Academic literature on the topic 'Étiquetage alimentaire'

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Journal articles on the topic "Étiquetage alimentaire"

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Schaller, A., and F. De Blay. "Étiquetage de précaution en allergie alimentaire : comment progresser ?" Revue Française d'Allergologie 57, no. 7 (November 2017): 503–11. http://dx.doi.org/10.1016/j.reval.2017.07.011.

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Julia, Chantal, Mathilde Touvier, Pilar Galan, and Serge Hercberg. "Le Nutri-Score, un étiquetage nutritionnel s’appuyant sur des bases scientifiques solides." Questions de santé publique, no. 42 (June 2021): 1. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2021042.

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Abstract:
La France a adopté officiellement en 2017 un logo d’information nutritionnelle apposé sur la face avant des emballages : le Nutri-Score. Depuis, il a été adopté dans plusieurs pays européens, et fait partie des options avancées pour un logo harmonisé dans l’ensemble des pays de l’Union Européenne. Appliqué de façon volontaire par les entreprises de l’agro-alimentaire, il apporte une information simplifiée aux consommateurs sur la qualité nutritionnelle des produits, à partir des éléments de la déclaration nutritionnelle et de la liste des ingrédients. Ce nouveau numéro de Questions de Santé Publique revient sur la construction, le développement et l’implémentation du Nutri-Score en France, ainsi que sur la manière dont il participe à améliorer les choix alimentaires des consommateurs en situation d’achat, et comment, à l’avenir, il pourrait participer à la prévention des maladies chroniques liées à la nutrition.
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Mansouri, Mohamed. "Sodium intake and arterial hyertension." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 2, no. 1 (June 30, 2015): 19–23. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsra.2015.2105.

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Abstract:
Le lien entre le sodium et l’hypertension artérielle est maintenant bien établi mais il demeure discutable dans la population générale. De nombreuses études ont pu démontrer le rôle du sodium dans la régulation normale de la pression artérielle et dans la physiopathologie de l’hypertension artérielle. Toutes les recommandations internationales concernant le traitement non pharmacologique de l’hypertension artérielle proposent de limiter les apports sodés chez les patients hypertendus dans le but d'améliorer le contrôle de l’hypertension artérielle dans la population traitée ou non traitée. De ce fait, une politique de santé efficace passe entre autres par l’adoption de normes nationales sur l’apport alimentaire en sodium de même que par une législation favorisant un étiquetage explicite de la teneur en sodium des aliments préparés.
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Battisti, C., A. Chambefort, O. Digaud, B. Duplessis, C. Perrin, J. L. Volatier, J. Gauvreau-Beziat, and C. Menard. "Étiquetage des allergènes alimentaires dans les produits transformés français." Nutrition Clinique et Métabolisme 31, no. 1 (February 2017): 69. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2016.10.092.

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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Dissertations / Theses on the topic "Étiquetage alimentaire"

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Dano, Dominique. "Contribution à la diététique diagnostique et thérapeutique de l’allergie alimentaire." Thesis, Université de Lorraine, 2015. http://www.theses.fr/2015LORR0111/document.

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Abstract:
L’allergie alimentaire est un problème majeur de santé publique. Sa prévalence est estimée à 5 % chez l’adulte et à 8 % chez l’enfant dans les pays industrialisés. L’objectif de cette thèse est d’apporter une contribution à la diététique diagnostique et thérapeutique de l’allergie alimentaire. Nos travaux ont porté sur l’allergie alimentaire au pois jaune et au sésame. Le pois jaune est un allergène émergent à risque de réaction grave. Son seuil réactogène est bas, soit 0,13 g de protéines alors que la teneur des aliments peut atteindre 20 g/100g. L’étude de 35 personnes allergiques au sésame a permis de définir que le seuil réactogène pouvant déclencher une réaction chez 5% de la population allergique se situe entre 1,2 et 4,0 mg de protéines de sésame. Nous avons validé la progression optimale des doses de sésame pour le test de provocation orale en lien avec le consensus européen Europrevall. L’absence d’harmonisation internationale concernant les allergènes à déclaration obligatoire, nous a conduit dans une seconde partie, à étudier l’impact de l’allergie alimentaire sur la décision, l’organisation et le déroulement d’un séjour à l’étranger. Cette étude réalisée en collaboration avec l’Observatoire Régional de Santé et des Affaires Sociales de Lorraine et les associations française et belge pour la prévention des allergies montre, sur un panel de 102 répondants, que l’allergie alimentaire contraint 14 % des répondants à ne pas voyager à l’étranger et que 30% des personnes ayant voyagé ont présenté une réaction allergique. Les accidents sont survenus principalement dans les restaurants. Ces résultats soulignent la nécessité de développer un système d’information et de formation des personnes allergiques et des professionnels de l’alimentation pour mettre en oeuvre des stratégies de prévention du risque
Food allergy is a major public health problem. Its prevalence is estimated at 5% in adults and 8% in children in industrialized countries. The objective of this thesis is to bring a contribution to the diagnostic and therapeutic dietetics in food allergy. Our work focused on yellow pea and sesame food allergies. Yellow pea is an emerging allergen with risk of a severe reaction. Its reactogenic threshold is of 0.13 g of protein while the content of food can reach 20 g / 100g. The study of 35 people allergic to sesame has enabled the identification of the reactogenic threshold that can trigger a reaction in 5% of the allergic population. It is estimated between 1.2 and 4.0 mg of sesame protein. We validated optimal progression dosing scheme for sesame for oral challenge test taking in account the European consensus Europrevall. Lack of international harmonization on mandatory allergens, led us in a second part of this thesis, to study the impact of food allergy on the decision, trip organization and a stay abroad of an allergic person. This study, conducted in collaboration with the regional health observatory and Social Affairs of Lorraine and the French and Belgian associations for allergy prevention shows, on a panel of 102 respondents, that food allergy forced 14% of respondents do not travel abroad and that 30% of people who have traveled had an allergic reaction. The accidents occurred mainly in restaurants. These results highlight the need to develop an information system and training of allergies and food professionals to implement risk prevention strategies
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Moffette, Olivier. "Extraction des informations nutritionnelles d'une étiquette alimentaire par vision artificielle." Mémoire, École de technologie supérieure, 2011. http://espace.etsmtl.ca/869/1/MOFFETTE_Olivier.pdf.

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Abstract:
Ce projet à pour but le développement d’une application, basée sur un moteur de reconnaissance de caractères, qui permet l’acquisition de l’information contenue dans des photographies représentant des boites d’informations nutritionnelles. Beaucoup de projets de recherche et d’articles traitent de différentes composantes de la reconnaissance de caractère, mais très peu portent sur l’intégration globale de ces différentes composantes afin de former un tout. En plus de la reconnaissance de caractères, ce projet porte également sur le traitement et l’analyse des données une fois l’extraction de l’information complétée. Pour notre problématique, nous n’avons trouvé aucune banque d’images de test. Nous avons donc développé une banque d’images de boites d’informations nutritionnelles avec l’aide de l’entreprise GS1 Canada. Par la suite, nous en avons extrait manuellement toutes les informations pertinentes. Cette banque d’images sert de référence pour l’évaluation des performances des différentes configurations du système développé. Notre projet n’a pas pour objectif d’évaluer les diverses composantes d’un système de reconnaissance de caractères mais plutôt d’optimiser les résultats du système dans son ensemble. Dans le même ordre d’idée, le principal critère d’évaluation de la performance de notre système est le pourcentage des boites qui sont extraites sans aucune erreur; ce qui est assez différent de l’approche qui est normalement utilisé pour évaluer les moteurs de reconnaissance de caractères soit d’évaluer le pourcentage de caractères adéquatement reconnus. Dans ce projet, nous utilisons le moteur de reconnaissance de caractères Tesseract qui est parmi les plus performants dans la catégorie des logiciels libres. Le projet a tout de même été conçu de façon à permettre l’interchangeabilité du moteur de reconnaissance de caractères. Ce projet est séparé en deux grandes phases. La première phase permet de comparer les différentes versions de l’OCR ainsi que de vérifier la pertinence de l’utilisation de certains modules de correction. La deuxième, quant à elle, permet d’ajuster divers paramètres de l’application afin d’optimiser les résultats. Grâce à cette approche, nous avons réussi à traiter 58% des images sans générer la moindre erreur et au total plus de 83 % des images traitées ont généré deux erreurs ou moins. Ces résultats ne permettent malheureusement pas d’automatiser totalement le procédé, mais ils confirment la possibilité d’utiliser cette application afin d’effectuer un premier traitement massif de l’information avant d’être validée et peaufinée par un utilisateur.
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Le, Gloux Fanny. "Analyse économique des paiements pour services environnementaux, entre label et mesure agro-environnementale." Electronic Thesis or Diss., Rennes, Agrocampus Ouest, 2023. http://www.theses.fr/2023NSARE063.

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Abstract:
Cette thèse de doctorat applique des approches microéconomiques empiriques et théoriques pour analyser l'efficacité des paiements pour services environnementaux dans le secteur agricole. J'évalue des leviers pour favoriser leur adoption par les agriculteurs à différentes échelles. Je montre empiriquement que cibler une partie des aides au revenu de la politique agricole commune vers un financement accru des mesures agro-environnementales et climatiques et du soutien à l’agriculture biologique favorise la participation à ces dispositifs. Ma principale contribution est de mettre en évidence qu'un bonus de parrainage dans les paiements pour services environnementaux est prometteur pour favoriser la participation d’une masse critique d’agriculteurs lorsqu'il existe des effets de seuils écologiques.Les résultats de cette thèse suggèrent aussi que des paiements basés sur les résultats, sous forme de bonus collectif ou de paiement proportionnel à un indicateur environnemental, sont efficaces à la condition que le niveau de paiement soit suffisamment incitatif. Avec une approche théorique, je m’intéresse à la demande et propose un outil, le label santé, pour augmenter le consentement à payer des consommateurs dans le cas particulier où la technologie de production jointe des services environnementaux est complémentaire à l'amélioration de la qualité intrinsèque du produit agricole en terme de santé. Je contribue à la littérature en montrant que les préoccupations de santé des consommateurs peuvent financer efficacement les services environnementaux et compléter les politiques agro-environnementales
This PhD thesis applies empirical and theoretical microeconomic approaches to analyse the efficiency of payments for environmental services in the agricultural sector. I assess levers to promote their adoption by farmers at different scales. I show empirically that targeting part of the income support of the Common Agricultural Policy towards increased funding of agri-environmental and climate measures and support for organic farming promotes participation in these schemes. My main contribution is to show that a sponsorship bonus in payments for environmental services is promising to encourage the participation of a critical mass of farmers when ecological threshold effects exist. The results of this thesis also suggest that result-based payments,in the form of a collective bonus or a payment proportional to an environmental indicator, are effective on the condition that the level of payment is sufficiently attractive. With a theoretical approach, I focus on the demand side and propose a tool, the health label, to increase consumers' willingness to pay in the particular case where the joint production technology of environmental services is complementary to the improvement of the intrinsic health quality of the agricultural commodity. I contribute to the literature by showing that consumers' health concerns can efficiently finance environmental services and complement agri-environmental policies
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Bougherara, Douadia. "L' écolabellisation : un instrument de préservation de l'environnement par le consommateur ? Une application aux produits agro-alimentaires." Dijon, 2003. http://www.theses.fr/2003DIJOE004.

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Abstract:
A la différence des générations précédentes d'instruments de politiques d'environnement, l'écolabellisation constitue généralement un dispositif institutionnel hybride, reposant explicitement sur les forces du marché, censées s'orienter vers la réalisation d'un bien-être collectif grâce à la production d'informations. Nous analysons la nature et les fonctions de ce dispositif en soulignant les conditions nécessaires à la réalisation de ses potentialités. La première partie analyse l'écolabellisation comme un instrument de politique d'environnement complémentaire des générations précédentes d'instruments. La deuxième partie étudie certains mécanismes susceptibles d'assurer l'efficacité de la transaction, entre consommateur et vendeur, de produits avec attributs environnementaux. La troisième partie s'intéresse à l'un des fondements de l'efficacité de l'écolabel en s'assurant de manière empirique de l'existence et de la nature du consentement à payer pour des écoproduits
The thesis describes ecolabeling as a hybrid institutional device, distinguished from other environmental policy tools through its explicit reliance on the market, a mechanism intended to promote collective well-being through the diffusion of information. We aim to characterize and analyze the functions of this device by underlying the necessary conditions to ensure ecolabeling leads to environmental improvement. The first section describes and analyzes ecolabeling as a complement to other environmental policy tools. The second section identifies and investigates several mechanisms which may enhance the efficiency of transactions, between sellers and consumers, of products embedded with environmental attributes. The third section examines one of the foundations of ecolabel efficiency by measuring and characterizing consumers' willingness to pay for agro-food products embedded with environmental attributes
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Rodier, Francine. "Mesure de l'impact de la marque de provenance Aliments du Québec sur la valeur des produits." Thèse, Université de Sherbrooke, 2010. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/367.

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Abstract:
Au Québec, un emploi sur huit est lié au secteur agroalimentaire. L'industrie joue un rôle important dans l'économie de la plupart des régions, tant en regard de l'emploi que de l'activité économique. Reconnaissant l'importance de promouvoir les produits québécois sur le marché interne, les intervenants du milieu agroalimentaire ont créé l'organisme Aliments du Québec. Parmi les stratégies adoptées pour accroître les parts de marché des produits québécois figure l'identification des produits à l'aide de la marque de provenance Aliments du Québec. Malgré les avantages économiques découlant de l'achat local, par manque de preuves scientifiques, l'organisme Aliments du Québec n'est pas en mesure de justifier quantitativement les investissements requis pour des démarches d'identification. Or, la connaissance de cette valeur, si elle s'avère positive, faciliterait l'adoption de la marque de provenance Aliments du Québec par les producteurs, les transformateurs et les distributeurs du Québec. L'objectif de la présente étude est donc de pallier à cette lacune en estimant la valeur de la marque Aliments du Québec auprès des responsables des achats alimentaires, et ce, dans un contexte d'achat réel. Notre recension des écrits a montré que, malgré la rareté des expérimentations en milieu réel et surtout l'absence d'études de cette ampleur dans le secteur agroalimentaire, la présence d'une marque signalant la provenance d'un produit alimentaire est susceptible d'influencer sa valeur aux yeux du consommateur et, de ce fait, sa propension à payer ou sa demande pour le produit. Cette revue de la littérature nous a permis de formuler des hypothèses à l'effet que l'identification de provenance Aliments du Québec devrait accroître la valeur d'un produit et que cet effet devrait être supérieur dans le cas des produits issus de catégories peu différenciées et arborant des marques dont le capital est faible. Pour tester ces hypothèses, nous avons eu recours à une expérimentation en magasin qui s'est déroulée sur une période de 39 semaines. Un plan factoriel 2 x 2 x 2 a été utilisé, soit deux stratégies d'identification (présence ou absence du logo Aliments du Québec), deux niveaux de similarité des produits dans la catégorie (faible et fort) et deux niveaux de force de la marque du produit sur lequel la marque de provenance Aliments du Québec est apposée (faible et forte). Nous avons utilisé la part de marché comme variable dépendante. Cette variable a été préférée à la quantité vendue parce qu'elle permet de contrôler les événements exceptionnels pouvant affecter les ventes de l'ensemble d'une catégorie de produits (ex. : la période des Fêtes). L'étude a été réalisée dans quatre magasins d'alimentation membres de la bannière IGA (Sobey's), l'une des trois principales bannières du Québec. Les magasins participants devaient fournir des données quant aux prix de vente et aux quantités vendues pour l'ensemble des marques présentes dans les 16 catégories de produits ciblés, et ce, pour une période de 27 semaines précédant l'expérimentation et pour les 12 semaines d'expérimentation. Le protocole expérimental s'est déroulé en deux temps. Au cours de la première période, qui s'est échelonnée sur les 27 premières semaines, aucune manipulation n'a été effectuée dans les 4 magasins. Au cours de la deuxième période, c'est-à-dire lors des semaines 28 à 39, nous avons effectué des manipulations en magasin. Dans deux des quatre magasins, nous avons identifié les marques cibles à l'aide de commères de 15 cm arborant la marque de provenance Aliments du Québec. En plus des données de ventes quotidiennes fournies par les marchands, un relevé hebdomadaire des produits présents, des ruptures, des quantités disponibles, des positions, des promotions et des prix a été effectué durant la période expérimentale. Des photos ont également été prises afin de permettre des vérifications a posteriori. Afin d'augmenter la validité externe des résultats observés et être en mesure d'isoler l'impact de la marque de provenance sur la valeur des produits, les catégories de produits retenues pour l'étude devaient répondre à quatre critères. Premièrement, il devait s'agir de catégories où la similarité entre les produits est forte ou faible. Deuxièmement, les catégories de produits retenues devaient correspondre à un marché mature et non saisonnier afin de réduire les variations dans les ventes attribuables à des facteurs externes. Troisièmement, il devait s'agir de catégories de produits d'achat fréquent afin de pouvoir observer les effets dans un délai raisonnable. Quatrièmement, la catégorie de produits devait présenter une variation dans les prix des produits à travers le temps afin de pouvoir estimer la courbe de demande pour les marques retenues. Les marques cibles retenues pour l'étude ont, pour leur part, été sélectionnées à partir de deux critères. D'abord, il devait s'agir de marques ayant une faible ou forte équité. Ensuite, les marques retenues devaient satisfaire les critères d'admissibilité pour l'usage de la marque de provenance Aliments du Québec ou de la marque de provenance Aliment préparé au Québec. Notre approche prévoyait le calcul de parts de marché. Il a donc été nécessaire d'identifier la concurrence directe. Cette identification s'est déroulée selon une démarche qualitative en deux temps. Dans un premier temps, nous avons effectué un relevé, dans les 4 sites expérimentaux, de toutes les marques offertes dans les 16 catégories de produits ciblées lors du pré-test. Dans un deuxième temps, nous avons identifié la concurrence directe des 16 marques cibles en 3 étapes. Dans une première étape, un relevé des marques présentes dans les 16 catégories a été soumis aux gestionnaires des 4 magasins afin d'en vérifier d'éventuelles omissions. Dans une deuxième étape, la chercheure principale a procédé à une analyse de la concurrence directe qui a consisté à faire des sous-groupes au sein des 16 catégories de produits. Dans une troisième étape, deux experts en marketing ont validé la classification effectuée. La variable dépendante a été mesurée par une procédure en trois étapes. Lors de la première, nous avons estimé, à l'aide de régressions, la courbe de demande pour les 16 marques cibles à partir des données recueillies lors des 27 premières semaines. À la seconde étape, en utilisant la courbe de demande estimée, nous avons fait des prédictions sur les parts de marché des marques cibles pour les semaines 28 à 39, en l'absence d'identification Aliments du Québec. À la troisième étape, nous avons calculé l'écart entre les parts de marché observées et les parts de marché prévues pour chaque marque cible. Si l'écart était plus élevé dans le cas des marques cibles identifiées par une commère Aliments du Québec, nous avons alors conclu que la marque Aliments du Québec ajoute de la valeur à un produit alimentaire. L'analyse des résultats a permis de confirmer que la présence de la marque de provenance Aliments du Québec augmente la valeur du produit et que ces résultats sont valables, peu importe le niveau de différenciation des produits dans la catégorie et la force de sa marque. Ces résultats sont également demeurés stables en tenant compte du magasin, de la catégorie de produits, de la semaine expérimentale, du nombre de commères et des activités promotionnelles. En moyenne, pour l'ensemble des 15 catégories de produits analysées, lorsqu'un produit est identifié par la marque Aliments du Québec, sa part de marché est de 2,8 points de pourcentage plus élevée que lorsque celui-ci n'est pas identifié par la marque Aliments du Québec. Plusieurs implications managériales découlent de cette recherche. Ces résultats se répercutent d'abord sur l'organisme Aliments du Québec, qui est désormais mieux outillé pour justifier les investissements requis pour des démarches d'identification des produits, et ce, peu importe la partie prenante. Ensuite, les résultats se répercutent sur les distributeurs alimentaires du Québec qui ont avantage à identifier les produits québécois qui répondent aux exigences de l'organisme, et ce, peu importe la localisation de leur magasin et le temps de l'année. L'identification Aliments du Québec est ainsi susceptible de contribuer à sécuriser l'espace tablette des produits québécois chez ces distributeurs. Nos résultats suggèrent aussi que les producteurs et transformateurs ont avantage à apposer l'identification Aliments du Québec sur leurs emballages afin d'augmenter la valeur de leurs produits aux yeux des consommateurs. Nos résultats envoient aussi un signal aux gouvernements qui auraient avantage à investir dans la marque de provenance Aliments du Québec puisqu'elle peut contribuer au développement du secteur agroalimentaire québécois. Bien que certaines limites inhérentes aux expérimentations en contexte réel comme les coûts et les inconvénients aux marchands soient également présentes ici, cette recherche ouvre d'autres pistes. En effet, des études ultérieures pourraient s'intéresser à l'évolution de la valeur d'une marque de provenance dans le temps, mais elles pourraient aussi avoir recours à une méthodologie semblable avec d'autres certifications, divers types de visuels ou différents types de magasins.
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6

Ertus, Pascale. "Mesure des dimensions du terroir et influence sur la qualité perçue et sur les intentions du consommateur vis-à-vis du produit alimentaire et spécificités pour le produit vin." Thesis, Lorient, 2019. http://www.theses.fr/2019LORIS525.

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Abstract:
Le projet de cette recherche est d’identifier les contenus informationnels porteurs de l’évocation du terroir pour envisager leurs effets sur la perception de la qualité et les intentions du consommateur pour les produits alimentaires. Bien que régulièrement mobilisé par le secteur professionnel, ce concept n’était ni consensuel ni explicitement défini du point de vue du consommateur. Le préalable à notre travail, représentant une première contribution, a été de préciser les contours et dimensions du terroir et du produit du terroir dans l’alimentaire. Dès lors, nous avons construit une échelle de mesure psychométrique de la terroirité perçue. Composée de 6 dimensions et de 23 items, elle permet de mesurer les caractéristiques associées au terroir par le consommateur. La seconde contribution du travail est d’évaluer les effets de ce construit global et de chacune des dimensions sur la qualité perçue et sur les intentions du consommateur pour le produit alimentaire du terroir. La troisième contribution est d’avoir pu repérer les principales variables modératrices de ces effets et de pouvoir ainsi envisager des perspectives de recherche. Le vin est un produit spécifique au sein du champ alimentaire français mais il représente aussi le premier produit cité quand les consommateurs pensent aux produits du terroir. La quatrième contribution a consisté à répliquer l’ensemble du travail d’investigation en l’appliquant au cas du produit vin. Outre une structuration différente des dimensions de la terroirité perçue, les conclusions soulignent des différences tant en termes d’effets que de variables modératrices vis-à-vis du produit vin (niveau d’expertise, connaissances et intérêt pour le produit). Mobilisant une approche mixte avec d’une part, des entretiens auprès d’une population appartenant à l’ensemble des régions françaises, et d’autre part, deux collectes par questionnaire auprès d’un échantillon global de 1015 consommateurs en France, ce travail s’appuie tant sur l’utilisation d’outils de recherche innovant en marketing (logiciel d’ADT “Le Trameur”, macro Process de Hayes, 2013), que sur des outils et méthodes robustes connues (AFE, AFC, modèles d’équations structurelles). Au vu des démonstrations des intentions d’efforts accrus, monétaires et comportementaux, pour le produit du terroir, les apports du travail permettent aux acteurs de la filière alimentaire de disposer d’une base clarifiée pour orienter leurs actions tant stratégiques et communicationnelles. Dans le même temps, cette confiance quasi systématique attribuée à la mention au terroir permet d’ouvrir le débat sur la sécurisation des garanties et la légitimité des affirmations commerciales. Face à la profusion d’évocations et de terminologies faisant référence à l’ancrage territorial infra régional, il s’agit en effet d’envisager des politiques publiques de protection et d’information du consommateur pour éviter la possibilité d’abus d’usage de la « mention terroir »
The purpose of this research is to identify the informational contents that carry the evocation of the terroir in order to consider their effects on the perception of quality and consumer’s intentions for food products. Although regularly mobilized by the professional sector, this concept was neither consensual nor well- defined from the consumer’s point of view. The prerequisites of our research, representing a first contribution, was to specify the area, the dimensions and the product of the terroir in the food field. From then on, we constructed a psychometric scale of perceived terroirity measure. Consisting of 6 dimensions and 23 items, it allows to measure the characteristics associated with the terroir by the consumer. The second contribution of our research is to assess the effects of this global construct and of each of its dimensions on the perceived quality and on the consumer’s intentions for the food product of the terroir. The third contribution is to have been able to identify the variables moderating significant to be tested in future researches. Wine is a specific product within the French food sector but it is also the first product evocated when consumers think of local products. The fourth contribution was to replicate all the investigative work by applying it to the case of wine. In addition to a different structuring of the dimensions of perceived terroirity, the results indicate differences in terms of effects and moderating variables for wine (level of expertise, knowledge and interest in the product). Through a mixed approach with, on the one hand, semi-structured qualitative interviews with respondents belonging to all French regions, and on the other hand, two surveys in opinion of 1015 consumers in France, this research relies both on the use of innovative research tools in marketing (ADT software "Le Trameur", Macro Process of Hayes, 2013), as well as on robust tools and methods known (AFE, AFC, structural equations models). In view of the demonstrations of increased efforts intentions, monetary and behavioral, for product of terroir, the contributions of the research leads to obtain a clarified base for the actors of the food chain to guide their actions as strategic and communicational. At the same time, this almost systematic trust attributed to the terroir’s mention allows to open the debate on the security of the guarantees and the legitimacy of the commercial affirmations. Faced with the profusion of evocations and terminologies referring to infraregional territorial anchorage, it is a question of considering public policies of protection and information of the consumer to avoid the possibility of excessive use of the term "terroir"
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Books on the topic "Étiquetage alimentaire"

1

Nutrition and Health Advertising: Evidence from Food Advertising, 1977-1997. Novinka Books, 2003.

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2

Genes, Trade, and Regulation: The Seeds of Conflict in Food Biotechnology. Princeton University Press, 2003.

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3

Bernauer, Thomas. Genes, Trade, and Regulation: The Seeds of Conflict in Food Biotechnology. Princeton University Press, 2016.

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4

Bernauer, Thomas. Genes, Trade, and Regulation: The Seeds of Conflict in Food Biotechnology. Princeton University Press, 2016.

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Book chapters on the topic "Étiquetage alimentaire"

1

KUREK, Mia. "Marquage et étiquetage des emballages." In Matériaux et procédés d’emballage pour les industries alimentaires, cosmétiques et pharmaceutiques, 329–46. ISTE Group, 2022. http://dx.doi.org/10.51926/iste.9039.ch12.

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Abstract:
L’étiquetage et le marquage (impression) des emballages est le principal facteur qui conditionne l’achat d’un produit. Les réglementations en vigueur ainsi que les différents procédés et matériaux sont discutés dans ce chapitre.
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