Academic literature on the topic 'Extrême droite – Allemagne – 2000-'

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Journal articles on the topic "Extrême droite – Allemagne – 2000-"

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Maciejewski, Marek. "„Najpierw Niemcy”. Z dziejów prawicowego ekstremizmu w Republice Federalnej Niemiec." Czasopismo Prawno-Historyczne 54, no. 1 (June 30, 2002): 193–228. http://dx.doi.org/10.14746/cph.2002.1.8.

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Abstract:
Dans l’article, sont présentés les principes idéologiques de base et ceux d’organisation de deux mouvements de l'extrême-droite à la RFA, à savoir „La Nouvelle Droite” et le néo[1]nazisme. La période du développement le plus grand du prémier mouvement tombe sur les années 70 et 80 du XXme siècle. Le second juit toujours d’une popularité, en particulier dans les parties orientales de l’Allemagne unifié. A la RFA, aux groupements les plus importants de la néo-droite appartenait l’Aktion Neue Rechte, qui vient de finir son activité. Parmi nombréuses organisations néo-nazies il n’y en avait pas pourtant aucune qui a réussi remporter une position politique du rang premier, bien qu’on faisait des essais, par Michaèl Kuehnen parmi d’autres, en vue de faire consolider ce milieu dispersé. La rélation entre la Novelle Droite et le néo-nazisme se forme dans la manière ressemblante aux rapports entre les conservateurs revolutionnaires et les nazistes au temps de la République de Weimar. Pas toujours spécialement, ceux premiers fournissait aux séconds, les arguments téoriques pour le nationalisme et l’autoritarisme et contre le liberalisme et la démocratie parlementaire. Après la seconde guèrre pareillement, la néo-droite essaya de jouer le rôle d’un guide spirituel parmi tous les courants de l’extrême-droite. De son oeuvre doctrinal, crée par Alain de Benoist, Klaus-Gerard Kaltenbrunner, Armin Mohler, Gerd Waldmann et par les autres nombreux idéologues, les extremistes de droite tiraient les conceptions d’une forme nouvelle du rasisme, de la xénophobie, ou de l’élitarisme c’est-à-dire de l’etnopluralisme, de l’etologie, de la zoo-psychologie et de la „méritocration”. A la RFA et dans d’autres pays d’Europe, surtout en France, la doctrine de l’extrême-droite se caractérise par sa réserve l’égard de l’idée de l’intégration du notre continent, c’est qui a sa source dans son anti[1]americanisme d’aujourd’hui et dans son anti-sovietisme d’hier. A la RFA, dans toutes les conceptions de la droite radicale est présent un slogan bien vaste et atractif - „l’Allemagne avant-tout” (Deutschland zuerst), qui garantit les nazistes et les autres mouvements de la extrême-droite d’une popularité sociale bien considérable. En Allemagne, différement par rapport aux néonazistes, les adhérents de l’extrême-droite gardent l’attitude plutôt critique à l’égard du passé hitlérien. Ayant pour but la transformation de l’Allemagne d’aujourd’hui en puissance politique et économique, ils ne veulent pas du tout y arriver par la voie d’un expansionisme territorial. En ce qui concerne les rapports internes, l’estrême-droite prone les slogans bien populistes, comme la modification du système capitaliste par l’élargissement de la fonction tutélaire de l’Etat. A la RFA, la doctrine de l’extrême-droite ne constitue pas d’un système homogène et cohérent des conceptions. Aussi dans ce point, elle resamble l’idéologie nationaliste et antidémocratique vue en Allemagne avant la guèrre.
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Gandsman Ari, Vanthune Karine. "Génocide." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.098.

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Abstract:
Si le but premier de l'anthropologie est de faire de notre monde un endroit sans danger pour les différences humaines, tel que l’affirma Ruth Benedict, le génocide, qui a pour but ultime l'élimination systématique de la différence, pose un problème urgent pour la discipline. Au cours des dernières décennies, le rôle et les responsabilités éthiques de l'anthropologue vis-à-vis des groupes auprès desquels il mène ses recherches ont fait l’objet de nombreux débats –dont entre autres ceux conduits par Scheper-Hughes (1995), qui plaide pour un engagement militant des chercheurs au nom d’une responsabilité morale, et d’Andrade (1995), qui argue pour leur neutralité afin de préserver leur objectivité. Toutefois, dans le contexte du génocide, de tels débats n’ont pas leur place, l'anthropologue ne pouvant en être un observateur détaché. L’anthropologie du génocide n’est apparue que vers la fin des années 1990, avec la publication d’Annihilating Difference (2002) de Laban Hinton. Plus généralement, les anthropologues ne s'intéressèrent pas à la violence étatique avant leur intérêt croissant pour le discours et la défense des droits humains, à partir des années 1980. Dès lors, ils s’éloignèrent de l'étude à petite échelle de communautés relativement stables, pour se concentrer sur des objets de plus grande échelle comme l’État, les institutions ou les mouvements transnationaux. Ce changement d’approche eut pour effet de dé-essentialiser le concept de culture, complexifiant du même coup l’analyse des différences humaines et de leur construction et leur réification pour fins d’annihilation. Les approches anthropologiques du génocide en historicisent et contextualisent le concept, en en faisant remonter les origines aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, lorsque les atrocités commises par l'Allemagne nazie furent décrites par Winston Churchill comme « crime sans nom ». Raphael Lemkin, un juriste polonais-juif, inventa le néologisme en combinant genos, le préfixe grec pour « gens », avec cide, le suffixe latin pour « meurtre » (Power 2002). Il fut adopté par le droit international en 1948, via la Convention des Nations Unies sur la prévention et la répression du génocide, qui le définit comme une série d'actes « commis dans l’intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel ». Bien que les anthropologues n’abordassent pas directement le génocide nazi, beaucoup furent impliqués dans ce dernier. L’anthropologue Germaine Tillion, qui fut internée dans le camp de concentration de Ravensbrück après avoir été capturée comme membre de la résistance française, en publia même une étude ([1945] 2015). Le mouvement d’autocritique de la discipline a amené nombre d’anthropologues à relire, au travers du prisme du génocide, la complicité de leurs prédécesseurs avec les projets coloniaux de l’époque. L'« ethnologie de sauvetage », par exemple, a été dénoncée comme ayant problématiquement eu pour prémisse la disparition inévitable et rapide des peuples autochtones. Nancy Scheper-Hughes (2001) a à ce titre analysé la relation ambivalente qu’eut Alfred L. Kroeber avec Ishi, alors présumé dernier survivant d’un peuple décimé. L'anthropologie biologique et physique a pour sa part été accusée d’avoir accordé une crédibilité scientifique à des idéologies racistes ayant légitimé des génocides, comme ce fut le cas en Allemagne nazie. Plus insidieux est le fait que des théories anthropologiques aient pu être appropriées par des promoteurs de discours de différenciation et d’haine raciale, comme par exemple les théories hamitiques, inspirées des études linguistiques et mythologiques de l’indo-européen, qui furent plus tard mobilisées pour justifier le génocide rwandais. La plupart des études anthropologiques contemporaines sur le génocide en examinent l’après. Les anthropologues se concentrent notamment sur la manière dont les génocides sont remémorés et commémorés, en particulier en termes de construction de « la vérité » dans le contexte de projets dits de « justice transitionnelle », ou en relation avec le legs à plus long terme de cette violence, qui peut toucher plusieurs générations. Ce type d’études se centre généralement sur l’expérience des victimes. Quelques travaux, néanmoins, étudient les origines des génocides, et portent alors leur regard sur leurs auteurs –comme ceux de Taylor (1999) sur le Rwanda, ou de Schirmer (1998) sur le Guatemala– et se penchent sur la question du passage à l’acte et de la responsabilité individuelle (Terestchenko 2005 ; Kilani 2014). Ce type d’études prend ce faisant très au sérieux le problème éthique de la représentation du génocide, tel que le décria Adorno, quand il qualifia de barbare l’écriture de poésie après Auschwitz. Si représenter le génocide se présente comme une injonction morale, demeure le danger de le mystifier ou de le normaliser. C’est pourquoi la plupart des anthropologues qui analysent ce phénomène essaient d’être fidèles à l’appel de Taussig (1984) d’« écrire contre le terrorisme ». Ils reconnaissent toutefois les limites de toute approche compréhensive de ce phénomène, le témoin idéal du génocide, comme l’ont souligné Levi (1989) et Agamben (1999), étant celui qui ne peut plus parler. La définition du génocide continue de faire l’objet de débats importants parmi ses spécialistes, dont les anthropologues. Si les cibles d’un génocide sont généralement perçues comme constituant un groupe ethnique ou religieux aux yeux de ses protagonistes, Lemkin avait initialement prévu d'y inclure les groupes politiques. Or ces derniers furent exclus de la définition de la Convention en raison d'objections soulevées notamment par l'Union soviétique, à l'époque engagée dans l’élimination des présumés opposants politiques au régime stalinien. De nombreux chercheurs continuent de plaider pour que la définition du génocide ne fasse référence qu’à la seule intention d'éliminer des personnes sur la base de leur présumée différence raciale. D'autres, cependant, s’opposent à cette restriction de la définition, suggérant au contraire de l’élargir afin d'y inclure les catastrophes écologiques, par exemple, ou la destruction systématique d'identités culturelles, telle que le projetât le système des pensionnats indiens au Canada (Woolford 2009). Si élargir le sens du génocide risque de diluer sa spécificité au point de le banaliser, reste qu’une définition trop stricte du phénomène peut faciliter la contestation d’allégations de génocide pour quantité de meurtres de masse –et dès lors entraver sa prévention ou punition. C’est pourquoi Scheper-Hughes (2002), par exemple, plaide plutôt pour la reconnaissance de « continuums génocidaires ». Selon elle, démontrer le potentiel génocidaire des formes de violence quotidienne et symbolique par le biais desquelles les vies de certains groupes en viennent à être dévaluées, peut contribuer à la prévention de ce type de violence de masse. Un autre sujet de controverse concerne le particularisme de l'Holocauste, tantôt conçu comme un événement historique singulier qui défie toute comparaison, ou comme un phénomène d’extermination de masse parmi d’autres ayant eu pour précurseurs des génocides antérieurs, comme le génocide arménien. Une autre question est de savoir si un génocide ne peut se produire que dans un contexte où ses victimes sont sans défense, ce qui rendrait dès lors l’utilisation de ce concept inadmissible dans des situations où les victimes ont eu recours à la violence pour se défendre. De nombreux travaux anthropologiques ont d’ailleurs remis en cause la nature exclusive des catégories de victime, d’auteur ou de spectateur dans des situations de violence extrême, et ce étant donnée la « zone grise » identifiée par Levi (1989) et discutée par Agamben (1999) –soit ce matériau réfractaire, dans des situations de violence de masse, à tout établissement d'une responsabilité morale ou légale, l’opprimé pouvant devenir l’oppresseur, et le bourreau, une victime. Ce faisant, la plupart rejettent une conceptualisation purement relativiste du génocide, et dénoncent la mobilisation de ce concept pour justifier des programmes politiques racistes ou anti-immigration – comme c’est aujourd’hui le cas en Amérique du Nord et en Europe, où certains groupes fascistes d’extrême droite revendiquent être les victimes d’un « génocide blanc » pour légitimer des politiques xénophobes. La question de qui a l’autorité de qualifier des actes de violence comme constituant un génocide, et au nom de qui, demeure –tel que le démontre Mamdani (2009) dans sa critique du mouvement « Sauver le Darfour ». Qualifier tout phénomène de violence de masse de « génocide » n'est pas qu’un acte de description. Il constitue d’abord et avant tout une action politique qui implique un jugement éthique.
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Dissertations / Theses on the topic "Extrême droite – Allemagne – 2000-"

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Mbe, Elepi Ernest. "Le mouvement identitaire en République fédérale d'Allemagne (2012-2019)." Electronic Thesis or Diss., Université Paris Cité, 2024. http://www.theses.fr/2024UNIP7031.

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Abstract:
Cette thèse porte sur une formation politique allemande dénommée Identitäre Bewegung Deutschland (mouvement identitaire en Allemagne), aussi connue sous le nom d'IBD. L'IBD est un groupuscule fondé en octobre 2012, mais qui s'est véritablement fait connaître en Allemagne durant l'été 2016, grâce à une action spectaculaire menée à Berlin, à la Porte de Brandebourg, un lieu emblématique de la ville. Ses fondateurs se sont inspirés de Génération identitaire, ce groupuscule français se réclamant de la Nouvelle Droite, fondé lui aussi en 2012, et dissout en 2021 par le gouvernement français. L'IBD rassemble des jeunes Allemand.e.s, lesquel.le.s se présentent comme une jeunesse sans arrière plan migratoire déterminée à se battre pour la préservation de l'identité ethnoculturelle des peuples européens. Ses membres rejettent, entre autres, l'islam et ce qu'ils appellent immigration massive, sont très actifs sur internet et les réseaux sociaux, mais aussi dans la rue. Ils tentent par divers moyens de diffuser leurs idées dans la société allemande et d'amener la population autochtone à se rallier à leur cause. Cette étude, qui s'appuie sur des sources et une méthodologie variées, tente d'apporter des éléments de réponse à trois questions centrales, celles de savoir si l'IBD est une organisation raciste, s'il s'agit d'un groupuscule xénophobe et si ce groupuscule représente une menace pour la cohabitation, sur le sol allemand et plus largement européen, entre les populations européennes « de souche » et les populations issues de l'immigration extra-européenne. L'étude analyse le groupuscule sous différents angles. Elle porte la focale sur sa genèse, son évolution dans le temps, ses acteurs et ses réseaux. Elle expose par ailleurs son idéologie, sa manière de communiquer, ses stratégies discursives et son pouvoir de nuisance. Enfin, un dernier volet du travail fait la part belle aux stratégies mises en oeuvre en République fédérale d'Allemagne pour le combattre
This thesis deals with a german political group called Identitäre Bewegung Deutschland (Identitarian movement Germany), also known as IBD. It is a very small group founded in October 2012, but which really made a name for itself in Germany in the summer of 2016, thanks to a spectacular action carried out in Berlin, at the Brandenburg Gate, an emblematic place in the city. Its founders were inspired by Génération identitaire, a French group claiming to be part of the New Right, also founded in 2012 and dissolved in 2021 by the French government. The IBD gathers young Germans together who present themselves as young people without migration background and who are determined to fight for the preservation of the ethno-cultural identity of the European peoples. Its members reject, among other things, Islam and what the call mass immigration and are very active on the internet and social networks, as well as on the streets. They use a variety of means to spread their ideas in German society and to rally the native population around their goal. This study draws on various sources and methodologies and attempts to provide answers to three central questions : Is the IBD a racist organisation ? Is it a xenophobic group ? Does the group represent a threat to the coexistence, in Germany and more widely in Europe, between native Europeans and people from non-European countries ? In this thesis the group is analysed from different angles. The focus is on its genesis, its development over the time, its players and its networks. The ideology of the group, its communication style, its discursive strategies and its power to cause harm are also outlined. A final section deals with the strategies implemented in the Federal Republic of Germany to fight the group
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Fonta, Nadine. "Les mouvements d'extrême droite en Allemagne et leurs enjeux géopolitiques, 1989-1999." Paris 8, 2000. http://www.theses.fr/2000PA081838.

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Abstract:
@Par l'étude des représentations de l'extrémisme de droite, des expressions de l'extrême droite et de ses passerelles sur la scène politique allemande, cette thèse vise à apprécier le degré de transformation de l'Allemagne nouvelle sur ce point très sensible de la vie politique allemande. Les spécialistes sont loin d'être unanimes sur la définition de l'extrémisme de droite et les caractères du "syndrome d'extrême droite", répertoriés en 1989, se diluent de plus en plus dans le discours public : regard négatif sur l'étranger et la démocratie représentative, revitalisation du sentiment national et de la communauté du peuple, mise en sommeil du passé culpabilisant et du rapprochement avec l'ouest par une Allemagne consciente d'elle-même et de ses intérêts nationaux. L'étude montre que l'extrémisme de droite est un courant d'opinion nettement plus enraciné à l'Est, ce qui explique en partie que le degré de violence xénophobe soit plus élevé dans les nouveaux Länder. . .
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Danckaert, François. "Le Troisième Reich dans le discours et l'idéologie de l'extrême droite en RFA." Lille 3, 2000. http://www.theses.fr/2000LIL3A005.

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Iost, Delphine. "Géopolitique de l'extrême droite dans les nouveaux Länder." Paris 8, 2012. http://octaviana.fr/document/178875317#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract:
Dans les nouveaux Länder, l’apparition d’un vote en faveur de l’extrême droite s’inscrit dans un processus de désillusion face aux attentes de l’unification allemande. Au début des années 1990, les partis d’extrême droite n’y jouaient alors qu’un rôle tout à fait marginal bien que la multiplication d’agressions à caractère raciste aient attiré l’attention sur l’existence d’un potentiel pour ce type de formation politique. En adoptant un discours qui allie les thèses classiques de l’extrême droite à des problématiques plus spécifiques aux nouveaux Länder, le parti national-démocrate d’Allemagne (NPD) a réussi à séduire progressivement une partie de l’électorat. L’ouverture du parti à la scène militante, lui a notamment permis de renforcer localement son assise. Ce parti, contre lequel une procédure d’interdiction a été engagée par le gouvernement fédéral en 2001, dispose actuellement d’une multitude de mandats régionaux et locaux. Pour comprendre son ancrage dans les nouveaux Länder, il est important de retracer son parcours électoral à différents échelons du pouvoir. Une première partie sera ainsi consacrée à l’évolution des résultats obtenus par les différents partis d’extrême droite dans les nouveaux Länder. Selon l’échelon de pouvoir observé – national, régional, local – nous nous intéresserons particulièrement aux candidatures présentées par le parti national-démocrate ainsi qu’aux thématiques engagées. Dans une seconde partie, nous nous pencherons sur les stratégies mises en œuvre afin de conquérir un électorat jeune, et plus particulièrement sur l’investissement du média musical en période électorale
The occurence of high scores for right-wing extremist parties in elections in East Germany is part of a process of disillusionment in matters of the german unity. In the beginnig of the 1990s the importance of these parties was marginal although the multiplication of racist attacks could evocate the attention for a potential for the far right. By combining classic right extremist ideology discursive with east german problems the National Democratic Party of Germany (NPD) was successful in seducing progressively a part of the voters. Especially the openness for militant activists enforces the base of the party on the local level. In 2001 the federal government tried to forbid that party but failed. Today the NPD has a huge number of deputies in the local, regional and Bundesland-level. The first part sums up the evolution of the results of different far right parties in elections in East Germany. On the different levels - national, regional, local, we are particularly interested in the candidates of the NPD and wich topics they use. The second part deals with the strategies employed by the NPD to obtain young voters, particularly the employment of music in election campaigning
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Edelbloude, Johanna. "Les néo-socialistes est-allemands du Parti du Socialisme Démocratique (PDS) face à l'extrême droite : la figure de l'ennemi dans le jeu politique." Paris, Institut d'études politiques, 2006. https://spire.sciencespo.fr/notice/2441/5406.

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Abstract:
Depuis 1990, le Parti du Socialisme Démocratique est-allemand (PDS) présente l'extrême droite comme étant son ennemi. En tant que successeur du SED, le parti communiste au pouvoir en RDA, le PDS s'appuie pour ce faire sur l'héritage, en partie positif, de la propagande antifasciste de la RDA. Cette construction atteste de la volonté qu'ont les néo-socialistes de prouver leur conversion à la démocratie représentative en place en RFA depuis 1949. L'érection de l'extrême droite au rang d'ennemi du parti permet au PDS, stigmatisé par la tradition anticommuniste de la RFA, de passer du camp des extrémistes à celui des démocrates sur la scène politique allemande. En outre, ce transfert du stigmate contribue à masquer la concurrence électorale accrue que se livrent le PDS et l'extrême droite dans les nouveaux Länder et à dissimuler la relation ambiguë d'une partie de sa base à l'extrême droite. Cette stratégie de construction d'une figure unique et absolue de l'ennemi est altérée par deux éléments principaux. D'une part, le décalage entre les instances fédérales du PDS et ses acteurs locaux est essentiel dans l'appréhension d'un antifascisme qui s'avère incapable de fonder une action politique concrète contre l'extrême droite. D'autre part, l'analyse des interactions ayant lieu dans les deux configurations locales étudiées (l'arrondissement Lichtenberg à Berlin-Est et Dresde, la capitale de la Saxe) met en avant le caractère modulable de la figure de l'ennemi. Confrontés concrètement à l'extrême droite par la réalité du jeu politique, les acteurs locaux adaptent en effet la norme comportementale édictée par le PDS en fonction de leur personnalité et de leurs ressources propres
Since 1990, the East German Democratic Socialism Party (PDS) has been presenting the extreme right wing as its enemy. As the successor of the SED, communist party in command in the GDR, the PDS relies for that purpose on the partially positive inheritance of the GDR antifascist propaganda. This construction demonstrates the neo-socialists' will to prove their conversion to representative democracy, set up in FRG since 1949. Setting up the extreme right wing as the party enemy allows the PDS, denounced by the anticommunist tradition of the FRG, to switch, in the political German parties landscape, from the extremists to the democrats wing. Besides, this scar transfer helps concealing the increased electoral competition between PDS and extreme right wing in the new States and it also helps hiding the ambiguous relationship between a part of the PDS base and the extreme right wing. This strategy of building a unique and final figure of the enemy is somehow distorted by two main elements. On the one hand, the gap between the PDS federal authorities and its local players is crucial to understand an antifascism that is unable to set up a concrete political action against the extreme right wing. On the other hand the analysis of the interactions in the two studied local configurations (District Lichtenberg in East Berlin and Dresden, capital city of Saxony) pushes forward the flexible character of the figure of the enemy. Facing the extreme right wing in concrete terms because of the political game reality, local players do have a tendency to modulate the behavioral standard promulgated by the PDS according to their own personality and resources
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Viskanic, Max. "Fear and Loathing on the Campaign Trail 2016-18 : Migrants, Refugees and the rise of Far Right Populism." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2019. http://www.theses.fr/2019IEPP0049.

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Abstract:
Le premier chapitre analyse l’impact d’un afflux relativement large et homogène d’immigrés polonais sur le Royaume Uni et quel effet ce choc a eu sur le vote Brexit de 2016. Je trouve que l’immigration polonaise au Royaume Uni a augmenté le vote Brexit mais pas assez pour expliquer la décision de quitter l’union européenne. Afin d’obtenir une variation exogène dans la répartition des immigrés polonais je me base sur le développement de réseaux de migrants proches des camps de réinstallation de guerre crées pour les soldats polonais après la deuxième guerre mondiale dont je collecte la localisation dans les archives nationales. Dans le deuxième chapitre j’utilise le démantèlement de camps de migrants illégaux proche de Calais et la répartition de migrants s’en suivant pour étudier l’impact d’une exposition à peu de migrants pendant une courte période de temps. Je trouve que l’exposition a peu de migrants réduit le vote Front National (le parti d’extrême droite français) mais que cet effet se dissipe si de grands groupes de migrants sont relocalisés. Dans ce cas, le contact ainsi que la taille relative du groupe jouent un rôle important dans la réaction des autochtones aux migrants. Dans le dernier chapitre j’analyse l’impact de la crise des réfugiés sur la demande et l’offre politique en Italie. Je montre que l’ouverture de petits centres d’accueil de migrants en Italie a réduit le vote d’extrême droite, les crimes de haine contre les immigrés ainsi qu’augmenté le vote en faveur des partis de gauche. Les effets proviennent principalement de municipalités qui sont moins connectes à internet
The first chapter analyses the impact of a relatively large and homogeneous shock of Polish immigrants in the UK and what impact said shock had on the Brexit vote in 2016. I finnd that Polish migration to the United Kingdom has increased voting for Brexit, but not enough to sway the vote for Leave. In order to achieve exogenous variation in the allocation of Polish immigrants I rely on the formation of migrant networks close to War Resettlement Camps created for Polish soldiers after WWII, which I collect from the National archives. In the second chapter I use the dismantlement of the illegal Migrants camp close to Calais and the subsequent redistribution of migrants to study the impact to the exposure to few migrants over a short amount of time. I find that the exposure to few migrants decreases the voting for the Front National, but that this effect dissipates if large migrant groups are resettled. In this case contact as well as relative group size play an important role in explaining native's reactions to migrants. In the last chapter I analyse the impact of the refugee crisis on the demand and supply of politics in Italy. I show that the opening of small reception centres for migrants in Italy have decreased voting for the extreme right, decreased hate crimes against immigrants as well as increased votes for left wing parties. The effects are mostly driven by municipalities, which are less connected to the internet. This shows the differential amplification effect digital media can have vis-a-vis traditional media. Furthermore, I find that mayors from extreme right wing parties close and are less likely to open reception centres than other politicians, rationally reacting to their decreased political support
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Laumond, Bénédicte. "Réponses des Etats à la Droite Radicale en France et en Allemagne : acteurs publics, cadres de référence et prise de décision." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017SACLV082.

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Abstract:
À partir de campagnes d’entretiens réalisés auprès d’acteurs publics répondant à la droite radicale en Allemagne et en France, je propose d’expliquer comment les acteurs publics de ces deux Etats participent à la régulation de l’expression du radicalisme de droite. J’ai choisi pour ce faire d’explorer deux pays voisins ayant cadré différemment la place de la lutte contre le radicalisme de droite : les acteurs politiques et administratifs allemands ont construit une politique publique luttant contre le radicalisme politique, ce qui n’est pas le cas de la France où le traitement de la droite radicale se fait avant tout au sein de l’arène politique. L’approche comparée souligne que la gouvernance de la droite radicale par les services de l’Etat fait l’objet d’une construction constante reposant sur une diversité d’acteurs ayant leurs propres cadres de références basés sur des jugements normatifs, des intérêts et expériences institutionnelles. Ce sont les constellations d’acteurs avec différents cadres de référence et la nature de leurs interactions qui permettent d’expliquer les conditions de l’utilisation des instruments de politique publique répondant au radicalisme de droite. Les différences dans la gestion du radicalisme de droite en Allemagne et en France illustrent les rapports que ces sociétés libérales et démocratiques entretiennent avec la politique
Based on research fieldwork conducted in France and Germany with semi-directed interviews split between different institutional actors responding to right-wing radicalism, this study seeks to explain how public actors have taken part in the regulation of the expression of right-wing radicalism. I thereby chose to compare neighbouring countries, which have framed the struggle against right-wing radicalism differently: German political and state actors have constructed a public policy responding to political radicalism, whereas it has hardly been the case in France where the radical right is primarily handled in the political arena. The comparative approach outlines that the governance of the radical right by state authorities is the object of a continuous political construction undertaken by a variety of actors with distinctive policy frames. These are based on normative judgements, personal interests, and institutional experiences. The constellations of actors with different policy frames and their interactions during the decision-making process enable to explain the modalities of the use of policy instruments that are used to respond to right-wing radicalism. Differences in the handling of right-wing radicalism in France and Germany illustrate the relationships that these liberal and democratic societies have had with politics
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Dubslaff, Valérie. "Les femmes et l'extrême droite politique en République fédérale d'Allemagne. Le Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD) à l’épreuve du genre (1964-2017)." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040108.

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Abstract:
Cette thèse interroge les continuités de l’extrême droite allemande après 1945 en s’intéressant aux femmes du Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD) créé en 1964 en République fédérale. Focalisée sur les actrices, elle éclaire les spécificités des générations de femmes qui s’y sont succédé, des militantes « postfascistes », légalistes et républicaines des années 1960 aux militantes « néofascistes », nationales-révolutionnaires et antisystème des années 2000. Partant du constat de leur marginalité politique, ce travail étudie les rapports de genre et questionne l’agency féminine dans une extrême droite masculiniste. Afin de surmonter leur isolement, les femmes nationales-démocrates ont ponctuellement élaboré des stratégies d’auto-affirmation, passant notamment par des rassemblements féminins : après la fondation d’un Conseil des Femmes en 1968 et de groupes de femmes en 1976/1977, le Cercle des Femmes nationalistes, fondé en 2006, marque l’aboutissement de leurs revendications antisexistes, revendications qui posent également la question du rapport ambivalent qu’elles entretiennent avec le féminisme politique. Cette thèse propose, enfin, une analyse de l’idéologie des femmes nationales-démocrates : en politisant le « domaine féminin » (famille, culture, société), elles ont contribué à définir la ligne du NPD qui, au gré des transformations historiques, est passé de son souverainisme nationaliste initial à un nationalisme identitaire dans les années 1970/1980, avant d’aboutir, après 1990, à un nationalisme völkisch. Cette thèse pose ainsi un regard inédit sur les processus de féminisation dans l’extrême droite allemande et propose une lecture différente de l’histoire de la République fédérale
This PhD thesis deals with the continuities of the far right in Germany after 1945 by examining the special case of extremist women in the National Democratic Party of Germany, founded in the Federal Republic of Germany in 1964. It analyses the characteristics of the generations of national-democratic women who succeeded each other, from the “postfascist” legalist and democratic activists of the 1960s to the national-revolutionary and anti-system “neofascists” of the 2000s. It examines their political marginality within the party and therefore questions the female agency in the masculinist far right. In order to break out of their isolation, national-democratic women have occasionally developed some self-affirmation strategies : after the foundation of a Federal Women’s Council in 1968, they founded Women’s Groups in 1976/1977 and a Circle of nationalist Women in 2006. This women’s organisation can be considered as the culmination of their antisexist claims, it therefore puts into question their relationship with political feminism. This thesis finally analyses the women’s ideology : through their “female domain” (family, culture, society), they have contributed to the definition of the NPD’s general party line which changed from a sovereigntist nationalism in the 1960s to an identitarian nationalism in the 1970s/1980s, and finally to a völkisch nationalism from 2000 onwards. Thus, this thesis sheds a light on feminisation processes on the far right and offers a different understanding of German history
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Books on the topic "Extrême droite – Allemagne – 2000-"

1

Nemiroff, Lyons Matthew, ed. Right-wing populism in America: Too close for comfort. New York: Guilford Press, 2000.

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2

Right-Wing Populism in America: Too Close for Comfort. Guilford Publications, 2016.

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Book chapters on the topic "Extrême droite – Allemagne – 2000-"

1

Casasus, Gilbert. "14. La Nouvelle Droite en Allemagne, entre droite classique et extrême droite." In La tentation populiste au cœur de l'Europe, 198–212. La Découverte, 2003. http://dx.doi.org/10.3917/dec.ihl.2003.01.0198.

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