Journal articles on the topic 'Formation de l'acteur'

Cet article traite sur la pédagogie de l`acteur dont les techniques du masque et de l`improvisation sont les fondements et les instruments privilégiés pour établir le jeu. Cette formation a comme influence la filiation Jacques Copeau-Jacques Lecoq-Ariane Mnouchkine, dont les travaux privilégient le jeu, où l'homme agit et pense avec tout son corps, pouvant inventer avec le masque un théâtre poétique.

Dans la première moitié du XXe siècle, Stanislavski trouve et développe une pédagogie théâtrale scientifique à partir de la connaissance des lois fondamentales et spécifiques de la création scénique. Plus tard, il reconsidère ses théories et établit une nouvelle hiérarchie des composantes du SYSTÈME.. L'action devient alors une nouvelle entité capable d'occuper le centre de l'activité créatrice de l'acteur.

Résumé Les entreprises font de plus en plus appel à la formation afin de favoriser le transfert de nouvelles conceptions de travail et de nouveaux procédés techniques, et ce dans le but de relever le défi de la compétitivité. Cette approche s'appuie sur les savoirs des employés plus que sur la cohérence interne des disciplines ou des métiers. Ainsi, l'appropriation de nouvelles connaissances par les employés dépend non seulement de leurs savoirs mais aussi de leur adhésion au projet de l'entreprise, d'éléments du contexte local favorables ou non au transfert et des formes de socialite qui, au bout du compte, concrétiseront ce nouveau potentiel. Une telle approche inductive introduit de nouveaux rapports entre les connaissances et les savoirs de l'acteur ce qui condamne parfois les premiètes à n'être utilisées qu'en fonction des rapports sociaux au sein de l'entreprise. Nous insistons pour notre part sur une médiation sociale du transfert qui respecte le caractère inductif du processus d'appropriation de l'acteur mais qui, aussi, tente de minimiser les risques économiques, sociaux et culturels inhérents à un tel processus.

Malgré leurs méthodes différentes, Stanislavski et Meyerhold se rejoignent sur un point capital: fonder l'art théâtral sur des bases scientifiques, mettant ainsi fin aux mythes du talent et de l'inspiration. Pour le réaliser, ils fondèrent des écoles destinées à la formation de l'acteur, où une pédagogie originale et rigoureuse était, pour la première fois, appliquée. De ce fait, ils peuvent être considérés comme les pionniers non seulement du théâtre russe mais aussi du théâtre contemporain occidental.

Résumé: Cette recherche qualitative interprétative vise à comprendre la formation du corps offerte par Mélanie Demers, artiste invitée pour donner le cours Danse pour acteurs à l'hiver 2014 à l'École supérieure de théâtre de l'Université du Québec à Montréal. En m'appuyant sur le concept d'expérience (Dewey, 2005) et la théorie de l'activité (Engeström, 1987; 1999), j'ai approfondi la manière dont ce cours amène les apprenants-acteurs à s'ouvrir à leur propre corps, à mettre en scène une écriture corporelle, à développer une conscience croisée, à confronter des défis personnels au regard du travail corporel ainsi qu'à accepter la vulnérabilité de leur corps dans l'expression artistique.

La communication entre le formateur et l'illettré relève d'une problématique interculturelle. Cheminer avec des illettrés suppose de centrer la formation sur l'apprenant, de respecter profils et rythmes d'apprentissage et de baser la démarche sur ce qui constitue l'acte de lecture performante.

Résumé Dans cet article, les environnements de formation assistés par ordinateur sont considérés comme une réponse partielle à la problématique contemporaine de la formation professionnelle technique. Dans cette perspective, le développement par l'élève technicien d'une connaissance fonctionnelle y est préconisé et sa signification définie. La nature de l'expertise y est étudiée en distinguant le sujet sur lequel elle porte, ses degrés de formalisation et de généralité, de même que ses origines diversifiées. Pour former les élèves, on y propose une organisation des connaissances du domaine en réseaux conceptuels technoscientifiques. On y justifie la nécessité d'incorporer à l'environnement de formation des stratégies de « gestion de l'ignorance » en raison d'une connaissance fragmentaire des savoirs véritables des élèves. À cette fin, on examine le contrôle des connaissances mobilisées dans l'acte d'apprendre et le contrôle des processus d'apprentissage.

Résumé Les séquences figées, grâce à leurs caractéristiques linguistiques (oblicité des dénominations, stratification de leurs structures et polylexicalité de leurs signifiants), offrent l'occasion d'étudier sous un angle nouveau certains concepts fondamentaux de la linguistique moderne comme la référence, la conceptualisation, l'arbitraire du signe, etc., et ce, en rapport étroit avec l'acte de dénomination, ce qui permet de mieux articuler et de hiérarchiser les opérations de référenciation, de conceptualisation et de formation de l'unité linguistique dans la genèse du signe.

Résumé La présente étude expose les résultats dun sondage par questionnaire mené dans 45 écoles du Québec dans le but de décrire les pratiques pédagogiques, le niveau de connaissance et la perception que les éducatrices de maternelle et les enseignantes de première année ont de leur rôle dans l'enseignement des aspects moteurs de l'acte graphique. De l'ensemble des données obtenues, il ressort que la majorité des professeures n'instruisent pas les élèves de manière systématique sur la plupart des composantes motrices de l'écriture et que la formation reçue et leurs connaissances sur ces sujets présentent plusieurs faiblesses.

Cet article présente les aspects de la recherche menée par des enseignants d’art de la municipalité de Camaçari, Bahia, dans le cadre de la maîtrise, et révèle les préoccupations qui ont émergé au cours de ce processus, à savoir: Comment la relation de plaisir et de déplaisir dans l'enseignement peut-elle affecter le travail quotidien de l'éducateur? Quelles dimensions de la subjectivité de l'éducateur sont liées à l'acte d'éduquer? Ainsi, l'objectif de ce travail est d'étudier comment la relation de plaisir et de déplaisir de l’enseignants d’art, ainsi que leurs histoires de vie en formation, peuvent résonner dans la vie quotidienne de l'école. Certains théoriciens étaient invités à cette discussion: Delory-Momberger, Barbier, Souza, Galvão, entre autres. La présente étude a un caractère qualitatif et la lumière de la recherche biographique est développée, car elle permet l'expérience de lui-même, revisitant ses origines, le sujet peut ressentir ses relations avec lui-même, avec l'autre et avec le monde. Ainsi, il cherche à connaître la réalité, sans lui imposer aucune interposition de valeurs, motivée par la conviction selon laquelle l’espace académique se concrétise comme le lieu privilégié du débat d’idées, exempt de préjugés et de prosélytisme, vers une formation professionnelle engagée avec une discussion large et réflexive sur l'éducation contemporaine.

La didactique de la géographie doit en tout être conforme à la méthodologie de la géographie. C'est à partir d'une conception éclairée de cette discipline qu'il faut définir le rôle et la formation du professeur de géographie au niveau secondaire. A la fois pédagogue, éducateur et géographe, celui-ci doit maîtriser des habiletés fort diverses pour réussir l'acte premier et essentiel de son enseignement : apprendre à l'enfant et à l'adolescent comment observer des faits géographiques. À travers une classification commode de trois genres d'observation selon le matériel dont on dispose, l'auteur esquisse divers procédés didactiques qui même s'ils ne sont point nouveaux sont toujours d'une grande actualité.

En matière de cautionnement, l'interprétation du contrat risque de subir l'influence du caractère unilatéral de l'acte. En raison de la nature particulière de l'engagement de la caution, il faudra que le juge vérifie l'existence et l'étendue du cautionnement. L'interprétation aura donc un rôle à jouer tant dans la formation que dans le contenu du cautionnement. Si l'erreur se présente comme un moyen simple pour la caution d'annuler son engagement, une interprétation à l'aide des règles du contrat d'adhésion pourrait s'avérer plus efficace. De même, bien que le cautionnement n'impose par sa nature que des obligations à l'égard de la caution, l'interprétation permettra souvent de faire ressortir du contrat un contenu obligationnel imposé par la bonne foi. L'interprétation permettra ainsi au juge de chercher un certain équilibre au sein d'une relation contractuelle par nature déséquilibrée dans ses effets.

Cet article analyse la structure et l'évolution des programmes ainsi que la composition du personnel enseignant et administratif relatifs à trois disciplines du paramédical à l'Université de Montréal entre 1940 et 1970: la technologie médicale, la réhabilitation et la diététique. Il s'agit de programmes dont la clientèle est en grande majorité ou en totalité féminine. La problématique des auteures s'inscrit dans le cadre d'une analyse des rapports qui lient entre eux l'univers du « care», qui fait référence à l'acte de soigner, et du « cure», qui renvoie à un acte — médical ou autre — supposant un diagnostic et un traitement axés sur la guérison. À travers l'analyse des trois disciplines mentionnées plus haut, l'hypothèse que cherche à vérifier cette étude est double : 1°) Il existe une hiérarchie entre le « cure » et le « care » dans la mesure où ces notions renvoient à un savoir théorique plus valorisé que le savoir-faire pratique. Surtout lorsque ce savoir théorique se rapporte à la médecine. 2°) Dans la mesure où le savoir théorique médical (institutionnalisé) a été accessible surtout aux hommes-médecins, la hiérarchie des savoirs a débouché sur un rapport de pouvoir défavorable aux femmes.

Il s'agit d'un exposé du pratiquant et non de celui du linguiste, développé par 300 exemples, pour la plupart empruntés à la géographie. La néologie conduit à la formation de nouvelles entités lexicales, pratique nécessaire étant donné l'imperfection terminologique, l'évolution rapide des connaissances et l'impact de l'anglais. La stratégie de l'acte de désignation met en cause le neologue, le signifiable (ou S), des référents, des signifiants et des signifiés (S'). À chercher, des appellatifs conformes à l'esprit du français et le plus petit écart entre S' et S (exemple du mot subarctique). La carrière d'un néologisme est influencée par le besoin, la concurrence, le créateur et le consommateur. Six groupes de procédés néonymiques sont étudiés, composant quarante classes dont la dérivation latine {glaciel), la suffixation [nordicité), l'acronymie {Quéfratec), la siglaison (C/V), la désignation nymo-alpha-numérique [Lac-E-ll) et l'emprunt (primatie). La néologie demande beaucoup de soin. La création lexicale du Québec peut se manifester suivant cinq domaines linguistiques.

Résumé Le massif du Taillefer fait l'objet de travaux paléoécologiques visant à retracer les fluctuations des étages de végétation depuis le Tardiglaciaire. Dans ce cadre, le présent travail vise à vérifier dans l'actuel la possibilité de caractériser des étages des végétation avec la pluie pollinique des taxons présents sur place en identifiant d'éventuels marqueurs. Sur le versant ouest du massif, un transect altitudinal de 40 spectres polliniques de surface (coussinets de mousse) a été effectué afin d'étalonner la dispersion du pollen de 350 m jusqu'à 2600 m d'altitude. Pour tenter d'objectiver les corrélations existant entre les taxons polliniques et les points de prélèvement, une analyse en composantes principales (A.C.P.) a été mise en œuvre. Elle regroupe sans trop de peine les spectres des étages de végétation collinéen caractérisé par Quercus tp. robur (tp : abréviation pour type), Carpinus , Corylus , Castanea , subalpin inférieur caractérisé par Picea , et alpin caractérisé par Minuartia , Paronychia , Sagina , mais une grande dispersion existe pour ceux des étages montagnard et subalpin supérieur. La chênaie est une formation végétale qui n'est pas caractérisée par le pollen de Quercus , présent à toutes les altitudes avec des fréquences relatives de 5-10 %. Les grains de pollen de Castanea et Carpinus , avec des taux de 10 %, peuvent être considérés comme de bons marqueurs de l'étage collinéen. La dispersion de Fagus est élevée bien que son pollen soit rare dans la hêtraie. La dispersion du pollen de Piceaestgrandeetonleretrouve à tous les niveaux, mais les taux plus élevés (30-50 %) ne sont notés que dans la pessière pure. Des fréquences polliniques d' Alnus viridis entre 20 et 30 % constituent un bon indicateur de la présence sur place de cette espèce. Les Cyperaceae ont une dispersion limitée : dès qu'on s'éloigne de la source productrice, les taux du pollen diminuent brusquement.

Dans la transmission des savoirs, des obstacles apparaissent comme entraves à la communication pédagogique, cela se vérifie dans le processus transmission/assimilation partagé entre l’enseignant et l’étudiant. Les concepts, le savoir théorique sont souvent des obstacles qui empêchent l’étudiant de première année universitaire qui n’est ni exercé ni formée à l’abstraction d’accéder aux sens des connaissances délivrées. Afin de contourner et éviter ces obstacles, il faut prendre en compte dans l'acte pédagogique, la reformulation des savoirs, ce dernier étant un aspect qui a une grande importance, qui ne doit en aucun cas être négligé en pédagogie. En fait, le concept de reformulation désigne un espace interdiscrusif et montre comment un discours s'élabore à partir d'un autre discours qui lui préexiste.Cet article est une tentative de discuter de l'évaluation de la reformulation en pédagogie. De nombreuses recommandations ont été données en ce sens pour aider les enseignants à renouveler leur discours en situation de classe, à savoir quand faire appel à la théorie ou au métalangage, et comment être efficace dans la transmission des savoirs. Le lien entre la traduction et l'enseignement d'une langue étrangère a également été exploré. Nous avons conclu qu'identifier les stratégies des apprenants, répertorier les compétences à acquérir, faire l'inventaire des compétences acquises en termes de savoir-faire et cibler les compétences à développer, tant dans la langue source que dans la langue cible, sont de fondamentaux paramètres traduisibles en termes de projets de formation, et/ou de contenus pédagogiques qui permettront au traducteur de traiter l'objet à traduire avec une grande maîtrise.En effet, si traduire c'est produire, traduire c'est avant tout reproduire et toute reproduction nécessite une panoplie d'opérations aussi pertinentes, aussi précises et aussi méthodologiques les unes que les autres. Si traduire est un art didactique, reproduire est une compétence méthodologique.

L'actuel régime juridique de représentation syndicale perçoit le syndicat primordialement comme un agent local de négociation collective et l'investit à cette fin d'un pouvoir de représentation exclusif d'une collectivité particulière de salariés. Privilégiant la représentation sur le plan de l'entreprise, il ne prend en considération la réalité syndicale que partiellement. La réalité de la représentation syndicale est en effet plus riche et plus variée. L'action syndicale s'exerce sur un grand nombre de plans à l'égard d'une variété d'objets. Le présent texte traite de la représentation syndicale au-delà de l'entreprise sous ses diverses formes et, plus particulièrement, de la participation des syndicats au sein de différentes instances étatiques au Québec. A partir d'une distinction entre la représentation du salarié en tant que salarié et du salarié en tant que citoyen, il veut d'abord établir généralement les différentes dimensions de la représentation syndicale au-delà de l'entreprise. Il s'attarde ensuite aux manifestations de cette représentation au Québec pour tenter d'en dégager les traits significatifs. Au Québec, l'appréhension du rôle des groupements syndicaux ne saurait être complète sans aller au-delà de l'entreprise. Dans ces sphères plus vastes, plusieurs d'entre eux exercent des actions ou, à tout le moins, une influence qui concernent aussi bien le salarié en tant que tel que le salarié-citoyen. Saisie globalement, la représentation syndicale est toutefois loin d'équivaloir à une intégration des mouvements syndicaux à la gouverne de l'État. Au Québec, sans doute peut-on aller jusqu'à parler d'une certaine « inclusion », dans la mesure où les groupements syndicaux sont appelés à participer, à titre consultatif, à diverses institutions à vocation particulière, sans pour autant avoir part à la détermination des orientations de l'État. Au fédéral, la reconnaissance étatique de la représentativité des groupements syndicaux paraît relativement marginale, surtout depuis l'abolition de certains grands organismes étatiques de consultation. En sens inverse, il y a toutefois lieu de tenir compte de l'émergence de nouveaux organismes dont la mission s'étend à certains aspects de la restructuration économique, particulièrement la formation professionnelle, et qui se caractérise par une forte participation syndicale. Lorsqu'il s'agit du salarié-citoyen, la représentation syndicale subit la concurrence de la part de divers autres groupements établis en fonction de nouvelles identités. La composition des organismes établis par la loi devient alors franchement multipartite. De surcroît, les critères de représentativité des groupements appelés à participer, dont ceux de nature syndicale, sont absents, ce qui affaiblit leur légitimité. D'importants courants d'opinion contemporains favorisent même la représentation directe et exclusive du citoyen-individu, par rapport à l'État, aux dépens de toute intermédiation fonctionnelle. Les acquis de la représentation syndicale, quoique perfectibles, témoignent cependant déjà de façon significative de la présence de divers intérêts collectifs dans la société québécoise, ainsi que de la vocation des groupements syndicaux à participer à leur expression.

La mondialisation a été accompagnée des changements abrupts dans tous les champs. Dans les dernières années, la possibilité d'une pandémie a été diffusée. Cependant, les pays n'étaient pas préparés suffisamment pour faire face à ce fait. Les résultats, depuis sept mois, montrent les conséquences néfastes qui impactent sur les sujets, les organisations et les contextes macro-nationaux eux-mêmes. La pandémie – au moins dans les pays de l'Amérique latine, avec certaines différences – a mis au découvert les "dettes " des gouvernements face aux inégalités déjà existantes mais qui se sont perpétuées pendant les dernières décennies et de "dettes " en matière de formation des compétences par rapport aux nouvelles exigences du monde du travail, parmi d'autres. L'actuel scénario COVID-19 met l'accent sur le besoin de repenser la réalité à partir d'approches renouvelées et intégratives. Notre perspective a été toujours systémique sui generis et, en principe, plus liée aux sciences sociales et humaines. Ici, nous présentons cette approche à travers trois (3) modèles complémentaires, développés dans des recherches empiriques (1978-2015). Après revisiter d'autres paradigmes de la "science " – qui n'excluent pas l'intégration des sciences sociales, et placés sous l'scénario qui pose le COVID-19 – nous nous rapprochons d'un nouveau paradigme. En effet, nous récupérons les aspects des modèles antérieurs en ajoutant une autre perspective qui resitue la personne/le citoyen au milieu des cercles auto soutenus : la société et la culture ainsi que le besoin de solidarité. L'expérience mondiale nous montre que, pour faire face à la crise, les sciences exactes se sont réunis avec d'autres comme la politique (notamment, les politiques publiques et la géopolitique), la médecine (du travail, épidémiologie, infectiologie, immunologie, génétique,…), l'économie, la sociologie (en spéciale, la sociologie des inégalités qui vont augmenter après le COVID-19, etc.), l'éducation (domaine qui devra se renouveler vite pour éviter l'abandon avec ses conséquences sur le plan du travail et de la réalisation personnelle, la technologie (qui aide avec des dispositifs à sortir de l'émergence), parmi d'autres. Seul la réunion de tous les domaines sous une perspective systémique et en travaillant sur des problèmes concrètes dès la transdisciplinarité, pourra nous aider à sortir de cette crise. Mais, ce qui définit notre nouvelle approche sous ce cadre global, est le rôle de la personne. Elle est devenue centrale. Pourquoi ? L'expérience vient de nous montrer que, même si les systèmes macro nationales et méso organisationnels ont fait un grand effort pour palier la situation, rien change si la personne ne prend pas conscience de l'importance de récupérer certaines normes et valeurs oubliées, d'abandonner une certaine anomie répandue sous le progressisme, de revaloriser sa liberté "limitée par des contraintes structurelles " pour assumer les responsabilités collectives et sociales et pour prendre conscience de l'importance de l'impact de nos comportements sociaux sur la vie de l'autre, des autres et de la planète. Nous appelons ce paradigme, "Paradigme systémique-compréhensif post COVID-19 pour la 'Nouvelle normalité'".

Holmes (1988) dans sa carte des études de traduction a envisagé une branche des études de traduction descriptives axée sur le processus qui s'intéresse à la psychologie de la traduction en essayant de découvrir ce qui se passe dans l'esprit d'un traducteur pendant leprocessus ou l'acte de traduction. Le but de cet article est d'étudier la dimension psychologique de la procédure de traduction et de proposer une approche didactique visant le développement des compétences psychologiques des étudiants dans un programme de formation de traducteur. À cet égard, l'aspect psychologique du processus de traduction sera brièvement discuté, comprenant le fonctionnement de l'esprit du traducteur allant de la cognition à l'émotion ainsi que des traits de personnalité. Un autre paramètre important à considérer est l'immersion psychologique du phénomène de la traduction dans la manière dont les textes traduits sont compris et interprétés par leurs destinataires ainsi que l'interconnexion entre la psychologie de la traduction et la recherche en sociologie de la traduction. En outre, les implications de la nature psychologique du processus de traduction pour la didactique de la traduction seront étudiées, en fournissant des suggestions qui pourraient aider les étudiants à gérer la tension psychologique ressentie pendant le processus d'apprentissage et à développer leur intelligence émotionnelle afin de faire face aux défis émotionnels au cours de leur carrière en tant que professionnels. L'intention générale de cet article est de montrer qu'il existe un angle psychologique dans la plupart des procédures liées à la traduction, ce qui pourrait offrir des pistes intéressantes pour une coopération de recherche fructueuse au sein de la traductologie ainsi qu'avec d'autres disciplines. Abstract Holmes (1988) in his map of Translation Studies envisioned a process-oriented branch of Descriptive Translation Studies which is concerned with the psychology of translation trying to find out what happens in the mind of a translator during the process or act of translating. The purpose of this paper is to investigate the psychological dimension of the translation procedure and propose a didactic approach aiming to student psychological competence development in a translator training programme. To this respect, the psychological aspect of the translation process will be briefly discussed, comprising the workings of the translator‟s mind ranging from cognition to emotion as well as personality traits. Another important parameter to be considered is the psychological immersion of the translation phenomenon to the way in which translated texts are understood and interpreted by their recipients as well as the interconnectedness between translation psychology and translation sociology research. Furthermore, the implications of the psychological nature of the translation process for translation didactics will be investigated, providing suggestions that could help students handle the psychological tension felt during the learning process and develop their emotional intelligence in order to deal with emotional challenges during their career as professionals. The overall intention of the paper is to show that there is a psychological angle to most translation-related procedures, which could offer interesting avenues for fruitful research cooperation within Translation Studies as well as with other disciplines.

Abstract: In Vietnamese legal science today, legal liability is approached in a negative way that is linked to the violation of law. This approach causes difficulties in acquiring specialized legal knowledge. This paper analyzes the limitations of the traditional approach and proposes a new approach to legal liability. Keywords: Legal responsibility; violation of law; willingness; legal act; legal fact. References 1. Hoàng Thị Kim Quế, Giáo trình lý luận nhà nước và pháp luật, Nxb. Đại học Quốc gia Hà Nội, 2015, tr.397.2. Nguyễn Văn Động, Giáo trình lý luận chung về nhà nước và pháp luật, Nxb. Chính trị Quốc gia, 2014, Chương XI; Lê Văn Cảm, Vi phạm pháp luật và trách nhiệm pháp lý, trong Hoàng Thị Kim Quế (Chủ biên), Giáo trình Lý luận chung về nhà nước và pháp luật, Nxb. Đại học Quốc gia Hà Nội, 2005, tr. 537-575.3. Hoàng Thị Kim Quế, Giáo trình lý luận nhà nước và pháp luật, Sđd, tr.398; Lê Văn Cảm, Vi phạm pháp luật và trách nhiệm pháp lý, Sđd, tr.550.4. Hoàng Thị Kim Quế, Giáo trình lý luận nhà nước và pháp luật, Sđd, tr.395; Lê Văn Cảm, Vi phạm pháp luật và trách nhiệm pháp lý, Sđd, tr.550.5. Đào Duy Anh, Hán - Việt từ điển giản yếu, Nxb. Văn hóa thông tin, 2013, tr. 716.6. Đỗ Minh Hợp, Tự do và trách nhiệm trong đạo đức học hiện sinh, Tạp chí Triết học, số12/2007, tr. 27-33.7. Nguyễn Văn Phúc, Tự do và trách nhiệm trong hoạt động của con người, trong: Phạm Văn Đức và các cộng sự, (chủ biên), Công bằng xã hội trách nhiệm xã hội và đoàn kết xã hội, Nxb. Khoa học Xã hội, Hà Nội, 2008, tr. 330-331.8. Cao Minh Công, Trách nhiệm công vụ và đạo đức công chức ở nước ta hiện nay, Luận án Tiến sĩ, Viện Khoa học xã hội Việt Nam, Hà Nội, 2012, tr.43.9. Xem: Christoph Eberhard, “La responsabilité en France: Une approche juridique face à la complexité du monde”, in Edith Sizoo (dir), Responsabilité et cultures du monde. Dialogue autour d’un défi collectif, Éditions Charles Léopold Mayer, Paris, 2008, tr.160.10. Christoph Eberhard, “La responsabilité en France: Une approche juridique face à la complexité du monde”, Sđd, tr.161.11. L B. Curzon, Roman law, London: Macdonald & Evans, 1974, tr.131.12. Eugène GAUDEMET, H. DESBOIS et J. GAUDEMET, Théorie générale des obligations, Paris. Sirey, 1965, tr. 18; Henri, Léon et Jean MAZEAUD, Leçons de droit civil, t. 2, vol. 1. Obligations — Théorie générale, 8e éd., par François CHABAS, Paris, Montchrestien, 1992, tr. 44. Trong “Institutes” (3, 88) của Gaius viết: Nunc transeamus ad obligationes, quarum summa divisio in duas species deducitur: omnis enim obligatio vel ex contractu nascitur, vel ex delicto. Tạm dịch: Bây giờ chúng ta sẽ nói đến nghĩa vụ, trong đó sự phân biệt nền tảng gồm hai nhóm: nghĩa vụ sinh ra từ hợp đồng và nghĩa vụ từ vi phạm pháp luật.13. André Edmond Victor GIFFARD, Robert VILLIERS, Droit romain et ancien droit français — Les obligations, Dalloz, 1958, tr. 10.14. Ngô Huy Cương, Nguồn gốc của nghĩa vụ và phân loại nghĩa vụ, Tạp chí Nghiên cứu lập pháp, số 8/2008, tr.5-14.15. Robert Joseph POTHIER, Traité des obligations, Paris, Cosse et Marchai, 1821, n° 123, tr.59; François TERRE, Philippe SIMLER et Yves LEQUETTE, Droit civil — Les obligations, 5e éd., Paris, Dalloz. 1993, tr.20.16. Jean Hauser, Objectivisme et subjectivisme dans l’acte juridique, L.G.D.J, 1971, note 5, tr. 27.17. Nigel Foster, German Law & Legal System, Blackstone Press Limited, London, 1993, dẫn theo Ngô Huy Cương, Nguồn gốc của nghĩa vụ và phân loại nghĩa vụ, Sđd.18. Jacques FLOUR et Jean-Luc AUBERT, Les obligations — L'acte juridique, 6e éd., Paris, Armand Colin, 1994, tr.32.19. Xem: Benoî Moore, De l’acte et du fait juridique: un critère de distinction incertain, Revue juridique Thémis, n277/1997, tr.281—309.20. Jacques GHESTIN, Gilles GOUBEAUX et Muriel FABRE-MAGNAN, Traité de droit civil — Introduction générale, T éd., Paris, L.G.D.J., 1994, tr. 137 ; Nicole CATALA, La nature juridique du payment Paris, L.G.D.J., 1961, tr.26; Gérard CORNU, Vocabulaire juridique, 2 éd., Paris, PUF, 1990, Các từ “Acte”, “fait” et “volonté”.21. Mircea DURMA, La notification de la volonté: Rôle de la notification dans la formation des actes juridiques, Paris, Sirey, 1930, tr. 9.22. Jacques MARTIN DE LA MOUTTE, L'acte juridique unilatéral : essai sur sa notion et sa technique en droit, Paris, Sirey. 1951.23. Jacques MARTIN DE LA MOUTTE, Sđd., note 36, tr.26.24. Grégoire Forest, Essai sur la notion d'obligation en droit privé, Dalloz, 2012, tr.15 ; J. Hauser, Dictionnaire de la culture juridique, dir. D. Alland et S. Rials, Lamy-PUF, 2013, tr.9.25. Jacques MARTIN DE LA MOUTTE, Sđd., note 36, tr.27.

No man [...] can wear one face to himself and another to the multitude, without finally getting bewildered as to which one may be true. (Nathaniel Hawthorne Scarlet Letter – as seen and pondered by Tony Soprano at Bowdoin College, The Sopranos, Season 1, Episode 5: “College”)The fictitious is a particular and varied source of insight into the everyday world. The idea of seriality—with its variations of the serial, series, seriated—is very much connected to our patterns of entertainment. In this essay, I want to begin the process of testing what values and meanings can be drawn from the idea of seriality into comprehending the play of persona in contemporary culture. From a brief overview of the intersection of persona and seriality as well as a review of the deployment of seriality in popular culture, the article focuses on the character/ person-actor relationship to demonstrate how seriality produces persona. The French term for character—personnage—will be used to underline the clear relations between characterisation, person, and persona which have been developed by the recent work by Lenain and Wiame. Personnage, through its variation on the word person helps push the analysis into fully understanding the particular and integrated configuration between a public persona and the fictional role that an actor inhabits (Heinich).There are several qualities related to persona that allow this movement from the fictional world to the everyday world to be profitable. Persona, in terms of origins, in and of itself implies performance and display. Jung, for instance, calls persona a mask where one is “acting a role” (167); while Goffman considers that performance and roles are at the centre of everyday life and everyday forms and patterns of communication. In recent work, I have use persona to describe how online culture pushes most people to construct a public identity that resembles what celebrities have had to construct for their livelihood for at least the last century (“Persona”; “Self”). My work has expanded to an investigation of how online persona relates to individual agency (“Agency”) and professional postures and positioning (Barbour and Marshall).The fictive constructions then are intensified versions of what persona is addressing: the fabrication of a role for particular directions and ends. Characters or personnages are constructed personas for very directed ends. Their limitation to the study of persona as a dimension of public culture is that they are not real; however, when one thinks of the actor who takes on this fictive identity, there is clearly a relationship between the real personality and that of the character. Moreover, as Nayar’s analysis of highly famous characters that are fictitious reveals, these celebrated characters, such as Harry Potter or Wolverine, sometime take on a public presence in and of themselves. To capture this public movement of a fictional character, Nayar blends the terms celebrity with fiction and calls these semi-public/semi-real entities “celefiction”: the characters are famous, highly visible, and move across media, information, and cultural platforms with ease and speed (18-20). Their celebrity status underlines their power to move outside of their primary text into public discourse and through public spaces—an extra-textual movement which fundamentally defines what a celebrity embodies.Seriality has to be seen as fundamental to a personnage’s power of and extension into the public world. For instance with Harry Potter again, at least some of his recognition is dependent on the linking or seriating the related books and movies. Seriality helps organise our sense of affective connection to our popular culture. The familiarity of some element of repetition is both comforting for audiences and provides at least a sense of guarantee or warranty that they will enjoy the future text as much as they enjoyed the past related text. Seriality, though, also produces a myriad of other effects and affects which provides a useful background to understand its utility in both the understanding of character and its value in investigating contemporary public persona. Etymologically, the words “series” and seriality are from the Latin and refer to “succession” in classical usage and are identified with ancestry and the patterns of identification and linking descendants (Oxford English Dictionary). The original use of the seriality highlights its value in understanding the formation of the constitution of person and persona and how the past and ancestry connect in series to the current or contemporary self. Its current usage, however, has broadened metaphorically outwards to identify anything that is in sequence or linked or joined: it can be a series of lectures and arguments or a related mark of cars manufactured in a manner that are stylistically linked. It has since been deployed to capture the production process of various cultural forms and one of the key origins of this usage came from the 19th century novel. There are many examples where the 19th century novel was sold and presented in serial form that are too numerous to even summarise here. It is useful to use Dickens’ serial production as a defining example of how seriality moved into popular culture and the entertainment industry more broadly. Part of the reason for the sheer length of many of Charles Dickens’ works related to their original distribution as serials. In fact, all his novels were first distributed in chapters in monthly form in magazines or newspapers. A number of related consequences from Dickens’ serialisation are relevant to understanding seriality in entertainment culture more widely (Hayward). First, his novel serialisation established a continuous connection to his readers over years. Thus Dickens’ name itself became synonymous and connected to an international reading public. Second, his use of seriality established a production form that was seen to be more affordable to its audience: seriality has to be understood as a form that is closely connected to economies and markets as cultural commodities kneaded their way into the structure of everyday life. And third, seriality established through repetition not only the author’s name but also the name of the key characters that populated the cultural form. Although not wholly attributable to the serial nature of the delivery, the characters such as Oliver Twist, Ebenezer Scrooge or David Copperfield along with a host of other major and minor players in his many books become integrated into everyday discourse because of their ever-presence and delayed delivery over stories over time (see Allen 78-79). In the same way that newspapers became part of the vernacular of contemporary culture, fictional characters from novels lived for years at a time in the consciousness of this large reading public. The characters or personnages themselves became personalities that through usage became a way of describing other behaviours. One can think of Uriah Heep and his sheer obsequiousness in David Copperfield as a character-type that became part of popular culture thinking and expressing a clear negative sentiment about a personality trait. In the twentieth century, serials became associated much more with book series. One of the more successful serial genres was the murder mystery. It developed what could be described as recognisable personnages that were both fictional and real. Thus, the real Agatha Christie with her consistent and prodigious production of short who-dunnit novels was linked to her Belgian fictional detective Hercule Poirot. Variations of these serial constructions occurred in children’s fiction, the emerging science fiction genre, and westerns with authors and characters rising to related prominence.In a similar vein, early to mid-twentieth century film produced the film serial. In its production and exhibition, the film serial was a déclassé genre in its overt emphasis on the economic quality of seriality. Thus, the film serial was generally a filler genre that was interspersed before and after a feature film in screenings (Dixon). As well as producing a familiarity with characters such as Flash Gordon, it was also instrumental in producing actors with a public profile that grew from this repetition. Flash Gordon was not just a character; he was also the actor Buster Crabbe and, over time, the association became indissoluble for audiences and actor alike. Feature film serials also developed in the first half-century of American cinema in particular with child actors like Shirley Temple, Mickey Rooney and Judy Garland often reprising variations of their previous roles. Seriality more or less became the standard form of delivery of broadcast media for most of the last 70 years and this was driven by the economies of production it developed. Whether the production was news, comedy, or drama, most radio and television forms were and are variation of serials. As well as being the zenith of seriality, television serials have been the most studied form of seriality of all cultural forms and are thus the greatest source of research into what serials actually produced. The classic serial that began on radio and migrated to television was the soap opera. Although most of the long-running soap operas have now disappeared, many have endured for more than 30 years with the American series The Guiding Light lasting 72 years and the British soap Coronation Street now in its 64th year. Australian nighttime soap operas have managed a similar longevity: Neighbours is in its 30th year, while Home and Away is in its 27th year. Much of the analyses of soap operas and serials deals with the narrative and the potential long narrative arcs related to characters and storylines. In contrast to most evening television serials historically, soap operas maintain the continuity from one episode to the next in an unbroken continuity narrative. Evening television serials, such as situation comedies, while maintaining long arcs over their run are episodic in nature: the structure of the story is generally concluded in the given episode with at least partial closure in a manner that is never engaged with in the never-ending soap opera serials.Although there are other cultural forms that deploy seriality in their structures—one can think of comic books and manga as two obvious other connected and highly visible serial sources—online and video games represent the other key media platform of serials in contemporary culture. Once again, a “horizon of expectation” (Jauss and De Man 23) motivates the iteration of new versions of games by the industry. New versions of games are designed to build on gamer loyalties while augmenting the quality and possibilities of the particular game. Game culture and gamers have a different structural relationship to serials which at least Denson and Jahn-Sudmann describe as digital seriality: a new version of a game is also imagined to be technologically more sophisticated in its production values and this transformation of the similitude of game structure with innovation drives the economy of what are often described as “franchises.” New versions of Minecraft as online upgrades or Call of Duty launches draw the literal reinvestment of the gamer. New consoles provide a further push to serialisation of games as they accentuate some transformed quality in gameplay, interaction, or quality of animated graphics. Sports franchises are perhaps the most serialised form of game: to replicate new professional seasons in each major sport, the sports game transforms with a new coterie of players each year.From these various venues, one can see the centrality of seriality in cultural forms. There is no question that one of the dimensions of seriality that transcends these cultural forms is its coordination and intersection with the development of the industrialisation of culture and this understanding of the economic motivation behind series has been explored from some of the earliest analyses of seriality (see Hagedorn; Browne). Also, seriality has been mined extensively in terms of its production of the pleasure of repetition and transformation. The exploration of the popular, whether in studies of readers of romance fiction (Radway), or fans of science fiction television (Tulloch and Jenkins; Jenkins), serials have provided the resource for the exploration of the power of the audience to connect, engage and reconstruct texts.The analysis of the serialisation of character—the production of a public personnage—and its relation to persona surprisingly has been understudied. While certain writers have remarked on the longevity of a certain character, such as Vicky Lord’s 40 year character on the soap opera One Life to Live, and the interesting capacity to maintain both complicated and hidden storylines (de Kosnik), and fan audience studies have looked at the parasocial-familiar relationship that fan and character construct, less has been developed about the relationship of the serial character, the actor and a form of twinned public identity. Seriality does produce a patterning of personnage, a structure of familiarity for the audience, but also a structure of performance for the actor. For instance, in a longitudinal analysis of the character of Fu Manchu, Mayer is able to discern how a patterning of iconic form shapes, replicates, and reiterates the look of Fu Manchu across decades of films (Mayer). Similarly, there has been a certain work on the “taxonomy of character” where the serial character of a television program is analysed in terms of 6 parts: physical traits/appearance; speech patterns, psychological traits/habitual behaviours; interaction with other characters; environment; biography (Pearson quoted in Lotz).From seriality what emerges is a particular kind of “type-casting” where the actor becomes wedded to the specific iteration of the taxonomy of performance. As with other elements related to seriality, serial character performance is also closely aligned to the economic. Previously I have described this economic patterning of performance the “John Wayne Syndrome.” Wayne’s career developed into a form of serial performance where the individual born as Marion Morrison becomes structured into a cultural and economic category that determines the next film role. The economic weight of type also constructs the limits and range of the actor. Type or typage as a form of casting has always been an element of film and theatrical performance; but it is the seriality of performance—the actual construction of a personnage that flows between the fictional and real person—that allows an actor to claim a persona that can be exchanged within the industry. Even 15 years after his death, Wayne remained one of the most popular performers in the United States, his status unrivalled in its close definition of American value that became wedded with a conservative masculinity and politics (Wills).Type and typecasting have an interesting relationship to seriality. From Eisenstein’s original use of the term typage, where the character is chosen to fit into the meaning of the film and the image was placed into its sequence to make that meaning, it generally describes the circumscribing of the actor into their look. As Wojcik’s analysis reveals, typecasting in various periods of theatre and film acting has been seen as something to be fought for by actors (in the 1850s) and actively resisted in Hollywood in 1950 by the Screen Actors Guild in support of more range of roles for each actor. It is also seen as something that leads to cultural stereotypes that can reinforce the racial profiling that has haunted diverse cultures and the dangers of law enforcement for centuries (Wojcik 169-71). Early writers in the study of film acting, emphasised that its difference from theatre was that in film the actor and character converged in terms of connected reality and a physicality: the film actor was less a mask and more a sense of “being”(Kracauer). Cavell’s work suggested film over stage performance allowed an individuality over type to emerge (34). Thompson’s semiotic “commutation” test was another way of assessing the power of the individual “star” actor to be seen as elemental to the construction and meaning of the film role Television produced with regularity character-actors where performance and identity became indissoluble partly because of the sheer repetition and the massive visibility of these seriated performances.One of the most typecast individuals in television history was Leonard Nimoy as Spock in Star Trek: although the original Star Trek series ran for only three seasons, the physical caricature of Spock in the series as a half-Vulcan and half-human made it difficult for the actor Nimoy to exit the role (Laws). Indeed, his famous autobiography riffed on this mis-identity with the forceful but still economically powerful title I am Not Spock in 1975. When Nimoy perceived that his fans thought that he was unhappy in his role as Spock, he published a further tome—I Am Spock—that righted his relationship to his fictional identity and its continued source of roles for the previous 30 years. Although it is usually perceived as quite different in its constitution of a public identity, a very similar structure of persona developed around the American CBS news anchor Walter Cronkite. With his status as anchor confirmed in its power and centrality to American culture in his desk reportage of the assassination and death of President Kennedy in November 1963, Cronkite went on to inhabit a persona as the most trusted man in the United States by the sheer gravitas of hosting the Evening News stripped across every weeknight at 6:30pm for the next 19 years. In contrast to Nimoy, Cronkite became Cronkite the television news anchor, where persona, actor, and professional identity merged—at least in terms of almost all forms of the man’s visibility.From this vantage point of understanding the seriality of character/personnage and how it informs the idea of the actor, I want to provide a longer conclusion about how seriality informs the concept of persona in the contemporary moment. First of all, what this study reveals is the way in which the production of identity is overlaid onto any conception of identity itself. If we can understand persona not in any negative formulation, but rather as a form of productive performance of a public self, then it becomes very useful to see that these very visible public blendings of performance and the actor-self can make sense more generally as to how the public self is produced and constituted. My final and concluding examples will try and elucidate this insight further.In 2013, Netflix launched into the production of original drama with its release of House of Cards. The series itself was remarkable for a number of reasons. First among them, it was positioned as a quality series and clearly connected to the lineage of recent American subscription television programs such as The Sopranos, Six Feet Under, Dexter, Madmen, The Wire, Deadwood, and True Blood among a few others. House of Cards was an Americanised version of a celebrated British mini-series. In the American version, an ambitious party whip, Frank Underwood, manoeuvres with ruthlessness and the calculating support of his wife closer to the presidency and the heart and soul of American power. How the series expressed quality was at least partially in its choice of actors. The role of Frank Underwood was played by the respected film actor Kevin Spacey. His wife, Clare, was played by the equally high profile Robin Warren. Quality was also expressed through the connection of the audience of viewers to an anti-hero: a personnage that was not filled with virtue but moved with Machiavellian acuity towards his objective of ultimate power. This idea of quality emerged in many ways from the successful construction of the character of Tony Soprano by James Gandolfini in the acclaimed HBO television series The Sopranos that reconstructed the very conception of the family in organised crime. Tony Soprano was enacted as complex and conflicted with a sense of right and justice, but embedded in the personnage were psychological tropes and scars, and an understanding of the need for violence to maintain influence power and a perverse but natural sense of order (Martin).The new television serial character now embodied a larger code and coterie of acting: from The Sopranos, there is the underlying sense and sensibility of method acting (see Vineberg; Stanislavski). Gandolfini inhabited the role of Tony Soprano and used the inner and hidden drives and motivations to become the source for the display of the character. Likewise, Spacey inhabits Frank Underwood. In that new habitus of television character, the actor becomes subsumed by the role. Gandolfini becomes both over-determined by the role and his own identity as an actor becomes melded to the role. Kevin Spacey, despite his longer and highly visible history as a film actor is overwhelmed by the televisual role of Frank Underwood. Its serial power, where audiences connect for hours and hours, where the actor commits to weeks and weeks of shoots, and years and years of being the character—a serious character with emotional depth, with psychological motivation that rivals the most visceral of film roles—transforms the actor into a blended public person and the related personnage.This blend of fictional and public life is complex as much for the producing actor as it is for the audience that makes the habitus real. What Kevin Spacey/Frank Underwood inhabit is a blended persona, whose power is dependent on the constructed identity that is at source the actor’s production as much as any institutional form or any writer or director connected to making House of Cards “real.” There is no question that this serial public identity will be difficult for Kevin Spacey to disentangle when the series ends; in many ways it will be an elemental part of his continuing public identity. This is the economic power and risk of seriality.One can see similar blendings in the persona in popular music and its own form of contemporary seriality in performance. For example, Eminem is a stage name for a person sometimes called Marshall Mathers; but Eminem takes this a step further and produces beyond a character in its integration of the personal—a real personnage, Slim Shady, to inhabit his music and its stories. To further complexify this construction, Eminem relies on the production of his stories with elements that appear to be from his everyday life (Dawkins). His characterisations because of the emotional depth he inhabits through his rapped stories betray a connection to his own psychological state. Following in the history of popular music performance where the singer-songwriter’s work is seen by all to present a version of the public self that is closer emotionally to the private self, we once again see how the seriality of performance begins to produce a blended public persona. Rap music has inherited this seriality of produced identity from twentieth century icons of the singer/songwriter and its display of the public/private self—in reverse order from grunge to punk, from folk to blues.Finally, it is worthwhile to think of online culture in similar ways in the production of public personas. Seriality is elemental to online culture. Social media encourage the production of public identities through forms of repetition of that identity. In order to establish a public profile, social media users establish an identity with some consistency over time. The everydayness in the production of the public self online thus resembles the production and performance of seriality in fiction. Professional social media sites such as LinkedIn encourage the consistency of public identity and this is very important in understanding the new versions of the public self that are deployed in contemporary culture. However, much like the new psychological depth that is part of the meaning of serial characters such as Frank Underwood in House of Cards, Slim Shady in Eminem, or Tony Soprano in The Sopranos, social media seriality also encourages greater revelations of the private self via Instagram and Facebook walls and images. We are collectively reconstituted as personas online, seriated by the continuing presence of our online sites and regularly drawn to reveal more and greater depths of our character. In other words, the online persona resembles the new depth of the quality television serial personnage with elaborate arcs and great complexity. Seriality in our public identity is also uncovered in the production of our game avatars where, in order to develop trust and connection to friends in online settings, we maintain our identity and our patterns of gameplay. At the core of this online identity is a desire for visibility, and we are drawn to be “picked up” and shared in some repeatable form across what we each perceive as a meaningful dimension of culture. Through the circulation of viral images, texts, and videos we engage in a circulation and repetition of meaning that feeds back into the constancy and value of an online identity. Through memes we replicate and seriate content that at some level seriates personas in terms of humour, connection and value.Seriality is central to understanding the formation of our masks of public identity and is at least one valuable analytical way to understand the development of the contemporary persona. This essay represents the first foray in thinking through the relationship between seriality and persona.ReferencesBarbour, Kim, and P. David Marshall. “The Academic Online Constructing Persona.” First Monday 17.9 (2012).Browne, Nick. “The Political Economy of the (Super)Text.” Quarterly Review of Film Studies 9.3 (1984): 174-82. Cavell, Stanley. “Reflections on the Ontology of Film.” Movie Acting: The Film Reader. Ed. Wojcik and Pamela Robertson. 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