Academic literature on the topic 'Harpocration (01..?-02..?) – Critique et interprétation'

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Dissertations / Theses on the topic "Harpocration (01..?-02..?) – Critique et interprétation"

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Andrulli, Nicolas. "Édition critique, traduction et commentaire du "Lexique des dix orateurs" d'Harpocration (lemmes Α-Λ)." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUL123.

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Abstract:
Le présent travail de thèse vise à établir une nouvelle édition critique des lemmes Α-Λ, et d'une sélection de lemmes en Μ-Ψ, du "Lexique des dix orateurs" d'Harpocration, avec une attention particulière pour l'histoire de la tradition de l'œuvre, les éditions précédentes et l'épitomé.L'objectif du présent travail est de combler le vide laissé par la dernière édition du "Lexique" datant de 1991, car, depuis cette date, aucune avancée n'a été faite dans l'étude de cet ouvrage qui constitue une référence non seulement pour les spécialistes de rhétorique et d'éloquence antiques, mais également pour ceux qui s'occupent, plus généralement, d'histoire, de littérature et de droit antiques
The present thesis aims to establish a new critical edition of Α-Λ lemmas, and a selection of Μ-Ψ lemmas, of the "Lexicon of the ten orators" by Harpocration, with a closer interest in the tradition of the work, the previous editions and the epitome.The objective of this work is to fill the gap left by the last edition of the "Lexicon" dating from 1991, because, since that date, no progress has been made in the study of this work, which is a reference not only for specialists of Ancient rhetoric and eloquence, but also for scholars who study, more generally, Ancient history, literature and law
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2

Ducotey, Isabelle. "L'espace dans "la Bibliothèque" d'Apollodore." Besançon, 1991. http://www.theses.fr/1991BESA1020.

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Abstract:
Ce texte présente un ensemble de récits mythologiques de la tradition grecque. L'étude de l'espace mythique est importante. Cet espace est calqué sur l'espace géographique réel pour donner un cadre précis aux récits, l'activité des personnages se déploie dans cet espace. On a un important catalogue de noms de lieux et de peuples. Apollodore présente l'oekumene en privilégiant certaines zones. On constate un helléno-centrisme orientaliste. L’Europe est quasiment absents. Une autre caractéristique les lieux sont cités mais jamais décrit. On peut qualifier cet espace de flou. L'espace mythique n'est pas seulement limité par un espace géographique. Il est pluraliste. Différents sous-espaces le composent s'imbriquant les uns dans les autres par un jeu de combinaisons afin de former une seule unité. On remarque l'importance de l'espace du pouvoir dans la syntaxe narrative. Les aspects spatiaux sont différents de ceux présentés traditionnellement (Hésiode). L'espace se concrétise par un certain dynamisme c'est à dire par l'action, le mouvement des personnages. Ce procédé narratif a un rôle prépondérant dans tout le texte. Les indications d'action, de mouvement caractérisent ce texte, qualifie cet espace et lui donne une réalité sociale. Le nombre de verbes de mouvement est très important. L'analyse du texte démontre que l'espace contient un message. Ce texte présente l'alliance du discours mythique et de l'espace.
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Guyomarc'h, Gweltaz. "Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote." Electronic Thesis or Diss., Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

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Abstract:
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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Guyomarc'h, Gweltaz. "Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote." Thesis, Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

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Abstract:
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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Saussard-Colard, Dorothée-Laure. "Le visage romanesque : dans les œuvres de Chariton, de Xénophon d'Éphèse, de Longus, d'Héliodore d'Émèse et d'Achille Tatius." Thesis, Besançon, 2012. http://www.theses.fr/2012BESA1035.

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Abstract:
L’analyse du vocabulaire grec du visage dans l’ensemble des romans de Chariton, de Xénophon, de Longus, d’Héliodore et d’Achille Tatius a pour dessein de montrer l’intérêt certain, à la fois esthétique et sensoriel, porté à cette partie souveraine du corps. Quelle est donc l’importance accordée au visage du héros ou de l’héroïne ? Et de quelle manière le discours rend-il compte de son incarnation, de sa réalité organique ? Comment les visages des personnages interagissent-ils ? Parce que le visage se révèle une interface entre l’intime et le social, entre l’intériorité et l’expressivité, on peut se demander en quoi ce lieu privilégié du corps, à travers la description de l’aspect physique des personnages, caractérise leur éthos permanent ou communique au lecteur leurs émotions fugitives. Le visage s’offre aux regards et interpelle. Ses traits sont autant de signes à interpréter pour celui ou celle qui le regarde et dont il mobilise le système de reconnaissance et de représentation. Certes, la description physique des héroïnes comme celle des jeunes hommes ne se limite pas au visage. Mais, seul le visage, qui n’a rien d’incertain, d’irrégulier, de disharmonieux, est appelé à refléter les vertus des personnages mais aussi ses plus grandes souffrances. La mise en icônes de traits représentatifs des personnages s’inscrit dans la logique des procédures de description physique qui caractérise la culture romanesque. Le roman aime ainsi à représenter la beauté, en alliant aux manifestations physiques les émotions de l’âme. Les visages des héros romanesques grecs sont dévoilés dans une sorte de mosaïque à la fois anatomique et littéraire, évoquant les éléments fondamentaux qui les constituent. Ainsi, sans confondre visage et portrait, nous avons déconstruit le visage romanesque pour en montrer les diverses facettes, la palette des couleurs, les références littéraires intertextuelles et mythologiques mais aussi certains invariants, pour enfin mieux le reconstruire. Nous avons donc procédé à l’étude et à l’analyse du visage, non seulement comme entité mais en tant que visage morcelé, voire éclaté. L’étude approfondie des sens s’est attachée à souligner la passion, ses effets et les émotions du corps, entre plaisir et souffrance, entre affection et violence. Cette recherche a permis de souligner les éléments communs aux différents romanciers, mais aussi leur originalité d'écriture. L'importance accordée au visage et plus généralement au corps dans la narratologie laisse apparaître le reflet des valeurs de la société grecque de leur temps
The analysis of Greek vocabulary about the face in Chariton, Xenophon, Longus, Heliodorus and Achilles Tatius’s novels as a whole plans to show the definite interest, both aesthetic and sensory focused on this sovereign part of the body. So what is the importance attached to the hero or heroine’s faces? And how does the discourse explain its incarnation and organical reality? The face proves to be an interface between the private and social world, between interiority and expressiveness. So we can wonder how this privileged part of the body characterizes their permanent ethos ; we can wonder how it transmits their fleeting emotions to the reader, through the description of the physical look of the characters. The face catches attention. Its features mobilize the system of recognition and representation. Indeed the physical description of heroines as well as heroes is not limited to the face. But only the face, with nothing uncertain, irregular, disharmonious, is assigned to reflect the characters’ virtues but also their greatest suffering. « La mise en icônes »of characters’ representative features is part of the procedures of physical description that characterize the culture of the novel. Thus the novel likes to represent beauty by combining physical expressions with soul feeling. The faces of Greek novelistic heroes are revealed in a kind of mosaic at once anatomical and literary, evoking the basic elements that constitute them. Thus, without mixing up face and portrait, we have deconstructed the novelistic face to show its various facets, colour palette, intertextual literary and mythological references ; but also to show some invariants to, at last, rebuild it in a better way. We have therefore conducted a thorough study and analysis of the face not only as an entity but as a fragmented even blown up face. The detailed study of senses has endeavoured to emphasize passion and its effects, and show the emotions of the body between pleasure and suffering, affection and violence. On the one hand this research has permitted to highlight the elements common to the different novelists, their original writing and the importance granted to face and more generally to body in narratology. On the other hand it has led us to analyze the reflection of the values of the Greek society of their days
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Romieux-Brun, Élodie. "Clio dans les romans grecs : l’Histoire chez Chariton et Héliodore." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040163.

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Abstract:
Les références à l’Histoire sont très présentes dans le Roman de Chairéas et Callirhoé de Chariton (Ier siècle ap. J.-C.) et dans les Éthiopiques d’Héliodore (IVe siècle ap. J.-C.). Elles sont exprimées selon des modalités très variées. Les intrigues se déroulent à l’époque classique. Elles font allusion à un grand nombre d’épisodes et de personnages historiques. Les jeux d’intertextualité avec Hérodote et de Thucydide sont nombreux. Ces procédés font écho à des pratiques d’écriture courantes chez les orateurs. La souplesse de la forme romanesque, qui n’est pas encore codifiée, permet de mettre en scène une représentation du passé riche et innovante. Les démarches des deux romanciers sont différentes. Le Roman de Chairéas et Callirhoé met en scène une grande diversité de références au passé, donnant à lire un condensé de l’Histoire grecque de l'époque classique à Alexandre. Les jeux d’intertextualité avec l’œuvre de Thucydide suggèrent une réflexion sur la transformation de l’Athènes classique. Les échos à différents personnages historiques reflètent l’évolution des valeurs morales de l’époque classique à l’époque impériale. Se dessine ainsi, à travers les références historiques, une réflexion sur l’exercice du pouvoir, en lien avec les écrits des orateurs. Les Éthiopiques présentent des jeux d’intertextualité très élaborés avec les Histoires d’Hérodote. À travers ces échos, le romancier affirme la profonde innovation que constitue le genre romanesque. Les références à l’Histoire dessinent les contours d'un univers romanesque original, qui trouve sa place entre Histoire et légende. Elles expriment des enjeux politiques et moraux présents chez les orateurs
References to history are frequent in the Greek novels Chaireas and Callirhoe, by Chariton (1th century AD), and Aithiopika, by Heliodorus (4th century AD.) These references take a variety of forms. The novels are set in the classical period, but they refer to a wide range of events and historical figures. They also feature rich intertextual engagement with the histories of Herodotus and Thucydides, in a way that recalls the allusive practices of contemporary orators. Thanks to the flexibility of the novel framework, which had not yet been codified, the authors represent the past in innovative, complex, and divergent ways. The Romance of Chaireas and Callirhoe, I demonstrate, exhibits a large variety of references to the past, giving a condensed summary of Greek history from the classical era to Alexander the Great. Echoes to Thucydides suggest thoughts on the transformation of Athens, while references to different historical figures reflect the change of moral values from the classical era to imperial times. The references to the past are linked to political thoughts, in connection with orators' discourses. The Aithiopika, by contrast, presents elaborate allusions to Herodotus Histories. Through these echoes, the novelist affirms the profoundly innovative capacity of the Greek novel as a genre. References to history, I conclude, draw the outlines of an original fictional universe, which finds its place between history and legend, and serve as a counterpoint to the political and moral frameworks developed in oratorical contexts
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Fesi, Andrea. "L'espace culinaire grec. Entre Grèce et Grande-Grèce." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040227.

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Abstract:
Si le regard scientifique porté sur le thème de l’alimentation antique s’est matérialisé au cours des dernières décennies, il s’est pourtant détaché peu d’investigations où l’on a exploité réellement l’espace que l’aliment en lui-même détenait dans la civilisation grecque. Pour tenter de résoudre cette problématique, nous avons fait le choix de porter notre réflexion en se basant sur la comparaison de différentes sources documentaires qui nous ont permis de réaliser un catalogue des aliments les plus consommés en mettant en exergue plusieurs phases ou modes culinaires. Nous nous sommes interrogés également au sujet de certaines pratiques alimentaires et sur le rôle des cuisiniers dans ces démarches en réalisant une énumération de ces individus transmis par les sources, et en dégageant l’existence en Grèce et en Grande-Grèce de plusieurs écoles et de spécialités qu’elles enseignaient. Ce mouvement a porté à la création d’une littérature à sujet gastronomique naufragée dont on conserve pourtant le souvenir dans l’oeuvre encyclopédique d’Athénée de Naucratis. L’alimentation n’avait pas dans l’Antiquité un intérêt éminemment gastronomique mais elle s’est assignée dans les pratiques médicales dès la naissance de cette discipline comme le procédé usité afin de soigner différentes pathologies. Si les recettes au cœur de ce travail participent à distinguer les multiples usages, elles ne permettent pas d’avoir une vision globale des pratiques culinaires au sein de toutes les différents échelles de la société de Grèce et de Grande- Grèce. Maints aspects de ces traditions culinaires restent néanmoins encore d’actualité : il a été constaté, à travers une enquête sur les différents contextes géographiques mis en examen, que certaines recettes ou usages alimentaires dans le cadre culturel ou religieux du monde grec ont pu survivre au fil du temps
Scientific works on antique food have been tackled for decades. However, there are few researches that deeply treated the place that the food in itself occupied during the Greek civilization. In order to answer that question, we have decided to focus on different documentary sources by comparing them. These sources enabled us to have a typology of the most eaten food by highlighting many phases or culinary mode. We also asked ourselves about culinary methods and the place of the cook by achieving a list of the different people that appeared in the different sources. To be able to do this, we give emphasis to the existence of different schools and specialties taught in Greece and Great Greece. This movement gave way to the creation of a gastronomic literature that was forgotten and yet it could be found in the encyclopedic work of Athénée of Naucratis. During Antiquity, food did not have a gastronomic purpose. Nevertheless, it was used for medical purposes in order to cure different diseases. The different recipes that are the core of this work help us to distinguish the different use of food. However, they prevent us from having a global view on culinary methods on the different scales that constitute Greece and Great Greece’s society. Yet some aspects of this culinary tradition are still carried on. Indeed, it has been noticed in some geographical areas that some recipes or food use used in the religious or cultural context were able to survive
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