Journal articles on the topic 'Géographie – Innovation'

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1

Pech, Pierre. "Cent ans de relations géographie physique/géographie humaine : innovation ou statu quo ?" Bulletin de l'Association de géographes français 97, no. 1/2 (October 15, 2020): 64–83. http://dx.doi.org/10.4000/bagf.6377.

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Jaurand, Emmanuel, and Stéphane Leroy. "Espaces de pacs : géographie d'une innovation sociale." Annales de géographie 667, no. 3 (2009): 179. http://dx.doi.org/10.3917/ag.667.0179.

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3

Boiscuvier, Éléonore. "Innovation, intégration et développement régional." Articles 77, no. 2 (February 5, 2009): 255–80. http://dx.doi.org/10.7202/602352ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L’intégration européenne accroît la mobilité du capital, ce qui a pour effet d’accentuer la concurrence entre les territoires. Le problème est de déterminer si cette intégration favorise ou non la convergence entre les régions. Nous tentons de répondre à cette question grâce à une modélisation qui combine les apports théoriques de la croissance endogène et de la nouvelle géographie économique. Cette synthèse permet de rendre compte de la complexité des relations existant entre l’innovation, la structuration des espaces économiques et le développement régional. Nous démontrons que l’espace économique a naturellement tendance à se différencier, en fonction d’avantages comparatifs économiques et spatiaux, et que cette polarisation peut être accentuée par l’ouverture. Nous établissons aussi que l’impact de l’intégration sur le développement régional dépend de caractéristiques endogènes aux économies et de l’Histoire. Ainsi, les régions en retard n’ont pas toujours intérêt à s’intégrer à l’économie mondiale car cela peut les conduire et les maintenir dans une trappe de sous-développement.
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Ritchot, Gilles, and Guy Mercier. "La géographie structurale : Une innovation théorique au coin de la tradition." Cahiers de géographie du Québec 36, no. 98 (1992): 167. http://dx.doi.org/10.7202/022264ar.

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Gaudin, Cécile, and Roger Brunet. "Les épreuves de géographie au baccalauréat, sens et moyens d’une innovation." Mappemonde 56, no. 4 (1999): 1–4. http://dx.doi.org/10.3406/mappe.1999.1529.

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Massart, Nadine, and Corinne Autant-Bernard. "Économétrie des externalités technologiques locales et géographie de l’innovation: une analyse critique." Économie appliquée 52, no. 4 (1999): 35–68. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1999.1707.

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Abstract:
The empirical literature on the geographic dimension of technological externalities has been increasingly growing in the last ten years. This field refers to both endogenous growth theories and economic geography. By the mean of a comparative approach of econometric studies, we distinguish four methods to evaluate the effects of local R&D spillovers on innovation. We show more particularly the interest of two approaches, based on a knowledge production function. We also insist on the need to explicit the channels of knowledge transfer. Finally, we suggest to take into account two elements neglected in the precedent works : the National System of Innovation specificities, and the link between local and international R&D spillovers.
7

Bourgeat, Serge. "La thèse d’État, frein ou infusoir de l’innovation disciplinaire ?" Cahiers de géographie du Québec 52, no. 145 (July 15, 2008): 27–42. http://dx.doi.org/10.7202/018426ar.

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Abstract:
RésuméLa géographie française a connu un changement de paradigme dans les années 1960-1980. De quelle façon la thèse d’État y a-t-elle contribué ? Aujourd’hui, on considère souvent qu’elle a été un frein à l’innovation. Pourtant, il faut procéder à un retournement de perspective : la thèse possédait une capacité propre à produire une innovation. Cette capacité est aujourd’hui sous-estimée par la communauté universitaire et les représentations négatives attachées à la thèse nuisent à une perception claire de son rôle. La thèse d’État a abouti à la création de son milieu associé et à une modification de l’innovation en fonction d’une écriture de genre particulière. Le concept de sous-développement est ici utilisé comme marqueur pour tenter de comprendre les processus et les rythmes de l’intégration d’une innovation dans la thèse.
8

Jostkleigrewe, Georg. "L'espace entre tradition et innovation. La géographie symbolique du monde et son adaptation par Gossouin de Metz." Actes de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public 37, no. 1 (2006): 369–78. http://dx.doi.org/10.3406/shmes.2006.1932.

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9

Girard, Nicole. "Témoignages dans les IUP (Instituts Universitaires Professionnalisés). Articulation autour du thème du géoforum : «nouvelles formations universitaires et innovation en géographie»." Géographes associés 22, no. 1 (1998): 31–35. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.1998.2103.

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10

Beaulieu, Elsa. "Échelles et lieux de l’action collective dans la Marche mondiale des femmes au Brésil." II Solidarités des militants : des figures du changement, no. 58 (February 6, 2008): 119–32. http://dx.doi.org/10.7202/017555ar.

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Abstract:
Résumé La Marche mondiale des femmes (MMF) articule les luttes contre la pauvreté des femmes et le néolibéralisme avec les luttes contre la violence envers les femmes, aux échelles locale, nationale et transnationale. Cet article fait appel aux concepts d’espace, d’échelle et de lieu, développés en géographie humaine, pour mieux cerner les caractéristiques d’une des innovations principales de la MMF, qui est l’extension des solidarités dans l’espace géographique. L’expérience de la MMF au Brésil y est examinée sous l’angle des pratiques qui contribuent à constituer et à relier entre elles les différentes échelles de l’action collective, des modalités par lesquelles ces échelles agissent les unes sur les autres, ainsi que des liens entre ces échelles et certains lieux.
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Laurin, Suzanne. "FONTANABONA, Jacky et THÉMINES, Jean-François (dir.) (2005) Innovation et histoire-géographie dans l’enseignement secondaire. Analyses didactiques. Lyon, Institut national de recherche pédagogique, 229 p. (ISBN 2-7342-1012-6)." Cahiers de géographie du Québec 51, no. 142 (2007): 88. http://dx.doi.org/10.7202/015906ar.

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12

Frémont, Armand. "Milieu géographique et innovation : le cas grenoblois." Revue de géographie alpine 75, no. 4 (1987): 293–313. http://dx.doi.org/10.3406/rga.1987.2686.

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Díaz Muñoz, María Ángeles. "Sociedad, tecnología y naturaleza: una entrevista con el profesor Torsten Hägerstrand." Estudios Geográficos 55, no. 214 (March 30, 1994): 5–31. http://dx.doi.org/10.3989/egeogr.1994.i214.5.

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Abstract:
Este artículo es una transcripción literal de una entrevista realizada al profesor Torsten Hagerstrand. En ella, el profesor Hagerstrand reflexiona sobre la definición de la Geografia, la relación de esta ciencia con otras disciplinas científicas, y sobre conceptos geográficos básicos como región o espacio. Habla también sobre su trayectoria investigadora, revelando los propósitos e intereses que estuvieron en la base de sus trabajos sobre la difusión de las innovaciones y de la formulación de la Geografia del Tiempo. [fr] Cet article est une transcription litterale d'une interview réalisée a Torsten Hagerstrand. Le professeur réfléchit a propos de la définition de la Géographie, de la relatión existante entre cette science et d'autres disciplines scientifiques et sur d'autres concepts de base comme ce sont région ou espace. Il parle aussi de sa propre trajectorie de recherche, en montrant le but et l'intéret sur lesquels ont été fondées ses travaux sur la diffusion des innovations, et de la formulation de la Géographie du Temps.
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Ribeill, Georges. "Gestion et organisation du travail dans les compagnies de chemins de fer, des origines a 1860." Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, no. 5 (October 1987): 999–1029. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283434.

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Abstract:
L'importance de l'avènement des chemins de fer dans l'économie française est bien connue : son rôle décisif pour promouvoir ou susciter de multiples innovations depuis les questions de mobilisation financière jusqu'à celles de la politique de l'Etat en matière de service public, depuis ses effets sur les industries amont (du rail au combustible) ou les marchés aval des productions agricoles et industrielles, jusqu'à des effets structurants de géographie humaine, ont été plus ou moins fouillés. En particulier, depuis longtemps, de nombreux travaux ont été consacrés aux débats et tournants successifs de la politique publique des chemins de fer.
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Moullé, François. "Une diplomatie territoriale complexe pour connecter les territoires de l’Union européenne." L'Information géographique Vol. 88, no. 1 (March 6, 2024): 37–53. http://dx.doi.org/10.3917/lig.881.0037.

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Abstract:
Le concept de diplomatie territoriale est récent en géographie, il a été développé en relations internationales. L’enjeu est de caractériser les acteurs qui travaillent ensemble malgré des différences institutionnelles fortes ; cela nécessite des compétences spécifiques dans le cadre de gouvernances multiniveaux très souvent asymétriques. Le concept est particulièrement intéressant pour analyser et comprendre les coopérations entre les États à l’échelle de l’Union européenne et entre les États membres. La diplomatie est un outil pour comprendre avec précisions les relations entre les acteurs et mieux définir en quoi les transformations à la frontière sont des innovations territoriales, là où les acteurs cherchent à transformer les discontinuités en opportunités.
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Roumégous, Micheline. "Trente ans de didactique de la géographie: enjeux, innovations et résistances (1968-1998...)." L'information géographique 66, no. 3 (2002): 262–77. http://dx.doi.org/10.3406/ingeo.2002.2817.

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17

Manzagol, Claude. "Portée géographique des investissements étrangers." Cahiers de géographie du Québec 17, no. 40 (April 12, 2005): 35–49. http://dx.doi.org/10.7202/021104ar.

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Abstract:
Si les géographes ont depuis longtemps reconnu l'importance des flux de capital qui sous-tendent la circulation des biens visibles, ils ont accordé peu d'attention aux mouvements internationaux de l'argent dont l'impact était difficile à mesurer. La période actuelle est marquée par la montée rapide, dans la plupart des pays, des investissements étrangers, essentiellement sous forme d'investissements directs. À la lumière de statistiques et d'ouvrages récents, l'auteur montre comment, outre l'accroissement de l'écart entre pays développés et Tiers Monde, ils modifient les réseaux de flux (biens, personnes, information, innovation) et les structures des pays d'accueil. Ils contribuent en outre à accentuer les disparités régionales, tant il est vrai que leur comportement s'identifie à travers des schémas spatiaux originaux. Certes, l'investissement américain au Canada, qui fournit les exemples les plus démonstratifs, constitue un cas limite. Néanmoins, la montée des entreprises multi-nationales engendre un nouveau système industriel caractérisé par un changement d'échelle de l'appareil de production et une modification radicale des structures et des stratégies d'entreprises.
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Tropeano, Jean-Philippe. "Politique d'infrastructure et choix de localisation dans un modele de signal." Recherches économiques de Louvain 69, no. 4 (2003): 407–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800007946.

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Abstract:
RésuméL'agglomération spatiale des firmes est un phénomène largement dé-battu en économie géographique. Cet article propose une nouvelle explication à ce phénomène : les entreprises mettent en avant la localisation comme un moyen de signaler un bien nouveau. Accepter la concurrence en se localisant au plus près des entreprises existantes permet de montrer aux consommateurs la valeur du produit vendu. La polarisation géographique, et par là même une plus grande concurrence, sert de faire-valoir à une innovation. On montre que la firme innovante se localise dans la même région que la firme concurrente uniquement si le produit qu'elle propose est suffisamment innovant. Le critère de raffinement "K-undefeated" assure l'unicité de l'équilibre semi-séparateur. La polarisation de l'activité est uniquement imputable à l'asymétrie d'information. Cette forte polarisation doit inciter les autorités supra-régionales à privilégier plutôt les infrastructures de désenclavement qui se traduisent par une forte baisse des coûts de transport. En effet, une faible baisse du coût de transport peut se traduire par une baisse du bien-être total.
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Swiggers, Pierre. "Regards dialectiques sur la vie du langage: la «biogéologie» du langage de Jules Gilliéron." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 37 (October 8, 2013): 73–101. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2013.691.

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Abstract:
Après une longue période d’investissement «folklorique» dans l’étude des dialectes, l’avènement de la grammaire historico-comparative a amené l’institution-nalisation de la dialectologie. Si dans ses débuts la dialectologie «scientifique» s’est surtout intéressée à l’action des lois phoniques dans les dialectes et au problème de la délimitation des dialectes, l’oeuvre de Jules Gilliéron a marqué un tournant épistémologique et «factuel» dans les études, en orientant la recherche dialectologique vers une géographie, une géologie et une biologie du langage. La présente contribution analyse les grandes innovations méthodologiques apportées par les travaux et par l’enseignement de Gilliéron: la mise en rapport de la diver-sification spatiale et de la stratification dans le temps; le rapport dialectique entre contrainte et liberté, entre évolution et changement; la substitution de l’histoire des mots à l’histoire des sons comme objet d’étude fondamental.
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Rajaonson, Juste, Pier-Olivier Poulin, and Stéphane Pronovost. "Analyse géographique des investissements publics nationaux en innovation au Canada et implications pour les écosystèmes entrepreneuriaux régionaux." Revue Organisations & territoires 31, no. 2 (October 6, 2022): 43–53. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v31n2.1484.

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Cet article présente une analyse de la distribution spatiale des investissements en innovation du gouvernement du Canada dans diverses régions et collectivités du pays. La démarche proposée consiste à exploiter les données ouvertes du Programme de divulgation proactive des renseignements du gouvernement du Canada. Au total, 39 419 entrées valides représentant 10,8 milliards de dollars de subventions et de contributions octroyées de 2018 à 2020 sont analysées. À l’aide de statistiques descriptives, nous comparons les montants octroyés dans les provinces, les grandes agglomérations urbaines et leurs zones d’influence. Nous montrons notamment que les plus grandes métropoles du pays attirent la plus grande part des investissements en innovation par habitant. En dehors des métropoles, le soutien public à l’innovation est plus faible et cette différence par rapport aux métropoles est statistiquement significative. Ces observations ont des implications pour la recherche sur l’attraction d’investissements publics en innovation dans les écosystèmes entrepreneuriaux des milieux ruraux.
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Loilier, Thomas. "Innovation et territoire. Le rôle de la proximité géographique ne doit pas être surestimés." Revue française de gestion 36, no. 200 (January 30, 2010): 15–35. http://dx.doi.org/10.3166/rfg.200.15-35.

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Redondo, Jordi. "La mort du héros annoncée par celle de son cheval." Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 35 (December 31, 2023): 145–61. http://dx.doi.org/10.1075/rein.00073.red.

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Abstraite La poésie des peuples indo-européens compte parmi ses schémas narratifs celui de la mort du cheval annonçant celle du héros, un motif très ancien dont les traces sont répandues sur une aire géographique et linguistique concernant plusieurs traditions aussi bien de l’Europe que de l’Asie. Du point de vue littéraire, c’est le genre épique qui détient le monopole du thème. Notre contribution cherche d’abord à identifier les éléments les plus anciens du motif; un deuxième objectif porte sur la distribution des différentes traditions secondaires sur la base de la distinction des innovations que l’on peut y reconnaître. Des textes espagnols, français, grecs, iraniens, irlandais, latins, russes et serbes fourniront les données pour notre quête.
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Drouot, Bruno, and Cécile Le Corroller. "Le territoire : élément clé de la réussite du label « Bar de ligne de la Pointe de Bretagne »." Natures Sciences Sociétés 27, no. 4 (October 2019): 422–32. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2020007.

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Abstract:
L’évolution des ressources halieutiques est liée à la manière dont sont gérées les entreprises de pêche. L’association des « Ligneurs de la Pointe de Bretagne » développe une innovation de gestion qui s’avère efficace pour lutter contre la diminution du stock de bar commun. L’étude du cas de cette association montre qu’en utilisant un label pour valoriser leur production, les adhérents tissent et renforcent, entre eux et avec le territoire, des liens interactifs qui constituent un facteur de réussite essentiel en matière de développement durable. L’économie de la proximité s’avère être un cadre analytique approprié. L’article approfondit les facettes géographique, professionnelle et identitaire de cette proximité. En questionnant la logique individualiste habituellement admise, le label associatif permet de mettre en exergue l’innovation sociale et l’innovation territoriale comme des moyens de générer des résultats économiques.
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Komlan Gbanou, Sélom. "La traversée des signes : roman africain et renouvellement du discours." Revue de l'Université de Moncton 37, no. 1 (November 7, 2007): 39–66. http://dx.doi.org/10.7202/016710ar.

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Abstract:
Résumé La présente réflexion se propose d’interroger les différentes tendances et innovations qui s’observent dans le roman africain francophone, d’analyser leurs modes d’émergence ainsi que leurs stratégies de déploiement. Elle porte un regard à la fois diachronique et synchronique sur la forme et la langue des oeuvres, les rapports que celles-ci entretiennent aux lieux de production et aux instances de légitimation que sont les revues et les maisons d’édition. Ainsi, le paradigme de la traversée qui est au centre de l’analyse est un tout qui cumule des éléments physiques de la traversée géographique (le voyage des auteurs et la valeur symbolique de leurs expériences) et des éléments intertextuels de la traversée des imaginaires (lectures et différents contacts avec les milieux culturels de plus en plus variés).
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Dion, Gérard. "Les groupements patronaux." Relations industrielles 8, no. 4 (February 24, 2014): 350–60. http://dx.doi.org/10.7202/1022935ar.

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Sommaire Alors que les travailleurs sont groupés dans quelques centrales syndicales organisées rationnellement tant sur le plan professionnel que sur le plan géographique, les employeurs sont obligés d'appartenir à une multitude d'associations les plus disparates et n'ayant aucune coordination entre elles. L'auteur, dans cet article, tente de présenter une analyse et une classification des groupements patronaux.
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Serrate, Bénédicte. "Reseaux de conception innovante et formes de proximites." Revista Eletrônica de Estratégia & Negócios 1, no. 2 (August 24, 2010): 103. http://dx.doi.org/10.19177/reen.v1e22008103-118.

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Abstract:
La conception, appelée « design » dans les entreprises industrielles, représente dans le processus d’innovation une étape essentielle pourtant peu étudiée encore par les économistes. Elle mobilise pour aboutir à des innovations de plus en plus jugées essentielles à la compétitivité de l’entreprise, quantité d’acteurs internes et externes selon une logique de réseau sans cesse renouvelée. A partir de l’observation de cas empiriques, nous avons tenté dans cet article de comprendre comment s’organisaient ces réseaux innovants. Aujourd’hui dans la plupart des pays qui pratiquent des politiques de développement économique local, il semble établi qu’il faille construire des proximités géographiques entre acteurs pour que se développent des relations industrielles favorisant la dynamique d’innovation et le transfert des connaissances. L’abondance des « clusters » et des « pôles de compétitivité » partout dans le monde témoigne de ce postulat. En analysant les modes d’organisation des réseaux de conception nous avons donc cherché à vérifier si la proximité géographique constituait encore un ressort essentiel et si la globalisation des entreprises ne laissait pas apparaitre d’autres formes de proximités.
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Fortin, Gérald, M. Adélard Tremblay, and Marc Laplante. "Conséquences du chômage pour le salarié du Québec." Relations industrielles 16, no. 3 (January 31, 2014): 289–314. http://dx.doi.org/10.7202/1021787ar.

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Sommaire Après avoir explicité la méthodologie de l'étude et le mode d'approche particulier par lequel ils ont analysé le chômage, les auteurs consacrent une première partie de leur travail à l'analyse de la distribution géographique des chômeurs et à la mise en relation de ce phénomène avec des facteurs tels que l'instruction et la qualification du chef de famille. La seconde partie traite principalement des conséquences du chômage sur les niveaux de vie, la sécurité, les besoins et les aspirations de la famille du salarié. Cet article fait partie d'une étude plus vaste sur les conditions de vie des travailleurs salariées de la Province de Québec. Cette étude est entreprise par le Centre de Recherches sociales de l'Université Laval, en collaboration avec la Fédération des Caisses Populaires Desjardins et l'Assurance-Vie Des jardins.
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COLLIN, Anne, Vincent COUSTHAM, Jacob Kokou TONA, Sophie TESSERAUD, Sandrine MIGNON-GRASTEAU, Bertrand MÉDA, Anaïs VITORINO CARVALHO, et al. "Face au changement climatique, quelles stratégies d’atténuation et d’adaptation pour les productions avicoles ?" INRAE Productions Animales 37, no. 1 (April 26, 2024): 8069. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2024.37.1.8069.

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Abstract:
La viande de volaille et les œufs sont des sources principales de protéines animales pour l'alimentation humaine dans le monde. Leur production a augmenté rapidement au cours des dernières décennies. Cependant, les productions avicoles sont vulnérables au changement climatique, en particulier au réchauffement de la planète et à ses conséquences directes et indirectes. Pour y faire face, il est nécessaire de mettre en place des stratégies d'adaptation des animaux, en particulier en améliorant leur résilience. Ces stratégies nécessitent d’une part de mieux comprendre la physiologie des oiseaux (thermorégulation, efficacité pour la production de viande et d'œufs…) et d’autre part de rechercher des innovations en lien avec la nutrition, la santé, la reprogrammation précoce ou encore la génétique (intégration de nouveaux caractères adaptatifs dans les stratégies de sélection). Il faut également trouver des solutions au niveau des systèmes de production, par exemple en prenant en compte les aires de répartition géographique des maladies liées au changement climatique et en introduisant des pratiques d'atténuation pour réduire les consommations d'énergie et les émissions de gaz à effet de serre. Des recherches interdisciplinaires axées sur la génétique, les méthodes techniques (telles que la programmation thermique précoce), les solutions d'ingénierie, des innovations nutritionnelles et de nouvelles stratégies d'élevage agroécologiques sont ainsi développées. Ces stratégies tiennent compte de la demande sociale croissante en faveur de productions animales éthiques dans les perspectives d’une seule santé (« One Health ») et d’un seul bien-être (« One Welfare ») et visent à limiter la concurrence entre l'homme et les animaux pour les ressources alimentaires. Cette revue illustre par quelques exemples les leviers d'amélioration et de stratégies adaptatives envisageables pour rendre les animaux et les systèmes de production avicole plus résilients dans le contexte du changement climatique.
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Omhovère, Claire. "« Cet ailleurs qui est ici » : de l’usage du dépaysement dans You Are Not Needed Now d’Annette Lapointe." Textures, no. 24-25 (January 1, 2018): 189–205. http://dx.doi.org/10.35562/textures.265.

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Abstract:
You Are Not Needed Now (2017) rassemble onze nouvelles dont l’auteur, originaire de la Saskatchewan, vit et enseigne au nord de l’Alberta. Annette Lapointe appartient à une génération d’écrivains qui reste ancrée dans le courant régionaliste d’une littérature dite « des Prairies », dont les codes établis dans les premières décennies du siècle passé n’ont cessé d’être remodelés, du réalisme rural de la première moitié du XXème jusqu’aux innovations postmodernes qui donnèrent naissance au « régionalisme expérimental » de la fin du siècle (Fiamengo 2004, 250). A l’heure où les modes de vie sont devenus aussi urbains, connectés et mobiles dans les provinces de l’Ouest qu’à de nombreux autres endroits à la surface du globe, la littérature des Prairies ne s’est pourtant pas diluée dans les mutations post-nationales que traverse le Canada (Davey). A chaque nouvelle parution d’une histoire littéraire, un chapitre est dédié aux courants régionalistes qui n’ont rien perdu de leur vitalité dans ce pays immense et contrasté. L’imposant Oxford Handbook, dirigé en 2016 par Cynthia Sugars, n’est pas en reste. Dans le chapitre « Retracing Prairie Literature », Alison Calder interroge les exclusions sur lesquelles repose l’homogénéité du canon régional : suppression de la voix des femmes, suppression de la présence autochtone mais aussi suppression d’environnements autres que la ruralité investie en ses débuts par cette littérature de peuplement ou « settler literature ». La place qu’y occupe le paysage assortie d’un puissant déterminisme géographique ont en effet longtemps servi à démarquer un type d’intrigue, un profil de personnage ainsi qu’une esthétique reconnaissables entre tous (Calder 2016, 702). A la suite d’Alison Calder qui nous engage à « retracer » la littérature des Prairies pour en dégager les aspects méconnus ou occultés, cet article a pour objet les stratégies de dépaysement à l’œuvre dans Your Are Not Needed Now afin d’observer comment l’écriture de Lapointe parvient à déplacer, c’est-à-dire à décaler pour mieux le renouveler le canon dans lequel elle s’inscrit.
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Issofa, Gnigninikoup. "La Pérennité Concurrentielle de la Petite et Moyenne Entreprise Camerounaise: Enjeux, Défis et Perspectives." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 26 (August 31, 2022): 145. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n26p145.

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Abstract:
La question de la pérennité concurrentielle est aujourd’hui au centre de toutes les stratégies concurrentielles. Longtemps fondé sur une logique transactionnelle qui implique une élimination des moins compétitifs par les plus compétitifs, l’avantage concurrentiel au regard de la réalité économique actuelle semble avoir une assise plutôt relationnelle. Si non comment pouvons-nous expliquer la pérennité concurrentielle des petites et moyennes entreprises face à une concurrence féroce des grandes entreprises dans un contexte de globalisation concurrentielle. Cette étude est centrée sur la compréhension des facteurs qui expliquent la pérennité concurrentielle des PME au Cameroun. Nous avons procédé à travers une analyse qualitative à des entretiens avec des hauts responsables de 18 PME du Cameroun. Il ressort de l’analyse des informations recueillies que l’avantage concurrentiel des PME camerounaises fondé sur des facteurs classiques comme l’innovation, l’accès au capital financier, l’accès au marché est réel. Cependant le paramètre central qui explique la pérennité concurrentielle est relationnel et fondé sur une coopération entre les PME concurrentes. Nous avons mis en évidence trois types de coopérations au sein des PME camerounaises concurrentes: une coopération sociale entre les PME dont les responsables ont des antécédents sociaux ; une coopérative géographique entre les PME ayant un marché commun ; une coopération économique entre des PME éloignées socialement et géographiquement. C’est cette coopération concurrentielle qui fonde l’avantage concurrentiel au plan stratégique par une stabilisation de l’environnement concurrentiel immédiat et au plan opérationnel par la gestion de la clientèle. The question of competitive sustainability is now at the center of all competitive strategies. Long based on a transactional logic that involves the elimination of the least competitive by the most competitive, competitive advantage with regard to the current economic reality seems to have a rather relational basis. If not, how can we explain the competitive sustainability of small and medium-sized enterprises in the face of fierce competition from large companies in a context of competitive globalization. Our study focuses on understanding the factors that explain the competitive sustainability of SMEs in Cameroon. It emerges from the analysis of the information collected that the competitive advantage of Cameroonian SMEs based on classic factors such as innovation, access to financial capital, access to the market is real. However, the central parameter that explains a long-term competitive advantage is relational and based on cooperation between competing SMEs. We have highlighted three types of cooperation within competing Cameroonian SMEs: social cooperation between SMEs whose managers have a social background; geographical cooperation between SMEs having a common market; economic cooperation between socially and geographically distant SMEs. It is this competitive cooperation that establishes competitive advantage at the strategic level by stabilizing the immediate competitive environment and at the operational level through customer management.
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Lebel, Daniel. "Reading the Rocks Reloaded: A Celebration of the Geological Survey of Canada 175th Anniversary with a View to the Future." Geoscience Canada 45, no. 3-4 (January 28, 2019): 151–62. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2018.45.140.

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Abstract:
In 2017, the Geological Survey of Canada (GSC) celebrated its 175th anniversary, just as the 150th anniversary of the Canadian Confederation was celebrated. In many ways, the development of this organization over its long history parallels the exploration and economic development of our country, and these two stories are very closely intertwined. In its early days, the GSC was involved in charting the essential geography of Canada’s landmass, and early GSC geologists were involved in some of the discoveries that laid a foundation for our modern resource economy. In the 21st century, the GSC remains at the forefront of geoscience research across the nation, collaborating with many Provincial and Territorial partners and also with academic and industry researchers to expand our knowledge and find ways to sustainably develop our resources. Like all organizations, GSC has evolved over the years, and must continue to do so in response to technological innovation and societal demands. This article provides an overview of where we came from, where we have been, where we are today, and where we hope to go in the future. It is hoped that it will provide a starting point for other articles highlighting some of GSC’s more specific scientific contributions over the years, and exploring some of the many characters who colourfully populate its long history.RÉSUMÉEn 2017, la Commission géologique du Canada (CGC) a célébré son 175ème anniversaire, alors que l’on célébrait le 150ème anniversaire de la confédération canadienne. De plusieurs façons, le développement de cette organisation au cours de sa longue histoire suit en parallèle l’exploration et le développement économique de notre pays, et ces deux histoires sont très intimement inter-reliées. Dans ses premiers jours, la CGC a été impliquée dans la cartographie géographique essentielle de la masse continentale du Canada, et ses premiers géologues de la CGC ont été impliqués dans certaines des découvertes qui ont jeté les bases de notre économie moderne des ressources. Au XXIe siècle, la CGC reste à l’avant-garde de la recherche géoscientifique à travers le pays et collabore avec de nombreux partenaires provinciaux et territoriaux ainsi qu’avec des chercheurs universitaires et industriels afin d’élargir nos connaissances et de trouver des moyens de développer nos ressources de manière durable. Comme toutes les organisations, la CGC a évolué au cours des années, et doit continuer de le faire en réponse à l’innovation technologique et aux besoins sociétaux. Cet article fourni un aperçu de nos origines, de notre cheminement, de notre situation actuelle et de nos objectifs futurs. On espère que cela fournira un point de départ pour d’autres articles mettant en lumière certaines des contributions scientifiques plus spécifiques de la CGC au fil des ans et explorant certains des nombreux personnages qui peuplent de manière colorée sa longue histoire.
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DONNARS, C., P. CELLIER, and J. L. PEYRAUD. "Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages." INRAE Productions Animales 25, no. 4 (October 2, 2012): 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

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Abstract:
Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Revert, Nicolas. "Modéliser et comprendre les campagnes de la Somme romaine à l’aide des systèmes d’information géographique." Humanités numériques, no. 3 (May 1, 2021). http://dx.doi.org/10.4000/revuehn.1274.

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Ehrhard, Thomas, and Antoine Bambade. "La technologie dans les campagnes électorales." Emulations - Revue de sciences sociales, September 25, 2020. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.varia.028.

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Les données sont centrales pour les élections 2.0 : elles permettraient les victoires électorales et bénéficient d’une très forte médiatisation. Cela est particulièrement valable pour la technique de micro-ciblage géographique des électeurs potentiels : le micro-ciblage électoral. Cette technique correspond à la caractéristique essentielle du tournant technologique des campagnes électorales mêlant professionnalisation des acteurs, croyance dans les big data et les algorithmes. Pourtant, le micro-ciblage électoral reste un objet encore largement méconnu et mal connu. À partir d’une revue de littérature critique, nous montrons que les dimensions techniques de la technologie politique sont fortement minorées dans les recherches de science politique relatives aux campagnes électorales qui se révèlent très hétérogènes et comportent des manques importants. Ceux-ci empêchent d’approfondir la connaissance du micro-ciblage, en particulier sur ses conséquences électorales. Nous identifions quatre enjeux pour appréhender les enjeux des innovations technologiques dans les campagnes électorales et, plus largement, la technologie politique.
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Lamghari Moubarrad, Amina, Said BOUJROUF, Ilaria Dimarco, and Roberto Dapit. "Patrimoine immatériel entre résilience et innovation commerciale et organisationnelle en temps de la pandémie du Covid-19 Cas de la place Jamaa el Fna à Marrakech." Revue Internationale de Management, d'Entrepreneuriat et de Communication, December 3, 2023. http://dx.doi.org/10.59285/rimec.387.

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Abstract:
La place Jamaa el Fna à Marrakech est reconnue par l’Unesco et labellisée chef d'œuvre de l'humanité en 2001. Cette reconnaissance est due à la profondeur symbolique et culturelle que représente son oralité. Cependant, en période du Covid-19, l’intégration de la digitalisation des spectacles par les conteurs, a fait voyager la halqa de l’espace géographique de la place à la mise en scène digitale sur la trame du Web (la virtualisation de l'oralité). En effet, cette recherche a pour objectif de démontrer que le patrimoine immatériel se base sur l’innovation commerciale et organisationnelle pour atteindre la résilience. C’est dans ce contexte que dans la présente étude nous nous intéressons à présenter les résultats d'une exploration digitale et documentaire sur les pratiques des animateurs de la culture orale au sein de la place de Jamaâ el Fna en cette période de crise. Les résultats obtenus de cette étude nous ont permis d’apporter un éclairage nouveau sur le patrimoine immatériel, sa résilience et celle de ses pratiquants ainsi qu’aux innovations entreprises par les différents acteurs exploitant d’autres ressources pour continuer à Subsister.
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Démettre, Lucie Drevet. "Une lecture géographique du voyage de la rose kenyane : de l’éclatement de la chaîne d’approvisionnement aux innovations logistiques." Belgeo, no. 2 (May 11, 2022). http://dx.doi.org/10.4000/belgeo.54992.

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Betioli Contel, Fabio. "ESPAÇO GEOGRÁFICO, SISTEMA BANCÁRIO E A HIPERCAPILARIDADE DO CRÉDITO NO BRASIL." Caderno CRH 22, no. 55 (August 24, 2009). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v22i55.19005.

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Abstract:
O presente artigo tem por objetivo a análise do funcionamento atual do sistema bancário brasileiro, sob uma perspectiva geográfica. Fixando a periodização do estudo a partir da instalação do Plano Real (1994), foi possível identificar quais as principais alterações nos conteúdos técnicos e normativos do território brasileiro que têm relação direta com o desenvolvimento recente do sistema bancário nacional. Dentre as principais novidades desse sistema, foi dado destaque a três questões: o maciço processo de privatização dos bancos públicos estaduais; a implementação do Sistema de Pagamentos Brasileiro (SPB); e a difusão das novas formas de prestação de serviços bancários (Correspondentes Bancários, cartões de crédito/débito e internet banking principalmente), possibilitada pelos objetos informacionais que vêm sendo instalados no território desde as últimas décadas do século XX. PALAVRAS-CHAVE: sistema bancário brasileiro, uso do território, objetos informacionais, conteúdos normativos do território, hipercapilaridade do crédito. GEOGRAPHICAL SPACE, BANKING SYSTEM AND OVERPRESENCE OF CREDIT IN BRAZIL Fábio Betioli Contel This paper aims to analyse today’s operation of the Brazilian banking system, under a geographical perspective. Beginning the time interval of this study from the installation of Plano Real (1994), it was possible to identify which were the main alterations in the technical and normative contents in the Brazilian territory that have a direct relationship with the recent development of the national banking system. Among the main innovations of that system, prominence was given to three issues: the massive process of privatization of state public banks; the implementation of the Brazilian System of Payments ( in Portugueses, SPB); and the diffusion of new ways of rendering banking services employees (banking correspondents, credit and debit cards and Internet banking, mainly), made possible by the informational objects that have been installed in Brazilian territory since the last decades of the XX century. KEYWORDS: Brazilian banking system, use of territory, informational objects, Brazilian normative contents, overpresence of credit. L’ESPACE GÉOGRAPHIQUE, LE SYSTÈME BANCAIRE ET L’HYPERCAPILLARITÉ DU CRÉDIT AU BRÉSIL Fábio Betioli Contel L’objectif de cet article est d’analyser le fonctionnement actuel du système bancaire brésilien dans une perspective géographique. En définissant la période d’étude à partir de la mise en place du “Plan Réal” (1994), il a été possible d’identifier les principales modifications de contenus techniques et normatifs du territoire brésilien qui sont en lien direct avec le développement récent du système bancaire national. Parmi les principales nouveautés de ce système, trois éléments ont été mis en évidence: le processus de privatisation en masse des banques publiques des Etats de la Fédération, la mise en oeuvre d’un Système de Paiements Brésilien (SPB) et la diffusion de nouvelles formes de prestations de services bancaires (Correspondants Bancaires, cartes de crédit/débit et surtout internet banking , grâce aux moyens informationnels installés sur le territoire depuis les dernières décennies du XXe siècle. MOTS-CLÉS: système bancaire brésilien, utilisation du territoire, objets informationnels, contenus normatifs du territoire, hypercapillarité du crédit. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br
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Van der Linden, Bruno. "Numéro 68 - avril 2009." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15543.

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Abstract:
Depuis la déclaration commune des ministres régionaux Marcourt et Vandenbroucke, le débat sur la régionalisation (ou décentralisation) des politiques du marché du travail n'a guère progressé. On peut même parler d'enlisement. Or, le choix du bon niveau d’intervention publique importe si l'on se soucie de l'efficacité de cette intervention. On peut rechercher la centralisation ou, à l'opposé, la décentralisation par principe ou par idéologie. Ce n'est pas acceptable si la recherche d'efficacitéest l'objectif. Il y a en revanche des arguments pertinents en faveur de la centralisation et d'autres en défaveur de celle-ci. Ces arguments sont de nature économique si tant est que le qualificatif "économique" est bien compris: la répartition efficace des interventions publiques est celle qui garantit le niveau de bien-être le plus élevé possible tenant compte des ressources collectives disponibles. Ce bien-être grandit d'une part si, à ressources collectives données, on rencontre mieux les attentes et besoins des citoyens (leurs "préférences"). Dans le contexte du marché du travail, cela se traduit notamment par moins de pauvreté et de chômage involontaire et une meilleure assurance face aux risques. D'autre part, dans certains cas, le choix du bon niveau d'intervention agit directement sur les ressources collectives requises. Epargner des ressources permet de les affecter ailleurs et l'on sait à quel point les besoins sont nombreux ! Ce numéro de Regards économiques identifie donc une liste d'arguments et les illustre à l'aide d'exemples. Pour chaque type d'intervention publique, une démarche rationnelle consisterait à évaluer la portée précise de chacun de ces arguments pour ou contre la décentralisation, pour ensuite établir un bilan de synthèse et décider. Cette démarche est difficile, mais possible et nécessaire. De manière très succincte, la décentralisation, qui peut prendre diverses formes, permet une meilleure prise en compte des spécificités locales en matière d'attentes et de besoins. En outre, l'intervention publique requiert la collecte d'information (par exemple sur la disponibilité des chômeurs à l’égard du marché du travail). Fréquemment, le coût de cette collecte est plus limité ou la qualité de l'information est meilleure lorsque l'intervention se situe à un niveau décentralisé. La décentralisation a aussi ses inconvénients. Lorsque, et c'est fréquent, les décisions prises par une région affectent le bien-être d'une autre (à titre d’exemple, la diffusion d’une offre d’emploi par un organisme régional de placement peut favoriser l’appariement entre ce poste vacant et un demandeur d’emploi d’une autre région), on a besoin au minimum d'une coordination, voire d'une centralisation. Par ailleurs, il arrive que l'on épargne des ressources en menant une intervention à un niveau géographique plus large (grâce à des "économies d'échelle"). De plus, tant que les facteurs responsables du chômage sont essentiellement des chocs aléatoires (conjoncture, innovations technologiques, etc.), une assurance-chômage nationale est mieux à même de diversifier les risques qu’une assurance organisée au niveau régional. Enfin, des cadres législatifs et réglementaires hétérogènes compliquent la mobilité géographique inter-régionale et la gestion des entreprises implantées sur plus d'une région. Ce numéro de Regards économiques applique enfin ces principes à la délicate question du contrôle des chômeurs. À quel niveau placer cette intervention publique compte tenu du rôle joué d'un côté par la sécurité sociale fédérale au niveau de l'assurance du risque de chômage et d'un autre côté par les régions en matières de politiques actives et de placement des chômeurs ? L'article n'a pas l'ambition de trancher le débat. En revanche, il cerne avec précision les considérations à mettre en balance.
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Van der Linden, Bruno. "Numéro 68 - avril 2009." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2009.04.01.

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Abstract:
Depuis la déclaration commune des ministres régionaux Marcourt et Vandenbroucke, le débat sur la régionalisation (ou décentralisation) des politiques du marché du travail n'a guère progressé. On peut même parler d'enlisement. Or, le choix du bon niveau d’intervention publique importe si l'on se soucie de l'efficacité de cette intervention. On peut rechercher la centralisation ou, à l'opposé, la décentralisation par principe ou par idéologie. Ce n'est pas acceptable si la recherche d'efficacitéest l'objectif. Il y a en revanche des arguments pertinents en faveur de la centralisation et d'autres en défaveur de celle-ci. Ces arguments sont de nature économique si tant est que le qualificatif "économique" est bien compris: la répartition efficace des interventions publiques est celle qui garantit le niveau de bien-être le plus élevé possible tenant compte des ressources collectives disponibles. Ce bien-être grandit d'une part si, à ressources collectives données, on rencontre mieux les attentes et besoins des citoyens (leurs "préférences"). Dans le contexte du marché du travail, cela se traduit notamment par moins de pauvreté et de chômage involontaire et une meilleure assurance face aux risques. D'autre part, dans certains cas, le choix du bon niveau d'intervention agit directement sur les ressources collectives requises. Epargner des ressources permet de les affecter ailleurs et l'on sait à quel point les besoins sont nombreux ! Ce numéro de Regards économiques identifie donc une liste d'arguments et les illustre à l'aide d'exemples. Pour chaque type d'intervention publique, une démarche rationnelle consisterait à évaluer la portée précise de chacun de ces arguments pour ou contre la décentralisation, pour ensuite établir un bilan de synthèse et décider. Cette démarche est difficile, mais possible et nécessaire. De manière très succincte, la décentralisation, qui peut prendre diverses formes, permet une meilleure prise en compte des spécificités locales en matière d'attentes et de besoins. En outre, l'intervention publique requiert la collecte d'information (par exemple sur la disponibilité des chômeurs à l’égard du marché du travail). Fréquemment, le coût de cette collecte est plus limité ou la qualité de l'information est meilleure lorsque l'intervention se situe à un niveau décentralisé. La décentralisation a aussi ses inconvénients. Lorsque, et c'est fréquent, les décisions prises par une région affectent le bien-être d'une autre (à titre d’exemple, la diffusion d’une offre d’emploi par un organisme régional de placement peut favoriser l’appariement entre ce poste vacant et un demandeur d’emploi d’une autre région), on a besoin au minimum d'une coordination, voire d'une centralisation. Par ailleurs, il arrive que l'on épargne des ressources en menant une intervention à un niveau géographique plus large (grâce à des "économies d'échelle"). De plus, tant que les facteurs responsables du chômage sont essentiellement des chocs aléatoires (conjoncture, innovations technologiques, etc.), une assurance-chômage nationale est mieux à même de diversifier les risques qu’une assurance organisée au niveau régional. Enfin, des cadres législatifs et réglementaires hétérogènes compliquent la mobilité géographique inter-régionale et la gestion des entreprises implantées sur plus d'une région. Ce numéro de Regards économiques applique enfin ces principes à la délicate question du contrôle des chômeurs. À quel niveau placer cette intervention publique compte tenu du rôle joué d'un côté par la sécurité sociale fédérale au niveau de l'assurance du risque de chômage et d'un autre côté par les régions en matières de politiques actives et de placement des chômeurs ? L'article n'a pas l'ambition de trancher le débat. En revanche, il cerne avec précision les considérations à mettre en balance.

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