 54, no. 4 (December 12, 2024). https://doi.org/10.51816/musiikki.154734.

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Abstract:
Towards posthuman music scholarship: Reflections inspired by Inughuit music of Greenland (Kalaallit Nunaat) This article argues, in the spirit of pluriversalism, for parallel statuses of Indigenous onto-epistemology and western humanistic research in the academy. Posthumanist theorization has often drawn on indigenous knowledge without proper reference to it. We consider this to be knowledge colonization. The reciprocal relationship between Earth, human, nature and the nonhuman has lived in Indigenous ways of life and thought for millennia. To inform solutions to the intensifying ecological crisis, posthumanism now seeks to develop a resonant “posthuman” epistemology. We demonstrate the discrepancy between western human-centred and Indigenous musical ways of thinking and being by juxtaposing approaches to Inughuit music by Danish eskimologist and music researcher Michael Hauser, and Inughuit drumsinger Hivshu. Hivshu’s conceptualization of music is closer to a posthumanism that takes distance from representational theory. The discussion is contextualized in Indigeneity, the Inughuit philosophical tradition and in disciplinary developments of music research.
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Perelman, Sergio, and Pierre Pestieau. "Numéro 179 - mai 2023." Regards économiques, June 1, 2023. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2023.06.01.01.

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Abstract:
Le sentiment de rejet et de mépris, l’absence de perspectives, la défiance à l’égard des institutions et du pouvoir, paradoxalement combinée avec une demande d’autorité, conduisent aux quatre coins du continent à des manifestations de colère sociale. Ces colères s’enclenchent à la suite de décisions politiques ou des catastrophes évitables. On citera l’accident ferroviaire en Grèce, les politiques restrictives des conservateurs anglais, la taxe carbone puis la réforme des retraites en France, la hausse soudaine du coût de la vie en Belgique et les flux migratoires en Italie. Comment expliquer ces mouvements populistes dans des pays qui consacrent jusqu'à 30% de la richesse nationale à la protection sociale ? Ce numéro de Regards économiques avance l’hypothèse que nos États providence ont négligé la mobilité sociale. Faute de pouvoir rêver d’ascension sociale pour eux-mêmes et pour leurs enfants, de nombreux citoyens épousent des idées populistes et votent pour des partis extrêmes. Cette relation entre populisme et mobilité sociale s’observe avec plus ou moins d’intensité dans les 27 pays qui sont étudiés. Que faire face à cette situation qui met en péril l’équilibre de nos démocraties ? Il convient d’agir à deux niveaux. D’abord, celui de l’éducation qui reste particulièrement inégalitaire, particulièrement en France et en Belgique. Donner à chacun les mêmes chances de s’éduquer devrait être une priorité. Ensuite, il y a le niveau du marché du travail qui demeure fermé à ceux qui n’appartiennent pas aux bons réseaux. Ici aussi il conviendrait de lutter contre les discriminations de tous genres et les barrières à l’entrée de certaines professions.
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Lucie Strecker. "“The Performative Biofact”." Reposition, University of Applied Arts Vienn (June 27, 2017). http://dx.doi.org/10.22501/repos.353726.

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Abstract:
Since the 20th century the relationship between ecology and the arts has increasingly shaped various concepts of performance art. These have developed training and working systems such as biomechanics, somatic dance techniques or psychological realistic acting methods (Giannachi and Steward 2005) based on the analysis of natural phenomena. However, the life sciences have fundamentally changed what we understand by nature and ecology and, as the philosopher and biologist Nicole C. Karafyllis explains, the Aristotelian demarcation between nature and technology as a separation between what grows and what does not is no longer valid. Agri-technology and biotechnology methods such as genetic engineering or cloning mean that life forms can to a great extent also be artificial or technological. Consequently, this project, “The Performative Biofact”, aims to rethink and practically research this relationship. The theories of new materialism, and in particular the work of the scientist Karen Barad, who questions the dichotomy between ontology and epistemology, open up new perspectives on the relationship between material and performativity, which have previously only been partially taken into account in performance theory and practice. This project is developing a new experimental process involving the provocative production of a semi-artificial, semi-natural being, with the equal treatment of apparatus, humans and non-humans. In Nicole C. Karafyllis’s terminology, the hybrid being that is to be created, whose ontological status alternates between animate and inanimate, can be described as a biofact. We question the history that the performative production of material derives from and how technological renewal will change our understanding of ecology and art in future. This takes place through the inclusion of historical, culturally relevant relics. New biofacts will be created out of this biological, animalistic material. In this interaction between the human and technology, the figure of the animal also enters the process. Thereby we seek to avoid a solely anthropocentric perspective on the process and foster new creative solutions. The challenge is to avoid the anthropomorphising of the animal, and instead to liberate it from its passive position as the exploited “other”. The set-up to be developed together with the co-researchers in this project is intended to unite transdisciplinary methods of archaeology, performance, molecular biology and genetics. Through the concept of performative creation of a biofact in a model experiment, new scope for action and perception arises and offers opportunities to continue the research on the constantly changing relationship between ecology and the arts. Cooperation Partners: Felix Grun, PhD Director MS Facility, Department of Chemistry, University of California IrvineIrvine Dr. Jens Hauser University of Copenhagen, Department of Arts and Cultural Studies & Faculty of Health and Medical Sciences - Medical Museion Risa Puleo Curator, Bemis Center for Contemprorary Art, Omaha, Nebraska Dr. Mark Rinnerthaler Universität Salzburg, FB-Zellbiologie/Abt. Genetik Dr. Markus Schmidt BIOFACTION KG, Wien Prof. Dr. Klaus Spiess Medizinische Universität Wien, Institut für medizinische Psychologie, Zentrum für Public Health Prof. Paul Vanouse Department of Art, Director of Coalesce Center for Biological Art, University at Buffalo Prof. Victoria Vesna UCLA Art/Sci Center, California Center for Human - Computer Interaction, University Salzburg
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Sneessens, Henri, and Bruno Van der Linden. "Numéro 33 - septembre 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15943.

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Abstract:
Les préretraites ont été conçues initialement comme un instrument visant à répondre aux difficultés créées par les destructions d’emploi et la montée du chômage des années 70-80 et à privilégier l’avenir en privilégiant l’emploi des jeunes. L’instrument est-il approprié ? S’il ne l’est pas, quelles orientations suivre ? Et que penser des propositions gouvernementales dans le document "Vieillissement actif" ? Les faits observés Quand on regarde les faits au cours des trente dernières années, on constate le recours massif aux retraits du marché du travail (9 % de la population active en 2005). Parallèlement, sur la même période, on constate une baisse des taux d’emploi. Les taux de chômage des classes d’âge directement concernées sont relativement bas également. Il n’en est pas de même des autres classes d’âge, qui ne semblent pas avoir bénéficié de ces retraits massifs. Le taux d’emploi des 50-64 a certes augmenté sensiblement en Belgique au cours des dernières années. Mais le redressement est nettement moins rapide qu’aux Pays-Bas par exemple; il reste également trop faible pour ramener l’écart avec la France à la valeur observée au début des années 80. Diagnostic Au-delà de l’observation des faits, l’analyse que nous résumons dans ce numéro 33 de Regards économiquesconduit à la conclusion que les préretraites n’ont pas soutenu le niveau de l’emploi en Belgique. À moyen et long terme, les coûts de production sont un déterminant central du volume d’activité et de l’emploi. La contraction de la population active entraîne des pressions salariales accrues qui se répercutent sur les prix de vente et sur le volume d’activité, et donc sur l’emploi. Ces effets négatifs sur l’emploi sont renforcés lorsque la réduction de population active implique des dépenses supplémentaires en matière de pensions de retraite et un relèvement des taxes sur le travail. Les destructions d’emplois sont un phénomène permanent dans nos économies, phénomène qui s’accompagne de créations d’emplois, dont on parle sans doute moins. Les destructions d’emplois impliquent un coût privé pour les entreprises comme pour les travailleurs concernés. Les mesures facilitant les retraits de la vie active réduisent les coûts privés en limitant la perte de revenu du travailleur et les coûts de restructuration des entreprises. Elles impliquent simultanément un coût important pour la collectivité en réduisant durablement le nombre d’emplois et en accroissant la charge des transferts et pensions. Ce coût pour la collectivité est à prendre en compte si l’on veut assurer la pérennité de notre système de sécurité sociale. Les retraits anticipés ne sont pas toujours la conséquence de restructurations. Une fraction non négligeable des retraits anticipés semble refléter un choix délibéré. La taxe implicite sur le revenu du travail des personnes en fin de carrière due au système de (pré-)retraite atteint 55 % pour un travailleur de 60-65 ans. Un taux de taxation de 55 % signifie qu’en travaillant une année de plus ondiminue la valeur actualisée des revenus de pension futurs d’un montant égal à 55 % du dernier salaire. Cette taxe implicite incite à se retirer prématurément du marché du travail. Orientations de politique économique Ce diagnostic remet en cause l’idée selon laquelle maintenir les travailleurs âgés en emploi constitue une menace pour l’emploi des "plus jeunes". Dans ce contexte et compte tenu de l’évolution démographique et de la diminution des taux de mortalité, la fin des facilités de retraits de vie active se justifie, si pas pour tous, en tout cas pour beaucoup. Certes, pas d’un coup car l’adaptation des mentalités comme celle de la législation et des conventions ne peuvent s’effectuer instantanément. Comment s’y prendre ? Quelques balises (i) Mettre fin aux distorsions qui pénalisent la poursuite de la vie active - Retraites anticipées Pour les travailleurs d’au moins 60 ans dont la carrière est jugée complète du point de vue du calcul des retraites, la décision d’anticiper ou non le passage à la retraite ne doit pas entraîner de changement dans la valeur actualisée des revenus de pension futurs. La décision d’anticiper sa retraite doit seulement entraîner une diminution de la valeur annuelle de la pension. Le cumul d’un salaire et d’un revenu de pension doit alors être autorisé. Les mêmes principes s’appliquent aux travailleurs dont la carrière est incomplète, avec pour seule différence la possibilité de continuer d’accumuler des droits à la pension jusqu’à l’âge de 65 ans, selon les règles en vigueur aujourd’hui. Cette approche des retraites anticipées permet d’éliminer la taxation implicite des revenus du travail impliquée par le système actuel.Elle contribue à améliorer le bien-être des plus âgés, à stimuler l’emploi et améliorer l’équilibre des finances publiques. - Destructions d’emploi En cas de licenciement, nous plaidons pour que la personne reste demandeur d’emploi, quel que soit son âge, et que la période de chômage reste une période assimilée du point de vue du calcul de la retraite. Nous plaidons pour que l’allocation complémentaire négociée lors d’un licenciement ou d’une cessation d’activité anticipée soit traitée comme un salaire du point de vue de la (para)fiscalité et qu’elle soit payée jusqu’à l’âge de la retraite anticipée, y compris lorsqu’il y a reprise d’emploi. Ceci devrait encourager la recherche d’emploi et l’acceptation d’offres d’emploi le cas échéant moins rémunératrices. (ii) Des politiques basées sur une vision dynamique de l’évolution des carrières Favoriser, tout au long de la carrière, des comportements qui permettent de soutenir les exigences du marché du travail : formation, possibilité de retrait temporaire pour mieux concilier vie professionnelle et vie privée, attention permanente aux conditions de travail. Le développement de retraits du marché du travail à temps partiel ou de formules de réduction du temps de travail, accompagnés d’une allocation sociale, nous paraissent la meilleure réponse au problème des métiers usants. On ne saurait sous-estimer néanmoins la difficulté d’énoncer des critères objectifs permettant de définir sans ambiguïté les métiers usants, physiquement ou psychologiquement. (iii)Réduire le coût des travailleurs âgés peu qualifiés L’objectif est de stimuler en priorité l’emploi des moins qualifiés, groupe dans lequel on observe des retraits d’activité les plus importants et les plus précoces, dès l’âge de 50 ans. Le critère d’âge utilisé seul est un mauvais critère de ciblage des allégements structurels. La variable "âge" a du sens (i) si elle est combinée avec d’autres critères (en particulier le niveau des salaires, comme approximation du niveau de qualification) et (ii) si l’on évite des seuils tranchés, sources d’effets pervers sur le groupe d’âge immédiatement inférieur. (iv)Une réflexion de fond sur les progressions salariales à l’ancienneté Les progressions salariales à l’ancienneté ou en fonction de l’âge présentent des avantages et des inconvénients. Ce point mérite une réflexion de fond, qui peut être couplée à la discussion sur le calcul des droits à la pension (vus comme un salaire différé). (v) Le renforcement de la protection de l’emploi : une fausse solution L’obligation d’outplacement au-delà d’un seuil d’âge et à charge de l’entreprise, que l’on envisage actuellement, impliquerait une hausse du coût de licenciement des travailleurs "âgés", et donc un frein à leur embauche. Si les prestations de service d’outplacement sont en elles-mêmes efficaces, leur financement gagnerait plutôt à se faire via un fonds interprofessionnel alimenté par des cotisations d’employeurs calculées en fonction de leur pratique historique de licenciement quel que soit l’âge du travailleur.
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29

Sneessens, Henri, and Bruno Van der Linden. "Numéro 33 - septembre 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.09.02.

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Les préretraites ont été conçues initialement comme un instrument visant à répondre aux difficultés créées par les destructions d’emploi et la montée du chômage des années 70-80 et à privilégier l’avenir en privilégiant l’emploi des jeunes. L’instrument est-il approprié ? S’il ne l’est pas, quelles orientations suivre ? Et que penser des propositions gouvernementales dans le document "Vieillissement actif" ? Les faits observés Quand on regarde les faits au cours des trente dernières années, on constate le recours massif aux retraits du marché du travail (9 % de la population active en 2005). Parallèlement, sur la même période, on constate une baisse des taux d’emploi. Les taux de chômage des classes d’âge directement concernées sont relativement bas également. Il n’en est pas de même des autres classes d’âge, qui ne semblent pas avoir bénéficié de ces retraits massifs. Le taux d’emploi des 50-64 a certes augmenté sensiblement en Belgique au cours des dernières années. Mais le redressement est nettement moins rapide qu’aux Pays-Bas par exemple; il reste également trop faible pour ramener l’écart avec la France à la valeur observée au début des années 80. Diagnostic Au-delà de l’observation des faits, l’analyse que nous résumons dans ce numéro 33 de Regards économiquesconduit à la conclusion que les préretraites n’ont pas soutenu le niveau de l’emploi en Belgique. À moyen et long terme, les coûts de production sont un déterminant central du volume d’activité et de l’emploi. La contraction de la population active entraîne des pressions salariales accrues qui se répercutent sur les prix de vente et sur le volume d’activité, et donc sur l’emploi. Ces effets négatifs sur l’emploi sont renforcés lorsque la réduction de population active implique des dépenses supplémentaires en matière de pensions de retraite et un relèvement des taxes sur le travail. Les destructions d’emplois sont un phénomène permanent dans nos économies, phénomène qui s’accompagne de créations d’emplois, dont on parle sans doute moins. Les destructions d’emplois impliquent un coût privé pour les entreprises comme pour les travailleurs concernés. Les mesures facilitant les retraits de la vie active réduisent les coûts privés en limitant la perte de revenu du travailleur et les coûts de restructuration des entreprises. Elles impliquent simultanément un coût important pour la collectivité en réduisant durablement le nombre d’emplois et en accroissant la charge des transferts et pensions. Ce coût pour la collectivité est à prendre en compte si l’on veut assurer la pérennité de notre système de sécurité sociale. Les retraits anticipés ne sont pas toujours la conséquence de restructurations. Une fraction non négligeable des retraits anticipés semble refléter un choix délibéré. La taxe implicite sur le revenu du travail des personnes en fin de carrière due au système de (pré-)retraite atteint 55 % pour un travailleur de 60-65 ans. Un taux de taxation de 55 % signifie qu’en travaillant une année de plus ondiminue la valeur actualisée des revenus de pension futurs d’un montant égal à 55 % du dernier salaire. Cette taxe implicite incite à se retirer prématurément du marché du travail. Orientations de politique économique Ce diagnostic remet en cause l’idée selon laquelle maintenir les travailleurs âgés en emploi constitue une menace pour l’emploi des "plus jeunes". Dans ce contexte et compte tenu de l’évolution démographique et de la diminution des taux de mortalité, la fin des facilités de retraits de vie active se justifie, si pas pour tous, en tout cas pour beaucoup. Certes, pas d’un coup car l’adaptation des mentalités comme celle de la législation et des conventions ne peuvent s’effectuer instantanément. Comment s’y prendre ? Quelques balises (i) Mettre fin aux distorsions qui pénalisent la poursuite de la vie active - Retraites anticipées Pour les travailleurs d’au moins 60 ans dont la carrière est jugée complète du point de vue du calcul des retraites, la décision d’anticiper ou non le passage à la retraite ne doit pas entraîner de changement dans la valeur actualisée des revenus de pension futurs. La décision d’anticiper sa retraite doit seulement entraîner une diminution de la valeur annuelle de la pension. Le cumul d’un salaire et d’un revenu de pension doit alors être autorisé. Les mêmes principes s’appliquent aux travailleurs dont la carrière est incomplète, avec pour seule différence la possibilité de continuer d’accumuler des droits à la pension jusqu’à l’âge de 65 ans, selon les règles en vigueur aujourd’hui. Cette approche des retraites anticipées permet d’éliminer la taxation implicite des revenus du travail impliquée par le système actuel.Elle contribue à améliorer le bien-être des plus âgés, à stimuler l’emploi et améliorer l’équilibre des finances publiques. - Destructions d’emploi En cas de licenciement, nous plaidons pour que la personne reste demandeur d’emploi, quel que soit son âge, et que la période de chômage reste une période assimilée du point de vue du calcul de la retraite. Nous plaidons pour que l’allocation complémentaire négociée lors d’un licenciement ou d’une cessation d’activité anticipée soit traitée comme un salaire du point de vue de la (para)fiscalité et qu’elle soit payée jusqu’à l’âge de la retraite anticipée, y compris lorsqu’il y a reprise d’emploi. Ceci devrait encourager la recherche d’emploi et l’acceptation d’offres d’emploi le cas échéant moins rémunératrices. (ii) Des politiques basées sur une vision dynamique de l’évolution des carrières Favoriser, tout au long de la carrière, des comportements qui permettent de soutenir les exigences du marché du travail : formation, possibilité de retrait temporaire pour mieux concilier vie professionnelle et vie privée, attention permanente aux conditions de travail. Le développement de retraits du marché du travail à temps partiel ou de formules de réduction du temps de travail, accompagnés d’une allocation sociale, nous paraissent la meilleure réponse au problème des métiers usants. On ne saurait sous-estimer néanmoins la difficulté d’énoncer des critères objectifs permettant de définir sans ambiguïté les métiers usants, physiquement ou psychologiquement. (iii)Réduire le coût des travailleurs âgés peu qualifiés L’objectif est de stimuler en priorité l’emploi des moins qualifiés, groupe dans lequel on observe des retraits d’activité les plus importants et les plus précoces, dès l’âge de 50 ans. Le critère d’âge utilisé seul est un mauvais critère de ciblage des allégements structurels. La variable "âge" a du sens (i) si elle est combinée avec d’autres critères (en particulier le niveau des salaires, comme approximation du niveau de qualification) et (ii) si l’on évite des seuils tranchés, sources d’effets pervers sur le groupe d’âge immédiatement inférieur. (iv)Une réflexion de fond sur les progressions salariales à l’ancienneté Les progressions salariales à l’ancienneté ou en fonction de l’âge présentent des avantages et des inconvénients. Ce point mérite une réflexion de fond, qui peut être couplée à la discussion sur le calcul des droits à la pension (vus comme un salaire différé). (v) Le renforcement de la protection de l’emploi : une fausse solution L’obligation d’outplacement au-delà d’un seuil d’âge et à charge de l’entreprise, que l’on envisage actuellement, impliquerait une hausse du coût de licenciement des travailleurs "âgés", et donc un frein à leur embauche. Si les prestations de service d’outplacement sont en elles-mêmes efficaces, leur financement gagnerait plutôt à se faire via un fonds interprofessionnel alimenté par des cotisations d’employeurs calculées en fonction de leur pratique historique de licenciement quel que soit l’âge du travailleur.
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30

"Buchbesprechungen." Zeitschrift für Historische Forschung: Volume 46, Issue 2 46, no. 2 (April 1, 2019): 289–406. http://dx.doi.org/10.3790/zhf.46.2.289.

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Abstract:
Cremer, Annette C. / Martin Mulsow (Hrsg.), Objekte als Quellen der historischen Kulturwissenschaften. Stand und Perspektiven der Forschung (Ding, Materialität, Geschichte, 2), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 352 S. / Abb., € 50,00. (Alexander Georg Durben, Münster) Pfister, Ulrich (Hrsg.), Kulturen des Entscheidens. Narrative – Praktiken – Ressourcen (Kulturen des Entscheidens, 1), Göttingen 2019, Vandenhoeck &amp; Ruprecht, 409 S. / Abb., € 70,00. (Wolfgang Reinhard, Freiburg i. Br.) Krischer, André (Hrsg.), Verräter. Geschichte eines Deutungsmusters, Wien / Köln / Weimar 2019, Böhlau, 353 S. / Abb., € 39,00. (Wolfgang Reinhard, Freiburg i. Br.) Baumbach, Hendrik / Horst Carl (Hrsg.), Landfrieden – epochenübergreifend. Neue Perspektiven der Landfriedensforschung auf Verfassung, Recht, Konflikt (Zeitschrift für Historische Forschung, Beiheft 54), Berlin 2018, Duncker &amp; Humblot, 280 S., € 69,90. (Fabian Schulze, Ulm / Augsburg) Ertl, Thomas (Hrsg.), Erzwungene Exile. Umsiedlung und Vertreibung in der Vormoderne (500 – 1850), Frankfurt a. M. / New York 2017, Campus, 272 S., € 39,95. (Alexander Schunka, Berlin) Earenfight, Theresa (Hrsg.), Royal and Elite Households in Medieval and Early Modern Europe. More than Just a Castle (Explorations in Medieval Culture, 6), Leiden / Boston 2018, Brill, IX u. 416 S., € 150,00. (Jeroen Duindam, Leiden) Hiltmann, Torsten / Laurent Hablot (Hrsg.), Heraldic Artists and Painters in the Middle Ages and Early Modern Times (Heraldic Studies, 1), Ostfildern 2018, Thorbecke, 236 S. / Abb., € 45,00. (Luc Duerloo, Antwerpen) Kießling, Rolf / Frank Konersmann / Werner Troßbach, Grundzüge der Agrargeschichte, Bd. 1: Vom Spätmittelalter bis zum Dreißigjährigen Krieg (1350 – 1650), Köln / Weimar / Wien 2016, Böhlau, 329 S. / Abb., € 30,00. (Maximilian Schuh, Heidelberg) Kiening, Christian, Fülle und Mangel. Medialität im Mittelalter, Zürich 2016, Chronos, 468 S. / Abb., € 26,00. (Petra Schulte, Trier) Lachaud, Frédérique / Michael Penman (Hrsg.), Absentee Authority across Medieval Europe, Woodbridge 2017, The Boydell Press, XI u. 264 S. / Abb., £ 60,00. (Melanie Panse-Buchwalter, Essen) Antonín, Robert, The Ideal Ruler in Medieval Bohemia (East Central and Eastern Europe in the Middle Ages, 450 – 1450, 44), Leiden / Boston 2017, Brill, XIII u. 400 S. / Abb., € 145,00. (Julia Burkhardt, Heidelberg) Musson, Anthony / Nigel Ramsay (Hrsg.), Courts of Chivalry and Admiralty in Late Medieval Europe, Woodbridge 2018, The Boydell Press, XIV u. 250 S. / Abb., £ 60,00. (Jörg Peltzer, Heidelberg) Paravicini, Werner, Ehrenvolle Abwesenheit. Studien zum adligen Reisen im späteren Mittelalter. Gesammelte Aufsätze, hrsg. v. Jan Hirschbiegel / Harm von Seggern, Ostfildern 2017, Thorbecke, XI u. 757 S. / Abb., € 94,00. (Christina Antenhofer, Salzburg) Kolditz, Sebastian / Markus Koller (Hrsg.), The Byzantine-Ottoman Transition in Venetian Chronicles / La transizione bizantino-ottomana nelle cronache veneziane (Venetiana, 19), Rom 2018, Viella, 324 S. / graph. Darst., € 32,00. (Mihailo Popović, Wien) Documents on the Papal Plenary Indulgences 1300 – 1517 Preached in the „Regnum Teutonicum“, hrsg. v. Stuart Jenks (Later Medieval Europe, 16), Leiden / Boston 2018, Brill, XX u. 811 S., € 175,00. (Axel Ehlers, Hannover) Kumhera, Glenn, The Benefits of Peace. Private Peacemaking in Late Medieval Italy (The Medieval Mediterranean, 109), Berlin / Boston 2017, Brill, VIII u. 314 S., € 119,00. (Tobias Daniels, München) Campopiano, Michele / Helen Fulton (Hrsg.), Anglo-Italian Cultural Relations in the Later Middle Ages, Woodbridge 2018, York Medieval Press, XI u. 212 S. / Abb., £ 60,00. (Jörg Rogge, Mainz) Hole, Jennifer, Economic Ethics in Late Medieval England, 1300 – 1500 (Archival Insights into the Evolution of Economics), Cham 2016, Palgrave Macmillan, XII u. 300 S., € 123,04. (Petra Schulte, Trier) Klingner, Jens / Benjamin Müsegades (Hrsg.), (Un)‌Gleiche Kurfürsten? Die Pfalzgrafen bei Rhein und die Herzöge von Sachsen im späten Mittelalter (1356 – 1547) (Heidelberger Veröffentlichungen zur Landesgeschichte und Landeskunde, 19), Heidelberg 2017, Universitätsverlag Winter, 280 S. / Abb., € 45,00. (Jörg Schwarz, München) Mütze, Dirk M., Das Augustiner-Chorherrenstift St. Afra in Meißen (1205 – 1539) (Schriften zur sächsischen Geschichte und Volkskunde, 54), Leipzig 2016, Leipziger Universitätsverlag, 434 S. / Abb., € 49,00. (Stefan Tebruck, Gießen) Langeloh, Jacob, Erzählte Argumente. Exempla und historische Argumentation in politischen Traktaten c. 1265 – 1325 (Studien und Texte zur Geistesgeschichte des Mittelalters, 123), Leiden / Boston 2017, Brill, X u. 414 S., € 128,00. (Frank Godthardt, Hamburg) The Dedicated Spiritual Life of Upper Rhine Noble Women. A Study and Translation of a Fourteenth-Century Spiritual Biography of Gertrude Rickeldey of Ortenberg and Heilke of Staufenberg, hrsg., komm. u. übers. v. Anneke B. Mulder-Bakker in Zusammenarbeit mit Gertrud J. Lewis / Tilman Lewis / Michael Hopf / Freimut Löser (Sanctimoniales, 2), Turnhout 2017, Brepols, VIII u. 269 S., € 80,00. (Jörg Voigt, Rom) Roeck, Bernd, Der Morgen der Welt. Geschichte der Renaissance (Historische Bibliothek der Gerda Henkel Stiftung), München 2017, Beck, 1304 S. / Abb., € 44,00. (Reinhard Stauber, Klagenfurt) Eming, Jutta / Michael Dallapiazza (Hrsg.), Marsilio Ficino in Deutschland und Italien. Renaissance-Magie zwischen Wissenschaft und Literatur (Episteme in Bewegung, 7), Wiesbaden 2017, Harrassowitz, VIII u. 291 S. / Abb., € 56,00. (Michaela Boenke, München) Furstenberg-Levi, Shulamit, The Accademia Pontaniana. A Model of a Humanist Network (Brill’s Studies in Intellectual History, 258), Leiden / London 2016, Brill, VIII u. 223 S., € 116,00. (Tobias Daniels, München) Andermann, Ulrich, Humanismus im Nordwesten. Köln – Niederrhein – Westfalen, Münster 2018, Aschendorff, 361 S., € 56,00. (Jan-Hendryk de Boer, Essen) Adams, Jonathan / Cordelia Heß (Hrsg.), Revealing the Secrets of the Jews. Johannes Pfefferkorn and Christian Writings about Jewish Life and Literature in Early Modern Europe, Berlin / Boston 2017, de Gruyter, XV u. 325 S. / Abb., € 79,95. (Gudrun Emberger, Berlin) Buchet, Christian / Gérard Le Bouëdec (Hrsg.), The Sea in History / La mer dans l’histoire, [Bd. 3:] The Early Modern World / La période moderne, The Boydell Press, Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, XXVI u. 1072 S., £ 125,00. (Jann M. Witt, Laboe) Broomhall, Susan (Hrsg.), Early Modern Emotions. An Introduction (Early Modern Themes), London / New York 2017, Routledge, XXXVIII u. 386 S. / Abb., £ 36,99. (Hannes Ziegler, London) Faini, Marco / Alessia Meneghin (Hrsg.), Domestic Devotions in the Early Modern World (Intersections, 59.2), Leiden / Boston 2019, Brill, XXII u. 356 S. / Abb., € 154,00. (Volker Leppin, Tübingen) Richardson, Catherine / Tara Hamling / David Gaimster (Hrsg.), The Routledge Handbook of Material Culture in Early Modern Europe (The Routledge History Handbook), London / New York 2017, Routledge, XIX u. 485 S. / Abb. £ 105,00. (Kim Siebenhüner, Jena) Ilmakunnas, Johanna / Jon Stobart (Hrsg.), A Taste for Luxury in Early Modern Europe. Display, Acquisition and Boundaries, London [u. a.] 2017, Bloomsbury Academic, XV u. 318 S. / Abb., £ 85,00. (Kim Siebenhüner, Jena) Czeguhn, Ignacio / José Antonio López Nevot / Antonio Sánchez Aranda (Hrsg.), Control of Supreme Courts in Early Modern Europe (Schriften zur Rechtsgeschichte, 181), Berlin 2018, Duncker &amp; Humblot, 323 S. / Abb., € 89,90. (Peter Oestmann, Münster) Heuser, Beatrice (Hrsg.), Small Wars and Insurgencies in Theory and Practice, 1500 – 1850, London / New York 2016, Routledge, XII u. 219 S., £ 29,95. (Horst Carl, Gießen) Koopmans, Joop W., Early Modern Media and the News in Europe. Perspectives from the Dutch Angle (Library of the Written Word, 70; The Handpress World, 54), Leiden / Boston 2018, Brill, XVII u. 361 S. / Abb., € 140,00. (Johannes Arndt, Münster) Miller, John, Early Modern Britain. 1450 – 1750 (Cambridge History of Britain, 3), Cambridge 2017, Cambridge University Press, XVIII u. 462 S. / Abb., £ 22,99. (Michael Schaich, London) Blickle, Renate, Politische Streitkultur in Altbayern. Beiträge zur Geschichte der Grundrechte in der frühen Neuzeit, hrsg. v. Claudia Ulbrich / Michaela Hohkamp / Andrea Griesebner (Quellen und Forschungen zur Agrargeschichte, 58), Berlin / Boston 2017, de Gruyter, XII u. 226 S., € 69,95. (Thomas Wallnig, Wien) Näther, Birgit, Die Normativität des Praktischen. Strukturen und Prozesse vormoderner Verwaltungsarbeit. Das Beispiel der landesherrlichen Visitation in Bayern (Verhandeln, Verfahren, Entscheiden, 4), Münster 2017, Aschendorff, 215 S. / Abb., € 41,00. (Franziska Neumann, Rostock) Sherer, Idan, Warriors for a Living. The Experience of the Spanish Infantry during the Italian Wars, 1494 – 1559 (History of Warfare, 114), Leiden / Boston 2017, Brill, VIII u. 289 S. / Abb., € 120,00. (Heinrich Lang, Leipzig) Abela, Joan, Hospitaller Malta and the Mediterranean Economy in the Sixteenth Century, Woodbridge 2018, The Boydell Press, XXVI u. 263 S. / Abb., £ 75,00. (Magnus Ressel, Frankfurt a. M.) Bünz, Enno / Werner Greiling / Uwe Schirmer (Hrsg.), Thüringische Klöster und Stifte in vor- und frühreformatorischer Zeit (Quellen und Forschungen zu Thüringen im Zeitalter der Reformation, 6), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 461 S., € 60,00. (Ingrid Würth, Halle a. d. S.) Witt, Christian V., Martin Luthers Reformation der Ehe. Sein theologisches Eheverständnis vor dessen augustinisch-mittelalterlichem Hintergrund (Spätmittelalter, Humanismus, Reformation, 95), Tübingen 2017, Mohr Siebeck, XIV u. 346 S., € 99,00. (Iris Fleßenkämper, Münster) Freitag, Werner / Wilfried Reininghaus (Hrsg.), Beiträge zur Geschichte der Reformation in Westfalen, Bd. 1: „Langes“ 15. Jahrhundert, Übergänge und Zäsuren. Beiträge der Tagung am 30. und 31. Oktober 2015 in Lippstadt (Veröffentlichungen der Historischen Kommission für Westfalen. Neue Folge, 35), Münster 2017, Aschendorff, 352 S. / Abb., € 39,00. (Andreas Rutz, Düsseldorf) Hartmann, Thomas F., Die Reichstage unter Karl V. Verfahren und Verfahrensentwicklung 1521 – 1555 (Schriftenreihe der Historischen Kommission bei der Bayerischen Akademie der Wissenschaften, 100), Göttingen / Bristol 2017, Vandenhoeck &amp; Ruprecht, 370 S., € 70,00. (Reinhard Seyboth, Regensburg) Der Reichstag zu Regensburg 1541, 4 Teilbde., bearb. v. Albrecht P. Luttenberger (Deutsche Reichstagsakten. Jüngere Reihe, 11), Berlin / Boston 2018, de Gruyter Oldenbourg, 3777 S., € 598,00. (Eva Ortlieb, Graz) Putten, Jasper van, Networked Nation. Mapping German Cities in Sebastian Münster’s „Cosmographia“ (Maps, Spaces, Cultures, 1), Leiden / Boston 2018, Brill, XXIII u. 353 S. / Abb., € 135,00. (Felicitas Schmieder, Hagen) Müller, Winfried / Martina Schattkowski / Dirk Syndram (Hrsg.), Kurfürst August von Sachsen. Ein nachreformatorischer „Friedensfürst“ zwischen Territorium und Reich. Beiträge zur wissenschaftlichen Tagung vom 9. bis 11. Juli 2015 in Torgau und Dresden, Dresden 2017, Sandstein, 240 S. / Abb., € 28,00. (Vinzenz Czech, Potsdam) Haas, Alexandra, Hexen und Herrschaftspolitik. Die Reichsgrafen von Oettingen und ihr Umgang mit den Hexenprozessen im Vergleich (Hexenforschung, 17), Bielefeld 2018, Verlag für Regionalgeschichte, 319 S. / Abb., € 29,00. (Rainer Walz, Bochum) Flurschütz da Cruz, Andreas, Hexenbrenner, Seelenretter. Fürstbischof Julius Echter von Mespelbrunn (1573 – 1617) und die Hexenverfolgungen im Hochstift Würzburg (Hexenforschung, 16), Bielefeld 2017, Verlag für Regionalgeschichte, 252 S. / Abb., € 24,00. (Rainer Walz, Bochum) Sidler, Daniel, Heiligkeit aushandeln. Katholische Reform und lokale Glaubenspraxis in der Eidgenossenschaft (1560 – 1790) (Campus Historische Studien, 75), Frankfurt a. M. / New York 2017, Campus, 593 S. / Abb., € 58,00. (Heinrich Richard Schmidt, Bern) Moring, Beatrice / Richard Wall, Widows in European Economy and Society, 1600 – 1920, Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, XIII u. 327 S. / Abb., £ 75,00. (Margareth Lanzinger, Wien) Katsiardi-Hering, Olga / Maria A. Stassinopoulou (Hrsg.), Across the Danube. Southeastern Europeans and Their Travelling Identities (17th–19th C.) (Studies in Global Social History, 27; Studies in Global Migration History, 9), Leiden / Boston 2017, Brill, VIII u. 330 S. / Abb., € 110,00. (Olivia Spiridon, Tübingen) „wobei mich der liebe Gott wunderlich beschutzet“. Die Schreibkalender des Clamor Eberhard von dem Bussche zu Hünnefeld (1611 – 1666). Edition mit Kommentar, hrsg. v. Lene Freifrau von dem Bussche-Hünnefeld / Stephanie Haberer, [Bramsche] 2017, Rasch, 216 S. / Abb., € 34,50. (Helga Meise, Reims) Rohrschneider, Michael / Anuschka Tischer (Hrsg.), Dynamik durch Gewalt? Der Dreißigjährige Krieg (1618 – 1648) als Faktor der Wandlungsprozesse des 17. Jahrhunderts (Schriftenreihe zur Neueren Geschichte, 38; Neue Folge, 1), Münster 2018, Aschendorff, VII u. 342 S. / Abb., € 48,00. (Claire Gantet, Fribourg) Schloms, Antje, Institutionelle Waisenfürsorge im Alten Reich 1648 – 1806. Statistische Analyse und Fallbeispiele (Beiträge zur Wirtschafts- und Sozialgeschichte, 129), Stuttgart 2017, Steiner, 395 S., € 62,00. (Iris Ritzmann, Zürich) Mühling, Christian, Die europäische Debatte über den Religionskrieg (1679 – 1714). 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"Buchbesprechungen." Zeitschrift für Historische Forschung: Volume 48, Issue 4 48, no. 4 (October 1, 2021): 727–840. http://dx.doi.org/10.3790/zhf.48.4.727.

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Abstract:
Clauss, Martin / Christoph Nübel (Hrsg.), Militärisches Entscheiden. Voraussetzungen, Prozesse und Repräsentationen einer sozialen Praxis von der Antike bis zum 20. Jahrhundert (Krieg und Konflikt, 9), Frankfurt a. M. / New York 2020, Campus, 496 S. / Abb., € 52,00. (Jörg Rogge, Mainz) Scheller, Benjamin (Hrsg.), Kulturen des Risikos im Mittelalter und in der Frühen Neuzeit (Schriften des Historischen Kollegs. Kolloquien, 99), Berlin / Boston 2019, de Gruyter Oldenbourg, IX u. 278 S. / Abb., € 69,95. (Christian Wenzel, Marburg) Eisenbichler, Konrad (Hrsg.)‚ A Companion to Medieval and Early Modern Confraternities (Brill’s Companions to the Christian Tradition, 83), Leiden / Boston 2019, Brill, XVI u. 475 S. / Abb., € 215,00. (Nikolas Funke, Münster) Das, Nandini / Tim Youngs (Hrsg.), The Cambridge History of Travel Writing, Cambridge [u. a.] 2019, Cambridge University Press, XVIII u. 639 S. / Abb., £ 135,00. 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