Academic literature on the topic 'Géographie antique – Sources'

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Journal articles on the topic "Géographie antique – Sources":

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Guedj, Pauline. "Afrocentrisme." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.046.

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Abstract:
Bien que souvent non revendiqué par les auteurs que l’on considère comme ses tenants (Molefi Asante 1987, Maulana Karenga 2002, John Henrik Clarke 1994, Marimba Ani 1994, Frances Cress Welsing 1991, Théophile Obenga 2001, qui lui préfèrent les termes afrocentricité, africologie ou kawaida), le terme afrocentrisme est utilisé pour désigner un courant d’idées présent dans les cercles académiques nord-américains, africains et européens, depuis la deuxième moitié du vingtième siècle. Académique, l’afrocentrisme est actuellement l’objet d’un important processus de transnationalisation et entretient des relations précises et continues avec des pratiques sociales, artistiques, religieuses et/ou politiques. Il semble que le mot « afrocentrique » soit apparu pour la première fois en 1962 sous la plume du sociologue afro-américain W.E.B. Du Bois. Invité par Kwame Nkrumah à Accra au Ghana dans le but d’y rédiger une encyclopédie sur les populations noires, Du Bois insistait, dans un document non publié, sur son intention d’éditer un volume « volontairement Afro-Centrique, mais prenant en compte l’impact du monde extérieur sur l’Afrique et l’impact de l’Afrique sur le monde extérieur » (in Moses, 1998 : 2). Du Bois, grand penseur du panafricanisme, voyait donc dans son projet un moyen de donner la parole aux peuples d’Afrique, d’en faire des acteurs de leur propre histoire au moment même où ceux-ci entamaient la construction nationale de leurs États depuis peu indépendants. Lié chez Du Bois à un projet scientifique et politique, la tendance afrocentrique connaîtra ses heures de gloire à partir de la fin des années 1960 lorsqu’elle devint la marque de fabrique d’une école de pensée comptant quelques représentants au sein des cercles académiques américains. En réalité, l’histoire de la pensée afrocentrique aux États-Unis est indissociable de la création de départements d’études dites ethniques dans les universités américaines, départements nés en pleine ère du Black Power, lorsqu’une jeunesse noire radicalisée se battait pour l’intégration de son expérience au sein des cursus universitaires. Ces départements d’études African-American, Black ou Africana se donnaient pour but de relayer la voix des opprimés et d’inclure l’histoire afro-américaine dans le récit scientifique de l’histoire états-unienne. Parmi les manifestes afrocentriques de l’époque, notons la création de l’African Heritage Studies Association en 1969 née d’une réaction aux postures idéologiques de l’African Studies Association. Orchestrée par John Henrik Clarke (1994), l’organisation rassemblait des intellectuels et des militants africains, entendus ici comme originaires du continent et de ses diasporas, se battant pour la mise en place d’une étude politique de l’Afrique, arme de libération, cherchant à intervenir dans la fondation d’un panafricanisme scientifique et afrocentré. A partir des années 1980, l’afrocentrisme académique entra dans une nouvelle phase de son développement avec les publications de Molefi Asante. Dans la lignée de Du Bois, celui-ci tendait à définir l’afrocentrisme, ou plutôt l’afrocentricité, comme une théorie cherchant à remettre l’Afrique au cœur de l’histoire de l’humanité. Toutefois, ses principaux écrits, The Afrocentric Idea (1987), Afrocentricity (1988), Kemet, Afrocentricity and Knowledge (1990), associèrent à l’afrocentrique duboisien tout un appareil conceptuel et idéologique, grandement hérité des écrits de l’historien sénégalais Cheikh Anta Diop (1959). et de militants du nationalisme noir classique tels Edward Blyden et Alexander Crummel. Dès 1990, la pensée d’Asante se déploya autour d’une série de points précis, déjà mis en avant par le politiste Stephen Howe (1998) : 1. L’humanité s’est d’abord développée en Afrique avant de se répandre sur la planète. Les Africains entretiendraient avec les autres humains un rapport de primordialité chronologique et ce particulièrement avec les Européens, jeunes dans l’histoire de l’humanité. 2. La première civilisation mondiale est celle de l’Égypte ou Kemet. L’étude des phénotypes égyptiens tels qu’ils sont visibles sur les vestiges archéologiques apporterait la preuve de la négritude de cette population. 3. Le rayonnement de la civilisation égyptienne s’est étendu sur la totalité du Continent noir. Toutes les populations africaines sont culturellement liées à la civilisation et aux mœurs de l’Égypte antique et la linguistique en constituerait une preuve évidente. 4. La culture égyptienne se serait également diffusée au Nord, jusqu’à constituer la source d’inspiration première des civilisations qui apparurent plus tardivement en Grèce puis partout en Europe. 5. L’ensemble des traditions africaines constitue autant de manifestations d’une culture unique. Depuis son foyer égyptien, la culture africaine, au singulier, s’est diffusée pour s’immerger dans la totalité du continent et dans la diaspora des Amériques. Au début des années 2000, l’afrocentrisme académique s’est trouvé au cœur de vifs débats dans les espaces anglophones et francophones. Aux États-Unis, c’est la publication de l’ouvrage de Mary Lefkowitz Not Out of Africa (1993) qui rendit publiques les nombreuses tensions entre afrocentristes et anti-afrocentristes. En France, la discussion s’est également concentrée autour de la parution d’un ouvrage dirigé par François-Xavier Fauvelle-Aymar, Jean-Pierre Chrétien et Claude-Hélène Perrot (2000). Le texte, provocateur, se donnait pour but de déconstruire des théories afrocentriques qualifiées de naïves, « fausses » et dont « le succès parmi les Américains noirs peut être attribué au fait que, à l’heure actuelle, la pensée critique n’est pas en grande estime dans la communauté noire aux États-Unis » (2000 : 70-71). Le livre fut accueilli très froidement dans les milieux qu’il visait. En 2001, l’intellectuel congolais Théophile Obenga, rétorqua avec la publication d’un nouvel ouvrage Le sens de la lutte contre l’africanisme eurocentriste. Manifeste d’un combat « contre l’africanisme raciste, ancien ou moderne, colonial ou post-colonial, qui ne voit pas autre chose que la domination des peuples ‘exotiques’, ‘primitifs’, et ‘sous-développés’. » (2001 : 7), le texte d’Obenga multipliait, de son côté, les attaques personnelles et violentes. Aujourd’hui, il semble que l’appréhension des phénomènes afrocentriques ne puisse gagner en profondeur que si elle évite les écueils polémiques. Une telle approche supposerait alors de considérer l’afrocentrisme comme un objet de recherche construit historiquement, sociologiquement et anthropologiquement. Il s’agirait alors à la fois de le replacer dans le contexte historique de sa création et de s’intéresser à ses effets concrets dans les discours et les pratiques sociales populaires en Afrique, dans les Amériques et en Europe. En effet, depuis une vingtaine d’années, le terme et l’idéologie afrocentriques n’apparaissent plus seulement dans des débats des universitaires mais aussi dans une série d’usages sociaux, culturels et artistiques de populations qui les conçoivent comme un outil d'affirmation identitaire. Ces communautés et ces individus s’en saisissent, leur donnent une définition propre qui émane de leur environnement social, culturel et géographique particuliers, les utilisent comme fondement de nouvelles pratiques, de nouvelles élaborations du politique et de revendications identitaires. Ainsi, l’afrocentrisme se retrouve dans les pratiques religieuses d’Afro-Américains des États-Unis à la recherche de leurs racines ancestrales (Capone, 2005 ; Guedj, 2009), dans les textes des rappeurs de Trinidad ou du Gabon (Aterianus-Owanga, 2013) ainsi que dans les œuvres et les propos d’artistes aussi variés que la plasticienne Kara Walker et le saxophoniste Steve Coleman. Afrocentrismes populaires, a priori dissociés des milieux académiques, ces pratiques ne sont pourtant pas étrangères aux théories qui animent les spécialistes. En effet, nombreux sont les religieux qui citent les livres de Cheikh Anta Diop (1959) ou Molefi Asante (1987), les artistes qui revendiquent comme sources d'inspiration les vidéos postées sur youtube des discours de Leonard Jeffries, John Henrik Clarke ou Maulana Karenga. Il semble alors que c’est précisément dans cette analyse des pratiques et discours afrocentriques entre champs académique, politique, religieux et artistique que l’anthropologie peut jouer un rôle décisif. Il s’agirait alors pour les chercheurs de mettre en place des méthodologies permettant non seulement d’analyser les logiques de circulation des représentations de l’Afrique entre différentes catégories sociales mais aussi d’étudier la perméabilité des savoirs académiques et leurs influences en dehors des universités.

Dissertations / Theses on the topic "Géographie antique – Sources":

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Siraj, Ahmed. "L'Afrique du Nord antique d'après les sources arabes du Moyen Âge : histoire et géographie historique : exemple : le Maroc septentrional." Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010575.

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Abstract:
L'une des particularités du Maghreb dans l'historiographie moderne est la "discontinuité" de son histoire. Ce caractère est bien clair notamment pour la période qui sépare la fin de l'antiquité du début du moyen-âge. En prenant le Maroc du nord comme exemple, cette recherche tente à rétablir les liens entre les deux périodes. A partir d'une nouvelle lecture des sources arabes médiévales, le projet vise la recherche des nouvelles données concernant l'histoire et l'archéologie de la période antique d'une part, et l'examen de l'image de cette histoire telle qu'elle était reconstruite et élaborée par les historiens arabes, de l'autre. Ainsi, cette thèse est constituée de deux axes principaux : d'abord l'étude de l'ensemble des connaissances des écrivains arabes relatives aux antiquités maghrébines en comparaison avec les données des sources classiques ; ensuite l'étude des textes géographiques en vue d'en tirer les informations concernant les vestiges de la période antique. Aussi bien sur le plan historique que sur celui de la géographie historique, cette étude a permis d'ouvrir de nouvelles perspectives pour les recherches à venir
One of the features of Maghreb in modern historiography is the "discontinuity" of its history. This characteristic is very clear especially for the era which separate the end of the antiquity from the beginning of the middle-age. By taking the north of Morocco as an example, this research tempts to restore the ties betwen the tow periods. From a new reading of the medieval arabic sources, this work aims at the research for new data concerning the history and archeology of the antique period on the one hand, and the examination of the image of this history as it was reconstructed and elaborated by the arab historians, on the other. Thus, this thesis is constituted of tow principal axes : first, we have analysed the totality of the learnings of the rabic writers relative to the maghribian antiquities in comparison with the data of the classical sources, then, we have studied the geographical texts to draw the informations concerning the vestiges of the antique periode. Both on the historical level and the on that of the historical geography, this study allows to apen new perspectives for other researches in the future
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Dan, Anca-Cristina. ""La plus merveilleuse des mers" : recherches sur la représentation de la mer Noire et de ses peuples dans les sources antiques, d'Homère à Eratosthène." Reims, 2009. http://www.theses.fr/2009REIML004.

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Abstract:
À parcourir les descriptions spatio-temporelles du monde qui précèdent la « géographie » d’Ératosthène, on constate qu’évoquer le Pont-Euxin en tant que concept géographique est un anachronisme : les lieux, les peuples et les actions mythiques, littéraires et historiques situées, par les Modernes, dans la région de la mer Noire sont associées par les Grecs archaïques et classiques soit à un Au-delà, soit au Nord de l’œkoumène méditerranéen soit à d’autres Hellades non-égéennes soit, enfin, à un arc scythe dont nous écrivons ici l’histoire. Nous commençons par des Prolégomènes théoriques qui proposent, entre autres, une nouvelle taxinomie des perceptions spatiales antiques, par les vues hodologique, topologique et œkouménologique de l’espace supra-humain, ainsi qu’une définition de la géographie antique par ses caractéristiques d’hétérogénéité, de transgénéricité, de conservatisme et de déterminisme. En nous appuyant sur cette base terminologique et sur des connaissances de linguistique, de tradition littéraire antique et parfois médiévale, d’histoire, d’iconographie et d’archéologie pontique, nous analysons l’épopée d’Homère, d’Hésiode et d’Eumèle de Corinthe, les ïambes d’Hipponax, les fragments d’Aristéas de Proconnèse et d’Hécatée de Milet, les odes de Pindare, les tragédies d’Eschyle, de Sophocle et d’Euripide, les Histoires d’Hérodote et des autres logographes méconnus, le De aere d’Hippocrate, l’Anabase de Xénophon, le Périple – manuel d’hellénisme – du Pseudo-Scylax et, enfin, les réflexions pontiques d’Ératosthène. Nous aboutissons à une histoire des perceptions et des représentations de la mer Noire et, plus largement, de l’espace œkouménique grec
Reading the Greek geographical and historical descriptions written before the time of Eratosthenes, one notices that, for all these authors, the Euxine Pontus was not yet a geographical concept : places, peoples and actions, mythical, literary and historical, located in this region from a modern perspective, were situated by the Greeks of the Archaic and Classical times either in the “Beyond”, or in the North of the œkouménè, or in some other non-Aegaean Hellas, or in a “Scythian arc”. The history of this geographical (as well as ethnographic and historical) figure constitutes the main focus of the present research. I begin with some theoretical prolegomena, in which I suggest, amongst other things, a new taxonomy of ancient spatial perceptions, including “hodological”, “topological”, and “oekoumenological” points of view, as well as a definition of ancient geography based upon notions of heterogeneity, transgenericity, conservatism, and determinism. With this terminological foundation established, and employing a combination of evidence (linguistic, ancient and occasionally mediaeval literature, history, iconography, and Pontic archaeology), in the five chapters that follow, I analyse the Pontic references to be found in the Homeric epics, in Hesiod, Eumelus of Corinth, Hipponax, Aristeas of Proconnesus, Hecataeus of Miletus, Pindar, Aeschylus, Sophocles, Euripides, Herodotus’s Histories, Hippocrates’ De aere, Xenophon’s Anabasis, Pseudo-Scylax’s Periplus, and the fragments of Eratosthenes. The dissertation therefore leads to a history of the perceptions and representations of the Black Sea region and, more broadly, of the Greek œkoumene in Archaic and Classical times
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Regnier, Antoine. "Vies et visages de la Terre. Les théories géologiques de l'Antiquité." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2023. http://www.theses.fr/2023SORUL129.

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Abstract:
Dans le monde grec antique, l’étude des phénomènes géologiques et de la configuration de la croûte terrestre prend place au sein de la géographie physique et de la météorologie, et connaît un fort développement au cours de l’époque hellénistique. Les historiens de la géologie admettent généralement que les études anciennes dans ce domaine étaient lacunaires, voire dépourvues de toute méthode scientifique. Nous verrons au contraire que se forment d’Aristote à Plutarque, dans une littérature abondante et souvent fragmentaire, des systèmes explicatifs destinés à rendre compte des spécificités du monde terrestre. Notre corpus s’étend du IVe s. avant notre ère au IIe s. de notre ère, de l’élaboration par les savants du Lycée d’un programme scientifique systématique, imité par le stoïcien Poseidonios, jusqu’à la doxographie des Opinions des philosophes, forme extrême d’une tendance à établir un bilan des connaissances grecques prise en charge par les auteurs d’époque impériale (Strabon, Sénèque, Pline). Nous nous focalisons sur l’examen de traités scientifiques, philosophiques, historiques et géographiques, et accordons une importance particulière au lexique grec et latin des sciences de la Terre. Une première partie pose les conditions de possibilité d’une pensée géologique, globe érigé en objet d’étude scientifique par l’astronomie, la physique et la géographie ; nous en venons ensuite à l’étude des phénomènes géodynamiques et à la conception ancienne d’un temps géologique et de rythmes spécifiquement terrestres ; enfin, nous présentons en guise d’ouverture des réflexions techniques sur les manières d’exploiter la Terre par le prisme de la géologie minière et de l’édaphologie
In the ancient Greek world, the study of geological phenomena and of the configuration of the Earth’s crust is a part of physical geography and meteorology, and underwent considerable development throughout the Hellenistic period. Historians of geology generally accept that such studies were lacking and devoid of scientific method. On the contrary, we will see that from Aristotle to Plutarch, in an abundant and often fragmentary literature, explanatory systems were developed to account for the specific features of the terrestrial world. Our corpus extends from the fourth century BC to the second century AD, i.e. from the development of a systematic scientific program by the scholars of the Lyceum, mostly followed by the Stoic Posidonius, to the doxography of the Opinions of the Philosophers, the extreme form of a tendency to give an overview of Greek knowledge taken over by the authors of the imperial period (Strabo, Seneca, Pliny). We focus on scientific, philosophical, historical and geographical works, with particular emphasis on the Greek and Latin lexicon of the Earth sciences. The first part sets out the conditions that enabled to think about the Earth, a globe that astronomy, physics and geography built as an object of scientific study ; we then move on to the study of geodynamic phenomena and the ancient concept of geological time and specifically terrestrial rhythms ; finally, we shortly present technical reflections on ways of exploiting the Earth through the prism of mining geology and edaphology
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Bouiron, Marc. "L'Épitomé des Ethniques de Stéphane de Byzance comme source historique : l'exemple de l'Europe occidentale." Thesis, Nice, 2014. http://www.theses.fr/2014NICE2051/document.

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Abstract:
Le lexique géographique de Stéphane de Byzance, appelé sous une forme abrégée Ethnika, rassemble les « géonymes » ayant une forme dérivée, suivant la définition des grammairiens antiques (ethnique, féminin, ktétique…). Il fait l’objet ici d’une relecture attentive, en analysant en particulier les taux de réduction variables suivant les parties de l’œuvre (divisée probablement à l’origine en 60 livres).L'analyse précise permet de déterminer plusieurs périodes d'agrégation des informations, la plus importante provenant d'un lexique-source daté des environs du milieu du IIe siècle de notre ère. L'étude du corpus des mentions se rapportant à l'Europe occidentale (moins l'Italie) permet d'affiner l'information remontant aux auteurs grecs et donne de nouvelles attributions à certaines mentions. Il est dès lors possible de mieux contextualiser les géonymes qui sont cités par Stéphane de Byzance
The geographical lexicon of Stephen of Byzantium, called in abbreviated form Ethnika, brings together the "géonymes" with a derivative form, as defined by ancient grammarians (ethnic, female, ktetika ...). It is the subject here of a careful reading, analyzing in particular the variable reduction rate according to the parts of the work (probably originally divided into 60 books).The precise analysis identifies several periods aggregation of information, the most important from a source-lexicon dated around the middle of the second century AD. The study mentions the corpus relating to Western Europe (minus Italy) refines the information back to the Greek writers and gives new comprehension on certain information. It is therefore possible to better contextualize "géonymes" cited by Stephen of Byzantium

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