Academic literature on the topic 'État français (Vichy)'

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Journal articles on the topic "État français (Vichy)":

1

Mayer, Michael. "Wie autonom regierte Vichy?" Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte 64, no. 1 (January 15, 2016): 151–64. http://dx.doi.org/10.1515/vfzg-2016-0006.

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Abstract:
Vorspann Am 3. Oktober 1940 erließ die semiautonome Regierung des sogenannten État Français, des teilweise besetzten Frankreichs unter der Führung von Philippe Pétain und Pierre Laval, ein antisemitisches „Judenstatut“. Entsprang dies der ureigenen Initiative Vichys oder war es das Resultat eines Wechselspiels mit entsprechenden Planungen der deutschen Besatzungsmacht, die nur wenig später umgesetzt wurden? Michael Mayer verteidigt seine Auffassung, dass ersteres zutrifft, gegen die kritischen Einwände von Tal Bruttmann, Laurent Joly und Barbara Lambauer.
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J., Richard. "Vichy aux États-Unis : perspectives populaires et savantes." Sociétés contemporaines 39, no. 3 (September 1, 2000): 117–34. http://dx.doi.org/10.3917/soco.p2000.39n1.0117.

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Abstract:
Résumé RÉSUMÉ: L’histoire et la mémoire des années noires, sujets toujours controversés en France, ont suscité beaucoup d’intérêt dans les milieux intellectuels et universitaires aux États-Unis, surtout depuis une vingtaine d’années et parce que, dans ce pays aussi, on s’intéresse à ce qu’on préfère appeler l’ «Holocaust» aussi bien qu’aux vicissitudes de la mémoire de la Deuxième Guerre Mondiale. Mais la compréhension adéquate de Vichy et des débats qui l’entourent en France est en partie minée dans ce pays par une fascination peut-être trop grande pour le fascisme et l’antisémitisme français, par un manque de connaissances de l’histoire récente de la France et des institutions françaises, et enfin, par le fait qu’on n’y a jamais fait l’expérience d’une rupture ou d’un bouleversement politique comparable à la chute de 1940 et l’avènement de Vichy.
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Audet-Vallée, Kevin. "Faites un roi, ou faites la guerre : les organisations de l’Action française pendant la Grande Guerre (1914-1918)." Cahiers d'histoire 31, no. 1 (August 15, 2012): 21–36. http://dx.doi.org/10.7202/1011675ar.

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Abstract:
Peu approfondie dans l’historiographie de l’Action française, la période de la Grande Guerre n’en reste pas moins déterminante dans l’histoire de ce mouvement néoroyaliste et nationaliste français dont le parcours va de l’affaire Dreyfus au régime de Vichy. Tandis que ses maîtres à penser appelèrent leurs troupes à se rallier sans condition à « l’Union sacrée » du monde politique en faveur de la défense nationale, les militants du mouvement s’exilèrent en masse vers les tranchées. L’Action française, qui dans l’avant-guerre était structurée en un ensemble d’organisations présentes partout en France sous la forme de sections, se retrouva donc dépourvue entre 1914 et 1918 de sa force militante publique. Néanmoins, grâce aux efforts de quelques-uns de ses animateurs restés à « l’arrière front » et maintenant les activités du quotidien qu’il publiait, les idées du mouvement néoroyaliste avaient atteint à la fin de la guerre une notoriété inédite.
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Pasquay, Jean-Nicolas. "De Gaulle, les FFL et la Résistance vus par les responsables de la Wehrmacht." Revue Historique des Armées 256, no. 3 (August 1, 2009): 43–65. http://dx.doi.org/10.3917/rha.256.0043.

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Abstract:
Les écrits des états-majors de la Wehrmacht , les comptes rendus diplomatiques du Reich, les directions de Hitler situent la place qu’occupent le général de Gaulle, les Forces françaises libres et la Resistance dans les soucis politiques et militaires allemands. L’existence de la France libre influence nettement les rapports du Reich avec Vichy, l’Italie et l’Espagne. Dès 1940, les opérations des FFL, l’évolution institutionnelle de la France libre et le développement de son influence dans le monde sont suivis avec attention. Le Reich compte sur Vichy pour garder l’Empire contre les entreprises de la France libre et de ses alliés. À la suite de la bataille de Bir Hakeim, les FFL sont considérées comme des troupes régulières de grande valeur militaire. Après novembre 1942, les forces françaises ne sont que rarement identifiées dans les écrits militaires allemands. À partir du printemps 1944, les comptes rendus de la Wehrmacht font presque quotidiennement état des actions de la Résistance, qui mobilisent des moyens allemands significatifs pour y faire face. Les écrits examinés témoignent de la considération accordée au général de Gaulle et aux FFL. Ils confirment aussi que Charles de Gaulle tenait à la fois l’épée et le bouclier de la France.
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Couture, Paul M. "The Vichy-Free French Propaganda War in Quebec, 1940 to 1942." Historical Papers 13, no. 1 (April 20, 2006): 200–216. http://dx.doi.org/10.7202/030484ar.

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Abstract:
Résumé En juin 1940, l'armée française rend les armes et le maréchal Pétain instaure un nouveau gouvernement à Vichy. La légalité de ce gouvernement est, dès lors, vivement contestée par un groupe rival dirigé par le général de Gaulle qui établit ses quartiers généraux en Angleterre. Pendant les années 1940-1942, ces deux factions vont se livrer une lutte qui eut de fortes répercussions au Canada et qui s'avéra même l'un des événements les plus controversés au pays. Ces controverses, il faut bien le dire, dépassaient de beaucoup l'opposition Pétain-de Gaulle; elles rejoignaient de multiples dissensions idéologiques, raciales, politiques et diplomatiques, qu'il s'agisse des revendications nationalistes des Canadiens-français, de sentiments pro ou anti-impérialistes, ou encore, du problème de la participation à la guerre. L'auteur a choisi de s'étendre plus longuement sur les diverses réactions qui s'observent au Québec à la suite de la propagande considérable dont les deux factions inondent le pays. Ce qui frappe, au départ, c'est la sympathie avec laquelle les Québécois ont reçu la nouvelle des événements qui déchiraient la France en 1940. Puis, avec la propagande, vinrent les prises de positions. A vrai dire, sauf quelques exceptions, peu de gens militèrent activement pour l'un ou l'autre camp; cependant, le gouvernement Pétain était vu d'un meilleur oeil. On admirait le vieux maréchal et maints organismes endossaient ses projets de "restauration". De Gaulle, pour sa part, fut assez vite identifié à la campagne pour une guerre totale et, de ce fait, rabaissé aux yeux des Québécois. Malgré ce consensus apparent, la question française n'engendra pas moins d'acerbes disputes qui allaient s'envenimant puisqu'elles débouchaient sur des problèmes typiquement québécois. L'occupation de Vichy par l'armée allemande, en 1942, et la rupture des relations diplomatiques entre la France et le Canada vinrent mettre fin aux débats sur la question.
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Cabanel, Patrick. "Marc Boegner, ou de la figure du chef en protestantisme français, particulièrement au cours des années 1940." Revue d'histoire du protestantisme 5, no. 4 (March 1, 2021): 535–56. http://dx.doi.org/10.47421/rhp5_4_535-556.

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Abstract:
Marc Boegner a présidé à partir des années 1930 presque tout ce qui était à présider dans les instances du protestantisme français, dont la Fédération protestante et l’Église réformée récemment réunifiée. Il l’a fait de manière parfaitement démocratique, quoique avec une appétence et une durée qui requièrent l’analyse. Boegner a bien compris une époque marquée par le désir d’autorité. L’article revient sur son rôle important et complexe dans les années 1940 et sur son choix d’une Église non « confessante » et de négociations feutrées (mais vaines) avec Vichy, et discrètes mais fécondes avec Berne.
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Baruch, Marc Olivier. "Maurice Lagrange à Vichy : l’homme fort de la « Révolution nationale administrative »." Civitas Europa N° 50, no. 1 (March 25, 2024): 47–67. http://dx.doi.org/10.3917/civit.050.0047.

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Quand Jean Jardel, qui fut quelques mois le supérieur hiérarchique de Maurice Lagrange au secrétariat général de la vice-présidence du Conseil, passa en jugement après la Libération, l’accusation estima que les « tares de Vichy » seraient plus tôt apparues si le régime n’avait pas été servi par des hauts fonctionnaires de qualité, issus des élites républicaines d’avant-guerre. Lagrange ne fut pas jugé, mais cette analyse s’appliquait bien plus nettement à lui. Pendant deux ans, entre juillet 1940 et juin 1942, il avait en effet occupé à Vichy une fonction lui donnant un pouvoir d’autant plus considérable qu’il était discret. Sous le titre anodin de « chargé de mission au secrétariat général de la vice-présidence du Conseil », il fut le principal artisan de la mise au pas et de la tentative de pétainisation de la fonction publique. Il apparaît ainsi comme la cheville ouvrière, convaincue et assidue, de la mise en œuvre du statut des juifs dans l’État et de l’ultra-réactionnaire statut des fonctionnaires promulgué à l’automne 1941. S’il resta, pour des raisons aisément compréhensibles, muet sur le premier de ces dossiers, il fut plus disert sur le second. C’est ainsi qu’il publia dans la Revue des Deux Mondes , en trois livraisons étalées de janvier à juillet 1944, un long texte intitulé « L’État nouveau et les fonctionnaires ». Il y vantait ce qui lui apparaissait, avec la Charte du Travail, comme « le monument législatif le plus important de ceux qui ont été édifiés depuis juin 1940, le statut des fonctionnaires promulgué le 14 septembre 1941 ». Il y insistait sur la volonté du législateur de 1941 de restaurer pleinement la dignité de la fonction publique, présentée comme un des objectifs majeurs du texte : « le statut devait être pour les fonctionnaires, en même temps que la définition de leurs droits, le rappel de leurs devoirs : devoir pour les subordonnés d’obéir, mais aussi pour les chefs de commander ; ainsi la fonction publique devait-elle reprendre, aux yeux du fonctionnaire comme dans l’esprit public, le sens traditionnel de sa dignité ». Lagrange incarne, pratiquement à lui seul, le pétainisme d’État : il en était fier, regrettant seulement que les événements n’aient pas permis son entière réalisation. Il était temps pour lui, après la Libération, de quitter la scène politico-administrative française.
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Cabanel, Patrick. "Deux publications françaises aux États-Unis, en 1943, contre l'antisémitisme du régime de Vichy présenté par Patrick Cabanel." Diasporas 13, no. 1 (2008): 152–61. http://dx.doi.org/10.3406/diasp.2008.1168.

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Masson, Jean-Pol. "Les démêlés des écrivains avec la justice." Non Plus 6, no. 12 (December 31, 2017): 05–22. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2316-3976.v6i12p05-22.

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Abstract:
Cette contribution vise à donner un aperçu des difficultés que les écrivains français et belges ont eues avec la justice de leur pays, plus précisément des poursuites que leur activité littéraire leur a values de la part du ministère public. Les poursuites intentées contre les auteurs peuvent être dues à des écrits de nature politique. On en rencontre sous l’Ancien Régime (Diderot, Rousseau), pendant la Révolution (André Chénier), sous la Restauration (Paul-Louis Courier, Béranger), sous le règne de Louis-Philippe (Daumier), chaque fois lorsque l’écrivain s’en prend à un aspect ou l’autre du système politique. On traite aussi, du procès fait à Zola, sous la démocratique IIIe République, pour avoir critiqué le fonctionnement de la justice militaire. Nouvelles poursuites pendant la seconde guerre mondiale, à l’encontre des auteurs déplaisant au gouvernement de Vichy ou à l’occupant allemand. Renversement de situation à la Libération : ce sont cette fois les écrivains collaborationnistes qui se retrouvent devant les juridictions et qui sont parfois sévèrement condamnés (ainsi Brasillach, condamné à mort). L’autre type de poursuites dirigées contre les écrivains concerne les ouvrages jugés contraires aux bonnes mœurs. Il y a des procès de ce genre dès le XVIIe siècle (Théophile de Viau). On en rencontre au XIXe siècle, les plus célèbres étant ceux qui visaient Flaubert et Baudelaire. La contribution examine, pour conclure, la question de la responsabilité des écrivains. Si nous sommes choqués par les ennuis faits à plusieurs auteurs par des régimes non démocratiques, il est en revanche normal que certains écrits, comme ceux qui glorifiaient l’antisémitisme ou d’autres théories des nationaux-socialistes, aient valu des poursuites à leurs auteurs.

Dissertations / Theses on the topic "État français (Vichy)":

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Mallet, Audrey. "Vichy against Vichy : History and Memory of the Second World War in the Former Capital of the État français from 1940 to the Present." Thesis, Paris 1, 2016. http://www.theses.fr/2016PA01H073.

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Abstract:
Soixante-dix ans après la fin de la guerre et alors que l’héritage immatériel de Vichy constitue aujourd'hui, selon Pierre Nora, un des principaux lieux de mémoire en France, la ville de Vichy continue d'être un non-lieu de mémoire. L'étude du cheminement de la mémoire de Vichy à Vichy s'avère particulièrement intéressante car elle met en lumière les difficultés pour les villes symboles de honte à dépasser le paradoxe triangulaire entre leur volonté (nécessité) d'écrire leur propre histoire, l’impossibilité qu'elles ont de se libérer totalement du poids écrasant des mythologies nationales, et l'inévitable prise en considération des contraintes imposées par le contexte économique, social et/ou politique propre à chaque lieu. En utilisant une méthodologie à la fois historique et anthropologique, ma thèse met en évidence l'importance de ne pas considérer la mémoire collective comme étant imposée par les groupes hégémoniques, mais plutôt comme étant le résultat d'un processus complexe au sein duquel les traditions, les mythes et les légendes locales occupent une place centrale
Following the June 22, 1940 armistice and the subsequent occupation of northern France by the Germans, the French government left Paris and eventually established itself in the city of Vichy. The name 'Vichy' soon came to be used to refer to the regime instigated by Pétain and his ministers. The shortcut was maintained and popularized in the postwar period, to the great displeasure of the Vichyssois. Whereas the Vichy regime has long been considered one of the most defining historical events of France’s recent past, in the French memorial landscape of the Second World War, the city of Vichy continues to stand out as a non lieu de mémoire. This dissertation investigates the wartime period in Vichy and explores how the population has dealt with the fraught legacy of the Vichy regime from 1944 to the present. My research examines how the interaction between national mythology, specific local concerns, and broader troubling issues have impacted - and blocked - the formation of a local war memory
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Massiani, Marie-Geneviève. "La Croix et le régime de Vichy (de juin 1940 à novembre 1942)." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040104.

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Abstract:
Cette étude se propose de décrire l'évolution du regard porté sur une époque tragique, courte, mais dense en évènements, par un quotidien d'un catholicisme " classique" (docile à la hiérarchie ecclésiale, plutôt conservateur politiquement), et donc représentatif d'une bonne partie des catholiques français. Le thème implique l'évocation constante, en arrière-plan, de l'histoire des années 40-42, en tant qu'objet de l'attention et des commentaires de la croix. Hommes, idées, faits, sont perçus et devinés à travers les écrits - et les silences - du journal. On doit souligner le rôle capital joué dans son élaboration par les services de censure, La Croix, de ce fait, présentant un double aspect: à la fois support des textes imposés par le pouvoir, et, à ce titre, instrument de propagande; et aussi porte-parole très surveillé- et très censuré- d'une rédaction qui tente d'exprimer ses propres opinions. Qu'a pu dire La Croix, qu'a-t-elle été forcée de dire - et de taire- sur les volte-face et les drames nés de la défaite: sur l'état français, son chef et son programme? Sur le retournement des positions diplomatiques, sur la collaboration avec l’Allemagne? Sur la persécution antisémite ? Sur les complaisances et les silences de la hiérarchie catholique? Et son maintien sous un étroit contrôle a-t-il contribue à éclairer ou à égarer son public? A-t-il été finalement bénéfique ou compromettant pour la cause de l'église et des catholiques de France ?
This study means to describe how a tragic era, short, yet eventful, was looked by a daily newspaper of a “classical" form of Catholicism, i. E. Submissive to church hierarchy and rather conservative in political terms, and as such representative of most French Catholics. The topic requires constant background recalling of the historical events of the years 1940 to 42, which La Croix focused and commented upon. Men, ideas, facts are perceived and guessed at through what the newspaper wrote - and remained silent about. The decisive part played by censorship needs to be dwelt upon as it gave La Croix a twofold aspect: both the medium of texts imposed upon them by the powers-that-be, hence an instrument of propaganda, and the closely watched and heavily censored mouthpiece of the editorial staff trying to voice their own opinions. What was La Croix able to say, what were they compelled to say- and to hush up about the turnarounds and dramas which were the aftermath of defeat? About the French state, its head, and its program? About the reversal of diplomatic positions, about collaboration with Germany? About anti-semitic persecution? About the subservience and the silence of the catholic hierarchy? Did the fact that the newspaper was kept under strict control contribute to enlightening or misleading their readers? Was it eventually beneficial or compromising for the cause of the church and Catholics in France?
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Mioni, Michele. "Towards a New “Social Pact” : World War II and Social Policy in Great Britain, Italy and Vichy France." Thesis, Paris 1, 2018. http://www.theses.fr/2018PA01H031.

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Abstract:
Cette thèse concerne les politiques sociales en Grande-Bretagne, dans l'État français, ainsi que dans l'Italie fasciste pendant la Deuxième guerre mondiale. Mon approche ne se borne pas aux années de guerre. Il tient en compte la dépendance des précédentes politiques dans les trois Pays, et elle est ouverte aux développements de l'après-guerre. J'ai réparti ce travail en trois parties, en poursuivant des critères méthodologiques et thématiques. Dans la première partie, j'ai donné un aperçu des politiques sociales dans les trois Pays de la fin du 19e siècle jusqu'au déclenchement de la guerre. Dans cette section, j'ai analysé la nature incrémentielle des politiques sociales, en retraçant les héritages en matière de politique sociale dans chaque Pays. De toute manière, les autres deuxième et troisièmes parties constituent le cœur de la recherche. La deuxième partie est une analyse comparée des politiques mises en place pendant la guerre, ainsi que des projets formulés pour l'après-guerre. Elle est divisée en trois chapitres qui correspondent à chaque Pays examiné, avec un chapitre conclusif où les résultats de la recherche sont croisés, afin de renforcer la compréhension comparative du sujet. La troisième partie porte sur un examen comparé/transnational de l'exploitation politique des reformes sociales. D'un côté, la politique sociale a été utilisée pour renforcer le front intérieur gagner le consensus. De l'autre côté, la diffusion des informations et de la propagande sur les projets de réforme pour l'après-guerre devait jouer le rôle primaire dans la reconstruction des relations internationales après la guerre
My dissertation concerns the social politics in Great Britain, in the Vichy regime, and in Fascist Italy during World War II. My approach to the topic, however, is not narrowly limited to the war years. It takes into account the path dependence of the previous policies in the three countries, and is open to the further developments of the immediate postwar years. I split my work in three parts, according to methodological and thematic criteria. ln a first part, I provided the overview of the social politics enacted in the three countries from the end of the 19th Century to the outbreak of the war. ln this section, I captured the incremental nature of the social policies, also retracing the specific policy legacy in each country. The very cure of my research, however, dwells in the other two parts. ln section two, I carried out a comparative analysis of the policies implemented during the war, and the draft projects for after the war. This section is split in three chapters, where I scrutinized the social politics in each country, and a conclusive chapter where I crossed the results of my investigation, strengthening its comparative aspects. The third part is a comparative/transnational exploration on the political use of social policy. On the one hand, social policy was exploited to strengthen the home front and gamer domestic political consensus. On the other, the dissemination of information and the propaganda of the postwar social project was also expected to play a not secondary role in the resettlement of the international relations after the war
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Freysselinard, Éric. "Louis Marin (1871-1960), itinéraire, place et rôle d'un dirigeant des droites françaises du premier vingtième siècle." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2024SORUL040.pdf.

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Abstract:
Louis Marin, passionnément lorrain, ethnologue, défenseur des minorités nationales, déploya une importante carrière universitaire jusqu'à son élection à l'Académie des sciences morales et politiques en 1944. Député de Nancy pendant 46 ans, président du conseil général de Meurthe-et-Moselle pendant 22 ans, huit fois ministre, il fut président, à partir de 1925, de la Fédération républicaine, à droite de l'échiquier politique. Hostile à l'Allemagne, adversaire des gauches et des loges maçonniques, catholique, libéral et réformateur, proche de François de Wendel, il réussit à transformer son parti en machine de guerre pour faire tomber le Cartel des gauches. Son intransigeance vis-à-vis de l'Allemagne l'isola cependant peu à peu de la classe politique, amenant de nombreux soutiens à l'abandonner comme Georges Pernot, Henri de Kerillis ou Jean Ybarnégaray. En 1940, pendant que ses cadres comme Xavier Vallat ou Philippe Henriot rejoignaient l'État français, il se retrouva presque seul, parmi les parlementaires de droite, à résister à l'occupant allemand. Sa constance idéologique et le rejet des personnalités montantes (Poincaré, Tardieu, de Gaulle) l'amenèrent, quelques années après la guerre, à se replier sur sa vie privée avec sa femme Fernande qui consacra ses vingt dernières années à sauvegarder sa mémoire. Cette thèse dépeint d'abord un homme pétri de contradictions et de fêlures, qui, fils d'un père enfant naturel, avait perdu sa mère à cause des Allemands, et se maria sur le tard avec la femme de sa vie sans avoir d'enfants. Elle analyse aussi la difficulté de la droite à construire son unité aussi bien pour des raisons idéologiques que pour des questions d'ego. Marin sauva peut-être l'honneur de la droite en 1940, mais échoua à en devenir un vrai leader
Louis Marin, proud of his Lorraine origins, was an ethnologist and an advocate for minority groups. He had a successful academic career before his election at the Moral and Political Sciences Academy in 1944. He was a member of Parliament representing Nancy for 46 years, President of the department of Meurthe-et-Moselle for 22 years, appointed Minister eight times, and he became President of the Republican Federation right-wing party in 1925. Marin was an enemy of Germany, opponent of the left-wing parties and masonic leagues, Catholic, a conservative in favour of reforms, and friend of François de Wendel. He managed to transform his party into an effective weapon against the “Cartel of the Left”. His intransigence against Germany led him to be isolated and lose support from other politicians, including Georges Pernot, Henri de Kerillis and Jean Ybarnégaray. In 1940, as his comrades such as Xavier Vallat and Philippe Henriot joined the Vichy government, he was one of the only right-wing members of Parliament to resist the German occupation. His ideological steadfastness and opposition to new political figures (Poincaré, Tardieu, de Gaulle), led him to withdraw from public life several years after the war and focus on his private life with his wife Fernande, who would dedicate her last twenty years to honoring his memory. This thesis depicts a man steeped in contradictions and flaws; having a bastard father, losing his mother because of the Germans and marrying his wife late in life without ever having children. It also analyses the difficulties of the right-wing parties to create unity, as a result of ideological issues as well as those of ego. Marin indeed saved the honour of the French right-wing in 1940, but failed to become a true leader
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Sadon, Jacques Bernard. "Les Juifs d'Algérie sous Vichy : le sort réservé aux enfants de l’enseignement primaire et secondaire : la mise en place de l’enseignement privé juif." eSorbonne Paris Cité, 2015. http://www.theses.fr/2015USPCC026.

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Abstract:
Le travail de recherche auquel je me suis livré concerne le sort réservé à la communauté juive d'Algérie durant la période 1940-1943, et plus précisément celui des enfants des écoles primaires et secondaires victimes de l'éviction scolaire instaurée par le recteur d'Alger Georges Hardy. Une première partie est consacrée à la mise en place du régime de Vichy dans la colonie et à l'application de la législation antisémite visant à la marginalisation et à l'exclusion de la population juive d'Algérie de la société coloniale. L'action du personnel politique local (gouverneurs, préfets, sous-préfets) responsable de la politique de Vichy est présentée. Face aux mesures d'exclusion, ont été recueillies les protestations de la communauté juive ainsi que les réactions des Algériens musulmans et de la population européenne. L'éviction scolaire a formé la seconde partie. Son étude a pu être réalisée à partir d'un questionnaire conçu pour en mesurer l'impact sur ces jeunes générations d'alors, soumis à plus de 60 personnes, et de 12 entretiens particuliers. Les conditions mêmes de cette éviction ont pu être analysées ainsi que le devenir des victimes de l'exclusion. Le vécu de cette mise à l'écart de la société a marqué de façon durable la très grande majorité d'entre eux. La troisième partie traite de la création de l'enseignement privé juif. Les différentes formes de cet enseignement ont été exposées, les dispositions légales pour l'ouverture des écoles précisées. Le personnel de cet enseignement privé de substitution a également fait l'objet d'une étude approfondie
The topic of my studies deals with the social treatment of the Jewish Algerian community during the years 1940-1943 and more precisely how the primary and secondary school children were treated, as they were excluded from school by the chief education officer in Algiers Georges Hardy. The first part of my researches is dedicated to how the Vichy government took control and power in the colony and how the anti-semitic rules were applied, aiming at excluding and marginalizing the Algerian Jewish population in the colonial society. The local political French authorities' behaviour is described(governors ,prefects of regions ,etc. . . ). The rules of exclusion and reject aroused feelings of protest and indignation among the jew community. The muslim algerian and european poulation reactions have been examined too. The second part of my study deals with the school children exclusion. I have carried out a survey questioning 60 people and met personally 12 people. The very conditions of this exclusion have been analyzed, as well as what became of the victims: most of them have been deeply influenced and emotionnaly bruised for ever. The third part deals with the private school education in Algeria. The various forms of this education have been dealt with as well as the legal conditions regarding the opening of these schools. A deep study of the teachers' legal and professional status in this alternate system of education has been completed too

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