Academic literature on the topic 'Fonctionnaires locaux – Formation'

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Journal articles on the topic "Fonctionnaires locaux – Formation":

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Depover, Christian, Jean-Jacques Quintin, Alain Brun, and Sandrine Decamps. "D'un modèle présentiel vers un modèle hybride. Etapes et stratégies à mettre en œuvre dans le cadre d une formation destinée à des fonctionnaires locaux." Distances et savoirs 2, no. 1 (March 31, 2004): 39–52. http://dx.doi.org/10.3166/ds.2.39-52.

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Fall, Abdou Khadre, Thierry Daniel Tamsir Nesseim, and Sokhna Diarra Ndour. "Déterminants Sociotechniques De L'élevage De La Volaille Au Sein Des Concessions Dans La Commune De Bambey, Sénégal." European Scientific Journal ESJ 17, no. 40 (November 30, 2021): 158–77. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n40p158.

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Abstract:
L’aviculture est une activité socio-économique très répandue et importante au Sénégal car c’est un secteur qui pourvoie des emplois. L’étude s’est déroulée auprès de 150 aviculteurs à travers une enquête formelle dans la commune de Bambey, région de Diourbel au Sénégal. Les enquêtes ont porté sur les caractéristiques socio-économiques des éleveurs, la conduite technique et économique des élevages mais aussi sur l’analyse des contraintes. Elle est constituée de 70,7% d’hommes et 29,3% de femmes dont 75% sont mariés ,19% sont célibataires et 6% sont veufs avec une moyenne d’âge de 38,6±13,5 ans. L’activité est exercée notamment par des fonctionnaires (22,7%), des étudiants (17 ,3%), des commerçants, des ménagères et des ouvriers à 14,7% pour chaque groupe. Ceux dont l’aviculture est leur activité principale ne représentent que 8%. La motivation des aviculteurs est plus qu’économique (53,3%) et passionnelle (25,3%). L’appropriation de la volaille revient à 88% des enquêtés, à 6,7% aux membres de la famille et à 4% aux enfants. Les élevages sont de type mono spécifique (52%) et plurispécifique (48%). Les espèces élevées sont les poulets (locaux et exotiques), les pigeons, les canards, les dindes, les oies, les pintades et les cailles. La quasi-totalité des éleveurs (73,3%) alimentent leurs volailles au moins une fois par jour alors que 26,7% laissent leurs animaux en divagation. La reproduction est mieux contrôlée chez les espèces de races exotiques. La vaccination est pratiquée par 64,6% des enquêtés. Les pathologies dominantes sont la maladie de Newcastle (47,6%), le parasitisme (18,4%), la variole (13,4%) et le coryza (10,3%), Les principales contraintes sont les maladies, la cherté des aliments, la chaleur, le manque de formation. Cependant, le développement de l’aviculture nécessite la mise en place d’un programme de conseil. La subvention et l’implication de tous les acteurs du système est nécessaire pour son développement.
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Zenner, Maria. "Region — Nation — Europa. Untersuchungen zur historisch-politischen Argumentation saarländischen Politiker : Johannes Hoffmann." Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 18, no. 1 (1986): 5–24. http://dx.doi.org/10.3406/reval.1986.2816.

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Abstract:
Région – Nation – Europe. La formation de la conscience de l’histoire et celle de la conscience de l’Europe dans les régions frontières franco-allemandes, c’est l’intérêt principal de notre recherche. Sous ce point-de-vue la recherche analyse les idées de Johannes Hoffmann, ministre-président de la Sarre de 1947 à 1955 et avocat engagé au rattachement économique de la Sarre à la France et à la formation d’un Saarland autonome et indépendant de l’Allemagne. Dans son livre “Das Ziel war Europa” (1963) Hoffmann donne une esquisse de sa vie et de sa politique. Il insiste surtout sur les principes qui l’ont orienté. En expliquant sa politique sous des aspects régionaux, nationaux et européens, il développe une argumentation historique et politique en faveur de la légitimation de sa politique. C’est surtout “l’autonomie” de la Sarre, inaugurée par la politique française demandant la scission de la Sarre à l’Allemagne, à laquelle il donne un sens positif et qu’il essaie de remplir d’une substance historique. La Sarre — selon Hoffmann — n’a pas non seulement accepté son autonomie et la scission à l’Allemagne en respectant l’intérêt de sécurité de la France et en s’orientant à ses intérêts économiques, mais la Sarre est encore motivée par des expériences historiques des ouvriers catholiques et du parti du centre catholique au 19e siècle. Hoffmann dessine une ligne de frustrations sarroises : les structures de dépendance au 19e siècle, le manque d’une fonction législative du Landesrat sous le régime de la Société des Nations, l’administration nazie avec ses fonctionnaires du Palatinat, tout ça, c’est pour lui une longue histoire de dépendance et de tutelle. C’est pourquoi la Sarre a éprouvé un besoin d’autonomie. Quant à la question nationale, Hoffmann part de l’impuissance de l’Allemagne en 1945 et de l’ébranlement du prestige allemand par le nationalsocialisme pour finir par la relativité de l’idée nationale et par une critique de l’histoire allemande au 19e siècle. En même temps il insiste sur le fait qu’en Sarre a été respecté la culture locale allemande, le langage des habitants et leur droit de disposer d’eux-mêmes. Mais le but principal de son livre est de démontrer que sa politique a contribué d’une manière significative à un rapprochement franco-allemand et à la formation d’une Europe fédérale et supranationale. On peut sentir à quel point son argumentation est limitée, lorsqu’il avance la continuité de sa biographie, ainsi quand on considère l’ensemble des traditions sarroises et, quand on compare les fondements de la conscience que Hoffmann a de l’Europe au développement en Alsace, des différences apparaissent en ce qui concerne la conscience de l’Europe dans les régions frontières.
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Goodale, Mark. "Droits humains." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.093.

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Abstract:
En tant que sous-domaine émergeant de l'anthropologie sociale et culturelle, l'anthropologie des droits humains a contribué à la théorie et à la méthodologie de diverses manières. Il a également apporté des contributions en dehors de la discipline puisque les juristes internationaux, les responsables politiques et les représentants du gouvernement se réfèrent à l'anthropologie des droits humains comme source d'informations et d'idées au sujet des droits humains dans les documents politiques, les rapports aux agences gouvernementales et dans les principaux discours publics (voir par ex. Higgins 2012, 2013). Culture En tant que catégorie d'organisation de la différence, la culture était dès le départ problématique pour les droits humains. Dans sa Déclaration sur les droits de l'homme de 1947, Melville Herskovits craignait que la diversité et la richesse culturelles ne soient incompatibles avec les droits humains, en affirmant des modèles transculturels de croyances et de pratiques normatives contredisant les preuves anthropologiques et en menaçant d'ignorer la culture au sein de l'économie politique de l'ordre de l’après-guerre. En dépit de ces préoccupations, la diversité culturelle n'a pas été affectée par la promulgation de la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948. Ceci, en grande partie, est dû à l'influence plus large des droits humains, sans parler de la transformation globale imaginée par Herskovits, qui a immédiatement été bloquée par la Guerre froide. Même Eleanor Roosevelt a reconnu que le projet des droits humains prendrait des années, voire des décennies, et que les modèles culturels ne commenceraient à changer que lorsque ce qu'elle appelait une «vigne curieuse» prendra racine puis se répandra dans des lieux où « les gouvernements ne l’attendent pas » (cité dans Korey 1998). Au moment où ce genre de changement à grande échelle a commencé, les anthropologues des droits humains ont observé que l'impact sur la culture défiait la dichotomie entre particularisme et universalisme et que la culture elle-même facilitait la transnationalisation des normes des droits humains. Dans le volume novateur Culture and Rights (« Culture et Droits ») (2001), les anthropologues qui se sont penchés sur une décennie de recherche ethnographique après la fin de la Guerre froide ont remarqué deux phénomènes clés à l'œuvre. Dans la première, les pratiques culturelles et les modes de compréhension normatifs existants ont servi de mécanismes à ce que Sally Engle Merry (2006a) décrira plus tard comme la «vernacularisation», à savoir l’application de normes internationales des droits humains de plus en plus hégémoniques dans des formes de pratique éthique et politique ancrées dans le particulier. Et dans la seconde, les spécialistes de Culture et Droits ont décrit et théorisé l'émergence d'une culture transnationale des droits humains. Ici, un compte rendu anthropologique de la culture s'est avéré utile pour comprendre la formation de nouvelles catégories d'action collective au sein des agences internationales, des ONG transnationales et des mouvements politiques et sociaux façonnés par les logiques des droits humains. Dans les deux cas, l'utilisation par les anthropologues du concept de culture pour comprendre la pratique des droits humains a évolué à contre-courant de la théorie anthropologique et sociale, sceptique sur l'utilité analytique de la culture face à l'hybridation supposée de la mondialisation. Pouvoir Les droits humains, comme Burke aurait pu le dire, agissant à travers les gens, c'est du pouvoir; et «les gens prévenants, avant qu'ils ne se déclarent, observeront l'usage qui est fait du pouvoir; et surtout d'éprouver quelque chose comme l’exercice d’un nouveau pouvoir sur des personnes nouvelles, dont les principes, les colères et les dispositions ont peu ou pas d'expérience »(Burke 1919 [1790]: 7, souligné par l’auteur). Les anthropologues des droits humains ont été très attentifs à un autre problème initialement identifié par Herskovits: la manière dont un projet global de droits humains crée des tensions accrues au sein des conflits d’intérêts existants en éliminant toutes formes alternatives de changement social et de résolution des conflits. Bien sûr, du point de vue des défenseurs des droits humains, c'est un pouvoir exercé pour le bien; en effet, comme l'expriment avec force les traités internationaux comme la CEDAW, le projet des droits humains d'après-guerre exige le changement, le remplacement, voire la suppression des modes de pratique culturelle qui restent inexplicables et donc illégitimes. Comme le stipule l'article 5 souvent cité par le CEDAW, les États parties à la charte internationale des droits des femmes doivent «modifier les comportements sociaux et culturels des hommes et des femmes en vue d'éliminer les préjugés et autres pratiques coutumières» qui sont basées sur les théories locales de l'inégalité de genre. Mais, comme l'ont montré les anthropologues, les droits humains tendent souvent à mettre entre guillemets et à marginaliser les autres logiques culturelles de justice sociale, de développement, de transformation des conflits et d'éthique publique. Et cette extension du pouvoir peut avoir des conséquences inattendues. L'un des exemples les plus complets de la façon dont les anthropologues ont exploré les implications du pouvoir imprévisible des droits humains est l'ethnographie du développement de Harri Englund (2006) au Malawi. Comme il l'explique, le concept des droits humains a été officiellement traduit dans la langue locale avec une phrase qui signifiait «la liberté avec laquelle on est né» (2006: 51). Au fil du temps, les gens ont mis l'accent sur la liberté de contester les normes culturelles existantes en matière de mode, d'obéissance dans les écoles publiques et de comportement sexuel, plutôt que sur les conditions structurelles économiques et politiques qui renforçaient un héritage d'inégalité et de corruption publique. Le résultat, selon Englund, fut que les Malawiens finissaient par être «privés de la traduction». Le discours sur les droits humains a saturé tous les aspects de la vie publique au Malawi, comme le voulaient les fonctionnaires et les travailleurs humanitaires transnationaux. Mais puisque les droits humains étaient mal traduits dans une langue vernaculaire locale, ils ont été transformés au point d'être méconnaissables, ce qui a empêché leur utilisation comme langage d'un changement social pourtant nécessaire. Épistémologie Quand Herskovits affirmait que l'anthropologie n'était pas capable de faire des affirmations définitives sur les droits humains universels parce qu'elle était une «science de l'humanité» et ne s'intéressait donc qu'aux questions empiriques du comportement humain exprimées par des «modèles de culture», il ne pouvait prévoir les innovations épistémologiques dans la discipline qui élargiraient ses objets de connaissance et transformeraient ses domaines d'investigation. Cela ne veut toutefois pas dire que, dans les décennies qui ont suivi, les anthropologues ont écarté les premiers arguments de Herskovits pour confronter les problèmes ontologiques et philosophiques fondamentaux qui restaient essentiels aux droits humains. Une grande partie du travail intellectuel consacré aux droits humains restait dans des sphères telles que les études juridiques critiques, la théorie politique et la philosophie morale. Au contraire, les anthropologues ont utilisé la recherche ethnographique pour étayer de manière subversive l'élargissement des bases sur lesquelles les questions fondamentales morales et théoriques des droits humains pouvaient être posées et résolues. Ceci, à son tour, a eu des implications importantes pour l'épistémologie des droits humains, en particulier dans l'après-Guerre froide, lorsque le discours sur les droits humains s'est de plus en plus intégré dans les pratiques juridiques, politiques et sociales. Les anthropologues ont très tôt observé que les idées sur les droits humains étaient fondamentales dans leur mise en pratique. Les acteurs sociaux, souvent pris dans des moments de crise ou de dislocation, n'ont jamais été capables d'exploiter simplement les droits humains ou de corrompre leurs imaginaires de justice comme s'il s'agissait d'une boîte à outils normative attendant d'être ouverte. Au lieu de cela, les logiques de défense des droits humains exigeaient autant de considération de soi que de changement social; les gens étaient invités, encouragés, obligés de se repenser en tant que citoyens d'un univers moral différent. La théorisation éthique en termes de cet univers moral souvent radicalement différent est devenue une forme distincte de pratique sociale et l'anthropologue est devenu à la fois témoin et participant de cette transformation dans le cadre de la rencontre ethnographique (voir Goodale 2006). Ce qui en résulta fut un enregistrement ethnographique de modèles de droits humains innovants et potentiellement transformateurs, profondément ancrés dans les circonstances de leur création. Le meilleur exemple que nous ayons d'un compte rendu local des droits humains parfaitement articulé est l'ethnographie de Shannon Speed ??sur les conséquences de la rébellion zapatiste au Chiapas (2007). Pendant et après la violence, des organisations internationales et transnationales de défense des droits humains ont envahi la région du Chiapas. Ceux qui défendent les droits des peuples autochtones en tant que droits humains ont été particulièrement influents dans la façon dont la résistance zapatiste s’est exprimée. Les leaders politiques indigènes ont formé des «conseils de bonne gouvernance» dans lesquels les idées sur les droits humains ont été longuement débattues, remaniées et ensuite utilisées pour représenter les valeurs morales zapatistes en tant qu'action politique zapatiste enracinée. Plaidoyer transnational Les réseaux transnationaux des droits humains qui ont émergé après la fin de la Guerre froide ont fait ce qu'Eleanor Roosevelt attendait d'eux: ils ont défié la souveraineté de l'Etat et ont permis de créer de nouvelles sphères publiques à la fois translocales et ancrées dans les sites de contestation intime. Des chercheurs comme Annelise Riles (2000) ont étudié ces réseaux de l'intérieur et ont contribué à la compréhension plus large des assemblages mondiaux qui modifiaient l'ontologie des relations sociales à une époque de transformation économique géopolitique et mondiale. Mais les anthropologues ont également montré à quel point les réseaux de défense des droits humains sont façonnés par les économies politiques des conflits locaux de manière à changer leur valence normative et à les rendre incapables de remplir leur mandat plus large de changement social et de transformation morale. Par exemple, l'ethnographie de longue durée de Winifred Tate (2007) du conflit historique entre l'État colombien et les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) montre comment les défenseurs des droits humains luttent pour traduire la langue et les logiques morales des droits humains universels en une catégorie instrumentale de l'action pouvant répondre aux défis du traumatisme historique, des récits multiples et ambigus de la culpabilité pour les atrocités commises, de l'héritage de la violence structurelle, et des modèles durables d'inégalité économique ayant des racines dans la période coloniale. Et l'étude de Sally Engle Merry (2006b) sur les institutions qui surveillent la conformité nationale à la CEDAW illustre en détail la façon dont les défenseurs des droits humains doivent eux-mêmes naviguer entre des cultures multiples de défense et de résistance. Les représentants des ministères nationaux des droits humains se trouvent souvent obligés de défendre à la fois le respect d'un traité international des droits humains et l'intégrité et la légitimité des pratiques culturelles qui semblent violer ce même traité. Néanmoins, ces dichotomies n'annulent pas la portée du droit international des droits humains dans les conflits nationaux et locaux. Au contraire, comme le souligne Merry, elles reflètent la façon dont la pratique des droits humains crée ses propres catégories d'identités et de pouvoirs contestés avec des implications incertaines pour la défense transnationale des droits humains et la promotion du patrimoine national(-iste). Critique et engagement Enfin, l'anthropologie des droits humains, peut-être plus que d'autres orientations académiques s’intéressant aux droits humains, se heurte avec difficultés au dilemme de développer un compte rendu rigoureux et ethnographique des droits humains qui soit à la fois critique et éthiquement conforme aux conditions de vulnérabilité qui mènent aux abus et à l’exploitation. Cette tension s'est exprimée de différentes manières pour chaque anthropologue. Certains (comme Winifred Tate et Shannon Speed, par exemple) ont commencé leur carrière en tant qu'activistes des droits humains avant de faire de la recherche et de mener une réflexion ethnographique sur les processus sociaux et politiques pour lesquels ils s’étaient engagés. Mais la tension entre la critique et l'engagement, le scepticisme et le plaidoyer, et la résistance et l'engagement, n'est pas seulement un défi pour les anthropologues des droits humains. Comme l'a démontré la recherche ethnographique, c'est un fait social et moral fondamental pour la pratique des droits humains elle-même. Ceci en partie parce que la théorie de la pratique sociale et du changement politique que propose les droits humains exige une forme d'autoréflexion et d'auto-constitution destinée à semer le doute sur les pratiques culturelles existantes, sur les théories populaires de l’individu, et sur les hiérarchies du pouvoir. Pourtant, la transition de l'ancien à l’actuel devenu tout à coup illégitime au nouveau et maintenant soudainement authentique est lourde de dérapage moral et de conséquences imprévues. Un exemple récent d'ethnographie de la pratique des droits humains est l'étude de Lori Allen (2013), portant sur le rôle du discours sur les droits humains dans la politique de résistance palestinienne à l'occupation israélienne de la Cisjordanie. Bien que le langage des droits humains ait été utilisé dès la fin des années 1970 en Palestine comme stratégie rhétorique populaire pour défendre les victimes de l'occupation auprès d'une audience internationale, un cercle professionnel d'activistes et d'ONG finit par restreindre l'utilisation des droits humains dans des espaces sociaux et politiques étroitement contrôlés. Dans le même temps, l'ensemble des griefs palestiniens sont restés sans réponse pendant des décennies, comme la violation des droits humains continuelle, l'incapacité à obtenir l'indépendance politique et à influencer favorablement l'opinion politique en Israël. Le résultat fut que les Palestiniens en vinrent à considérer les droits humains avec cynisme et même suspicion. Mais plutôt que de rejeter entièrement les droits humains, ils ont formulé une critique organique des droits humains dans un discours critique et émancipateur plus large promouvant l'autonomie palestinienne, l'anti-impérialisme et l’activisme associatif (par opposition à l'interventionnisme). Après des décennies d'engagement pour les droits humains dans l'histoire de la lutte palestinienne contre l'occupation, les militants ont pu s'approprier ou rejeter les logiques et les attentes des droits humains avec un haut degré de conscience contextuelle et de réalisme politique. Orientations futures L'anthropologie des droits humains est maintenant bien établie en tant que domaine de recherche distinct et source de théorie anthropologique. Sur le plan institutionnel, les universitaires et les étudiants diplômés qui travaillent dans le domaine de l'anthropologie des droits humains viennent généralement, mais pas exclusivement, des rangs de l'anthropologie juridique et politique. Parce que les droits humains sont devenus un mode de plus en plus omniprésent du monde contemporain, les anthropologues rencontrent des traces de cette influence à travers un large éventail de pratiques culturelles, de mouvements politiques et de projets moraux. Cela ne veut cependant pas dire que le statut des droits humains n'est pas contesté, bien au contraire. Alors que la période liminaire de l'après-Guerre froide cède la place à la redifférenciation culturelle, à l'établissement de nouvelles hiérarchies et au rétrécissement des espaces d'expérimentation politique et sociale, les droits humains continueront à bousculer les formes alternatives de pratiques morales et de constitution personnelle et collective. Alors que le projet des droits humains d'après-guerre mûrit en se transformant en processus presque banal de réforme constitutionnelle, de bonne gouvernance et de restructuration économique néo-libérale, son potentiel de catalyseur de transformation radicale et de bouleversement moral diminuera probablement. L'anthropologie des droits humains deviendra moins l'étude d'un discours politique et moral à une époque de transition souvent vertigineuse et de possibilités apparemment illimitées, que celle d'un universalisme séculaire contemporain établi parmi une foule de perspectives concurrentes.

Dissertations / Theses on the topic "Fonctionnaires locaux – Formation":

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Bories-Azeau, Isabelle. "L' efficacité de la formation des agents communaux : une approche par la motivation à se former." Montpellier 1, 2004. http://www.theses.fr/2004MON10021.

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Abstract:
La formation est appréhendée comme un outil de GRH qui facilite l'adaptation des communes aux changements de leur environnement. L'analyse de la contribution de la formation à la modernisation du service public communal renvoie alors à la problématique de l'efficacité de la formation. L'objet de notre thèse est de préciser les conditions de cette efficacité, c'est-à-dire l'adaptation de la réponse de l'agent communal à la demande de l'usager du service. La motivation à se former est reconnue par les modèles d'efficacité de la formation, cadre théorique de notre recherche, comme la première de ces conditions. Après avoir analysé ce concept dans la littérature, nous avons pris le parti de le définir comme le désir de l'agent communal d'acquérir des connaissances et des compétences en formation. Nous avons réalisé une étude empirique qualitative dans 21 communes (21 responsables de formation et 34 agents interrogés) afin de préciser les déterminants individuels et contextuels de la motivation à se former et les incidences de la motivation à se former sur l'efficacité de la formation. Les résultats de cette étude mettent en lumière le rôle de l'utilité perçue de la formation dans les processus d'apprentissage et de transfert des acquis de la formation. Ils suggèrent aussi le développement de pratiques de mobilité interne afin de lier les résultats de la formation à des perspectives d'évolution dans la commune.
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Olivier, Anne. "La formation des maîtres d’apprentissage en collectivités territoriales en question." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2021. http://www.theses.fr/2021PA080118.

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Abstract:
L’apprentissage constitue aujourd’hui une des questions prioritaires pour le gouvernement en matière de formation des jeunes. Intégré dans le champ de la formation professionnelle comme filière à part entière, sa mise en œuvre requiert un acteur, sans lequel rien n’est possible, le maître d’apprentissage en situation de travail. Cette fonction relativement récente dans les collectivités territoriales et semble-t-il assez méconnue, fait suite à l’ouverture du secteur public à l’apprentissage à la fin du XXème siècle.Qui est –il ? Que fait-il ? Sur quelle base accède-t-on à cette fonction ? Quelle est sa formation ? Voici quelques-unes des questions qui sont posées au travers de cette recherche pour dégager la spécificité de cette catégorie d’acteurs préalablement à toute proposition de formation.Cette étude de nature exploratoire, prend appui sur les témoignages de maîtres d’apprentissage exerçant dans les collectivités territoriales et les établissements de coopération intercommunale. Dans une perspective diachronique et synchronique, la première partie est consacrée à une exploration historique qui permet d’entrer dans la compréhension, les évolutions et les enjeux de ce mode de formation au métier à travers les âges et la seconde partie interroge le statut et l’identité du maître d’apprentissage aujourd’hui dans ce secteur d’activité. Dans une troisième partie, sont dégagés les impensés et les enjeux d’une formation de cette catégorie d’acteurs
Apprenticeship is now one of the government's priority issues for youth training. Integrated into the field of vocational training as a field in its own right, its implementation requires an actor, without whom nothing is possible, the apprenticeship master in a work situation. This function is relatively recent in local authorities and seems to be relatively unknown, following the opening up of the public sector to apprenticeship at the end of the 20th century.Who is it? What does it do? On what basis does one access this function? What is its training? These are some of the questions that are asked through this research to identify the specificity of this category of actors preliminary to any training proposal.This exploratory study is based on the testimonies of apprenticeship masters working in local authorities and intermunicipal cooperation establishments. In a diachronic and synchronic perspective, the first part is dedicated to a historical exploration that allows us to understand the evolution and the issues of this mode of training in the profession through the ages, and the second part questions the status and identity of the apprentice master today in this sector of activity. In the third part, the unthoughts and the challenges of training this category of actors are identified
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Brémaud, Loïc. "Comment devenir directeur général des services communaux : étude des processus de socialisation et de formation à la fonction de D.G.S. des 43 directeurs généraux des services communaux du département d'Ille et Vilaine." Rennes 2, 2003. http://www.theses.fr/2003REN20054.

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Abstract:
Comment devient-on directeur général des services communaux sans y avoir été préparé ? C'est la question centrale que nous nous poserons pour comprendre les modalités de professionnalisation des 43 directeurs généraux des communes de plus de 3 500 habitants du département d'Ille et Vilaine. Leurs trajectoires seront analysées depuis leurs intentions professionnelles jusqu'aux fonctions actuelles. A partir d'une démarche compréhensive, la recherche met en évidence des profils différents d'accès selon les périodes d'arrivée sur la fonction de DGS, hier, celui de l'ascension sociale " par la petite porte " d'agents peu diplômés de la " communale ". Mode d'accès qui se maintiendra à côté de l'arrivée par la " grande porte " de diplômés attirés par le développement de l'agglomération rennaise. Cinq types de trajectoires seront définis : les " alpinistes ", les " parachutistes ", les " précoces ", les " gradés-graduels ", " les programmés ", reflet de la diversité de parcours d'un " melting pot roturier ". La recherche analysera trois formes professionnelles de la fonction : les polycompétents, les " hémi-managers ", les " stratèges ". Sur le plan de leur formation, elle mettra en évidence, l'influence du droit comme discipline de base, la faible pratique de formation continue, l'absence de formation préparatoire à la fonction. Manques compensés par des pratiques " d'autoformation sociale de configuration ", concept que nous élaborerons en nous appuyant sur l'œuvre de Norbert Elias, auteur central de cette thèse. Le mentorat, le préceptorat, les pratiques de réseau seront les principaux modes d'apprentissage d'une autoformation centrée sur les relations. Ces résultats seront relativisés aux espaces de la " configuration Ille et Vilaine ", aux caractéristiques particulières et replacés dans le " processus de civilisation à la française ", produisant une forme à la fonction de DGS, structurant les identités professionnelles, en positionnant la commune face à l'Etat central
How do you become head of city services without having been prepared for it ? It's the very question we will ask ourselves to understand how professional the 43 General directors of the cities of more than 3500 inhabitants in Ille et Vilaine can become. Their career trajectory will be analysed starting from their professional plans up to their present function. With the help of a comprehensive way the study highlights different access profiles according to the date of instalment in the function of HCS in the past , the fact that he or she has climbed the social ladder, this concerning agent with few diplomas related to city work. An access mode that will be maintained together with the arrival of higher graduates attracted by the development of the Rennes area. Five types of career plans will be defined: the "climbers", the "parachutists", the "precocious", the "graduates" and the "programmed", a reflection of the diversity of careers of the trade melting pot the study will cover 3 professional types of the function, the "polycompetents, the "semi-managers", the strategists". As for their training, it will focus on the influence of law as a basic subject, the weak practise of continuous training, the absence of preparatory training for the function. Those weaknesses are compensated by social self-training practices, a concept that we will develop, basing our work on Norbert Elias, principal writer of this thesis. The mentorate, the preceptorate and network work will be the main means of learning a self training centered on relationships. The results obtained will be relativistically analysed in respect with the fact that the whole IIle et Vilaine is concerned due to the fact that these characteristics are particular and replaced in the process of civilisation "a la française",producing a shape of the functions of HCS structuring the professional identities, taking into account the fact that the city faces a central national power

Books on the topic "Fonctionnaires locaux – Formation":

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Richards, Sue, and Clare Rigg. Action Learning, Leadership and Organizational Development in Public Services. Taylor & Francis Group, 2006.

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Richards, Sue, and Clare Rigg. Action Learning, Leadership and Organizational Development in Public Services. Taylor & Francis Group, 2006.

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Richards, Sue, and Clare Rigg. Action Learning, Leadership and Organizational Development in Public Services. Taylor & Francis Group, 2006.

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Richards, Sue, and Clare Rigg. Action Learning, Leadership and Organizational Development in Public Services. Taylor & Francis Group, 2006.

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Richards, Sue, and Clare Rigg. Action Learning, Leadership and Organizational Development in Public Services. Taylor & Francis Group, 2006.

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(Editor), Clare Rigg, and Sue Richards (Editor), eds. Action Learning, Leadership and Organizational Development in Public Services (Routledge Studies in Human Resource Development). Routledge, 2006.

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