Dissertations / Theses on the topic 'Droites nationales, extrême droite'

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Studnicki, Mickaël. "Droites nationales, genre et homosexualités en France. Des années 1870 aux années 2010." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2020. http://www.theses.fr/2020SORUL124.

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Abstract:
La thèse propose une histoire politique renouvelée des droites nationales françaises à travers l’étude de ses principales ligues (Action Française, Croix-de-Feu, Ligue des Patriotes), de ses mouvements (Front National), journaux et penseurs majeurs. Elle entend étudier les continuités, les mutations et les ruptures de ce courant politique en analysant la genèse, les variations et les évolutions de son discours sur les homosexualités sur la longue durée : des débuts de la Troisième République, lesquels correspondent à l'apparition de la catégorie de « l'homosexuel » et à la naissance des premiers mouvements nationalistes, jusqu'au début des années 2010 avec les débats sur le Mariage Pour Tous et la « théorie du genre »
The thesis offers a renewed political history of the French national far right-wings through the study of its main leagues (Action Française, Croix-de-Feu, Ligue des Patriotes), its political movements (National Front), newspapers and major thinkers. It will study the continuities, transformations and breakings of this political trend while analyzing the genesis, changes and evolutions of its speech about homosexuality on a long time basis: from the beginnings of the Third Republic which match to the outbreak of the “homosexual” category and to the birth of the first national movements, until the early 2010s with the public debates about the Same Sex Marriage and the “gender theory”
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Colas, Jean-François. "Les droites nationales en Lorraine dans les années 1930 : acteurs, organisations, réseaux." Paris 10, 2002. http://www.theses.fr/2002PA100151.

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Abstract:
En Lorraine, dans les années 1930, les partis de droite ne sont pas parvenus à s'organiser durablement mais ils sont représentés par des élus qui résistent à l'offensive des partis de gauche en 1932 et 1936. La Fédération républicaine n'a pas réussi à concrétiser ses projets de mettre en place une organisation solide. Les nationaux s'organisent alors en groupements ponctuels à partir de 1934, dans plusieurs villes. Les activistes militaient à l'Action française et aux Jeunesses patriotes au début des années 1930. Au lendemain du 6 février 1934, le Francisme, la Solidarité française, en Moselle essentiellement, et les Croix de feu surtout connaissent un essor indéniable. Les agriculteurs lorrains s'organisèrent également, même si les campagnes restèrent calmes. Les militants des ligues adhérèrent aux partis qui ont succédé aux ligues dissoutes en 1936 mais seul le P. S. F. Devint un parti de masse. Ils rejoignirent aussi des rassemblements locaux afin de combattre le communisme : le Front lorrain en Moselle et le R. N. L. . Les responsables locaux des Croix de feu puis du P. S. F. Ont été proches des autres organisations nationales. Ils étaient d'ailleurs issus du même milieu : ce sont des hommes de droite, anciens combattants, officiers de réserve et catholiques. Mais ils finirent par obéir aux consignes d'indépendance de La Rocque. Le P. S. F. Fut alors en butte à l'hostilité des autres formations politiques à partir de 1937. Les Croix de feu puis le P. S. F. Disposèrent de l'appui de périodiques locaux, d'élus, d'industriels et de porte-parole du monde catholique. Le P. S. F. S'est inséré dans le jeu électoral et deux députés rejoignirent son groupe parlementaire. Toutefois, les notables acceptèrent difficilement la stratégie électorale de la Rocque. La Lorraine a connu dans les années 1930 une radicalisation et une bipolarisation de sa vie politique. Plusieurs parlementaires étaient proches des Jeunesses patriotes et des Croix de feu. Ils sont liés au monde catholique conservateur à l'instar des Ligues. L'anticommunisme fédéra les nationaux, y compris certains militants hostiles au régime républicain. Toutefois, d'autres parlementaires restèrent modérés et se tinrent à l'écart des Ligues. « L'esprit lorrain » explique en partie et l'anticommunisme des nationaux, et leur vigilance à l'égard de l'Allemagne, même s'ils acceptèrent les accords de Munich
In Lorraine, in the 1930's, right-wing political parties did not manage to organize themselves durably and thoroughly but they were represented by numerous elected members, who resisted the push of left-wing parties, notably in 1932 and 1936. The republican Federation did not succeed in giving a concrete expression to its project to set up a solid organization. The « national » then got organized in punctual groupings from 1934 onward in several cities. The activits militated in Action française or in the patriotic Youths at the beginning of the 1930's. After february 6, 1934, Francisme, the Solidarité française, chiefly in the Moselle, and above all the Croix de feu expended unquestionably. Farmers also got organized, even if countrysides remained quiet altogether. Leagues' activists adhered to the parties which succeeded in the dissolved leagues in 1936. However, the P. S. F. Was the only party which evolved into a large scale party. Militants also took part in local assemblies in order to fight communism : the Front lorrain and the R. N. L. . Local leaders from the Croix de feu and later the P. S. F. Were related to other « national » organizations. Their background was similar : they were right-wing men, war veterans, reserve officers and Catholics. But they eventually obeyed La Rocque when he enjoined them to become independant. The P. S. F was then exposed to the hostility of other political groups from 1937 onward. The Croix de feu and the P. S. F. Could rely on the support of local newspapers, elected representatives, manufacturers and Catholics'spokesmen. However, notables reluctantly accepted La Rocque's electoral strategy. Lorraine political life evolved toward radicalisation and bipolarisation. Several MPs were related to leagues. They were connected to conservative Catholics, as were the leagues. They fought the same opponents : freemassons and left-wing parties. Anticommunism federated the « national », including certain activits opposed to the republican system. Representatives and notables of the republican Federation, implacable opponents to Front populaire, mixed with these militants. Xenophobe ideas spred, partly inspired by anti-german feelings. Never the less, other MPs remained moderate and the P. S. F ; appears as a centrist party. The « spirit of Lorraine » explains both anticommunism and national' mistrust of Germany, even if many accepted the Munich agreeement
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Poirier, Philippe. "Les droites "extrêmes" en Europe : histoire et identité(s) politique(s)." Rennes 1, 2002. http://www.theses.fr/2002REN10400.

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Abstract:
Sur la base d'un examen attentif de l'idéologie Republikaners en Allemagne, du FPÖ en Autriche, du Vlaams Blok en Belgique, du Front National en France, de l'Alleanza Nazionale et de la Lega en Italie et du rapport que ces partis entretiennent à leurs traditions politiques respectives, nous voulons proposer une nouvelle typologie des droites. Nous considérons qu'il existe une rupture avec les partis de centre droit et les droites d'Etat dominant les différents systèmes politiques européens depuis 1945) et l'extrême droite. De plus, ces partis seraient l'expression d'un processus d'augmentation. C'est-à-dire leur critique idéologique ne devient légitime au sein de la droite (comprise comme culture) que si elle (ré)interprète et renvoie à ses principes fondateurs (le conservatisme et le libéralisme). Cette augmentation idéologique apparaît d'autant plus légitime qu'elle s'insère dans un contexte de démantèlement de l'Etat-providence et de crise de l'Etat-nation. Les différences entre les partis que nous évoquerons en conclusion ne sont pas dues aux différents contextes nationaux ou aux groupes sociaux qui les soutiennent. Elles reposent avant tout sur une différence idéologique en rapport aux nouveaux enjeux politiques analogiques
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Picco, Pauline. "Histoire entrecroisée des extrêmes droites françaises et italiennes : cultures politiques, itinéraires, réseaux (1960-1984)." Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040184.

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Abstract:
Le soutien des militants italiens au combat « Algérie française » puis OAS entraîne, à partir de 1960, la création de réseaux franco-italiens d’extrême droite. Les solidarités internationales qui se constituent à la faveur du combat OAS, les contacts et circulations militantes, l’émergence d’une pensée d’extrême droite qui place ses objectifs au-delà du cadre strictement national, l’apparition de combats communs liés au processus de décolonisation et des échanges intellectuels inédits contribuent à mettre en place des réseaux d’extrême droite initialement fondés sur des relations personnelles. L’institutionnalisation progressive de ces contacts, la difficile reconversion des activistes OAS en exil en Europe, leurs relations troubles avec certains services de renseignements déterminés à contrer l’avancée socialiste dans le Tiers-Monde entraînent la formation de réseaux européens qui lient notamment groupes français et italiens d’extrême droite. Au-delà des renouvellements générationnels qui affectent la période, ces relations étroites permettent aux terroristes italiens d’extrême droite qui prennent part à la « stratégie de la tension », de 1969 à 1982, de bénéficier du soutien constant de leurs camerati français. Parallèlement, le Movimento sociale italiano (MSI) entretient avec la nébuleuse française d’extrême droite, entre 1960 et 1984, des relations constantes et exerce sur elle une influence certaine qui n’exclut toutefois pas certaines formes de réciprocités en matière de circulations politiques et culturelles et d’échanges militants
The support of Italian activists in the “Algérie française” fight, and then with the OAS, gave birth to French-Italian far-right networks from 1960. International alliances that favoured the OAS struggle were formed, contacts and militants were exchanging ideas, the emergence of a far-right way of thinking whose goals went beyond strict national frameworks, a common political outlook on the issue of decolonisation, and new intellectual debates contributed to the growth of far-right networks that were initially based on personal relationships. The gradual institutionalisation of these contacts, the difficult integration of OAS activists in exile in Europe, and their ambiguous relationships with intelligence services determined to counter the socialist movement in the Third World brought about the creation of European networks that united French and Italian far-right groups. Beyond generational changes during this period, these close relationships enabled Italian far-right terrorists who were involved in the « Strategy of Tension », from 1969 to 1982, to benefit from the consistent support of their French camerati. In parallel, the Movimento sociale italiano (MSI) maintained consistent relationships with French far-right cells between 1960 and 1984. Whilst they exerted a considerable amount of influence, they maintained reciprocal alliances with regards to their political and cultural agenda, and continued to exchange militant forces
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Picco, Pauline. "Histoire entrecroisée des extrêmes droites françaises et italiennes : cultures politiques, itinéraires, réseaux (1960-1984)." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040184.

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Abstract:
Le soutien des militants italiens au combat « Algérie française » puis OAS entraîne, à partir de 1960, la création de réseaux franco-italiens d’extrême droite. Les solidarités internationales qui se constituent à la faveur du combat OAS, les contacts et circulations militantes, l’émergence d’une pensée d’extrême droite qui place ses objectifs au-delà du cadre strictement national, l’apparition de combats communs liés au processus de décolonisation et des échanges intellectuels inédits contribuent à mettre en place des réseaux d’extrême droite initialement fondés sur des relations personnelles. L’institutionnalisation progressive de ces contacts, la difficile reconversion des activistes OAS en exil en Europe, leurs relations troubles avec certains services de renseignements déterminés à contrer l’avancée socialiste dans le Tiers-Monde entraînent la formation de réseaux européens qui lient notamment groupes français et italiens d’extrême droite. Au-delà des renouvellements générationnels qui affectent la période, ces relations étroites permettent aux terroristes italiens d’extrême droite qui prennent part à la « stratégie de la tension », de 1969 à 1982, de bénéficier du soutien constant de leurs camerati français. Parallèlement, le Movimento sociale italiano (MSI) entretient avec la nébuleuse française d’extrême droite, entre 1960 et 1984, des relations constantes et exerce sur elle une influence certaine qui n’exclut toutefois pas certaines formes de réciprocités en matière de circulations politiques et culturelles et d’échanges militants
The support of Italian activists in the “Algérie française” fight, and then with the OAS, gave birth to French-Italian far-right networks from 1960. International alliances that favoured the OAS struggle were formed, contacts and militants were exchanging ideas, the emergence of a far-right way of thinking whose goals went beyond strict national frameworks, a common political outlook on the issue of decolonisation, and new intellectual debates contributed to the growth of far-right networks that were initially based on personal relationships. The gradual institutionalisation of these contacts, the difficult integration of OAS activists in exile in Europe, and their ambiguous relationships with intelligence services determined to counter the socialist movement in the Third World brought about the creation of European networks that united French and Italian far-right groups. Beyond generational changes during this period, these close relationships enabled Italian far-right terrorists who were involved in the « Strategy of Tension », from 1969 to 1982, to benefit from the consistent support of their French camerati. In parallel, the Movimento sociale italiano (MSI) maintained consistent relationships with French far-right cells between 1960 and 1984. Whilst they exerted a considerable amount of influence, they maintained reciprocal alliances with regards to their political and cultural agenda, and continued to exchange militant forces
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Reynès, Alexandre. "Les droites nationalistes en France : une approche anthropologique et mythocritique des groupes et des imaginaires politiques." Paris 5, 1999. http://www.theses.fr/1999PA05H039.

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Abstract:
Le corps de ce travail se divise en trois grandes parties, correspondant chacune a différents niveaux d'approche du phénomène nationaliste. D'une présentation des diverses composantes politiques et associatives dans une analyse "morphologique", l'ouvrage s'achemine vers une approche anthropologique, une mythocritique des imaginaires qui structurent l'existence de ces mouvements. De l'une à l'autre, une étude des modalités de construction et d'affirmation d'une pensée politique en acte se présente autour de trois principaux thèmes : lieux, rituels, discours. A travers la description précise des composantes sociopolitiques des droites nationalistes, l'auteur précise les doctrines, le contexte d'émergence, la composition, l'audience en terme de militants ou d'électoral, mais aussi l'actualité de chacune d'entre elles dans la conjoncture d'une recomposition des imaginaires politiques. Lieux, rituels, et discours. La structure ainsi formée pose le cadre de l'existence de chaque groupe et définit son évolution. On y repèrera les convergences faisant de la "société" nationaliste une totalité relativement homogène dans le questionnement d'une réalité politique, et les divergences qui font naitre une pluralité de réponses et de modes d'affirmation. Suit l'étude des mythes et particulièrement des formes du mythe héroïque et du mythe sacrificiel, conjuguées maintes fois dans cette pensée politique. Se dévoilent alors les constantes de ces caractères, dont la qualité essentielle est de mobiliser des valeurs communes et de fonder la cohésion du groupe. L'auteur s'efforce ainsi de comprendre et d'exposer le rôle dialectique du mythe dans la structuration du discours, son pouvoir de transmission du message politique dans une communication non-rationnelle.
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Onno, Jérôme. "L'extrême-droite et la Cinquième République." Tours, 2002. http://www.theses.fr/2002TOUR1001.

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Abstract:
Ce travail vise à rendre compte de la situation de l'extrême-droite sous la Cinquième République. Cela impose de répondre à deux questions, éclairant chacune un des pans du rapport qu'elle entretient avec le régime. En premier lieu, il faut déterminer quel jugement elle porte sur les institutions. En la matière, malgré sa capacité théorique à produire une analyse pertinente du régime, l'extrême-droite échoue à énoncer une analyse juridique cohérente. Sans doute doit-on en chercher la raison dans les rapports qu'elle entretient avec le droit, qu'elle considère comme un outil dans un combat plus vaste, sans valeur en soi. Il semble en revanche que sous l'angle de l'insertion dans le jeu politique, l'extrême-droite ait mieux réussi. Toutefois, un examen approfondi permet de nuancer cette affirmation : c'est plus à une situation économique et sociale favorable qu'à son habileté qu'elle doit ses réussites. Cela est confirmé par l'influence quasiment nulle qu'elle retire de ses victoires électorales. L'histoire de l'extrême-droite sous la Cinquième République est donc celle d'une longue impuissance, que viennent parfois masquer, mais jamais remettre en cause, des succès électoraux.
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Blau, Lucien. "Histoire de l'extrême-droite au Grand-Duché de Luxembourg au XXe siècle." Metz, 1996. http://docnum.univ-lorraine.fr/public/UPV-M/Theses/1996/Blau.Lucien.LMZ968_1.pdf.

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Abstract:
La thèse montre l'évolution de l'extrême-droite luxembourgeoise au cours du vingtième siècle. Elle analyse les différents modèles du courant de pensée d'extrême-droite et les influences étrangères qu'ils ont subies : - le modèle des catholiques intégristes visant à établir l'hégémonie idéologique et politique de l'église et à christianiser tous les domaines de la société afin de mettre fin au pluralisme. - le modèle du nationalisme intégral de l'"union nationale luxembourgeoise", fortement influence par Barrès et Maurras. - le modèle national-populiste de Léon Müller qui s'inspire de Léon Degrelle. - le modèle national-socialiste qui s'exprime à travers différentes organisations des années trente dont les membres collaboreront avec l'occupant nazi. La thèse décrit l'idéologie des mouvements d'extrême-droite des années quatre-vingt et quatre-vingt-dix, leur implantation, la continuité et la rupture avec le discours de l'extrême-droite d'hier
The thesis shows the evolution of luxembourg right wing extremism in the course of the twentieth century. It analizes the different models in the trend of thinking of right wing extremism and the foreign influences they were subject to. - the model of the catholic integrists aiming at establishing an ideological and political hegemony of the church and to christianize all domains of society in order to put an end to pluralism. - the model of all-embracing nationalism of the "luxembourg national union" strongly influenced by Barrès and Maurras. - the national-populist model of Leon Müller who takes his inspiration from Leon Degrelle. - the national-socialist model expressing itself in various organizations of the thirties and the members of which collaborate with the nazi occupants. The thesis describes the ideology of the right wing movements of the eighties and the nineties, their impact, the programmatical continuity and discontinuity with the programm of the extreme right wing organizations of the past
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Roy, Jean-Philippe. "Le Front national en région Centre : 1984-1992 /." Paris : l'Harmattan, 1993. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb366656757.

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Renaud, Emmanuel. "Analyse compréhensive de l'émergence du Front national comme force politique depuis 1980." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1994PA040268.

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Abstract:
L'emergence du front national en france a ete analysee comme le resultat de causes independantes a l'extreme-droite. Ces dernieres sont de plusieurs types. Les aspects environnementaux y tiennent une part importante : c'est la "crise" qui a favorise le f. N. . Les explications symboliques, "le rejet de l'autre", le "retour du refoule"; et inconscientes, "les partisans du front national laissent libre-cours a leurs pulsions"; sont un deuxieme type d'analyse. Un troisieme type, plus logique mais neanmoins tres limite, a decrit la strategie politique du president socialiste - qui consistait a favoriser l'emergence du f. N. Pour morceler la droite - comme facteur explicatif principal. Notre analyse s'attachera a demontrer le renouveau doctrinal droitise, les liens entre les principaux groupes d'intellectuels extremistes, les strategies qui ont preside a l'elaboration d'un parti politique a part entiere. Ces facteurs sont envisages dans la perspective de l'individualisme methodologie. Les nouveautes doctrinales ainsi que les alliances politiques sont analysees sous la forme d'une "exegese" de textes, et d'une analyse comparative des principales idees sur lesquelles se fondent les groupes de la "nouvelle droite" et de l'extreme-droite
The rising of the "front national" in france has been analysed as the result of causes independant from right-wing movements. The nature of these are different : - environmental factors play an important part in the emergence of the f. N. , notably the economic crisis. Somme explanations provide an analytical approach of a second nature : - symbol laden explanations, such a s racism - f. N. Partisans let go of their "instincts". (freudian approach) a third type of analysis, more logical, however limited, stands from president mitterrand's policy : the rising of the f. N. Movement has all but one purpose : to split the right. Our analysis is threefold : it is built on a demonstration that rightists intellectuals, finally that strategies presided in the launching of the f. N. As a political party
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Montagner, Aurélien. "Le nationalisme conspirationniste soralien, une idéologie radicale et marginale de l’extrême droite française contemporaine." Thesis, Bordeaux, 2020. http://www.theses.fr/2020BORD0255.

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Abstract:
Notre thèse est une étude du nationalisme conspirationniste soralien, une idéologie qui doit être considérée comme une des composantes de l’extrême droite française contemporaine. Dans un contexte de résurgence du nationalisme et de développement du conspirationnisme, notre travail consiste à comprendre et expliquer ce phénomène politique, avant tout doctrine mais aussi réseau et mouvement militant qui jouit d’une audience considérable. Notre hypothèse est que cette idéologie, tout en s’inscrivant pleinement dans l’héritage de ce courant politique, en constitue aujourd’hui une branche bien spécifique et certainement la plus radicale. Ce qui s’explique notamment par l’affirmation d’un conspirationnisme généralisé et d’un antisémitisme exacerbé, caractéristiques dont l’essentiel du reste de l’extrême droite française s’efforce au contraire de se défaire. Pour le démontrer, notre travail s’organisera en trois temps. La première étape consistera à décrire cette idéologie, en s’intéressant notamment aux principes fondamentaux de sa doctrine ainsi qu’aux principaux acteurs qui participent à son élaboration et à sa diffusion. Nous procéderons ensuite à une analyse détaillée du nationalisme, du conspirationnisme, et de l’antisémitisme qui en constituent les caractéristiques principales. Enfin, nous tenterons de la situer, historiquement et par rapport à d’autres mouvements et idéologies politiques contemporains, sans omettre les questions primordiales de sa diffusion et de son audience
Our thesis is a study of Soralian conspiracy nationalism, an ideology that must be considered as one of the components of the contemporary french far right. In a context of resurgence of nationalism and development of conspiracy theory, our work consists in understanding and explaining this political phenomenon, above all doctrine but also a network and militant movement which enjoys a considerable audience. Our hypothesis is that this ideology, while fully in keeping with the heritage of this political force, is today a very specific and certainly the most radical branch of it. This can be explained in particular by the affirmation of a widespread conspiracy and exacerbated antisemitism, characteristics which most of the rest of the French extreme right, on the contrary, is trying to get rid of. To demonstrate this, our work is organised in three stages. The first stage will consist of describing this ideology, focusing in particular on the fundamental principles of its doctrine and the main actors involved in its elaboration and dissemination. We will then proceed to a detailed analysis of nationalism, conspiracy, and antisemitism as its fundamental characteristics. Finally, we will try to situate it, historically and in relation to other contemporary political movements and ideologies, without omitting the crucial question of its dissemination and audience
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Venner, Fiammetta. "Les mobilisations de l'entre-soi : définir et perpétuer une communauté : le cas de la droite radicale française, 1981-1999." Paris, Institut d'études politiques, 2002. http://www.theses.fr/2002IEPP0007.

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Crépon, Sylvain. "Les logiques identitaires de l'idéologie des militants du Front national de la jeunesse : une perspective socio-anthropologique du nationalisme d'extrême droite des années 90." Paris 10, 1999. http://www.theses.fr/1999PA100151.

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Abstract:
Depuis plus de quinze ans sur le devant de la scene politique francaise, le front national obtient, lors des elections presidentielles de 1995, 15% des suffrages, ce qui constitue le score le plus important de l'extreme droite dans l'histoire de la republique francaise. Cet electorat, loin d'etre majoritairement constitue de personnes agees nostalgiques des regimes fascistes des annees 30 ou de la seconde guerre mondiale, concerne au contraire, dans une large mesure, des individus jeunes n'ayant pas connu cette periode sombre de l'histoire. Comprendre ce phenomene impliquait une etude approfondie des thematiques ideologiques qui seduisent cette frange de la jeunesse. Telle est la perspective a l'origine de cette recherche qualitative sur l'ideologie des jeunes militants du front national. En rejetant les clivages politiques et sociaux au nom de l'unite nationale censee les transcender, cette ideologie s'inscrit dans la tradition politique de l'extreme droite francaise et semble menacer par la le systeme democratique republicain. Au pluralisme politique est - substituee une exacerbation de l'identite nationale dont les themes, fortement influences par les theses de la nouvelle droite, proviennent de la recuperation des concepts de l'anthropologie. Une etude par l'anthropologie de la recuperation de ses propres outils s'avere des lors susceptible de reveler certaines des orientations fondamentales des identifications politiques a l'heure actuelle et, partant, de reinterroger, a travers un autre regard, quelle signification la democratie revet chez les nouvelles generations.
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Dubslaff, Valérie. "Les femmes et l'extrême droite politique en République fédérale d'Allemagne. Le Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD) à l’épreuve du genre (1964-2017)." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040108.

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Abstract:
Cette thèse interroge les continuités de l’extrême droite allemande après 1945 en s’intéressant aux femmes du Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD) créé en 1964 en République fédérale. Focalisée sur les actrices, elle éclaire les spécificités des générations de femmes qui s’y sont succédé, des militantes « postfascistes », légalistes et républicaines des années 1960 aux militantes « néofascistes », nationales-révolutionnaires et antisystème des années 2000. Partant du constat de leur marginalité politique, ce travail étudie les rapports de genre et questionne l’agency féminine dans une extrême droite masculiniste. Afin de surmonter leur isolement, les femmes nationales-démocrates ont ponctuellement élaboré des stratégies d’auto-affirmation, passant notamment par des rassemblements féminins : après la fondation d’un Conseil des Femmes en 1968 et de groupes de femmes en 1976/1977, le Cercle des Femmes nationalistes, fondé en 2006, marque l’aboutissement de leurs revendications antisexistes, revendications qui posent également la question du rapport ambivalent qu’elles entretiennent avec le féminisme politique. Cette thèse propose, enfin, une analyse de l’idéologie des femmes nationales-démocrates : en politisant le « domaine féminin » (famille, culture, société), elles ont contribué à définir la ligne du NPD qui, au gré des transformations historiques, est passé de son souverainisme nationaliste initial à un nationalisme identitaire dans les années 1970/1980, avant d’aboutir, après 1990, à un nationalisme völkisch. Cette thèse pose ainsi un regard inédit sur les processus de féminisation dans l’extrême droite allemande et propose une lecture différente de l’histoire de la République fédérale
This PhD thesis deals with the continuities of the far right in Germany after 1945 by examining the special case of extremist women in the National Democratic Party of Germany, founded in the Federal Republic of Germany in 1964. It analyses the characteristics of the generations of national-democratic women who succeeded each other, from the “postfascist” legalist and democratic activists of the 1960s to the national-revolutionary and anti-system “neofascists” of the 2000s. It examines their political marginality within the party and therefore questions the female agency in the masculinist far right. In order to break out of their isolation, national-democratic women have occasionally developed some self-affirmation strategies : after the foundation of a Federal Women’s Council in 1968, they founded Women’s Groups in 1976/1977 and a Circle of nationalist Women in 2006. This women’s organisation can be considered as the culmination of their antisexist claims, it therefore puts into question their relationship with political feminism. This thesis finally analyses the women’s ideology : through their “female domain” (family, culture, society), they have contributed to the definition of the NPD’s general party line which changed from a sovereigntist nationalism in the 1960s to an identitarian nationalism in the 1970s/1980s, and finally to a völkisch nationalism from 2000 onwards. Thus, this thesis sheds a light on feminisation processes on the far right and offers a different understanding of German history
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Lecoeur, Erwan. "Le Front national : sens et symboles. La construction d'un repli identitaire "ethnico-religieux" dans la France de la fin du XXe siècle." Tours, 2002. http://www.theses.fr/2002TOUR2023.

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Abstract:
Le travail constitue une relecture du phénomène d'émergence du Front National dans la France de la fin du XXe siècle. Il s'appuie sur certains travaux issus de la sociologie (politique et religieuse), ainsi que de concepts issus de l'anthropologie, de la science politiuqe ou de la psychologie sociale. A partir du fait social constitué par la réussite politique du "national-populisme" à base raciste du F. N. [. . . ] La démonstration repose sur deux registres particuliers [. . . ] L'ensemble du travail se décompose en trois parties principales [. . . ]A travers ses symboles, c'est donc une lecture des "frontières" de l'idéologie national-populiste et raciste du FN qui sera tentée. Pour en tirer un "sens".
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Igounet, Valérie. "L'histoire d'une négation : négationnisme et "révisionnisme" en France de l'après-guerre à nos jours." Paris, Institut d'études politiques, 1998. http://www.theses.fr/1998IEPP0033.

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Abstract:
Contemporaine de la création d'Israël, la naissance du négationnisme annonce des enjeux idéologiques. Son essence même dévoile un discours dominé par l'antisémitisme. Dès l'après-guerre, il présente, en France, cette spécificité de trouver écho et zélateurs aux deux extrêmes de l'échiquier politique. Des rapprochements de personnes, réunies par une convergence d'intérêts, s'opèrent. L'histoire du négationnisme en France rend compte de cette singularité hexagonale, de l'affaire Faurisson. Elle expose la réaction des intellectuels face au négationnisme, montre ses enjeux politiques et son utilisation par le Front national ; enfin, elle met à mal une méthode de négation
Contemporaneous with the creation of Israel, the birth of negationism announces ideological stakes. Its very nature reveals a discourse which is dominated by antisemitism. As soon as the post war period, it is interesting to notice that in France, this movement finds echo and zealous supporters at the extreme right wing as well as at the extreme left wing. People of different horizons are reconcilied thanks to common stakes. The history of negationism in France shows this hexagonal particularity, it shows the Faurisson case ; it talks about the reaction of intellectuals when confronted to negationism, also about its political stakes and how the National Front copes with it. Finally, it criticizes a method of negation
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Heimberger, Daniela. "Der Front National im Elsass : Rechtsextremismus in Frankreich ; eine regionale Wahlanalyse /." Wiesbaden : Westdt. Verl, 2001. http://www.gbv.de/dms/bs/toc/334153697.pdf.

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Waltå, Göran O:sson. "Poet under black banners : the case of Örnulf Tigerstedt and extreme right-wing Swedish literature in Finland 1918-1944 /." Stockholm : Almqvist och Wiksell, 1993. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35614494j.

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Dézé, Alexandre. "Idéologie et stratégies partisanes : une analyse du rapport des partis d'extrême droite au système politique démocratique : le cas du Front national, du Movimento sociale italiano et du Vlaams Blok." Paris, Institut d'études politiques, 2008. http://www.theses.fr/2008IEPP0048.

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Abstract:
La recherche sur les partis d’extrême droite en Europe s’est jusqu’à présent principalement focalisée sur la dimension exogène du phénomène en privilégiant des approches de type étiologique, macroscopique et monographique. Rompant avec ces orientations dominantes, cette thèse se propose d’aborder ce phénomène en lui-même et pour lui-même et de s’intéresser, à partir du cas du FN, du MSI et du VB, aux interactions entre idéologie et stratégies partisanes, en partant d’une interrogation initiale sur les rapports de tension entre partis anti-système et système politique démocratique. S’appuyant sur des sources primaires (archives et iconographie des partis) mais aussi sur des investigations de terrain réalisées en Belgique, en France et en Italie, ce travail s’organise autour de trois grandes parties. La première partie porte tout d’abord sur les enjeux taxinomiques de la thèse puis propose, sur la base d’une analyse critique des approches environnementales et organisationnelles des partis, un ensemble d’hypothèses sur les choix stratégiques qui s’offrent aux partis d’extrême droite, choix replacés sur un continuum compris entre deux pôles (adaptation au système et démarcation par rapport au système). La deuxième et la troisième parties offrent une vaste exploration empirique de ces hypothèses, en revenant tout d’abord sur le moment-création du FN, du MSI et du VB, puis en analysant les modalités, logiques et implications des stratégies des dirigeants au cours des trois grandes phases qui ont ponctué l’évolution de ces partis (traversée du désert, émergence politique et conquête du pouvoir)
On the whole, classical approaches have analysed extreme right parties by focusing on their structural conditions of emergence and success in a macroscopic and monographic way. This PHD dissertation aims to suggest another way of studying these parties, by adopting both an endogenous and a comparative approach centered around the relationships between these parties (which put forward an anti-system ideology) and the democratic political system. Three cases are considered: the FN, the MSI and the VB. Founded on archives, graphic propaganda and a fieldwork conducted in Italy, France and Belgium, this dissertation is organised around three main parts. The first part deals with taxonomic and theoretical issues, stressing various hypotheses on strategic possibilities for extreme right parties (between adaptation to the system and distinction from the system). The second and third parts test these hypotheses from an empirical point of view, by examining the genetic phase of the studied parties and by analysing the strategies implemented by their leaders, and their consequences during the three main phases of the evolution of the FN, the MSI and the VB (the political wilderness, the political emergence, and the coming to power)
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Ivaldi, Gilles. "Les cultures politiques des sympathisants et adhérents du Front National : enquêtes dans le département de l'Isère." Université Pierre Mendès France (Grenoble ; 1990-2015), 1994. http://www.theses.fr/1994GRE21017.

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Abstract:
La these analyse les cultures politiques des sympathisants et adherents du front national dans l'ensemble du departement de l'isere. Les resultats s'appuient sur deux enquetes originales : dans une premiere etape. 27 interviews non directives d'expression libre ; en second lieu, un questionnaire postal auto-administre auquel ont repondu 644 personnes. L'etude des donnees qualitatives et quantatives montre l'existence de plusieurs orientations ideologiques chez les supporters de jean-marie le pen et la coherence de leurs systemes de representations. Trois grands registres d'adhesion se degagent autour des themes de la "conservation sociale", de la "protestation" et de la "revolution", montrant l'heterogeneite des profils ideologiques des sympathisants et adherents frontistes. A un niveau plus fin, l'etude met en lumiere six types differencies possedant leurs caracteristiques propres : heterodoxie protestataire, droite polulaire radicalisee, familio-centrisme, droite radicale, neo-vichysme "pur" et neo-vichysme d'impregnation fasciste. L'examen des representations frontistes confirme parallelement la presence d'univers symboliques communs a l'ensemble des individus interroges. Une culture globale existe, qui transcende les principaux modeles evoques plus haut et couvre trois grands champs : la critique de toute la "classe politique", les questions relatives a l'immigration ainsi que l'ensemble des preoccupations liees a l'insecurite avec un appel autoritaire a une plus grande repression de la delinquance. Les themes propres a ces divers enjeux correspondent aux dimensions classiques de l'autoritarisme et de l'ethnocentrisme dans l'electorat extreme-droitier et font echo aux principaux elements de la rhetorique lepeniste. Les perceptions du politique, de l'economique
This thesis deals with the political cultures of national front sympathisers and members in the whole department of isere. The outcomes drawn out are based on two original surveys : in a first stage, 27 non directive interviews which induce subjects to talk as freely as possible ; in the second stage, a questionnaire sent to 644 people. The qualitative and quantative data analysis shows several lines of organisation in far right sympathisers' symbolical systems and brings coherent sets of representations to light. Three main registers of ideological azdhesion are drawn out of the corpus. They may be identified with the themes of "social conservation", "protest" and "revolution" and reveal the heterogeneity of national front sympathisers and members' ideological profiles. Furthermore the detailed study differentiates six specific cultural types with their own characteristics : protest heterodoxy, radicalised popular right wing, familial centrism, radical extreme right wing, "classical" neovichysm and neovichysm penetrated by fascism. The study of far right subjects' social representations allows to outline some symbolical universes common to all interviewees. This general view transcends the major patterns emphasized above and covers three major areas : the denial of the whole "political class" ; the questions linked to immigration ; all the insecurity concerns with a call for a more energetic repression of delinquency. The topics related to these salient issues correspond to the wellknown dimensions of far right electorate's authoritarianism and ethnocentrism and are centred
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Adam, Robert. "National-populisme en Roumanie. Tradition et renouveau post-communiste." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2016. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/225813.

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Abstract:
Le thème que nous nous proposons d’aborder dans la présente thèse est celui du populisme comme idéologie avec ses manifestations dans le monde, en Europe et surtout en Roumanie, où ses amples développements ont été à notre avis insuffisamment explorés jusqu’ici. L’hypothèse que nous avançons et que nous essaierons de valider par notre étude est celle que le populisme roumain n’est pas récent ou de fraiche importation, mais qu’il est solidement enraciné dans l’histoire et que ses évolutions ont un intérêt académique certain. L’interrogation méthodique, approfondie de la bibliographie spécialisée nous a révélé l’existence d’un intérêt minimum pour les variantes roumaines du populisme. La bibliographie internationale sur le populisme roumain est restreinte (Ghiţă Ionescu, Aurel Braun, Vladimir Tismăneanu, tous d’origine roumaine, sont actuellement les références citables). En Roumanie, quelques recherches isolées, surtout des dix dernières années, ont abordé des aspects ponctuels.Notre démarche tient sur trois piliers. Un premier chapitre théorique vise à interroger et clarifier la notion de populisme. Nous sommes partis à la recherche du populisme en utilisant la méthodologie de Margaret Canovan et Guy Hermet. Nous avons donc entrepris de refaire l’histoire du concept (narodniki russes, populistes américains, agrariens est-européens de l’entre-deux guerres, populismes latino-américains et d’Europe occidentale d’après guerre. L’étude taxonomique s’est accompagnée d’un passage en revue des conditions locales ayant généré les avatars du populisme sur quatre continents. Nous avons par la suite procédé à un état de la recherche sur la notion de populisme pour aboutir à une définition propre qui intègre des éléments dus à Jaguaribe, Hermet, Albertazzi et Mc Donnel, Laclau.Forts de la définition, nous avons passé en revue les rapports entre populisme et les diverses variantes du nationalisme, en insistant sur le national-populisme théorisé en première par Gino Germani, fort présent en Europe centrale et orientale et sans doute en Roumanie. Nous avons insisté sur les spécificités et les variables (temps, existence d’un leader charismatique) du populisme dans cette région, en retraçant, à la manière de Hermet, l’histoire politique de ces pays (Bulgarie, Hongrie, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Slovaquie) avec un accent sur les mouvements considérés (à raison ou à tort) comme populistes.Le premier chapitre constitue la trame de fond du second, qui fait un panorama des avatars du populisme roumain des origines et jusqu’au début de la seconde guerre mondiale. Nous y avons surtout utilisé des sources roumaines (monographies de courants idéologiques, biographies, études et synthèses historiques, collections de revues et journaux, documents d’archives). En Roumanie, le populisme s’est manifesté depuis les débuts de la modernité politique, au XIXe. Le problème paysan a représenté la matrice du populisme roumain et l’examen des solutions pour y répondre constitue le fil conducteur de ce chapitre. Nous en avons dressé l’inventaire :populisme d’État modernisateur à la Peron (prince Cuza), socialisme de Gherea avec la paysannerie en arrière-garde du prolétariat, radicalisme bourgeois de gauche (le poporanism de Stere), populisme romantique et passéiste (le semeurisme de Iorga), boulangisme tardif (général Averescu), paysannisme avec sa doctrine coopératiste (PNP de Maniu et Mihalache), mais aussi le fascisme déviant de la Garde de Fer, qui a ciblé elle aussi les campagnes. Tous ces projets politiques ont illustré l’échec du populisme face aux problèmes de la société roumaine en voie de modernisation.Le troisième chapitre est consacré à la récrudescence populiste après la longue parenthèse communiste. Une analyse du national-communisme de Ceauşescu nous permet d’identifier bien des facteurs ayant façonné la société roumaine de 1989. Le national-populisme a connu un important essor en Roumanie post-communiste. Nous avons mis à profit des recherches internationales (De Waele, Tismăneanu), mais aussi locales comme des discours, articles de presse, sondages, archives électroniques. Nous avons accordé une attention particulière au Parti de la Grande Roumanie de Corneliu Vadim Tudor, le cas typique auquel nous avons consacré une étude. D’autres formations (PUNR, PNG de George Becali, Parti du Peuple – Dan Diaconescu, les anémiques héritiers du Mouvement Légionnaire) ont été passées en revue, pour constater leur inconsistance doctrinaire et leur faible impact électoral. De même, nous avons conclu que le national-populisme roumain post-communiste s’inscrit dans la continuité du national-communisme et très marginalement dans celle de ‘entre-deux-guerres. S’adressant aux perdants de la transition, ces partis ont failli à laisser leur marque. Deux leaders ayant fini en prison, un autre mort, la voie populiste semble momentanément fermée, bien qu’elle ait réussi une percée récente dans le discours des partis mainstream. Notre thèse retient une fin qui saurait aussi bien s’avérer un nouveau commencement.
The theme we intend to investigate in this dissertation is populism as an ideology with its embodiments throughout the world, in Europe and most of all in Romania, where its vast developments have been in our view insufficiently explored until now. The hypothesis we submit and which we shall try to validate by our research is that Romanian populism is not recent or freshly imported, but it is deeply rooted in history and its evolutions are of undoubted academic interest. The deep, thorough examination of specialized bibliography revealed us a limited interest for the Romanian variants of populism. The international bibliography on Romanian populism is far from extensive (Ghiţă Ionescu, Aurel Braun, Vladimir Tismăneanu, all of Romanian origin, are now the quotable references). In Romania, the research is not abundant either, but over the ten last years some individual aspects of the topic have been investigated. Our approach is threefold. A first theoretical chapter aims to questioning and clarifying the notion of populism itself. We set off in search of populism making use of Margaret Canovan and Guy Hermet’s methodology. We have thus ventured to trace back the concept’s history (Russian narodniki, American populists, East-European agrarianisms in-between the world wars, Latin-American and Western European populisms after WWII. The taxonomic study was accompanied by a review of local contexts having generated the avatars of populism on four continents. We have subsequently drawn a state-of-play of the research on populism as a concept in order to come up with our own definition which integrates elements owed to Jaguaribe, Hermet, Albertazzi & Mc Donnel, Laclau.On the solid ground of the definition, we have reviewed the relationships between populism and the diverse variants of nationalism, focusing on the national-populism first theorized by Gino Germani. National-populism is to be widely encountered in Central and Eastern Europe and undoubtedly in Romania. We have insisted on the specificities and variables (time, existence of a charismatic leader) of populism in this region, by recounting in the manner of Hermet the political history of these countries (Bulgaria, Czech Republic, Hungary, Poland, Romania, Slovakia) with special regard to movements rightly or wrongly considered as populist. The first chapter sets the framework of the second one, which brings about a panorama of the Romanian populist avatars from its origins to the start of WWIII. We have mostly made use of Romanian sources (monographs of ideological trends, biographies, historical studies, collections of magazines and newspapers, documents from the archives).Populism has been a constant presence in Romania, since the beginnings of the country’s political modernity in the 19th century. The peasant problem represents the matrix of Romanian populism and the review of the foreseen solutions to solve it represents the unifying thread of this chapter. We have proceeded to an inventory :modernizing state populism à la Peron (prince Cuza), Gherea’s socialism with the peasantry seen as the rearguard of the proletariat, left bourgeois radicalism (Stere and his poporanism), Romanticist & revivalist populism (Iorga and his sămănătorism), late boulangisme (General Averescu), agrarianism with the underlying cooperatist doctrine (National Peasant Party of Maniu and Mihalache), but also the Iron Guard’s deviant fascism, which targeted rural areas as well. All these political projects illustrated the failure of populism to address the problems of Romanian society on its way to modernity. The third chapter deals with the populist revival in Romania after the fall of communism in 1989. An analysis of Nicolae Ceauşescu’s national-communism enables us to identify many factors having shaped the Romanian society of 1989. National-populism enjoyed massive success in post-communist Romania. We took advantage of international (De Waele, Tismăneanu), but also local research and explored speeches, press items, polls, electronic archives.Particular attention was paid to Corneliu Vadim Tudor’s Greater Romania, the typical case which we studied. Other parties (PNUR, George Becali’s NGP, Dan Diaconescu’s People’s Party, the feeble heirs to the Legionary Movement) were reviewed, only to conclude to their doctrinal shallowness and weak electoral impact. We have come to the conclusion that Romania’s post-communist national-populism is based on the legacy of national-communism and only marginally on the heritage of Romania’s interwar populisms. Targeting the losers of transition, these parties failed to achieve major success. Two of their leaders ended up in prison, a third one is dead, so the populist path seems momentarily shut, though it has managed a recent breakthrough into the discourse of mainstream parties. Our dissertation closes on an end note which may well prove a new beginning.
Doctorat en Sciences politiques et sociales
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Crochet-Théry, Marie-Paule. "1984-2014 : Implantation du Front national dans les petites communes rurales de l'Ouest héraultais : émergence, consolidation, résistances : étude électorale de quarante-six villages de moins de 500 électeurs en 2012." Thesis, Paris 10, 2017. http://www.theses.fr/2017PA100030/document.

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Abstract:
L’étude chronologique et thématique des votes frontistes lors des scrutins nationaux et intermédiaires dans quarante-six petites communes rurales de l’Ouest héraultais entre 1984 et 2014, complétée par un travail monographique sur cinq d’entre-elles a permis de mettre en évidence l’importance relativement restreinte de ces votes jusqu’en 2011, hormis dans un « noyau dur » de communes, précocement constitué, mais de faible importance démographique. L’arrivée de Marine Le Pen à la présidence du Front national coïncide avec une période de croissance continue des votes frontistes et avec leur généralisation à la quasi-totalité des communes ciblées, ce qui serait en faveur d’un réalignement électoral. Les transformations structurelles des communes, marquées par la baisse rapide du secteur agricole et la montée du salariat en lien avec le secteur des services, apparaissent comme l’un des facteurs favorables de cette croissance. Le FN, n’étant pas à ce jour un parti de gouvernement pour diverses raisons dont les principales sont le mode de scrutin uninominal à deux tours et le manque d’alliance, les succès électoraux qu’il obtient sont très largement basés sur la confiance dans des promesses. Cette donnée rend difficile de prévoir la pérennité à long terme d’une implantation, d’autant que les communes étudiées font actuellement l’objet de transformations administratives importantes avec le risque pour certaines de disparaître
The chronological and thematic study of the votes supporting the National Front party during the national and intermediate ballots in forty six small rural districts on the west of the department of the Hérault, between 1984 and 2014, completed by a monographic work on five of them allowed to highlight the importance relatively restricted by these votes until 2011, except in a "hard core" of municipalities prematurely constituted but of weak demographic importance. The arrival of Marine Le Pen to the chair of the National Front coincides with a period of continuous growth of the votes supporting the National Front party and their generalization in almost all of the targeted municipalities which plead for an effective electoral realignment. The structural transformations of the municipalities, characterized by the fast reduction in the farming sector and the rise of the wage-earning in connection with the service sector, appear as one of the favorable factors of this growth. The FN, not being this day a party of government for various reasons, whose main clauses are the uninominal voting system in two ballots and the lack of alliances, the electoral successes which it obtains are very widely based on the confidence in promises. This fact makes difficult to plan the long-term sustainability of a setting-up, especially since studied districts even are at present the object of important administrative transformations with the risk for some to disappear
El estudio cronológico y temático de los votos frontistes durante las elecciones nacionales y locales en cuarenta y seis pequeños municipios rurales del oeste del departamento de Hérault entre 1984 y 2014, completado con un trabajo monográfico sobre cinco de ellos, ha permitido poner de manifestio la importancia relativamente pequeña de estos votos hasta 2011, exceptó en un núcleo de comunas constituido temprana pero de menor importancia demográfica. Cón la llegada de Marine Le Pen a la presidencia del Fronte Nacional coincide un periodó de continuo crecimiento de los votos frontistes y de su generalización a la práctica totalidad de los municipios focales, lo que aboga por un reajuste electoral. Las transformaciónes estructurales de las comunas se caracterizan por el rapido descenso del sector agricola y el aumento del asalariado relacionado con los servicios, que aparecen comó unos de los factores favorables de este crecimiento. Hasta ahora, el FN no estando un partido de gobierno por diversas razones, cuyas principales son el modo de escrutinio uninominal a dos vueltas y la falta de alianza, sus éxitos electorales se debe en gran medida por la confianza en suas promesas. Este echo produce dificultades para pronosticar la viabilitad a largo plazo de su implantación. Tanto màs cuanto que los municipios estudiados estan actualmente objeto de importantes transformaciones administrativas, con un riesgo en algunos casos de desaparecer
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Grondin, Louise-Jeanne. "Du Front national au Rassemblement national : l'évolution du parti à l'aune des théories du marketing politique et du rebranding." Thèse, 2019. http://hdl.handle.net/1866/22752.

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