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Journal articles on the topic 'Effets indésirables de médicaments'

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ZAKARIYA, Imane, Sanaa MAKRAM, Youssef MOUTAOUAKKIL, Rachid NEJJARI, and Ahmed BENNANA. "Side effects of drugs: classification, management." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 5, no. 1 (December 25, 2018): 10–13. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsra.2018.5103.

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Abstract:
Lorsqu’un médicament est mis à l’étude, son efficacité est évaluée dans le cadre d’essais cliniques au cours desquels il est administré à plusieurs milliers de patients. Ces études ont également de l’importance pour identifier les effets indésirables. L’apparition de ces effets est liée à de nombreux facteurs. Dans certains cas, elle est indépendante de la dose administrée. Dans d’autres cas, le risque augmente avec la dose prescrite et la durée du traitement. De ce fait, certains effets sont prévisibles et d’autres ne le sont pas. Pour pallier à un effet indésirable, le professionnel de santé est amené à modifier la posologie, à surveiller les interactions médicamenteuses ou à interrompre le traitement en cours, tous dépendent du type de l’effet indésirable. Le présent travail est une mise au point sur les effets indésirables des médicaments. Après des définitions, les effets indésirables sont classés et les conduites à tenir sont rappelées.
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BESSE-BARDOT, I., X. BOHAND, S. BARDOT, P. PEJAK, A. PECH, and F. QUEGUINER. "Evaluation de la sécurité d’utilisation des médicaments fabriqués par la Pharmacie centrale des armées : évolution et intégration dans le nouveau dispositif national de pharmacovigilance." Médecine et Armées Vol. 41 No. 3, Volume 41, Numéro 3 (June 1, 2013): 277–84. http://dx.doi.org/10.17184/eac.6685.

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Abstract:
Tous les ans, un nombre important de médicaments autorisés fait l’objet de signalements d’effets indésirables graves et ou inattendus. Ce flux d’informations organisé répond à la nécessité de garantir de manière réactive la sécurité d’emploi des médicaments sur le territoire national. Il permet aussi d’adapter l’information médicale sur les effets indésirables communiquée aux professionnels de santé et aux patients. La pharmacovigilance est ainsi un des éléments majeurs concourant à la sécurité d’emploi du médicament avec la pharmaco-épidémiologie et le traitement des « incidents qualité ». Son application dans les armées, si elle nécessite quelques adaptations au regard de spécificités, relève du droit commun. Les patients devenant des acteurs autorisés à déclarer des événements indésirables liés à un médicament, ainsi que les crises récentes et l’évolution en cours du système de vigilance doivent inciter les professionnels de santé, y compris militaires, à prendre le temps nécessaire aux déclarations afin de garantir et améliorer la sécurité des médicaments.
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Pariente, A. "Effets indésirables intestinaux des médicaments." EMC - Traité de médecine AKOS 27, no. 4 (October 2024): 1–6. https://doi.org/10.1016/s1634-6939(24)90075-5.

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4

Lamarque, V., and Y. Plétan. "L’industriel du médicament face aux effets indésirables des médicaments." Annales Pharmaceutiques Françaises 65, no. 5 (September 2007): 308–14. http://dx.doi.org/10.1016/s0003-4509(07)92593-6.

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5

Lauzon, Pierre. "Les effets indésirables des médicaments de substitution dans le traitement de la dépendance aux opioïdes." Drogues, santé et société 10, no. 1 (February 21, 2012): 51–91. http://dx.doi.org/10.7202/1007848ar.

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Abstract:
Le traitement de substitution, principalement avec la méthadone ou la buprénorphine, représente le traitement le plus efficace de la dépendance des opioïdes. Ces médicaments doivent, la plupart du temps, être pris pendant des périodes prolongées, soit plusieurs années ou toute la vie pour certains. Ces médicaments peuvent avoir des effets indésirables, ayant un impact sur la qualité de vie des patients, et nécessitent une attention de la part des professionnels de la santé impliqués dans le traitement. Seront révisés les effets indésirables suivants : hypogonadisme masculin, allongement du QT, sevrage néonatal, anomalies des fonctions respiratoires, hyperalgésie, risque d’intoxication, abus de la médication, interactions médicamenteuses. À ces effets pharmacologiques viennent s’ajouter des contraintes réglementaires, qui, si elles peuvent être pertinentes en début de traitement, s’avèrent lourdes et inadaptées pour les patients stables depuis plusieurs années. De l’écoute et une bonne gestion de ces effets indésirables sont indispensables pour améliorer l’acceptabilité du traitement et son attrait pour les usagers.
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Briet, J., H. Javelot, and J. L. Vailleau. "Échelle d’imprégnation anticholinergique : mise au point d’une nouvelle échelle incluant les molécules françaises, et application en psychiatrie." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S154—S155. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.311.

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Abstract:
Les médicaments présentant des propriétés anticholinergiques sont susceptibles d’entraîner des effets indésirables périphériques ou centraux. Plusieurs échelles ont été développées dans le but d’évaluer le potentiel anticholinergique des médicaments. Ces échelles ne contiennent pas les molécules françaises habituellement utilisées en psychiatrie, sont validées sur des populations âgées, et s’intéressent pour la plupart aux effets anticholinergiques centraux et non périphériques. L’objectif de notre travail était d’élaborer une nouvelle échelle (échelle d’imprégnation anticholinergique) contenant les molécules françaises et de la valider chez des patients de psychiatrie, en se basant sur les médicaments prescrits pour corriger les effets indésirables anticholinergiques périphériques. Nous avons attribué à 130 molécules un score de 1 à 3 selon leur potentiel anticholinergique, à partir des données de la littérature et d’avis d’experts. Au total, 7278 prescriptions de patients hospitalisés un jour donné en psychiatrie dans 34 établissements français ont été analysées. Nous avons relevé l’âge, le sexe, les médicaments anticholinergiques prescrits en systématique et « si besoin », et les médicaments prescrits pour corriger la xérostomie et la xérophtalmie ainsi que les laxatifs. Les médicaments les plus prescrits sont la cyamémazine et la tropatépine (respectivement 20 % et 19 % des prescriptions systématiques). Ces molécules n’existaient pas dans les précédentes échelles publiées et présentent un fort potentiel anticholinergique (3 dans l’échelle d’imprégnation anticholinergique). La proportion de patients ayant un score supérieur à 5 d’après l’échelle d’imprégnation anticholinergique est significativement plus élevée chez les patients prenant des laxatifs et des correcteurs de xérostomie, témoins de la survenue d’effets indésirables anticholinergiques périphériques. L’évaluation des effets centraux comporterait un biais important chez les patients de psychiatrie, ce qui explique pourquoi nous avons validé l’échelle d’imprégnation anticholinergique à partir des effets périphériques. Nous avons réalisé une première description des pratiques de prescription d’anticholinergiques en psychiatrie en France, à l’aide d’une échelle plus complète et plus adaptée.
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Bannwarth, Bernard. "Critères d’imputabilité des effets indésirables des médicaments." Revue du Rhumatisme Monographies 77, no. 2 (April 2010): 173–75. http://dx.doi.org/10.1016/j.monrhu.2010.02.007.

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Haramburu, Françoise, Ghada Miremont-Salamé, and Katia Macquin. "Effets indésirables des médicaments : définitions et imputabilité." Revue du Rhumatisme 69, no. 4 (April 2002): 346–48. http://dx.doi.org/10.1016/s1169-8330(02)00305-8.

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Fournier, Pierre-Étienne, and Sylvie Revaz. "[b]Médicaments[/b] et effets indésirables musculosquelettiques." Revue Médicale Suisse 7, no. 304 (2011): 1529–32. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2011.7.304.1529.

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Geraud, Gilles, Jean-Louis Montastruc, Marie-Christine Arné-Bes, Christine Brefel, Pierre-André Delpla, Nelly Fabre, Jean-Marc Faucheux, Olivier Rascol, and Jean-Michel Senard. "Effets indésirables neurologiques causés par les médicaments." EMC - Neurologie 22, no. 1 (1999): 1–20. https://doi.org/10.1016/s0246-0378(19)30258-1.

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Al Dughayrn, A. M., A. I. Afaleq, and A. M. Homeida. "Synthèse sur les effets indésirables de certains médicaments chez le chameau." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 51, no. 1 (January 1, 1998): 81–86. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9657.

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Abstract:
Cette synthèse fait le point sur les données pharmacologiques de base concernant le métabolisme de médicaments, les réactions indésirables et autres effets toxiques secondaires provoqués chez le chameau par des agents anti-infectieux courants ainsi que des dépresseurs du système nerveux central et des antiprotozoaires. Certaines caractéristiques du chameau, telles qu'un taux de filtration glomérulaire relativement faible, un long néphron, un faible taux de renouvellement de l'eau, des hématies avec des formes particulières et une faible activité enzymatique du métabolisme des médicaments, peuvent modifier le comportement pharmacocinétique des médicaments chez cette espèce.
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Bandrant, Magalie, Haleh Bagheri, Lise Cuzin, Agnès Sommet, Valérie Bassoua, Emmanuelle Guitton, Eric Bonnet, et al. "Analyse des effets indésirables des médicaments du VIH." Therapies 61, no. 2 (March 2006): 171–76. http://dx.doi.org/10.2515/therapie:2006024.

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Lacroix, Isabelle, Cendrine Cabou, Jean-Louis Montastruc, and Christine Damase-Michel. "Effets indésirables des médicaments chez la femme enceinte." Therapies 62, no. 5 (September 2007): 455–60. http://dx.doi.org/10.2515/therapie:2007067.

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Camus, G., V. Jandard, A. G. Caffin, and X. Bohand. "Effets indésirables des médicaments anticancéreux utilisés en pneumologie." Revue des Maladies Respiratoires Actualités 5, no. 5 (September 2013): 367–74. http://dx.doi.org/10.1016/s1877-1203(13)70428-2.

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Doucet, Jean, and Patrice Queneau. "Effets indésirables des médicaments chez les sujets âgés." Bulletin de l'Académie Nationale de Médecine 189, no. 8 (November 2005): 1693–709. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-4079(19)33427-2.

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Trivalle, C., and P. Ducimetière. "Effets indésirables des médicaments : score de risque en gériatrie." NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie 13, no. 74 (April 2013): 101–6. http://dx.doi.org/10.1016/j.npg.2012.08.003.

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Trad, S., C. Bonnet, and D. Monnet. "Uvéite médicamenteuse et effets indésirables des médicaments en ophtalmologie." La Revue de Médecine Interne 39, no. 9 (September 2018): 699–710. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2018.02.017.

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Genton and Buclin. "Le retrait d'un médicament pour raison de sécurité: Processus et communication." Praxis 93, no. 19 (May 1, 2004): 797–801. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.93.19.797.

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Abstract:
Chaque année, des médicaments doivent être retirés du marché suite à des effets indésirables graves. Notre enquête auprès des responsables impliqués dans le retrait récent de la néfazodone et notre sondage parmi un échantillon de médecins et de pharmacien révèlent les difficultés inhérentes à la prise d'une telle décision de santé publique et surtout à sa communication à travers la chaîne des professionnels jusqu'aux patients.
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Blanchard, Sierra, Suzzane Li, and Danielle Weiler. "Choriorétinopathie séreuse centrale associée à l’administration de l’erdafitinib : Rapport de cas." Canadian Journal of Optometry 84, no. 4 (December 8, 2022): 41–47. http://dx.doi.org/10.15353/cjo.v84i4.5169.

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Abstract:
L'erdafitinib est un inhibiteur de kinase du récepteur du facteur de croissance des fibroblastes (FGFR) qui a été approuvé pour le traitement des patients atteints de carcinome urothélial métastatique ou localement avancé. Il est également à l'étude pour le traitement d'autres types de cancer. Cet agent chimiothérapeutique oral fait l'objet d'une mise en garde concernant les effets indésirables oculaires potentiels, notamment la rétinopathie séreuse centrale et la sécheresse oculaire liées au traitement. Ce rapport de cas décrit un homme caucasien de 88 ans qui a été pris en charge par la clinique ophtalmologique au cours d'un traitement par erdafitinib pour un carcinome urothélial métastatique. Le patient a développé des épisodes asymptomatiques de rétinopathie séreuse centrale bilatérale récurrente et rémittente liée au traitement. Il est essentiel que les fournisseurs de soins oculaires reconnaissent les effets indésirables oculaires potentiels liés à l'erdafitinib, à sa classe de médicaments et aux médicaments qui ciblent des voies similaires. Une communication efficace et une cogestion attentive avec l'oncologie sont essentielles pour fournir des soins de qualité à ce sous-ensemble de patients. Grâce à la coordination des soins, une posologie efficace, mais tolérable peut offrir au patient un meilleur taux de survie et une meilleure qualité de vie.
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Annequin, D. "Ces antalgiques qui font peur : protoxyde d’azote, ibuprofène, opiacés et paracétamol." Douleur et Analgésie 33, no. 4 (December 2020): 241–45. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2020-0137.

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Abstract:
Les médicaments de la douleur font l’objet de craintes souvent majeures. Le protoxyde d’azote associé à 50 % d’oxygène (MEOPA) est le produit de référence pour la douleur provoquée par les soins en pédiatrie. Le mésusage des cartouches de protoxyde d’azote pur à visée récréative peut avoir des effets indésirables majeurs lors d’expositions très prolongées ; il ne doit pas être confondu avec le MEOPA à usage médical dont le rapport bénéfice/risque est très rassurant. L’usage massif des opiacés essentiellement aux États-Unis pour des douleurs chroniques a donné lieu à une catastrophe sanitaire. Ces produits demeurent les produits de référence pour traiter les douleurs aiguës et intenses, et le risque de mésusage y est exceptionnel quand ils sont utilisés sur des durées courtes avec un suivi clinique. En revanche, un risque réel existe lors de l’utilisation prolongée de ces médicaments dans la douleur chronique non cancéreuse ; cette dernière nécessite une véritable prise en charge pluridisciplinaire permettant d’éviter au maximum les médicaments antalgiques. En France, la peur de l’utilisation des AINS est ancienne et en grande partie infondée. Elle s’est exprimée récemment par des avis officiels erronés recommandant d’éviter l’ibuprofène lors de la première vague de la SARS-CoV-2. Le paracétamol a au contraire en France une image de sécurité surévaluée auprès des médecins et du public. Nos connaissances sur les risques liés aux médicaments de la douleur se sont enrichies ces dernières années. Si la vigilance des professionnels doit être continue, elle ne doit pas se transformer en suspicion. Les bonnes pratiques doivent être mieux diffusées notamment sur la prise en charge de la douleur chronique. L’amplification par les médias et les réseaux sociaux qui ne soulignent que les effets indésirables, voire les décès, occultent tous les bénéfices majeurs apportés par ces produits qui restent dans la grande majorité des cas des produits de référence. À l’inverse, les conséquences dramatiques (sanitaires et humaines) peuvent encore s’observer massivement dans les pays pauvres qui n’ont quasiment aucun accès aux médicaments de la douleur.
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MERLIN, L., and M. CUNIN. "COMMENT FAIRE ACCEPTER LA DEPRESCRIPTION AUX PATIENTS LORS D'UNE REEVALUATION D'ORDONNANCE EN MEDECINE GENERALE ?" EXERCER 33, no. 185 (September 1, 2022): 292–98. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2022.185.292.

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Abstract:
Contexte. La consommation importante de médicaments favorise la survenue d’effets indésirables. Les médecins généralistes peuvent prévenir cela par une déprescription, mais ils pensent que les patients sont demandeurs d’une prescription médicamenteuse. Objectif. Explorer le vécu des patients concernant la déprescription et les motivations à la prise médicamenteuse. Méthodes. Il s’agissait d’une étude qualitative avec analyse selon une approche par théorisation ancrée. Des entretiens individuels compréhensifs ont été conduits auprès de patients habitant dans le département du Pas-de-Calais. L’analyse triangulée a été réalisée avec l’aide du logiciel QSR NVivo 11.4. La suffisance des données a été obtenue après le dixième entretien. Résultats. La prise d’un médicament était motivée par plusieurs facteurs. Les patients percevaient un bénéfice (confort de vie vs effets indésirables). Ils avaient des connaissances et des croyances ainsi que des sources d’influence : soignants, entourage, publicité, notice du médicament. Des motivations inconscientes étaient aussi présentes. Le médecin devait comprendre l’importance du traitement pour le patient, et rechercher la survenue d’effets indésirables ou leurs signes précurseurs. Les patients étaient demandeurs d’informations en raison de connaissances variables ou de croyances erronées. Il était nécessaire de proposer une modification du mode de vie et du traitement (baisse progressive de la posologie, alternative médicamenteuse) en rassurant sur la possibilité de prescrire à nouveau le traitement initial si nécessaire. Ce processus pouvait être favorisé par le contexte comprenant l’utilisation d’une ordonnance sécurisée ou une déprescription précoce. Conclusion. L’étude des motivations à la prise médicamenteuse ouvre d’autres pistes de réflexion pour aider à déprescrire : thérapies psychologiques pour lever le conditionnement, travail en réseau où infirmier(e), médecin et pharmacien pourraient mettre en commun leurs influences.
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Arimone, Yannick, Irène Bidault, Jean-Paul Dutertre, Marie Gérardin, Claire Guy, Françoise Haramburu, Dominique Hillaire-Buys, et al. "Réactualisation de la méthode française d’imputabilité des effets indésirables des médicaments." Therapies 66, no. 6 (November 2011): 517–25. http://dx.doi.org/10.2515/therapie/2011073.

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Moncharmont, P., and F. Meyer. "Effets indésirables transfusionnels chez les receveurs sous médicaments anti-vitamine K." Transfusion Clinique et Biologique 22, no. 5-6 (October 2015): 338–40. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2015.06.250.

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Verstegen, Ruud H. J., Iris Cohn, Mark E. Feldman, Daniel Gorman, and Shinya Ito. "La pharmacothérapie en fonction des gènes chez les enfants et les adolescents qui prennent des médicaments psychoactifs." Paediatrics & Child Health 29, no. 5 (August 2024): 311–17. http://dx.doi.org/10.1093/pch/pxae028.

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Abstract:
Résumé Les médicaments psychoactifs sont de plus en plus utilisés pour traiter les enfants et les adolescents ayant des troubles de santé mentale, mais la variabilité des réponses individuelles fait ressortir l’importance d’une médecine personnalisée. Les tests pharmacogénétiques sont un volet important d’un tel type de médecine. Le nombre d’entreprises de tests pharmacogénétiques commerciaux qui font la promotion de tests de ce genre et promettent un traitement efficace et individualisé des troubles de santé mentale se multiplie depuis quelques années. Les preuves scientifiques en appui à l’utilisation de la pharmacogénétique sont limitées, particulièrement dans les populations pédiatriques. Le présent point de pratique souligne les étapes qui orientent le recours à ces tests pour la prise de médicaments psychoactifs en milieu clinique et présente des ressources de soutien importantes. Il existe des directives cliniques sur les variants des pharmacogènes qui encodent les enzymes de métabolisation du cytochrome P450 (p. ex., CYP2C19, CYP2D6, CYP2C9), lesquels sont l’un des déterminants des concentrations pharmacologiques dans le sang et peuvent appuyer à la fois le choix du médicament et la stratégie posologique de certains antipsychotiques, antidépresseurs et antiépileptiques. Les effets indésirables de certains médicaments antiépileptiques (p. ex., la carbamazépine et la phénytoïne) sont associés à certains types d’antigènes d’histocompatibilité humaine et à des variants de l’ADN polymérase gamma (POLG; acide valproïque). Les données probantes sont limitées à l’égard des variants génétiques des protéines qui ciblent les médicaments, et c’est pourquoi il est difficile de déterminer quels patients présenteraient une réponse altérée au traitement à une concentration sanguine thérapeutique.
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BERKHOUT, C. "Traitements non médicamenteux et alternatives médicamenteuses aux benzodiazépines dans l’insomnie en soins premiers." EXERCER 31, no. 164 (June 1, 2020): 252–53. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.164.252.

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Abstract:
Publication originale de Driot D, Ouhayoun S, Perinelli F, et al. Therapie 2019;74:537‑46. L’insomnie est une cause fréquente de consultation en médecine générale et dans les pharmacies d’officine, et les benzodiazépines (BZD) et leurs apparentés (zolpidem et zopiclone) sont les médicaments les plus souvent prescrits pour son traitement en Europe et en Amérique du Nord. Si ces traitements sont efficaces dans l’insomnie aiguë (< 4 semaines), leur usage au long terme expose les patients à de nombreux effets indésirables...
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Chouchana, Laurent, Marine Auffret, and Hélène Geniaux. "Twitter®, un outil de formation médicale continue ?" Pédagogie Médicale 19, no. 2 (2018): 91–93. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2019014.

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Abstract:
Contexte et problématique : La formation médicale continue sur le médicament constitue, à l’heure actuelle, un vrai challenge, notamment dans le contexte de l’avènement des réseaux sociaux, et plus particulièrement de Twitter®, qui ont révolutionné l’accès à l’information. Exégèse : Le compte Twitter® @Reseau_CRPV a été créé par le Réseau français des centres régionaux de pharmacovigilance (RFCRPV) regroupant l’ensemble des 31 centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) en France et dont une des missions est l’information sur le médicament. Outre la diffusion d’information des agences officielles et une veille bibliographique, ce compte propose tous les vendredis un questionnaire à réponse unique (le #PharmacoQuiz), en lien avec les médicaments, et comportant quatre propositions. Les thématiques abordées sont vastes, des effets indésirables au bon usage des médicaments en passant par l’addictovigilance. La difficulté des quiz est établie grâce à un système de gradation par étoiles. La réponse détaillée est publiée le lundi suivant, associée à la diffusion d’informations provenant de la littérature scientifique en référence au quiz. Comme tout tweet, c’est également l’occasion pour la communauté scientifique d’échanger et de débattre sur une problématique spécifique liée au médicament. Par rapport aux méthodes traditionnelles de diffusion d’information ou d’enseignement, les médias sociaux offrent une flexibilité importante et facilitent les interactions entre celui qui diffuse l’information et les pairs ou étudiants. Conclusion : Le #PharmacoQuiz constitue le premier exemple français d’évaluation des connaissances dans le domaine de la pharmacologie via un réseau social. C’est un outil novateur et ludique de formation médicale continue qui contribue pleinement aux missions de formation et d’information des CRPV.
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Chazard, E., C. Preda, B. Merlin, G. Ficheur, and R. Beuscart. "Détection et prévention des effets indésirables liés aux médicaments par data-mining." IRBM 30, no. 4 (September 2009): 192–96. http://dx.doi.org/10.1016/j.irbm.2009.05.008.

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Tannenbaum, Cara, Barbara Farrell, James Shaw, Steve Morgan, Johanna Trimble, Janet C. Currie, Justin Turner, Paula Rochon, and James Silvius. "An Ecological Approach to Reducing Potentially Inappropriate Medication Use: Canadian Deprescribing Network." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 36, no. 1 (January 16, 2017): 97–107. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980816000702.

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Abstract:
RÉSUMÉLa polypharmacie est en croissance au Canada, ainsi que les effets indésirables des médicaments et les coûts associés à la drogue. Une partie de la solution peut être la déprescription—le processus planifié et contrôlé de la réduction des doses ou la cessation des médicaments qui peuvent nutrient ou qui n’offrent plus d’avantage. La déprescription peut être un processus complexe impliquant des patients, les professionnels de la santé et des facteurs de politique et d’organisation qui peuvent servir comme facilitateurs ou obstacles. Cet article décrit la justification, le fondement théorique et le processus de développement d’un Réseau canadien de dépréscription (ReCaD), un réseau d’individus, d’organisations et de décideurs engagés à promouvoir l’utilisation appropriée des médicaments et des approches non pharmacologiques aux soins parmi les personnes âgées au Canada. ReCaD déploiera plusieurs niveaux d’action à travers des groupes de parties prenantes multiples simultanément dans une approche écologique à l’évolution du système de santé. ReCaD propose un modèle unique qui pourrait être appliqué à la fois dans les contextes nationaux et aux différents défis de transformation dans les soins de santé.
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Zahrowski, James J. "Optimisation des traitements orthodontiques chez les patients sous biphosphonates." L'Orthodontie Française 82, no. 3 (September 2011): 279–98. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/20010032.

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Abstract:
Les biphosphonates (BP) ont des caractéristiques pharmacologiques uniques qui les différencient des autres groupes de médicaments. Des millions d’adultes prennent des biphosphonates par voie orale pour le traitement au long cours de l’ostéoporose et de l’ostéopénie. Certains de ces patients peuvent aussi avoir besoin d’un traitement orthodontique. Des effets indésirables sur le plan odontologique, liés à la prise de BP ont été rapportés. Il peut s’agir d’un ralentissement des déplacements dentaires, d’une mauvaise cicatrisation osseuse ou plus rarement d’ostéonécrose du maxillaire ou de la mandibule. Cette dernière pathologie est rarement observée après prise de BP pour le traitement de l’ostéoporose. Toutefois, des effets indésirables peuvent survenir plus fréquemment chez les patients sous traitement orthodontique, notamment avant le stade d’ostéonécrose. Des conséquences comme le ralentissement des déplacements dentaires peuvent persister longtemps après l’arrêt de la prise des BP. La réussite d’un traitement orthodontique est assujettie à la possibilité d’obtenir une cicatrisation osseuse optimale permettant d’éviter une mobilité excessive des dents. Les biphosphonates semblent avoir deux types de clairance osseuse : une rapide, en quelques semaines à partir de la surface osseuse et une plus lente, qui peut durer plusieurs années, concernant la portion incorporée dans la structure de l’os. Cet article présente des méthodes permettant une surveillance clinique et radiologique des patients orthodontiques prenant des BP par voie orale. Des stratégies destinées à minimiser les effets indésirables et optimiser les procédures orthodontiques dans le cadre de fenêtres thérapeutiques approuvées par le médecin sont discutées. Les résultats thérapeutiques orthodontiques de trois patients prenant des biphosphonates sont rapportés.
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Wuerzner, Grégoire, Belen Ponte, Sylvain Meylan, and Antoinette Pechère-Bertschi. "Hypertension : faut-il aborder les effets indésirables possibles des médicaments avec nos patients ?" Revue Médicale Suisse 17, no. 750 (2021): 1547. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2021.17.750.1547.

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Kassai, B., and J. Bacchetta. "Effets indésirables à long terme des médicaments: comment améliorer la prise en charge?" Archives de Pédiatrie 14, no. 6 (June 2007): 603–4. http://dx.doi.org/10.1016/j.arcped.2007.02.018.

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Muster, Dominique. "Contre-indications et effets indésirables des médicaments utilisés le plus souvent en odontostomatologie." EMC - Chirurgie orale et maxillo-faciale 16, no. 1 (2003): 1–12. https://doi.org/10.1016/s1154-2934(03)00070-5.

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Baumann, P. "Pharmacovigilance en psychiatrie : données récentes." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 661–62. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.047.

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Abstract:
Le manque d’introduction de nouveaux médicaments psychotropes dont l’effet pharmacologique est basé sur des mécanismes innovants nous oblige à utiliser au mieux ceux actuellement disponibles. En effet, le nombre d’hospitalisations suite à des effets adverses de médicaments est impressionnant. D’autre part, les comorbidités psychiatriques et somatiques, une réponse insuffisante à un seul agent thérapeutique exigent une association médicamenteuse parfois abondante, qu’il s’agit de gérer au mieux afin d’éviter des effets indésirables. D’ailleurs, la législation exige qu’ils soient déclarés aux autorités sanitaires.Le symposium a pour but de faire le point sur les données récentes de la pharmacovigilance en psychiatrie, par un résumé sur les obligations légales, la présentation de travaux internationaux récents dans des domaines spécifiques de la pharmacovigilance des psychotropes : hépatotoxicité des antidépresseurs [1], hématotoxicité des antipsychotiques, prolongation de l’intervalle QT associée aux médicaments psychotropes [2]. Les schémas de contrôle sanguin hebdomadaire des neutrophiles obligatoire pour tout patient recevant de la clozapine varient considérablement sur le long terme selon les pays. Le NNT est > 5000 patients pour escompter une vie sauvée d’une septicémie liée à une neutropénie sévère (agranulocytose) : les investissements se montent à plusieurs million d’Euros par année de vie gagnée ajustée à la qualité de vie (QALY). En revanche, l’ECG, peu employé en psychiatrie, se révèle nettement plus coût-efficace pour prévenir la mort suite liée à une arythmie induite par les psychotropes (torsades de pointe). Enfin, le projet de pharmacovigilance (Arzneimittelsicherheit in der Psychiatrie [AMSP]) mis en place dans des pays germanophones [3] sera présenté et illustré par des exemples d’études de pharmacovigilance.
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Sahnoun, R., M. Ksentini, I. Bouaziz, E. Chtourou, K. Berrim, L. Ben Mahmoud, K. Ksouda, et al. "Motivations et réticences des médecins généralistes à la notification des effets indésirables des médicaments." Revue Française d'Allergologie 63, no. 3 (April 2023): 103528. http://dx.doi.org/10.1016/j.reval.2023.103528.

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Claude, N. "La prévision des effets indésirables des médicaments par des études non cliniques est-elle performante ?" Annales Pharmaceutiques Françaises 65, no. 5 (September 2007): 292–97. http://dx.doi.org/10.1016/s0003-4509(07)92590-0.

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Bellakhal, S., M. Smiti Khanfir, F. Saïd, A. Hamzaoui, T. Ben Salem, A. Braham, M. Lamloum, I. Ben Ghorbel, and M. H. Houman. "Les effets indésirables des médicaments dans un service de médecine interne : étude de 305 cas." La Revue de Médecine Interne 33 (June 2012): S123. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2012.03.191.

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Dumont, Shireen, Giuseppe Russo, Elise Brocco, and Emmanuel Laffitte. "Effets indésirables des médicaments sur la croissance chez les enfants et adolescents : cas de l’isotrétinoïne." Revue Médicale Suisse 20, no. 870 (2024): 815. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2024.20.870.815.

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VAILLANT-ROUSSEL, H., C. BLANCHARD, T. MENINI, E. CHARUEL, B. PEREIRA, F. NAUDET, B. KASSAI, et al. "PROJET REBUILD THE EVIDENCE." EXERCER 34, no. 190 (February 1, 2023): 81–88. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.190.81.

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Abstract:
Introduction. La médecine fondée sur les preuves (EBM) est la pierre angulaire de la décision médicale partagée. Le public mérite des informations claires, transparentes et dignes de confiance sur l’efficacité des médicaments. Pourtant, aujourd’hui, de nombreux médicaments sont prescrits et utilisés sans preuve solide de leur efficacité. Les essais cliniques randomisés (ECR) et leurs méta-analyses sont les meilleures études pour évaluer l’efficacité des médicaments et leurs effets indésirables, mais leurs résultats ne sont pas facilement interprétables en pratique et sont même parfois discutables par rapport aux données retenues. Dans une approche de décision médicale partagée, les médecins généralistes ont besoin que l’évaluation des médicaments soit fondée sur des résultats importants et pertinents pour le patient. L’objectif du projet Rebuild the Evidence Base (REB) est de combler le fossé entre les données nécessaires à la pratique clinique et les données disponibles de la recherche clinique. Méthodes et analyses. Les médicaments seront évalués selon des critères cliniques importants pour les patients et dans une population donnée. En utilisant les outils Cochrane, pour chaque population et critère d’évaluation choisis, seront réalisées : 1. une méta-analyse, fondée sur des essais contrôlés randomisés (ECR) avec un faible risque global de biais ; 2. l’évaluation des résultats issus des ECR de confirmation ; 3. l’évaluation de l’hétérogénéité statistique entre essais (I2), et 4. l’évaluation du risque de biais de publication. En fonction des résultats de ces analyses, les preuves seront évaluées selon quatre niveaux : preuve solide, résultat probant mais à confirmer, signal à confirmer, ou absence de preuve. Conclusion. Le projet REB propose une méthode de lecture et d’interprétation des essais cliniques randomisés et de leur méta-analyse afin de produire des données de qualité permettant aux médecins généralistes de se centrer sur l’évaluation du bénéfice-risque dans l’intérêt des patients. Si ces données n’existent pas, cela permettra à la recherche clinique de mieux définir ses objectifs.
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Hendson, Leonora, Vibhuti Shah, and Sandra Trkulja. "Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou de la sérotonine et de la noradrénaline pendant la grossesse : les effets cliniques chez les nourrissons et les enfants." Paediatrics & Child Health 26, no. 5 (July 28, 2021): 322. http://dx.doi.org/10.1093/pch/pxab022.

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Abstract:
Abstract Le présent document de principes fournit des conseils sur la surveillance, les soins et le suivi des nouveau-nés exposés in utero à des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou de la sérotonine et de la noradrénaline. La dépression et l’anxiété sont courantes pendant la grossesse et la période postnatale. Bien qu’il y ait des risques à prendre des médicaments pendant la grossesse, la dépression et l’anxiété non traitées ou traitées insuffisamment comportent aussi des risques pour le nouveau-né. Le tiers des nouveau-nés exposés in utero à des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou de la sérotonine et de la noradrénaline présente un syndrome d’inadaptation néonatale, mais il est généralement léger et autorésolutif. Les faibles taux de ces médicaments excrétés dans le lait maternel n’empêchent pas l’allaitement. Dans de rares cas, l’hypertension artérielle pulmonaire persistante du nouveau-né et les cardiopathies congénitales sont associées à l’exposition à ces médicaments in utero. Les publications scientifiques ne s’entendent pas toutes sur l’évolution neurodéveloppementale de ces enfants, notamment pour ce qui est du trouble du spectre de l’autisme et du trouble de déficit de l’attention/hyperactivité. Ces incohérences découlent probablement d’autres facteurs (génétique, dépression de la mère, mode de vie, autres problèmes de santé), plutôt que de l’exposition in utero à des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou de la sérotonine et de la noradrénaline. Les professionnels de la santé et les parents devraient être rassurés : en général, des mesures non pharmacologiques suffisent pour traiter le syndrome d’inadaptation néonatale, et le risque de graves effets indésirables découlant de l’exposition à ces médicaments in utero est faible.
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Sekkat, Z. L., S. Skalli, and R. Hassikou. "Étude de prévalence des effets indésirables liés à l’utilisation des plantes médicinales par les patients diabétiques de l’hôpital Ibn-Sina de Rabat, Maroc." Phytothérapie 18, no. 1 (August 15, 2019): 17–29. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0176.

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Abstract:
À l’instar de bien de pays, la phytothérapie est d’usage fréquent chez les diabétiques au Maroc. Afin d’évaluer la prévalence des effets indésirables (EI) liés à l’utilisation des plantes médicinales (PM), une enquête a été menée auprès de 384 patients diabétiques (PDs) du service d’endocrinologie de l’hôpital Ibn-Sina de Rabat. Elle s’est déroulée du 8 janvier au 8 avril 2018 à raison de trois jours par semaine. Un questionnaire de 24 questions a été utilisé. 80,46 % des PDs interrogés sont des femmes. L’âge moyen était de 54,42 ans. Les analphabètes ont été les plus concernés par l’utilisation des PM et par la survenue des EI. Une nette dominance du diabète de type 2 a été notée (83,86 %). Deux cent dix-sept (56,50 %) des PDs utilisaient les PM, et 35 (16,13 %) ont présenté des EI. Ces derniers sont représentés par des troubles digestifs, des hyper- et hypoglycémies prononcées, une atteinte hépatique et un coma vigil. Les PM dont l’usage coïncide avec l’apparition des EI sont le fenugrec (54,28 %), l’olivier (14,28 %) et la sauge (8,56 %). L’évaluation du lien de causalité de ces EI a été probable dans 29,73 % des cas et possible dans 37,84 %. Certains de ces EI résultent d’interactions plante–médicament. Cette étude a permis de montrer que l’usage des PM est fréquent et qu’il peut conduire à des EI graves et à des interactions PM–médicaments.
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Marienne, J., S. M. Laville, E. Speyer, C. Jacquelinet, C. Ayav, M. Laville, C. Combe, Z. A. Massy, B. Stengel, and S. Liabeuf. "Identification et déclaration des effets indésirables des médicaments chez les patients avec une maladie rénale chronique." Néphrologie & Thérapeutique 17, no. 5 (September 2021): 276. http://dx.doi.org/10.1016/j.nephro.2021.07.287.

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Deladoey, Johnny. "Effets indésirables des médicaments sur la croissance chez les enfants et les ­adolescents : cas de l’isotrétinoïne." Revue Médicale Suisse 20, no. 887 (2024): 1670–71. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2024.20.887.1670.

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Glaziou, Mathilde, Yasmine El Kohen, Stéphan Magoarou, Hervé Watier, and Christophe Carnoy. "Les biomédicaments immunologiques : état des lieux de leur diversité." Revue de biologie médicale N° 380, no. 5 (May 1, 2024): 33–48. http://dx.doi.org/10.3917/rbm.380.0033.

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Abstract:
Les anticorps monoclonaux thérapeutiques représentent l’un des segments du marché pharmaceutique dont la croissance est la plus rapide. Le succès de ces biomédicaments immunologiques réside dans leur capacité à se lier sur des cibles avec une grande sélectivité, dans leurs demi-vies longues, et leurs effets indésirables limités. Dans cette revue, nous proposons un panorama des biomédicaments immunologiques autorisés dans la Communauté européenne. À ce jour, 116 anticorps monoclonaux ou dérivés sont autorisés (hors biosimilaires), pour 64 cibles dans 79 indications thérapeutiques. Ces chiffres illustrent toute la diversité que représentent ces biomédicaments principalement indiqués dans les maladies inflammatoires et dans les traitements anticancéreux. Au-delà de la multitude des cibles antigéniques, les conjugués anticorps-médicaments et les anticorps bispécifiques multiplient encore l’éventail des possibilités pharmacodynamiques. Malgré quelques échecs, les perspectives de développement de ces biomédicaments restent considérables, avec plus de 145 molécules en phase III de développement clinique.
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Falissard, B., H. Verdoux, C. Galéra, Y. Moride, and M. Tournier. "Médicaments psychotropes chez l’enfant et l’adolescent." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S9. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.035.

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Abstract:
L’usage des médicaments psychotropes chez les enfants et les adolescents est à la fois croissant et controversé. La controverse naît de la méconnaissance du ratio bénéfices–risques dans cette population, plus vulnérable aux effets indésirables tels que les troubles métaboliques induits par les antipsychotiques, moins sensible à l’efficacité pharmacologique de certains médicaments comme les antidépresseurs, et d’un usage hors indication extensif mais parfois incontournable. Cette session propose d’étudier l’utilisation et l’impact des psychotropes chez les enfants et les adolescents, sujet peu souvent abordé, à travers trois études de cohorte. La première a été menée en France sur une base de données de l’assurance maladie entre 2006 et 2013 chez les sujets âgés de moins de 25 ans (n = 252 656). La prévalence de l’utilisation des antipsychotiques reste stable dans cet échantillon, mais la prescription des antipsychotiques de seconde génération augmente dans le temps. Lors d’une analyse écologique, les disparités territoriales d’offre de soins ont un impact sur la fréquence de prescription des antipsychotiques. La deuxième étude s’intéresse également à l’influence de l’environnement social et de la comorbidité psychiatrique sur la prescription médicamenteuse du trouble déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H), dans la cohorte de naissance québécoise ELDEQ (n = 1920). La probabilité que les enfants de 3,5 à 10 ans reçoivent un traitement pour le TDA/H est liée à des variables sociales et non à des variables cliniques autres que le TDA/H ou aux pratiques parentales. Une dernière étude a été conduite pour comparer le risque de conduites suicidaires chez les enfants (10–14 ans) et les adolescents (15–19 ans) traités par antidépresseurs en fonction de la classe thérapeutique, sur les bases de données de l’Assurance maladie du Québec (n = 28 200) et de la Colombie Britannique (n = 51 868). Ce risque est réduit avec les tricycliques, ce qui peut être lié à un biais de confusion par indication.
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Lebrun-Vignes, Bénédicte. "L’organisation de la pharmacovigilance en France, en Europe et dans le monde." médecine/sciences 35 (March 2019): 37–39. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019024.

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Abstract:
Recevoir un nouveau médicament pour soigner une maladie rare signifie aussi en connaitre potentiellement les effets secondaires, qu’ils soient déjà connus ou pas encore. Leur signalement intéresse au plus haut point les équipes de pharmacovigilance, dont le rôle consiste à surveiller de près la pharmacopée et à prévenir le risque d’événements indésirables qui résultent de son utilisation. Gros plan sur une discipline à l’image souvent malmenée.
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de Germay, Sibylle, Liliane Mouche, Justine Perino, and Charles Cazanave. "Doxycycline en prévention des infections sexuellement transmissibles, pratiques d’utilisation : revue narrative de la littérature." Santé Publique Prépublications (January 1, 2030): I48—XI. https://doi.org/10.3917/spub.pr2.0048.

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Abstract:
Introduction : L’utilisation de la doxycycline pour prévenir certaines infections sexuellement transmissibles (IST), en dehors d’un environnement de recherche contrôlé, est un fait avéré depuis plusieurs années. But de l’étude : L’objectif de cette étude était de décrire l’utilisation de la doxycycline en prévention des IST hors cadre de la recherche, à travers une revue narrative de la littérature, incluant l’analyse d’un réseau social. Résultats : Au total, 11 références éligibles ont été identifiées, dont 9 lettres et 2 articles originaux. Un article de presse et six discussions Reddit ® ont également été sélectionnés. La plupart des utilisateurs de doxycycline identifiés dans cette étude étaient des hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes, avec de nombreux partenaires et sans utiliser de préservatifs. La doxycycline était principalement prescrite par un médecin, mais certains utilisateurs se procuraient le médicament sous sa forme vétérinaire sur Internet. La PrEP-VIH a été identifiée comme un facteur facilitant la décision de prendre de la doxycycline. Si la plupart des utilisateurs ont exprimé leur confiance dans son efficacité, certains ont émis des réserves quant à son incapacité à fournir une protection complète contre toutes les IST et quant à l’apparition d’effets secondaires. Conclusions : L’intérêt croissant pour l’automédication avec la doxycycline dans le cadre de la prévention des IST nécessite une surveillance accrue, portant à la fois sur les risques de transmission des maladies et sur les effets indésirables potentiels des médicaments.
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Penfornis, S., L. Just, M. Monville, A. Cantero, and F. Berthet. "Éducation thérapeutique : mise en place et évaluation d’un atelier du médicament dans un pôle clinique d’hospitalisation de psychiatrie adulte." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S155. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.313.

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Abstract:
Dans le cadre des programmes d’éducation thérapeutique du patient et suite à la demande d’un pôle clinique, la pharmacie des hôpitaux de Saint-Maurice a mis en place début 2015 un atelier du médicament dans 2 unités de l’établissement à l’attention des patients sortants. Ce poster présente le contenu de l’atelier ainsi qu’une évaluation des séances à 5 mois. L’atelier est proposé individuellement par le psychiatre de l’unité au patient sortant. La séance est ensuite animée par un pharmacien ainsi qu’un infirmier de l’unité à raison d’une heure tous les 15 jours. Il consiste en une séance interactive collective de 5 patients environ (individuelle à défaut de patients). Au moyen d’outils variés (tableau, film, boîtes vides, plans de soins, quizz, post-it, plaquettes informatives), les thématiques suivantes sont abordées : brainstorming autour du mot « médicament », notions de médicaments « pivots », « d’appoint » ou « correcteurs », reconnaissance des effets indésirables éventuels, rappels d’interactions médicamenteuses majeures, hygiène de vie, etc. À l’issue de la séance, un questionnaire anonyme est complété par le patient pour évaluer la séance. À 5 mois, 100 % des patients (n = 17) sont satisfaits par le contenu et la présentation des thèmes abordés ; la durée de la séance leur paraît correcte à 88 % ; 47 % des patients avaient des attentes avant l’atelier et celui-ci a permis d’y répondre pour 94 % d’entre eux. Quatre-vingt-quatorze pour cent des patients considèrent les informations reçues comme utiles dans la connaissance de leur maladie. Enfin, 35 % souhaiteraient pouvoir assister à une séance supplémentaire après leur sortie. Cinq mois après la mise en place de l’atelier dans ces 2 unités, le bilan s’avère positif tant par la satisfaction des patients que celle des soignants (meilleure alliance thérapeutique). Un projet de déploiement de cet atelier aux patients dans les structures extrahospitalières est en cours.
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Bekhtaoui, Chahrazed, Hichem Bouguedra, Abderrahmane Boulerial, Hassen Chadou, Fatma Boudia, and Houari Toumi. "Hydroxychloroquine and chronic renal failure: case report and literature review." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 7, S (August 26, 2020): S30—S33. http://dx.doi.org/10.48087/bjmstf.2020.s717.

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Abstract:
En Algérie, le protocole thérapeutique à base d’hydroxychloroquine essentiellement fut adopté depuis le 23 mars 2020, auquel ont été soumis les patients atteints de Covid-19. Ce protocole a prouvé son efficacité "quasi totale" selon le taux de guérison de 98.2% sur un total 16000 cas traités [1]. L’hydroxychloroquine (HCQ) est préférée pour sa meilleure tolérance attendue, sur la base des publications de travaux préliminaires de plusieurs équipes que nous avons analysées précédemment avec un recul de trois mois supplémentaires. Sur le plan pharmaceutique, on s’intéresse à la pharmacologie de cette molécule et souligne l’intérêt d’études pharmacocinétiques pour définir le schéma posologique optimal pour les patients avec un statut particulier (Insuffisance Rénale - Insuffisance Hépatique - grossesse) COVID-19. Sur la base de ces travaux, on peut proposer des ajustements posologiques et optimiser la chronologie d’administration avec une surveillance thérapeutique des médicaments qui doit être pratiquée pour personnaliser le schéma posologique individuel. Donc le rôle du pharmacien hospitalier est essentiel dans le contexte de la pandémie pour optimiser et modifier les pratiques en élaborant de nouveaux protocoles d’ordonnance tout en s’assurant d’une bonne gestion des effets indésirables.
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Bonnot, O. "Mieux prescrire les psychotropes chez l’enfant et l’adolescent." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S3. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.020.

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Abstract:
Les cliniciens français restent majoritairement prudents et attentifs aux recommandations concernant la prescription de médicaments psychotropes chez l’enfant et l’adolescent, mais celle-ci augmente depuis quelques années. Antipsychotiques, antidépresseurs, mais aussi psychostimulants, mélatonine, ocytocine… la palette s’élargit, les indications se diversifient et les effets indésirables sont de mieux en mieux étudiés. Afin d’apporter aux praticiens des informations concrètes et démontrées, pour les aider dans leur appréciation du rapport « bénéfices–risques » d’une prescription médicamenteuse, la Société française de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent (SFPEADA) propose, au cours de cette rencontre avec l’expert, le Professeur Olivier Bonnot (Nantes) :– dans un premier temps une mise au point sur les données actualisées et démontrées pouvant être utiles aux médecins amenés à prescrire chez des jeunes de moins de 18 ans : indications, AMM, éléments pouvant guider vers le choix de telle ou telle molécule au sein d’une même famille thérapeutique, examens à pratiquer avant mise sous traitement et modalités de surveillance en pratique clinique, mesures d’accompagnement de la prescription, articulation avec les autres formes d’interventions thérapeutiques… ;– dans un second temps une discussion avec les participants sous la forme « questions–réponses » et de « partage d’expériences ».
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Lièvre, A. "Kim S, François E, André T, et al. (2018) Lancet Oncol 19:1094–106 Schéma de chimiothérapie associant docétaxel, cisplatine et fluoro-uracile pour le traitement d’un carcinome épidermoïde anal localement récurrent métastatique ou non résécable (Épitopes HPV02) : une étude multicentrique de phase 2 à bras unique." Côlon & Rectum 13, no. 2 (May 2019): 108–11. http://dx.doi.org/10.3166/cer-2019-0075.

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Abstract:
Contexte: L’incidence du carcinome épidermoïde anal a nettement augmenté au cours des dernières décennies. Il n’existe actuellement aucun traitement validé pour le carcinome épidermoïde anal de stade avancé. Par conséquent, nous avons cherché à valider l’activité clinique et l’innocuité de la chimiothérapie à base de docétaxel, de cisplatine et de 5-FU (DCF) chez des patients atteints d’un carcinome épidermoïde anal récurrent, métastatique ou non résécable.Méthodes: Nous avons mené une étude de phase 2 multicentrique monobras, ayant inclus des patients de 25 CHU, centres de lutte contre le cancer et CHG en France, âgés de 18 ans ou plus atteints d’un carcinome épidermoïde anal métastatique ou récidivant non résécable confirmé histologiquement ; avec un indice de performance de 0 ou 1 ECOG et avec au moins une lésion évaluable selon les critères RECIST (version 1.1). Les patients, naïfs de chimiothérapie, ont reçu soit six cycles de DCF standard (75 mg/m2de docétaxel et 75 mg/m2de cisplatine à j1 et 750 mg/m2par jour de 5-FU pendant cinq jours, toutes les trois semaines), soit huit cycles de DCFmodifié (docétaxel à 40 mg/m2et cisplatine à 40 mg/m2à j1 et 1 200 mg/m2par jour de fluoro-uracile pendant deux jours, toutes les deux semaines), administrés par voie intraveineuse. Le choix entre les schémas standard et modifiés a été recommandé en fonction, mais sans s’y limiter, de l’âge (≤ 75 vs > 75 ans) et de l’indice de performance ECOG (0 vs 1). Le critère d’évaluation principal était la survie sans progression évaluée par l’investigateur 12 mois après le premier cycle de DCF. Pour que le critère d’évaluation principal soit atteint, au moins 11 (17 %) des 66 patients inclus devaient être en vie sans progression tumorale à 12 mois. Des analyses d’efficacité et de tolérance ont été réalisées dans une population en intention de traiter modifiée, définie comme l’ensemble des patients évaluables pour la progression à 12 mois et qui avaient reçu au moins un cycle de DCF. Cet essai est enregistré à ClinicalTrials.gov, numéro NCT02402842, et les résultats finaux sont présentés ici.Résultats: Entre le 17 septembre 2014 et le 7 décembre 2016, nous avons inclus 69 patients. Parmi ces patients, trois n’ont pas reçu de DCF. Sur les 66 patients qui ont reçu un traitement, 36 ont reçu le schéma DCF standard, et 30 ont reçu un DCF modifié. Le critère d’évaluation principal a été atteint : 31 (47 %) des 66 patients étaient en vie et sans progression à 12 mois. Vingt-deux (61 %) des 36 patients ayant reçu le schéma DCF standard et 18 (60 %) des 30 patients ayant reçu le DCF modifié ont présenté une progression de la maladie à la date de point. Quarante-six (70 %) des 66 patients ont eu au moins un événement indésirable de grade 3 ou 4 (30 [83 %] sur 36 traités par DCF standard et 16 [53 %] sur 30 traités par DCF modifié). Les effets indésirables de grade 3 ou 4 les plus fréquents étaient la neutropénie (15 [23 %], 8 [22 %] pour le DCF standard vs 7 [23 %] pour le DCF modifié), la diarrhée (12 [18 %], 9 [25 %] vs 3 [10 %]), l’asthénie (10 [15 %], 8 [22 %] vs 2 [7 %]), l’anémie (10 [15 %], 6 [17 %] vs 4 [13 %]), la lymphopénie (8 [12 %], 3 [8 %] vs 5 [17 %]), la mucite (7 [11 %], 7 [19 %] vs 0) et les vomissements (7 [11 %], 5 [14 %] vs 2 [7 %]). Aucun effet indésirable non hématologique de grade 4 ni neutropénie fébrile n’a été observé avec le DCF modifié, alors que trois (8 %) effets indésirables non hématologiques de grade 4 et cinq (14 %) neutropénies fébriles ont été rapportés avec du DCF standard. Quatre-vingt-dix-sept événements indésirables graves ont été rapportés (69 chez les patients recevant le DCF standard [61 liés au médicament] et 28 chez ceux ayant reçu le DCF modifié [14 liés au médicament]). Aucun décès lié au traitement n’a été enregistré.Conclusion: Comparé au DCF standard, le DCF modifié a permis, en première ligne, une réponse durable avec une bonne tolérance chez les patients ayant un carcinome épidermoïde anal métastatique ou récidivant non résécable, avec indice de performance ECOG de 0–1, et pourrait donc être considéré comme un nouveau traitement standard de soins chez ces patients. En raison du risque élevé d’événements indésirables graves, de toxicité sévère et de neutropénie fébrile, le DCF standard ne peut pas être recommandé dans cette situation.
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