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Rascle, Pauline, and Vincent Hugonnot. "L'écorce des arbres, un micro-environnement méconnu : étude de la variation du pH." Revue forestière française 72, no. 6 (December 31, 2020): 477–89. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5344.

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Abstract:
Plusieurs travaux scientifiques ont décrit le pH des écorces d’arbre comme un des principaux facteurs qui conditionnent la distribution et la richesse des communautés épiphytiques Ce paramètre est toutefois encore mal maîtrisé, notamment en ce qui concerne les forêts tempérées d’Europe Afin de mieux comprendre comment varie le pH des écorces au sein de nos forêts, une étude a été réalisée à l’échelle de l’Auvergne permettant la mesure du pH de plus de 400 échantillons d’écorce Les résultats obtenus montrent que les espèces d’arbres étudiées semblent présenter une gamme de pH caractéristique, permettant ainsi d’établir un catalogue du pH des essences rencontrées dans la région.
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Muntotombe Botonga, Ghislain, and Andy Mussa Kalambayi. "Etude analytique de l’exploitation forestière du bois d’œuvre dans le Territoire de Bikoro, (Province de l’Equateur, République démocratique du Congo)." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 02, no. 01 (February 15, 2023): 169–75. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i1.21.

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Abstract:
L’exploitation du bois est une activité économique, mais elle modifie le paysage naturel et perturbe la biodiversité. Le but de cette étude était d’identifier les essences d’arbres exploitées et d’examiner les perceptions des habitants de l’impact environnemental de cette exploitation. Des entretiens ont été menés dans huit villages du territoire de Bikoro. Les données ont été collectées de novembre 2020 à janvier 2021 en administrant des questionnaires aux habitants consentants. Au total 106 répondants ont participé à l’étude dont l’âge moyen était de 40 ans. 58% des répondants avaient un avis défavorable sur l’exploitation du bois car elle impliquée souvent la baisse et/ou la disparition des animaux et insectes alimentaires et la perturbation saisonnière. Mots clés: Bassin du Congo, exploitation forestière, bois d’œuvre, territoire de Bikoro, République démocratique du Congo
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Caspa, Roseline Gusua, Isaac Roger Tchouamo, Jean Pierre Mate Mweru, Joseph Mbang Amang, and Marley Ngang Ngwa. "THE PLACE OF IRVINGIA GABONENSIS IN VILLAGE COMMUNITIES AROUND THE LOBEKE NATIONAL PARK IN CAMEROON." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 324, no. 324 (March 17, 2015): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.324.a31262.

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Abstract:
Le manguier sauvage, Irvingia gabonensis, est une des essences les plus exploitées pour des produits forestiers non ligneux aux alentours du Parc national de Lobeke au Cameroun. Une enquête auprès des cueilleurs montre que les fruits sont ramas- sés en forêt à même le sol, ce qui entraîne des risques élevés d’attaque par des gorilles (100 %) et nécessite de longs séjours en campement (87 %). Tous les cueilleurs conservent cette essence, la plu- part (82 %) en protégeant les semis spon- tanés, mais ne s’intéressent pas à la plan- tation. Cependant, près de 68% des cueil- leurs indiquent qu’ils l’envisageraient. L’amande de Irvingia gabonensis est considérée par les cueilleurs comme la deuxième ressource alimentaire (98 %) et la première source de revenus (93 %) parmi les quatre principaux produits fores- tiers non ligneux de la région. Un inventaire a été réalisé pour évaluer l’abondance de l’essence dans trois systèmes forestiers : la zone protégée, une forêt de production vil- lageoise (forêt naturelle comprise dans le domaine forestier non-permanent et gérée par une communauté villageoise avec l’ap- pui du service forestier) et une zone agrofo- restière (jachères et associations de cul- tures/cacao), dans 6 x 3 parcelles de 1 ha. La production fruitière a été estimée en comptant les fruits pendant les collectes. La croissance et la survie des plantules n’ont été estimées que dans la zone proté- gée en raison de la rareté des jeunes plants dans la forêt de production et la zone agro- forestière. La densité moyenne des I. gabo- nensis s’établit à 3,3 arbres/ha, sans écart significatif entre les trois systèmes fores- tiers. Le diamètre moyen à hauteur de poi- trine ne varie pas significativement entre les trois systèmes, ni la production fruitière moyenne. Le taux de survie des semis baisse à 70 % dans la zone protégée au bout de 18 mois. La présence majoritaire d’arbres de diamètre moyen à élevé indique que la ressource se maintiendra pendant quelque temps, mais la quasi absence de jeunes individus permettant de régénérer ces peuplements vieillissants compromet la ressource à plus long terme. L’intensité de la cueillette conduit à recom- mander l’intégration de cette essence dans les exploitations agricoles villageoises.
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Jactel, Hervé, and Lorenzo Marini. "Libre évolution des forêts et maîtrise du risque sanitaire associé aux scolytes des conifères." Revue forestière française 73, no. 2-3 (March 30, 2022): 383–90. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5477.

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Abstract:
Les forêts tempérées subissent un fort accroissement des attaques d’insectes ravageurs en réponse aux changements climatiques comme en attestent l’augmentation récente des pullulations de scolytes des conifères. Avec l’interdiction des insecticides et l’impasse de la sélection génétique, adapter la gestion des forêts pour prévenir ou contrôler ces infestations demeure la meilleure option. En termes de prévention, l’augmentation de la diversité des essences forestières, associant conifères et feuillus, permet de réduire la densité d’arbres hôtes, de renforcer leur vigueur, de perturber les processus de colonisation et de maintenir les ennemis naturels, améliorant globalement la résistance des peuplements aux attaques de scolytes. En termes de lutte, les coupes sanitaires visant à évacuer les bois scolytés et à limiter leur substrat de développement ne sont que rarement efficaces, à moins d’être pratiquées rapidement en visant la quasi-totalité du volume de chablis. Les forêts en libre évolution, pourvu qu’elles soient composées d’un mélange équilibré d’essences contrastées, n’apparaissent donc pas intrinsèquement plus vulnérables aux attaques de scolytes.
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Boudouaya, Manel, Hachemi Benhassaini, Fatima Zohra Bendimered-Mouri, Frédéric Mothe, and Meriem Fournier. "ÉVALUATION DE LA DURABILITÉ NATURELLE DU BOIS DE PISTACIA ATLANTICA DESF. DU NORD DE L’ALGÉRIE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 325, no. 325 (July 17, 2015): 49. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.325.a31272.

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Abstract:
La connaissance de la durabilité naturelle du bois des essences des zones arides et semi-arides est nécessaire pour décider de leur exploitation future. Ceci permet- trait de réduire l’utilisation des produits de préservation. La présente recherche a pour but de contribuer à la valorisation qualitative du bois d’une espèce ligneuse répandue en Algérie mais très peu étu- diée. Il s’agit du pistachier de l’Atlas, Pistacia atlantica Desf. C’est un taxon vivace, rustique et endémique qui peut vivre plusieurs siècles en s’adaptant par- faitement aux conditions édaphiques et climatiques contraignantes de son habi- tat. La durabilité naturelle a été évaluée au moyen d’éprouvettes normalisées de bois d’aubier et de duramen d’arbres provenant de deux régions différentes du point de vue bioclimatique en Algérie nord-occidentale. Les tests ont été effec- tués conformément aux normes euro- péennes NE 113 (1996) et NE 350-1 (1994)qui permettent l’évaluation de la durabi- lité du bois contre l’attaque fongique. Les résultats obtenus sur la perte de masse font ressortir deux faits particulièrement intéressants : le duramen et l’aubier des arbres des deux provenances présentent la même durabilité et aucune différence significative n’a été observée entre les deux provenances pour le même type de bois. Ce bois se classe parmi les bois très durables.
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Makemba, Romaric Ndonda, Félicien Tosso, Christian Moupela, Kasso Daïnou, and Jean-Louis Doucet. "Cylicodiscus gabunensis Harms : une espèce prisée dans le commerce international (synthèse bibliographique)." BASE, no. 3 (2019): 188–202. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.18006.

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Abstract:
Introduction. En raison de la diminution des ressources en bois d’œuvre tropicaux, il convient d'améliorer les connaissances sur les espèces ligneuses en vue de développer des politiques d'exploitation réellement durables. Reconnu pour la grande qualité de son bois, Cylicodiscus gabunensis Harms (Fabaceae-Caesalpinioideae) est une essence à haute valeur socio-économique. Cet article dresse la synthèse bibliographique des connaissances relatives à cette espèce en vue de mettre en avant l’ensemble des aspects méritant des investigations scientifiques approfondies. Littérature. Commercialisée sous le nom d’okan, C. gabunensis est une espèce ligneuse non grégaire vivant dans les forêts denses humides tropicales sempervirentes et semi-décidues. Arbre fétiche pour certains peuples autochtones, C. gabunensis est utilisé par les communautés rurales pour de multiples usages. C’est une espèce à phénologie régulière avec une dispersion anémochore des graines. Les populations d’arbres affichent un déficit de régénération en forêt dense humide sempervirente, ce qui compromettrait l’exploitation de l’espèce à long terme. Ce risque est accru par le manque évident d’informations écologiques et sylvicoles permettant une gestion durable. Conclusions. Cette revue bibliographique résume l’ensemble des informations disponibles sur C. gabunensis principalement en botanique, anatomie du bois, écologie et ethnobotanique. Elle renseigne sur l’état actuel des connaissances au regard des rythmes d’exploitation et de l’état des populations de l’espèce. Des informations complémentaires sont nécessaires pour (i) statuer sur la conservation des populations de l’espèce et (ii) proposer des stratégies de gestion adaptées.
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Boudouaya, Manel, Hachemi Benhassaini, Fatima Zohra Bendimered-Mouri, Frédéric Mothe, and Meriem Fournier. "ÉVALUATION DE LA VARIABILITÉ DE LA COULEUR DU BOIS DE PISTACIA ATLANTICA DESF. DU NORD DE L’ALGÉRIE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 330, no. 330 (July 21, 2017): 23. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.330.a31316.

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Parmi les propriétés caractérisant le bois des essences naturelles et parti- culièrement celles des zones arides et semi-arides, la variabilité de la couleur conditionne leur utilisation en tant que matériau apparent de haute valeur ajoutée, en menuiserie-ébénisterie, par exemple. Les travaux présentés ici ont pour but de contribuer à la valorisation esthétique du bois d’une espèce ligneuse répandue en Algérie mais très peu étu- diée, le pistachier de l’Atlas, Pistacia atlantica Desf. La variabilité de la couleur a été évaluée sur des éprouvettes de bois coupées dans l’aubier et le duramen d’arbres provenant de deux régions diffé- rentes du point de vue bioclimatique en Algérie nord-occidentale. L’évaluation de la couleur du bois a été effectuée au sein du Laboratoire d’étude des ressources forêt-bois (LERFoB) à Nancy, France, en utilisant un spectrocolorimètre et un logi- ciel pour la mesure et l’affichage des don- nées. Les résultats obtenus indiquent la présence de variation de la couleur du bois du pistachier de l’Atlas entre les deux régions (pour les trois composantes chromatiques, L*, a* et b*) et entre les arbres (pour la composante L*). L’aubier, avec son bois plus clair, présente des composantes colorimétriques, particu- lièrement la clarté (L*) et la composante vert-rouge (a*), très différentes de celles du duramen. Nous en déduisons que les facteurs du milieu ont une influence sur les caractéristiques colorimétriques du bois de cette espèce, en plus des carac- téristiques individuelles intrinsèques de chaque arbre. Enfin, la clarté L* et les composantes vert-rouge a* et bleu-jaune b* présentent des variations entre les dif- férents types de bois de pistachier.
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "Secondary Forests in Equatorial Africa Côte d’Ivoire - Cameroon - F. E. A." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31241.

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Abstract:
La « brousse secondaire » s’oppose à la « forêt primaire », forêt « noble » aux grands arbres. C’est une forêt exubérante, inextricable, avec plus de lianes et de petits bois que d’arbres, succédant à l’agricul- ture sur brûlis. Dans les régions habitées, elle entoure communément les villages et borde les routes, la forêt primaire étant reléguée aux collines rocheuses et maré- cages. En Afrique équatoriale, la « brousse secondaire » représente actuellement 50 à 75 % des surfaces forestières. La forma- tion des brousses secondaires procède en trois phases : (i) l’apparition de semis d’es- pèces héliophiles (Musanga sp., Vernonia sp., Anthocleista sp.) à croissance rapide, qui diffèrent des espèces de « forêt pri- maire » et dont les graines sont dispersées sur de longues distances ; (ii) la formation d’un sous-bois, constitué cette fois des mêmes espèces arbustives qu’en « forêt primaire », et où se mêle un second groupe d’espèces héliophiles banales, caractéris- tiques de la « brousse secondaire » et rat- trapant le précédent, voire le surcimant ;(iii) la lente reconstitution de la « forêt primaire », riche en sapotacées, guttifères et légumineuses au bois dur, capables de se régénérer dans les sous-bois, et parmi lesquelles de très grands arbres finissent par percer la voûte des cimes. L’okoumé (Aucoumea klaineana), essence précieuse typique des « brousses secondaires », est ainsi fréquent dans les prétendues « forêts primaires » du Gabon, forêts qui ont été en réalité autrefois défrichées. On ne saurait admettre aujourd’hui que le fort potentiel des « brousses secondaires » soit inva- riablement réduit en cendres. Il faut au contraire apprendre à guider et hâter leur évolution en faveur d’espaces à haute va- leur économique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Goba, Alice Estère, Kouamé Guillaume Koffi, Raoul Sylvère Sié, Léonie Clémence Kouonon, and Yeboa Alexis Koffi. "Structure démographique et régénération naturelle des peuplements naturels de Pterocarpus erinaceus Poir. (Fabaceae) des savanes de Côte d’Ivoire." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (July 20, 2019): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31750.

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Abstract:
Pterocarpus erinaceus Poir. (Fabaceae) est un arbre des forêts claires et des savanes arborées d’Afrique, très prisé pour son bois, son fourrage et ses vertus thérapeutiques, cause de sa surexploitation en Côte d’Ivoire. La présente étude analyse la structure démographique des peuplements naturels et les potentialités de régénération de cette essence en fonction de l’intensité d’exploitation dans les trois types de savanes (guinéenne, subsoudanienne et soudanienne) de la Côte d’Ivoire en vue de leur conservation. Des mesures dendrométriques (diamètre à 1,30 m du sol, hauteur totale et hauteur du fût de l’arbre) ont été effectuées dans 30 transects de 200 m de large, sur des individus de P. erinaceus de diamètre égal ou supérieur à 5 cm dans six sites. La régénération a été évaluée dans 186 placettes de 30 m x 30 m équidistantes de 50 m à l’intérieur des transects. Les résultats révèlent que les plus grandes valeurs moyennes de densité d’arbres et de densité de régénération ont été obtenues en savane guinéenne (9,9 arbres/ha et 33,8 tiges/ha) et subsoudanienne (12,6 arbres/ha et 25,2 tiges/ha) alors que le diamètre moyen (33,9 cm), la hauteur totale moyenne (10,6 m) et la hauteur moyenne du fût (3,83 m) présentent des valeurs significativement plus élevées (p < 0,001) en savane soudanienne. L’étude montre que l’espèce se régénère par semis naturels, rejets de souche et drageons. La distribution en classe de diamètre s’ajuste à la distribution de Weibull avec une forme en « J renversé » en savane guinéenne et subsoudanienne et en « cloche » en savane soudanienne avec des arbres de taille moyenne. Hormis l’aire protégée de Kouassi-Ndawa, les cinq autres peuplements sont soumis à diverses pressions anthropiques (coupes, écorçage et émondage).
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Metzel, Ruth, and Florencia Montagnini. "From Farm to Forest: Factors Associated with Protecting and Planting Trees in a Panamanian Agricultural Landscape." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, no. 322 (October 17, 2014): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31225.

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Abstract:
Les fragments résiduels de forêt sèche sur la péninsule d’Azuero au Panama sont repré- sentatifs d’un des types forestiers les plus menacés à l’échelle de la planète, et qui a quasiment disparu au Panama. Dans de telles zones de production agricole et d’éle- vage, les arbres hors forêt sont indispensa- bles à la connectivité du paysage, à la survie des espèces autochtones et au maintien des services écosystémiques associés à ces frag- ments forestiers résiduels. Les enquêtes que nous avons menées auprès de gestionnaires terriens dans la province de Los Santos au Panama montrent que les agriculteurs dans cette région protègent et plantent des arbres pour des motifs différents. Alors qu’ils protè- gent les arbres pour plusieurs raisons (comme source de bois, de fruits, de fourrage et d’ombre, et pour leur protection de l’eau), ils en plantent surtout pour produire du bois et des fruits, qui leur assurent des revenus tangibles. Par ailleurs, dans cette région, les sites où les arbres sont plantés sont plus diversifiés et plus spécifiques que les sites où les arbres sont protégés. Six essences sont fréquemment utilisées pour la création de haies vives au Los Santos, et les proprié- taires de ces haies gardent souvent des arbres utiles pour le fourrage et le bois à proximité. La gestion coopérative des haies vives pourrait ainsi devenir un moyen effi- cace pour augmenter la connectivité des pay- sages dans cette région où ils sont fortement fragmentés. Nos résultats indiquent que les agriculteurs de Los Santos plantent des arbres ou les protègent dans leurs terres pro- ductives pour des raisons très différentes. Ces différences entre leurs motivations ont des implications importantes qui doivent être prises en compte dans les approches visant à accroître la couverture forestière dans la région. Les projets visant à promou- voir la régénération naturelle des forêts encouragent les agriculteurs à protéger les arbres sur leurs terres, et pourraient mieux réussir en mettant l’accent sur les services écosystémiques intangibles tels que la pro- tection de l’eau à moindre coût. À l’inverse, les projets visant à promouvoir la plantation d’arbres doivent en démontrer les bénéfices économiques tangibles.
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Dao, Alassane, Pascaline Coulibaly/Lingani, and Niéyidouba Lamien. "Préférences des femmes et pouvoir calorifique d’essences de bois d’énergie utilisées pour la cuisson de la bière locale et du beurre de karité au Burkina Faso." Journal of Applied Biosciences 156 (December 26, 2020): 16139–46. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.156.7.

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Objectif : L’objectif de cette étude est d’identifier les espèces utilisées comme bois d’énergie pendant la cuisson de la bière locale et la transformation des amandes de karité en beurre, d’apprécier les niveaux exploitation de ces espèces et de cerner les raisons des préférences d’utilisation de ces espèces. Méthodologie et résultats : Une enquête a été conduite auprès des femmes productrices pour connaître les espèces utilisées prioritairement comme bois énergie. Une estimation du pouvoir calorique des espèces les plus utilisées a été faite au laboratoire. Dix-neuf (19) espèces ligneuses appartenant à onze (11) familles ont été citées comme entrant dans la cuisson de la bière locale et du beurre de karité. Le bois de ces espèces a montré un pouvoir calorifique plus élevé, justifiant les préférences des femmes pour celles-ci. Cependant, la disponibilité des espèces dans les villages reste déterminante pour le choix de leur utilisation. Conclusion et application des résultats : La connaissance des préférences des espèces prioritaires utilisées comme source d’énergie par les femmes constitue une information cruciale pour le choix des espèces à produire pour la restauration du couvert végétal des terroirs villageois. Aussi, la présente étude recommandet-elle ces essences préférées des femmes pour la cuisson de la bière locale et du beurre de karité comme espèces ligneuses à produire par les pépiniéristes pour les campagnes de plantation d’arbres dans les terroirs villageois Mots clés : bois-énergie, pouvoir calorifique, bière locale, beurre de karité, Burkina Faso ABSTRACT Objective: The objective of this study is to identify the species used as fuelwood during the cooking of local beer and the processing of shea kernels into butter, to assess the use levels of these species and to identify the reasons for the preferences of these species. Methodology and results: A survey was conducted among women producers to find out the species used mainly as fuelwood. An estimate of the caloric value of the most used species was made in the laboratory. Nineteen (19) woody species belonging to eleven (11) families were cited as being used to cook local beer and shea butter. The wood of these species showed a higher calorific value, justifying the women's Dao et al., J. Appl. Biosci. 2020 Préférences des femmes et pouvoir calorifique d’essences de bois d’énergie utilisées pour la cuisson de la bière locale et du beurre de karité au Burkina Faso 16140 preferences for them. However, the availability of the species in the villages remains a determining factor in the choice of their use. Conclusion and application of results: Knowledge of the preferences of priority species used as energy source by women become crucial information for the choice of species to be produced for the restoration of the vegetation cover of village landscapes. Therefore, the present study recommends these species preferred by women for the cooking of the local bee and the shea butter as woody species to be produced by nurserymen for tree-planting campaigns in the village landscapes. Key words: Fuelwood, calorific value, local beer, shea butter, Burkina Faso
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Dasylva, Maurice, Ngor Ndour, and Aly Diallo. "Diversité et Caractéristiques des Systèmes de Production Agricole Végétale dans la Commune de Ziguinchor au Sénégal." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 3 (January 31, 2023): 120. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n3p120.

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Bien que l’agriculture soit reconnue pour les services qu’elle rend aux citadins, elle peine à se développer dans les villes africaines. L’étude a été conduite dans la commune de Ziguinchor, situé au Sud du Sénégal. Elle vise à caractériser des systèmes de production végétale de l’agriculture urbaine dans cette commune et s’est appuyé, essentiellement, sur des enquêtes, auprès de 390 agriculteurs. Quatre systèmes de production végétale exploités par des femmes (74,4%) ont été recensés. Le maraîchage est le plus représenté avec 59,7% de cas de citation. Avec 24 spéculations cultivées dans les bas-fonds ou dans les interstices urbains. Ce système de production mobilise plus de producteur en saison sèche (51,5%) qu’en hivernage. Les grandes cultures pluviales qui représentent 32,9% des cas compte 9 essences cultivées réparties dans la famille des Poaceae, des Fabaceae et des Pedaliaceae. Le riz se distingue parmi les grandes cultures pluviales par l’envergure des vallées non aedificandi (838,9 ha) qui abritent ses activités de production. L’arboriculture fruitière et la floriculture constituent les systèmes de production les moins représentés avec respectivement 6,8% et 0,7% des cas. Avec 8 espèces d’arbres fruitiers inventoriées, l’arboriculture est, essentiellement, notée dans la périphérie Sud de la commune où sont localisés plus de vergers d’anacardiers. La floriculture, comptant 13 principales espèces cultivées, est une activité qui subsiste avec seulement 5 exploitations notées dans toute la commune. Toutefois, il faut rappeler que ces divers systèmes de production végétale souffrent de l’avancée du front urbain et de l’occupation de l’espace par le bâti. Il urge, donc, que l’agriculture soit prise en compte dans les prochains plans d’aménagement urbain de Ziguinchor. Although agriculture is recognised for the services it provides to city dwellers, it is struggling to develop in African cities. The study was conducted in the commune of Ziguinchor, located in southern Senegal. It aimed to characterise the plant production systems of urban agriculture in this commune and was based essentially on surveys of 390 farmers. Four crop production systems, mainly operated by women (74.4%), were identified. Market gardening is the most represented with 59.7% of cases cited. With 24 crops cultivated in the lowlands or in the urban interstices, this production system mobilises more producers in the dry season (51.5%) than in the winter season. Rainfed field crops, which account for 32.9% of cases, include 9 species cultivated in the Poaceae, Fabaceae and Pedaliaceae families. Rice stands out among the major crops due to the scale of the not aedificandi valleys (838.9 ha) in which it is produced. Fruit growing and flower growing are the least represented production systems, with 6.8% and 0.7% of cases respectively. With 8 species of fruit trees inventoried, arboriculture is essentially noted in the southern periphery of the district where more cashew orchards are located. Floriculture, with 13 main species produced, is an activity wich survives with only 5 farms noted in the district. However, it should be remembered that these various plant production systems are suffering from urbanisation and the occupation of space by buildings. It is therefore urgent that agriculture be taken into account in the next urban development plans for Ziguinchor.
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Masengo, Lucien Nkulu, Delphin Kimbala Kyembo, Christian Masangu Kasongo, Moise Kalambaie Bin Mukanya, and Nkulu Jules Mwine Fyama. "Caractérisation des systèmes de production de charbon de bois et produits maraîchers dans la région de Lubumbashi : analyse de typologie et productivité des facteurs de production." Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 6, no. 3 (October 21, 2023): 54–66. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v6i3.6.

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Description du sujet. Par manque d’occupations, les populations locales recourent à l’exploitation des écosystèmes forestiers pour couvrir les différents besoins des ménages. Cependant, 80 % des problèmes écologiques reviennent à l’exploitation abusive des Miombo par les activités anthropiques avec une perte de la surface forestière estimée près de 45 km² par an manifesté par un éloignement d’au moins 30 à 50 km.Objectifs. Généralement, l’étude fait une analyse de typologie et productivité des facteurs de production par la spécification des systèmes de production de charbon de bois et produits maraichers dans la région de Lubumbashi, Province du Haut-Katanga en RDC. Spécifiquement, l’étude vise à : (i) identifier et cartographier les sites d’intense activité ainsi que la détermination du profil sociodémographique des maraichers et charbonniers, (ii) analyser la typologie de système de production, les contraintes et les motivations des producteurs, et d’évaluer la productivité des facteurs travail – capital de production en rapport avec le maraichage et le charbonnage.Méthodes. À travers une enquête (entretiens et interviews), 94 chefs de ménages charbonniers, maraichers et charbo – maraichers ont été sélectionnés de façon aléatoire par axe et boule de neige dans les différents sites en vue de collecter les données en rapport les objectifs de l’étude.Résultats. La production de charbon de bois et le maraichage restent encore artisanaux et traditionnels. Il ressort de ces enquêtes que 11 espèces d’arbres ont été identifiées comme essences appréciées dans l’exploitation pour la production de charbons de bois. De l’évaluation de la productivité des facteurs de production, il ressort que l’expérience, la superficie emblavée et le volume de meule sont des facteurs importants dans la production maraichère et le charbonnage qui influent le niveau de rendement à 75 % (volume de meule) et 25 % (superficie emblavée).Conclusion. Le maraichage et le charbonnage des activités capitales qui contribuent au revenu des ménages dans les milieux urbains et périurbains de la ville de Lubumbashi. Face à la conjoncture économique difficile, aux effets néfastes de l’urbanisation et de la croissance démographique, le maraichage et le charbonnage constituent des activités stratégiques pour faire face à l’insécurité alimentaire, au chômage et à la pauvreté. Description of the subject. Due to lack of occupation, local populations resort to the exploitation of forest ecosystems to cover the different needs of households. However, 80 % of ecological problems are due to the abusive exploitation of the Miombo by human activities with a loss of forest area estimated at nearly 45 km² per year manifested by a distance of at least 30 to 50 km.Objectives. Generally, the study makes an analysis of typology and productivity of production factors by specifying charcoal production systems and vegetable products in the region of Lubumbashi, Haut Katanga Province in DRC. Specifically, the study aims to: (i) identify and map sites of intense activity as well as determine the socio-demographic profile of market gardeners and charcoal workers, (ii) analyze the typology of production system, the constraints and motivations of producers, and evaluate the productivity of labour factors – production capital in relation to market gardening and coal mining.Methods. Through a survey (interviews and interviews), 94 heads of charcoal, market gardening and charbo households were randomly selected by axis and snowball in the different sites in order to collect data related to the objectives of the study.Results. Charcoal production and market gardening are still artisanal and traditional. These surveys show that 11 tree species have been identified as valued species on the farm for charcoal production. From the evaluation of the productivity of the factors of production, it appears that experience, the area sown and the volume of grinding wheel are important factors in vegetable production and coal mining which influence the level of yield at 75 % (volume of millstone) and 25% (area sown).Conclusion. Market gardening and coal mining capital activities that contribute to household income in urban and peri-urban areas of the city of Lubumbashi. In the face of difficult economic conditions, the adverse effects of urbanization and population growth, market gardening and coal mining are strategic activities to cope with food insecurity, unemployment and poverty.
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TRAN-HA, Mien, Georges PERROTTE, Thomas CORDONNIER, and Pierre DUPLAT. "Volume tige d’un arbre ou d’une collection d’arbres pour six essences principales en France." Revue Forestière Française, no. 6 (2007). http://dx.doi.org/10.4267/2042/16781.

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GHESTEM, Axel, V. RIFFAUD, Christiane RICARD, and Robert SISTERNE. "Macroflore fongique et végétation forestière : l’exemple de quelques stations de la forêt de Rochechouart (Haute-Vienne)." Annales Scientifiques du Limousin, no. 17 (November 27, 2017). http://dx.doi.org/10.25965/asl.487.

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Abstract:
Un inventaire de la macroflore fongique (champignons supérieurs) a été réalisé dans sept stations de la forêt de Rochechouart (Limousin – France). Des corrélations significatives sont recherchées et mises en évidence entre certaines espèces de macromycètes et les caractéristiques du milieu dans ces placettes forestières (microclimat, qualité du sol ainsi que les différents éléments de la végétation, plus particulièrement les essences d’arbres et d’arbustes). Des tableaux détaillés concernant l’analyse de la végétation et les listes de champignons apportent au lecteur de très nombreuses informations.
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LEBRETON, Élise, Simon RIVART, Sébastien LEBLOND, and Caroline MEYER. "Inventaire des lichens corticoles dans trois sites parisiens et dans l’arboretum de Chèvreloup (Yvelines)." Naturae, no. 23 (November 3, 2021). http://dx.doi.org/10.5852/naturae2021a23.

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Abstract:
Cet article présente le résultat des inventaires des lichens corticoles réalisés dans le cadre du programme LiPaChE (évolution spatio-temporelle de la diversité Lichénique Parisienne en lien avec les Changements Environnementaux). Des arbres d’alignement, appartenant à huit essences d’arbres communes des parcs, ont été examinés dans trois sites parisiens (jardin des Plantes, jardin du Luxembourg et bords de Seine) et à l’arboretum de Chèvreloup dans les Yvelines. La diversité lichénique a été observée sur les troncs avec deux protocoles : IAP (Index of Atmospheric Purity) et AFNOR (Association française de Normalisation). Les résultats de cette étude concernent 61 espèces de lichens (43 espèces à Paris et 43 espèces à Chèvreloup), dont cinq constituent des premières mentions départementales. La présence de lichens saxicoles, à la base de certains troncs, ainsi que l’effet des paramètres environnementaux sur le cortège d’espèces retrouvées, sont discutés.
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Alessandra Donati, Alessandra Donati, and Eliana Romanelli. "L’opera d’arte video tra diritto e mercato." Sciami | ricerche 6, no. 1 (October 21, 2019). http://dx.doi.org/10.47109/0102260108.

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Abstract:
Despite being a form of art that dates back in time, the work of video art still struggles today to find a shared legal framework. There is a risk to associate video art with other more traditional artistic forms and this risk has prevented video art from attributing its own autonomy, independence and expressive specificity. Artists’ videos are not listed among the works expressly protected by Italian Law no. 633/1941 (Law on protection of copyright and moral rights), with all the consequences in terms of determining the holders of the moral and patrimonial rights of the author and the division of these rights between the various persons who, in various ways, contribute to their realization (artist, director, screenwriter, interpreters, music authors, etc.), especially if the video works result from the indissoluble creative contribution and the collective work of a group of people. Finally, video art inevitably suffers the limits of digital art: it is easily reproducible, perishable, not limited and numbered in its editions, subject to obsolescence resulting from technological development; these factors causes the arising of various difficulties in terms of claiming the status of a work of art in the essence of its uniqueness, originality and authenticity. The relevance of issues related to legal regulation and the conservation of video art is also relevant for the possible recognition as a cultural asset that audiovisual media of a rare and valuable nature can obtain under the Italian Legislative Decree no. 42/2004 (Code of Cultural Heritage). Of extreme importance, therefore, is the legal analysis aimed at qualifying such a medium, through which to frame its expressive nature and understand how to manage the circulation of such works of art, how to ensure their protection and preservation and ensure their authenticity and paternity.
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Shapiro, Ivor, Colette Brin, Philippa Spoel, and Lee Marshall. "Images of Essence: Journalists’ Discourse on the Professional “Discipline of Verification”." Canadian Journal of Communication 41, no. 1 (February 16, 2016). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2016v41n1a2929.

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Abstract:
The verification of factual accuracy is widely held as essential to journalists’ professional identity. Our rhetorical analysis of interviews with award-winning and semi-randomly selected newspaper reporters confirms this professional norm while revealing a preference for four types of image to describe verification methods. Spatial and temporal travel images paint verification as an embedded but adaptable heuristic process. Images of conflict suggest verification as a weapon and a shield against implied enemies. Journalists speak of vision both literally as the preeminent tool of verification, and figuratively as a metaphor for interpretation. Meanwhile, a fourth and seemingly predominant image—that of storytelling—functions to integrate the images of travel, battle, and observation and the different forms of professional identity that they connote. The quest for truth through storytelling likewise suggests a rich, if ambiguous, sense of good journalism as combining the instruments of fact with the craft of fiction.La vérification de l’exactitude des faits est généralement considérée comme un élément essentiel de l’identité professionnelle des journalistes. Notre analyse rhétorique d’entretiens, réalisés auprès de journalistes auteurs d’articles primés ou sélectionnés de manière semi-aléatoire, confirme cette norme professionnelle tout en révélant une préférence pour quatre types d’images textuelles pour décrire leurs méthodes de vérification. Les images liées au voyage, c’est-à-dire le déplacement dans le temps et l’espace, dépeignent la vérification comme un processus heuristique intégré mais adaptable. Celles rattachées au conflit suggèrent que la vérification puisse servir d’arme et de bouclier contre des ennemis implicites. Les journalistes évoquent la vision autant au sens propre, c’est-à-dire l’oeil comme outil prééminent de vérification, mais aussi au sens métaphorique sur le plan de l’interprétation. Une quatrième image, apparemment prédominante, celle du récit, sert à rassembler celles du voyage, du combat et de l’observation, ainsi que les différentes formes de l’identité professionnelle connotées par chacune d’entre elles. De même, la quête de vérité par le récit suggère de manière riche, quoique ambiguë, une idée du « bon » journalisme qui combine les instruments factuels et l’art de la fiction.
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DOUH, Chauvelin. "Rôle de la banque de graines du sol dans la régénération des forêts denses humides d’Afrique centrale." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 342 (November 25, 2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.342.a31816.

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Abstract:
La présente thèse s’intéresse aux moteurs de la régénération des forêts denses humides tropicales d’Afrique, plus particulièrement au rôle joué par la banque de graines du sol dans cette régénération. Plus spécifiquement, l’étude vise à : évaluer l’abondance et la composition floristique de la banque de graines du sol de deux types de forêt reposant sur des sols différents ; quantifier l’abondance de la banque de graines du sol d’une essence commerciale importante, le tali (Erythrophleum suaveolens) et étudier les facteurs intervenant dans la levée de dormance de ses graines ; évaluer la capacité du système d’imagerie hyperspectrale proche infrarouge à discriminer des graines de deux espèces sœurs, E. suaveolens et E. ivorense. Les résultats montrent que la densité et la composition floristique de la banque de graines du sol varient significativement selon les types de forêt et de sol. Les taxons pionniers sont largement majoritaires dans les deux cas, mais sont mieux représentés dans la banque du sol de la forêt à Celtis (vieille forêt secondaire) que dans le sol de la forêt à Manilkara (forêt mature). Tous taxons confondus, la similarité floristique entre la banque de graines du sol et la végétation environnante est relativement faible quel que soit le type forestier. Cependant, cette similarité s’avère nettement plus importante en ne considérant que les taxons pionniers. Seulement trois espèces de bois d’œuvre ont été observées dans la banque du sol : Nauclea diderrichii, Staudtia kamerunensis et Erythrophleum suaveolens. E. suaveolens, le tali, est une des espèces les plus exploitées d’Afrique centrale. L’évaluation de l’abondance des graines de l’espèce au sein des deux types de forêt révèle une densité plus élevée en forêt à Celtis qu’en forêt à Manilkara, où les graines sont quasi inexistantes bien que les densités d’arbres en âge de reproduction ainsi que les structures diamétriques, soient similaires entre sites. Différentes hypothèses ont été émises pour expliquer ce résultat, la plus probable étant liée à la structure de végétation différente entre les sites. Les canopées des individus vivant dans la forêt à Manilkara seraient davantage dominées et fructifieraient moins fréquemment que dans la forêt à Celtis. La longévité des graines étudiées par spectroscopie de masse par accélérateur révèle que ces semences de tali, viables et enfouies dans le sol, seraient âgées d’environ dix ans. Le système d’imagerie hyperspectrale proche infrarouge s’est avéré efficace dans la distinction des graines d’E. suaveolens et E. ivorense, ce qui ouvre d’intéressantes perspectives quant à l’utilisation de cette technique pour étudier la banque de graines du sol.

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