Journal articles on the topic 'Économie numérique – Politique publique'

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Bertinotti, Dominique. "Carrières féminines et carrières masculines dans l'administration des Postes et Télégraphes à la fin du XIXe siècle." Annales. Histoire, Sciences Sociales 40, no. 3 (June 1985): 625–40. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1985.283188.

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Abstract:
Les années 1880-1900 ont marqué un tournant dans l'histoire de la fonction publique. Les effectifs sont en forte progression, les épurations moins nombreuses n'affectent plus que les postes dirigeants, des femmes sont désormais embauchées dans les bureaux, les syndicats se développent et la vie administrative se modernise grâce à l'utilisation de la machine à écrire ou du téléphone. L'armée des moyens et petits fonctionnaires devient alors une réalité. Les P. et T. ont largement contribué à ce gonflement numérique. Sur les 510 000 fonctionnaires recensés en 1901, 17% sont employés par cette administration. Th. Zeldin cite le chiffre de 50 000 agents des postes recrutés dans la période 1850-1900.La croissance des effectifs postaux et télégraphiques recouvre plusieurs réalités. Elle est le reflet de l'importance grandissante que l'on accorde alors à la communication. Si en effet l'administration des Postes et Télégraphes a un rôle économique et financier important, elle a également un rôle politique et culturel. Politique, car l'État cherche à maîtriser l'information en exerçant un contrôle sur la nature des publications distribuées. Culturel, car le développement du trafic postal est la marque des progrès de l'instruction et de la diffusion de l'écrit sur l'ensemble du territoire. Elle traduit aussi les évolutions sociales qui marquent cette fin de siècle.
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Scaillerez, Arnaud, and Diane-Gabrielle Tremblay. "Numérique, télétravail, développement des territoires ruraux. Analyse et résultats des politiques publiques québécoises." Économie et Solidarités 44, no. 1-2 (October 20, 2017): 103–21. http://dx.doi.org/10.7202/1041607ar.

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Abstract:
La situation économique mondiale crée des inégalités territoriales et sociales. En parallèle, le numérique ne cesse de prendre de l’ampleur et peut contribuer à créer de l’emploi, à réduire les écarts sociaux et même territoriaux. Au Québec, de nombreux dispositifs destinés à développer le numérique dans tout le territoire ont été mis en place. Le but est de stimuler l’activité économique et de réduire le chômage. Certains secteurs territoriaux, majoritairement urbains, voire périurbains, tirent leur épingle du jeu. En revanche, les secteurs ruraux les plus éloignés ou les plus proches de grands pôles économiques qui aspirent toute l’activité se retrouvent exclus de cette dynamique. C’est afin de réduire ces écarts territoriaux que le gouvernement québécois a développé différents dispositifs favorisant le déploiement du numérique, y compris dans les zones rurales dévitalisées. Grâce à ce développement technologique, les façons de travailler se diversifient en réponse à la fois au contexte économique (qui incite à une plus grande productivité) et aux attentes des employés désireux de voir s’améliorer la conciliation entre leur travail et leur vie privée. Le travail à distance prend de plus en plus d’importance au Québec et il obtient déjà des résultats significatifs dans certaines régions rurales caractérisées par une perte démographique et une baisse d’attractivité économique. La recherche porte sur neuf municipalités régionales de comté (MRC) québécoises (Les Appalaches, Argenteuil, Arthabaska, Brome-Missisquoi, Charlevoix, Papineau, Les Sources, Témiscamingue et Vaudreuil-Soulanges). Nous avons interrogé des professionnels chargés de l’introduction du numérique ainsi que des professionnels des ressources humaines responsables de l’intégration du télétravail et des nouvelles technologies au sein de ces territoires. L’objet de notre étude est de présenter le dispositif mis en place par le Québec en matière de numérique et de télétravail afin d’en exposer les résultats obtenus au sein de la ruralité.
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Bazimana, Aimé-Jules. "Les médias dans la région : quels enjeux pour l’information locale?" Revue Organisations & territoires 29, no. 1 (May 12, 2020): 65–81. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v29n1.1127.

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Abstract:
Avec l’actuelle crise des médias causée par la révolution numérique, les territoires locaux ont ressentifortement les incidences des bouleversements des modèles d’affaires sur l’existence des salles de rédactionet sur la vitalité de l’information locale. Les effets combinés de la crise économique et de la crise de lapublicité dans les modèles d’affaires ont été dévastateurs dans certaines régions. Cet article présente quatreaxes de réflexion sur l’évolution des médias régionaux et locaux au Québec. Les enjeux économiques, politiques, de développement local et de déséquilibres entre les centres urbains et les collectivités régionales etrurales en lien avec les médias locaux se posent dans le contexte de l’essor du numérique et de l’interventionétatique par le biais des politiques publiques.
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Fourneyron, Emmanuelle, Jérôme Wittwer, and Louis Rachid Salmi. "Réalités et défis pour l’organisation du système de santé de premier recours." médecine/sciences 34, no. 6-7 (June 2018): 581–86. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183406000.

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Abstract:
Le numérique en santé est en plein essor, porté par un foisonnement d’acteurs et soutenu par les politiques publiques. Il induit de nouveaux usages pour les patients comme pour les professionnels. Son développement se heurte à une organisation particulièrement complexe du système de santé, notamment dans la médecine de premiers recours. Il pose quatre défis. Un défi organisationnel d’abord, nécessitant de penser sa diffusion en lien avec les réalités organisationnelles dans lesquelles il s’inscrit. Un défi socio-territorial ensuite, face aux poids des inégalités de santé. Le troisième défi est médico-économique, interrogeant son modèle économique global et sa pérennité. Le quatrième défi, enfin, repose sur les nouveaux enjeux technico-juridiques qu’il pose.
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Barreyre, Jean-Yves. "Pour une nouvelle économie politique de santé publique." Vie sociale 4, no. 4 (2011): 135. http://dx.doi.org/10.3917/vsoc.114.0135.

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Djellal, Faridah, and Faïz GALLOUJ. "Innovation dans les services, performance et politique publique." Économie appliquée 64, no. 2 (2011): 53–83. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2011.3567.

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Abstract:
Ce travail est consacré à l’analyse de la relation innovation-performance dans les économies développées contemporaines. Il met en évidence un double «gap » relatif à l’innovation et à la performance. L’« innovation gap » traduit la différence entre la réalité de l’innovation produite dans une économie et ce que les indicateurs traditionnels de l’innovation (R-D, brevets ) perçoivent. Le « performance gap » quant à lui mesure la différence entre la réalité de la performance dans une économie et la performance évaluée par les outils économiques traditionnels (essentiellement la productivité et la croissance). Il correspond à la performance cachée, invisible à ces outils. Ces deux « gaps » brouillent la relation innovation-performance. Ils sont à l’origine d’un certain nombre de paradoxes dont ce travail entend rendre compte, et ils conduisent à s’interroger sur le bien-fondé de certaines politiques publiques de soutien à l’innovation.
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Alcaide Muñoz, Cristina, Laura Alcaide Muñoz, and Manuel Pedro Rodríguez Bolívar. "L’alignement stratégique des initiatives de gouvernance ouverte en Andalousie." Revue Internationale des Sciences Administratives Vol. 89, no. 3 (September 15, 2023): 283–307. http://dx.doi.org/10.3917/risa.893.0283.

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Abstract:
L’émergence des technologies de l’information et de la communication (TIC) a mis l’accent sur l’approche de la gouvernance ouverte (GO), provoquant un changement culturel à la fois chez les citoyens (qui exigent de nouveaux modes de collaboration avec l’administration publique et une plus grande transparence du gouvernement) et dans les administrations publiques (qui adaptent leurs structures et leurs processus pour favoriser la participation civique). Cet article analyse à la fois les stratégies suivies par les gouvernements locaux dans la mise en œuvre des initiatives de GO et le niveau d’alignement des objectifs inclus dans les stratégies municipales de GO avec ceux fixés par le gouvernement régional auquel les municipalités appartiennent. Une recherche empirique a été menée sur les objectifs de la GO inclus dans la planification stratégique des municipalités andalouses de grande taille. Les résultats révèlent que la plupart des collectivités locales mettent en œuvre une stratégie d’incitation basée uniquement sur une plus grande transparence de l’administration (principalement en raison d’exigences normatives). En outre, les objectifs inclus dans les dimensions économique et de gouvernance sont ceux inclus dans les initiatives de GO des municipalités, bien que chacune ait sa propre manière d’adopter les stratégies numériques et de GO en fonction de ses priorités et de sa situation. Remarques à l’intention des praticiens Cette étude apporte un éclairage nouveau aux gestionnaires publics et aux responsables politiques sur l’adoption d’initiatives de GO. Elle souligne à la fois les limites des initiatives actuelles de GO développées par l’administration publique et l’importance de l’implication des citoyens dans ces initiatives afin d’acquérir la confiance dans le gouvernement. La situation économique actuelle favorise et accroît la méfiance des citoyens, qui éprouvent une grande déception à l’égard des gouvernements et des dirigeants politiques. Ce sentiment pourrait être réduit par la création d’espaces de collaboration municipale, où les gestionnaires publics et les politiciens pourraient faire entendre directement la voix des citoyens, et par l’alignement stratégique dans les stratégies de GO afin d’atteindre efficacement des résultats économiques et sociaux pour les citoyens. En outre, les expériences de mise en œuvre de GO devraient être partagées, afin que les gouvernements locaux les plus réticents puissent être sensibilisés à leur potentiel.
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Haouala, Aida, and Anissa Ben Hassine. "E-participation citoyenne et valeur publique dans les municipalités tunisiennes. Étude exploratoire 2011-2021." Management & Sciences Sociales N° 35, no. 2 (December 13, 2023): 121–40. http://dx.doi.org/10.3917/mss.035.0121.

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Abstract:
Depuis les travaux de Moore dans les années 1990, la génération de la valeur publique à partir des initiatives d’institutions gouvernementales (spécifiquement celles basées sur la technologie digitale) est devenue une préoccupation académique et pratique. Cet article aborde cette question en explorant particulièrement les retombées d’initiatives de e-participation citoyenne sur la valeur publique dans les municipalités tunisiennes. D’abord et à partir d’un examen des débats, ambiguïtés et controverses autour du thème à l’étude, nous mobilisons un cadre théorique, en l’occurrence celui d’Harrison, pour repérer les types de valeur publique créés dans des institutions gouvernementales et les mécanismes de leur génération. Puis, nous justifions le choix d’une approche exploratoire qualitative d’étude de cas multiples dans le contexte des municipalités tunisiennes. Enfin, la sélection de répondants aux angles de vue divers (chargés de la e-participation citoyenne dans les municipalités et représentants d’associations œuvrant dans le domaine de la gouvernance locale) nous permet de valider les résultats suivants : (1) la e-participation citoyenne amplifie et crée quatre mécanismes générateurs de la valeur publique (efficacité, efficience, amélioration intrinsèque et interactivité/réactivité) ; (2) avec la technologie digitale exploitée actuellement, la e-participation citoyenne génère essentiellement une valeur publique de type économique et (3) pour pouvoir générer d’autres types de valeur publique (politique, sociale, …), il est nécessaire de développer des plateformes numériques gouvernementales qui autorisent la co-création et non simplement l’interaction, d’une part, et d’avoir la prédisposition et l’engagement du personnel de première ligne, d’autre part.
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Assenmacher, Katrin, and Frank Smets. "A Digital Euro: Monetary Policy Considerations." Revue française d'économie Vol XXXVIII, no. 4 (May 2, 2024): 149–85. http://dx.doi.org/10.3917/rfe.238.0149.

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Abstract:
Cet article examine les conséquences possibles de l’émission d’une monnaie numérique de banque centrale sur la mise en œuvre, la transmission et l’orientation de la politique monétaire. La Banque centrale européenne (BCE) prépare l’introduction éventuelle d’un euro numérique, qui promouvrait les objectifs de politique publique, offrirait une solution de paiement de détail numérique accessible à tous et garantirait que le système monétaire suive le rythme des avancées numériques. Nous soutenons que dans des scénarios de mise en œuvre réalistes, avec des caractéristiques de conception appropriées, la demande d’un euro numérique n’aurait pas d’impact significatif sur l’orientation de la politique monétaire et sur sa transmission fluide. En outre, le risque qu’une MNBC de type cash nuise à la rentabilité du secteur bancaire semble limité. Globalement, nous concluons qu’avec des dispositions appropriées en place, la banque centrale serait en mesure de mener sa politique monétaire avec une MNBC, de la même manière qu’elle le fait actuellement.
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Faivre, Céline. "Bretagne : une politique d’achat pilotée par la donnée." Gestion & Finances Publiques, no. 3 (May 2019): 101–9. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2019.3.013.

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Abstract:
La région Bretagne, décidée à faire de la digitalisation de la fonction achat un axe de performance et d’efficience, agit pour organiser la commande publique comme une plateforme, autour de trois briques de service : un espace numérique « sourcing » pour faciliter le rapprochement de l’offre et de la demande, une place de marchés publics en ligne et un observatoire régional de la commande publique. Ainsi, la politique d’achat de la région Bretagne pourra être facilement mesurée, grâce à des données nativement numériques.
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Boadway, Robin. "Le rôle de la théorie de l’optimum du second rang en économie publique." L'Actualité économique 75, no. 1-2-3 (February 9, 2009): 29–65. http://dx.doi.org/10.7202/602284ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cette étude analyse l’évolution de la théorie de l’optimum du second rang en économie publique. Elle soutient qu’une partie importante de l’économie publique normative moderne peut être interprétée comme une analyse du second rang. La théorie originale du second rang, telle que l’ont exposée Lipsey et Lancaster (1956), supposait l’analyse de politiques dans une économie où il n’y a qu’un seul consommateur et une distorsion fixe. De plus, elle cherchait particulièrement à savoir si la tarification au coût marginal, ou la politique à la pièce, peut être maintenue. Cette analyse a ensuite été étendue aux économies constituées de plusieurs ménages, aux cas où l’on observe de multiples distorsions, aux environnements dynamiques, pour finalement constituer la base de la révolution dans le domaine de la taxation optimale en économie publique. Toutefois, il est particulièrement important de souligner que, dans le sillage de l’analyse de l’impôt optimal et de la théorie de la dualité, la distorsion du second rang a été efficacement rendue endogène, et le problème général de la politique gouvernementale a été posé comme un problème de principal-agent. La méthode la plus courante consiste à supposer qu’il est impossible d’observer le comportement des ménages ainsi que certaines de leurs caractéristiques importantes. Suite à ces développements, la plupart des problèmes de politique publique peuvent être perçus comme une application particulière de l’analyse du second rang. Par exemple, le choix entre l’efficacité et l’équité (le problème de « l’impôt sur le revenu optimal ») d’une part et la limite en matière de redistribution d’autre part, peuvent être considérés comme des problèmes du second rang. Considérer les problèmes de politique comme des problèmes du second rang présente des caractéristiques intéressantes. Tout d’abord, de simples recommandations de politiques ne sont plus possibles. De plus, des politiques en apparence variées, comme les restrictions sur les quantités, les transferts en nature et le financement public de l’assurance sociale deviennent, dans certaines circonstances, des instruments de politiques efficaces. Les ouvrages prétendent aussi que les politiques du second rang sont habituellement incohérentes à travers le temps. Ainsi, l’optimum du second rang standard ne peut être atteint. Des politiques optimales avec cohérence intertemporelle peuvent également inclure des instruments de politique inhabituels qui, autrement, auraient été éliminés dans un cadre du second rang.
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Quéinnec, Erwan, and François Facchini. "La nature a-t-elle besoin de l’administration ? Pour une réévaluation de la propriété privée et du contrat dans la gestion publique de l’environnement." Gestion et management public Volume 12 / N° 1, no. 1 (March 27, 2024): 51–74. http://dx.doi.org/10.3917/gmp.121.0051.

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Abstract:
La propriété privée et la liberté d’entreprendre sont-elles néfastes à l’environnement ? Sans doute, si l’on en croit une récente proposition de loi recommandant de constitutionnaliser la protection des communs environnementaux, à leur détriment. Cet article met, conceptuellement et empiriquement, cette croyance normative à l’épreuve, en élargissant le propos à la relation entre environnement d’une part, propriété privée et liberté contractuelle d’autre part. Sur le plan conceptuel, l’environnement est un bien non exclusif et rival dont la préservation appelle effectivement régulation. Celle-ci peut être publique, selon ce qu’en conçoivent deux écoles de pensée économique – économie écologique, économie de l’environnement – plaidant respectivement pour la politique discrétionnaire et le principe pollueur-payeur (théories interventionnistes) ; elle peut aussi être privée, comme l’analysent deux autres écoles – économie des communs, écologie de marché – plaidant pour la gouvernance coopérative et le droit de propriété (théories libérales). Chacune de ces régulations ayant ses mérites et limites, ce qu’en dit la théorie économique est utile à la conception de la politique environnementale. En France, celle-ci est d’orientation interventionniste, conformément aux recommandations de l’économie écologique ; or, ses limites empiriques, notamment attestées par la Cour des comptes, correspondent aux prédictions des théories libérales. À rebours d’une croyance répandue, l’examen invite donc la politique publique à mieux intégrer la régulation privée en son sein, plutôt qu’à déduire l’ imperium de la première d’un échec présumé de la seconde à préserver l’environnement.
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Bourhis, Marion. "L’Économie turquoise, entre territoire de projet politique et représentations territoriales différenciées : le devoir d’articulation." Nouvelles perspectives en sciences sociales 10, no. 1 (February 4, 2015): 163–91. http://dx.doi.org/10.7202/1028439ar.

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Abstract:
Bien souvent convoqué comme support de mobilisation de l’action collective, le territoire n’en est pas moins polysémique dans sa définition. Le Conseil Général des Côtes-d’Armor en tant que collectivité territoriale et puissance publique s’appuie sur le territoire administratif relevant de sa prérogative pour mettre en oeuvre sa démarche Économie turquoise. Cette dernière a pour objectif de réaffirmer et de renforcer l’ambition maritime des Côtes-d’Armor tout en promouvant une diversification économique se basant sur une gestion intégrée de l’espace et des ressources maritimes et littorales. Or, bien que le Conseil général soit perçu comme légitime, en tant que puissance publique, pour intervenir; le choix du territoire d’intervention a bien souvent été posé par les acteurs, qu’ils participent ou non à la démarche. En nous basant sur nos travaux de recherche, nous analyserons les raisons de ce décalage et démontrerons comment ce dernier peut être dépassé grâce à une action publique pensée dans une perspective interterritoriale.
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Facchini, François. "Pour une politique d’assainissement de la dette publique par la baisse de la dépense publique." Revue française d'économie Vol. XXXVIII, no. 2 (October 31, 2023): 115–61. http://dx.doi.org/10.3917/rfe.232.0115.

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Abstract:
Cet article se place dans une tradition des sciences économiques finalement peu présente en France dans les débats autour de la dette, à savoir la nouvelle économie politique. Il soutient que le gouvernement devrait dégager des excédents budgétaires grâce à une baisse des dépenses publiques pour stimuler la croissance économique et donner ainsi aux acteurs des marges de manœuvre pour s’adapter aux conséquences du dérèglement climatique. Il rappelle, en introduction, l’actualité des débats et explique pourquoi la question posée par la dette publique porte plus sur les bienfaits des dépenses publiques que sur les déficits. Une dette publique n’est pas productive en elle-même. Elle est productive si elle finance des dépenses productives. L’existence d’une courbe de BARS pour la France à hauteur probablement d’un ratio dépenses publiques sur PIB de 30 % et l’échec relatif des conférences internationales pour le climat, conduisent à soutenir une politique d’austérité expansive, antikeynésienne et de vérité des prix sur l’énergie et le marché foncier afin de gérer un problème complexe, le climat, par un système complexe, le prix. Ne pas réduire la dette publique serait, pour ces raisons, réduire la capacité de résilience de l’économie française face aux chocs à venir (climatiques, démographiques, sanitaires et/ou militaires). Privatiser les entreprises publiques et certains services publics et baisser les coûts de production des services publics seraient, au contraire, un moyen de l’accroître et de préserver l’intérêt des générations futures.
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Lamatsch, Harald. "Transformation numérique de l’administration : la recherche d’efficacité et d’agilité." Revue Défense Nationale N° Hors-série, HS13 (September 20, 2023): 77–90. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.hs13.0077.

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Abstract:
La numérisation de l’administration est un levier significatif d’économies en termes de personnel et de coûts de fonctionnement. Nous sommes au cœur d’une situation d’urgence et nous devons développer des idées pour agir. Les conditions-cadres et espaces d’action de la numérisation innovante et le contexte de l’administration publique mènent au constat que le véritable art consiste d’une part, à prendre en compte le besoin politique d’immédiateté et de visibilité, et d’autre part, à attribuer des leviers d’action au sein de l’administration. La première des solutions est de déployer des unités d’innovation qui assurent la capacité de mettre en œuvre ce que le monde privé numérique exploite déjà depuis des décennies.
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Torrec, Mélanie Le. "La mise en œuvre d’une politique de sobriété numérique dans une bibliothèque publique." Vers la sobriété numérique, no. 109 (April 1, 2023): 18–20. http://dx.doi.org/10.35562/arabesques.3429.

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Dupont, Sébastien. "La résidence alternée : bénéfices, limites et enjeux pour les familles séparées." Revue des politiques sociales et familiales 151, no. 2 (July 11, 2024): 69–78. http://dx.doi.org/10.3917/rpsf.151.0069.

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Abstract:
Les recherches internationales sur la résidence alternée relèvent de disciplines multiples (psychologie, sciences sociales, droit de la famille, économie, politiques sociales, etc.) et abordent cette pratique sous des angles complémentaires (le bien-être des enfants et des parents, la procédure judiciaire, le maintien des liens sur le long terme, le rapport aux normes sociales, la sécurité économique, le partage des prestations sociales, etc.). Cet article propose un panorama synthétique de ces études, nécessaire à une vision globale des atouts et des limites de ce mode de résidence et à l’identification des enjeux de politique publique qui l’entourent.
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Ranchin, Pascale. "La politique d’action culturelle dans le réseau de la Médiathèque Intercommunale Istres-Ouest Provence (MIOP)." Documentation et bibliothèques 68, no. 3 (September 13, 2022): 25–36. http://dx.doi.org/10.7202/1092263ar.

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Abstract:
Alors que les intercommunalités se développent en France, la question des réseaux de lecture publique investit désormais, dans le sillage de la politique documentaire, le champ de la politique d’action culturelle. Dans ce cadre, cette dernière engagera un programme méthodique et contractuel, tenant compte des diversités géographique, sociale et culturelle de ses territoires. Quelles que soient ces réalités de contexte, la mécanique mutualiste apportera un surcroît de sens et de services à la population. L’expérience de la MIOP (Médiathèque Intercommunale Istres Ouest Provence), en est le témoin privilégié dans son mode d’organisation transversal, dans ses processus méthodologiques et collaboratifs de travail et dans sa culture de transmission et de construction continue des compétences. Tandis que des signes manifestes de fractures culturelle, sociale, numérique, révèlent les limites des politiques de démocratisation culturelle, la nécessité d’accompagner tous les publics dans leur accès au savoir et à l’information s’impose. La conjugaison des politique documentaire et d’action culturelle en réseau en détermine la cohérence, l’efficacité et la pérennité.
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Couderchet, Laurent, and Suzanne Catteau. "Expertise et action publique : la géographie numérique au secours des politiques d’aménagement." L'Information géographique Vol. 87, no. 3 (August 25, 2023): 63–84. http://dx.doi.org/10.3917/lig.873.0063.

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Abstract:
Dans une tradition géographique que l’on peut faire remonter à la recherche appliquée de Michel Phlipponneau (1960, 1999), notre contribution pose le problème de la rigueur méthodologique en aménagement. L’enjeu environnemental se prête bien à ce type d’exercice tant la « science » tient de place dans la justification des mesures relatives à la conservation de la biodiversité ou à la lutte contre le réchauffement climatique. L’objectif Zéro Artificialisation Nette (ZAN) comme, avant cela, la définition/délimitation des zones humides à préserver, révèlent la complexité jusqu’à l’incohérence des injonctions règlementaires que ne peuvent masquer les expertises d’appui à la décision introduites dans le débat public. Au niveau le plus immédiat, expertise scientifique et action politique sont ici confrontées. 
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Autès, Michel. "Genèse d’une nouvelle question sociale : l’exclusion." Lien social et Politiques, no. 34 (October 2, 2002): 43–53. http://dx.doi.org/10.7202/005048ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'exclusion est omniprésente dans le discours social et politique. Malgré tous les efforts, elle reste néanmoins un objet indéterminé qui témoigne de la difficulté de donner un sens au réel et une prise à l'action. Les politiques publiques sont au cœur de ce processus pour inventer les nouveaux réglages de la cohésion sociale d'après la société salariale. L'action publique se révèle particulièrement incertaine devant le retour en force des options libérales et de la croyance en la toute-puissance des lois du marché. L'incapacité de repenser le rôle de l'État face à la nouvelle inscription territoriale du politique dans le local et à la nécessité de revivifier une démocratie citoyenne et deliberative constitue un obstacle supplémentaire à un retour du politique rendu nécessaire par la naturalisation d'une économie mondialisée et des rapports de force qui la fondent. Derrière les multiples visages et portraits des exclus travaille une déliaison qui défait le social, sans qu'on puisse voir encore les nouvelles formules et les nouveaux réglages qui se dessinent.
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Kroll, Jean-Christophe, and Aurélie Trouvé. "Faut-il encore réguler les marchés agricoles ? L’exemple des quotas laitiers." Économie appliquée 65, no. 4 (2012): 141–71. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2012.3622.

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Abstract:
La politique laitière européenne est marquée par la mise en place , depuis 1984, de quotas fixant des quantités maximales de production. Pour justifier leur suppression, qui s’inscrit dans une libéralisation accrue des marchés, la Commission européenne s’appuie sur les résultats de modèles standards en économie néo-classique. Pour montrer la limite de ces raisonnements, cet article croise les résultats d’autres approches économiques, intégrant les imperfections de marché et les enjeux sociaux et écologiques, ainsi que les résultats empiriques issus d’une comparaison internationale des politiques laitières. Il souligne les dangers de l ’éclatement de la solidarité européenne de même que l’incapacité des nouveaux outils proposés, essentiellement de nature privée, de se substituer aux dispositifs de régulation publique des marchés.
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Ben Arfi, Wissal. "L’innovation, l’entrepreneuriat et les entreprises dans une société fondée sur des plateformes." Innovations N° 73, no. 1 (January 16, 2024): 5–24. http://dx.doi.org/10.3917/inno.073.0005.

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Abstract:
Les plateformes digitales et la transformation numérique sont des thèmes fondamentaux pour les chercheurs dans de nombreuses disciplines, de l’économie à la gestion, en passant par l’ingénierie et les sciences humaines. Les innovations digitales, telles que l’Internet des objets, le big data , l’informatique en nuage, l’intelligence artificielle et les différentes plateformes basées sur la technologie numérique, ont un impact sur la création d’entreprises et transforment les méthodes qui dépassent les frontières de l’entrepreneuriat et de l’innovation pour influencer la culture, la politique et la société. Cependant, peu de recherches se sont penchées sur la relation profonde entre la transformation numérique, l’entrepreneuriat et l’innovation et leurs impacts sur le changement social à l’ère du digital. Ce cahier spécial d’ Innovations est consacré à la nécessité de combler cette lacune à travers la publication de travaux de recherche originaux qui enrichissent notre connaissance de la nature de la transformation numérique et de son influence sur l’entrepreneuriat et l’innovation dans les économies des plateformes. Nous présentons les nouveaux modèles d’entreprise émergents, leurs antécédents et leurs conséquences économiques et sociales. Ce cahier spécial propose une étude holistique et une analyse approfondie, par le biais d’une recherche interdisciplinaire de cinq articles académiques qui mettent en lumière les défis et perspectives actuels et futurs générés par la transformation de l’entrepreneuriat et de l’innovation dans une économie fondée sur des plateformes digitales. Un agenda pour de futures recherches est proposé. Codes JEL : L86, O31, O33, L26
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Briand, Michel, and Bernard Brunet. "Appropriation sociale du numérique, communs et politique publique, retours sur l’expérience de la Ville de Brest." Netcom, no. 31-1/2 (April 16, 2017): 193–216. http://dx.doi.org/10.4000/netcom.2690.

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Meynard, Francois. "The Library of the Centre d'Etude d'Afrique Noire." African Research & Documentation 45 (1988): 2–8. http://dx.doi.org/10.1017/s0305862x00011791.

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Abstract:
Fondé en 1958 par un groupe d'universitaires bordelais, le Centre d'étude d'Afrique noire fonctionne dans le cadre de l'Institut d'études politiques de Bordeaux. II est associé depuis 1968 à la Fondation nationale des Sciences politiques et bénéficie depuis 1967 du statut d'équipe de recherche associée au Centre national de la recherche scientifique (CNRS - ERA 70 devenue UA 977). Outre l'équipe de recherche ainsi constituée, le CEAN comprend une unité d'enseignement et un centre de documentation.Le Centre d'étude d'Afrique noire organise des études de troisième cycle aboutissant à un doctorat “ETUDES AFRICAINES” dont le Diplôme d'études approfondies (DEA) constitue la première année de scolarité. L'enseignement pluridisciplinaire est organisé autour de quatre enseignements principaux: science politique, économie, droit et administration publique, relations internationales.
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Meynard, Francois. "The Library of the Centre d'Etude d'Afrique Noire." African Research & Documentation 45 (1988): 2–8. http://dx.doi.org/10.1017/s0305862x00011791.

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Fondé en 1958 par un groupe d'universitaires bordelais, le Centre d'étude d'Afrique noire fonctionne dans le cadre de l'Institut d'études politiques de Bordeaux. II est associé depuis 1968 à la Fondation nationale des Sciences politiques et bénéficie depuis 1967 du statut d'équipe de recherche associée au Centre national de la recherche scientifique (CNRS - ERA 70 devenue UA 977). Outre l'équipe de recherche ainsi constituée, le CEAN comprend une unité d'enseignement et un centre de documentation.Le Centre d'étude d'Afrique noire organise des études de troisième cycle aboutissant à un doctorat “ETUDES AFRICAINES” dont le Diplôme d'études approfondies (DEA) constitue la première année de scolarité. L'enseignement pluridisciplinaire est organisé autour de quatre enseignements principaux: science politique, économie, droit et administration publique, relations internationales.
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High, Steven, and Françoise McNeil. "« Au-delà du syndrome de la ‘‘citation payante’’ » : les archives vivantes et la recherche réciproque en histoire orale1." Dossier thématique 69, no. 1-2 (January 19, 2016): 137–63. http://dx.doi.org/10.7202/1034592ar.

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Abstract:
Les organismes subventionnaires nord-américains et européens se sont engagés à promouvoir une culture de partage des données qualitatives et ce changement de perspective a suscité des controverses dans certaines disciplines, en particulier dans les cas où la propriété intellectuelle et l’identité disciplinaire reposent sur le travail de terrain plutôt que sur une réutilisation ou une analyse secondaire des données récoltées par d’autres chercheurs. Cet article vise principalement la valeur interprétative et créative des bases de données numériques d’histoire orale, ou archives vivantes, ainsi que leur valeur publique ou politique. Les archives d’histoire orale doivent être des sites de circulation de données et de conservation numérique ainsi que des dépôts dynamiques visant la préservation à long terme.
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Prévoteau, Karine. "Le cinéma Art et Essai en France : politique publique ? économie ? circulation des inédits du Maghreb en salle." Africultures 89-90, no. 3 (2012): 142. http://dx.doi.org/10.3917/afcul.089.0141.

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de Feraudy, Tatiana. "La civic tech : des professionnel·les de la communication numérique à l’assaut de la participation citoyenne (2016-2019)." Politiques de communication N° 20-21, no. 1 (March 6, 2024): 195–227. http://dx.doi.org/10.3917/pdc.020.0195.

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Abstract:
Entre 2016 et 2019, les professionnel·les de la civic tech s’intègrent au marché de la participation citoyenne en tant que fournisseurs d’outils et de services de conseil, ainsi qu’en tant qu’entrepreneur·ses de cause. Intermédiaires entre les citoyen·nes et les mondes politique et administratif, ces acteur·rices se veulent aussi accompagnateur·rices de la modernisation publique. Faisant du problème participatif un problème de communication, les professionnel·les de la civic tech construisent leur juridiction en important du monde du numérique des métiers, des compétences et la figure de la start-up comme véhicule de changement social. Pour établir leur légitimité, ces acteur·rices technicisent, désingularisent et dépolitisent le problème de la participation citoyenne. La concentration du débat sur les technologies numériques et les méthodes « innovantes » qui permettraient la construction d’une opinion publique de manière rationnelle et consensuelle réactive le tropisme procédural du monde participatif. Par ailleurs, ces professionnel·les de la communication produisent, par leurs outils et leurs conseils, une norme du « bien communiquer » et du « bien décider » qui met en valeur la bienveillance et la responsabilité individuelle. La revendication d’une neutralité et d’un engagement apolitique contribuent à occulter la manière dont ces professionnel·les peuvent ainsi contribuer à discréditer le conflit et le militantisme et soutenir la dépolitisation et la privatisation de la participation citoyenne.
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Girard, Lucas, and Yannick Guyonvarch. "Bridging Methodologies: Angrist and Imbens’ Contributions to Causal Identification." Revue d'économie politique Vol. 133, no. 6 (January 4, 2024): 845–905. http://dx.doi.org/10.3917/redp.336.0845.

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Abstract:
Dans les années 1990, Joshua Angrist et Guido Imbens se demandèrent comment interpréter causalement les estimations obtenues au moyen de variables instrumentales (une méthode courante en économie) en s’appuyant sur la notion de variables potentielles (un cadre classique pour formaliser les relations causales en statistique). Ils comblèrent un fossé entre ces deux disciplines en mettant en évidence l’importance de considérer l’hétérogénéité des effets d’un traitement et en montrant que, sous des hypothèses raisonnables dans de nombreuses situations pratiques, cette méthode permet d’estimer un effet causal moyen sur une sous-population spécifique d’individus, ceux dont le traitement est affecté par l’instrument. Ils reçurent le prix Nobel d’économie essentiellement pour cette notion de « local average treatment effect » (LATE). La première partie de cet article présente en détail cet apport méthodologique : ses racines visibles dans des articles appliqués antérieurs, les différents résultats d’identification et leurs extensions, ainsi que les débats portant sur l’intérêt du LATE pour éclairer des décisions de politique publique. La seconde examine les principales contributions de ces deux auteurs en plus du LATE. J. Angrist a poursuivi ses travaux empiriques dans plusieurs champs, en particulier celui de l’éducation, toujours avec une attention singulière accordée à la stratégie d’identification en recherchant et en utilisant des expériences naturelles informatives et variées. G. Imbens a continué à enrichir la boite à outils permettant d’estimer les effets causaux d’un traitement ou d’une politique publique avec de nombreuses avancées méthodologiques, notamment le matching sur le score de propension et, plus récemment, l’adaptation des techniques d’apprentissage statistique (« machine learning ») aux problématiques économétriques.
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Abderrahmani, Farés, and Rabah Tarmoul. "déterminants du taux de chômage en Algérie (1980-2019) : approche par les modèles ARDL." les cahiers du cread 39, no. 4 (March 30, 2024): 93–116. http://dx.doi.org/10.4314/cread.v39i4.4.

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Abstract:
L’objectif de ce papier est d’identifier les déterminants du taux de chômage en Algérie sur la période qui s’étale de 1980 à 2019 en utilisant un modèle à retards échelonnés (ARDL). Les résultats de notre investigation empirique montrent que l’évolution du taux de chômage en Algérie dépend amplement des dépenses publiques et de la croissance économique. Résultat admis, d’un point de vue théorique, la création de richesses par extension de la demande publique et privée s’accompagne de la création d’emploi. Résultats probants dans une économie ou l’essentiel de la valeur ajoutée est généré par la transformation des produits de l’exportation des hydrocarbures en dépenses publiques : dépenses d’équipements et politique sociale expansionniste. Par contre, l’inexistence de la relation entre le PIB et le taux de chômage, s’explique par le fait que le PIB est généré en grande partie par les activités de PTPH et les activités de services (essentiellement le commerce de détail), des activités peu créatrices d’emplois.
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Cutler, Fred. "Whodunnit? Voters and Responsibility in Canadian Federalism." Canadian Journal of Political Science 41, no. 3 (September 2008): 627–54. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423908080761.

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Abstract:
Abstract. Government accountability in Canada depends on Canadian voters' attributing responsibility to multiple levels of government for policy outcomes. This study presents the first comprehensive account of these responsibility judgments. The data are from panel surveys of voters in Ontario and Saskatchewan as they faced provincial elections in the fall of 2003 and then the federal election of 2004. Voters were asked about conditions in a number of policy areas and then asked to separately attribute responsibility to the two senior levels of government. Voters do not strongly differentiate the governments' roles and there is little variation across issues. Attentiveness to politics only very slightly improves the quality of responsibility attributions, and only on issues where responsibility is objectively clearer. The results suggest that federalism is a major challenge for Canadian voters wishing to reward or punish their governments for policy outcomes.Résumé. La responsabilisation gouvernementale au Canada dépend de la capacité du citoyen à différencier clairement les sphères d'activité des divers paliers de gouvernement. Cette étude offre, pour la première fois, un portrait exhaustif des mécanismes d'attribution de la responsabilité dans le système fédéral canadien. Les données sont tirées de deux enquêtes en panel réalisées durant les campagnes électorales provinciales de l'Ontario et de la Saskatchewan à l'automne 2003, puis durant la campagne fédérale de 2004. Deux aspects principaux de ces enquêtes ont été retenus pour cette étude. Tout d'abord, les répondants ont été interrogés sur leur perception de l'état des choses quant à une série d'enjeux de politique publique (économie, système de santé, et ainsi de suite). Ils ont ensuite dû attribuer la responsabilité de ces politiques aux deux paliers supérieurs de gouvernement au Canada. Il s'avère que les électeurs ne différencient que faiblement le rôle de chaque palier de gouvernement et ce, quel que soit l'enjeu. La capacité d'attribution de la responsabilité n'est que légèrement affectée par le niveau d'attention à la politique de l'électeur. Les résultats de l'analyse suggèrent que la nature fédérale du système politique canadien demeure un défi important à surmonter pour l'électeur qui désire récompenser ou punir ses gouvernements pour une politique publique donnée.
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Cattla, Michel. "Élisabeth Chatel, Thierry Kirat et Robert Salais (dir.). L’action publique et ses dispositifs. Institutions, économie, politique. Paris, L’Harmattan, 2005, 459 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 62, no. 6 (December 2007): 1499–500. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900036684.

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Ramel, Viviane. "Technologies numériques et inégalités sociales de santé : un non-sujet à l’agenda politique mais une action publique émergente sur l’inclusion numérique." Revue française des affaires sociales, no. 3 (November 23, 2021): 45–67. http://dx.doi.org/10.3917/rfas.213.0045.

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Eyebiyi, Elieth. "Étudier l’État à partir de l’informalité. Répression et résistances autour du commerce informel de carburant1." Lien social et Politiques, no. 76 (July 18, 2016): 77–95. http://dx.doi.org/10.7202/1037066ar.

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Abstract:
Le commerce informel et transfrontalier des produits pétroliers provenant du Nigéria s’est enraciné, au début des années 1990, dans un contexte de crise économique et politique marquant le passage d’un État-providence à un État libéral et de marché. La porosité de la longue bande frontalière et les accointances entre douaniers et contrebandiers ont depuis favorisé l’institutionnalisation sociale et économique d’une activité informelle pourvoyeuse d’emplois et intégratrice de milliers d’exclus, de sans-emplois et de chômeurs au Bénin. Au fil des ans, le commerce informel du carburant de contrebande (le « kpayo ») s’est socialement légitimé, s’est intégré au quotidien des populations béninoises et s’est substitué aux stations-service pratiquant des prix prohibitifs. Les multiples tentatives de l’État central pour l’éradiquer se soldent par des échecs, y compris la dernière campagne démarrée le 17 novembre 2012. Arrestations, saisies, morts et autres drames n’empêchent pas le liquide controversé de couler à flots dans les réservoirs des citoyens et de rester concurrentiel. À rebours des théories en vogue sur l’informel, ce papier adopte une posture socioanthropologique multicentrée et critique. Il associe l’économique au social et au politique pour interroger à partir de données recueillies au Bénin entre 2012 et 2014, l’action publique contre le « kpayo ». J’examine les représentations, les pratiques (non) officielles et les négociations entre un État régalien désireux de contrôler ses frontières pour augmenter les recettes douanières et un État d’usagers et de contrebandiers déterminés à maintenir coûte que coûte une activité informelle, structurant de manière décisive toute une économie formelle.
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Dieuaide, Patrick. "Travail cognitif, communication et gouvernance des relations de travail par les règles. Éléments d’analyse pour une « économie politique de la relation »." Nouvelles perspectives en sciences sociales 11, no. 2 (July 26, 2016): 129–51. http://dx.doi.org/10.7202/1037105ar.

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Abstract:
Le présent article s’interroge sur les perspectives ouvertes par le programme de recherche développé dans le cadre de la revue Nouvelles Perspectives en Sciences Sociales autour d’une « sociologie de la relation ». Mutatis mutandis, nous nous proposons de réfléchir à quelques propositions qui pourraient aider à cerner les contours de ce que l’on pourrait dénommer une « économie politique de la relation ». Pour ce faire, nous nous intéressons plus particulièrement à la place et au rôle de la communication dans les relations de travail dans les entreprises. Deux pistes de réflexion sont explorées : une première piste développe la notion de « travail cognitif » et souligne la diversité des modèles relationnels par lesquels la communication rend possible le rassemblement d’individus autour d’une vision partagée de l’organisation et de l’activité de travail. Cette réflexion conduit à caractériser la communication comme une activité productive de règles d’usage au fondement d’un agir collectif. Une seconde piste examine la question plus générale de la place et du rôle des règles dans la gouvernance des relations de travail au sein des entreprises. Les débats autour des dimensions implicite et explicite et des écarts entre la règle et son interprétation sont rappelés; de même l’opposition entre la dimension publique des règles développées au coeur des relations de travail et la dimension privée du contrôle et de son application par le management. Ces réflexions conduisent à proposer une approche élargie de la communication considérée comme le vecteur d’une relation d’ordre dans les savoirs et les apprentissages mobilisés dans le travail. L’article conclut brièvement les tensions que soulève cette forme de communication entre la liberté de jugement et d’action et les contraintes imposées aux niveaux de l’organisation et de la mise en oeuvre de l’activité de travail.
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Juliano, Cynthia Paola Batista, Graziela Serroni Perosa, Bruna Rossi Leão Raphaeli, Raul Mello Silva, and Gabrielli Silva Alves. "Os Trabalhadores de Aplicativos Durante a Pandemia de Coronavírus em 2020: um estudo exploratório." Revista Gestão & Políticas Públicas 11, no. 2 (June 21, 2022): 333–52. http://dx.doi.org/10.11606/rgpp.v11i2.199086.

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Abstract:
Dans cet article, nous présentons une étude sur l'expérience des conducteurs d'applis, menée au premier semestre 2020, pendant les mois de verrouillage dus à la pandémie de Covid19. Dans un premier temps, nous développons une brève revue de la littérature sur les transformations du monde du travail, puis une étude préliminaire sur la structure professionnelle brésilienne basée sur les statistiques disponibles de l'Institut brésilien de géographie et de statistique (IBGE). Au Brésil, le taux de chômage a augmenté ces dernières années, et avec lui, l'informalité a également augmenté, c'est-à-dire que le nombre de travailleurs sans contrat de travail signé a augmenté, et donc, sans la garantie des droits du travail. Nous pouvons observer au cours des trois dernières années une augmentation significative du nombre de conducteurs et de coursiers d'apps. Cette catégorie, pour ne pas avoir de droits du travail, est confrontée à la précarité, car elle travaille pour des entreprises multinationales qui profitent beaucoup, sans aucun lien d'emploi. Cette réalité est devenue encore plus évidente en période de crise, comme dans le cas de la pandémie de coronavirus, lorsque ces travailleurs ne pouvaient pas respecter les règles d'isolement, car s'ils ne travaillent pas, ils ne peuvent pas subvenir aux besoins de leur famille. La recherche vise à contribuer à la compréhension des changements dans les relations de travail causés par l'avancement des outils numériques qui facilitent l'échange de services. Pour ce faire, trois objectifs spécifiques ont été fixés : i) cartographier le débat dans la littérature spécialisée sur les relations de travail médiées par la popularisation des applications de prestation de services ; ii) explorer les statistiques disponibles auprès de l'Institut brésilien de géographie et de statistique (IBGE) sur le sujet et présenter une étude exploratoire sur le profil des moteurs d'application. Les statistiques publiques sur la population économiquement active seront examinées et des informations sur les trajectoires professionnelles des prestataires de services seront collectées. Une discussion plus approfondie est attendue sur la façon dont ces outils de prestation de services sont liés au travail et comment ils modifient ces relations à partir du moment historique, économique et politique. Ils permettront également de contribuer à la production d'informations socio-démographiques sur ces travailleurs, sur lesquels nous ne disposons pratiquement d'aucune statistique.
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Lyngstad, Rolv. "The welfare state in the wake of globalization." International Social Work 51, no. 1 (January 2008): 69–81. http://dx.doi.org/10.1177/0020872807083917.

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Abstract:
English The article starts with a discussion of recent developments in the Norwegian welfare state. It focuses on the welfare promises of the present centre-left majority government and asks if an ambitious welfare-state policy is possible in an international climate of globalization and a market-oriented economy. It is decisive that social work educators and the profession addresses these questions if the core values of the welfare state are to prevail. French Cet article s'appuie sur les récents développements du système de sécurité publique de la Norvège et examine les promesses du présent gouvernement majoritaire de centre-gauche en matière de sécurité sociale, tout en s'interrogeant sur la viabilité d'une ambitieuse politique d'état-providence dans le contexte de la mondialisation et d'une économie centrée sur les marchés à l'échelle internationale. Il est impératif que les enseignants en travail social et que la profession tout entière s'interrogent à savoir si les valeurs de base de l'état-providence subsisteront. Spanish Este artículo parte de los desarrollos recientes en el Estado de Bienestar de Noruega. Se enfoca en las promesas del presente gobierno mayoritario de centro-izquierda, y se pregunta si es posible una política ambiciosa estatal de bienestar, en un clima internacional de globalización y una economía orientada hacia el mercado. Es importante que los profesores y profesionales del trabajo social se planteen estas cuestiones si los valores básicos del estado de bienestar han de prevalecer.
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Laude, Anne, and Antoine Vial. "La démocratie sanitaire électronique ?" Journal du Droit de la Santé et de l’Assurance - Maladie (JDSAM) N° 4, no. 4 (November 1, 2013): 46–49. http://dx.doi.org/10.3917/jdsam.hs1.0047.

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Abstract:
L’information de santé profite-t-elle du numérique pour s’affirmer comme un outil de santé publique efficient ? Les applications santé sur les smartphones bénéficient-elles à la santé des individus comme chacun pourrait l’espérer ? Le constat tracé ici est plutôt noir. Heureusement dans cette santé devenue un marché, un nouvel instrument est apparu qui aidera peut-être à modifier en profondeur la manière de concevoir produits, services et organisations de santé. On peut dire que la relation médecin/malade est le révélateur de notre conception de la santé. Si l’on observe cette relation dans une perspective historique, on constate d’abord que d’Hippocrate à 1945 la compassion et la collaboration remplace l’efficacité et que le couple médecin/patient coopère. De 1945 à 1975 ce sont les « trente glorieuses » pour la médecine aussi qui peut vaincre toutes les maladies. S’impose alors le couple médecin/organe. En 1981, le SIDA remet en cause l’idée d’une médecine triomphante et réhabilite le couple médecin/patient. Depuis 1985, avec l’émergence d’Internet, c’est un couple à trois qui s’est formé médecin/patient/1 tiers. En 2002, la loi sur les Droits des patients, première expression d’une « démocratie sanitaire » est venue reconnaître leur place dans la relation de soins. Mais qu’en est-il de l’application de la loi au quotidien et avant cela, de son appropriation ? Le rapport 2 de Claire Compagnon à la ministre de la santé en février 2014 sur ce sujet est critique : « … le bilan reste contrasté s’agissant des droits individuels et des droits collectifs. La loi n’a pas encore profondément modifié les comportements des professionnels de santé mais également ceux des pouvoirs publics et des institutions présentes dans le champ de la santé. /… Pourtant de grands changements sociologiques sont en mouvement : la révolution numérique fait évoluer l’accès au savoir et l’organisation des rapports humains au travers des réseaux sociaux. /… Cette ambition de démocratie sanitaire reste encore à approfondir : l’horizon… est celui d’une participation qui aille au-delà de l’information des usagers ou de la simple concertation, visant une politique de santé qui prenne en compte à la fois les enjeux de pouvoir, les inégalités et la conflictualité dans le débat démocratique, dans une perspective de transformation sociale. »
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Panier, Wisnique. "Réception et participation des auditeurs haïtiens à l’ère du numérique." Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 9, no. 1 (June 15, 2020): 118–31. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v9.n1.2020.422.

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Abstract:
FR. Cette étude analyse les changements dans les relations entre les publics des radios et des journalistes haïtiens sous l’influence des technologies numériques. Ces dernières donnent-elles une plus grande place au public dans le système radiophonique ? Changent-elles certaines clauses du contrat de communication qui lie les journalistes ou les animateurs et les publics des radios haïtiennes ? Cette étude s’inscrit dans une perspective systémique et fondée sur une analyse qualitative des données d’entretien et d’observation. Les résultats de cette étude relèvent que le numérique favorise de nouvelles formes de réception des informations et de participation des membres de l’auditoire dans les émissions radiophoniques de débat. Néanmoins, les changements observés ne conduisent pas à une transformation du contrat de communication publique qui relie les différents partenaires d’échange. Les clauses fondamentales du contrat ou les paramètres fondamentaux des émissions sont inchangés. Certes, il y a un élargissement des modalités de participation aux émissions radiophoniques de débats, mais cette participation reste et demeure l’apanage des auditeurs lettrés. Donc, le numérique ne permet pas de révolutionner cet état de fait. Les nouvelles formes de participation comme les formes traditionnelles sont toujours profitables à une élite, particulièrement politique, mais qui est plus élargie. Les principaux changements se produisent en dehors des ondes, c’est-à-dire, avec les nouvelles formes de participation qui se tiennent via les réseaux sociaux. Sur le plan de la réception, le numérique permet à une grande partie du public d’écouter les émissions où il veut, quand il veut et sur le support désiré. Il n’est plus question d’attendre la reprise d’une émission ratée. Elles sont en grande partie disponibles en baladodiffusion. *** EN. This study analyzes the changes in the relationships between radio audiences and Haitian journalists in the age of digital technology. Do these technologies offer the public a more substantial place in the radio system? Do they change clauses of the communication contract that bind journalists or broadcasters and audiences of Haitian radio stations? This study deploys a systemic perspective and is based on a qualitative analysis of interviews and observation data. The results of this study demonstrate that digital technology is fostering new forms of news reception and audience participation in radio talk shows. However, the changes observed do not lead to a transformation of the public communication contract which links the different partners. The fundamental clauses of the contract and the fundamental parameters of the issues are unchanged. Admittedly, there is a widening of the methods of participation in the radio broadcasts of debates, but this participation remains the prerogative of literate listeners, so digitization does not revolutionize this state of affairs. New forms of participation, like traditional forms, are profitable for an elite, particularly political, only broader. The main changes are happening off-air, that is, with new forms of participation that take place via social media. In terms of reception, digital technology allows audiences to listen to programs where they want, when they want and on the desired medium. There is no longer a need to wait for a rerun of a show as they are largely available as podcasts. *** PT. Este estudo analisa as mudanças na relação entre o público de rádio e os jornalistas haitianos sob a influência das tecnologias digitais. As tecnologias digitais estariam abrindo mais espaço ao público na rádio? Estariam elas alterando certas cláusulas do contrato de comunicação entre jornalistas ou apresentadores e o público das rádios haitianas? Esse estudo parte de uma perspectiva sistêmica baseada em uma análise qualitativa dos dados colhidos em entrevistas e observação. Os resultados revelam que a tecnologia digital está promovendo novas formas de recepção das informações e de participação da audiência em programas de debate radiofônicos. No entanto, as mudanças observadas não acarretam uma transformação do contrato de comunicação pública entre os diferentes parceiros da troca. As cláusulas fundamentais do contrato e os parâmetros básicos dos programas permanecem inalterados. Há certamente uma ampliação das modalidades de participação em programas de debate radiofônicos, mas essa participação continua sendo majoritariamente de ouvintes alfabetizados. Portanto, a tecnologia digital não torna possível revolucionar esse estado de coisa. As novas formas de participação, bem como as formas tradicionais, sempre beneficiam uma elite, particularmente a política, ainda que essa seja ampliada. As principais mudanças vêm ocorrendo fora das ondas, ou seja, com as novas formas de participação promovidas pelas redes sociais. Em termos de recepção, a tecnologia digital permite que grande parte do público ouça os programas onde quiser, quando quiser e na mídia que quiser. Não é mais preciso esperar a retransmissão de um programa perdido, a maioria estando disponível nos podcasts. ***
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RODRIGUES, THIAGO, and BEATRIZ CAIUBY LABATE. "PROHIBICIÓN Y LA ”GUERRA A LAS DROGAS” EN LAS AMÉRICAS." Outros Tempos: Pesquisa em Foco - História 14, no. 24 (December 21, 2017): 84–109. http://dx.doi.org/10.18817/ot.v14i24.602.

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Abstract:
Resumen: Desde el comienzo del siglo XX hasta los dá­as actuales, la prohibición de un conjunto de drogas psicoactivas ha propiciado el surgimiento de la más potente economá­a ilá­cita del mundo, con graves consecuencias polá­ticas y sociales en América Latina. El texto busca presentar un breve análisis del prohibicionismo en las Américas, para que se pueda comprender el proceso histórico-polá­tico de construcción del tema de las ”drogas” como una cuestión de salud pública, de seguridad pública y también ”“ desde 1970, tras la declaración de ”guerra a las drogas” por los Estados Unidos ”“ como un problema de seguridad nacional y regional que moviliza ejércitos, policá­as y proyectos económicos y sociales de gran impacto en el continente.Palabras clave: América Latina. Polá­tica de Drogas. Salud. Seguridad. Tráfico de Drogas.PROIBIÇÃO E A ”GUERRA á€S DROGAS” NAS AMÉRICAS Resumo: Desde o iná­cio do século XX até os dias de hoje, a proibição de um conjunto de drogas psicoativas tem propiciado o surgimento da mais potente economia ilá­cita do mundo, com graves consequências polá­ticas e sociais na América Latina. O artigo busca apresentar uma breve análise do proibicionismo nas Américas, para que se possa compreender o processo histórico-polá­tico de construção do tema das ”drogas” como uma questão de saúde pública, de segurança pública e também ”“ desde os anos 1970, após a declaração da ”guerra á s drogas” pelos Estados Unidos ”“ como um problema de segurança nacional e regional que mobiliza exércitos, polá­cias e projetos econômicos e sociais de grande impacto no continente.Palavras-chave: América Latina. Polá­tica de drogas. Saúde. Segurança. Tráfico de drogas.PROHIBITION AND THE "DRUG WAR” IN THE AMERICAS Abstract: Since the early twentieth century to the present day, the prohibition of a collection of psychoactive drugs has allowed the emergence of a powerful illicit economy in the world, occasioning serious political and social consequences in Latin America. This article seeks to present a brief analysis of prohibitionism in the Americas, in order to understand the historical-political process of creating the topic of "drugs" as a matter of public health, public security and also - since the 1970s, after declaration of the "war on drugs" by the United States - as a national and regional security issue that mobilizes armies, police and economic and social projects of great impact on the continent.Keywords: Latin America. Drug Policy. Health. Safety. Drug Trafficking. PROHIBITION ET LA ”GUERRE AUX DROGUES” DANS LES AMÉRIQUESRésumé: Du début du XXá¨me siá¨cle jusqu”™á aujourd”™hui, la prohibition d”™un ensemble de drogues psychoactives a favorisé l”™émergence de la plus puissante économie illicite du monde et a produit de graves conséquences politiques et sociales en Amérique Latine. L”™article vise á proposer une brá¨ve analyse du prohibitionnisme dans les Amériques, afin de restituer le processus historico-politique qui a conduit á la constitution de la thématique des « drogues » comme une question de santé publique, de sécurité publique et aussi ”“ depuis les années 1970, suite á la déclaration de la « guerre aux drogues » par les Etats-Unis ”“ comme un problá¨me de sécurité nationale et régionale, qui mobilise armées, polices et projets économiques et sociaux de grande importance dans le continent. Mots clefs: Amérique Latine. Politique des Drogues. Santé. Sécurité. Trafic de Drogues.
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GÓNGORA, ANDRÉS. "FARMACOPEA POLáTICA: una etnografá­a del antiprohibicionismo y de la lucha por la liberación de la marihuana en Colombia." Outros Tempos: Pesquisa em Foco - História 14, no. 24 (December 21, 2017): 228–46. http://dx.doi.org/10.18817/ot.v14i24.608.

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Abstract:
Resumen: El artá­culo sintetiza los resultados del trabajo etnográfico desarrollado con el movimiento cannabico de Colombia entre los años 2013 y 2017. En la primera parte, se muestra como la prohibición de las drogas en el paá­s surgió como un arreglo sanitario, moral y económico para monopolizar la producción de medicamentos y venenos. Se argumenta que el conocimiento sobre la relación entre las personas y el pharmakon, desarrollado principalmente por expertos en seguridad pública, economá­a polá­tica y saberes psi, desconoce sistemáticamente la agencia polá­tica de los consumidores y pequeños productores de drogas. En la segunda parte, siguiendo la historia de la marihuana y sus defensores, se describe la lucha para liberar a la planta y permitir que ingrese de nuevo a los terrenos de la embriaguez tolerada, los remedios y la industria.Palabras clave: Pharmakon. Marihuana. Prohibicionismo.FARMACOPEIA POLáTICA: uma etnografia do antiproibicionismo e da luta pela libertação da maconha na Colômbia Resumo: Neste artigo apresenta-se os resultados da pesquisa etnográfica desenvolvida com o movimento cannabico da Colômbia entre os anos 2013 e 2017. Na primeira parte, mostra-se como naquele paá­s a proibição das drogas surgiu como um arranjo sanitário, moral e econômico para monopolizar a produção de remédios e venenos. Argumenta-se que o conhecimento sobre a relação entre as pessoas e o pharmakon, desenvolvido principalmente por especialistas em segurança pública, economia polá­tica e saberes psi, desconhece sistematicamente a agência polá­tica dos usuários e pequenos produtores de drogas. Na segunda parte, indo atrás da história da maconha e seus defensores, descreve-se a luta para libertar a planta e fazer com que ingresse novamente aos terrenos da embriaguez tolerada, os remédios e a indústria.Palavras-chave: Pharmakon. Maconha. Proibicionismo.POLICY PHARMACOPEIA: an ethnography of anti-prohibitionism and the struggle for the liberation of marijuana in Colombia Abstract: This article presents the results of the ethnographic research developed with the cannabis movement of Colombia between the years 2013 and 2017. Firstly, it is shown how in that country, drug prohibition emerged as a sanitary, moral and economic arrangement to monopolize the production of medicines and poisons. It is argued that knowledge about the relationship between people and pharmakon, developed mainly by specialists in public security, political economy and psi knowledge, systematically ignores the political agency of users and small drug producers. Secondly, searching the history of marijuana and its advocates, it describes the struggle to free the plant and get it back into the grounds of tolerated drunkenness, the medicine and industry.Keywords: Pharmakon. Marijuana. Prohibitionism. PHARMACOPÉE POLITIQUE: une ethnographie de l”™antiprohibitionnisme et de la lutte pour la libération du cannabis en Colombie Résumé: Cet article mobilise les résultats d”™une recherche ethnographique réalisée avec le mouvement cannabique colombien entre 2013 et 2017. Dans la premiá¨re partie, on montre comment, dans ce pays la prohibition des drogues a émergé á partir d”™un arrangement sanitaire, moral et économique destiné á monopoliser la production des remá¨des et poisons. On affirme que la connaissance produite autour du rapport entre les personnes et le pharmakon, développée principalement par des spécialistes en sécurité publique, économie politique et savoirs psy, ignore systématiquement l”™expertise politique des usagers et des petits producteurs de drogues. Dans la deuxiá¨me partie, en suivant l”™histoire du cannabis et de ses défenseurs, on décrit la lutte pour libérer la plante et pour la réintégrer á nouveau dans les champs de l”™ivresse tolérée, des médicaments et de l”™industrie.Mots-clés: Pharmakon. Cannabis. Prohibitionnisme.
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BELHEDI, Amor. "Guilhem Boulay, Antoine Granclement. Introduction à la géographie économique. Malakoff. Armand Colin, coll. Cursus, 2019. ISBN : 978-2-200-62230-5. 221p. (CR. UAB.1)." URBAN ART BIO 1, no. 2 (August 6, 2022): 103–5. http://dx.doi.org/10.35788/uab.v1i2.31.

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Abstract:
La mondialisation a réduit les distances mais a mis en concurrence les territoires et a accusé les inégalités spatiales. Les auteurs fixent dans l’introduction (pp.9-11) le cadre et l’objectif de l’ouvrage : présenter la géographie économique à l’ère de la mondialisation qui se combine aux mutations liées à la crise du modèle fordiste depuis les années 1970 et la mise en place d’un modèle néo libéral marqué par la dérégulation, la promotion du libre-échange et la remise en cause des États providence. Le fonctionnement des circuits économiques a été bouleversé par une financiarisation accélérée qui accroît les flux de capitaux entre les territoires et les secteurs économiques où les activités financières, composante de la tertiarisation des économies, y occupent une place centrale. « Ce changement de paradigme fait écho au renouvellement des questionnements et des objets de la géographie économique et au glissement d’une géographie descriptive de la localisation des activités vers une géographie des circuits économiques » (p.10) qui participe à la production de l’espace. Il s’agit de voir « comment ces circuits économiques postfordistes participent à la production de l’espace, au-delà de la seule géographie des activités économiques ». L’extension du modèle néo-libéral et la marchandisation de l’environnement dépassent la question sectorielle de l’économie verte dans le contexte du changement global. L’ouvrage est structuré en trois parties et dix chapitres avec chaque fois une étude de cas à la fin de chaque chapitre. La première partie porte sur « Les objets de la géographie économique à l’ère du post-fordisme » (pp.12-71). Ses trois chapitres présentent les concepts indispensables à l’analyse des circuits économiques et de la géographie des activités économiques, de l’organisation de la production et des entreprises jusqu’à la circulation des richesses. Le tournant postfordiste et la financiarisation renouvellent les cadres conceptuels. Le premier chapitre traite du passage « de l’entreprise aux systèmes productifs : les nouvelles formes d’organisation de la production » avec une étude de cas l’Airbus comme une entreprise-réseau, le second s’intéresse au passage « du financement de l’économie à sa financiarisation » avec l’étude du cas de l’agriculture tandis que le dernier chapitre analyse la « circulation et redistribution des richesses » avec l’étude de cas la géographie du micro-crédit. La seconde partie, « Espace et localisation dans une économie globalisée » (pp.72-127), porte sur les transformations des relations entre l’espace et les activités économiques à travers l’analyse géographique des impacts de la mondialisation, les trois chapitres (4 à 6) interrogent les évolutions des logiques de localisation des activités et leurs conséquences en termes de développement des territoires locaux. La troisième partie, intitulée « Régimes de régulation de l’espace » (pp.128-210), s’intéresse à l’intégration dans la logique de marché de nouveaux objets et de nouveaux champs comme l’environnement, l’action publique ou l’aménagement du territoire. Par une lecture socio-politique du tournant postfordiste, il s’agit d’analyser le fonctionnement de régimes de régulation de l’espace qui dépassent la seule localisation des activités et témoignent de la dimension normative et politique des corpus théoriques néo-libéraux.
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Dagbeto, Romaric, Souleïmane A. Adekambi, and Jacob A. Yabi. "Financement Solidaire des Mutuelles Communautaires de Nutrition (MCN) et l’Amélioration de la Résilience Alimentaire et Nutritionnelle des Enfants: Une Revue Systématique de Littérature." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 6 (February 28, 2023): 92. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n6p92.

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Abstract:
La présente étude s’est penchée sur les acquis scientifiques concernant la contribution des mutuelles communautaires de nutritions (MCN) à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des enfants en Afrique et surtout au Bénin. L’objectif de l’étude était de faire un point systématique des revues scientifiques en lien direct ou indirecte avec la thématique d’étude. Pour ce faire, les principales bases de données numériques AGORA, Google Scholar, Pubmed et Scopus ont été consultées. AGORA a permis de constituer la base de données des revues scientifique pour un traitement statistique. Les combinaisons booléennes utilisées sont (Mutuelle communautaire) AND (Nutrition) ((Sécurité alimentaire) OR (sécurité nutritionnelle)) AND ((Afrique) OR (Mutuelle santé) AND/OR (Enfant). Au total, 1213 articles ont été répertoriés sur le serveur de recherche. L’insertion des critères d’exclusion a permis de recenser 321 articles, qui étaient en lien indirect ou ayant des thématiques similaires avec notre sujet de recherche. Somme toute, après lecture des résumés et ou texte, 34 articles sont en relation de similitude avec la thématique de recherche. Il s’agit de 33 articles de revue et 1 chapitre de livre. L'analyse des données a révélé que la majorité des articles ont été publiés entre 2000 et 2021. Par ailleurs, du point de vue des domaines d'études abordés, le traitement des informations recueillies a montré que les domaines ayant enregistré plus de publication sont : la santé publique, la médicine, l’économie, la sociologie, l’éducation, la science politique et la littérature. Cependant, on note de façons générale un grand vide en ce qui concerne les informations faisant état ou faisant le lien entre les mutuelles et la sécurité alimentaire et nutritionnelle (SAN) chez les enfants. A l’issu de cette revue il ressort que les mutuelles, de par la solidarité entre les membres et la participation démocratique qu’elles favorisent, contribueraient à améliorer significativement le bien-être des populations. Il est également à noter que ces mutuelles ressentent beaucoup d’insuffisances sur le plan socio-économique en occurrence un faible taux d’adhésion et de pénétration qu’il urge à corriger pour les rendre encore plus performant. This study looked at the scientific findings concerning the contribution of community mutuals to the food and nutritional security of children in Africa and especially in Benin. It has set itself the objective of systematically reviewing scientific journals directly or indirectly related to the study theme. To do this, the main digital databases consulted are AGORA, GoogleScholar, Pubmed and Scopus. Agora made it possible to constitute the database of scientific journals for statistical processing. The Boolean combinations used are (Community mutual) AND ((Food security) OR (nutritional security)) AND ((Africa) OR (Health mutual) AND / OR (Child). A total of 1213 articles were listed on the server. After inclusion of the exclusion criteria, 321 articles were directly or indirectly related to our research topic. All in all, after reading the abstracts and / or text, 34 articles are directly related to the research topic of 33 journal articles and 01 book chapter. Analysis of the data revealed that the majority of articles were published between 2000 and 2021. In addition, from the point of view of the fields of study covered, the treatment of the information collected showed that the fields which registered more publication are: public health, medicine, economics, sociology, education, political science and literature. However, it is important to notify that of the 1213 articles identified, only 37 articles dealt with the contribution of mutual health organizations to food and nutritional security for children in Africa once the interest of this study. At the end of this review, it appears that the mutuals, basing themselves more on criteria such as solidarity and democratic participation, play a significant role in the well-being of the populations. It should also be noted that these mutuals have a lot of shortcomings that need to be corrected to make them even more efficient.
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Gohn, Maria da Glória. "JOVENS NA POLÍTICA NA ATUALIDADE – uma nova cultura de participação." Caderno CRH 31, no. 82 (September 3, 2018): 117–33. http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v31i82.21960.

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Abstract:
O artigo aborda a participação de jovens em ações coletivas como protagonistas na esfera pública, pondo em destaque, também, algumas políticas públicas que têm tratado de questões de seu cotidiano, como as reformas na área da educação. Indaga-se sobre lugar dos jovens nessas políticas, a partir das ocupações em escolas públicas no período. A meta final é analisar o impacto da ação desses jovens na sociedade e nas políticas públicas, destacando a cultura política criada (ou ressignificada) e a renovação operada na questão da participação dos jovens a partir do uso das redes midiáticas. A base de dados advém de pesquisa realizada em sites da Internet, em redes de jovens, e dados da mídia impressa em São Paulo, entre 2013 e 2017. Autores do referencial teórico utilizado são Charles Tilly, Doug MacAdam, S. Tarrow, e Klaus Eder. Outros marcos interpretativos foram encontrados em autores de teorias renovadas do socialismo libertário, defensores de teorias autonomistas, culturalistas e da resistência civil.YOUTH IN CURRENT POLITICS – A NEW CULTURE OF PARTICIPATIONThis article covers the participation of young people in collective actions as protagonists in the public sphere, highlighting some public policies that have dealt with issues of their daily lives, such as the reforms in education. The place of youths in these policies is questioned, in light of the occupation of public schools in the period. The ultimate goal is to analyze the impact of the action of these young people in the society and in public policies, emphasizing the political culture created (or redefined) and operated on the issue of youth participation through the use of media networks. The database is originated from research conducted on Internet websites, youth networks, and print media data in São Paulo between 2013 and 2017. The authors of the theoretical reference used are Charles Tilly, Doug MacAdam, S. Tarrow, and Klaus Eder. Other interpretive milestones were found of authors of renewed theories of libertarian socialism, advocates of autonomist, culturalist, and civil resistance theories.Keywords: Youths. Digital activism. Participation in fights for education. Public policy and youths.LES JEUNES DANS LA POLITIQUE D’AUJOURD’HUI – UNE NOUVELLE CULTURE DE PARTICIPATIONL’article aborde la participation des jeunes à des actions collectives en tant que protagonistes dans la sphère publique et met aussi en évidence quelques politiques publiques qui ont traité des questions de leur vie quotidienne, telles que les réformes dans le domaine de l’éducation. On s’enquiert de la place des jeunes dans ces politiques, en prenant en considération les occupations dans les écoles publiques au cours de cette période. L’objectif final est d’analyser l’impact de l’action de ces jeunes dans la société et au sein des politiques publiques, en soulignant la culture politique créée (ou re-signifiée) et le renouvellement qui a eu lieu au niveau de la participation des jeunes par l’utilisation des réseaux de médias. La base des données provient de recherches menées sur des sites Internet, des réseaux de jeunes et des données issues de la presse à Sao Paulo entre 2013 et 2017. Les auteurs références du cadre théorique utilisé sont Charles Tilly, Doug MacAdam, S. Tarrow et Klaus. Eder. D’autres jalons interprétatifs ont été trouvés chez des auteurs de nouvelles théories du socialisme libertaire, défenseurs des théories autonomistes, culturalistes et de la résistance civile.Mots-clés: Les jeunes. Activisme numérique. Participation. Luttes pour l’éducation. Les Politiques publiques et les jeunes.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Rothen, José Carlos. "O ensino superior e a Nova Gestão Pública: aproximações do caso brasileiro com o francês (Higher education and the new public management: comparisons between the Brazilian and French cases)." Revista Eletrônica de Educação 13, no. 3 (September 2, 2019): 970. http://dx.doi.org/10.14244/198271993549.

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Abstract:
With the aim of understanding the insertion of higher education into a new context of organization of society and State, which is managed according to the New Public Management, this work presents a comparative historical study of the organization of French and Brazilian higher education. It is concluded that the French adherence to the New Public Management is based on the knowledge economy, while the Brazilian one is based on State size reduction along the lines of the Washington Consensus; in addition, higher education institutions in both countries are organized to participate in competitions: in France, the international competition promoted by rankings, and in Brazil, the market competition.ResumoCom o objetivo de compreender a inserção do ensino superior dentro de um novo contexto de organização da sociedade e do Estado, gerido pela Nova Gestão Pública, o trabalho apresenta um estudo histórico comparativo da organização do ensino superior brasileiro e o francês. Conclui-se que a adesão francesa à Nova Gestão Pública tem como norte a economia do conhecimento, e a brasileira, a redução do Estado nos moldes do Consenso de Washington; e que as instituições de ensino superior nos dois países são organizadas para participarem de concorrências: na França, a internacional promovida pelos ranqueamentos, no Brasil, a mercantil.Palavras-chave: Ensino superior brasileiro, Ensino superior francês, Nova gestão pública, Universidade.Keywords: Brazilian higher education, French higher education, New public management, University.ReferencesAEBISCHER, S. Réinventer l'école, réinventer l'administration. Une loi pédagogique et managériale au prisme de ses producteurs. Politix, n. 98, n.2 p. 57-83 2012/2.AERES. Repères historiques. Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur. Disponível em: <www.aeres-evaluation.fr/Agence/Presentation/Reperes-historiques>. Acesso em: 17 nov. 2016.AMARAL, N. C. 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Ovoundaga, Marcy Delsione. "Les réseaux sociaux du web et les campagnes électorales au Gabon." Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 9, no. 1 (June 15, 2020): 154–65. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v9.n1.2020.424.

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Abstract:
FR. En Afrique en général et au Gabon en particulier, les réseaux sociaux numériques du Web ont participé à l’émergence des espaces publics oppositionnels. Ces nouveaux espaces semblent s’imposer comme des lieux d’expression de la citoyenneté démocratique. Car ils facilitent la production et la circulation de l’information, et ils permettent la liberté expression. Dans plusieurs Etats africains, Ils ont redéfini les relations et les contrats d’informations entre gouvernants et gouvernés en laissant apparaître désormais des formes d’horizontalités des rapports. Ils semblent avoir donné plus de vitalité au regard citoyen sur la gestion de la chose publique. Ces réseaux sociaux numériques, en tête desquels Facebook, ont permis aux citoyens d’être acteurs dans la production de la matière informative en faisant d’eux des journalistes citoyens. Un exercice de l’activité journalistique qui n’est pas sans conséquence pour le champ médiatique. Dans cet article, nous analysons les impacts de ce journalisme citoyen dans le champ médiatique gabonais avec la montée en puissance des fake news et le problème de crédibilité qu’il pose aux journalistes d’une part. Puis, nous traitons, d’autre part, des modes de consommation de l’information en période électorale dans cet environnement numérique gabonais qui reste marqué par la prégnance de la rumeur. Deux facteurs restent déterminants dans ces nouvelles configurations sociales et politiques. D’abord, la place du citoyen dans le débat politique. Ensuite, son intronisation dans les champs de la communication et de l’information en général et dans l’espace médiatique en particulier. Pour mener cette étude, nous nous sommes appuyés sur une série d’entretiens semi-directifs réalisée auprès des journalistes et des leaders d’opinion. Et nous avons effectué une veille communicationnelle sur la page Facebook Infos Kinguélé en amont et en aval des élections législatives de 2018. *** EN. In Africa in general, and in Gabon in particular, online social networks have contributed to the emergence of oppositional public spaces. These new spaces appear to be establishing themselves as places for the expression of democratic citizenship in that they facilitate the production and circulation of information and allow freedom of expression. In several African states, they have redefined relations and information agreements between governments and citizens and allow forms of horizontal relations to emerge. They seem to have given more vitality to citizens' views on the management of public affairs. These online social networks, led by Facebook, have enabled citizens to be actors in the production of news by giving them the forum to act as citizen journalists. This exercise of journalistic activity is not without consequences for the field of media. In this article, we analyze the impacts of this citizen journalism on Gabonese media with the rise of fake news and the credibility problem it poses for journalists. We also discuss the modalities of news consumption within this Gabonese online environment during the election period, which exhibited a marked prevalence of rumor propagation. Two factors are key in this new social and political configuration: first, the citizen's place in the political debate, and second, its effect on the fields of communication and news in general, and on the media space in particular. To carry out this study, we conducted a series of semi-structured interviews with journalists and opinion leaders and undertook a communication watch on the Facebook page “Infos Kinguélé” before and after the legislative elections of 2018 *** PT. Na África em geral, e no Gabão em particular, as redes sociais digitais da Web têm contribuído para a emergência de espaços públicos polarizados. Esses novos espaços parecem estar se estabelecendo como lugares de expressão da cidadania democrática, pois facilitam a produção e a circulação de informações, e permitem a liberdade de expressão. Em vários estados africanos, redefiniram as relações e contratos de informação entre governantes e governados, e agora permitem o surgimento de formas de horizontalidade das relações. Eles parecem ter dado mais vitalidade ao olhar cidadão sobre a gestão da coisa pública. Essas redes sociais digitais, lideradas pelo Facebook, têm permitido aos cidadãos serem atores na produção da matéria informativa, transformando-os em jornalistas cidadãos, um exercício da atividade jornalística não isento de consequências para o campo da mídia. Nesse artigo, analisamos, por um lado, os impactos desse jornalismo cidadão no campo da mídia gabonesa com o surgimento de fake news e o problema de credibilidade que ele representa para os jornalistas. Em seguida, discutimos, por outro lado, os modos de consumo da informação durante o período eleitoral nesse ambiente digital gabonês que permanece marcado pela prevalência de boatos. Dois fatores continuam sendo decisivos nessas novas configurações sociais e políticas. Primeiro, o lugar do cidadão no debate político. Depois, sua entronização nos campos da comunicação e da informação em geral e no espaço midiático em particular. Para conduzir esse estudo, partimos de uma série de entrevistas semiabertas com jornalistas e formadores de opinião. Além disso, realizamos um monitoramento da página do Facebook Infos Kinguélé antes e depois das eleições legislativas de 2018. ***
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Larue, Louis. "Focus 26 - janvier 2021." Regards économiques, January 28, 2021. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2021.01.28.01.

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Abstract:
Les crypto-monnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, animent le débat public depuis au moins 10 ans. A leur avènement, les banques centrales se sont montrées pour le moins frileuses. Ainsi, dans un rapport publié en 2013, la Banque centrale européenne (BCE) avertissait que la nature non réglementée de ces monnaies pourrait exposer leurs utilisateurs à des risques élevés. Plusieurs années plus tard, les banquiers centraux reconnaissent maintenant leur potentiel. La Banque d'Angleterre, la Banque centrale suédoise et la BCE étudient toutes intensément la possibilité d'émettre leur propre monnaie numérique (ci-après dénommée «monnaie numérique de banque centrale» ou «central bank digital currencies» en anglais). Cet enthousiasme est-il justifié ? Les banques centrales devraient-elles créer leur propre monnaie numérique ? Ce focus de Regards économiques présente d’abord brièvement ce que sont ces monnaies. Il expose ensuite les raisons justifiant leur éventuelle introduction et détaille finalement les risques qu’elles pourraient poser. Notons tout d’abord que ces monnaies ne sont pas une copie «publique» des crypto-monnaies privées. Les banques centrales rejettent en effet la nature décentralisée et l’absence de gouvernance unifiée du Bitcoin et des crypto-monnaies similaires. Par ailleurs, la nature «numérique» de ces nouvelles monnaies n’est pas vraiment une innovation. La majorité de la masse monétaire prend déjà une forme numérique. A côté de la monnaie «physique» (pièces et billets), la plus grande partie de notre monnaie est constituée de dépôts bancaires privés et de dépôts à la banque centrale (la monnaie de réserve). Pour l'instant, seules les banques et certaines institutions financières ont accès aux réserves de la banque centrale. La véritable innovation au cœur des monnaies numériques de banque centrale serait de donner aux particuliers et aux entreprises la possibilité de détenir de l'argent sous forme de dépôts directement auprès de la banque centrale. En somme, les monnaies numériques de banques centrales, malgré leur nom, ne formeraient pas une nouvelle monnaie, mais plutôt un nouveau moyen de payement, labellisé en euros, et de valeur équivalente à l’euro. Pour quelles raisons une banque centrale pourrait-elle donner cette opportunité à toutes et tous ? Une première raison est liée à la dépendance des banques centrales vis-à-vis du système financier. Le système financier moderne est basé sur une certaine division du travail entre les banques commerciales qui sont chargées de prêter de l'argent au secteur productif, et les banques centrales qui supervisent les premières et tentent d'influencer l'économie par des interventions sur les marchés financiers. Schématiquement, ces dernières tentent de peser sur le comportement des premières de deux manières : soit en modifiant le taux d’intérêt auquel les acteurs financiers peuvent leur emprunter de l’argent, soit via l’achat ou la vente d’actifs financiers. Cela signifie que les banques centrales n'ont qu'une influence indirecte sur l'économie productive et qu'elles dépendent des banques commerciales pour canaliser la politique monétaire. Lors de la crise financière de 2007-2008, par exemple, la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales a conduit les premières à injecter des milliards d'euros et de dollars sur les marchés financiers, dans l'espoir que les banques commerciales utilisent cet argent pour des investissements productifs. Or, l’efficacité de ces politiques est loin d’être démontrée. D’aucuns s’effraient que cette situation ne génère des bulles spéculatives et ne privilégie indûment les banques commerciales, sans que ces dernières ne financent l’économie productive à la hauteur des espérances des banquiers centraux. La mise en œuvre de monnaies numériques de banque centrale à grande échelle pourrait modifier radicalement cette situation. Cela offrirait un système de paiement alternatif qui ne serait pas géré par le secteur bancaire commercial. Les citoyens pourraient également choisir de placer leurs économies sur un compte à la banque centrale qui, par définition, serait plus sûr qu’un compte dans une banque commerciale. En outre, l'introduction de ces monnaies réduirait la dépendance des banques centrales vis-à-vis des banques commerciales en permettant aux banques centrales de créditer directement les comptes des citoyens ou des entreprises, sans nécessairement recourir à des intermédiaires bancaires. Par conséquent, l'introduction de ces monnaies pourrait rendre la politique monétaire plus directe et plus simple. A première vue, donc, on pourrait se réjouir de la possibilité de limiter la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales. Il convient cependant de considérer plusieurs problèmes importants. Premièrement, si les particuliers et les entreprises décident de considérer leur banque centrale comme leur fournisseur de services bancaires, ne risque-t-on pas de rendre les banques commerciales obsolètes et superflues ? Dans ce cas extrême, ni les citoyens ni les banques centrales n'auraient plus besoin d'intermédiaires pour l’octroi de crédits et l’accueil de dépôts. Les banques commerciales garderaient sans doute le rôle d’intermédiaire sur les marchés financiers, mais manqueraient d'une source de financement appropriée (les dépôts des clients) et perdraient une de leurs principales activités (les prêts). La taille des marchés financiers pourrait se réduire considérablement. Cela pourrait fragiliser la santé économique des banques commerciales et celle des marchés financiers dans leur ensemble. Un deuxième problème concerne l’équilibre des pouvoirs entre gouvernements, banques centrales et banques commerciales. À la suite de la crise financière, les banques centrales ont déjà acquis d'énormes pouvoirs. La BCE a par exemple participé à la Troïka en Grèce et dicté des réformes économiques structurelles dans ce pays. La Réserve fédérale américaine (la Fed), la BCE et la Banque d'Angleterre ont également obtenu des pouvoirs supplémentaires de supervision du système bancaire. Et elles sont toutes intervenues massivement sur les marchés financiers, par l'achat massif d'obligations et de titres. L’introduction de monnaies numériques de banque centrale renforcerait ces tendances et accroîtrait le poids des banques centrales sur les marchés financiers, en leur donnant un accès direct aux comptes des citoyens et des entreprises, et en leur permettant de contourner les acteurs financiers commerciaux. Ce déséquilibre de pouvoir pourrait encore accroître le déficit démocratique dont souffrent les banques centrales. Par ailleurs, les banques centrales, si elles sont amenées à fournir des services bancaires et à alimenter l'économie productive par le crédit, pourraient être entraînées dans d’importants conflits d'intérêts. En effet, ces dernières deviendraient leur propre régulateur. En conclusion, il est certain que les monnaies numériques de banque centrale suscitent un débat intéressant sur le rôle des banques centrales dans le système financier. D’une part, elles pourraient constituer une piste de solution à la dépendance des banques centrales vis-à-vis des marchés financiers. Cependant, elles pourraient également conduire à accroître démesurément les pouvoirs des banques centrales et à fragiliser les marchés financiers en rendant le financement des banques commerciales plus complexe. L’enjeu, en définitive, est le partage du pouvoir financier entre banques commerciales et banques centrales – un débat qui dépasse de loin l’objectif de ce focus, et qu’il ne prétend pas trancher. Pour aller plus loin : Larue, L., Fontan, C. et Sandberg, J. (2020). The promises and perils of Central Bank Digital Currencies. Revue de la Régulation, Numéro 28.
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Boyer, Anne-Lise, Brigitte Juanals, and Jean-Luc Minel. "Débats médiatisés et numériques sur la sécheresse. Le cas des pénuries d’eau dans un climat semi-aride en Arizona." Varia 38 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/11zr0.

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Abstract:
Cet article vise à analyser la publicisation des débats sur les orientations de politiques publiques, les choix sociotechniques et les solutions alternatives avancés par des acteurs et actrices, pour faire face aux situations de sécheresse et de pénurie en eau. Il prend pour cas d’étude l’État d’Arizona (États-Unis), dans lequel ces situations se multiplient et s’intensifient. Les analyses combinent les connaissances apportées par des entretiens et des observations sur le terrain avec l’analyse des réseaux d’acteurs et actrices, des discours collectés dans la presse locale et des messages sur Twitter. Il apparaît que les prises de position et les décisions de nature politique et économique entraînent des conséquences déterminantes sur la répartition des ressources hydriques. Enfin, l’article montre comment les prises de position et les discours, en relation avec les enquêtes de terrain, représentent une source d’importance pour évaluer les configurations spatio-temporelles des épisodes de sécheresses et pour déterminer quels sont les risques et les mesures mises ou à mettre en œuvre qui préoccupent les sociétés et font l’objet de débats publics.
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Sliwinski, Alicia. "Globalisation." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.084.

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Abstract:
Le concept de globalisation désigne l’interconnexion et l’interdépendance accrues de toute une gamme de relations sociales à l’échelle planétaire recouvrant d’importantes dimensions politiques, économiques, culturelles, environnementales et subjectives. Depuis les années 1980, la globalisation est devenue un discours dominant pour décrire la mise en place d’une nouvelle condition planétaire. Si nul ne nie que la globalisation soit un processus, la période historique qu’elle est censée marquer a fait l’objet de maints débats, aussi bien en anthropologie que dans les autres sciences sociales. Pour certains, la globalisation prend son essor au 19ème siècle avec les bouleversements liés au colonialisme, les avancées technologiques en matière de transport et de communication et l’expansion sans précédent des échanges commerciaux. Pour d’autres, la globalisation réalise la consolidation d’un système capitalisme mondial ou d’une « économie-monde » qui s’organise au 16ème siècle avec la division internationale du travail. Que des parties éloignées de la planète soient reliées entre elles ne date certes pas d’hier : les empires hellénique, romain et mongol ou encore la route de la soie montrent bien que les relations « transnationales » existent depuis longtemps. Cette discussion largement débattue a opposé le camp des « sceptiques » à celui des « globalisants » quant à la nouveauté du phénomène. Notons qu’en français deux termes existent pour désigner l’intensification et la multiplication des connexions et des réseaux reliant différentes parties du monde jadis nettement plus isolées les unes des autres : mondialisation et globalisation. Parfois ils sont utilisés en tant que synonymes, mais il y a lieu d’apprécier la nuance que leur distinction permet (Abélès 2008). La notion de mondialisation insisterait davantage sur les continuités historiques entre le passé et notre contemporanéité – sur le devenir-monde –, alors que la globalisation signale les discontinuités et les ruptures qui permettent d’affirmer que quelque chose de déterminant est apparu à la fin du 20ème siècle dans notre expérience du monde. Il y a au moins trois facteurs décisifs à cet égard : l’essor d’une économie de marché globale, l’ascension de l’Internet et des technologies de communication dans nos vies quotidiennes et l’apparition de mouvements et de politiques identitaires, plus ou moins violents, et parfois clairement orientés contre la globalisation. La phase actuelle de la globalisation est généralement associée à la doctrine du néolibéralisme, mais il ne faut pas les confondre. Le néolibéralisme caractérise le décloisonnement et la réorganisation des champs politiques et économiques dans le but de réduire les obstacles au commerce mondial. Les mesures macroéconomiques du Consensus de Washington introduites dans les années 1980 – telles que la libéralisation du commerce, la déréglementation de l’économie, la privatisation des entreprises nationales et la réduction des dépenses publiques et des impôts –, ont été mises en place pour favoriser le libre-échange entre les États. Avec la chute du bloc communiste qui annonçait, selon certains, « la fin de l’histoire » (Fukuyama 1992) et la preuve que les démocraties libérales étaient les plus aptes à assurer la croissance d’une économie avancée, la globalisation néolibérale a pris son envol. Au cœur de l’idéologie néolibérale siège la croyance que moins il y a d’entraves à une économie de marché globale, plus les pays seront prospères. De fait, la globalisation va grossir la sphère d’influence d’entités supranationales sur les États modifiant leur rapport au territoire et le contrôle de leurs économies nationales. Le triumvirat de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International et de l’Organisation mondiale du commerce y a joué un rôle clé, mais ces organisations ont également fait l’objet d’intenses critiques et de mobilisations populaires pour avoir creusé le fossé entre les riches et les pauvres. En matière d’économie politique, la globalisation néolibérale a libéré le capital de ses lieux de production : le capitalisme du nouveau millénaire n’est plus caractérisé par la valeur du travail, mais plutôt par la consommation, la délocalisation et la circulation sans précédent de flux financiers transnationaux, souvent spéculatifs, générant la concentration d’immenses fortunes, mais aussi de nouvelles formes d’exclusion et de dépossession. Parmi les gagnants, soulignons l’essor fulgurant des compagnies technologiques. De fait, le « numérique » exerce une influence considérable dans les nouvelles grammaires culturelles, symboliques et identitaires. Il est couramment entendu que c’est le rapport au temps et à l’espace que la globalisation a profondément altéré. Selon David Harvey (1989), la globalisation exprime la compression de l’espace et du temps, accélérant les processus économiques et sociaux. Elle a créé de nouvelles configurations sociales et technologiques ayant radicalement réduit le temps des échanges et des déplacements. Depuis, l’espace ne cesse de se réduire et le temps de s’accélérer. Pour Anthony Giddens (1990), il s’agit davantage d’un élargissement de l’expérience vécue de ces catégories, et de leur séparation, si bien que la globalisation implique le désenclavement (disembedding) des relations sociales de leurs contextes locaux. Ici, la globalisation prolonge et affermit le processus d’individualisation de la société entamé au 19ème siècle. Un troisième penseur de la globalisation parmi les plus cités est Manuel Castells (1998) qui a avancé l’idée de la société en réseau. Cette nouvelle société réticulaire, informationnelle et globale, est issue de la révolution technologique ayant profondément transformé les modes d’organisation économique, les modalités du travail (et leur contenu), ainsi que les pratiques sociales reliées au temps et à l’espace. À partir de ces thèses notoires, nous pouvons identifier quelques paramètres pour mieux cerner la globalisation : le mouvement accru du capital, des personnes, des marchandises, des images et des idées ; l’intensification des réseaux qui relient différentes parties du globe ; l’élargissement et la déterritorialisation de pratiques sociales, culturelles, politiques et économiques au-delà des frontières ; enfin l’imbrication du local au global, et vice versa, dans nos expériences vécues du monde. Ces dynamiques restent pertinentes, mais nous aurions tort de croire que la globalisation est un phénomène total et achevé. La société en réseau n’est pas uniformément distribuée et la géographie de la globalisation expose combien cette dernière encourage la concentration des activités économiques, politiques et culturelles dans quelques grands centres et mégapoles. Si d’un côté la globalisation tend à homogénéiser les cultures quand les contextes locaux assimilent des produits culturels importés – on a parlé de l’américanisation, de la McDonaldisation et de l’aplatissement du monde –, elle entraine tout autant des formes de fragmentation et de recomposition des identités ethniques et culturelles. De vifs débats ont cherché à déterminer si la globalisation produisait plus de standardisation ou de diversité, d’intégration ou de désintégration, et si ces processus s’avéraient avantageux ou non. Les questions d’échelle sont importantes et les anthropologues ont adopté des approches plurielles pour éviter les interprétations qui ont « tendance à se produire dans l’espace raréfié de la méta-histoire et des généralités abstraites » (Barber et Lem 2004). Jonathan Friedman (2008) envisage la globalisation sous l’angle de la modernité, entendue comme le champ culturel du capitalisme commercial. La globalisation s’articule alors au développement d’un ethos cosmopolitique dont l’essor continue d’infléchir la « forme sociale du monde » (Agier 2013). Les analyses anthropologiques ont mis l’accent sur les flux et les disjonctions que la globalisation entraine (Appadurai 1996), les nouveaux assemblages politiques, technologies et éthiques (Ong et Colier 2005), l’hybridité et la créolisation (Hannerz 1987), la circulation des marchandises et des valeurs dans les contextes non hégémoniques de la « globalisation-par-le-bas » (Ribeiro 2012; Haugerud et al. 2001), la création de « non-lieux » caractéristiques de la surmodernité (Augé 1992), ou les frictions que les nouvelles articulations entre le local et le global entrainent (Tsing 2005). Par ailleurs, la globalisation a eu des répercussions sur les méthodologies de l’anthropologie : on assiste à une plus grande réflexivité dans la pratique de terrain qui devient lui-même multisites (Marcus 1995). Il s’agit également de révéler les liens entre le micro et le macro et ce qui y circule, s’y négocie ou se conteste. Toutefois, au niveau épistémologique la globalisation n’a pas la même valence que la notion de culture. Peut-on parler d’une culture globale et faire une ethnographie du global ? Marilyn Strathern (1995) notait que le global risquait d’être un concept autoréférentiel puisqu’il n’offre pas de point de vue sur le monde : il ne donne pas à voir les relations sociales qui sont rendues manifestes dans des ancrages locaux. Ces questions ne sont pas tranchées et renvoient à la portée herméneutique accordée au global en tant que contexte dans et par lequel la pratique anthropologique opère, en tant qu’objet bon à penser, sur lequel agir, et qui libère de nouveaux imaginaires. Le 21ème siècle maintenant bien entamé, force est de constater que la globalisation a creusé les inégalités entre les nations, les régions et les classes sociales. En 2017, plus de 80 % de la richesse mondiale a été empoché par 1 % de la population (Oxfam 2018). Ces rapports d’inégalité ne s’expriment pas uniquement en termes économiques, mais aussi selon le genre et le degré d’exposition au risque. Ils alimentent également des mouvements de paniques morales face à diverses sortes d’indésirables, qu’il s’agisse de pandémies, de terroristes, de migrants ou de réfugiés. Les politiques identitaires, exacerbées dans l’exutoire des réseaux sociaux, sont un corollaire qui polarise l’espace politique autant par le « haut » (quand les gouvernements promeuvent des nationalismes xénophobes) que par le « bas » (quand les minorités revendiquent la reconnaissance de leurs droits). Ces tensions profondes forcent à repenser le paradigme de l’État-nation dont la souveraineté affaiblie expose la désuétude d’un modèle d’exercice du pouvoir. L’utopie de la globalisation s’est essoufflée et d’autres concepts sont apparus, tels ceux de capitalocène et d’anthropocène pour accuser les maux engendrés par le capitalisme et l’impact délétère des activités humaines sur la planète. Comment infléchir les pathologies de la globalisation pour y remédier est sans doute l’enjeu principal de notre avenir commun.
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