Journal articles on the topic 'Gaz respectueux de l'environnement'

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Ceccaldi, Paula. "Des lubrifiants respectueux de l'environnement." Biofutur 1995, no. 148 (September 1995): 27–30. http://dx.doi.org/10.1016/0294-3506(95)80174-x.

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Ahiwe, E. U., H. O. Obikaonu, O. E. Kadurumba, T. C. Iwuji, O. O. Emenalom, and E. B. Etuk. "Climate change and youth unemployment challenges in Nigeria: The poultry production option." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 4 (March 8, 2021): 107–20. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2992.

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Abstract:
This paper discusses climate change and poultry production as their interaction impacts on unemployment in Nigeria. Climate change and animal production have always had a negative impact on each other, with animal production accounting for about 15-18% global anthropogenic greenhouse gases (GHGs) emission in form of carbon dioxide (CO2), nitrous oxide (N2O) and methane (CH4) which are emitted when animals respire. On the other hand, the effect of climate change and global warming on animal production is on the increase and will continue to increase with the high rate of man's industrial activity if not checked. In Nigeria, there is an increasing demand for animal protein and the unemployment rate is increasing yearly because of high increase in population. In order to meet up with this increase in demand for food and reduce youth unemployment in an environment with less climate change challenge, more youth involvement in Agriculture is needed. But, this agricultural revolution will have great challenge on the environment because of the high rate of climate change that goes with industrialization and agriculture. Because poultry have low global warming potential, it has an edge over other animals or livestock such as cattle, sheep, and goat. This is because poultry has low GHGs emission as a result of its low enteric methane production rates compared to ruminant animal species. Apart from poultry being cheap, it is nutritious and readily marketable. In addition, it can be a nice source of investment and income generation for Nigerian youths, if harnessed properly. It is therefore, concluded and recommended that to meet up with the ever-increasing demand for jobs in an environment having less climate change challenges, various government agencies, banks, private sectors, civil society, rural co-operative societies, youth agencies in Nigeria with the assistance of various international donor agencies can collaborate and play a more facilitating role through giving of loans, grants and adequate extension services to ensure that food security and youth empowerment is achieved within an eco-friendly environment through profitable poultry production. Cet article discute du changement climatique et de la production de volaille comme leurs effets d'interaction sur le chômage au Nigéria. Le changement climatique et la production animale ont toujours eu un impact négatif l'un sur l'autre, la production animale représentant environ 15 à 18% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) anthropiques sous forme de dioxyde de carbone (CO2), d'oxyde nitreux (N2O) et de méthane (CH4) qui sont émis lorsque les animaux respirent. En revanche, l'effet du changement climatique et du réchauffement planétaire sur la production animale est en augmentation et continuera d'augmenter avec le taux élevé de l'activité industrielle de l'homme s'il n'est pas maîtrisé. Au Nigéria, il y a une demande croissante de protéines animales et le taux de chômage augmente chaque année en raison de la forte augmentation de la population. Afin de répondre à cette augmentation de la demande alimentaire et de réduire le chômage des jeunes dans un environnement où les défis du changement climatique sont moins importants, une plus grande implication des jeunes dans l'agriculture est nécessaire. Mais, cette révolution agricole aura un grand défi sur l'environnement en raison du taux élevé de changement climatique qui accompagne l'industrialisation et l'agriculture. Parce que la volaille a un faible potentiel de réchauffement planétaire, elle a un avantage sur les autres animaux ou le bétail comme les bovins, les moutons et les chèvres. En effet, la volaille a de faibles émissions de GES en raison de ses faibles taux de production de méthane entérique par rapport aux espèces animales ruminantes. En plus d'être bon marché, la volaille est nutritive et facilement commercialisable. En outre, il peut être une belle source d'investissement et de génération de revenus pour les jeunes Nigérians, s'il est correctement exploité. Il est donc conclu et recommandé que pour répondre à la demande toujours croissante d'emplois dans un environnement ayant moins de défis liés au changement climatique, diverses agences gouvernementales, banques, secteurs privés, société civile, sociétés coopératives rurales, agences de jeunesse au Nigéria avec l'aide de divers organismes donateurs internationaux peuvent collaborer et jouer un rôle plus facilitateur en accordant des prêts, des subventions et des services de vulgarisation adéquats pour garantir la sécurité alimentaire et l'autonomisation des jeunes dans un environnement respectueux de l'environnement grâce à une production avicole rentable.
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Merlière, Yvon. "L'évolution des attentes des consommateurs en matière de produits respectueux de l'environnement." Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 73, no. 1 (2014): 11. http://dx.doi.org/10.3917/re.073.0011.

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COUSTHAM, Vincent, Charlotte ANDRIEUX, Chloé CERUTTI, Anne COLLIN, Ingrid DAVID, Julie DEMARS, Guillaume DEVAILLY, et al. "Epigénétique, gènes et environnement : quelle importance pour les pratiques d’élevage et les méthodes de sélection des volailles ?" INRAE Productions Animales 36, no. 4 (December 20, 2023): 7384. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2023.36.4.7384.

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Abstract:
L'épigénétique est communément définie comme l’étude de l'ensemble des mécanismes moléculaires impliqués dans la régulation de l’expression des gènes qui sont réversibles et transmissibles au cours du développement et parfois entre générations, sans altérer la séquence de l'ADN. Plusieurs mécanismes épigénétiques sont maintenant bien connus, comme la méthylation de l'ADN, les variants et modifications post-traductionnelles des histones, ainsi que certains ARN non codants. Grâce au développement technologique du séquençage tout-génome, ces « marques » épigénétiques peuvent être étudiées à l'échelle du génome entier. Il est aujourd’hui clairement établi que l’épigénome, c'est-à-dire l'ensemble des marques épigénétiques d'un tissu, est sensible aux fluctuations de l’environnement, notamment la température ou l’alimentation. Des stratégies de programmation précoce des phénotypes reposant sur ces mécanismes épigénétiques sont ainsi envisagées comme levier pour adapter le phénotype ultérieur des individus à leurs conditions de vie. Par ailleurs, au cours des dernières décennies, la sélection génétique a contribué à l’amélioration considérable des performances des animaux. Bien que la composante génétique puisse être estimée avec précision, une grande partie de la variabilité phénotypique n'est pas directement accessible par les approches actuelles. Dans un contexte de diversification des environnements de production (changement climatique, modes de production plus respectueux du bien-être et de l'environnement), il est nécessaire de comprendre l'impact de l'environnement sur la variabilité phénotypique via les marques épigénétiques, pour optimiser les systèmes d'élevage et mieux prédire le phénotype d'un animal. Comme la sélection génomique il y a quelques années, l'apport de la recherche en épigénétique pourrait contribuer à rendre les systèmes de production avicole plus efficaces et plus durables.
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FRAÏSSE, Frédéric. "Recyclage de mélange PET/PC en vue de définir un procédé respectueux de l'environnement pour l'utilisation de profilés dans le bâtiment." Revue Française de Génie Civil 8, no. 1 (January 2004): 112. http://dx.doi.org/10.1080/12795119.2004.9692573.

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HAOUAT, Abdellah, and Omar AZZOUZ. "Substitution de Ciment pour Béton par des Pourcentages de Poudre de Marbre." International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, no. 4 (August 12, 2021): 552–59. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i4.122.

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Abstract:
Le but de cette étude est la valorisation des résidus minéraux en tant que substitution partielle du ciment qui entre dans la fabrication du béton. Il s'inscrit dans une démarche de développement durable. Il regroupe les résultats obtenus expérimentalement. L'utilisation des poudres de marbre en remplacement partiel du ciment Portland dans le béton permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre et génère un béton ayant un impact moindre sur l'environnement. En mettant à profit diverses techniques expérimentales, une attention particulière est accordée au comportement de la poudre de marbre finement broyée associée au ciment Portland avec addition de calcaire. Cette étude a confirmé l’amélioration des propriétés physiques des bétons avec l’ajout de poudre de marbre, ce qui laisse augurer de bonnes perspectives pour son utilisation comme substituant de ciment.
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Vayssières, Jonathan, Alexandre Thevenot, Mathieu Vigne, M. Cano, Anthony Broc, R. Bellino, Emilie Diacono, et al. "Evaluation des inefficiences zootechnique et environnementale pour intensifier écologiquement les systèmes d’élevage tropicaux. Etude de cas à la Réunion." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 73. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10117.

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Abstract:
Selon la FAO, l’élevage contribuerait à hauteur de 18 p. 100 aux émissions globales de gaz à effet de serre (GES) d’origine anthropique. Face à une population mondiale et une demande en produits animaux grandissantes, il s’agit de concevoir des systèmes d’élevage non seulement plus productifs mais également plus respectueux de l’environnement. Dans cette perspective, les consommations d’énergies non renouvelables (ENR) et les émissions de GES des principales productions animales de la Réunion (bovin lait, bovin viande, porc, volaille et lapin) ont été évaluées. Partant d’une méthode développée en France métropolitaine, il s’agissait de réévaluer les coefficients énergétiques et les facteurs d’émission en tenant compte des particularités du contexte et des systèmes d’élevage locaux. L’échantillon étudié comprenait 195 élevages, soit plus de 25 p. 100 des exploitations encadrées par les coopératives locales. Cette étude a montré que les inefficiences environnementales (consommations d’ENR et émissions de GES par kilogramme de produit animal) et l’inefficience zootechnique (quantités d’aliments concentrés consommés par kilogramme de produit animal) étaient corrélées positivement. Il est donc possible d’intensifier écologiquement les productions animales. De telles études sont rares dans les Suds ; leur essor suppose des adaptations méthodologiques encore plus importantes que celles menées dans le cas réunionnais, pour pouvoir évaluer des systèmes généralement peu mécanisés, à faible niveau d’intrants, mixtes, dont l’élevage est multifonctionnel et mobilise des formes d’énergies multiples.
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Condé, Yves, and Gérald Orange. "Les marchés de permis d'émission de gaz à effet de serre : efficacité de l'action publique ou privatisation de l'environnement ?" Politiques et management public 21, no. 3 (2003): 39–54. http://dx.doi.org/10.3406/pomap.2003.2810.

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Menia, Sabah, Ilyés Nouicer, Yasmina Bakouri, Abdelhamid M’raoui, Hammou Tebibel, and Abdallah Khellaf. "Production d’hydrogène par procédés biologiques." Oil & Gas Science and Technology – Revue d’IFP Energies nouvelles 74 (2019): 34. http://dx.doi.org/10.2516/ogst/2018099.

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Abstract:
L’hydrogène, s’il est produit à partir de matières premières renouvelables, est une source alternative viable pour remplacer les combustibles fossiles conventionnels en raison de son potentiel énergétique élevé (122 kJ/g). Quand l’hydrogène est utilisé comme carburant, son principal produit de combustion est l’eau, qui peut être recyclée pour produire plus d’hydrogène, mais contrairement aux combustibles fossiles, l’hydrogène n’est pas facilement disponible dans la nature et les méthodes de production couramment utilisées sont assez coûteuses. Actuellement, environ 98 % de l’hydrogène provient des combustibles fossiles. Globalement, 40 % de l’hydrogène est produit à partir de gaz naturel ou de reformage à la vapeur d’hydrocarbures, 30 % à partir de pétrole, 18 % à partir de charbon et 4 % partir d’électrolyse de l’eau. Cependant, ces processus sont coûteux et pas toujours respectueux de l’environnement. Les procédés biologiques pour la production d’hydrogène peuvent fonctionner dans des conditions opératoires moins énergivores et plus respectueuses de l’environnement par rapport aux méthodes chimiques conventionnelles. Cette approche est non seulement écologique, mais ouvre aussi de nouvelles voies pour l’exploitation de ressources énergétiques renouvelables illimitées. En outre, ils peuvent également utiliser différents déchets, ce qui facilite le recyclage des déchets. La production d’hydrogène biologique utilisant la biomasse riche en hydrates de carbone comme ressource renouvelable est l’une des différentes méthodes dans lesquelles les processus peuvent se produire via un processus anaérobie et un processus de photosynthèse. Dans cet article, les différents procédés biologiques de production de l’hydrogène sont décrits et comparés.
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Adeyemi, M. A., and E. O. Akinfala. "Greenhouse gas emissions from livestock and mitigation options in Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 5 (November 10, 2021): 328–42. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i5.3219.

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Abstract:
Greenhouse gases are becoming devastating on agriculture and environment because of its effect on climate and global warming. The aim of this review is to provide update on livestock greenhouse gases emission and rekindle available mitigation strategies. Recently, global warming and climate change have become one of the most discussed issues globally because of their negative effect on ecosystem worldwide. The livestock sub-sector as a major source of greenhouse gas emission, has been identified to contribute substantially to the recent rise in global warming and climate change. Livestock, most importantly ruminants plays a major role in the emission of methane, one of the potent greenhouse gases. This methane is usually released through enteric fermentation in animals and manure management system, though the latter account for smaller quantity. Estimate of methane emission inventory from livestock in Nigeria showed that 96.15 % of methane produced by livestock was by ruminants with cattle alone accounting for 74.06 %. With this background, strategies to date for reducing methane emissions should centre on ruminant. Efforts to reduce methane emissions from enteric fermentation generally focus on options for improving production efficiency. This has been demonstrated with intensive animal production systems. However, in Nigeria, this system has been successful only for non-ruminants while the extensive and semi extensive systems are being practiced for ruminants. In view of this, options for reducing emissions must be selected to be consistent with country-specific circumstances. Those circumstances should include animal management practices (including cultural traditions), nutrition and economic development priorities. Les gaz à effet de serre deviennent dévastateurs de l'agriculture et de l'environnement en raison de son effet sur le climat et le réchauffement de la planète. L'objectif de cet examen est de fournir une mise à jour sur les stratégies d'atténuation disponibles des gaz à effet de serre de bétail. Récemment, le réchauffement climatique et le changement climatique sont devenus l'une des questions les plus discutées à l'échelle mondiale en raison de leur effet négatif sur l'écosystème mondial. Le sous-secteur de l'élevage en tant que source majeure d'émissions de gaz à effet de serre, a été identifié pour contribuer de manière substantielle à la hausse récente du réchauffement de la planète et du changement climatique. Le bétail, plus important encore, les ruminants jouent un rôle majeur dans l'émission de méthane, l'un des gaz à effet de serre puissants. Ce méthane est généralement libéré par la fermentation entérique chez les animaux et le système de gestion de fumier, bien que ces derniers représentent une plus petite quantité. L'estimation des stocks d'émissions de méthane provenant du bétail au Nigéria a montré que 96,15% de méthane produites par le bétail étaient par des ruminants avec des bovins à eux-mêmes représentant 74,06%. Avec ce contexte, des stratégies à ce jour pour réduire les émissions de méthane doivent être centrées sur le ruminant. Les efforts visant à réduire les émissions de méthane de la fermentation entérique se concentrent généralement sur les options d'amélioration de l'efficacité de la production. Cela a été démontré avec des systèmes de production d'animaux intensifs. Cependant, au Nigéria, ce système n'a abouti que pour les non-ruminants tandis que les systèmes étendus et semi-étendus sont pratiqués pour les ruminants. Compte tenu de cela, les options de réduction des émissions doivent être sélectionnées pour être cohérentes avec des circonstances spécifiques à chaque pays. Ces circonstances devraient inclure des pratiques de gestion des animaux (y compris des traditions culturelles), des priorités de nutrition et de développement économique
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Vitrac, Richard, Marc Luyckx-Ghisi, and Maxime Vitrac. "L'Europe au cœur de la crise de l’humanité : Une approche systémique de la santé de l'Europe à partir de la relativité cognitive et systémique." Acta Europeana Systemica 8 (July 10, 2020): 205–24. http://dx.doi.org/10.14428/aes.v8i1.56373.

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Abstract:
La crise que traverse actuellement l'humanité est avant tout cognitive. Elle est née des progrès fulgurants de la science qui a bouleversé tout ce que nous croyions savoir depuis des siècles. L'Europe, berceau du monde moderne, est au coeur de cette crise. Elle est en recherche pour trouver une stratégie pour que l'humanité moderne naissance puisse grandir dans la paix et la connaissance. Les trois auteurs présentent ensemble trois aspects de cette stratégie. Richard Vitrac, auteur de la relativité cognitive et systémique (RCS), montre que l'être humain est appelé à se définir d'une façon cognitive et systémique et non plus d'une façon biologique. Ce changement de paradigme ouvre sur une réconciliation avec notre racine éternelle d'Homme, manifestation de JeSuis, notre Conscience Absolue d'exister qui est le Pilote universel, présent au cœur de tous les systèmes de l'univers, leur donnant la conscience et la vie. Ce Pilote est l'Observateur de la relativité. C'est Lui qui fait naître l'Homme en nous. Cette prise de conscience de l'Homme en nous fait que nous serons conduits à donner moins de place à notre réussite matérielle et plus de place à notre développement personnel (I).Marc Luyckx-Ghisi analyse les maladies de l'Europe actuelle liées à l'absence de pouvoir politique de l'Union Européenne. Sans pouvoir politique, l'UE est condamnée à subir les diktats des grands pays, et se trouve incapable de mener une politique économique, financière et de sécurité. Mais l'UE pourrait se doter d'un pouvoir politique, si elle parvient à "réenchanter les Européens" vis-à-vis d'un nouveau projet social solidaire et strictement respectueux de l'environnement. A cette condition, une nouvelle ère pourrait commencer pour une Union Européenne qui deviendrait capable désormais de rétablir un contrôle sur les finances et sur l'économie, et concevoir une nouvelle politique de défense et de sécurité (II).Reste à savoir quel chemin politico-économique et spirituel sera le meilleur en termes systémiques... et pour la systémique. Maxime Vitrac rappelle le “déjà-là” des nouvelles valeurs et perspectives de développement émer-gentes mais surtout les nouvelles promesses que permet la notion de “pilote” pour une systémique opération-nelle renouvellée. Il appelle les systémiciens à construire dans une visée prospective un plan de changement stratégique adapté aux enjeux soulevés dans les deux premiers chapitres et par le congrès UES. La dignité retrouvée de l'être humain rendra alors possibles un réenchantement des sciences et de nouveaux buts d'intérêt général (III).
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HOCQUETTE, J. F., P. MAINSANT, J. D. DAUDIN, I. CASSAR-MALEK, D. RÉMOND, M. DOREAU, P. SANS, et al. "La viande du futur sera-t-elle produite in vitro ?" INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 363–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3164.

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La production de viande artificielle par culture de cellules est proposée par certains scientifiques comme une des solutions pour répondre aux grands enjeux de l’élevage : i) réduire le mal-être supposé des animaux dans les élevages modernes, voire ne pas tuer les animaux pour les manger, ii) réduire la possible dégradation de l’environnement par l’élevage et iii) réduire la faim dans le monde en augmentant le niveau des ressources protéiques alimentaires. La viande artificielle supprimerait en effet le mal-être supposé des animaux lié à l’élevage et permettrait de ne pas abattre les animaux pour les manger. L’impact environnemental de la viande artificielle est difficile à évaluer en l’absence de données sur le fonctionnement d’une usine de production. La viande artificielle présenterait toutefois un intérêt modéré pour réduire les gaz à effet de serre et la pollution par les nitrates, un intérêt limité quant à l’utilisation des énergies fossiles, voire très limité pour limiter les besoins en eau, mais elle libérerait des terres cultivables. Elle entraînerait probablement dans l’eau des résidus de molécules de synthèse. De nombreux experts estiment que les causes de la malnutrition actuelle de certaines populations sont multiples et ne sont pas directement liées à un manque de ressources alimentaires. Bien que la culture de cellules soit couramment pratiquée en laboratoire, il existe des verrous techniques importants à lever pour une production à grande échelle, tels que le coût rédhibitoire des technologies actuelles et le manque de ressemblance du produit obtenu à de la viande issue d’animaux. Sur le plan nutritionnel, la viande artificielle ne présente pas d’avantage particulier par rapport à un autre aliment élaboré à partir de l’ensemble des nutriments nécessaires à sa production. Les critères d’acceptabilité de la viande artificielle renvoient, d’une part, à des questions d’ordre moral ou éthique concernant la technologie et les inquiétudes qu’elle soulève, et d’autre part, à des considérations classiques relatives aux produits alimentaires (prix, qualité, naturalité…). Par le passé, les expériences de substitution des protéines animales par des produits analogues ont échoué en raison, notamment, de contraintes économiques, du temps nécessaire pour l’éventuelle acceptation des produits par les consommateurs et pour la délivrance des autorisations de mise sur le marché. Face aux questionnements importants concernant l’élevage, la production de viande artificielle ne présente pas aujourd’hui d’avantages majeurs par comparaison à la viande naturelle ou à d’autres alternatives possibles telles que rééquilibrer notre alimentation en diversifiant les sources de protéines végétales et animales, ou encore développer des systèmes d’élevage plus respectueux des animaux et de l’environnement.
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Peyen, Loïc. "Gaz de schiste et interdiction de la fracturation hydraulique. Principe de précaution et de prévention -Charte de l'environnement. Conseil constitutionnel, décision n° 2013-346 QPC du 11 octobre 2013, Société Schuepbach Energy LLC, JORF n° 0239 du 13 octobre 2013, p. 16905, texte n° 20. Avec note." Revue Juridique de l'Environnement 39, no. 1 (2014): 91–106. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2014.6235.

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Andrieu, Nadine, Eduardo Chia, and Eric Vall. "Recherche et innovations dans les exploitations de polyculture-élevage d’Afrique de l’Ouest Quelles méthodes pour évaluer les produits de la recherche ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10116.

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Abstract:
Alors que l’invention peut se définir comme la découverte d’un principe, l’innovation peut être définie comme l’adoption de ce principe par une population (1, 2, 3, 17). En Afrique de l’Ouest, la grande majorité des inventions et leur traduction fréquente en propositions techniques de la recherche pour intensifier les systèmes mixtes agriculture-élevage ont été peu ou n’ont pas été intégrées dans les systèmes de production (11, 13, 14, 18, 21, 23). Ce constat d’échec a amené la recherche à s’interroger sur ses démarches de conception et d’évaluation de ses propositions et à impliquer davantage les acteurs de terrain dans la formulation des problèmes et l’élaboration des solutions dans le cadre de recherches participatives (5, 8, 10, 12, 15, 16). L’analyse des facteurs d’adoption des inventions constitue un premier champ au sein des méthodes d’évaluation existantes. L’objectif est d’identifier les facteurs économiques, institutionnels, structurels ou sociotechniques qui favorisent le passage de l’invention à l’innovation (4, 20). Des outils de modélisation peuvent aussi être utilisés pour analyser le profil des populations susceptibles d’adopter telle ou telle technologie (7, 24). Les méthodes de diagnostic des impacts de la recherche constituent un deuxième champ d’évaluation. Il s’agit d’analyser les effets, prévus ou non, des propositions de la recherche quand elles sont expérimentées sur le terrain ou adoptées (19). La modélisation peut là encore s’avérer un outil puissant pour explorer les impacts potentiels des propositions de la recherche avant leur mise en oeuvre effective au sein des systèmes de production (6, 9, 22). L’objectif de ce numéro thématique est de passer en revue différents travaux sur l’évaluation des propositions de la recherche, récemment réalisés en zone agropastorale d’Afrique de l’Ouest, afin de définir comment concevoir et évaluer des innovations dans cette région. Les contributions se basent sur différentes études menées non seulement dans le domaine de la production et de la santé animales mais aussi dans celui des productions végétales intimement liées à l’élevage dans les systèmes mixtes étudiés. Elles abordent également la gestion socio-économique des exploitations et, en particulier, intègrent les projets des producteurs. Cette diversité de terrains et d’approches permet d’enrichir la réflexion sur les méthodes d’évaluation des innovations dans les systèmes d’élevage et dans les systèmes agro-sylvo-pastoraux de cette région. Les trois premiers articles s’intéressent aux facteurs d’adoption des produits de la recherche. Bouyer et coll. analysent les facteurs ayant joué sur l’adoption d’une nouvelle méthode de lutte sanitaire acaricide en milieu paysan au Burkina Faso. Ngondjeb et coll. étudient les facteurs d’adoption de techniques de lutte contre l’érosion hydrique des sols en zone cotonnière du Cameroun. Dans des contextes de changements socio-économiques induisant des stratégies adaptatives de producteurs camerounais, Pedelahore et coll. s’interrogent sur la place de processus d’intensification promus par la recherche. Ces méthodes fournissent des pistes pour mieux caractériser la diversité des besoins et des contraintes des populations cibles. Les autres travaux concernent surtout les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche. Ces évaluations sont prospectives pour deux articles : les travaux de Dabire et coll. explorent les impacts potentiels de la prévision saisonnière des pluies sur les performances économiques des exploitations familiales burkinabés ; ceux de Deffo et coll. évaluent les effets de différents systèmes de culture sur la durabilité des exploitations. L’article de Sempore et coll. combine évaluation prospective et évaluation ex post, respectivement avant et après l’expérimentation d’ateliers d’embouche chez des agroéleveurs. Trois articles analysent a posteriori les impacts de propositions expérimentées ou adoptées par les producteurs : Blanchard et coll. mesurent l’impact de l’utilisation raisonnée de la fumure organique au champ sur les rendements et les revenus de producteurs burkinabés ; Fokou et coll. explorent les liens entre, d’une part, les innovations technologiques et organisationnelles et, d’autre part, les relations de pouvoir dans des systèmes de production laitiers du Mali. Enfin, en s’inspirant d’une méthode expérimentée à la Réunion (France), Vayssières et coll. cherchent à mieux prendre en compte les consommations énergétiques et les émissions de gaz à effet de serre dans les exploitations d’élevage d’Afrique de l’Ouest dans la conception de systèmes agropastoraux plus respectueux de l’environnement. L’objectif global de ces travaux est de consolider les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche pour sélectionner les propositions qui contribuent le mieux au développement durable des systèmes agro-sylvo-pastoraux d’Afrique de l’Ouest.
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Iyiola-Tunji, A. O. "Climate-smart livestock production: options for Nigerian farmers." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 4 (March 8, 2021): 136–48. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.3005.

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This paper is focused on reviewing the three key pillars of climate-smart agriculture (CSA) in relation to livestock production (i.e., increased productivity, mitigation of greenhouse gases emissions and adaptation to climate change) while exploring the development intervention options for Nigerian livestock farmers. The most serious impacts of climate change are anticipated in grazing systems because of their dependence on climatic conditions and the natural resource base, and their limited adaptation opportunities. Impacts are expected to be most severe in arid and semi-arid grazing systems at low latitudes, where higher temperatures and lower rainfall are expected to reduce yields on range lands and increase land degradation. The dual pathways of responses between climate change and livestock production activities were depicted in this review. It is of note that climate change as a natural phenomenon works on the principle of causes and effect. The actions and in-actions of man will dictate the type of results obtainable in his immediate environment. Means by which livestock farmers can mitigate the GHGs and adapt to the effect of climate changes were discussed in this paper. Concerted efforts at ameliorating the effect of climate change on livestock production are needed. The smart options for rearing livestock are capable of mitigating the attendant effect of production activities of the stocks, reducing the stress obtainable from altered environment and ensuring food security. Nigeria as a country will need to evolve policies that will ensure promotion and subsequent adoptions of technologies that are smart in terms of increasing productivity of farm animals, reducing emissions of GHG and positively altering the effect of climate change. Cet article se concentre sur l'examen des trois piliers clés de l'agriculture intelligente face au climat (ASC) en relation avec la production animale (c.-à-d. Augmentation de la productivité, atténuation des émissions de gaz à effet de serre et adaptation au changement climatique) tout en explorant les options d'intervention de développement pour les éleveurs nigérians. Les impacts les plus graves du changement climatique sont anticipés dans les systèmes de pâturage en raison de leur dépendance aux conditions climatiques et de la base de ressources naturelles, et de leurs possibilités d'adaptation limitées. Les impacts devraient être les plus graves dans les systèmes de pâturage arides et semi-arides à basses latitudes, où des températures plus élevées et des précipitations plus faibles devraient réduire les rendements sur les pâturages et augmenter la dégradation des terres. Les doubles voies de réponses entre le changement climatique et les activités de production animale ont été décrites dans cette revue. Il est à noter que le changement climatique en tant que phénomène naturel fonctionne sur le principe des causes et des effets. Les actions et les in-actions de l'homme dicteront le type de résultats pouvant être obtenus dans son environnement immédiat. Les moyens par lesquels les éleveurs peuvent atténuer les GES et s'adapter aux effets des changements climatiques ont été discutés dans ce document. Des efforts concertés pour atténuer les effets du changement climatique sur la production animale sont nécessaires. Les options intelligentes pour l'élevage du bétail sont capables d'atténuer l'effet connexe des activités de production des stocks, de réduire le stress résultant de l'altération de l'environnement et d'assurer la sécurité alimentaire. Le Nigéria, en tant que pays, devra élaborer des politiques qui assureront la promotion et l'adoption ultérieure de technologies intelligentes en termes d'augmentation de la productivité des animaux d'élevage, de réduction des émissions de GES et de modification positive des effets du changement climatique.
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BAUMONT, René, and Jean-Louis PEYRAUD. "avant-propos." INRA Productions Animales 28, no. 1 (January 10, 2020): 3–4. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.1.3005.

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Abstract:
Dans un contexte économique incertain et face à des demandes sociétales de plus en plus pressantes, les filières animales ont des défis majeurs à relever : assurer leur compétitivité et la viabilité économique des élevages ens’adaptant à l’ouverture des marchés et à une plus grande volatilité des prix ; reconstruire un modèle social en repensant l’acceptabilité de l’élevage et le métier d’éleveur ; produire des aménités reconnues par la société enlimitant les effets négatifs sur l’environnement et en qualifiant les services écosystémiques et patrimoniaux produits par les activités d’élevage. Répondre à ces enjeux nécessite de mettre en place de nouveaux modes de partenariats entre les acteurs. Le Groupement d’Intérêt Scientifique (GIS) « Elevages Demain » crée en 2010 (www.gis-elevages-demain.org) et dédié aux systèmes de production animale (ruminants, porcs et volailles) à hautes performances économiques,environnementales et sociétales, rassemble quatorze partenaires de la recherche, du développement et des filières professionnelles. Cette démarche s’inscrit dans la volonté de l’ensemble des acteurs des filières animales derépondre ensemble aux défis posés à l’élevage afin de proposer de nouveaux modèles productifs, économiquement viables, respectueux de l’environnement et socialement acceptables et équitables, en un mot : durables. Lesorganismes initiateurs du GIS « Elevages Demain » se fixent donc comme objectif de définir les conditions d’une meilleure compatibilité entre les différentes catégories de performances (techniques, économiques, environnementales, sociales) des systèmes de production animale et de proposer des solutions qui soient innovantes et adaptées à la variété des contextes territoriaux et des filières. Les actions de recherche conduites par le GIS « Elevages Demain » s’organisent autour de quatre axes thématiques : i) les relations entre élevage, filières et territoire, avec une action sur les services rendus par l’élevage et une autre sur l’emploi dans les filières animales ; ii) les relations entre l’élevage et la société avec une action visant à recenser et à analyser les principales controverses ; iii) l’évaluation multicritère de la durabilité des systèmes d’élevage avec l’élaboration d’un guide méthodologique réalisé en commun avec le GIS « Grandes cultures à hautes performances économiques et environnementales » et iv) la conduite des animaux et des systèmes d’élevage avec des actions sur le phénotypage animal (avec le GIS Agenae), l’élevage de précision et l’agro-écologie en élevage.Les Réseaux Mixtes Technologiques du domaine de l’élevage constituent une autre forme de partenariat qui a pour objectif de constituer des pôles d’expertises pour les professionnels de l’élevage et les pouvoirs publics en stimulant les synergies entre disciplines, filières et territoires et sur des domaines précis, tels que l’économie des filières d’élevage, le travail en élevage, l’élevage et l’environnement, le bien-être animal, les bâtiments d’élevage etc...A travers son objectif de synthétiser les connaissances et de diffuser les résultats de la recherche sur les productions animales à un large public, la revue INRA Productions Animales s’efforce d’apporter régulièrementdes contributions pour éclairer le débat scientifique et sociétal sur les enjeux et les défis que doivent relever les productions animales. Ce fut le cas du dossier consacré aux « Gaz à effet de serre en élevage bovin », des numérosspéciaux sur le « Travail en élevage » ou sur « Quelles innovations pour quels systèmes d’élevage ? » pour ne citer que quelques exemples récents. C’est pourquoi nous avons souhaité réunir dans ce premier numéro de l’année2015 quatre articles complémentaires : - Le premier, issu d’un travail mené dans le RMT « Economie des filières animales », propose un état des lieux précis et une analyse détaillée des facteurs explicatifs de la spécialisation territoriale et de laconcentration des productions animales européennes. Il pose ainsi clairement un certain nombre d’enjeux relatifs aux services et aux « dys-services » rendus par les productions animales et à l’acceptabilité de cette concentration par la société ; - Le deuxième, issu d’un groupe de travail du GIS « Elevages Demain », propose une méthodologie originale pour identifier, qualifier et évaluer les multiples services économiques, environnementaux, sociaux et culturels rendus par les activités d’élevage. Cet article pose ainsi un certain nombre de questions de recherche pour progresser dans la quantification et l’évaluation de ces services ;- Le troisième, également issu d’un groupe de travail du GIS « Elevages Demain », présente le recensement et l’analyse des principales controverses qui traversent la société sur l’élevage à partir du regard croisé de différents acteurs. Cet article pose aussi de nombreuses questions de recherches sur les déterminants des attentes de la société vis-à-vis de l’élevage et sur les mécanismes permettant de résoudre ces controverses. - Le quatrième, issu du travail conduit par l’INRA dans le cadre de l’étude commanditée par le Commissariat Général à la Stratégie et à la Prospective, propose une méthodologie de conception et d’évaluation de systèmes de production multiperformants, c’est-à-dire conjuguant performances productives, économiques, environnementales et sociales. En s’appuyant sur un large répertoire de pratiques agricoles élémentaires dont l’impact a été qualifié sur les différentes catégories de performances, cette méthode se veut applicable à une large diversité d’orientations productives. Enfin, nous avons souhaité clore ce numéro avec un texte, issu d’une réflexion menée dans le GIS « Elevages Demain », sur les réseaux de référence en élevage et leur avenir. Ces dispositifs constituent de réelles infrastructures immatérielles de recherche et développement, et dans un contexte budgétaire contraint, il importe de les faire évoluer pour mieux répondre aux nouvelles attentes en lien avec la durabilité des élevages.
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Masmoudi, Mounira, Mohamed-Rissel Khelifa, Ousmane Hisseine, Slimane MS Metiche, and Radhouane Masmoudi. "Propriétés physico-chimiques et performances mécaniques de bétons renforcés par des fibres végétales." Canadian Journal of Civil Engineering, May 6, 2024. http://dx.doi.org/10.1139/cjce-2023-0418.

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Abstract:
Cette étude vise à évaluer la capacité des fibres (chanvre et alfa) à améliorer les propriétés mécaniques du béton, dans le but de créer un béton respectueux de l'environnement. Les bétons ont été incorporés avec des teneurs de 0.25 %, 0.5 % et 1% (en volume) en fibres de chanvre, plus une dose de 0.5 % (en volume) de fibres d'alfa et ainsi qu’un béton ordinaire. Les résultats montrent que l'utilisation des fibres de chanvre et d'alfa permet une meilleure augmentation de la résistance à la traction par fendage par rapport au béton ordinaire. De plus, l'augmentation de la résistance à la flexion pour le béton de fibres de chanvre avec une teneur optimale de 0.25%. Aussi, le module d'élasticité dynamique du HFC-0.25 est proche ou égal à celui du béton ordinaire Nous concluons que les fibres végétales de chanvre et d'alfa sont des candidats potentiels pour produire du béton vert.
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RÉMOND, Didier. "Quelle place pour les produits animaux dans l’alimentation de demain ?" INRA Productions Animales, June 5, 2019. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2019.32.2.2500.

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Abstract:
L’image de l’élevage et des produits alimentaires d’origine animale n’a cessé de se dégrader suite aux crises sanitaires successives, aux problèmes de pollution, et plus récemment à la dénonciation de pratiques d’élevage et d’abattage ne respectant pas le bien-être animal. En réponse à cette détérioration d’image, des modes de consommation « alternatifs » se développent, allant du flexitarisme au végétalisme. Il faut cependant rappeler que sur le plan nutritionnel, en raison de la qualité de leur apport en protéines et minéraux (calcium, fer, zinc), et de leur spécificité dans l’apport en vitamine B12 et en acides gras polyinsaturés à longue chaine, la présence de produits animaux dans l’alimentation garantit une couverture optimale des besoins de notre organisme. Bien que souvent attaqués sur le plan de la santé, il faut également rappeler que les études épidémiologiques ne mettent pas en évidence d’effet négatif de leur consommation lorsque celle-ci est modérée (moins de 50 % de l’apport protéique journalier, moins de 500 g de viande rouge par semaine). Il est clair cependant que dans les pays occidentaux, une consommation excessive de produits animaux a pu déséquilibrer l’alimentation et favoriser l’émergence de pathologies non transmissibles. Aussi, pour les gros consommateurs de produits animaux, une réduction de consommation s’impose. Celle-ci entrainerait une importante réduction (– 30 %) de l’impact environnemental des productions animales. Un élevage respectueux des animaux, minimisant les émissions de gaz à effet de serre et les rejets azotés et maximisant l’utilisation de produits végétaux non consommables par l’Homme, associé à une consommation humaine raisonnable, garantira le maintien des produits animaux dans l’alimentation de demain.
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Duru, Michel, and Olivier Thérond. "L’évaluation des systèmes agricoles à l’aune des services écosystémiques et de l’économie circulaire." Agronomie, environnement & sociétés 11, no. 1 (June 15, 2021). http://dx.doi.org/10.54800/ccg203.

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Plusieurs formes d’agriculture ont récemment émergé pour faire face aux externalités négatives de l'agriculture. Certaines visent à réduire les impacts. D'autres comme l'agroécologie propose de fonder l’agriculture sur les services écosystémiques. De ce fait, il coexiste actuellement deux grilles d'évaluation mal articulées caractérisant, l'une les impacts sur les ressources naturelles et l'environnement, l'autre les services fournis par la biodiversité à l'agriculture et à la société (séquestration du carbone...). Nous présentons un cadre d'analyse basé sur les services écosystémiques et l'économie circulaire, articulant ces deux démarches, pour évaluer les systèmes agricoles. Puis, à partir des données de la littérature, nous comparons trois exemples : agriculture raisonnée (AR), biologique (AB) et de conservation des sols (ACS). Nous montrons que l'AB a des impacts plus importants que l'AC et l'ACS lorsque l’on considère les indicateurs les plus couramment considérés (émissions de gaz à effet de serre, besoin en terre). Par contre, les résultats sont revisités pour les services à la société : plus faibles pour l'AR, et plus élevés pour l’AB et l'ACS. Une évaluation similaire est faite pour les systèmes d'élevage. Nous discutons comment ces évaluations pourraient être mobilisées par les politiques publiques pour relever les grands défis à l'agenda de l’agriculture. Mots-clés : agroécologie, biodiversité, bioéconomie, évaluation multi-crières, services écosystémiques
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Dembele, Simon Pierre, Ladjel Bellatreche, Carlos Ordonez, Nabil Gmati, Mathieu Roche, Tri Nguyen-Huu, and Laurent Debreu. "Big Steps Towards Query Eco-Processing - Thinking Smart." Revue Africaine de la Recherche en Informatique et Mathématiques Appliquées Volume 34 - 2020 - Special... (March 30, 2021). http://dx.doi.org/10.46298/arima.6767.

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Soumission à Episciences International audience Computers and electronic machines in businesses consume a significant amount of electricity, releasing carbon dioxide (CO2), which contributes to greenhouse gas emissions. Energy efficiency is a pressing concern in IT systems, ranging from mobile devices to large servers in data centers, in order to be more environmentally responsible. In order to meet the growing demands in the awareness of excessive energy consumption, many initiatives have been launched on energy efficiency for big data processing covering electronic components, software and applications. Query optimizers are one of the most power consuming components of a DBMS. They can be modified to take into account the energetical cost of query plans by using energy-based cost models with the aim of reducing the power consumption of computer systems. In this paper, we study, describe and evaluate the design of three energy cost models whose values of energy sensitive parameters are determined using the Nonlinear Regression and the Random Forests techniques. To this end, we study in depth the operating principle of the selected DBMS and present an analysis comparing the performance time and energy consumption of typical queries in the TPC benchmark. We perform extensive experiments on a physical testbed based on PostreSQL, MontetDB and Hyrise systems using workloads generatedusing our chosen benchmark to validate our proposal. Les ordinateurs et les machines électroniques des entreprises consomment une quantité importante d’électricité, libérant ainsi du dioxyde de carbone (CO2), qui contribue aux émissions de gaz à effet de serre. L’efficacité énergétique est une préoccupation urgente dans les systèmesinformatiques, partant des équipements mobiles aux grands serveurs dans les centres de données, afin d’être plus respectueux envers l’environnement. Afin de répondre aux exigences croissantes en matière de sensibilisation à l’utilisation excessive de l’énergie, de nombreuses initiatives ont été lancées sur l’efficacité énergétique pour le traitement des données massives couvrant les composantsélectroniques, les logiciels et les applications. Les optimiseurs de requêtes sont l’un des composants les plus énergivores d’un SGBD. Ils peuvent être modifiés pour prendre en compte le coût énergétique des plans des requêtes à l’aide des modèles de coût énergétiques intégrés dans l’optimiseur dans le but de réduire la consommation électrique des systèmes informatiques. Dans cet article, nousétudions, décrivons et évaluons la conception de trois modèles de coût énergétique dont les valeurs des paramètres sensibles à l’énergie sont définis en utilisant la technique de la Régression non linéaire et la technique des forêts aléatoires. Pour ce fait, nous menons une étude approfondie du principe de fonctionnement des SGBD choisis et présentons une analyse des performances en termes de temps et énergie sur des requêtes typiques du benchmarks TPC-H. Nous effectuons des expériences approfondies basées sur les systèmes PostgreSQL, MonetDB et Hyrise en utilisant un jeu de données généré à partir du benchmarks TPC-H afin de valider nos propositions.
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"Production de gaz liquéfiés. Installation classée soumise à autorisation. Prescriptions additionnelles postérieures à l'arrêté d'autorisation dans un but de préservation de la sécurité publique. Exercice par le juge de son pouvoir d'administrateur. Modification des prescriptions. Cour administrative d'appel de Nancy, 10 juin 1993 Ministre de l'Environnement c/ Société de production de gaz liquéfiés." Revue Juridique de l'Environnement 20, no. 1 (1995): 107–9. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1995.3145.

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"Compétence du ministre de l'Environnement pour fixer des règles en vue d'assurer la sécurité publique. Article 7 de la loi du 19 juillet 1976. Fixation par arrêté ministériel de règles d'éloignement et capacité des réservoirs de gaz liquéfié. Méconnaissance des attributions reconnues au préfet par l'article 6 de la loi (non). Conseil d'état, 24 mai 1993 Union des industries chimiques et autres." Revue Juridique de l'Environnement 18, no. 4 (1993): 621–22. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1993.3024.

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