Academic literature on the topic 'Grande assemblée nationale de Turquie'

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Journal articles on the topic "Grande assemblée nationale de Turquie"

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Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

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Abstract:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux
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Dissertations / Theses on the topic "Grande assemblée nationale de Turquie"

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Aydin, Ahmet Ersat. "Les Trois provinces entre Russie et Turquie (1918-1921) : un défi aux territorialisations étatiques." Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2022. https://docnum.univ-lorraine.fr/ulprive/DDOC_T_2022_0364_AYDIN.pdf.

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Abstract:
Le cœur du questionnement porte sur l'impact sur les Trois provinces (Elviye-i Selâse) de trois processus combinés et partiellement successifs : la déprise du pouvoir russe ; l'installation de l'emprise ottomane-turque ; l'affirmation de centres régionaux face aux centres que sont Moscou et Istanbul. Processus auxquels il faut ajouter les dimensions relatives aux groupes religieux et ethniques locaux, extrêmement complexes même si les Arméniens des trois provinces ont échappé aux problèmes de 1915-1917. Dans ce contexte les Trois provinces (nom turc de cette région) que la Turquie a perdues en 1878 et qu'elle a provisoirement reprises en 1918, sont marquées par des dynamiques locales qui se sont articulées avec la construction de l'État turc au sortir de la Première Guerre mondiale, et plus largement avec les transformations rapides des équilibres stratégiques entre 1917 et 1921 dans une zone marquée par le croisement entre trois grandes lignes de force : l'expansion russe vers la Méditerranée (même si elle est provisoirement en suspens) ; la ligne transversale représentée par la stratégie britannique d'isolement des mers chaudes face à l'expansion russe ; la ligne d'expansion turque (et non plus ottomane) vers l'Asie centrale turcophone (le Touran) qui s'étend du nord de la Turquie actuelle à l'ouest de la Chine. Or à ces axes internationaux correspondent, sur le plan régional (Caucase du sud), des logiques transnationales qui explique la création, sous égide sociale-démocrate à partir de la révolution bolchevique, du Sejm (Assemblée) transcaucasien, qui signa avec la 3e Armée turque l'armistice d'Erzincan le 5 décembre 1917. Mais l'existence d'une entité régionale résulte avant tout de la décomposition politique de l'Empire russe, et d'une affirmation complexe des diverses nationalités de la région, dont les Arméniens qui, en 1917, semblaient mieux organisés (bien sûr côté russe). Il s'agit donc d'une monographie régionale centrée sur les interactions entre les acteurs locaux, régionaux, et extérieurs. Les diverses puissances étatiques en conflit pour la région pouvaient être assez éloignées (l'action des troupes britanniques et italiennes est ici très intéressante)
The core of the questioning concerns the impact of the three successive processes on the Three Provinces (Elviye-i Selâse): overturning the Russian power, establishing the Ottoman-Turkish influence, and asserting the claims of regional centers against Moscow and Istanbul. In these three provinces, there are different religious and local groups. There was are quite an entanglement, and even the Armenians who stayed away from the problems in 1915-1917 are part of it. “Three provinces” is the Turkish expression used for a part of the Balkans before 1878, but then it migrated and clearly referred to the provinces of Batumi, Kars and Ardahan), which Turkey lost in 1878 and recaptured temporarily in 1918. The broader strategic balance was at stake precisely in this region, right when the Turkish State, at the end of World War I, extended its reach. Between 1917 and 1921 it was the place where the strategic ambitions of three main actors intersected: Russia's expansion into the Mediterranean (even if suspended), the British strategy of isolating the warm seas from the Russian southern drive, and the Turkish expansion from present-day northern Turkey to western China and into Turkish-speaking Central Asia. However, these international endeavors were part of a multilayer grid with strong regional (Southern Caucasian) actors. For a while, trespassing the national perspective, social-democracy was in a position to foster the creation of a transnational Caucasian Sejm (Parliament). This body signed the Erzincan Armistice with the third Turkish Army on December 5,1917, after the Bolshevik Revolution. But this unique situation resulted, above all, from the political disintegration of the Russian Empire and the complexity of the region's various national dynamics. At the time, the Armenians seem to have been better organized. Therefore, this study is a regional monograph that focuses on interactions between local, regional and external actors. The various states competing ih the region could indeed intervene in the region from afar (British and Italian troops provide interesting examples)
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Banu, Aurel Cezar. "La construction rituelle de l'espace parlementaire dans la Roumanie communiste : la Grande Assemblée Nationale (1948-1989)." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25394/25394.pdf.

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Bock, Fabienne. "Un parlementarisme de guerre : recherches sur le fonctionnement de la Troisième République pendant la Grande guerre." Paris, Institut d'études politiques, 1998. http://www.theses.fr/1998IEPP0020.

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Abstract:
En l'absence d'une législation spécifique pour le temps de guerre, les institutions de la Troisième République se sont adaptées, de façon pragmatique et donc mouvante, aux contraintes de la situation. En aout 1914, dans la perspective d'une guerre courte, les parlementaires, unis dans l'Union sacrée, acceptent de laisser au gouvernement la conduite du pays ; mais des janvier 1915, la prolongation pour une durée indéterminée de la guerre les conduit à exiger d'être associés au gouvernement. Après avoir imposé que le choix soit laissé aux parlementaires mobilisés de rester aux armées ou de siéger à la chambre ou au sénat, le parlement obtient que le pouvoir exécutif renonce à clôturer la session et, dès lors il siège continûment jusqu'à la fin de la législature. En échange de ces concessions, députés et sénateurs proposent au gouvernement de limiter leur expression publique et de faire des commissions parlementaires le lieu à la fois du contrôle de l'exécutif et d'une collaboration à ses taches. Les grandes commissions deviennent donc, de 1915 à 1917, les organes essentiels de la vie parlementaire. C'est le cas, en particulier, de la Commission de l'armée du sénat qui concentre ses efforts sur le développement des fabrications d'armements, et de celle de la chambre qui s'attache à exercer son contrôle jusque dans la zone des armées. Cependant les chambres, qui n'ont pas renoncé à obtenir des changements de gouvernements (quatre en deux ans), réaffirment aussi leur volonté de restaurer l'intégralité de leur droit de contrôle par le biais des comités secrets. En 1917, l'effritement de l'Union sacrée marque la fin des aménagements conclus entre gouvernement et parlement dans le cadre de l'unanimité nationale. La désignation de Clémenceau à la présidence du conseil ouvre une ère nouvelle, non pas comme on l'a souvent dit une "dictature" mais un mode de fonctionnement ou le gouvernement s'appuie sur une majorité soudée par les poursuites contre les "traitres" d'une part, l'opposition aux socialistes de l'autre. Après la guerre, le parlementarisme qui avait ainsi triomphe de l'épreuve de la guerre est l'objet de critiques nombreuses sans pour autant qu'on procède à de sérieuses réformes de son fonctionnement. De plus, la loi sur l'organisation de la nation pour le temps de guerre, votée en 1938, si elle ne parvient pas à régler la question des députés-soldats…
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Books on the topic "Grande assemblée nationale de Turquie"

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Romania. Constitution de la République socialiste de Roumanie ; Loi électorale de la République socialiste de Roumanie ; Règlement de fonctionnement de la Grande Assemblée Nationale. Bucareste: Éditions Meridiane, 1987.

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Book chapters on the topic "Grande assemblée nationale de Turquie"

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Malraux, André. "Assemblée nationale - séance du 14 décembre 1961 -." In La grande pitié des monuments de France, 65–74. Presses universitaires du Septentrion, 1998. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.50332.

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Malraux, André. "Assemblée nationale – séance du 8 décembre 1966." In La grande pitié des monuments de France, 127–37. Presses universitaires du Septentrion, 1998. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.50356.

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Malraux, André. "Assemblée nationale – séance du 6 décembre 1967 –." In La grande pitié des monuments de France, 139–51. Presses universitaires du Septentrion, 1998. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.50359.

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Malraux, André. "Assemblée nationale – 2e séance du 23 juillet 1962 –." In La grande pitié des monuments de France, 79–85. Presses universitaires du Septentrion, 1998. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.50338.

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Malraux, André. "Assemblée nationale - 1re séance du 18 janvier 1963 -." In La grande pitié des monuments de France, 89–92. Presses universitaires du Septentrion, 1998. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.50344.

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Malraux, André. "Assemblée nationale – 2e séance du 7 novembre 1964 –." In La grande pitié des monuments de France, 105–19. Presses universitaires du Septentrion, 1998. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.50350.

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Malraux, André. "Assemblée nationale – 2e séance du 27 octobre 1966 –." In La grande pitié des monuments de France, 121–25. Presses universitaires du Septentrion, 1998. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.50353.

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Malraux, André. "Assemblée nationale – 1re et 2e séances du 9 novembre 1963 –." In La grande pitié des monuments de France, 93–104. Presses universitaires du Septentrion, 1998. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.50347.

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