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Journal articles on the topic 'Grand Séminaire de Rouen'

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Gay, François. "Le Grand Rouen : une mise en perspective." Études Normandes 48, no. 1 (1999): 4–10. http://dx.doi.org/10.3406/etnor.1999.2371.

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Sapir, Michel, and Jean Delahousse. "Place du grand groupe hétérocentré dans un séminaire discontinu utilisant plusieurs techniques." Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe 29, no. 1 (1997): 41–48. http://dx.doi.org/10.3406/rppg.1997.1377.

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Abstract:
Cet article, à la suite d’une expérience de vingt-six ans (séminaires de Divonne et Annecy) étudie l’impact d’un grand groupe hétérocentré dans un séminaire où petits et grands groupes, psychodrame et relaxation alternent ; le rôle formateur de cette alternance est souligné. Les auteurs essaient de mettre en évidence le rôle, la place, les difficultés des animateurs de ce grand groupe.
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3

Leclerc, Claude. "L’enseignance et son dire." Revue des sciences de l'éducation 31, no. 3 (November 8, 2006): 519–42. http://dx.doi.org/10.7202/013908ar.

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Abstract:
Résumé Cet article a pour objectif d’évaluer le rôle du groupe dans un dispositif d’analyse des pratiques requérant la forme du séminaire et auquel ont participé les enseignants stagiaires du second degré de l’Institut universitaire de formation des maîtres de Rouen. L’étude fait ressortir la construction d’un discours groupal s’appuyant sur un certain nombre de paramètres, acceptation ou refus préalables du cadre, gradients disciplinaires, focalisation sur le « problème », etc. L’analyse des résultats montre qu’une posture réflexive se dessine davantage dans les termes d’une disponibilité retrouvée que dans ceux de la construction d’une capacité réflexive définitivement incorporée.
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4

Moreira, Rafael. "Jean de Rouen et l’architecture militaire." digitAR - Revista Digital de Arqueologia, Arquitectura e Artes, no. 7 (December 28, 2020): 61–68. http://dx.doi.org/10.14195/2182-844x_7_4.

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Abstract:
Cet article cherche à expliquer comment Jean de Rouen est venu s’établir à Coimbra aussi bien qu’à réviser sa ‘seconde période’, point comme une phase de décadence stylistique mais plutôt comme um plus grand intérêt aux aspects sociaux de l’ “architectura” vitruvienne: les bonnes oeuvres (‘évergétisme’) ainsi qu’un projet utilitaire, au lieu de la recherche de la grâce et la Beauté. L’aqueduc de Coimbra lui y est attribué.
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Rosen, Jean. "Retour sur les faïences de La Rochelle. Une nouvelle famille de décors « façon Rouen » ?" Sèvres. Revue de la Société des Amis du musée national de Céramique 30, no. 1 (2021): 18–27. http://dx.doi.org/10.3406/sevre.2021.1562.

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Abstract:
As a continuation of the article entitled “ These Nevers faiences which are said to come from La Rochelle” published in the 2007 issue of this magazine (n° 16), the present contribution suggests a new attribution to La Rochelle of an important group of faiences with a polychrome fi rst fi ring decoration (“ grand feu”) inspired by Rouen and Quimper.
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Butticaz, Simon. "La formation théologique comme édification." Revue de Théologie et de Philosophie 155, no. 4 (February 12, 2024): 367–83. http://dx.doi.org/10.47421/rthph_155.4_367-383.

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Abstract:
L’article revient sur une étude liminaire de Pierre Bonnard, grand inspirateur du Séminaire de culture théologique. Consacré au concept néotestamentaire d’« édification », ce court texte publié en début de carrière reflète non seulement l’approche exégétique de celui qui fut professeur de Nouveau Testament à la Faculté de théologie libre de Lausanne, puis à l’Université de la même ville, mais aussi sa représentation de la formation théologique en tradition chrétienne.
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Lapointe-Roy, Huguette. "Le renouveau religieux à Montréal au XIXe siècle, et le rôle des Sulpiciens dans le domaine de l’éducation chrétienne." Sessions d'étude - Société canadienne d'histoire de l'Église catholique 53 (December 19, 2011): 51–62. http://dx.doi.org/10.7202/1006970ar.

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Abstract:
Après avoir rappelé la situation religieuse du diocèse de Montréal dans ses premières années, l’article montre le rôle que les Sulpiciens ont joué dans le renouveau religieux du point de vue éducatif : organisation de renseignement primaire par une aide financière importante à la Congrégation Notre-Dame et aux Frères des écoles chrétiennes, oeuvre d’éducation secondaire et supérieure au Collège de Montréal et au Grand Séminaire, éducation culturelle par l’Oeuvre des Bons Livres, les bibliothèques et les cercles d’étude.
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Voisine, Nive. "LITALIEN, Rolland, dir., Le Grand Séminaire de Montréal de 1840 à 1990 : 150 ans au service de la formation des prêtres. Montréal, Éditions du Grand Séminaire, 1990. 462 p." Revue d'histoire de l'Amérique française 44, no. 4 (1991): 606. http://dx.doi.org/10.7202/304934ar.

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Rousseau, Louis. "Rolland Litalien et al., Le Grand Séminaire de Montréal de 1840 à 1990. 150 années au service de la formation des prêtres, Montréal, Éditions du Grand Séminaire de Montréal, 1990, 462 p." Études d'histoire religieuse 58 (1992): 75. http://dx.doi.org/10.7202/1006889ar.

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Sajous, Fabrice. "La création des sections serbe et norvégienne au lycée Corneille de Rouen." Études Normandes 6, no. 1 (2018): 38–45. http://dx.doi.org/10.3406/etnor.2018.3725.

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Abstract:
Si la Normandie et Rouen en particulier jouent un rôle considérable dans l’effort de guerre allié au cours de la Grande Guerre, notamment par la présence de la «base anglaise n° 2» et par le grand nombre d’hôpitaux militaires, il est intéressant de se pencher sur un fait moins connu, l’ouverture de deux sections étrangères au lycée Corneille : une section serbe en 1916 puis une section norvégienne en octobre 1918, cette dernière fêtant son centenaire cette année. Quelles raisons ont poussé les autorités françaises à fonder ces sections, comment se sont-elles insérées dans le paysage éducatif rouennais ?
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BIBE, B., P. MULSANT, and P. SELLIER. "Sommaire et avant-propos." INRAE Productions Animales 13, HS (December 22, 2000): 1–5. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.hs.3804.

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Abstract:
Au printemps 1988, le Département de Génétique Animale de l’Inra avait organisé un séminaire interne consacré aux «bases techniques et approches de la génétique moléculaire». Cette discipline commençait alors à émerger. La PCR (Polymerase Chain Reaction), que l’on peut qualifier de technique de base de la génétique moléculaire, venait tout juste d’être mise au point. Les cartes génétiques des espèces animales d’intérêt agronomique étaient à peine ébauchées (au plus quelques dizaines de gènes localisés sur le génome) et les premiers polymorphismes de l’ADN venaient d’être décelés. En une dizaine d’années, de discipline émergente, la génétique moléculaire est devenue une discipline en plein essor. Et pour faire le point des nouveaux acquis, très nombreux et d’intérêt potentiel majeur pour des applications aux programmes d’amélioration génétique, le Département de Génétique Animale a organisé en septembre 1999 un nouveau séminaire consacré à la génétique moléculaire. Ce séminaire de cinq jours a été particulièrement dense, à la mesure des avancées considérables réalisées récemment dans la connaissance des génomes des animaux de ferme. La qualité de l’organisation pilotée par Christelle Gérardin et Pierrette Gillet, avec l’aide efficace de Françoise Bouchain, Annie Pech, Hervé Lagant et Serge Tignoux, a contribué fortement à sa réussite. Comme il l’avait fait en 1992 à l’occasion d’un précédent séminaire intitulé « Eléments de génétique quantitative et application aux populations animales», le Département de Génétique Animale a souhaité mettre à la disposition du plus grand nombre, notamment ses partenaires professionnels et ses collègues de l’enseignement, l’ensemble des informations présentées lors de son dernier séminaire interne. Ce numéro hors série de la revue Productions Animales répond à ce souhait. Il s’intitule «Génétique moléculaire : principes et application aux populations animales» et comprend sept grands chapitres : les notions de base, les polymorphismes génétiques, la cartographie des génomes, la recherche de gènes associés à des fonctions, la transgenèse, la bioinformatique et l’utilisation des marqueurs génétiques. En une quarantaine d’articles, les chercheurs du Département se sont efforcés de faire une mise au point aussi exhaustive que possible sur l’état des connaissances dans les domaines concernés, tout en veillant à donner une place importante aux applications que l’on peut attendre à court et moyen terme de ce nouveau savoir sur les génomes et des nouveaux savoir-faire qui en résultent. Cet ouvrage n’aurait pas vu le jour sans la qualité du travail fourni par les différents intervenants et leurs secrétariats (avec une mention spéciale à Pierrette Gillet et son équipe pour la gestion informatisée de l’ensemble des contributions), l’appui opérationnel apporté par Inra Editions et le précieux concours de la rédaction de la revue Productions Animales, notamment Marie-Hélène Farce et Jean- Marc Perez, respectivement responsable de la rédaction et directeur scientifique de la revue. Les membres du comité scientifique d’organisation du séminaire (Alain Ducos, Pascale Le Roy, Eduardo Manfredi, Marie-Hélène Pinard-van der Laan, Claire Rogel-Gaillard, Daniel Vaiman et Martine Yerle) ont apporté une contribution majeure à la programmation du séminaire et ils ont également assuré, avec l’aide de Ginette Dambrine et Hubert de Rochambeau, la relecture des manuscrits. Que toutes les personnes qui, à un moment ou un autre, ont participé à l’organisation du séminaire et à la genèse de cet ouvrage collectif soient ici sincèrement remerciées. Bernard BibéChef du Département de Génétique Animale de l’InraPhilippe Mulsant et Pierre SellierCo-animateurs du comité scientifique d’organisation du séminaire
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Hankey, Wayne J. "From St. Augustine and St. Denys to Olier and Bérulle’s Spiritual Revolution." Articles spéciaux 63, no. 3 (June 10, 2008): 515–59. http://dx.doi.org/10.7202/018175ar.

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Abstract:
By way of statutes on the façade of L’Hôtel du Parlement de Québec (especially Marie de l’Incarnation, Jean-Jacques Olier, and François de Laval), we explore the Augustinian and Pseudo-Dionysian foundations of the spirituality of New France. By way of records of the life there, and the textbooks used in them, we investigate the kinds of Augustinianism taught and inculcated at the Séminaire de Québec and the Grand Séminaire de Montréal ; particularly, we observe the passage from Gallican to Ultramontane ecclesiology. Olier’s surprising presence on the façade leads us to the Sulpicians and the political theology of the Cardinal de Bérulle. The Copernican revolution effected by this Dionysian hierarch brings a new interpretation of the sacrifice of Christ and the centrality of the priest. The institutional and ascetical implications of this new orientation in Christianity were worked out in New France far more completely than in the Hexagon. We conclude with a consideration of the character and role of the Catholic Church formed in this way in Post Conquest Québec and the consequences this had for the definitions of provincial and federal powers in the Canadian constitution. The Québec Church showed not only the enormous success modern clericalist and centralised Catholicism, with the seminary as its instrument, could achieve but also its limits.
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Pichette, Jean-Pierre. "Éditer des contes de tradition orale : pour qui? comment?" Port Acadie, no. 16-17 (December 22, 2010): 13–23. http://dx.doi.org/10.7202/045126ar.

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Abstract:
Depuis le milieu du xixe siècle en France et au tournant du xxe siècle en Amérique française, les chercheurs sont confrontés à l’épineux problème de l’édition des récits de tradition orale. Cet atelier, qui coïncide avec une dynamique très actuelle de retour au conte, a pris la forme d’un séminaire « sur mesure » où des spécialistes de ces questions – collecteurs, transcripteurs, éditeurs et analystes qui évoluent dans les contextes pluriels de la francophonie internationale — ont livré leurs points de vue sur la méthode de transcription et la composition du recueil de contes d’après leur expérience particulière des difficultés rencontrées et des meilleures solutions trouvées. Ces journées d’étude, qui sont au coeur des activités de la Chaire de recherche en oralité des francophonies minoritaires d’Amérique (Cofram) et qui préparent le grand projet d’établissement d’un corpus de littérature orale (Éclore), devaient servir à mettre au point un modèle d’édition approprié aux sources orales, souple et intelligible au plus grand nombre, en vue de favoriser vraiment leur utilisation et, peut-être, la relance des études en littérature orale.
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Pattin, A. "Un manuscrit du XIIe siècle, de l'ancienne abbaye bénédictine d'Eename retrouvé (Bruges, Grand Séminaire, ms. 406)." Scriptorium 44, no. 1 (1990): 79–91. http://dx.doi.org/10.3406/scrip.1990.1565.

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Winling, Raymond. "Le Grand Séminaire de Strasbourg siège d'un Institut théologique habilité à conférer les grades académiques (1885-1903)." Revue des Sciences Religieuses 59, no. 3 (1985): 252–59. http://dx.doi.org/10.3406/rscir.1985.3040.

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Cloitre, Marie-Thérèse. "« Séminaristes sociaux », « Séminaristes démocrates » : Le Cours ou la Conférence des Œuvres au grand séminaire de Quimper, 1885-1908." Revue d'histoire de l'Église de France 78, no. 201 (1992): 287–310. http://dx.doi.org/10.3406/rhef.1992.1077.

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Donin, Nicolas, and François Ribac. "Agir en chercheur et en musicien dans l’Anthropocène : entretien avec François Ribac." Circuit 32, no. 2 (August 31, 2022): 78–89. http://dx.doi.org/10.7202/1091906ar.

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Abstract:
Cet entretien réalisé en septembre 2021 balaye les grands thèmes de l’activité de recherche et de création du compositeur et sociologue français François Ribac, en se focalisant sur le projet collaboratif « Arts de la scène et musique dans l’Anthropocène » (2016-2019), qui associait un programme de recherche (enquêtes de terrain sur la matérialité des instruments de musique et sur les positionnements écologiques de divers groupes et institutions), un séminaire international (Le Son de l’Anthropocène) et des actions collectives (notamment le Grand Orchestre de la Transition) impliquant artistes, activistes et habitant·e·s de Dijon. Ce programme a mené Ribac à distinguer trois grandes approches de l’environnementalisme : les politiques de limitation de l’empreinte matérielle de la production scénique ; la production d’oeuvres alertant ou éduquant le public sur la crise écologique ; enfin, la coconstruction de projets participatifs locaux entremêlant les dimensions matérielle et esthétique. L’entretien aborde également des questions de recherche sur l’histoire environnementale et les représentations de la nature dans la musique classique, ainsi que les enjeux politiques actuels.
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Henry-Gobet, Aude. "De la province de Normandie à la Ville Éternelle. Les élèves de l'École de dessin de Rouen à Rome au XVIIIe siècle." Studiolo 6, no. 1 (2008): 145–65. http://dx.doi.org/10.3406/studi.2008.1215.

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Abstract:
Fidèle au modèle pédagogique appliqué à l'Académie royale de Peinture et Sculpture, Jean-Baptiste Descamps modélisa les concours de l'École de dessin de Rouen sur les Petits Prix de la célèbre institution et son enseignement spécifique du dessin sur la pose du modèle par les officiers du roi. La réussite de ses élèves et les appuis dont ils bénéficièrent à Paris soulignent l'efficacité du système d'entraide et de soutien socio-professionnel mis en place par un professeur qui aura rapidement la satisfaction de voir de jeunes artistes rouennais concourir pour le Grand Prix et devenir, le cas échéant, pensionnaire de l'Académie de France au palais Mancini. Et les promotions furent aussi rapides qu'inattendues, tant pour les seconds ou premiers prix (Étienne de La Vallée-Poussin, Guillaume Guillon Le Thiere, Louis-Gabriel Lemonnier) que pour ceux des élèves de l'École qui se rendirent à Rome par leurs propres moyens (James Nevay et William Mylne par exemple).
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Layotte, Hélène. "Un riche fonds documentaire à découvrir et à exploiter : le fonds du grand séminaire à la bibliothèque universitaire de Limoges." Revue d'Histoire de l'Eglise de France 106, no. 1 (January 2020): 141–42. http://dx.doi.org/10.1484/j.rhef.5.121375.

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Hegar, Schächinger, and Berger. "Reduktion der schweren Hypoglykämien unter funktioneller Insulintherapie des Typ I Diabetes." Praxis 91, no. 3 (January 1, 2002): 53–60. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.3.53.

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Abstract:
L'insulinothérapie intensive conventionnelle exige une adaptation stricte du mode de vie. L'insulinothérapie fonctionnelle (FIT) permet une adaptation flexible selon les besoins d'insuline de base, les repas et les valeurs de glucose. Durant les années 1990 à 1996, 183 des 221 patients de la consultation ambulatoire de diabétologie de l'hôpital cantonal de Bâle qui avaient suivi les cours d'enseignement d'insulinothérapie fonctionnelle ont été évalués. L'instruction structurée a été effectuée de façon ambulatoire en 16 heures de cours durant trois mois (1 séminaire d'une journée complète et 7 séminaires de 90 minutes le soir). En plus de l'insulinothérapie intensive, les patients ont été sensibilisés aux principes nutritionnels conventionnels. La valeur moyenne de HbA1c était de 7.0% (référence: 3.7–5.6%). Après le passage à une insulinothérapie fonctionnelle, on a constaté une diminution significative du nombre d'hypoglycémies sévères avec un contrôle métabolique similaire: le pourcentage des patients avec des hypoglycémies sévères (degré 3 et 4) a diminué de 26 à 14 % pour les hypoglycémies de degré 3 et de 13 à 7% pour les hypoglycémies de degré 4. En plus de l'augmentation documentée précédemment de la qualité de vie, cette étude démontre que l'insulinothérapie fonctionnelle diminue de façon durable le risque d'hypoglycémie sévère. Ces résultats mettent en évidence un grand besoin d'enseignement de l'insulinothérapie fonctionnelle pour les diabétiques de type 1 en Suisse.
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CHEVAUX, F. "Étude prospective pour une gestion territorialisée et optimisée des boues de l’assainissement collectif." Techniques Sciences Méthodes, no. 11 (November 20, 2020): 89–108. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202011089.

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Abstract:
La Métropole Rouen Normandie (MRN) dispose d’un parc de 23 stations de traitement des eaux usées (STEU) générant un total de 9075 tonnes de matières sèches (MS) par an. Les boues des quatre principales stations, à savoir « Émeraude » à Petit-Quevilly (72% du flux total produit), Saint-Aubin-lès-Elbeuf (15%), Grand-Quevilly (4,8%) et Grand-Couronne (1,5%), sont incinérées sur deux sites, le reste étant épandu. L’incinérateur de la STEU de Saint-Aubin-lès-Elbeuf fonctionne actuellement en souscharge alors que celui d’Émeraude est amené à recevoir davantage de boues depuis l’extension de la STEU fin 2018, ce qui engendre des problématiques de consommation énergétique. La mise en place de la digestion anaérobie permet de réviser la gestion des boues à l’échelle d’un territoire. À cet effet, l’approche multicritère menée par le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) a permis à la collectivité de disposer d’une aide à la décision pour ses futures orientations. L’étude a tout d’abord défini un état des lieux de la production de l’ensemble des boues des STEU du territoire de la MRN, puis présenté une analyse de la faisabilité de différentes filières de traitement des boues en lien avec les équipements en place sur le site d’Émeraude et, sur la base d’un retour d’expérience, proposé des recommandations et des points de vigilance pour les filières d’incinération et de méthanisation par rapport aux techniques existantes pour l’adaptation au contexte rouennais. Quatre scénarios avec suppression ou maintien des fours d’incinération et mise en place d’une digestion anaérobie sur Émeraude ont été élaborés, puis analysés suivant des critères techniques (flux à traiter, équipements nécessaires, emprise foncière), environnementaux (émission de gaz à effet de serre), économiques (investissement, fonctionnement, recettes envisageables) et réglementaires (procédures nécessaires). L’article présente la démarche et la méthodologie mises en oeuvre, le choix de la collectivité sur le scénario proposé n’étant à ce jour pas entériné officiellement.
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Lützelschwab, Ralf. "Thomas Falmagne und Luc Deitz, Luc (Bearb.), Die Orvaler Handschriften bis zum Jahr 1628 in den Beständen der Bibliothèque nationale de Luxembourg und des Grand Séminaire de Luxembourg. Wiesbaden: Harrassowitz Verlag, 2017, 2 Bde., 348, 471 S., 100 Farbabbildungen." Mediaevistik 31, no. 1 (January 1, 2018): 255–58. http://dx.doi.org/10.3726/med012018_255.

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Abstract:
Wie so viele Zisterzienserabteien durchlief Orval im Laufe der Jahrhunderte Phasen von Aufstieg und Niedergang - aufgehoben, geplündert und zerstört wurde das Kloster freilich erst ab 1793 in den nachrevolutionären Wirren. 1926 wagte man einen Neuanfang: auf den alten Grundmauern erhoben sich bald neue Gebäude, in denen bis heute Trappistenmönche ihrer Berufung nachgehen - darunter einige bemerkenswert gute (Ordens-)Historiker und Philologen.1
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Hardy, René. "L'ultramontanisme de Laflèche : genèse et postulats d'une idéologie." Articles 10, no. 2-3 (April 12, 2005): 197–206. http://dx.doi.org/10.7202/055461ar.

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Abstract:
L'ouvrage de l'abbé Laflèche, Quelques considérations sur les rapports de la société civile avec la religion et ta famille, a d'abord été publié sous forme d'articles dans le Journal des Trois-Rivières. L'auteur y exprimait là, en 1866, plus d'un an après la publication du Syllabus (8 décembre 1864), l'ensemble de ses conceptions politiques, sociales et religieuses. L'année même de cette publication, Eusèbe Sénécal, éditeur de Montréal, réimprimait ces écrits dans un petit volume in-16° constituant 260 pages. Désormais la pensée de Laflèche, déjà transmise aux quelques 500 familles abonnées au journal trifluvien et aux centaines de membres des « Cercles de lecture », connaîtra une large diffusion par l'intermédiaire des bibliothèques curiales, paroissiales et collégiales. Encore en 1909, on en conseille la lecture aux étudiants du grand séminaire des Trois-Rivières. L'auteur se propose d'établir la supériorité du pouvoir spirituel sur le pouvoir temporel et de définir les rapports entre la société civile, la religion et la famille, afin de contrecarrer le courant moderne de la « séparation absolue de l'ordre social d'avec l'ordre religieux » et de conjurer le danger du « libéralisme indépendant et antichrétien ». Or les dangers que perçoit Laflèche ne sont pas exclusifs au Québec. Une dialectique de réfutation de ces mêmes erreurs a déjà été élaborée par les ultramontains français, et tout d'abord par leur chef de file, Félicité de Lamennais, et son disciple immédiat, l'historien René-François Rohrbacher. Ceux-ci avaient établi, le premier dans l'Essai de 1820 et le second dans Y Histoire universelle de l'Église catholique, que la raison générale, c'est-à-dire les « croyances élémentaires de la société », transmises par la tradition, était le seul moyen d'atteindre la vérité. Ils démontraient qu'il n'y avait pas de société ou d'autorité sociale sans religion et d'ordre social sans autorité spirituelle. Laflèche s'approprie cette dialectique autoritaire basée sur la foi et, comme l'écrit Xavier de Montclos à propos de Lamennais, il cherche la vérité traditionnelle dans la Révélation, dans l'histoire religieuse et profane et dans la philosophie. Mais en philosophie, il fait abstraction d'un siècle, celui des Lumières, et en histoire, il ne s'attaque au XIXe que pour en démontrer la déviation de la ligne de pensée traditionnelle. En recherchant la vérité sur les fondements de la famille des gouvernements et des sociétés, l'auteur des Considérations nous livre aussi ses conceptions sur le nationalisme, le travail, l'éducation, l'émigration aux États-Unis, la mission providentielle des Canadiens français et la politique, autant de thèmes développés dans le présent exposé.
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Seve, Bruno, and Salvador Gilabert Sanz. "conversando con... Joan Busquets." EGA Revista de Expresión Gráfica Arquitectónica 28, no. 47 (March 23, 2023): 10–41. http://dx.doi.org/10.4995/ega.2023.19386.

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Abstract:
A través del análisis de cuatro libros claves “Barcelona the urban evolution of a compact city” (2014), “Toulouse, Identité et partage du Centre ville” (2021), “Arquitectura Moderna y Ciudad“ (2022), “El centro histórico de Barcelona: un pasado con futuro” (2004) se conversa con el Profesor Joan Busquets. Referente de reconocido prestigio mundial en el área del urbanismo, tanto a nivel teórico como investigador y docente, el prof. Busquets ocupa la cátedra en Harvard como Martin Bucksbaum Professor in Practice of Urban Planning and Design y desarrolla importantes transformaciones y construcciones urbanas de relevancia internacional. Catedrático de la Graduate School of Design de la Universidad de Harvard desde 2002, catedrático de la ETSAB - UPC y director de la agencia BAU, el Profesor Joan Busquets destaca por su recorrido tanto como docente e investigador, como arquitecto y urbanista. Todas estas facetas le han llevado a transformar ciudades en diversos contextos como: en España, Barcelona, Toledo, La Coruña, Las Palmas; en Portugal, Lisboa, Viseu, Barreiro y Coimbra; en Italia, Trento y Alghero; en los Países Bajos, La Haya, Ámsterdam, Delft y Helmond; en Francia Dunkerque, Rouen, París y Toulouse; en Suiza, Ginebra y Sion. Las operaciones desarrolladas con su agencia BAU proponen transformaciones, rehabilitaciones y desarrollos urbanos no solo a nivel teórico con planes directores, sino también a nivel arquitectónico y paisajístico, como en la reordenación de los espacios públicos de Toulouse. Joan Busquets fue director de Planificación Urbana del Ayuntamiento de Barcelona durante los años de formación, de 1983 a 1989, y en los preparativos de las Olimpiadas de Barcelona de 1992, incluyendo el programa de “nuevas centralidades” y el proceso de mejora de los barrios existentes. En 1969 fue miembro fundador del Laboratorio de Urbanismo de Barcelona (LUB) y realizó un estudio a largo plazo de los asentamientos ilegales, denominados de urbanización marginal en Barcelona y otras ciudades del sur de Europa como tesis doctoral, por la que recibió el Premio Nacional de Urbanismo en 1981, y volvió a ganar el premio en 1985 por su plan director para el casco antiguo de Lérida. Su estrategia de rehabilitación urbana para Toledo y su futuro fueron reconocidas como Premio Europeo Gubbio por ANCSA en 2000. Fue galardonado en 2011 con el Premio Internacional Erasmus (Países Bajos), el “Premio Nacional de Arquitectura y Espacio Público de Cataluña” (CoNCA) y en 2012 con el Grand Prix Spécial de l’Urbanisme, París (Francia). Fue elegido miembro de pleno derecho de l’Académie d’Architecture de France en 2016. En 2021 ganó el Premio Patrick Abercrombie de la UIA.
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Mainguy, Irène. "Actes du séminaire de SFERE du 6 octobre 2007 sur le thème : ARMAND BÉDARRIDE (1864-1935) UN DIGNITAIRE DU GRAND ORIENT DE FRANCE animé par Irène Mainguy , 80 pages [à commander à SFERE, chez Mme Irène Colin, 20 Rue du 22 Septembre 92400 COURBEVOIE, 12 €. franco de port] (chèque à l’ordre de SFERE)." La chaîne d'union N° 49, no. 3 (January 6, 2009): III. http://dx.doi.org/10.3917/cdu.049.0087c.

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Lützelschwab, Ralf. "Église et État. Évêques et cardinaux princiers et curiaux ( xiv e –début xvi e siècle). Des acteurs du pouvoir. Actes du colloque de Lille, Université Charles-de-Gaulle–Lille 3 et Tournai, Grand Séminaire, 18–19 mars 2011 , éd. Monique Maillard-Luypaert , Alain Marchandisse , Bertrand Schnerb , Turnhout, Brepols, 2017 ; 1 vol., 330 p. ( Études renaissantes , 23). ISBN : 978-2-503-56815-7 ; Prix : € 55,00." Le Moyen Age Tome CXXIV, no. 1 (May 23, 2019): XLV. http://dx.doi.org/10.3917/rma.241.0145zs.

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ELSEN, J. M., and J. M. AYNAUD. "Introduction au numéro hors série Encéphalopathies spongiformes transmissibles animales." INRAE Productions Animales 17, HS (December 19, 2004): 5–6. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3613.

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Abstract:
Les agents des encéphalopathies spongiformes transmissibles (ESST) sont responsables de maladies neurodégénératives fatales chez l’homme (maladie de Creutzfeldt-Jakob, insomnie fatale familiale, syndrome de Gerstmann-Straussler-Scheinker, Kuru) et chez les animaux (tremblante ovine et caprine, encéphalopathie spongiforme bovine, encéphalopathie spongiforme féline, encéphalopathie transmissible du vison, dépérissement chronique des cervidés. L’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) est une maladie nouvelle apparue en 1985 au Royaume-Uni, puis s’est propagée ensuite dans les autres pays européens et en particulier en France (premier cas identifié en 1990). La tremblante des ovins est en revanche connue depuis plus de deux siècles en Europe. Elle se distingue de l’ESB par sa contagiosité et la distribution de la protéine prion pathologique PrPsc dans les tissus périphériques. L’agent de l’ESB est transmissible des bovins à l’homme chez lequel il provoque une forme particulière (variant) de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. En revanche, l’agent de la tremblante ovine semble sans danger pour l’homme. Jusqu’en 1992, date du premier rapport réalisé à la demande du ministre de la recherche, Hubert Curien, par une commission de 9 chercheurs présidée par Dominique Dormont, les recherches poursuivies en France sur les ESST étaient le fait d’un petit réseau informel qui a été à l’origine d’un premier programme de recherches piloté par l’INSERM. L’annonce faite le 20 mars 1996 par les autorités du Royaume-Uni que 10 britanniques venaient de succomber à une variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob liée à l’ESB, entraîne une crise de confiance sans précédent des consommateurs. Interpellée, la communauté scientifique incluant l’INRA est alors brutalement placée devant un ensemble de questions nouvelles qui l’oblige à recentrer sa stratégie en termes d’expertise collective. La mise en place à cette occasion, du comité interministériel d’experts sur les ESST animé par Dominique Dormont (et auquel 8 chercheurs INRA participaient) a été un facteur très important dans la mobilisation de la communauté scientifique française et en particulier de l’INRA (voir à ce sujet l’analyse critique du fonctionnement de ce comité interministériel faite par Jacqueline Estades et Elisabeth Rémy dans l’ouvrage « l’expertise en pratique : les risques liés à la vache folle et aux rayonnements ionisants », 249 pages, L’Harmattan éditeur, Novembre 2003). Depuis 1993, les chercheurs INRA du département de génétique animale réfléchissaient aux conditions de développement de projets de recherche nouveaux sur les maladies à prions et en particulier sur la tremblante ovine qui sévissait de façon spectaculaire dans un troupeau ovin expérimental (domaine INRA de Langlade). Les chercheurs concernés de ce département ont eu un rôle moteur dans la mobilisation ultérieure des autres départements. En effet, à partir de l’automne 1996, des chercheurs INRA appartenant à 6 départements de recherche différents (génétique animale, santé animale, physiologie animale, transformation des produits animaux, hydrobiologie et faune sauvage, économie et sociologie rurale) ont décidé de s’engager dans des projets de recherche centrés sur les maladies à prions. Cet intense effort de mobilisation s’est accompli essentiellement par mobilité thématique (et non pas à la faveur de recrutements nouveaux), ce qui a représenté pour chacun des chercheurs engagés un effort personnel de remise en cause l’obligeant à repartir de zéro dans un domaine totalement nouveau, en abandonnant des recherches où chacun avait acquis un positionnement national et international. Cette mobilisation collective importante a été favorisée par trois facteurs différents : - l’exceptionnelle demande sociétale résultant d’une crise de confiance sans précédent touchant à la fois le consommateur et le citoyen, - l’ensemble des nombreuses questions nouvelles posées par la problématique « prions » qui a profondément excité la curiosité et l’intérêt des chercheurs de disciplines différentes, - et, enfin, la mise en place rapide de nouveaux moyens financiers, à la faveur d’une série d’appels d’offres successifs (INRA en interne, interministériels, GIS Prions, Union Européenne) qui ont exercé un effet incitatif puissant. Dans ce contexte nouveau, les objectifs prioritaires de l‘INRA ont été les suivants : - tout d’abord, créer les conditions optimales pour la mise au point des différents outils indispensables au développement des recherches sur les ESST : . les souris transgéniques pour les infections expérimentales,. les lignées de cultures cellulaires pour la propagation in vitro du prion,. les anticorps monoclonaux anti protéine prion (PrP),. les techniques immunocytohistochimiques pour identifier la protéine prion pathogène PrPsc dans les tissus infectés,. les méthodes de génotypage à grande échelle du gène PrP chez les ovins,. les approches épidémiologiques adaptées,. et surtout toute la logistique appropriée pour la manipulation des prions en toute sécurité au laboratoire et dans les animaleries (souris et gros animaux). - parallèlement, organiser des instances nouvelles pour la coordination (comité d’action incitative programmée, bureau permanent des recherches ESST) et l’animation scientifique interdisciplinaire (séminaires réguliers) de façon à assurer les meilleures conditions pour favoriser les échanges entre les équipes et la cohérence des projets entre eux. - et, enfin, mettre en place des moyens nouveaux en termes de ressources humaines (redéploiements, recrutements). Plus d’une vingtaine d’équipes INRA se sont engagées depuis 1996. A partir des nouveaux outils mis à disposition des différentes équipes, les recherches se développent et les résultats obtenus ont été présentés et discutés lors des séminaires organisés en 1998, 2000 et 2003. Ces résultats ont été valorisés par un nombre important de publications et ont été concrétisés au niveau des applications par la mise au point de tests rapides de diagnostic des ESST (contribution au test Biorad pour l’ESB, convention avec l’Institut Pourquier pour la tremblante ovine) ainsi que par un plan ambitieux de contrôle génétique et d’éradication de la tremblante dans les troupeaux ovins français. Dans le domaine de la biosécurité du retraitement des farines animales, un brevet a été pris en mars 2004. A l’issue du dernier séminaire, la direction scientifique Animal et Produits Animaux a décidé de valoriser l’ensemble des résultats obtenus et des connaissances en découlant, par la réalisation de ce numéro hors-série. L’objectif était de présenter au plus grand nombre l’ensemble des avancées scientifiques et des axes de recherche actuels sur les prions, menés dans les différentes disciplines. Ce numéro hors-série de la revue « Productions Animales » comprend 7 chapitres structurés autour des questions nouvelles que les chercheurs se sont attachés à résoudre : les animaux modèles, la caractérisation des souches et la nature de l’agent, la protéine prion cellulaire, la pathogénie des ESST, la variabilité de la résistance aux ESST et enfin l’épidémiologie et la lutte contre les ESST. En outre à la fin du numéro, figurent des annexes présentant successivement : la liste des publications scientifiques réalisées à partir des résultats obtenus, la liste des séminaires scientifiques organisés en interne, et enfin la liste des 18 projets scientifiques européens dans le domaine des ESST, impliquant des équipes INRA comme coordinateur ou comme partenaire, illustrant ainsi leur positionnement international.
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Voisine, Nive. "La production des vingt dernières années en histoire de l'Église du Québec." Articles 15, no. 1 (April 12, 2005): 97–112. http://dx.doi.org/10.7202/055648ar.

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Abstract:
L'Église catholique a toujours eu au Québec une telle importance qu'on a été naturellement porté à confondre histoire du Canada français et histoire de l'Église catholique canadienne. Nos orateurs « patriotiques » l'ont souvent rappelé en faisant de la Providence l'explication ultime de l'histoire canadienne : à ce propos, vous me permettrez de citer Mgr Laflèche qui disait en 1865 : « Si les quelques familles sorties de la vieille France il y a quelque deux cents ans, et qui sont venues s'asseoir sur les bords du Saint-Laurent, sont devenues aujourd'hui une nation d'un million d'âmes, ce n'est point l'effet d'un hasard capricieux, ni d'une force aveugle; mais c'est bien l'œuvre d'une Providence toute miséricordieuse. Elle a voulu se servir de nos pères pour apporter la lumière de l'Évangile et les principes de la régénération chrétienne aux infortunées peuplades qui étaient depuis tant de siècles plongées dans les ténèbres de l'infidélité et assises à l'ombre de la mort dans cette belle et fertile vallée. » Nos premiers historiens n'ont pas voulu être en reste et ont cru, avec Parkman et en le répétant à satiété : « Un grand fait se détache en plein relief dans l'histoire du Canada, c'est l'Église de Rome. Plus encore que la puissance royale, elle a modelé le caractère et le destin de cette colonie. Elle a été sa nourrice, et, pour tout dire, sa mère. » Enfin, même les sociologues l'ont reconnu et M. Jean-Charles Falardeau écrivait en 1952: « La société canadienne-française a été, depuis les débuts même de son établissement, à tel point circonscrite, contenue et dominée tout entière par le clergé et les chefs ecclésiastiques, que son histoire se confond en tout point avec celle de l'Église canadienne. [...] L'histoire du Canada français, c'est l'histoire de l'Église au Canada, et réciproquement.» Il ne faut pas se surprendre que la production historique québécoise donne une place privilégiée aux hommes et aux œuvres d'Église. Ne remontons pas au déluge ni au régime français; regardons plutôt le XIXe siècle. Les premiers historiens, même laïcs, font une large part à l'action des missionnaires et du clergé; ils le font ordinairement avec sympathie car, s'ils se permettent la moindre critique du passé clérical, ils s'attirent, comme F.-X. Garneau et Benjamin Suite, les foudres vengeresses des historiens ecclésiastiques. Ceux-ci en effet — Les Ferland, les Casgrain, j'ose dire les Chapais (il ne lui manque que l'habit !) — n'ont pas assez de mots et d'images dithyrambiques pour chanter l'œuvre providentielle en terre d'Amérique. Il y a une exception, l'abbé Brasseur de Bourbourg, qui publie en 1852 son Histoire du Canada, de son Église et de ses missions... où il fait preuve d'un non-conformisme scandaleux: le clergé et surtout les évêques de Québec y passent un mauvais quart d'heure. L'abbé soutient que le choix des évêques par les autorités britanniques eut « pour objet les membres de ce clergé les moins capables de soutenir le poids de l'épiscopat » ; il s'apitoie sur Mgr Hubert tout en racontant méchamment que « dans les derniers temps de son épiscopat, son caractère habituellement faible et indécis, ébranlé encore par les oppositions de toute espèce qu'il avait rencontrées autour de lui, se trouvait réduit à une espèce d'enfance morale, accrue surtout par l'habitude abrutissante des boissons spiritueuses, que le malheureux évêque avait contractée insensiblement pour échapper à la conscience de ses fautes et de son chagrin ». Ces aménités (et d'autres de même farine) avaient fait bondir les « bons bourgeois » de Québec et les Messieurs du Séminaire; et l'abbé Ferland avait répliqué vertement dans ses Observations sur un ouvrage intitulé Histoire du Canada. Avec lui, l'histoire apologétique reprenait le dessus pour longtemps. Plus nuancée peut-être devait être l'œuvre de l'abbé Auguste Gosselin qui esquissa, sans la terminer, une des premières synthèses d'histoire de l'Église catholique au Canada ; elle annonçait les études plus scientifiques du XXe siècle. Pendant toute la première partie du XXe siècle, l'abbé Lionel Groulx domine l'historiographie canadienne-française. Il aborde tous les sujets, de Nos luttes constitutionnelles au Canada français missionnaire, une autre grande aventure ; mais il revient assidûment à l'étude du rôle de l'Église, car pour lui l'enseignement de l'histoire est une forme d'apostolat. Il le dira dans son testament: «... je n'avais choisi, ni ma carrière, ni mon devoir. J'ai accepté le choix qu'en ont fait pour moi mes supérieurs ecclésiastiques. Une autre de mes consolations, ce fut la conscience de travailler pour la survivance du Canada français : petit pays et petit peuple qui parce que catholiques, m'ont toujours paru la grande entité spirituelle en Amérique du Nord.» '' L'abbé Groulx n'est évidemment pas seul, mais il n'est pas question de rappeler, même brièvement, ce qui a pu s'écrire d'intéressant jusqu'en 1950. Je me permets cependant de noter deux événements qui préparent les changements futurs. En 1933 est fondée la Société canadienne d'histoire de l'Église catholique qui chaque année invite ses membres à une session d'étude et publie en un rapport les communications des conférenciers (section française et section anglaise). En quarante ans ont été ainsi publiées des études d'inégale valeur qui forment cependant un ensemble respectable et utile. Si au début la Société sert de tribune à des historiens reconnus, à majorité ecclésiastiques — l'abbé Groulx, Mgr Olivier Maurault, le père Charland, les abbés Maheux et Honorius Provost —, de plus en plus, pendant les dix dernières années, elle attire la collaboration de laïcs et déjeunes historiens. Le deuxième événement que je veux signaler est la fondation, en 1947, de l'Institut d'histoire de l'Amérique française et de la Revue d'histoire de l'Amérique française. Celle-ci veut fournir aux chercheurs « un centre, un foyer où exposer, échanger le fruit de leurs travaux et de leurs recherches ». L'histoire religieuse, comme les autres domaines, en profite beaucoup. Pendant les vingt-cinq premières années, 16.5% des articles sont consacrés à l'histoire religieuse, mais ce pourcentage monte à 22.9% de 1955 à 1963. Il ne faut donc pas se surprendre de trouver dans cette revue un bon nombre des meilleures études sur l'histoire de l'Église canadienne. Elles reflètent aussi l'élan nouveau donné à l'histoire par la fondation des Instituts de Montréal et de Québec. C'est en songeant à ces événements que j'ai choisi de faire un bilan de l'histoire de l'Église à partir de 1950. C'est une tâche immense que rend difficile la multiplication des études et des publications, et aussi l'extrême diversité des thèmes abordés par les historiens. Pour simplifier la présentation, j'aborderai les œuvres en les groupant selon la période qu'elles concernent : le régime français, le XIXe siècle, le XXe siècle.
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PEYRAUD, J. L., and F. PHOCAS. "Dossier " Phénotypage des animaux d'élevage "." INRAE Productions Animales 27, no. 3 (August 25, 2014): 179–1890. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.3.3065.

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Abstract:
Avant-propos La demande mondiale en produits d’origine animale est en forte expansion1 et l’élevage est l’une des activités agricoles les plus fortement créatrices d’emploi et de valeur ajoutée, tant au niveau de la production et des services qu’elle utilise, que des filières de produits animaux. Mais dans le même temps, l’élevage doit faire face à des enjeux sociétaux qui nécessitent des évolutions importantes dans les modes de production : besoin de compétitivité encore accru, méthodes d’élevage contestées vis-à-vis des atteintes à l’environnement, du respect du bien-être animal et de l’usage des médicaments. Il s’agit de réfléchir ces défis au niveau européen et mondial. Produire plus, mieux et à moindre coût doit contribuer à assurer la sécurité alimentaire mondiale et à répondre aux attentes européennes en termes de systèmes de production et de marchés très diversifiés. L’Europe a ici une responsabilité toute particulière car si elle ne peut pas nourrir le monde, il est de sa responsabilité, en tant que région où la demande sociale est aujourd’hui la plus élevée, de montrer comment concilier production et environnement. Outre les innovations et les adaptations des systèmes d’élevage (cf. Numéro spécial de la revue « Quelles innovations pour quels systèmes d’élevage ? », Ingrand S., Baumont R. (Eds). INRA Prod. Anim., 27, 2), les réponses passent aussi par la recherche d’animaux qui soient d’une part, plus efficients pour transformer leur ration et plus faciles à élever dans une large gamme de conditions climatiques et de systèmes d’élevage et, d’autre part, adaptables face à des aléas climatiques, sanitaires ou économiques tout en préservant la santé, le bien-être et la qualité des produits. Par le passé, la recherche de la maximisation des performances de production (ex : vitesse de croissance, quantité de lait par lactation…) a conduit à des animaux de plus en plus spécialisés. Dans la plupart des filières, cette maximisation s’est accompagnée d’une dégradation des autres aptitudes d’élevage, aujourd’hui source d’inefficience en élevage. La recherche d’une plus grande robustesse (définie comme la capacité pour un animal d’exprimer son potentiel de production dans une large gamme d’environnements sans pour autant compromettre sa santé et son bien-être) devient une priorité. Dans le même temps,l’accès à des techniques d’exploration fonctionnelle toujours plus performantes, les innovations en cours d’appropriation ou à venir dans le domaine de la génomique ouvrent des perspectives d’investigation nouvelles plus précises. Dans ce contexte d’évolution des demandes et des possibilités d’investigation, les projets de recherche en sciences animales doivent être plus systémiques, prédictifs et permettre d’établir des relations fonctionnelles de plus en plus fines entre le phénotype des animaux, leur génotype et le milieu dans lequel il s'exprime. Face au développement spectaculaire des connaissances sur le génome, il y a un manque criant de connaissances sur l’expression des phénotypes, connaissances qui devraient permettre de répondre au mieux à une double finalité en termes d’exploitation de la variabilité des aptitudes animales : i) une sélection éclairée vers des objectifs majeurs pour améliorer l’efficience de la production et la robustesse des génotypes, et ii) un élevage de précision qui valorise la variabilité individuelle des animaux pour gagner en efficience et en résilience à l’échelle du troupeau, ou pour améliorer la conduite des animaux d’un génotype donné. En effet, d’un coté les progrès réalisés par la sélection génomique permettent aujourd’hui de repenser les critères de sélection et de les diversifier tout en raccourcissant les délais entre la définition des objectifs et l’amélioration effective des cheptels, mais cette sélection entraine de nouveaux besoins de phénotypage car elle nécessite la caractérisation d’unepopulation de référence. D’un autre coté, la connaissance plus fine de l’animal associée aux technologies en émergence de l’élevage de précision permettra de mieux piloter la conduite d’élevage pour améliorer l’efficience de l’alimentation ou de la reproduction par une approche individuelle à l’animal, ainsi que par la production d’alertes à destination de l’éleveur pour un diagnostic précoce des troubles permettant d’anticiper les ajustements requis. Le phénotypage est ainsi l’un des principaux défis que doit relever les recherches en production animale et a été reconnu comme tel par l’INRA. Deux types de phénotypage peuvent être envisagés : le phénotypage des caractères d’intérêt socio-économique et le phénotypage de caractères plus élémentaires. Les phénotypes d’intérêt socio-économique constituent la finalité recherchée. Ils résultent de mécanismes faisant appel à des régulations complexes, ils sont d’autant plus onéreux à mesurer qu’il s’agit de critères zootechniques qui doivent être observés sur des pas de temps longs. La recherche de phénotypes plus élémentaires et plus proches du mécanisme causal rend plus facile l’identification des gènes responsables. Ce phénotypage fin implique de réaliser des mesures particulièrement approfondies et à des échelles élémentaires (au niveau moléculaire, cellulaire, tissulaire…) des caractéristiques biologiques de l’animal qui expliquent un phénotype complexe observé à l’échelle de l’animal. Le phénotypage à haut débit signifie qu’une méthode de mesure des phénotypes fiable, automatisable et rapide est établie de sorte que le processus de mesure permette de générer un grand nombre de données dans un laps de temps court. Le haut débit peut s’appliquer au phénotypage fin tout comme à celui des caractères d’intérêt zootechnique. Les contributions significatives qui pourront être attendues d’un phénotypage animal fin et à haut débit concernent la biologie prédictive, à savoir la prédiction des performances à partir de caractères simples observables précocement, nécessaire notamment à la gestion des produits, à la conduite de l’élevage et à la sélection animale. Ce dossier propose le fruit d’une réflexion globale des chercheurs de l’INRA sur les perspectives qu’offre le phénotypage des animaux pour répondre aux enjeux des productions animales. Cette réflexion a eu pour objectif de définir les grands enjeux de connaissance autour du phénotypage animal et de faire émerger les questions de recherches prioritaires, transversales ou spécifiques aux différentes filières animales ainsi que les verrous techniques qui sont soulevés. Cette réflexion a été conduite par un groupe de douze chercheurs2 des départements de « Génétique Animale », « Physiologie Animale et Systèmes d’Elevage » et « Santé Animale » travaillant dans des disciplines et sur des espèces variées, missionné par la Direction Scientifique Agriculture de l’INRA. La réflexion de ce groupe s’est appuyée sur celle d’un collectif plus large de chercheurs INRA travaillant sur les animaux d’élevage par le biais d’un séminaire organisé en mai 2013 ainsi que par la rédaction partagée des articles de ce dossier. L’amélioration de la robustesse des animaux d’élevage étant un objectif central, le premier article de ce dossier développe une approche systémique de la robustesse des animaux d’élevage pour répondre au mieux à une double finalité en termes d’exploitation de la variabilité des aptitudes animales pour la sélection et pour la conduite de l’élevage. Les recherches sur le phénotypage doivent être accompagnées d’une ontologie générique c’est-à-dire d’une représentation et d’un langage communs pour partager les données et les connaissances, ainsi que l’explicite le second article de ce numéro. L’objet des trois synthèses suivantes est de mettre en perspective les fronts de science (phénotypage du microbiote intestinal), les enjeux de connaissance et les verrous techniques encore à lever pour permettre des productions animales de qualité (phénotypage de la qualité des produits) et en quantité (phénotypage de l’efficacité alimentaire), à moindres coûts économique et environnemental. 1 Selon la FAO et l’OCDE, la progression de la consommation de protéines d’origine animale sur la planète devrait se poursuivre au rythme de + 2 à + 3%/an au cours de cette décennie. Sur la période 2000-2050, la consommation totale des viandes devrait progresser de l’ordre de + 70% pour une population en augmentation de + 20%. Selon les mêmes sources et pour la même période la consommation de lait et produits laitiers dans les pays émergents devrait passer de 45 à 78 kg par habitant.
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Broué, Catherine, and Marie-Ange Croft. "L’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert dans la bibliothèque du Grand Séminaire de Rimouski, ou les vicissitudes d’une bibliothèque depuis 1855." Articles 5, no. 1 (November 22, 2013). http://dx.doi.org/10.7202/1020221ar.

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Abstract:
La collection du Grand Séminaire de Rimouski confiée au Centre Joseph-Charles Taché de l’UQAR comprend les volumes 11 à 17 de l’édition princeps de l’Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers, publiée à Paris jusqu’au volume 7, puis sous l’adresse de Neufchastel à partir du tome 8. La présence d’une série tronquée de l’Encyclopédie dans la collection du Grand Séminaire de Rimouski et la recherche des tomes manquants ont servi de point de départ à une investigation qui permet de mieux comprendre l’évolution des bibliothèques et l’importance de la circulation des livres dans les institutions d’enseignement de Rimouski durant la seconde moitié du xixe siècle. L’examen des différentes marques de possession dans les livres du Centre Taché et la consultation de divers catalogues et listes conservés par le Centre d’archives et de documentation du Séminaire de Rimouski (CEDAD) de la Corporation du Séminaire de Rimouski révèlent que les bibliothèques religieuses et scolaires de la région se sont principalement constituées, au xixe siècle, sur le principe du don et de la circulation des ouvrages. Nombre de volumes du Centre Taché conservent des traces de cette pratique.
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La Charité, Claude. "L’édition bilingue des oeuvres complètes d’Aristote par Isaac Casaubon dans la Bibliothèque du Grand Séminaire de Rimouski." Articles 5, no. 1 (November 22, 2013). http://dx.doi.org/10.7202/1020220ar.

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Abstract:
Le Centre Joseph-Charles Taché conserve l’édition bilingue des oeuvres complètes d’Aristote, en deux volumes in-folio, publiée à Genève en 1605 par l’imprimeur Pierre de la Rovière pour le libraire Samuel Crispin. Cette édition reproduit celle qu’avait fait paraître Isaac Casaubon en 1590 à Genève, sous la fausse adresse de Lyon, chez l’imprimeur Guillaume de Laimarie. Cette édition Casaubon d’Aristote, toutes rééditions confondues, constitue l’un des aboutissements de la vaste entreprise éditoriale et philologique menée par les humanistes de la Renaissance et témoigne de la persistance de l’aristotélisme au xvie siècle, malgré les attaques dont Aristote fut l’objet. Suivant un plan qui ira du général au particulier, cet article évoque d’abord l’aristotélisme en général à la Renaissance, avant de dégager les spécificités de l’édition Casaubon et de reconstituer l’histoire de l’exemplaire du Centre Taché et les raisons de la présence d’un tel ouvrage dans la collection de l’ancienne Bibliothèque du Grand Séminaire de Rimouski.
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Layotte, Hélène. "Un riche fonds documentaire à découvrir et à exploiterFonds du Grand Séminaire à la Bibliothèque Universitaire de Limoges." Cahiers d’études du religieux, no. 23 (May 18, 2021). http://dx.doi.org/10.4000/cerri.3204.

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SOUZA, Pedro Bravo de. "Entretien avec Prof. Alberto Naibo." Kínesis - Revista de Estudos dos Pós-Graduandos em Filosofia 9, no. 20 (April 16, 2018). http://dx.doi.org/10.36311/1984-8900.2017.v9n20.03.pxxi.

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Abstract:
C'est avec un grand plaisir que la revue Kínesis annonce la publication de l'entretien ci-dessous avec le jeune philosophe italien Alberto Naibo. Actuellement maître de conférences en Logique à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Alberto a fait ses études de licence et de master en Philosophie à l'Université de Bologne. Arrivé à Paris en 2008, il a soutenu en 2013 une thèse de doctorat intitulée “Le statut dynamique des axiomes : des preuves aux modèles”, sous la direction de Jean-Baptiste Joinet. En 2014, il a été chercheur post-doctoral à l'IHPST (Institut d'Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques) – dont il est désormais membre permanent – dans le cadre du projet HYPOTHESES – Hypothetical Reasoning: its Proof-Theoretic Analysis. Il anime actuellement, avec Liesbeth de Mol, Maël Pégny et Shahid Rahman, un séminaire d’histoire et de philosophie de l’informatique, en collaboration entre l’IHPST et l’équipe STL (Savoirs, Textes, Langage) de l’Université Lille.
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Heck, Christian. "La Crucifixion aux saintes femmes du Grand séminaire de Strasbourg. Expressivité et sens de la nature dans l’art allemand vers 1520." Bulletin du Centre d’études médiévales d’Auxerre, no. 27.2 (December 31, 2023). http://dx.doi.org/10.4000/cem.20302.

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Herzstein, Rafael. "Les phases de l'évolution de l'Université Saint-Joseph à Beyrouth : Les premières décennies (1875-1914)." Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, April 11, 2012. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v24i1.3469.

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Abstract:
RÉSUMÉ :L’origine de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth (USJ) remonte au Séminaire de Ghazīrfondé par les Pères jésuites en 1843. Le Collège de Ghazīr, destiné à former le clergé maronitelocal, est transféré à Beyrouth en 1875. Ce centre d’études supérieures prend le nom d’UniversitéSaint-Joseph. Le Pape Léon XIII, dans son audience du 25 février 1881, confère le titred’Université pontificale à l’USJ. L’article traite de l’histoire de l’USJ, premier grand établissementjésuite francophone de la région qui, à l’époque, porte le nom de « Syrie ». On évoqueles différentes étapes de la création de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth durant la période1875 à 1914. L’objectif de cet article est de témoigner du rôle central que l’USJ a joué dans laformation des élites du pays pour la période étudiée. En effet, les anciens étudiants occupentles postes-clés et y assument des charges importantes notamment dans la fonction publique.ABSTRACT :The origins of Saint Joseph University in Beirut (SJU) go back to the seminary founded by theJesuits in Ghazīr in 1843. The Collège in Ghazīr, intended to train the local Maronite clergy,relocated to Beirut in 1875, where it took the name of Saint Joseph University. In an audienceon February 25th, 1881, Pope Leo XIII gave the USJ the status of pontifical university. This articleexamines the history of the USJ, the first large francophone Jesuit institution in the regionreferred to at the time as “Syria.” It will look at each of the different stages of the creation ofSaint Joseph University in Beirut from 1875 to 1914. The author argues that the USJ played acentral role in educating the elites of the region during that period. Students of the USJ wenton to occupy important positions, particularly in the public service.
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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15993.

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Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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37

De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.03.01.

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Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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Kilani, Mondher. "Identité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.122.

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Dans le lexique des anthropologues, le mot identité est apparu bien plus tard que le mot culture. Mais depuis quelques décennies, alors que divers anthropologues se sont presque vantés de soumettre à une forte critique et même de rejeter leur ancien concept de culture, l'identité a acquis un usage de plus en plus étendu et prépondérant, parallèlement à ce qui s'est passé dans d'autres sciences humaines et sociales, ainsi que dans le langage de la politique et des médias. Nombreux sont ceux dans les sciences sociales qui s'accordent pour dire que le concept d'identité a commencé à s'affirmer à partir des années soixante du siècle dernier. Il est habituel de placer le point de départ dans les travaux du psychologue Erik Erikson (1950 ; 1968), qui considérait l'adolescence comme la période de la vie la plus caractérisée par des problèmes d'identité personnelle. Cette reconstruction est devenue un lieu commun des sciences humaines et sociales du XXe siècle, et pour cette raison, elle nécessite quelques ajustements. Par exemple, le sociologue américain Robert E. Park (1939) utilisait déjà, à la fin des années 1930, le terme identité, en rapport avec ceux d'unité, d'intégrité, de continuité, pour décrire la manière dont les communautés et les familles se maintiennent dans le temps et l'espace. En ce qui concerne l'anthropologie, un examen rapide permet de constater que l'identité a déjà été utilisée dans les années 1920 par Bronislaw Malinowski d'une manière qui n'était pas du tout sporadique. Dans ses textes sur les Trobriandais – comme par exemple La vie sexuelle des Sauvages du Nord-Ouest de la Mélanésie (1930) – il parle de l'identité du dala, ou matrilignage, en référence à la « substance » biologique dont il est fait, une substance qui se transmet de génération en génération dans la lignée maternelle. Ce n’est peut-être pas par hasard que le terme identité fut ensuite appliqué par Raymond Firth, dans We, the Tikopia (1936), pour affirmer la continuité dans le temps du clan, et que Siegfried Nadel dans The Foundations of Social Anthropology (1949) parle explicitement de l’identité des groupes sociaux grâce auxquels une société s’articule. La monographie The Nuer (1940) d'Edward E. Evans-Pritchard confirme que l’on a fait de l’identité un usage continu et, en apparence, sans problèmes dans l'anthropologie sociale britannique sous l’influence de Malinowski. Dans ce texte fondamental, l’identité est attribuée aux clans, à chacune des classes d'âge et même à l'ensemble de la culture nuer, que les Nuer considèrent eux-mêmes comme unique, homogène et exclusive, même si le sentiment de la communauté locale était « plus profond que la reconnaissance de l'identité culturelle » (Evans-Pritchard 1975: 176). Par contre, l’autre grand anthropologue britannique, Alfred R. Radcliffe-Brown, qui était particulièrement rigoureux et attentif aux concepts que l'anthropologie devait utiliser (selon M.N. Srinivas, il « prenait grand soin de l'écriture, considérant les mots comme des pierres précieuses » 1973 : 12), il est resté, probablement pour cette raison, étranger au recours au terme d'identité. S’il fait son apparition dans son célèbre essai consacré à la structure sociale de 1940, c’est uniquement lorsqu'il fait référence à l'utilisation approximative de ce concept par Evans-Pritchard. Il soutient que certains anthropologues (y compris Evans-Pritchard) utilisent l’expression « structure sociale » uniquement pour désigner la persistance des groupes sociaux (nations, tribus, clans), qui gardent leur continuité (continuity) et leur identité (identity), malgré la succession de leurs membres (Radcliffe-Brown 1952 : 191). Son utilisation du terme identité ne se justifie ainsi que parce qu’il cite la pensée d'Evans-Pritchard presque textuellement. On a également l’impression que Radcliffe-Brown évite d’adopter le concept d’identité, utilisé par ses collègues et compatriotes, parce que les termes de continuité (continuity), de stabilité (stability), de définition (definiteness), de cohérence (consistency) sont déjà suffisamment précis pour définir une « loi sociologique » inhérente à toute structure sociale (Radcliffe-Brown 1952 : 45). Qu’est-ce que le concept d'identité ajouterait, sinon un attrait presque mystique et surtout une référence plus ou moins subtile à l'idée de substance, avec la signification métaphysique qu’elle implique? Radcliffe-Brown admet que la persistance des groupes dans le temps est une dimension importante et inaliénable de la structure sociale. Mais se focaliser uniquement sur la stabilité donne lieu à une vision trop étroite et unilatérale : la structure sociale comprend quelque chose de plus, qui doit être pris en compte. Si l’on ajoute le principe d’identité à la stabilité, à la cohérence et à la définition, ne risque-t-on pas de détourner l’attention de l’anthropologue de ce qui entre en conflit avec la continuité et la stabilité? Radcliffe-Brown a distingué entre la structure sociale (social structure), sujette à des changements continus, tels que ceux qui se produisent dans tous les organismes, et la forme structurale (structural form), qui « peut rester relativement constante pendant plus ou moins une longue période » (Radcliffe-Brown 1952 : 192). Même la forme structurale – a-t-il ajouté – « peut changer » (may change); et le changement est parfois graduel, presque imperceptible, alors que d’autres fois, il est soudain et violent, comme dans le cas des révolutions ou des conquêtes militaires. Considérant ces deux niveaux, la forme structurale est sans aucun doute le concept qui se prêterait le mieux à être associé à l'identité. Mais l’identité appliquée à la forme structurale ne nous aiderait certainement pas à appréhender avec précision les passages graduels, les glissements imprévus ou, au contraire, certaines « continuités de structure » qui se produisent même dans les changements les plus révolutionnaires (Radcliffe-Brown 1952 : 193). Bref, il est nécessaire de disposer d’une instrumentation beaucoup plus raffinée et calibrée que la notion d’identité, vague et encombrante, pour saisir l’interaction incessante et subtile entre continuité et discontinuité. On sait que Radcliffe-Brown avait l'intention de construire une anthropologie sociale rigoureuse basée sur le modèle des sciences naturelles. Dans cette perspective, l'identité aurait été un facteur de confusion, ainsi qu'un élément qui aurait poussé l'anthropologie naissante vers la philosophie et l'ontologie plutôt que vers la science. Alors que Radcliffe-Brown (décédé en 1955) avait réussi à éviter le problème de l'identité en anthropologie, Lévi-Strauss sera contraint de l'affronter ouvertement dans un séminaire proposé, conçu et organisé par son assistant philosophe Jean-Marie Benoist au Collège de France au milieu des années soixante-dix (1974-1975). Quelle stratégie Lévi-Strauss adopte-t-il pour s'attaquer à ce problème, sans se laisser aller à la « mode » qui, entre-temps, avait repris ce concept (Lévi-Strauss 1977 : 11)? La première étape est une concession : il admet que l’identité est un sujet d’ordre universel, c’est-à-dire qu’elle intéresse toutes les disciplines scientifiques, ainsi que « toutes les sociétés » étudiées par les ethnologues, et donc aussi l’anthropologie « de façon très spéciale » (Lévi-Strauss 1977 : 9). Pour Lévi-Strauss, les résultats suivants sont significatifs: i) aucune des sociétés examinées – même si elles constituent un petit échantillon – ne tient « pour acquise une identité substantielle » (Lévi-Strauss 1977 : 11), c’est-à-dire qu’il ne fait pas partie de leur pensée de concevoir l'identité en tant que substance ou la substance en tant que source et principe d'identité; ii) toutes les branches scientifiques interrogées émettent des doutes sur la notion d'identité et en font le plus souvent l'objet d'une « critique très sévère » (Lévi-Strauss 1977 : 11); iii) il est possible de constater une analogie entre le traitement réservé à l’identité de la part des « sociétés exotiques » examinées et les conceptions apparues dans les disciplines scientifiques (Lévi-Strauss 1977 : 11); iv) cela signifie alors que la « foi » que « nous mettons encore » sur l’identité doit être considérée comme « le reflet d'un état de civilisation », c'est-à-dire comme un produit historique et culturel transitoire, dont la « durée » peut être calculée en « quelques siècles » (Lévi-Strauss 1977 : 11) ; v) que nous assistons à une crise contemporaine de l'identité individuelle, en vertu de laquelle aucun individu ne peut se concevoir comme une « réalité substantielle », réduit qu’il est à une « fonction instable », à un « lieu » et à un « moment » éphémères d’« échanges et de conflits » auxquelles concourent des forces d’ordre naturel et historique (1977 : 11). Ceci fait dire à Lévi-Strauss que « quand on croit atteindre l'identité, on la trouve pulvérisée, en miettes » (in Benoist 1977 : 209), tout en constatant dans le même mouvement que, tant dans les sociétés examinées que dans les sciences interrogées, nous assistons à la négation d'une « identité substantielle » et même à une attitude destructrice qui fait « éclater » l’identité « en une multiplicité d’éléments ». Dans un cas comme dans l'autre, on arrive à « une critique de l’identité », plutôt qu’« à son affirmation pure et simple » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 331). Pourtant, nous ne pouvons pas oublier que Lévi-Strauss était parti d'une concession, c’est-à-dire de l'idée que nous ne pouvions pas nous passer du thème de l'identité : c'est quelque chose qui concerne d'une manière ou d'une autre toutes les sociétés, les sociétés exotiques étudiées par les anthropologues et les communautés scientifiques qui se forment dans la civilisation contemporaine. Lévi-Strauss aurait pu développer plus profondément et de manière plus radicale l’argument présenté au point iv), à savoir que l’identité est une croyance (voire une foi), produit d’une période historique de notre civilisation. Mieux encore, étant donné que les autres sociétés d’une part et nos sciences de l’autre « la soumettent à l’action d’une sorte de marteau-pilon », c’est-à-dire qu’elles la font « éclater » (in Benoist 1977 : 309), nous aussi nous pourrions finalement nous en débarrasser. Lévi-Strauss sent bien, cependant, la différence entre sa propre position et celle du public qui a participé au séminaire, beaucoup plus enclin à donner du poids et un sens à l'identité. Pour cette raison, il offre un compromis (un compromis kantien, pourrait-on dire), qui consiste à détacher la notion d’identité de celle de substance et à penser l’identité comme « une sorte de foyer virtuel auquel il nous est indispensable de nous référer pour expliquer un certain nombre de choses, mais sans qu’il ait jamais d’existence réelle » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Si nous l’interprétons bien, c'est comme si Lévi-Strauss avait voulu dire à ses collègues anthropologues : « Voulez-vous vraiment utiliser le concept d'identité? » Au moins, sachez que cela ne fait jamais référence à une expérience réelle : c’est peut-être une aspiration, une affirmation, une manière de représenter des choses, auxquelles rien de réel ne correspond. Avec ce compromis, Lévi-Strauss semble finalement attribuer à l'identité une sorte de citoyenneté dans le langage des anthropologues. Cependant, même comme un feu virtuel, où se trouve l'idée d'identité : dans la tête des anthropologues, qui utilisent ce concept pour représenter des sociétés dans leur unité et leur particularité, ou dans la tête des groupes sociaux lorsqu'ils se représentent leur culture? Revenons à l'exemple de Malinowski et des Trobriandais. C'est Malinowski qui interprète le veyola, la substance biologique du matrilignage (dala), en termes d'identité, et établit un lien entre identité et substance. Parler de l'identité du dala, surtout si elle est soutenue par le concept de substance (c'est-à-dire quelque chose qui se perpétue avec le temps et qui est complet en soi, de sorte qu'il ne dépend de rien de ce qui lui est extérieur, selon la définition classique d'Aristote), finit par obscurcir la pensée plus profonde des Trobriandais, c’est-à-dire l’incomplétude structurelle du dala. Il ne suffit pas de naître dans le dala et de recevoir le veyola de la mère. Le veyola n'est pas une substance identitaire, mais une matière sans forme qui doit être modelée par l’intervention du tama ou tomakava, c'est-à-dire « l'étranger », avec lequel la mère est mariée et qui est proprement le modeleur, celui qui aide les enfants de son partenaire à grandir, à prendre un visage, une personnalité, non pas en assumant une identité, mais par une participation progressive à des relations sociales (Weiner 1976). Malgré l’utilisation extensive du terme identité dans leurs descriptions ethnographiques et leurs réflexions théoriques, les anthropologues feraient bien de se demander s’il est vraiment approprié de conserver ce concept dans leur boîte à outils ou s’il ne convient pas de considérer l’identité comme une modalité de représentation historiquement et culturellement connotée. L'auteur de cette entrée a tenté de démontrer que l'identité en tant que telle n'existe pas, sauf en tant que mode de représentation que les anthropologues peuvent rencontrer dans telle ou telle société (Remotti 2010). Toutes les sociétés, dans leur ensemble ou dans leurs éléments constitutifs, ressentent les besoins suivants : stabilité, continuité, permanence, cohérence d’un côté, spécificité, certitude et définissabilité de l’autre. Mais, comme l’a suggéré Radcliffe-Brown, les réponses à ces besoins sont toujours relatives et graduelles, jamais complètes, totales et définitives. Nous pourrions également ajouter que ces besoins sont toujours combinés avec des besoins opposés, ceux du changement et donc de l'ouverture aux autres et au futur (Remotti 1996 : 59-67). Autrement dit, les sociétés ne se limitent pas à être soumises au changement, mais le recherchent et l’organisent en quelque manière. Il peut y avoir des sociétés qui donnent des réponses unilatérales et qui favorisent les besoins de fermeture plutôt que d’ouverture, et d’autres le contraire. Si ce schéma est acceptable, alors on pourrait dire que l'identité – loin d'être un outil d'investigation – apparaît au contraire comme un thème et un terrain important de la recherche anthropologique. En retirant l'identité de leur boîte à outils, prenant ainsi leurs distances par rapport à l'idéologie de l'identité (un véritable mythe de notre temps), les anthropologues ont pour tâche de rechercher quelles sociétés produisent cette idéologie, comment elles construisent leurs représentations identitaires, pour quelles raisons, causes ou buts elles développent leurs croyances (même leur « foi » aveugle et aveuglante) en l’identité. Nous découvrirons alors que nous-mêmes, Occidentaux et modernes, nous avons construit, répandu, exporté et inculqué au monde entier des mythes et des concepts identitaires. Nous l’avons fait à partir de l’État-nation aux frontières rigides et insurpassables, de l’idéologie clairement identitaire qu’est le racisme, et pour terminer de la racialisation de la culture qui exalte les traditions locales ou nationales comme substances intouchables, dont la pureté est invoquée et qu’on entend défendre de toutes les manières contre les menaces extérieures. Passée au niveau du discours social et politique, l'identité révèle tôt toute la violence impliquée dans la coupure des liens et des connexions entre « nous » et les « autres ». Comme le disait Lévi-Strauss (et aussi Hegel avant Lévi-Strauss), à l'identité « ne correspond en réalité aucune expérience » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Mais les effets pratiques de cette représentation n'appartiennent pas au monde des idées : ils sont réels, souvent insupportablement réels.
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