Journal articles on the topic 'Espace, lieux et paysage'

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Bigando, Eva. "L'autoroute : un événement producteur de représentations paysagères ?" Sud-Ouest européen 12, no. 1 (2001): 61–72. http://dx.doi.org/10.3406/rgpso.2001.2776.

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Abstract:
La construction d'une autoroute, en s'inscrivant dans le cadre paysager de l 'homme-habitant, influence et transforme ses rapports au paysage. En compromettant les relations, conscientes ou inconscientes, tissées auparavant entre les individus et les lieux, l'autoroute A 89 vient bousculer le quotidien paysager des habitants de la basse vallée de l'Isle tout en le faisant émerger en tant que réalité vécue. La crainte du changement paysager, inhérente à l'arrivée brutale et irrémédiable de l'infrastructure, sensibilise ainsi parfois à l'extrême les populations à la question paysagère et plus particulièrement au paysage de leur espace de vie. Il en résulte la production de représentations paysagères nouvelles ou soudainement réveillées.
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Quirion, Dominique. "Spatialisation du sacré et cohabitation interreligieuse dans l’espace montréalais." Articles 77 (March 21, 2012): 85–100. http://dx.doi.org/10.7202/1008399ar.

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Abstract:
Depuis l’époque de la Révolution tranquille, de nouvelles composantes confessionnelles ont établi des lieux de culte et des institutions, modifiant ainsi le paysage religieux à Montréal. Cet article aborde les espaces religieux en lien avec les cultures religieuses qui composent le paysage montréalais, tenant compte des défis qui relèvent du partage d’un espace public commun au sein d’une cohabitation pacifique souhaitable. Si l’identité religieuse montréalaise comprend désormais une mosaïque de croyances, on observe que le patrimoine religieux à Montréal est intense et diversifié.
3

Morisson, Valérie. "Plier, déplier le paysage : Réflexions autour des œuvres récentes d’Ailbhe Ní Bhriain." Textures, no. 24-25 (January 1, 2018): 291–308. http://dx.doi.org/10.35562/textures.279.

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Abstract:
Ailbhe Ní Bhriain, artiste irlandaise, explore depuis ses premières œuvres le paysage comme un espace palimpseste hanté tant par l’histoire nationale et coloniale que par le spectre du déracinement. Sa technique hybride reflète la profondeur du paysage et l’entrelacement des dimensions imaginaires et topographiques de ce dernier. La manipulation des images et du son permise par la vidéo confère un caractère onirique aux lieux mais le dépaysement est au service d’un propos politique et éthique : les œuvres sur lesquelles portent l’analyse reposent sur une esthétique archipélagique indissociable d’un regard décentré sur l’Autre invitant à reconsidérer la représentation du sujet-objet colonial ou étranger. L’altération des lieux mène à l’altérité ; les parallèles suggérés entre divers espaces conduisent quant à eux à dévoiler une même emprise sur l’autre exotique et sur le monde naturel.
4

Blanchard, Sophie. "Les paysages sous-marins de Nicolas Floc’h à l’épreuve des enjeux environnementaux." Radar, no. 8 (May 1, 2023): 71–82. http://dx.doi.org/10.57086/radar.599.

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Abstract:
L’espace sous-marin demeura longtemps un lieu aussi mystérieux et inaccessible que fantasmé. Il s’imposa tardivement dans la représentation paysagère contrairement aux espaces émergés des mers et des océans. Comme tout paysage, il est le résultat d’une construction artificielle et culturelle déterminée par le regard du biologiste, de l’explorateur et du plongeur. Mais aujourd’hui, à l’égard des enjeux environnementaux que connaît notre société, il apparaît nécessaire de représenter cet espace géographique. Dans cette optique, Nicolas Floc’h, en collaboration avec des scientifiques, contribue à la visibilité des paysages sous-marins à travers un inventaire photographique des façades maritimes. Témoins de l’état actuel de la biodiversité et des écosystèmes, les photographies de l’artiste rennais complètent l’étude scientifique des fonds marins grâce à une vision sensible de ces espaces.
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Bidaud, Éric. "Inhibition, symptôme et paysage." psychologie clinique, no. 54 (2022): 83–93. http://dx.doi.org/10.1051/psyc/202254083.

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Abstract:
Le paysage est fondamentalement une expérience intérieure qui demande à être nommée, adressée et révélée. Cet article propose de penser le paysage non plus comme le rapport d’un sujet silencieux devant une étendue mais comme le lieu d’une imagerie en mouvement pour un sujet porté par son symptôme qui fera son paysage. L’hypothèse qui nous guide est que le symptôme produit son paysage et organise le lien à l’espace. Ce paysage est cependant, tout en étant ce qui m’est le plus étranger et inquiétant, ce qu’il y a de plus intime, l’espace de ce que Freud nomme l’Unheimlich, notion qui trouve ici un nouveau déploiement. À la suite, nous aborderons la clinique de la psychose qui nous montre une difficulté à habiter l ‘ espace, une impossibilité à constituer du paysage à entendre comme cette étendue de stabilité d ‘ un monde partageable avec autrui. Nous porterons aussi attention au temps adolescent qui dans un rapport renouvelé à l espace, participe d un processus de ré-invention par lequel le monde paysagé de l ‘ adolescent/e doit être « re-signifié », « reconnu » par et pour d ‘ autres regards.
6

Cauquelin, Anne. "Paysage et cyberspace." Les Pages du laa 2, no. 5 (August 24, 2023): 1–16. http://dx.doi.org/10.14428/lpl.v2i5.79963.

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Abstract:
"Le paysage réussit l'exploit d'indiquer le rapport entre l'homme et le divin, ou pour parler en termes plus modernes entre la finitude humaine et l'infini du monde. C'est la nouvelle idée de "nature" qui, dans la pré-renaissance, sert de passage entre les mondes terrestres et célestes. Le paysage peint, ressemblant à ce que nous voyons de la réalité d'ici-bas, appelle à l'intuition d'une nature qui est, elle, l'icône du divin. Deus sive natura. Cette double iconisation, enchaînée, rend le paysage à une transcendance qui reste hors de portée. Ainsi la ligne d’horizon qui limite le paysage peint est-elle intraversable. Nous ne pouvons aller au-delà que par l'imagination. Qu'y a-t-il derrière cette ligne qui barre nos prétentions et les rabat sur le plan humain des mesures et des distances? Nous n'atteindrons pas l'arrière du paysage, ne le traverserons point." Les patientes enquêtes que Anne Cauquelin conduit depuis de nombreuses années quant aux questions de lieu, espace, site, paysage, cyberespace sont précieuses pour la pensée de l'architecture et des paysages; elles constituent des référents importants dont les effets pour les travaux du laa sont loin d'être épuisés.
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Bidaud, Éric. "Vers une psychanalyse du paysage." psychologie clinique, no. 47 (2019): 116–28. http://dx.doi.org/10.1051/psyc/201947116.

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Abstract:
Ce travail propose de suivre la trace de ce qui ne fut pas une thématique freudienne : le paysage mais en « pistant » les lieux de ses diverses apparitions dans le rêve, l’inquiétante étrangeté et la représentation de la technique analytique. Il y a ensuite à penser les liens qui unissent les notions d’espace, d’environnement, de limites jusqu’à la question du visage au-devant de son paysage. Une idée défendue dans cet article est que le symptôme comme espace psychique se définit par « son » paysage, dans un rapport à ce qui permettra son ouverture et sa fermeture, sa consistance ou sa déconstruction. Il s’agirait d’approfondir la notion de « paysage-symptôme » aussi bien du côté du rêve que du dessin de l’enfant, le travail du trait et de la trace comme les formes du mouvement qui produisent le paysage du sujet. Il s’agit de penser ce que nous pouvons appeler une image inconsciente du paysage. Notre recherche rend possible une approche renouvelée de l’étude de l’appareil psychique comme « étendu ». Avec les dessins d’enfants, nous pouvons regarder vers la genèse des formes comme production d’un paysage intérieur mis au dehors.
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Pépin, Maude. "Rythme et résonances dans Prodige de Nancy Huston*." Articles, essais 19, no. 1 (November 12, 2008): 55–70. http://dx.doi.org/10.7202/019332ar.

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Abstract:
Résumé L’oeuvre de fiction Prodige de Nancy Huston présente, à travers la mise en scène de différentes voix narratives se répondant et s’enchevêtrant à l’intérieur d’un paysage musical, bien plus qu’un espace de dialogue entre les cultures : c’est un univers qui transcende tant les questions culturelles que les divergences apparentes entre les générations par la réhabilitation de certains aspects de la Grande Déesse. Ce faisant, la musique, comme moyen de communication, territoire fictif et lieu de communion, devient une force agissante qui permet de libérer l’émotion et de laisser libre cours à l’imaginaire. Prodige se présenterait ainsi comme un jeu rythmique de paroles et de silences dont l’enjeu est le don, dans une perspective de partage du sensible ouvrant sur la co-création d’un véritable espace communautaire.
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Simard, Martin, Marie-José Fortin, and Marie-Hélène Tremblay. "L’appropriation de sites et paysages urbains requalifiés. Regard sur le Vieux-Port de Chicoutimi." Environnement Urbain 3 (October 5, 2010): b—1—b—19. http://dx.doi.org/10.7202/044599ar.

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Abstract:
Au cours des années 1980 et 1990, le Québec a vécu une série de requalifications d’espaces portuaires. Ces projets urbains ont donné lieu à de multiples processus d’implantation, plus ou moins participatifs ou partenariaux. Des débats renvoient à la question plus large de la construction du paysage et de l‘environnement urbains, ainsi qu’à leur appropriation sociale. Dans ce contexte, il semble pertinent de revenir sur l’une de ces expériences de planification, soit celle du « Vieux-port de Chicoutimi ». Comment et pour qui a été façonné ce paysage urbain requalifié? Quelle est la nature du processus d’appropriation du site par les usagers? Près de dix-sept ans après le réaménagement de cet espace urbain, les résultats d’un sondage montrent la forte appropriation du site, tant du point de vue matériel que sur les plans symbolique et politique.
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Sakal Froese, Jocelyn. "Bricoler le paysage urbain canadien : bande dessinée au Québec et dans le Canada hors Québec." Voix Plurielles 19, no. 2.1 (November 26, 2022): 349–73. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v19i2.4134.

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Sfeir, Christiane. "Les Espaces de Pèlerinage à Hardine et à Annaya (Mont Liban) au Carrefour D'intérêts Multiples." Chronos 27 (March 21, 2019): 103–21. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v27i0.406.

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Abstract:
Au début du printemps 2008, la béatification d'un nouveau saint, le frère Jacques Haddad, est célébrée au centre-ville de Beyrouth. C'est le quatrième saint maronite qui s'ajoute à la liste des bienheureux libanais canonisés : Charbel Makhlouf, Rafqa ar-Rayes et Nimatullah Kassab al-Hardini. Deux ans plus tard, en juin 2010, le frère Stéphane Nehmeh est béatifié à son tour. Ainsi, en moins d'un siècle, cinq religieux issus de la communauté maronite sont sanctifiés par Rome. Ces béatifications et canonisations de maronites issus du Mont-Liban induisent des pèlerinages organisés par des associations ecclésiastiques et de bienfaisance, d'écoles, ou de groupes sociaux. Messes et processions spectaculaires attirent des foules, et l'espace s 'en trouve souvent profondément affecté. Ainsi, tout phénomène surnaturel serait suivi d'une action humaine qui affecte le lieu de cette manifestation ; les lieux de pèlerinage en seraient l'exemple heuristique. Le déplacement des pèlerins dessinerait alors une nouvelle géographie du fait religieux qui s'exprime par une transformation visible du paysage, car le sacré est toujours lié au religieux et par la suite aux hommes (Frund 1999).
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Brassard, Denise. "Fenêtre sur corps." Dossier 34, no. 2 (March 18, 2009): 43–58. http://dx.doi.org/10.7202/029465ar.

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Abstract:
Résumé Cet article propose d’observer, dans six recueils de Louise Dupré, comment la parole poétique, partagée entre le devoir de mémoire et le désir de l’oubli, aménage la solitude du sujet de telle sorte qu’elle se donne comme espace de construction et d’habitation du paysage, à la fois seuil et lieu de recueillement et d’affranchissement : du temps passé, de l’enfance, du corps vieillissant. Constellée de figures liminales et privilégiant l’usage de la répétition, cette poésie s’installe dans le temps, qui y apparaît d’abord comme seul lieu habitable. Mais en se muant en utopie du présent où s’inscrit le corps, le temps ouvre finalement sur l’espace et fait du corps un lieu de recueillement, permettant au sujet d’intégrer le cycle des morts et des naissances sans succomber à l’angoisse de sa propre mort.
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Yelle, François. "Cultural studies, francophonie, études en communication et espaces institutionnels." Cahiers de recherche sociologique, no. 47 (June 27, 2011): 67–90. http://dx.doi.org/10.7202/1004980ar.

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Abstract:
Depuis une dizaine d’années, les cultural studies sont apparues dans le paysage universitaire et intellectuel de la francophonie. Elles y sont autant l’objet d’une préoccupation parfois craintive que d’enthousiastes initiatives d’intégration universitaire et disciplinaire. L’objectif de cet article est d’examiner ce que les chercheurs de la francophonie « font avec » les cultural studies et « disent à leur propos ». Considérant que les cultural studies possèdent des trajectoires historiques diverses selon les lieux et les époques où elles sont — et furent — mobilisées, et que les discours sur ces trajectoires ont constamment participé à leur perpétuelle redéfinition, faisant de ses discours une partie tout aussi importante des cultural studies que le projet en lui-même, la première partie de l’article est consacrée au développement des cultural studies dans l’espace anglophone depuis cinquante ans. La seconde partie porte sur la situation francophone des cultural studies, depuis leur apparition au Québec dans les années 1980 jusqu’à leur convocation en Europe francophone ces dernières années. Ce portrait historique et analytique permet d’évaluer les modalités de réception actuelle des cultural studies dans la francophonie. Cette adoption s’avère encore bien restreinte, réservée et conflictuelle. La diversité des lieux où elles sont accueillies dans la francophonie, la résistance disciplinaire à leur égard, mais également les espoirs — démesurés? — que la jeune génération semble y mettre, sont des manifestations qui ne peuvent vraiment être expliquées qu’en prenant en compte la complexité de la société française. Cet article présente quelques-unes de ces manifestations qui, à leur tour, participent à la redéfinition permanente des cultural studies, selon l’hypercontextualisation qui les particularise.
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Shirtcliff, Benjamin A. "Offrir aux adolescents des banlieues des expériences d’habitat positives dans leur quartier." Enfances, Familles, Générations, no. 12 (September 10, 2010): 1–23. http://dx.doi.org/10.7202/044390ar.

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Abstract:
La population d’adolescents habitant les milieux suburbains est très importante. Cette réalité est cependant encore trop récente pour être prise en compte par les praticiens de l’aménagement, ce qui expliquerait pourquoi l’environnement physique des adolescents est rarement conçu pour répondre à leurs besoins. Le présent article traite des besoins fondamentaux des adolescents vivant en banlieue et suggère aux concepteurs des moyens d’améliorer leur qualité de vie en créant des lieux de repli dans leur quartier. Les valeurs et besoins particuliers des adolescents serviront à évaluer la qualité des espaces ouverts suburbains. Nous nous intéresserons essentiellement à l’environnement physique, en nous appuyant sur des études dans les domaines de la psychologie, de la sociologie, de la psychologie de l’environnement ainsi que sur l’histoire des transformations urbaines et sur les théories et pratiques en architecture de paysage. Une étude de cas portant sur un projet inspiré du nouvel urbanisme servira de fondement critique et permettra l’examen des espaces ouverts à la lumière des critères issus de la littérature.
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Guimont-Marceau, Stéphane, Jennifer Buckell, Marie-Ève Drouin-Gagné, Naomie Léonard, and Raphaëlle Ainsley-Vincent. "Palimpseste urbain au square Cabot de Montréal : quand l’urbanisme colonial rencontre la résistance autochtone." Urban History Review 51, no. 2 (September 1, 2023): 334–60. http://dx.doi.org/10.3138/uhr-2022-0035fr.

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Cet article se propose d’étudier une place publique de Montréal, au Québec, afin d’illustrer le déploiement dans la ville de différents processus de colonisation, de marginalisation et de résistance. L’étude du square Cabot met en évidence les strates de déplacement et de réappropriation qui forment un palimpseste inscrit dans les espaces urbains. Les autrices jettent un nouvel éclairage sur le contexte contemporain en l’étudiant à l’échelle d’un lieu et en le réinsérant dans le contexte du colonialisme de peuplement où s’entremêlent étroitement les relations sociales, politiques et économiques au Canada. Les villes jouent un rôle majeur dans les dynamiques coloniales et dans les processus de marginalisation, ainsi que dans la division coloniale de l’espace qui positionne certaines populations à l’extérieur des espaces de pouvoir. Le square Cabot s’inscrit dans ces dynamiques, mais il est aussi un lieu de réappropriation, puisque les services aux personnes en situation d’itinérance, les activités culturelles et les projets d’économie sociale qui s’y croisent placent ce lieu public au cœur de rencontres quotidiennes. L’étude du square Cabot en tant que lieu de relations, d’histoires et de pratiques, diverses et souvent contradictoires, révèle des processus de création d’espaces urbains et de préservation d’espaces autochtones. Ce faisant, elle lève le voile sur des couches de colonialisme et de résistance autochtone qui se chevauchent à travers l’histoire et interagissent pour former le paysage urbain actuel, celui du square et au-delà. Avec cet article, les autrices cherchent à rendre compte des tensions et des complexités de la création d’espaces urbains, dans un contexte colonial de peuplement où les histoires et significations des lieux ont été effacées par le pouvoir colonial, mais aussi maintenues en vie autant que possible grâce à des stratégies de préservation d’espaces autochtones.
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Lasorak, Natacha. "Paradoxes du dépaysement dans The Shadow Lines d’Amitav Ghosh (1988) : un processus de (dé)familiarisation ?" Textures, no. 24-25 (December 12, 2023): 337–49. http://dx.doi.org/10.35562/textures.285.

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Abstract:
The Shadow Lines (1988), d’Amitav Ghosh, est un récit d’expatriations croisées, comme autant d’expériences de défamiliarisation répétées. Les membres de la famille du narrateur sont en proie à ces déplacements depuis l’exil de sa grand-mère qui, avant la Partition en 1947, quitte Dhaka pour s’installer à Kolkata. Les générations suivantes feront elles aussi l’expérience de l’immigration, dans une errance entre Londres, Kolkata et Dhaka qui convoque la période précédant l’Indépendance de l’Inde mais aussi la Seconde Guerre mondiale, les années 1960 et la fin des années 1970. La notion de dépaysement s’inscrit alors dans un paradoxe : si l’immigration crée des situations de dé-paysement (changement de pays), il semblerait pourtant que les expériences les plus dépaysantes prennent place lors le retour au lieu d’origine (« home »). La division du roman en deux parties, « Going Away » et « Coming Home », suggère que le récit met en scène le retour à un espace familier, au foyer (« home »). Pourtant, le récit du retour est souvent l’expérience d’une défamiliarisation abrupte, qui s’inscrit au sein même du pays et du paysage de l’enfance, comme en témoigne le « homecoming » de la grand-mère du narrateur à Dhaka. À l’inverse, lors de voyages en pays inconnus, alors que les lecteur·rices auraient pu s’attendre à la surprise du dépaysement, les constructions de la mémoire créent un effet de déjà-vu, comme si le paysage était déjà familier, appréhendé par l’histoire et les histoires. Sur le plan narratif et textuel, la fragmentation géographique et chronologique déroutante, qui trouble le paysage du livre, interdit toute linéarité et propose une expérience de dépaysement aux lecteur·rices. Cette présentation s’interrogera sur la façon dont les déplacements du roman subvertissent le sentiment de dépaysement, sans se limiter à l’expérience de dé-paysement (changement de pays).
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Melay, Alexandre. "[TIMESCAPES]." HYBRIDA, no. 5(12/2022) (December 27, 2022): 176. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25383.

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Abstract:
Les photographies de la série [TIMESCAPES] portent un regard engagé vers la soif de domination que l’être humain produit sur son environnement, et qui ne cesse de définir ce début de XXIe siècle. Ces questionnements demeurent propres à l’extrême contemporain, avec l’impossibilité du paysage et la crise de l’urbanité, l’émergence de non-lieux et la tentative pour inventer des lieux où vivre, face à l’implacable déconstruction structuraliste du sujet. Le capitalisme, né de l’ère Anthropocène, ce « Siècle de l’Homme » initié avec la Révolution industrielle, a investi notre langage visuel dans lequel tout un imaginaire urbain s’est structuré, construit, architecturé, et où s’institue un système ayant recours à la réalité et à la fiction, entre réalité sociale et imaginaire poétique, entre documentaire et fiction. Un système dont les espaces-mondes créent des formes particulières, des formes esthétiques qui deviennent les cadres privilégiés de fictions représentatives de l’espace contemporain. En d’autres termes, cet extrême urbain contemporain né du Capitalocène se traduit par une urbanisation galopante de la planète, où les villes-mondes finissent par définir à elles seules de nouvelles formes de l’urbain. Tous ces non-lieux photographiques désignent des espaces-mondes, ce sont des images de territoires qualifiés d’intermédiaires ou d’intercalaires. À la fois constructions ou déstructurations démultipliées de l’environnement urbain, ces images donnent à voir un système particulier, celui d’un appareil de capture et de distribution des flux. Il s’agit de l’illustration de la technosphère qui désigne la partie physique de l’environnement affecté par les modifications d’origine anthropique, c’est-à-dire la totalité des constructions d’origine humaine, des premiers outils jusqu’aux dernières avancées technologiques, en passant par les infrastructures, les marchés industriels, les différents moyens de transport et l’ensemble des produits transformés. C’est ainsi que les changements de la Terre deviennent le reflet des changements de nos socie?te?s humaines. Ces espaces en mouvement perpétuel illustrent aussi le phénomène de l’accélération du temps et de ces dérives, sur des territoires en transformation constante, où l’éternité se manifeste uniquement à travers le changement ; puisque sans mouvement, il semble qu’à l’ère du Capitalocène, il n’y a point de devenir. Les effets extrêmes de la mondialisation redessinent ainsi aujourd’hui des centaines de villes ; vitrine du capitalisme débridé, ce qui surprend, c’est ce chaos constant dans chaque ville ; une révolution urbaine faite de constructions qui imposent une ségrégation socio-spatiale, entre densité et verticalité de l’urbanisme. Vision d’une croissance urbaine incontrôlée et abstraite, où chaque ville devient globale, mouvante et en perpétuel changement, prit dans le rythme effréné incontrôlable de l’urbanisation imposée par la globalisation du capitalisme. Les photographies aux compositions à la domination géométrique tendent vers l’abstraction, où les conditions de définition de l’abstrait sont la caractéristique même de l’accélération du monde ; car l’abstraction de la mondialisation et la rationalité du capitalisme représentent l’abstraction de la réalité matérielle associée aux échanges mondiaux dans laquelle le capital a atteint sa dématérialisation ultime. Une abstraction et une géométrisation de l’espace qui révèlent la prédominance de la pensée rationalisée, la grille étant un point d’appui dans une économie axée sur des procédures standards optimisées ; un dispositif formel qui devient l’un des symboles des principes de la raison instrumentale et de l’efficacité économique. En effet, la grille structure et (ré)actualise les relations avec les environnements, et ce faisant les rapports au monde. En installant un espace plat, lisse et infini, et alors même que l’e?tre humain ne semble toujours pas s’inquie?ter de son destin catastrophique dont il est l’obstine? ba?tisseur, les distances disparaissent, chaque position en vaut une autre, les différences culturelles s’estompent, l’individu finit par être aliéné et sa sociabilité appauvrie. Face à cela, l’urgence est de stopper les logiques de destruction qui sont à l’œuvre sur la planète, afin de réinventer la cohabitation du vivant à travers des mondes multiples et enchevêtrés, pour ainsi dépasser la tension entre l’environnement et l’être humain.
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Andreescu, Magda, and Carmen Mihalache. "La cité sur Ada Kaleh – histoire, mémoire, destinée." CaieteARA. Arhitectură. Restaurare. Arheologie, no. 6 (2015): 211–22. http://dx.doi.org/10.47950/caieteara.2015.6.12.

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Abstract:
"Ce texte interroge l’etat actuel d’un monument historique dont la valeur et l’unicite se retrouvent renforcees par le role de lieu de memoire qu’il remplit aupres d’une poignee de survivants (de moins en moins nombreux) d’un monde defi nitivement disparu. L’ilot de Şimian, situee sur le Danube, pres de la localite homonyme de la rive roumaine, est depuis pres d’une cinquantaine d’annees l’hote (non)accueillant de murs ployant sous le poids d’une histoire lointaine mais surtout actuelle. C’est ici que gisent, dans un etat de degradation de plus en plus avance, les restes d’une cite du XVIIIe siecle, construite a l’origine sur l’ile d’Ada Kaleh, deplacee et rebatie a environ 10%, avant que la celebre ile ne soit submergee par les eaux du lac de retenue de l’Hydrocentrale de Porţile de Fier I. Reminiscence peut-etre desuete de l’epoque ou les murs et les casemates d’Ada Kaleh en faisaient le point d’orgue du passage d’un bassin a l’autre du Danube, la cite en forme d’etoile etait bercee, dans ses dernieres decennies d’existence, par la douceur de la vie et la vegetation abondante. Integree de maniere complexe et complete dans le paysage de l’ile, la cite remplissait plusieurs roles simultanement: elle etait a la fois espace d’habitation et lieu de refuge, lieu de detente et site touristique important, contribuant a l’exotisme de l’ile d’Ada Kaleh et attirant de nombreux visiteurs. Dissipes a travers le pays et le monde, les anciens habitants de l’ile gardent la cite dans la memoire collective et dans leurs ames, et ils la redecouvrent a chaque fois qu’ils ont l’occasion de retrouver sur Șimian quelques-uns de ses vieux murs. Beaucoup d’entre eux ont temoigne de leur desir de s’y etablir si, par l’intervention des autorites, on creait autour de la cite deplacee, qu’on aurait consolidee et restauree, une petite localite qui retrouverait au moins partiellement l’atmosphere regnant jadis sur Ada Kaleh. Quelques initiatives de cette nature ont ete lancees ces vingt dernieres annees, mais rien ne s’est concretise, alors que les projets d’investissement qu’ont a present en vue les autorites locales supposent une resementisation de la cite, censee etre transformee en un element neutre de decor (vide de son poids de lieu de memoire), en un support pour une lucrative aff aire touristique. "
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Wharton, Chris, and John Fenwick. "Real urban images: policy and culture in northern Britain." Culture and Local Governance 4, no. 1 (December 20, 2012): 1–30. http://dx.doi.org/10.18192/clg-cgl.v4i1.824.

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Abstract:
Abstract: This paper explores recent attempts to re-imagine and re-brand northern British cities through processes of economic and (mainly) cultural regeneration. It analyses the creation of new contemporary urban images and presentations and compares these with the economic, social and cultural life experiences of people living in the areas. It examines the process of recharacterising former industrial conurbations as being at the cutting edge of contemporary, postmodern culture. A range of features is identified here within similar political, economic and policy contexts: deindustrialisation and regeneration driven by local business and political elites; emphasis on culture as spectacle to the exclusion of other cultural configurations; reliance on tourism and advertising, hyper consumption and leisure as determining aspects of the local economy; and the reorganisation of city populations. Keywords: Visual culture; city; Britain; cultural policy; cultural regeneration Résumé: Cet article explore les tentatives récentes de ré-imaginer et de « re-brander » les villes du nord de la Grande-Bretagne par le biais de stratégies de régénération urbaine mettant principalement l’accent sur les interventions de nature culturelle. Cet article met en relief la recomposition du paysage visuel urbain des villes du nord pour les contraster avec les conditions économiques, sociales et culturelles qui caractérisent l’existence et l’expérience des citadins qui y vivent. En particulier, il s’agit notamment d’examiner les pratiques et le processus de redéfinition des espaces industriels en lieux qui incarnent le contemporain et l’avant-garde de la culture postmoderne. De ces observations, on constate des similitudes dans les moyens utilisés par les autorités dans des contextes qui partagent les mêmes conditions politiques et économiques, à savoir : la régénération entendue comme un projet porté par les élites politiques et économiques locales; un accent mis sur la culture « spectacle » au détriment d’une compréhension et d’un usage plus inclusif de cette dernière; un accent marqué sur les activités de promotion touristique; l’hyperconsommation et le loisir en tant que moyens de développement local; et la réorganisation et la recomposition de la population urbaine comme conséquence de ces mobilisations de la culture. Mots clé : Culture visuelle, ville; Grande-Bretagne; politiques culturelles; régénération urbaine
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DE PALMA, Giulia, and Evelyne PRIOUX. "Poétique du paysage dans la tombe de Patron : nouveaux regards sur les intentions de la commande." Archimède. Archéologie et histoire ancienne 10 (November 2023): 201–24. http://dx.doi.org/10.47245/archimede.0010.var.04.

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Abstract:
Résumé Découvert dans les années 1830 le long du tronçon intra muros de la via Latina, le tombeau de Patron a immédiatement attiré l’attention des savants européens. Malgré cet intérêt, toutefois, le tombeau n’a jamais fait l’objet d’une approche globale, visant à restituer les relations que les différents éléments du décor épigraphique, peint et sculpté, auraient pu entretenir entre eux et, dans leur ensemble, avec le paysage environnant. L’étude met en évidence l’étroite complémentarité que ces éléments entretenaient à la fois entre eux et avec l’espace environnant. Celui-ci était marqué par la présence d’un jardin funéraire ou cepotaphion. À l’abri d’un mur, dont l’existence est suggérée par une plaque en tuf (peperino) déclarant le caractère sacré du lieu, ce locus amoenus était évoqué dans une longue inscription métrique. Hymne aux joies que la vie avait offertes au défunt, cette inscription semble vouloir les figer pour l’éternité, grâce à un jeu poétique d’images et de sons, traduits par un vocabulaire soigneusement sélectionné. La métaphore se prolongeait dans les peintures qui ornaient les parois intérieures de la chambre funéraire, dans un espace cette fois-ci réservé uniquement aux membres de la famille de Patron. Le décor du tombeau apparaît comme le résultat d’une conception unitaire, visant à immortaliser le souvenir d’une existence heureuse, même si les différents éléments qui le composent pourraient avoir été introduits à des moments différents, peut-être à l’occasion des décès prématurés des enfants de Patron. Replacé dans son contexte topographique, le tombeau de Patron témoigne aussi du développement sans précédent que connurent les espaces funéraires périurbains dans la seconde moitié du Ier siècle av. J.-C. La position du tombeau, telle que nous avons pu la restituer à partir de la gravure de Domenico Amici, suggère que le tombeau dépendait moins de la via Latina qu’on ne le croyait jusqu’à présent tout en confirmant l’existence d’une voirie reliant la via Latina à la via Appia. La fondation de l’édifice aurait pu s’inscrire dans le cadre d’un processus organique d’occupation funéraire des aires attenantes à la via Appia. Abstract Title: The Poetics of Landscape in the Tomb of Patron: New Perspectives on the Purpose of the Commission The tomb of Patron was discovered in the 1830s, along the intra muros section of the via Latina. Although it immediately attracted scholarly attention, there has been no global study of its epigraphic poems, painted decoration, and relationship to the surrounding landscape. This article discusses the complementarity between all parts of the monument and its environment. The tomb was indeed located in a funerary garden, one of the earliest known examples of cepotaphia in the Roman world. A peperino slab informs us that the place was sacred and suggests the presence of a precinct that protected this locus amoenus. A carmen epigraphicum also praises the beauty and harmony of the landscape, and reminds us that Patron was blessed with a happy life. By celebrating his past happiness, the poem apparently endeavours to perpetuate this state of harmony for ever by rendering, through carefully chosen words, a mimetic image of the chirping of birds. Inside the funerary chamber, the paintings echoed the poem that was probably set outside the grave. Patron’s funerary monument was thus composed of various parts - a garden, a sculpted monument engraved with poems and other inscriptions and an inner chamber with frescoes - and the contemplation of the entire program was only accessible to family members. And yet the decorative program was apparently conceived as a whole, probably by Patron himself. New parts of the program were possibly added on different occasions, e.g. when Patron’s children died, but they formed a coherent ensemble. When considered in its topographical context, Patron’s tomb also illustrates the unprecedented development of periurban funerary spaces in the second part of the 1st century BCE. The position of the tomb, that can be deduced from Domenico Amici’s engraving suggests that the tomb was rather set on a secondary road connecting the via Latina to the via Appia, than on the via Latina itself. Its emplacement is possibly the result of the development of funerary areas connected, thanks to secondary roads, to the via Appia.
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Mambou, Jean-Romuald, and Hilaire Elenga. "La Personnalisation Urbaine, Une Methode d’Organisation de l’Espace Urban: Etude de cas Sur la Ville de Mossendjo (Republique du Congo)." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 2 (January 31, 2023): 85. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n2p85.

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Abstract:
Dans cet article, nous proposons une nouvelle approche d’étude et de planification spatiale de la ville africaine. Cette méthode a fait l’objet d’un chapitre entier de notre thèse de doctorat en 1995 soutenue à l’institut d’urbanisme de Grenoble (France). La démarche méthodologique utilisée s’appuie sur la collecte, le traitement et l’interprétation des données obtenues à partir d’une recherche documentaire sélective, l’exploitation des recensements généraux de la population et l’analyse de la politique urbaine du Congo qui ne prend pas en compte l’histoire de l’urbanisation des villes, les traditions des populations et les contraintes physiques et spatiales de la répartition des peuples. Les résultats obtenus montrent une macrocéphalie des métropoles, Brazzaville et Pointe-Noire, dans l’armature urbaine nationale et celle plus spécifique des villes-chefs-lieux de départements, un étalement incontrôlé de la population urbaine, une mauvaise utilisation des sols urbains et la non-maitrise des risques naturels tels que le ruissellement des eaux pluviales. Il s’ensuit une expansion de l’urbanisation spontanée portant atteinte à l'intégrité des espaces libres à la marge des villes, le plus souvent, des espaces difficilement constructibles, réservés à l’équipement public ou encore frappés de servitudes, causant ainsi des glissements de terrain et des creusements des sols meubles à l’origine des érosions qui détruisent le paysage urbain, provoquent des catastrophes naturelles et occasionnent des drames humains. C’est pour pallier à ces insuffisances et contraintes que nous avons proposé cette nouvelle approche d’étude et de planification spatiale urbaine dénommée « la personnalisation urbaine », dont l’application sur une ville, telle que Mossendjo en République du Congo, devra permettre de : (i) gommer les fractures héritées de la colonisation, (ii) adapter l’évolution urbaine à la capacité d’urbanisation du site ; (iii) prévenir l’urbanisation spontanée et (iv) créer une ville « humaine », fonctionnelle et durable. In the paper, we propose a new approach to the study and spatial planning of the african city. This method was the subject of an entire chapter of our doctoral thesis in 1995 defended at the urbanism Institute of Grenoble (France). The methodological approach used is based on the collection, processing and interpretation of data obtained from a selective documentary research, the use general population censuses and the analysis of Congo’s urban policy, which does not take into account the history of urbanization of cities, the traditions of populations and the physical and spatial constraints of the distribution of peoples. The results obtained show a macrocephaly of the metropolises, Brazzaville et Pointe-Noire, in the national urban structure and that more specific of the cities capitals of departments, an uncontrolled spreading of the urban population, a bad use of urban grounds and the failure to control natural risks such as rainwater runoff. There follows an expansion of spontaneous urbanization that undermines the integrity of open spaces on the fringes of cities, most often spaces that are difficult to build reserved for public facilities or even affected easements, causing landslides at the origin of erosions that destroy the urban landscapes, disasters and human tragedies. This observation prompted us to propose a method of urban organization, “urban personalization”, the application as Mossendjo (located in the department of Niari in the Republic of Congo), will have the following effect: (i) erase the fractures inherited from colonization, (ii) adapt urban development to the site’s urbanization capacity, (iii) prevent spontaneous urbanization, and (iv) create a “human”, functional and sustainable city..
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Tassin, Jacques, Rado Rakotomanana, and Christian A. Kull. "Proposition d'un cadre de représentation des bioinvasions en milieu rural : cas de Acacia dealbata à Madagascar." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 300, no. 300 (June 1, 2009): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.300.a20413.

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Abstract:
Dans certaines situations rurales où se conjuguent pauvreté des populations et rareté des ressources, l'analyse des conséquences de l'invasion d'une espèce ligneuse nécessite l'emploi d'un cadre d'approche large et objectif, qui inclue les interactions entre les paysans et les espaces envahis. L'article tire parti d'une courte étude conduite dans la commune d'Ambatofitorahana, au sud d'Ambositra, dans la région des Hautes Terres. Introduit d'Australie à Madagascar, où il est devenu invasif, le mimosa (Acacia dealbata) y constitue aujourd'hui une ressource renouvelable pour le paysannat. Les types d'usages relatifs à cet arbuste ont été préalablement sommairement caractérisés. La discussion des résultats, qui représente l'essentiel du corps de cet article, donne lieu à la proposition d'un cadre de représentation à différentes échelles pour appréhender correctement une bioinvasion en milieu rural. L'investigation de l'ensemble de l'impact socio-économique et écologique de ce processus nécessite de recourir à une gamme de niveaux d'organisation etd'échelle allantde la parcelle à l'ensemble du pays. Les avantages et inconvénients que recouvre l'invasion du mimosa à Madagascar se révèlent en effet spécifiques de chacun de ces niveaux d'analyse. À l'échelle des espaces ruraux, la valorisation apparaît essentiellement centrée sur la réalisation de jachères ligneuses et la production de combustibles (bois de feu et charbon de bois). L'analyse montre qu'au niveau des territoires ruraux, l'invasion de A. dealbata obéit à des phases de stabilisation suivies d'extensions, en lien étroit avec des périodes de valorisation suivies d'un relâchement dans l'utilisation de cette ressource. Les incidences socio-économiques de cette bioinvasion varient dès lors avec la période historique considérée. De manière permanente, la valorisation paysanne et l'occupation agricole des espaces ruraux demeurent le meilleur rempart à l'extension des surfaces envahies par le mimo sa dans les Hautes Terres malgaches. (Résumé d'auteur)
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Sacks Galey, Penelope. "Apollinaire : espace et paysage de signes." Interfaces 11, no. 1 (1997): 249–61. http://dx.doi.org/10.3406/inter.1997.1113.

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Roche, Philip. "Espace et modèles en écologie du paysage." Ecologia mediterranea 23, no. 1 (1997): 7–12. http://dx.doi.org/10.3406/ecmed.1997.1817.

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Beugnot, Bernard. "Quelques figures de l’espace intérieur." Études littéraires 34, no. 1-2 (February 23, 2004): 29–38. http://dx.doi.org/10.7202/007552ar.

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Abstract:
RésuméLa notion d’espace intérieur, dès lors qu’elle ne se limite plus aux lieux physiques de l’intimité pour être transférée à l’intériorité, acquiert un caractère métaphorique qui en rend la saisie à la fois plus riche et plus difficile. L’espace intérieur, s’il a pour socles les modifications de la cosmologie, de la géographie, de la physiologie de la perception, de la perspective, correspond à un réaménagement des rapports de la conscience au monde. Dès lors des analogies s’établissent entre les espaces physiques et d’une part les réalités mentales et spirituelles, d’autre part les formes et les genres littéraires. Les paysages d’âme quêtent pour l’homme un nouvel habitat.
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Fabre-Lalbin, Cyrille. "Du lieu à l’espace." L'Année balzacienne 24, no. 1 (January 22, 2024): 317–32. http://dx.doi.org/10.3917/balz.024.0317.

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Abstract:
Nous nous interrogerons sur les lieux configurés et évoqués dans l’espace diégétique et sur l’articulation lieux et destin des deux héroïnes. En d’autres termes, comment Louise et Renée s’inscrivent-elles dans les lieux représentés dans le roman ? Cette inscription est-elle déterminée par leur genre, en particulier ? En quoi les lieux et les espaces romanesques (et il paraît nécessaire de distinguer lieu et espace) donnent-ils à voir, dans une période historique précise (l’époque transitoire de la fin de la Restauration au début de la monarchie de Juillet) les chemins de formation et d’évolution empruntés par les deux amies, et leurs trajectoires singulières (en incluant notamment les oppositions sociales, géographiques) ? Si la mobilité et la liberté des deux héroïnes sont considérablement entravées au début du récit, nous observons ensuite une série de mouvements et de déplacements. Il s’agit bien de « sortir » d’un lieu non choisi, dès la première phrase écrite par Louise. Le mouvement peut être assimilé à une conquête. On peut s’interroger sur les modalités de déplacement de l’une et de l’autre. Les mouvements s’accompagnent-ils d’un élargissement de l’espace ? S’agit-il de « trouver sa place » dans l’espace social, mondain, familial ? Peut-on interpréter les cheminements des protagonistes comme la recherche d’un espace de liberté que les lieux n’offriraient peut-être pas (la question du « lieu à soi » se pose) mais que l’espace épistolaire favoriserait ? En définitive, la lettre apparaît non seulement comme un espace d’échange, mais également un espace de fantaisie qui autorise de nombreux renversements et qui témoigne de la fécondité des chemins de formation ouverts aux personnages féminins.
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Mariniello, Silvestra. "Le paysage de l’expérience." Cinémas 12, no. 1 (October 31, 2007): 49–69. http://dx.doi.org/10.7202/024867ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Dans une tradition qui va de Rossellini à Antonioni et Pasolini, le cinéma d'Amelio bouleverse l'espace-temps moderne pour réécrire l'histoire en tant qu'histoire des gens ordinaires. Les distinctions entre subjectif et objectif, entre Histoire et histoires, entre Histoire et expérience sont remises en question, dans un paysage qui n'est pas le théâtre de l'action, mais action lui-même, une sorte de lieu de métamorphoses : des gens, des lieux et des moments historiques, qui se transforment: continuellement.
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Guay, Hervé. "Sade et Espace Libre." Dossier — Sade au théâtre : la scène et l’obscène, no. 41 (May 7, 2010): 103–18. http://dx.doi.org/10.7202/041673ar.

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Abstract:
La création, en 1996, de Matines. Sade au petit déjeuner par le Nouveau Théâtre Expérimental répondait à plusieurs impératifs chers à la compagnie, qui aime explorer l’insolite et le provoquer. Ainsi, non seulement la production était-elle l’occasion de remettre en question le rapport acteurs/spectateurs en raison des lieux et heures de représentation, mais elle se voulait surtout l’affirmation d’un nouveau regard porté sur la vie et l’oeuvre de Sade par l’art théâtral. Prise de position en partie contre le théâtre qui évacue de Sade toute dimension politique, Matines s’inscrivait aussi dans la lignée des oeuvres du NTE remettant en question toute propagande révolutionnaire.
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Libasci, Fabio. "Introduction : EXTRÊME/S." HYBRIDA, no. 5(12/2022) (December 27, 2022): 11. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25763.

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Abstract:
Pour definir ce que l’extrême contemporain veut dire, nous faisons référence, encore de nos jours, à Michel Chaillou, à qui nous devons ce concept, sans oublier pour autant la bibliographie intervenue plus tard. Rappelons au passage quelques essais qui s’intéressent à la définition et à la problématisation de l’extrême contemporain, parus depuis la fin du XXe siècle : Viart, D. (1999), Le Roman français au XXe siècle. Hachette ; Blanckeman, B., Mura-Brunel, A. Dambre, M. (2004), Le Roman français au tournant du XXIe siècle, Presses de la Sorbonne Nouvelle ; Pellegrini, R. G. (dir.) (2004), Trois études sur le roman de l’extrême contemporain, Schena ; Viart, D., Vercier, B. & Évrard, F. (2008), La littérature française au présent. Héritage, modernité, mutation, Bordas ; Holter, J. (2017), Le clair-obscur « extrême contemporain ». Brill-Rodopi. Dans « L’extrême contemporain, journal d’une idée », Chaillou tâche de définir ainsi son invention : « ce qui est extrêmement contemporain […]. Ce qui m’est le plus proche, mes proches, un même cœur, amis, ma chemise, mes culottes, ce qui touche à la peau, ma savate » (Chaillou, 1987, p. 5). Plus loin, il dit que l’extrême contemporain est « le présent interrogé, saisi aux ouïes, tiré hors de la nasse […]. Ce qui est si contemporain, si avec vous dans le même temps que vous ne pouvez vous en distinguer, l’apercevoir, definir son visage » (Chaillou, 1987, p. 5-6). On ne peut que retrouver certains de ses mots dans les essais qui constituent ce dossier. Dans les quatre articles qui le composent, il est question, en effet, de l’intime, du trop intime, de l’histoire, de ce qui est avec nous en même temps que nous, de ce qui continue à nous interroger sans cesse. On y retrouvera à plusieurs reprises le mot « extrême » : il sera question de traductions ou d’auto-traductions hardies ou « extrêmes », d’auteurs et d’écritures « extrêmes », soit à cause des thématiques abordées, soit à cause des formes adoptées, ou les deux en même temps. Ce n’est pas par hasard si le dossier s’ouvre sur une analyse qu’Aura Sevón consacre à Vivre l’orange, livre publié par Hélène Cixous en 1979. L’œuvre bilingue, plurielle, célèbre de manière radicale la plurealité, selon le terme inventé par Cixous quelques années auparavant. Dans l’essai, l’auteure s’efforce d’ausculter le style fragmentaire propre à Cixous et d’en extraire une pratique de la traduction conçue non seulement comme un processus intellectuel mais aussi comme une pratique sensorielle et émotionnelle. Il y a dans le geste d’écriture de Cixous, extrême à bien des égards, un appel à l’hospitalité, à l’étrangeté. Le fait de placer la traduction avant l’original, cela ne serait qu’un geste « extrême » visant à déconstruire la hiérarchie entre l’original et la version, entre l’auteure et la traductrice. Par sa nature bilingue, ensuite multilingue, par l’hybridation, les jeux de mots polysémiques et les glissements homophones, Vivre l’orange remettrait en question la suprématie du rationnel, la linéarité textuelle, voire la notion même d’auteure. À cette première déclinaison de l’extrême s’ensuit l’essai de Stéphane Konan Luc Brou « La double dominante générique dans Zakwato. Pour que ma terre ne dorme jamais ». L’auteur s’y intéresse à l’œuvre de Azo Vauguy, poète contemporain qui s’inscrit à plein titre dans le renouvellement des formes repoussant à l’extrême les frontières de la poésie. Si la disposition typographique du vers s’accomode, d’une certaine manière, à l’attente du lecteur et au code poétique, le code narratif s’affiche tout de même. La présence de la troisième personne, les temps et les perspectives narratives rendent floues les frontières entre les genres. L’auteur de l’article semble défendre l’idée que l’association des « caractérisèmes » de la narrativité à ceux de la poéticité concourt à fixer le statut de la poésie négro-africaine issue de la tradition orale. Le troisième article de notre dossier explore la production narrative en Côte d’Ivoire. Babyface de Koffi Kwahulé s’inscrit dans cette nouvelle génération de romanciers qui transgressent la norme grammaticale et hybrident les discours. En effet, Daouda Coulibaly recourt à la notion d’hybridité et de carnavalisation pour mettre en lumière la modernité de ce texte de l’extrême. Babyface se situerait dans une sorte d’interlangue, entre plurilinguisme et énonciation sociolectal. De ce fait, il invente un code langagier qui n’obéit qu’aux exigences littéraires. En outre, Babyface représente, en quelque sorte, le syncrétisme de tous les genres littéraires car la poésie, le théâtre, le journal intime y trouvent leur place dans le but de démontrer la capacité de ce roman à accueillir les différentes facettes du réel. Il s’agit donc d’un récit factuel qui dépeint avec force la société ivoirienne contemporaine, considérée comme étant « extrême » à bien des égards. Il y aurait, enfin, une sorte de conjonction entre la forme rupturiste adoptée et la réalité racontée, toutes deux hors norme. Le dernier article du dossier, « Visions et représentations du quartier Chinatown à Paris dans les films français de l’extrême contemporain : de l’exotisme au multiculuralisme », nous fait plonger dans le quartier parisien appelé Chinatown. L’analyse des films Augustin, roi du Kung-fu (1999), Paris je t’aime (2006), Made in China (2019) et Les Olympiades (2021) nous montrent un paysage urbain flou, situé entre le réel et l’imaginaire. Du point de vue strictement démographique et économique, l’identité de Chinatown est douteuse tout en étant présente et agissante. Yue Pan se sert avec justesse de la notion foucauldienne d’hétérotopie afin de qualifier ces espaces difficiles à cerner mais qui existent dans la conscience collective. On pourrait se demander pourquoi des cinéastes français s’intéressent à ce lieu décentré qui peut être partout et nulle part. Dépassée l’exoticisation, cet espace non-parisien à l’intérieur de Paris participerait à cette notion d’hybridité difficile à illustrer et contribuerait au renouvellement des images de Paris au cinéma. Il nous inviterait aussi à réfléchir sur la multiculturalité à la française. En outre, les personnages masculins, les seuls non-asiatiques qui entrent dans Chinatown, mettent en exergue l’érotisation de cet espace et l’extrême stéréotypisation de la femme asiatique en général et chinoise en particulier. Ce dossier de la revue HYBRIDA portant sur l’EXTRÊME nous a permis de faire un bond en avant dans la contemporanéité de la production culturelle en français, de comprendre les enjeux poétiques et politiques de quelques écrivain·e·s, poètes et metteurs en scène. Nous avons pu constater comment ces auteur·e·s ne cessent de remettre en question les formes et les acquis, les frontières et les images, seule manière valable, à notre sens, d’interroger notre présent, pour tenter d’en saisir son agitation et son mouvement constants. Ce n’est pas un hasard si le dossier s’ouvre avec Cixous et se clôt avec l’usage du concept foucauldien d’hétérotopie ; les deux, Cixous et Foucault, ayant profondément réfléchi aux questions et aux discours de l’extrême.
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Najjar, Zeina. "La Sexualité, le Genre et l’Autre, dans les romans de Michel Houellebecq." HYBRIDA, no. 1 (December 3, 2020): 171. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.1.16876.

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Dans cet article nous essayons d’analyser comment Houellebecq racialise les référents de certains concepts tels que : « race », « culture », « espèce », « ethnicité ». Dans ses romans, il décrit l’organisation sociale de la communauté humaine, comme un lieu de tension où se fondent les structures sociales de la société de consommation contemporaine. Il peint le paysage de l’imaginaire social de la sexualité et du genre qui est à l’origine de pratiques, mentalités, tendances, fantaisies et imagination, lesquelles nous invitent à déchiffrer un positionnement idéologique qui d’abord, présente en termes d’intempérance, la vie sexuelle dans la société, et ensuite, installe des aspects variés de la discrimination : occidental/ non-occidental, male / femelle.
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Lajarge, Romain, and Claudine Moïse. "Enseignes commerciales, traces et transition urbaine. Quartier de Figuerolles, Montpellier1." Revue de l'Université de Moncton 36, no. 1 (January 9, 2006): 97–127. http://dx.doi.org/10.7202/011990ar.

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Résumé La ville se définit comme une somme de lieux et d'espaces. Le lieu serait de l'ordre de l'immuable, de l'être là, repères visuels, lieux commémoratifs, monuments, magasins. L'espace serait façonné par les actions, les mouvements, les visions des habitants ou des passants. Ainsi, les représentations des villes se construisent à travers la mise en mots des lieux et des espaces et les frontières urbaines, délimitation de quartiers notamment, se définissent à travers des territoires sociaux et langagiers. Dans un premier temps, nous confronterons nos approches en sociolinguistique et en géographie en particulier à travers les notions de lieu, espace et territoire. Dans un second temps, nous essaierons de voir comment des inscriptions urbaines multilingues dans des quartiers de Montpellier peuvent faire d'un lieu un espace social en changement et en mouvement et comment se redessinent, à travers des inscriptions, les limites de territoires.
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Chartier, Denis. "« Environnement, engagement esthétique et espace public : l'enjeu du paysage »." Natures Sciences Sociétés 16, no. 3 (July 2008): 279–81. http://dx.doi.org/10.1051/nss:2008058.

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Montpetit, Raymond. "Des lieux bâtis et habités : espace urbain et domicile privé." Urgences, no. 17-18 (1987): 74. http://dx.doi.org/10.7202/025422ar.

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Fourment-Aptekman, Marie-Claude. "La possibilité d’un paysage chez l’agoraphobe." psychologie clinique, no. 54 (2022): 70–82. http://dx.doi.org/10.1051/psyc/20225470.

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Abstract:
La construction d’un paysage est-elle compatible avec l’agoraphobie ? Cette question sera analysée à partir de la description de cas cliniques variés, puis par un retour sur les définitions multiples du paysage. C’est à partir de ces considérations que nous émettrons l’hypothèse que la construction d’un paysage est possible chez tout être humain, même agoraphobe, si certaines conditions paysagères sont réunies, et aussi, grâce au travail de mémoire, à la littérature, à la peinture, au cinéma, et aux différents arts qui nous permettent d’avoir nos paysages à la fois comme espace intérieur et comme ouverture sur le monde.
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Christodoulou, Georgios, and Charles Delattre. "Cris rituels, auloi et tambourins. Paysage sonore et identités dans les Bacchantes d’Euripide." Synthesis 28, no. 1 (July 1, 2021): e096. http://dx.doi.org/10.24215/1851779xe096.

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Abstract:
Cris rituels, auloí et tambourins sont mentionnés à plusieurs reprises dans le texte des Bacchantes d’Euripide. La pièce crée ainsi un univers sonore fictif, un tissu de références auditives qui se superpose à la musique réellement perçue par les spectateurs, dans le contexte de la première performance aux Dionysies à Athènes. Notre étude articule ces deux espaces sonores, en analysant en particulier le rôle de l’aulós. Cet instrument présente en effet une apparente contradiction: il est ce qui donne rythme et mélodie au festival athénien, mais il est aussi l’un des emblèmes du culte étranger. Nous montrons comment la configuration des sonorités propres aux Bacchantes multiplie les références sonores, et crée un espace sonore qui est un espace de médiation et de conciliation des identités.
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Boismenu, Gérard, and Guylaine Beaudry. "Publications électroniques et revues savantes : acteurs, rôles et réseaux." Documentation et bibliothèques 45, no. 4 (August 19, 2015): 149–59. http://dx.doi.org/10.7202/1032718ar.

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Abstract:
Dans l’ensemble des possibilités offertes aux chercheurs pour la communication des résultats de recherche, la revue savante (électronique ou imprimée) est un maillon important du système de communication scientifique. À partir d’un échantillon de 200 revues dominantes dans huit disciplines, il est démontré que les prix exorbitants pratiqués par les éditeurs commerciaux ne sont pas en relation avec les revues ayant des facteurs d’impact élevés. Les « lieux d’édition sans but lucratif », que ce soit les associations, les presses universitaires ou les bibliothèques, occupent un espace stratégique. Il importe d’établir des stratégies d’action visant la mise en réseau de ces « lieux de publication ».
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Benbelaïd, Lilia. ""Camp" dira-t-on." Manazir Journal 4 (October 24, 2022): 155–64. http://dx.doi.org/10.36950/manazir.2022.4.9.

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Abstract:
L’architecture est l’art de concevoir et de construire. Édifié en 1949 et voué à une temporalité courte, le camp de réfugiés de Chatila, situé dans la banlieue sud de Beyrouth est aujourd’hui un environnement construit dont les politiques urbaines se sont totalement dédouanées. Cette indifférence étatique donne naissance à un lieu en marge, contraint par d’étroites limites administratives et désordonné. Il reste cependant une cité édifiée par des individus, rythmés par le besoin inhérent d’exister ; un fragment de ville dans la ville. Cela mène à la construction d’édifices ainsi qu’à la hiérarchisation de réseaux. De plus, dans la pratique architecturale, le corps est une unité de mesure pour composer un espace. A Chatila, la contrainte spatiale et la matière disponible permettent à une intériorité d’exister ; le corps s’adapte ensuite. Cependant, un vide urbain dit d' “exception” résiste face à la conquête d’espaces au sein du camp. Cette cour, où le corps s’octroie la liberté de se mouvoir, permet l’échange social et une potentielle appropriation. L’acte de dessiner permet une analyse passive des différents paysages et spatialités qui composent le camp. La pratique artistique prend alors un rôle fédérateur entre espaces et usagers ; entre usagers et celle ou celui qui ébauche les quelques lignes d’une scène urbaine sur un simple bout de papier. Elle amorce ainsi un premier lien entre une place et ceux qui l’habitent au quotidien, tente d’éveiller des envies et rêveries en autorisant les corps à s’exprimer et les voix à s’élever.
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Mazurier, Valentine. "Approche photographique de l’espace documentaire en milieu scolaire : le cas des professeurs documentalistes." Milieux scolaires et information documentaire 67, no. 4 (November 16, 2021): 25–35. http://dx.doi.org/10.7202/1083914ar.

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Abstract:
L’article s’intéresse à l’espace documentaire en milieu scolaire tel qu’il est représenté, aménagé, pensé et habité par les professeurs documentalistes. Entre prescription institutionnelle et adaptation contextuelle, l’espace documentaire révèle une vision du lieu qui raconte l’exercice ordinaire du métier de professeur documentaliste et l’interroge en tant que modèle, dans la construction d’une identité professionnelle. Cet article s’appuie sur une recherche menée dans le centre de documentation et d’information (CDI) de cinq collèges français dans le cadre de laquelle professeurs documentalistes et élèves étaient amenés au cours d’un entretien individuel à photographier « leur » espace documentaire. L’espace d’intention photographié par les professeurs documentalistes révèle, derrière l’uniformité des missions, des paysages documentaires hétérogènes qui questionnent les médiations de l’information et le rapport à l’espace documentaire des acteurs de la société de l’information actuelle.
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Djagba, Atouga Yembliman, Bèdibètè Bonfoh, Habrè Bassowa, Kodjo Aklikokou, and N’gonlbi Kanour. "Etat des lieux de l’élevage caprin en milieu paysan au Togo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 1 (February 28, 2020): 11–19. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31840.

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Abstract:
Les caprins constituent au Togo la seconde espèce d’élevage après les volailles en terme d’effectif. La disponibilité de sa viande reste pourtant rare. L’Etat togolais, à travers des projets de développement, a initié la recapitalisation du cheptel national d’animaux à cycle court. L’objectif de l’étude était la connaissance des faiblesses des pratiques d’élevage des caprins au Togo en vue de proposer des axes de recherche pour son amélioration et son développement. Des enquêtes ont été menées auprès de 129 chefs de ménages des deux sexes. Les éleveurs étaient des paysans, des salariés ou des retraités. Les enquêtes ont couvert l’ensemble du pays, prenant en compte sa diversité pluviométrique et végétale. Des données sur les pratiques d’élevage, les soins vétérinaires, les maladies et les autres contraintes ont été recueillies. Les résultats ont montré que 69 % des éleveurs étaient instruits, 91 % étaient mariés, et 26 % des propriétaires étaient des femmes. La main d’œuvre familiale jouait un rôle important. Les activités liées à l’élevage étaient confiées aux femmes et aux enfants. La taille moyenne du cheptel par ménage était de 18 caprins. Les chèvres adultes constituaient 44 % de l’effectif contre 2 % de mâles adultes entiers. Le taux de productivité au sevrage était de 0,54 chevreau par mère. Les animaux disposaient d’un abri ; dans 85 % des élevages, ils recevaient périodiquement une complémentation alimentaire et dans 27 % d’entre eux un complément minéral à base de sel de cuisine. Les soins vétérinaires ont été observés dans 64 % des élevages. Cette étude a permis de révéler quelques faiblesses relatives aux soins vétérinaires, à l’utilisation de géniteurs améliorés et à la disponibilité d’abris. Des formations sur les itinéraires techniques de l’élevage des caprins sont nécessaires pour améliorer leurs performances.
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Vachon, Geneviève, Érick Rivard, Mathieu Avarello, and Laurence St-Jean. "Imaginer l’aménagement soutenable des villages inuits du Nunavik." Recherches amérindiennes au Québec 47, no. 1 (January 15, 2018): 137–50. http://dx.doi.org/10.7202/1042905ar.

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Abstract:
Cet article porte sur un processus collaboratif de design urbain visant la conception de visions d’avenir concrètes et soutenables pour deux villages inuits du Nunavik. En plus de données sur l’adaptation culturelle et climatique des milieux de vie, les propositions des auteurs s’appuient sur des observations, des savoirs autochtones et différents concepts d’aménagement nordique, de même que sur l’avis d’experts et d’informateurs locaux. Comment planifier une offre adéquate en logements et en espaces partagés pour favoriser des milieux adaptés aux pratiques locales et aux conditions climatiques extrêmes ? Quelles formes donner à ces milieux tout en respectant les contraintes environnementales, sociales et organisationnelles ? Les projets font émerger des connaissances (ou prises de connaissance) en lien avec l’aménagement sur les composantes et les paysages qui fondent l’identité des villages, ainsi que sur le rôle, l’occupation et l’adaptabilité des lieux d’échanges, sur la perception de la densité et sur l’acceptabilité d’autres manières possibles d’organiser les secteurs résidentiels.
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Parayre, Catherine. "10/11 images." Voix Plurielles 12, no. 2 (December 12, 2015): 11–21. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v12i2.1267.

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Abstract:
Alexandre Amprimoz commence ses Changements de tons (1981) par une explication de la « parole » : celle-ci est prononcée « souvent au sein du cantique / le bourdonnement de la cascade / et l’ignorance du vent » (« Mots »). Au lieu d’exprimer ce qu’elle est, cette description situe la parole dans un espace à la fois intérieur et paysager. De fait, les images du dedans et des alentours abondent dans l’œuvre du poète et forment un trésor d’étonnantes évocations. Dans 10/11 (1979), les images du dedans sont enfouies dans des cendriers, des océans, des masques, des palais de marbre, entre autres exemples, alors que l’environnement convoque les plaines neigeuses, de belles terres, des iles, des jardins de fleurs, « des soleils en rayons » (11/p), une ville avec sa gare et son université, etc.
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Chauvet, André. "Accompagner en d’autres lieux : espace potentiel et inventivité circonstancielle." Éducation Permanente N° 237, no. 4 (December 29, 2023): 45–54. http://dx.doi.org/10.3917/edpe.237.0045.

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Abstract:
Quelle est la relation à l’espace dans les pratiques d’accompagnement ? N’y a-t-il pas une opportunité à explorer cette question compte tenu des processus de désaffiliation observés (publics dits invisibles). L’auteur définit ici l’espace comme la relation nouée avec ce qui nous entoure en montrant la dimension créative qu’il permet. à partir de l’analyse d’observations de terrain et le recueil de témoignages, il analyse les impacts du changement de lieu sur les personnes accompagnées. S’ouvre un autre espace d’inventivité permettant aux personnes, à certaines conditions, d’investir un lieu pour y mettre quelque chose d’elles, en s’ouvrant ainsi à des opportunités. L’article présente enfin un modèle fondé sur sept dimensions permettant d’expérimenter des formes d’accompagnement à faible structuration formelle et à forte inventivité circonstancielle, afin de remettre du jeu et de l’interaction dans des processus menacés de standardisation.
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Morissonneau, Christian. "Mobilité et identité québécoise." Cahiers de géographie du Québec 23, no. 58 (April 12, 2005): 29–38. http://dx.doi.org/10.7202/021421ar.

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Abstract:
La mobilité (nomadisme) est un des traits qui fondent l'identité québécoise. Cette mobilité date des origines mêmes de la Nouvelle-France, où les migrants ajoutèrent à leur héritage nomade, l'influence d'un espace immense et neuf et celle de l'Indien. Tradition et rapports économiques jouent dans l'explication : se succèdent des exploitations du milieu qui obligent aux déplacements, qui entretiennent cette continuité dans la mobilité : fourrures, bois, mines, construction. Le nomadisme obligé/choisi a été nié et contré par l'élite du pays qui a construit une identité paysanne et des stratégies anti-mouvance (colonisation) et anti-libertaire (encadrement clérical). C'est l'américanité refusée. Ainsi, une continuité dans la mobilité et dans sa négation. Les Québécois ne sont pas peuple de l'espace, se contentant de le parcourir. Les Québécois « occupent » la durée : l'élite se contente des symboles de la permanence dans un espace qu'elle ne possède pas. Le peuple conserve le « lieu » de la parenté (famille étendue) partout en Amérique.
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Chapuis, Élisabeth. "Regards sur le paysage." psychologie clinique, no. 54 (2022): 33–46. http://dx.doi.org/10.1051/psyc/202254033.

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Abstract:
L’expérience esthétique du paysage est historiquement construite. Les premières représentations de paysages apparues à la Renaissance ont permis la naissance d’un genre pictural grâce à l’invention de la perspective qui a fourni une technique de représentation de l’espace mais traduirait une volonté d’emprise de l’homme sur la nature dont les manifestations déréglées aboutissent au désastre écologique actuel. Du côté du promeneur ou du spectateur, peut-on renouer avec un plaisir du paysage prenant en compte d’autres points de vue qui ouvriraient à un espace imaginaire de rêverie et de subjectivité créatrice capable de contrer le pessimisme contemporain ?
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Domínguez Mujica, Josefina, Claudio Moreno Medina, and Raquel Guerra Talavera. "Paysage de l'eau et histoire agraire d'une île marquée par la sécheresse : l'exemple de la Grande Canarie." Sud-Ouest européen 23, no. 1 (2007): 69–78. http://dx.doi.org/10.3406/rgpso.2007.2939.

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Abstract:
À partir de la fin du XVe siècle, la colonisation agraire de l'île de la Grande Canarie posa la question de la gestion et de l'utilisation communes des ressources hydriques exigées par l'agriculture, résolue progressivement par la création et l'application d 'une minutieuse législation. En parallèle, l 'exploitation de cultures tropicales entraîna la construction de grandes infrastructures qui transformèrent le paysage insulaire. De nos jours, leurs vestiges nous permettent de reconstituer l 'espace occupé jadis par les zones irriguées ainsi que la physionomie ancienne du paysage agraire.
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Cambron, Micheline, and Hans-Jürgen Lüsebrink. "Presse, littérature et espace public : de la lecture et du politique." Études françaises 36, no. 3 (December 16, 2004): 127–45. http://dx.doi.org/10.7202/009727ar.

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Abstract:
Résumé Prenant appui sur les clivages entre écriture littéraire, d’une part, et journalistique, d’autre part, cet article examine les représentations divergentes de l’écrivain et du journaliste depuis le xviii e siècle, les formes de rapprochement systématiques entre leurs pratiques à l’époque contemporaine, notamment chez des théoriciens postmodernes comme Hayden White et, enfin, les interrelations entre le politique et le littéraire au sein de l’écriture journalistique. En conclusion, on s’interroge sur le recul à la fois de l’expression littéraire et de l’expression journalistique au sein du paysage médiatique contemporain, inégal cependant selon les pays et les cultures, qui amène à s’interroger sur leur spécificité, et la temporalité particulière de chacune d’entre elles.
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Llorca, Marie-Christine, and Pascal Miché. "Ouvrir les espaces d’apprentissage." Éducation Permanente N° 237, no. 4 (December 29, 2023): 69–78. http://dx.doi.org/10.3917/edpe.237.0069.

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Abstract:
La question des espaces se pose dès qu’est évoquée la question de l’apprentissage car nous investissons d’autres façons d’apprendre : du numérique intégré, des pratiques diversifiées d’auto-apprentissage et un rôle accru des temps et des lieux informels. Il s’agit pédagogiquement d’anticiper l’usage des lieux pour y accueillir des pédagogies actives et interactives, y intégrer intelligemment le numérique, et créer ainsi un autre design spatio-temporel dans un espace devenu fluide. L’espace fonctionne comme un « troisième enseignant », modalité de facilitation des scénarios pédagogiques.
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Gilbert, Anne. "L’Ontario français comme région : un regard non assimilationniste sur une minorité, son espace et ses réseaux." Cahiers de géographie du Québec 35, no. 96 (April 12, 2005): 501–12. http://dx.doi.org/10.7202/022211ar.

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Abstract:
L'urbanisation a fait éclater l'Ontario français en un ensemble de lieux discontinus. La région n'en aurait pas pour autant perdu sa cohérence à la faveur de la consolidation des réseaux qui unissent les lieux de la francophonie ontarienne aux échelles locale et provinciale. Un regard sur la façon dont la communauté franco-ontarienne s'est adaptée aux changements récents de son espace vécu et a utilisé son haut degré de structuration politique pour continuer de voir dans les lieux qu'elle occupe une source d'identité et une base pour son développement futur met en lumière son dynamisme actuel et permet d'élargir le débat quant à son avenir.
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Gagnon, Julie Elizabeth, and Annick Germain. "Espace urbain et religion : esquisse d’une géographie des lieux de culte minoritaires de la région de Montréal." Cahiers de géographie du Québec 46, no. 128 (April 12, 2005): 143–63. http://dx.doi.org/10.7202/023038ar.

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Abstract:
Cet article esquisse une géographie des lieux de culte dits minoritaires (c'est-à-dire non catholiques romains ou protestants) de la région montréalaise et examine quelques éléments des stratégies spatiales déployées par différents groupes religieux dans la localisation de leurs lieux de culte. Dans un deuxième temps, nous nous intéressons au contexte réglementaire qui encadre l'aménagement des lieux de culte à l'échelle municipale. En nous inspirant de l'étude récente de quelques cas d'aménagement de lieux de culte au sein des communautés juives hassidiques et musulmanes montréalaises, nous concluons en présentant les principaux enjeux - fiscaux, économiques, politiques et sociaux - de cohabitation qui sous-tendent les aménagements cultuels dans l'espace urbain montréalais.
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Fileni, M. G., and Irène Chalkia. "Lieux et espace dans la tragédie d'Euripide. Essay d'analyse socioculturelle." Quaderni Urbinati di Cultura Classica 31, no. 1 (1989): 151. http://dx.doi.org/10.2307/20546988.

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