Dissertations / Theses on the topic 'France. Ministère de la maison du roi'

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Mauduit, Xavier. "Le ministère du faste : la maison du président de la République et la maison de l'empereur (1848-1870)." Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010571.

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Abstract:
« La fête impériale» est sans doute l'expression qui, aujourd'hui encore, est le plus souvent utilisée pour caractériser le Second Empire, le régime qui a mis en place et magnifié la dernière cour officielle qu' ait connue la France. En effet, dès son élection à la présidence de la République en décembre 1848, Louis-Napoléon Bonaparte porte une attention particulière à la mise en scène de son pouvoir. Une fois l'Empire rétablit, en décembre 1852, Napoléon III réinvente une tradition caractéristique des monarchies: la Maison de l'empereur. Cette institution, organisée par un ministère, dispose de moyens financiers considérables et de milliers d'hommes et de femmes, officiers de la couronne et domestiques, au service d'un prestige que l'empereur utilise pour produire de la légitimité. La Maison de l'empereur peut donc être vue comme une machine politique construite pour capter les élites et pour fasciner le peuple par une économie de l'image du pouvoir dont la République a ensuite su tirer partie.
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Gibiat, Samuel. "Hiérarchies sociales et ennoblissement : les commissaires des guerres de la Maison du roi, 1691-1790 /." Paris : École des Chartes, 2006. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb402100648.

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Abstract:
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Paris--École pratique des hautes études, 2001. Titre de soutenance : Hiérarchies sociales et ennoblissement au XVIIIe siècle : l'exemple des commissaires des guerre de la Maison du roi, 1691-1790.
En appendice, choix de documents. Bibliogr. p. 701-710. Notes bibliogr. Index.
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Lemaigre-Gaffier, Pauline. "Du coeur de la Maison du Roi à l'esprit des institutions : l'administration des Menus Plaisirs au XVIIIe siècle." Paris 1, 2011. https://buadistant.univ-angers.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/book/88831962.

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Abstract:
L'État monarchique étant indissociable d'une cour où se déploie la représentation royale, restituer l'esprit de ses institutions impose d'analyser la gestion de l'espace aulique, institution sociale, économique et politique se traduisant dans une structure administrative. Attachés à la personne du souverain, chargés des décors des fêtes de cour et des rituels d'État, exerçant la tutelle royale sur les Comédies Française et Italienne, les Menus Plaisirs participent du développement de l'administration centrale, du fait d'un durable emboîtement du domestique et du politique, concrétisé par la structure du Secrétariat d'État de la Maison du Roi dont ils dépendent. Ce terrain d'exploration manifeste ainsi comment la monarchie mit les mutations administratives et organisationnelles des Lumières au service des objectifs spécifiques : intégrer public et privé, sacré et profane, exceptionnel et quotidien dans un cérémonial englobant ; faire cohabiter une conception traditionnelle du service avec des procédures d'objectivation des relations, des attributions et des fonctions. La thèse étudie successivement la construction historique et discursive des compétences de l'administration, ses pratiques documentaires et comptables, les dispositifs de coordination et les choix d'allocation de la dépense. . Elle fait apparaître le cérémonial royal comme un jeu d'échanges intellectuels et matériels où se noue l'articulation du service du roi et du service du public. L'art dramatique y joue un rôle significatif : à l'importance accrue de sa place dans le spectacle monarchique, à l'internalisation de la production de ses conditions de représentation répond l'émergence d'une politique du théâtre.
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Masson, Rémi. "La Maison militaire du roi : d'une garde domestique à une élite militaire (ca. 1610-ca. 1715)." Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010672.

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Abstract:
Au début de l’époque moderne, la Maison militaire du roi n’était qu’une simple garde personnelle du souverain et de la famille royale. Elle est toutefois devenue le fer de lance de l’armée des rois de France, dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Elle fit ensuite face à un déclin irrémédiable jusqu’à la Révolution. C’est à partir du règne de Louis XIII que la Maison du roi connut une véritable impulsion. Elle ne s’organisera cependant qu’avec le gouvernement personnel de Louis XIV, qui destina les corps de sa garde à devenir des troupes d’élite. Ils devaient servir à la tête de l’armée et fournir des officiers qualifiés, tout en assurant par quartier la protection rapprochée du souverain et de sa famille. L’objectif de cette recherche est de mettre en lumière comment furent établies puis organisées les premières unités d’élites de l’armée créées en tant que telles. Il s’agit aussi de montrer comment la Maison du roi illustra la prise en main de l’appareil militaire par Louis XIV, notamment à travers le compromis qui s’établit, au sein du corps le plus prestigieux de l’armée, entre naissance et mérite
At the beginning of the Modern Times, the military household of the king of France was a mere personal guard of the sovereign and the royal family. Yet, in the second part of the XVIIe century, it became the head of the French army. The Maison du roi exerienced a real boost from the reign of Louis XIII onwards. However, it is actually with Louis XIV that this institution gathered the elite units of the army. These units were to serve as the head of his army and provide qualified officers, as well as close protection of the sovereign and his familiy. The objective of this research is to highlight the creation and organisation of the first elite units of the French army. This research also focuses on how the king’s military household illustrated the grip of the military by louis XIV, particulary through the compromise, which is established in the most prestigious body of the army between birth and merit
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Gibiat, Samuel. "Hiérarchies sociales et ennoblissement au XVIIIè siècle : l'exemple des commissaires des guerres de la Maison du roi, 1691-1790." Paris, EPHE, 2001. http://www.theses.fr/2001EPHE4034.

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Abstract:
De 1691 à 1790, les cent dix-sept commissaires des guerres de la Maison militaire du roi de France ont illustré le modèle social emblématique et pérenne de l'ennoblissement par la fusion dans la société militaire. Titulaires d'une charge commensale essentiellement honorifique et souvent proche de la sinécure, ces officiers de plume se sont progressivement enfermés dans un univers de représentations, où les revues de subsistances des corps de troupe de la Maison militaire du roi -qui constituait le principe même de leur autorité- devinrent un jeu symbolique, où était supposée s'exercer la fonction illusoire de " juge et police ". Ainsi la Maison du roi formait-elle un microcosme du second ordre, dans lequel l'aristocratie de cour recevait le monopole des fonctions de commandement mais aussi d'administration des corps, et offrait-elle un exemple frappant de la transposition étroite de la hiérarchie sociale au sein de la hiérarchie professionnelle. L'histoire des offices, en dépit de similitudes avec l'essor général de marché des charges de chancellerie et de finance, est surtout révélatrice de la faculté remarquable d'adaptation et de perpétuation d'un groupe hétérogène, dépourvu de culture professionnelle et peu structuré, au travers de l'émergence tardive d'un esprit de corps exclusivement fondé sur la défense de privilèges et de prérogatives communes. Cependant, la hiérarchie de vingt offices entre eux témoigne en permanence, au sein d'un corps peu nombreux, d'une logique de classe, qui se superposait à la hiérarchie du rang, caractéristique de la société d'ordres. En dépit de l'hétérogénéité de l'origine des familles et des nivaux de richesse, la convergence des pratiques matrimoniales conduite tant par les parents des commissaires que par ces derniers montre leur attachement à l'ancienne hiérarchie des valeurs, en épit de la remise en cause des vertus de la naissance et du sang noble et malgré l'ascendant pris par le monde des financiers dans le recrutement du corps. Ainsi les commissaires des guerres de la Maison du roi incarnent-ils l'archétype d'une lite de second rang, non capitaliste. Ils formaient assurément le creuset d'une dynamique sociale lente, où la réussite de l'ascension était conditionnée par la stratégie matrimoniale des familles et restait étroitement tributaire de la fortune héritée
From 1691 to 1790, military commissioners of the Household troops presented a social pattern of lasting ennoblement by merging into the military. As holders of mainly honorific offices, close with sinecures, they gradually limited themselves to a world of representations, in which household troops supply reviews –their unique source of authority- had acquired a symbolic value centred on their illusive function as juges de police. Eventually the Household troops appeared as a microcosm of nobility: court aristocrats monopolized the commanding and administering functions, thus offering a typical example of transfer from professional into social hierarchy. In spite of similarities with the global market of royal secretary ship and fiscal offices and in spite of the persistency of a class ladder superimposed on the Ancien Régime hierarchy of ranks, the story of the twenty different offices of such a small unit was characteristic of the ability of an heterogeneous group to adapt itself and to survive through the progressive growth of an esprit de corps when their privileges and prerogatives were endangered. The similar matrimonial strategies of the commissioners' parents and of the commissioners themselves proved their respect of traditional values, however different might have been their family origin or wealth level and whatever might have been the progress of Enlightenment and the growing influence of the world of finance on their recruitment. The military commissioner of the Household troops thus appears as typical of non capitalistic middle class elite. Clearly they were the melting-pot of a group, in which social climbing was strictly subordinated to matrimonial strategy and inherited wealth
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Armengol-de, Laverny Sophie. "Les domestiques commensaux du Roi au XVIIe siècle." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040051.

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Abstract:
Les domestiques commensaux servent les personnes physiques du roi et de sa famille. En échange de ce service, ils sont nourris, blanchis et bien souvent logés près de leur maitre. Originaires de toutes les strates sociales du royaume, ils forment un ensemble socialement hétérogène. L'intimité qu'ils partagent avec le prince, les nombreux privilèges commensaux, les amitiés de cour avantageuses, l'importance politico-stratégique de leurs charges leur permettent d'effectuer un véritable bond social. Cette perspective avantageuse et l'amour qu'ils portent à leur maitre unissent fortement ces domestiques commensaux socialement pourtant si disparates
The commensals are the domestic servants of the king and his family. In return, they get board, laundering and quite often lodging. They form a heterogeneous group since they represent the various social strata of the kingdom. They share the private life of the king, enjoy several privileges, and strike up favorable friendships at the court. The importance of their charges allows them to take a real social leap. This advantageous prospect and their love towards the master create strong links between these commensal domestics, despite their broad social differences
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Leferme-Falguières, Frédérique. "Le monde des courtisans : la haute noblesse et le cérémonial royal aux XVIIe et XVIIIe siècles." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010670.

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Abstract:
Cette thèse analyse la participation de la haute noblesse au cérémonial royal dans ses diverses manifestations aux XVIIe et XVIIIe siècles. Les courtisans, spectateurs et acteurs de la représentation monarchique, sont au cœur d'un processus d'évolution du cérémonial délaissant en partie les grands rituels, pour développer des manifestations plus quotidiennes s'étendant à la famille royale dont les naissances, mariages et obsèques deviennent des évènements ritualisés et s'ancrant dans une étiquette de cour complexe codifiant étroitement les relations sociales. A partir de 1682, la vie aulique s'inscrit dans un monde clos. Pour la haute noblesse, loger à la cour, servir dans la Maison du roi sont autant de critères de définition et de légitimation permettant de vivre dans la commensalité du roi, d'avoir une fonction à la cour, d'organiser le cérémonial. Enfin, la vie aulique consacre le triomphe des apparences définissant l'identité sociale et entraînant une intense compétition pour le prestige.
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Wilmart, Julien. "Les deux compagnies de Mousquetaires du roi de France (1622-1815) : corps d’élite, confiance royale et service extraordinaire." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. http://www.theses.fr/2022SORUL092.

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Abstract:
Les deux compagnies de Mousquetaires du roi appartenaient aux unités de la garde rapprochée du souverain, qui prit le nom, sous Louis XIV, de Maison militaire du roi. Créée en 1622 par Louis XIII à partir de la compagnie des Carabins de Henri IV, la première compagnie demeura sur pied jusqu’en 1646, époque à laquelle Mazarin la licencia. En 1657, Louis XIV et le cardinal la rétablirent. En 1634, le roi se fit capitaine en titre du corps, déléguant le commandement à un capitaine-lieutenant, témoignant ainsi un insigne honneur et son affection particulière envers ses Mousquetaires. En 1660, Mazarin offrit à Louis XIV sa propre compagnie de Mousquetaires à cheval comme cadeau de mariage. Établies sur le même pied en 1665, ces deux compagnies virent leurs fonctions dépasser leur rôle intrinsèque de garde du roi. Louis XIV fit en effet des troupes de sa Maison des unités d’élite et leur assigna un service de guerre : dès lors, les Mousquetaires participèrent à toutes les guerres, s’y forgèrent leur réputation et décidèrent plus d’une fois du sort de l’engagement. Ils portaient partout la marque de la puissance royale et furent ainsi régulièrement utilisés dans le cadre de missions délicates pour réprimer des soulèvements intérieurs ou arrêter des personnages influents, constituant une police politique royale. Les Mousquetaires apparaissaient donc comme les représentants de l’arbitraire royal. De par leur proximité avec le souverain et leur efficacité militaire, Louis XIV en fit également une école militaire pour la jeune et haute noblesse du royaume, qui était invitée à venir y apprendre les rudiments du métier des armes avant d’espérer obtenir un commandement. Les deux compagnies devinrent ainsi une pépinière d’officiers des armées royales. Malgré le dynamisme de cette école et leur utilité notamment à contenir la guerre des Farines à Paris, les Mousquetaires furent licenciés par Louis XVI en 1775. Éphémèrement rétablis dans l’Armée des Princes en 1791-1792 et sous la Restauration en 1814, Louis XVIII les supprima définitivement en 1815. Ce travail de recherche d’histoire militaire conduit une double approche en étudiant les Mousquetaires comme l’exemple du fonctionnement d’un corps d’élite de l’armée française d’Ancien Régime, sans toutefois négliger l’ensemble des particularités propres à cette troupe qui fondèrent leur renommée
The two companies of the Mousquetaires du roi of France were part of the royal bodyguard units, named Maison militaire during the reign of Louis XIV. The first company was created in 1622 by Luis XIII from the unit of the Carabiniers instituted by his father Henry IV. This company remained active until 1646, when it was disbanded by Mazarin, to be revived by Luis XIV and Cardinal Mazarin in 1657. In 1634, the King transferred the command of the companies to a Captain-Lieutenant. This endorsement highlights the King’s respect and fondness towards the Mousquetaires. In 1660, Mazarin offered his own company of cavalry musketeers to Luis XIV as a wedding gift. Established in 1665, the two companies saw their functions expanded beyond their initial intrinsic role of royal bodyguards. Under Louis XIV, the Royal Household became an elite unit with a vital military role in wars. During his reign, the Mousquetaires participated to each war and forged their reputation as a crucial element to the success of the battles they fought. They became a symbol of the royal power and were employed by the King in delicate missions to shut down riots or silence prominent political figures. The Mousquetaires functioned as the royal political police. In addition to being recognized for their military prowess and benefiting from the King’s endorsement, under Louis XIV the Mousquetaires became a military school for the nobles, who were encouraged to join the company to gain the military experience needed as aspiring commanders. The two companies became indeed a treasure trove of officials for the Royal Army. Despite their dynamism and crucial role in containing the Flour War in Paris, the Mousquetaires were disbanded by Louis XVI in 1775. Only briefly reestablished within the “Armée des Princes” in 1791-1792 and under the Restoration in 1814, the companies were permanently disbanded in 1815 by Louis XVIII. The research on military history presented here focuses not only on the role of the Mousquetaires as an elite corps of the French army during the Old Regime, but also on the peculiarities that contributed to their fame
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Fontaine, Clotilde. "Le procureur général Ladislas de Baralle et le ministère public près le parlement de Flandre (1691-1714)." Thesis, Lille 2, 2019. http://www.theses.fr/2019LIL2D002.

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Abstract:
En 1668, Louis XIV établit un conseil souverain à Tournai afin de favoriser le retour de la paix au sein des territoires annexés. Promettant originellement de conserver les usages et particularismes locaux, le monarque souhaite progressivement assimiler la cour souveraine, devenue parlement en 1686, au modèle français. L’approche envisagée permettra une réflexion sur l’histoire du ministère public flamand sous le prisme de l’un de ses « hommes », Ladislas de Baralle, procureur général de 1691 à 1714. Si l’exceptionnelle longévité de sa carrière justifie le choix de cette figure marquante, cette étude s’étend au-delà d’un simple projet prosopographique. L’activité du procureur général s’inscrit en effet au coeur d’une période de bouleversements historiques en Flandre. Ladislas de Baralle, représentant du monarque et garant de l’interprétation des textes royaux, n’en reste pas moins un fervent défenseur de la coutume héritée des Pays-Bas qu’il tente d’appliquer dans un souci d’apaisement
The 17th and 18th centuries appear as a period of conquests and territorial changes in Europe, particularly in Flanders. In 1668, the southern part of the former Spanish Low Countries are attached to the French crown. To bring peace back in the province, Louis XIV decided to create a court for the newly conquered territories, the conseil souverain of Tournai. This sovereign court replaced the former councils of Flanders and Mons and the Great Council of Malines to judge in appeal the cases brought before the courts of the annexed territories. In 1686, the institution obtained the title of parlement to be definitely assimilated. During its first years of existence, the parlement of Flanders had to assert its particularities. Indeed, when Louis XIV created the court, he promised to keep the Flemish customs and privileges. He therefore appointed local jurists who knew them. In 1691, Ladislas de Baralle became General Procurator. He had one of the longest careers, twenty-three years of office. If today the prosecutor’s function mainly applies to litigation, his role during Ancien Régime was much larger. He embodied the King’s prerogatives and ensured the enforcement of royal legislation in the parlement’s jurisdiction. In spite of his promises, Louis XIV tried progressively to enforce “French” law and procedure in the realm while Flanders asserted its particular Coutumes and privileges. Born in Flanders but representing Louis XIV, how could Baralle balance both roles ?
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Chaumet, Pierre-Olivier. "L' administration française d'un pays conquis sur la Maison de Savoie : le comté de Nice sous l'autorité de Louis XIV(1691-1696)(1705-1713)." Paris 2, 2002. http://www.theses.fr/2002PA020101.

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Abstract:
A l'occasion des guerres de la ligue d'Augsbourg et de la succession d'Espagne, Louis XIV se rend, par deux fois, maître du comté de Nice, possession du duc de Savoie. Cette acquisition s'effectue en réaction à la politique versatile de Victor-Amédée II, qui au commencement de chaque conflit, rompt promptement son alliance avec la France pour rejoindre le camp ennemi. En raison des rétrocessions officielles des traités de Turin (1696) et d'Utrecht (1713), ces périodes sont, le plus souvent, qualifiées " d'occupations ". Mais l'emploi de ce mot n'est pas sans conséquence : il implique que le " roi-soleil " s'est emparé momentanément de Nice, avec l'intention de se substituer que pour le temps des conflits à l'autorité de la Maison de Savoie. Enfermée dans cette définition, la présence française ne présente aucun impact politique réel, car elle n'a pas pour objectif de perdurer. Or différents éléments attestent de la volonté du souverain français d'y exercer définitivement son autorité. Après consultation des généalogistes de la cour, chargés de prouver la légitimité de l'annexion, Louis XIV se proclame à deux reprises " comte de Nice ". Après chaque invasion, le roi de France utilise les techniques éprouvées par le passé pour assimiler une province étrangère. Pour ce faire, les Niçois doivent se soumettre à différentes obligations : l'accueil de commissaires du roi, l'organisation et la prestation d'un serment de fidélité, l'installation et l'entretien des troupes aux frais de la population. Par l'établissement d'une autorité d'ailleurs modérée, Louis XIV réussit surtout à rattacher au niveau judiciaire et fiscal le comté de Nice au royaume de France, sans susciter pour autant l'hostilité des habitants. Mais les deux fois, le souverain français est finalement contraint à une rétrocession en faveur de Victor-Amédée II. Les négociations de paix mettent un terme à cette tentative d'assimilation politique, judiciaire et administrative, en permettant le retour des Niçois sous domination de la Maison de Savoie. A l'issue du premier conflit, et plus encore du second, la France n'a plus les moyens humains et financiers pour se faire reconnaître l'annexion du comté de Nice par le concert des nations européennes.
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Bachou, Jérôme. "De la mort programmée du juge d'instruction à celle du "procureur-roi"." Thesis, La Réunion, 2012. http://www.theses.fr/2012LARE0003.

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Abstract:
La contestation du juge d'instruction qui s'est développée depuis plusieurs années a incontestablement trouvé son point d'orgue suite à l'affaire d'Outreau qui a mis en lumière toutes les dérives possibles de l'instruction préparatoire française. Au lendemain d'une nouvelle réforme de cette phase de la procédure pénale française à la faveur de la loi du 5 mars 2007 et de projets de loi quelques fois contrariés comme celui du rapport Léger de 2009, l'heure d'une évaluation du dispositif français de l'instruction semble venue. La loi nouvelle est-elle enfin parvenue à équilibrer et encadrer cette phase de notre procédure pénale française ? En d'autres termes, a-t-elle réussi là où les lois du 10 décembre 1985, du 4 janvier 1993 et du 15 juin 2000 (pour ne citer qu'elles) avaient échoué ? Ces travaux de recherche entendent mener une démarche d'évaluation législative. Il s'agira de voir dans quelle mesure la réforme adoptée et entrée progressivement en vigueur a permis de rompre avec l'état du droit antérieur. Il nous appartiendra également d'analyser dans quelle mesure les innovations adoptées (pôle de l'instruction, co-saisine, renforcement du contradictoire notamment dans le cadre des expertises, des interrogatoires, etc.) sont sujets à de véritables dysfonctionnements procéduraux. En d'autres termes, cette thèse a pour objectif d'étudier l'équilibre entre système inquisitoire et système accusatoire auquel est parvenu le droit français. Le principe d'opportunité des poursuites étant dans cette analyse remis en cause ; la voie de la réforme devant s'engager dans le sillage du principe de légalité des poursuites. Des propositions d'amélioration de notre droit positif de l'instruction pourront être formulées à la lumière de l'histoire du droit, du droit comparé et des enseignements qui pourront être tirés de la réussite de l'instruction dans des pays voisins comme l'Italie ou encore plus lointains comme le Canada. L'instruction française de demain peut sans doute s'enrichir d'idées et de mécanismes puisés hors de nos frontières à condition d'assurer l'intégration de ces propositions dans notre droit. Le projet de réforme que nous allons proposer est celui de l'instauration d'un parquet indépendant et autonome budgétairement se substituant à la fonction de juge d'instruction et donnant naissance à un nouvel acteur judiciaire : le procureur général de la République encore appelé procureur général de la Nation. À cette fin, un conseil de surveillance au sein même du Conseil supérieur de la Magistrature renouvelé, soit réformé sera crée gagnant tant en indépendance qu'en autonomie afin de suivre la voie d'une gouvernance judiciaire positive
The challenge to the judge which has developed over several years has undoubtedly climaxed after the "Outreau" case which highlighted all the possible abuses of the preliminary French prosecuting process. In the wake of a new reform of this stage of the French criminal procedure in favor of the law of 5 March 2007 and bills sometimes rejected like the Leger 2009 report, the time evaluation of the French investigating procedure seems to have come. Has the new law finally been able to balance and regulate this stage of our French criminal procedure? In other words, has it succeeded where the laws of the 10th of December 1985, the 4th of January 1993 and the 15th of June 2000 (to mention only a few of them) had failed? This research intends to be the beginning of a process of legislative review. We shall study whether the adopted and gradually implemented reform has succeeded in breaking up with the former law practise. We shall also analyze up to what extent the adopted innovations (center of education, co-referral, strengthening the contradictory especially during expertises or questionings, etc..) are liable to actual procedural failures. In other words, this thesis aims at studying the balance between inquisitory and accusatory systems in the French law. In this study, the principle of discretionary prosecution shall be questioned; the way of reform must be paved in the wake of the principle of mandatory prosecution. Suggestions for improving our positive law of the investigation procedure may be made in the light of the history and the teaching of the law as well as in the comparison of the successful investigation procedures of neighbouring or more remote countries like Italy or Canada. The future French investigating procedure may take advantage of ideas and mechanisms from overseas if these proposals are integrated in our law. The reform scheme that we put forward establishes an independent and fiscally autonomous “parquet ou ministère public” replacing the function of the judge and giving birth to a new judiciary character: the Attorney General of the Republic, also called General Prosecutor of the Nation. For this purpose, a supervisory board within a renewed and reformed Superior Council of the Magistracy, with more autonomy or independence, will be created in order to open a new way of positive judicial governance
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Attard, Jean-Pierre. "Religion, sainteté et pouvoir en Provence angevine, première maison d'Anjou, modèle et miroir du monde angevin (1246-1382)." Thesis, Aix-Marseille, 2015. http://www.theses.fr/2015AIXM3028/document.

Full text
Abstract:
En 1246, Charles d'Anjou, frère du roi de France Louis IX, par son mariage avec l'héritière de Provence, arrive à la tête du comté de Provence, encore terre d'empire. Il est mal accueilli par les Provençaux qui craignent de perdre leur relative indépendance au profit du royaume de France. Charles d'Anjou doit vaincre l'opposition armée des grandes cités de Provence et d'une partie de la noblesse. Après son succès, la paix s'instaure dans le comté. Les Angevins développent pour cela une idéologie reposant sur leur sentiment d'appartenance à une race sacrée remontant aux Carolingiens : ils sont à la tête d'un pays sacré. Ils s'appuient sur l’Église dont ils démontrent être de bon fils. Finalement, la paix s'établit de façon durable dans le comté
By his marriage withe the heress of Provence, Charles d'Anjou, brother of Louis IX, arrives at the head of the County of Provence.It is unpopular withs his subjects. He must defeat an army revolt of the mains cities and part of the nobility. After his success, the Agevins use an ideological weapon: ths bealong to a sacred race and they govern a sacred land. They base this of the Church. They are good sons of Church. In the end, peace is esthablished permanently in the County of Provence
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Varlan, Olivier. "Armand-Louis de Caulaincourt, duc de Vicenze (1773-1827). Étude d’une carrière diplomatique sous le Premier Empire, de la cour de Napoléon au ministère des Relations extérieures." Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2013. http://ezproxy.normandie-univ.fr/login?url=https://www.numeriquepremium.com/doi/10.14375/NP.9782369426998.

Full text
Abstract:
Officier de cavalerie originaire de la noblesse picarde, Armand de Caulaincourt (1773-1827) gravit rapidement tous les échelons de la cour consulaire puis impériale, devenant en 1804 grand-écuyer de l’Empire. Mais, malgré l’importance de ses fonctions curiales, Napoléon le destine à une carrière de diplomate. Après différentes missions, il le nomme ambassadeur de France en Russie, à la fin de l’année 1807. Fervent partisan de l’alliance de Tilsit, Caulaincourt participe à toutes les grandes négociations franco-russes mais doit assister à la lente dégradation des relations entre les deux empires. À son retour à Paris en 1811, son bilan politique est maigre. Sa défense opiniâtre du tsar Alexandre, mais surtout son opposition à la campagne militaire qui se prépare, irritent Napoléon. Elles lui permettent toutefois d’acquérir une nouvelle stature après le désastre de Russie : pour ses contemporains Caulaincourt devient l’« homme de la paix ». Une image que Napoléon réutilise lorsqu’il le charge de le représenter aux congrès de Prague (1813) et de Châtillon (1814). Le duc de Vicence, devenu ministre des Relations extérieures, ne parvient pas à faire accepter la paix ; il lui faut finalement négocier l’abdication de Napoléon et renoncer, après les Cent-Jours, à toute carrière politique. Cette étude, qui s’appuie sur les archives personnelles de Caulaincourt et ses célèbres Mémoires, entend redonner toute son importance à cette figure majeure du Premier Empire, en insistant sur son action et sa pensée dans le domaine de la diplomatie. L’exemple de ce parcours devant permettre de contribuer à reconsidérer et réévaluer le rôle du personnel diplomatique napoléonien
A cavalry officer born into Picardy's landed gentry, Armand de Caulaincourt rose rapidly through the ranks of the consular, and later the imperial court, to become in 1804 Grand Squire of the Empire. However, notwithstanding the importance of his curial functions, Napoleon destined him to a diplomatic career. After several missions, he was appointed as Ambassador of France to Russia (1807). Caulaincourt took part in all the major negotiations between France and Russia, but was forced to witness a slow breakdown in relations between the two Empires. At the time of his return to Paris in 1811, his political accomplishments were unimpressive. His stalwart defense of Tsar Alexander, and especially his opposition to the upcoming military campaign, were an irritation to Napoleon. Nevertheless, these stances allowed him to gain new stature after the disaster in Russia : in the eyes of his contemporaries, he became the “Peacemaker”, an image Napoleon used to his advantage by appointing him his representative at the congresses in Prague (1813) and in Châtillon (1814). The Duke of Vicenza, now Minister for Foreign Affairs, could not, however, broker an agreement in favour of peace : he was forced to negotiate Napoleon's abdication and to give up any hope of political career after the Hundred Days. This study, based on Caulaincourt's personal records and famous Memoirs, aims at restoring a major figure of the First French Empire to his due importance, while focusing on his action and thought in the field of diplomacy. The exemplary value of his career should also allow historians to reconsider and reevaluate the role of Napoleon's diplomatic personnel
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Varlan, Olivier. "Armand-Louis de Caulaincourt, duc de Vicenze (1773-1827). Étude d’une carrière diplomatique sous le Premier Empire, de la cour de Napoléon au ministère des Relations extérieures." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040252.

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Abstract:
Officier de cavalerie originaire de la noblesse picarde, Armand de Caulaincourt (1773-1827) gravit rapidement tous les échelons de la cour consulaire puis impériale, devenant en 1804 grand-écuyer de l’Empire. Mais, malgré l’importance de ses fonctions curiales, Napoléon le destine à une carrière de diplomate. Après différentes missions, il le nomme ambassadeur de France en Russie, à la fin de l’année 1807. Fervent partisan de l’alliance de Tilsit, Caulaincourt participe à toutes les grandes négociations franco-russes mais doit assister à la lente dégradation des relations entre les deux empires. À son retour à Paris en 1811, son bilan politique est maigre. Sa défense opiniâtre du tsar Alexandre, mais surtout son opposition à la campagne militaire qui se prépare, irritent Napoléon. Elles lui permettent toutefois d’acquérir une nouvelle stature après le désastre de Russie : pour ses contemporains Caulaincourt devient l’« homme de la paix ». Une image que Napoléon réutilise lorsqu’il le charge de le représenter aux congrès de Prague (1813) et de Châtillon (1814). Le duc de Vicence, devenu ministre des Relations extérieures, ne parvient pas à faire accepter la paix ; il lui faut finalement négocier l’abdication de Napoléon et renoncer, après les Cent-Jours, à toute carrière politique. Cette étude, qui s’appuie sur les archives personnelles de Caulaincourt et ses célèbres Mémoires, entend redonner toute son importance à cette figure majeure du Premier Empire, en insistant sur son action et sa pensée dans le domaine de la diplomatie. L’exemple de ce parcours devant permettre de contribuer à reconsidérer et réévaluer le rôle du personnel diplomatique napoléonien
A cavalry officer born into Picardy's landed gentry, Armand de Caulaincourt rose rapidly through the ranks of the consular, and later the imperial court, to become in 1804 Grand Squire of the Empire. However, notwithstanding the importance of his curial functions, Napoleon destined him to a diplomatic career. After several missions, he was appointed as Ambassador of France to Russia (1807). Caulaincourt took part in all the major negotiations between France and Russia, but was forced to witness a slow breakdown in relations between the two Empires. At the time of his return to Paris in 1811, his political accomplishments were unimpressive. His stalwart defense of Tsar Alexander, and especially his opposition to the upcoming military campaign, were an irritation to Napoleon. Nevertheless, these stances allowed him to gain new stature after the disaster in Russia : in the eyes of his contemporaries, he became the “Peacemaker”, an image Napoleon used to his advantage by appointing him his representative at the congresses in Prague (1813) and in Châtillon (1814). The Duke of Vicenza, now Minister for Foreign Affairs, could not, however, broker an agreement in favour of peace : he was forced to negotiate Napoleon's abdication and to give up any hope of political career after the Hundred Days. This study, based on Caulaincourt's personal records and famous Memoirs, aims at restoring a major figure of the First French Empire to his due importance, while focusing on his action and thought in the field of diplomacy. The exemplary value of his career should also allow historians to reconsider and reevaluate the role of Napoleon's diplomatic personnel
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Vial, Charles-Eloi. "Les chasses des souverains en France (1804-1830)." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040222.

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Abstract:
Activité prisée des rois de France depuis l'époque médiévale, la chasse était devenue pour les derniers Bourbons plus une passion dévorante qu'une simple distraction. Louis XV et Louis XVI furent critiqués par l'opinion publique naissante, qui considérait que leurs chasses onéreuses les éloignaient du gouvernement. Après la chute de la monarchie, les chasses royales disparurent. Elles furent remises au goût du jour par Napoléon Ier, soucieux de s'approprier les apparences de la légitimité monarchique. Le maréchal Berthier fut ainsi nommé Grand veneur en 1804. Grâce à lui, Napoléon put faire de ses chasses un instrument politique puissant, une distraction de Cour prisée, le tout avec une économie substantielle de moyens. La Restauration, au lieu de revenir à l'organisation d'Ancien Régime, choisit de conserver l'équipage de chasse et l'administration mise en place pour Napoléon, qui fonctionnèrent jusqu'en 1830. Naquit ainsi le paradoxe d'une Restauration affichant, à la suite de l'Empire, la volonté de renouer avec la tradition monarchique, mais cela grâce à un équipage formé pour Napoléon. C'est cette continuité, humaine, budgétaire, mais aussi politique et symbolique qu'il convient d'étudier au travers des éléments constitutifs des chasses : une implantation autour de Paris permettant une circulation de la Cour autour de différentes résidences de chasse, une pratique régulière destinée à la distraction du souverain et de ses proches, des invitations de personnages politiquement importants, qui donnent à certains jours de chasse bien précis une résonance particulière. Autant d'aspects qui se retrouvent dans les sources : archives, journaux, mémoires, œuvres d'art
Hunting had always been the privileged activity of kings since the mediaeval period, and for the later Bourbons it became a consuming passion. Indeed Louis XV and Louis XVI were to be criticized by a proto public opinion ; it was thought that hunts were expensive and that they distracted the rulers from the duties of government. The royal hunts disappeared with the fall of the monarchy. But Napoleon, with his desire to appropriate the outward show of monarchical legitimacy, brought it back. Marshal Berthier was appointed Grand veneur and given the task of organizing the imperial hunt in exactly the same way as it had been done under Louis XVI. Napoleon made the hunts a powerful political instrument and a Court indulgence whilst at the same time making considerable savings. The Restoration in fact chose not to revive Ancien Régime customs but preserved the Napoleonic hunting administration. This gave rise to the paradox of a Restoration attempting to reinvigorate monarchical traditions but using structures created by Napoleon. This is that strong continuity, human, budgetary, but also political and symbolic, inside a geographical field concentrated around Paris that made it possible for the Court to circulate around the different imperial hunting residences, to dedicate certain days to the hunts, and to invite some important political figures. All of these aspects are to be found in the sources : archives, newspapers, autobiographies, artworks
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Vial, Charles-Eloi. "Les chasses des souverains en France (1804-1830)." Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040222.

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Abstract:
Activité prisée des rois de France depuis l'époque médiévale, la chasse était devenue pour les derniers Bourbons plus une passion dévorante qu'une simple distraction. Louis XV et Louis XVI furent critiqués par l'opinion publique naissante, qui considérait que leurs chasses onéreuses les éloignaient du gouvernement. Après la chute de la monarchie, les chasses royales disparurent. Elles furent remises au goût du jour par Napoléon Ier, soucieux de s'approprier les apparences de la légitimité monarchique. Le maréchal Berthier fut ainsi nommé Grand veneur en 1804. Grâce à lui, Napoléon put faire de ses chasses un instrument politique puissant, une distraction de Cour prisée, le tout avec une économie substantielle de moyens. La Restauration, au lieu de revenir à l'organisation d'Ancien Régime, choisit de conserver l'équipage de chasse et l'administration mise en place pour Napoléon, qui fonctionnèrent jusqu'en 1830. Naquit ainsi le paradoxe d'une Restauration affichant, à la suite de l'Empire, la volonté de renouer avec la tradition monarchique, mais cela grâce à un équipage formé pour Napoléon. C'est cette continuité, humaine, budgétaire, mais aussi politique et symbolique qu'il convient d'étudier au travers des éléments constitutifs des chasses : une implantation autour de Paris permettant une circulation de la Cour autour de différentes résidences de chasse, une pratique régulière destinée à la distraction du souverain et de ses proches, des invitations de personnages politiquement importants, qui donnent à certains jours de chasse bien précis une résonance particulière. Autant d'aspects qui se retrouvent dans les sources : archives, journaux, mémoires, œuvres d'art
Hunting had always been the privileged activity of kings since the mediaeval period, and for the later Bourbons it became a consuming passion. Indeed Louis XV and Louis XVI were to be criticized by a proto public opinion ; it was thought that hunts were expensive and that they distracted the rulers from the duties of government. The royal hunts disappeared with the fall of the monarchy. But Napoleon, with his desire to appropriate the outward show of monarchical legitimacy, brought it back. Marshal Berthier was appointed Grand veneur and given the task of organizing the imperial hunt in exactly the same way as it had been done under Louis XVI. Napoleon made the hunts a powerful political instrument and a Court indulgence whilst at the same time making considerable savings. The Restoration in fact chose not to revive Ancien Régime customs but preserved the Napoleonic hunting administration. This gave rise to the paradox of a Restoration attempting to reinvigorate monarchical traditions but using structures created by Napoleon. This is that strong continuity, human, budgetary, but also political and symbolic, inside a geographical field concentrated around Paris that made it possible for the Court to circulate around the different imperial hunting residences, to dedicate certain days to the hunts, and to invite some important political figures. All of these aspects are to be found in the sources : archives, newspapers, autobiographies, artworks
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Barker, Harai Claire Taylor. "Les serviteurs de Navarre à Tours dans la seconde moitié du seizième siècle." Thesis, Tours, 2014. http://www.theses.fr/2014TOUR2022.

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Abstract:
Nombreuses sont les études portant sur les grands personnages de la maison de Navarre à l’époque moderne, mais leurs serviteurs n’ont pas encore fait l’objet d’une étude approfondie. Cette thèse a pour ambition d’examiner les 106 serviteurs de la Maison de Navarre qui sont présents dans les actes notariés tourangeaux de la seconde moitié du XVIe siècle conservés aux Archives départementales d’Indre-et-Loire. Complétées par des manuscrits (comptes royaux, mandements, quittances, etc.) conservés à Pau et à Paris, ces soucres éclairent la vie de ces individus, leurs liens de parenté et leurs rôles au sein des Maisons royales navarraises. À la lumière de cette documentation, nous découvrons les structures et le dynamique interne d’un « milieu navarrais » de Tours, dont le « coeur » était constitué d’une poignée de familles au service principalement des maisons de Jeanne d’Albret et d’Henri de Navarre, futur Henri IV
The early modern members of the royal family of Navarre have been the subjects of many academic studies, but the servants of their household have not yet been studied in depth. This dissertation aims to examine the 106 members of the household of Navarre whose presence is noted in notarial acts from 16th century Tours, stored in the Departemental Archives of Indre-et-Loire. These texts, combined with other manuscripts (royal accounts, letters, receipts, etc.) from Pau and from Paris, allow us to examine the lives of these individuals, how they were related, and what roles they played in the royal households of Navarre. Using source documents, we observe the structures and the internal dynamics of the « Navarrese milieu » that existed in the city of Tours, and its « heart » composed of a handful of families who primarily served the households of Jeanne d’Albret and of Henri de Navarre, the future king Henri IV
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Carré, Benoît. "Pensions et pensionnaires de la monarchie : de la grâce royale au système de redistribution de l'Etat au XVIIIe siècle." Thesis, Lille, 2018. http://www.theses.fr/2018LIL3H001.

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Abstract:
Pensions et pensionnaires de la monarchie : de la grâce royale au système de redistribution de l’État au XVIIIe siècle La question des pensions et des pensionnaires de l’État est abordée à partir d’un corpus de sources centré sur les archives de la Maison du Roi, du Trésor royal et du Comité des pensions de l’Assemblée nationale constituante. Les mécanismes d’attribution et de distribution des pensions royales permettent de redécouvrir les contradictions de la monarchie d’Ancien Régime, prises entre la permanence de traditions anciennes et les exigences de l’État moderne. En revenant sur les tentatives répétées et inabouties de réformer et de rationnaliser un objet de dépenses dont le poids n’a cessé de peser sur les finances royales, la thèse invite à s’interroger sur ces formes de distributions utilisées par le pouvoir comme un instrument de domination politique et social, mais dont les aspects financiers et comptables ont été inégalement maîtrisés. L’histoire de la gestion des pensions royales au XVIIIe siècle offre une étude de cas particulièrement documentée qui permet d’illustrer le développement de la bureaucratie moderne, révélant une administration imaginative dans sa manière de réformer les pensions de l’État mais freinée par les intérêts contradictoires du régime. C’est finalement la crise politique de 1789 qui a permis de clarifier et de réformer un système de grâces royales devenu le symbole des abus de la cour aux yeux de l’opinion publique. En séparant les pensions de cour des pensions de l’État, en créant un droit à la pension pour les serviteurs de l’État là où l’Ancien Régime ne connaissait qu’un système de récompenses fondé sur l’usage et l’esprit de clientèle, le Comité des pensions de l’Assemblée nationale constituante a posé, en 1790, les bases du premier système de retraite de la fonction publique d’État
Pensions & pensioners of the French monarchy : from royal favour to State redistribution system in the eighteenth century The issue of State pensions and pensioners is tackled on the basis of a corpus of sources found among the archives of the Maison du Roi (Royal Household), the Trésor royal (Royal Treasury) and the Comité des pensions (Pensions Committee) of the Assemblée nationale constituante (National Constituent Assembly). An analysis of the attribution and distribution mechanisms of the Royal pensions reveals the contradictions of the Ancien Régime monarchy: the preservation of ancient traditions versus the requirements of a modern State. The repeated and unsuccessful attempts to reform and rationalize an object of expenditure whose weight has not ceased to weigh on the royal finances is demonstrated here. The thesis invites us to question these forms of distribution used by the power as an instrument of political and social domination, but whose financial and accounting aspects have been unequally controlled. The history of the royal pensions management in the 18th century offers a particularly well-documented case study that illustrates the development of modern bureaucracy. It reveals an inventive administration in its way of reforming State pensions while constrained by conflicting interests of the regime. It was finally the political crisis of 1789 that clarified and reformed a system of royal liberalities that became the symbol of abuses of the Court in the eyes of public opinion. In 1790, by separating Court pensions from State pensions, by creating an entitlement to pension for State servants where the Ancien Régime knew only a system of rewards based on custom and clientelism, the Comité des pensions of the Assemblée nationale constituante laid the foundation for the first pension system of the State Public Service
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