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Journal articles on the topic 'Diplomatie – France – 17e siècle'

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Sanfilippo, Matteo. "Les voyageurs italiens et le fait français au Canada (17e-21e siècles)." Recherche 54, no. 2 (September 6, 2013): 251–67. http://dx.doi.org/10.7202/1018280ar.

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Abstract:
Toute une tradition de voyageurs italiens en Nouvelle-France, au Canada français et enfin au Québec nous permet en effet de suivre les développements de l’opinion italienne autour du fait français au Canada. Nous partirons des relations des jésuites (le père Francesco Giuseppe Bressani) et des traductions italiennes de mémoires du 17e siècle (par exemple, ceux d’Henri Tonti, qui d’ailleurs était né en Italie, sur l’exploration du Mississippi et de la Louisiane). Nous poursuivrons par les réflexions des « touristes » qui, après la Révolution américaine, visitent la vallée du Saint-Laurent afin de comprendre la différence entre les États-Unis et les nouvelles colonies britanniques. Nous évoquerons aussi les réflexions des exilés du Risorgimento italien qui arrivent pendant la première moitié du 19e siècle. Enfin, en ce qui concerne le Québec dans la Confédération, nous comparerons les récits de voyage publiés par des journalistes et des romanciers aux rapports sur la Province rédigés par des diplomates de l’Italie et du Vatican. Même si la plupart de ces rapports diplomatiques n’ont pas été publiés, ils étaient conçus pour être lus ; de plus, ils ont influencé sinon l’opinion publique, au moins celle des experts.
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Badel, Laurence. "Diplomatie et entreprises en France au XXe siècle." Les cahiers Irice 3, no. 1 (2009): 103. http://dx.doi.org/10.3917/lci.003.0103.

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3

Vézina, Hélène, Marc Tremblay, Bertrand Desjardins, and Louis Houde. "Origines et contributions génétiques des fondatrices et des fondateurs de la population québécoise." Articles 34, no. 2 (November 22, 2006): 235–58. http://dx.doi.org/10.7202/014011ar.

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Abstract:
Cette étude présente une analyse des origines géographiques et de la contribution génétique des ancêtres fondateurs de la population du Québec. À l’aide de données tirées du ficher BALSAC et du Registre de la population du Québec ancien, un corpus de 2223 généalogies ascendantes couvrant l’ensemble du territoire québécois a été construit. Ces généalogies remontent jusqu’au 17e siècle et couvrent en moyenne plus de neuf générations. Tous les liens généalogiques unissant l’ensemble des individus identifiés dans les ascendances ont été établis. Les résultats indiquent qu’environ 81 pour cent du pool génique québécois s’explique par des fondatrices et fondateurs venus de France au 17e siècle. Des différences importantes existent toutefois selon le lieu d’origine en France et selon le sexe des fondateurs. Les résultats ont aussi mis en évidence la présence de nombreux liens d’apparentement éloigné dans cette population.
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ΝΥΣΤΑΖΟΠΟΥΛΟΥ-ΠΕΛΕΚΙΔΟΥ, ΜΑΡΙΑ. "ΤΑ ΠΛΑΣΤΑ ΕΓΓΡΑΦΑ ΣΤΟΥΣ ΜΕΣΟΥΣ ΧΡΟΝΟΥΣ ΣΤΟ ΒΥΖΑΝΤΙΟ ΚΑΙ ΣΤΑ ΒΑΛΚΑΝΙΑ: Κριτήρια πλαστότητας, στόχοι και τεχνικές." Eoa kai Esperia 7 (January 1, 2007): 25. http://dx.doi.org/10.12681/eoaesperia.7.

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Abstract:
<p>Le problème de la distinction entre les documents authentiques et les faux fut posé au 17e siècle en Allemagne et en France, pour des raisons politiques et sociales: en France, en raison de la lutte des rois contre les revendications des nobles; en Allemagne, à cause des contestations de droit civil. Mais c'est dans les milieux des Acta Sanctorum à la deuxième moitié de ce siècle que l'on a commencé à faire dans les archives des couvents des recherches systématiques sur l'authenticité des documents, en vue de l'édition des Vies des saints. La recherché dans ce domaine du moine jésuite Daniel vo Papenbroeck (1659), la première du genre, fut importante, quoique incomplète et avec des critères souvent inexacts. Le bénédictin Jean Mabillon en 1675 a corrigé et complété cette recherche avec une rigoureuse méthode scientifique: dans son grande oeuvre De re diplomatica (1681) il a formulé des règles fondamentales pour l'étude critique des documents, mettant ainsi les bases de la Diplomatique en tant que science à part. Selon l'opinion généralement admise, on considère comme faux les documents dont les éléments ne correspondent pas aux données historiques et diplomatiques. La falsification des documents est un phénomène diachronique concernant des affaires ecclésiastiques, publiques ou privées. Au Moyen Âge, à Byzance et aux pays Balkaniques, les faux n'étaient pas rares et leur nombre s'augmenta à l'époque de la domination ottomane.</p>Objectif de la falsification des documents est principalement la revendication des biens (fonciers ou revenus) et des privilèges, exemptions fiscales ou subventions, et d'autres objets d'intérêt surtout économique. Le temps de leur falsification a une grande importance pour la recherche, car il peut fournir d'éléments utiles pour le motif de cette entreprise. Le faussaire ne rédige jamais en entier son document, mais au contraire, afin de lui donner une apparence d'authenticité, il copie un ou plusieurs documents authentiques antérieurs, dont le contenu concorde plus ou moins à son sujet. Ainsi quelquefois le faux a l'aspect d'une copie - authentifiée, philologique ou figurée -, ce qui crée dans certains cas des difficultés à la recherche (cf. Actes de Chilandar, n. éd., No 37). <p>Critères de fausseté sont certains éléments de forme et de fond: tells le papier (p. ex. les filigranes), l'encre, l'emploi anormal du sceau et l'écriture; la structure et l'enregistrement; Vintitulatio et la phrase finale des actes impériaux; les fautes d'orthographe, de syntaxe et d'expression, surtout pour les documents de la chancellerie impériale; l'emploi inexact de termes, de titres, d'institutions et de données prosopographiques et numismatiques ne correspondant pas à la réalité historique; enfin, la discordance des éléments chronologiques qui constitue la faute la plus fréquente. Pour tous ces cas nous citons d'exemples caractéristiques. Quand le faussaire a comme modèle un seul document authentique, il le copie d'habitude presque mot à mot, tâchant de remplacer les éléments spéciaux de son modèle par ceux qui correspondent à son objet. Il combine parfois les éléments des plusieurs documents authentiques. Dans certains cas la fabrication du faux se fait par étapes, surtout quand son modèle est en mauvais état ou bien qu'il n'existe pas un modèle propre à la circonstance (cf. Actes de Docheiariou, app. III).</p> <p>Parmi les méthodes les plus caractéristiques que le faussaire emploie pour donner une apparence d'authenticité à son faux, nous notons celle où l'on fait ratifier le document falsifié par une autorité, ecclésiastique d'habitude, qui, ne connaissant pas les critères d'authenticité, le certifie, de bonne foi, ou plus encore il le fait introduire dans son propre document. Tel fut le cas du faux chrysobulle de Manuel II Paléologue (1407), en faveur du couvent de Kastamonitou, fabriqué au 16e siècle et ratifié par le patriarche Jéremie II en 1579, qui l'a fait introduire dans son gramma dont une copie confirmée par l'Hiéra Koinotès du Mont Athos fut par la suite ratifiée par le patriarche Callinique IV vers 1803 (Actes de Kastamonitou, Ιγ). Mais le cas le plus frappant est celui des deux faux chrysobulles en faveur du couvent de Xéropotamou, attribués l'un à l'empereur Théodose II (427), conservé en "copie conforme" (ίσον άπαράλλακτον) du métropolite d'Adrinople Nicéphore (1774-1780), et l'autre à Romain 1er Lécapène (924) (!!); tous les deux, pleins de fautes diplomatiques et d'anachronismes historiques, furent fabriqués probablement à la première moitié du 18e siècle, pour soutenir l'ancienneté du couvent et certifier la possession précieuse d'un morceau de la Sainte Croix. Le faux de Romain 1er fut traduit en valaque (déjà en 1759), italien, latin et français (Actes de Xéropotamou, Ια et Iß). Nos recherches nous ont permis de soutenir que ce faux fut employé par les moines de Xéropotamou pour leur quête (ζητεία) surtout aux Principautés Danubiennes (depuis 1761) au profit de leur couvent qui se trouvait alors en grande pénurie; ce qui explique le motif de la fabrication et de la traduction en valaque.</p> <p>En terminant, nous signalons que la plupart de documents faux dont la date falsifiée se rapporte à Byzance ou aux pays Balkaniques sont fabriqués durant la domination ottomane, quand la situation politique et économique ainsi que les cadres administratifs avaient totalement changés et que les couvents et autres fondations avaient perdu leur revenus et leurs privilèges. Le fait que les autorités d'alors ignoraient les critères d'authenticité des documents facilitait cette entreprise.</p> <p>Nous signalons enfin que les documents falsifiés, tout en étant faux du point devue diplomatique, ont une certaine valeur en tant que sources historiques, car il peuvent, sous certaines conditions, nous fournir des renseignements utiles, diplomatiques et historiques.</p><p> </p><br />
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De La Genière, Renaud. "La diplomatie économique de la France dans le dernier demi-siècle." Politique étrangère 51, no. 1 (1986): 153–63. http://dx.doi.org/10.3406/polit.1986.3559.

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Braun, Guido. "Langues et culture de la diplomatie au xviie siècle." Cinquante ans de désindustrialisation, no. 1 (January 1, 2019): 199–212. http://dx.doi.org/10.57086/rrs.97.

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Abstract:
À juste titre, le congrès de Westphalie, point de départ de notre réflexion sur les langues et la culture de la diplomatie, a été qualifié d’« archétype » des congrès internationaux. Force est de constater que, par leur caractère polyglotte, les négociateurs de la paix de 1648 incarnent le microcosme du monde diplomatique moderne. Les langues de la diplomatie sont le reflet de la culture de leur époque ; l’humanisme est leur apanage. Derrière le latin, principale langue des négociateurs au congrès, le français s’établit comme langue des diplomates, mais il doit encore partager le palmarès avec d’autres langues vernaculaires, surtout l’italien mais aussi l’allemand, l’espagnol et le néerlandais. L’essor du français, qui s’accentue lors des congrès suivants, s’explique par la suprématie culturelle et, d’une certaine manière, politique de la France en Europe, mais surtout par le rayonnement de sa civilisation.
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Biagioli, Mario. "Le Prince et Les Savants la Civilité Scientifique au 17e Siècle." Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, no. 6 (December 1995): 1417–53. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1995.279439.

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Abstract:
La création d'académies scientifiques en Italie, en Angleterre et en France au 17e siècle s'accompagne d'un débat sur les protocoles de bonne conduite auxquels les académiciens devaient se soumettre lors de la présentation, de l'approbation ou de la publication des propositions des savants concernant la connaissance des choses de la nature. Ces institutions produisaient leurs résultats en s'obligeant à une mise en commun des preuves, ainsi qu'à une collégialité du témoignage et des évaluations touchant les expérimentations scientifiques et leurs comptes rendus : aussi toute forme d'incivilité menaçait-elle la possibilité même de ce type de connaissance. Les bonnes mœurs philosophiques étaient également essentielles pour ce qui concernait les relations des académies avec leurs mécènes princiers — des relations qui, par exemple, auraient pu être dégradées par la publication de thèses litigieuses et par les controverses qui s'ensuivraient. Autant d'affaires sérieuses puisque les princes n'assuraient pas seulement les académies d'un soutien financier, mais les couvraient de leur autorité.
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Tésio, Stéphanie. "Climat et médecine à Québec au milieu du 18e siècle." Scientia Canadensis 31, no. 1-2 (January 23, 2009): 155–65. http://dx.doi.org/10.7202/019759ar.

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Abstract:
Résumé Successeur de Michel Sarrazin, Jean-François Gaultier, médecin normand, arrive à Québec, en 1742, avec la charge de médecin du roi. Sa correspondance avec l’Académie royale des Sciences de Paris copmrend une description minutieuse d’observations météorologiques, botaniques, agricoles et médicales, de même que de brèves notes sur les maladies régnantes (fièvres, maladies pulmonaires, maladies dysentériques), de cette ville de Nouvelle-France. Aussi, il est important de comprendre qu’il appartient au mouvement européen de la médecine météorologique, une approche conçue initialement par Hippocrate puis développée par Sydenham en Angleterre dans la seconde moitié du 17e siècle, dont l’objectif est d’établir une corrélation étroite entre la météorologie et la maladie. A la lumière de l’historiographie actuelle, Gaultier est le premier médecin à en témoigner officiellement dans les colonies françaises.
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Klinck, David M. "An Examination of the Notes de lecture of Louis de Bonald: At the Origins of the Ideology of the Radical Right in France." Man and Nature 2 (August 20, 2012): 93–108. http://dx.doi.org/10.7202/1011815ar.

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Abstract:
Plus explicitement que ses oeuvres publiées, les notes de lecture de Bonald montrent que sa pensée contre-révolutionnaire remonte à des tendances primitivistes inhérentes aux Lumières plutôt qu’au rationalisme du 17e siècle. Son programme se révèle avoir été révolutionnaire, même utopique, plutôt que réactionnaire. Le rétablissement proposé par lui en 1797 d’une société primitive et naturelle pourrait difficilement se comprendre comme un "retour" ou comme une "réaction." Quant au mouvement contemporain de l’extrême droite, les notes révèlent également des conflits qui ne trouvent pas d’expression dans les manifestes rendus publics.
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Bairoch de Sainte-Marie, Alice. "La conception des devoirs du négociateur en Nouvelle-France: Héritage métropolitain ou cas particulier?" Journal of the History of International Law / Revue d’histoire du droit international 22, no. 1 (June 8, 2020): 75–100. http://dx.doi.org/10.1163/15718050-12340145.

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Abstract:
Résumé Le dix-septième siècle voit l’émergence de nouveaux modes de négociation ainsi que la naissance de théories sur la diplomatie. On assiste à la parution de plusieurs ouvrages sur le sujet tels que L’ambassadeur de Jean Hotman et De la manière de négocier avec les souverains de François de Callières. C’est également l’époque où la France débute la fondation de colonies dans le Nouveau Monde et, en particulier, en Amérique du Nord. Dans cette région aussi, de nouvelles formes de négociations apparaissent lors des contacts entre les envoyés du roi de France et les tribus amérindiennes, axées sur l’échange et le dialogue, la découverte de l’autre et de sa culture. Dans cet article, nous allons chercher à savoir si les autorités coloniales s’inspirent des principes de diplomatie européenne lors de la négociation de traités avec les Amérindiens. Pour ce faire, nous nous pencherons sur les deux ouvrages susmentionnés, sur la correspondance entre le ministre de la marine et les colonies françaises ainsi que sur les écrits d’auteurs, voyageurs et explorateurs des dix-septième et dix-huitième siècles.
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Simon, Victor. "La dignité impériale des rois de France en Orient: Titulatures et traductions dans la diplomatie franco-ottomane." Journal of the History of International Law / Revue d’histoire du droit international 22, no. 1 (June 8, 2020): 147–63. http://dx.doi.org/10.1163/15718050-12340144.

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Abstract:
Résumé Depuis la première moitié du seizième siècle, les rois de France semblent être présentés sous une titulature impériale dans la traduction française des capitulations. La notion d’empire apparaît pourtant étrangère à la conception turque de l’État. Le titre d’imparatorluk n’apparaît d’ailleurs nulle part dans le texte original des capitulations. La titulature impériale attribuée au roi de France découle en effet d’une traduction hasardeuse du terme de padishah par les drogmans attachés au service de l’ambassade. D’origine perse, ce titre sans réel équivalent en Europe signifie littéralement «grand dirigeant» ou «dirigeant des dirigeants». En reconnaissant cette qualité au roi de France, le sultan turc met ainsi en avant une prééminence du roi de France sur les autres princes européens. Cette rhétorique s’inscrit alors dans la construction de relations internationales franco-turques ouvertement tournées contre l’empire Habsbourg.
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Brandli, Fabrice. "La République de Genève et la France au XVIIIe siècle : diplomatie asymétrique et cultures politiques." Revue d’histoire moderne et contemporaine 61-4/4bis, no. 4 (2014): 65. http://dx.doi.org/10.3917/rhmc.614.0065.

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Burg, Gaëlle. "La littérature médiévale en FLE : un corpus à réévaluer." Swiss Journal of Educational Research 44, no. 3 (December 14, 2022): 378–87. http://dx.doi.org/10.24452/sjer.44.3.7.

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Abstract:
Le corpus littéraire traditionnellement utilisé dans l’enseignement secondaire et supérieur en FLE emprunte le plus souvent à la littérature des 19e, 20e et 21e siècles, plus rarement aux œuvres du 16e, 17e et 18e siècle et presque jamais aux textes du Moyen Âge. Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : l’inaccessibilité apparente de ces textes, la barrière représentée par la langue ancienne, une méconnaissance des enseignant·e·s à l’égard de cette littérature, son absence dans les manuels ou encore un point aveugle de la recherche en didactique des langues étrangères. Cet article propose une analyse du corpus littéraire enseigné en FLE (secondaire et supérieur en France, Allemagne et Suisse) et propose des pistes pour l’élaboration d’une didactique du texte ancien en classe de FLE.
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Larin, Robert. "Note de recherche. La reproduction nobiliaire dans la lignée de René Gédéon Potier de Pommeroy, du 17e au 19e siècle. Étude généalogique." Revue d’histoire de l’Amérique française 75, no. 3 (September 8, 2022): 69–89. http://dx.doi.org/10.7202/1092171ar.

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Abstract:
Cette note de recherche remet en question l’idée que les nobles canadiens furent mal reçus en France après la conquête de 1760 et qu’ils peinèrent à s’insérer dans la société métropolitaine de la fin du 18e siècle. René Gédéon Potier de Pommeroy (1730-1822) y poursuit en effet sa carrière militaire et fait un beau remariage qui assure la fortune de sa descendance au sein de la noblesse sur au moins trois générations. Le texte aborde entre autres la lente intégration dans la noblesse française de familles venues des colonies, de faible notoriété et de noblesse douteuse ; l’insertion de nobles d’Ancien Régime dans les nouvelles élites du 19e siècle ; et la stratégie de l’homopatronymie pour obtenir l’appui d’un protecteur de haute noblesse.
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Jarnoux, Philippe. "La colonisation de la seigneurie de Batiscan aux 17e et 18e siècles : l’espace et les hommes." Revue d'histoire de l'Amérique française 40, no. 2 (August 20, 2008): 163–91. http://dx.doi.org/10.7202/304442ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article examine l'occupation du sol et le peuplement de la seigneurie de Batiscan, le plus important fief du gouvernment de Trois-Rivières, pendant le Régime français. L'analyse du milieu naturel, du mouvement et de la forme des concessions amène la constatation que les Jésuites, seigneurs depuis 1639, ont exercé une influence profonde pour structurer l'occupation du sol en délimitant les aires successifs d'expansion et en récompensant leurs serviteurs et les plus importantes familles afin d'encourager le développement de leur seigneurie. Suit une analyse de l'évolution démographique qui tient compte des migrations internes et externes et des relations humaines qui se tissent entre les habitants. Le développement précoce et intensif de la seigneurie en fait la plus populeuse de la région de Trois-Rivières dès la fin du 17e siècle lorsque les rives du Saint-Laurent sont occupées et que la colonisation progresse en amont de la Batiscan. L'accroissement de la population au 18e siècle est surtout canalisé vers de nouvelles zones pionnières à l'arrière du fief dans la paroisse de Sainte-Geneviève qui ouvre ses registres en 1727. En identifiant les divers facteurs qui ont influencé le développement de la société rurale cet article constitue une contribution originale à l'histoire de la colonisation de la Nouvelle-France.
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Olivera Serrano, Cesar. "Servicio al rey y diplomacia castellana: Don Juan Manuel de Villena (+ 1462)." Anuario de Estudios Medievales 25, no. 2 (April 2, 2020): 463. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1995.v25.i2.943.

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Abstract:
La diplomatie castellane à l'époque de Henry IV (1454-1474) a eté dirigée par un groupe réduit de conseillers royaux et des diplomates. Don Juan Manuel de Villena (+1462) a eté un des plus important ambassadeurs à cette époque et il a eté chargé de negocier des affaires bilatérales entre la France et la Castille. Il appartenait à un des plus connus linages de la Castille mais sans le prestige et la richesse qu'il avait eu au XIVe siècle. Il a essayé de récupérer l'ancien pouvoir de sa famille en employamt ses relations dans le monde de la diplomatie. Il na obtenu une seigneurie dans les Asturies et une position économique de niveau moyen. Il a eu une spéciale relation avec le comte Jean V d' Armagnac, qui était a cette époque vassal du roi de Castille. Ses relations familières et politiques avec les conseillers royaux les plus célebres de son temps lui ont permis d'obtenir tous ces objetifs. Sa biographie nous aide a comprendre un peu mieux les usages diplomatiques de la monarchie castillane.
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Iosipescu, Sergiu. "Relations politiques et militaires entre la France et les principautés de Transylvanie, de Valachie et de Moldavie." Revue Historique des Armées 244, no. 3 (August 1, 2006): 11–21. http://dx.doi.org/10.3917/rha.244.0011.

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Abstract:
Cette première analyse des relations politiques et militaires entre la France et les principautés Carpatho-danubiennes de la fin du XVIe siècle à la fin du XVIIIe siècle, montre qu’il s’est forgé un partenariat entre le « Roi Très-Chrétien » (c’est-à-dire le roi de France) et le « Grand Turc ». Depuis le début de l’alliance ottomane, la cour de France s’est efforcée d’établir un lien direct avec la cour de Transylvanie d’Alba Julia et avec les cours romaines de Jassy et Bucarest. L’objectif principal de ces liens était de faire diversion sur le plan militaire en arrière de la monarchie des Habsbourgs. Lors de la guerre de Trente Ans, la cour française signa en 1645 le premier traité militaire avec le prince de Transylvanie György Rákóczi mais la coopération militaire avec le corps expéditionnaire de Walachie et de Moldavie était, elle, plus ancienne (1644). Un autre traité militaire entre la France et la Transylvanie fut signé en 1677, lorsqu’une mission militaire française organisa la diversion de Transylvanie contre les Habsbourgs en « Hongrie supérieure » lors de la guerre de Hollande (1672-1678). Par la trêve de la diplomatie française, la Transylvanie entra dans le traité Nimwergen, comme ce fut le cas pour la paix de Westphalie, en tant qu’allié de la France. Même si les princes Hongrois de Transylvanie avaient pris parti de soutenir l’alliance franco-ottomane anti-Habsbourg, les princes roumains de Walachie et de Moldavie penchaient plutôt vers la politique traditionnelle de croisade. Avec le XVIII e siècle, la situation changea. Une partie non négligeable de l’élite roumaine soutint la politique française en Europe de l’Est et en mer Noire pour lutter contre l’expansion des Russes et des Habsbourgs. Les cours de Bucarest et de Jassy, les familles princières de Racovitza et Mavrocordato se joignirent aux efforts de l’ambassade de France à Constantinople dans le soutien à la résistance des Polonais et des Tartares contre les tsars. Forte de l’assentiment de la « Sublime Porte », la Moldavie devint même une base pour le soutien français au soulèvement révolutionnaire de Koscinsko de 1794. L’expédition en Égypte de Napoléon Bonaparte (1798) provoqua un véritable bouleversement de la politique traditionnelle en Orient et l’avènement d’une nouvelle ère dans les relations franco-roumaines.
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Schneider, Stefan. "Les clauses parenthétiques dans les textes de la Nouvelle-France du 17e et du 18e siècle : aspects pragmatiques, syntaxiques et diachroniques1." Linx, no. 61 (June 1, 2009): 87–102. http://dx.doi.org/10.4000/linx.1340.

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Maillard, Michel. "L'évolution des modèles propositionnels dans la grammaire portugaise de 1536 à 1936." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 25 (April 9, 2022): 201–16. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2008.1397.

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Abstract:
Durant les quatre siècles qui s'écoulent de 1536, date de parution de la première grammaire vernaculaire du portugais, à 1936, année où se publie la dernière grammaire historique du corpus, notre article suit l'évolution, au Portugal, des modèles de la proposition. Cette histoire peut se diviser en quatre périodes, selon que l'influence idéologique dominante vient d'Espagne, de France ou d'Allemagne. C'est d'abord, au 16e siècle, la grammaire «humaniste», marquée par le castillan Nebrija. Apparaît ensuite, aux 17e et 18e siècles, la grammaire «universaliste», qui se veut conforme au schéma Suppositum-Verbum-Appositum de Sánchez de las Brozas. Suit au 19e la grammaire «philosophique», influencée par le modèle Sujet-Copule-Attribut de Port-Royal et des Encyclopédistes. Vient enfin la grammaire «philologique», marquée par l'Allemagne, et qui se développe après 1870, sous la double influence contradictoire du modèle verbo-centré de Becker et du modèle nomino-centré de Diez. On s'interrogera non seulement sur la pertinence des différents modèles pour la description du portugais mais aussi sur les facteurs externes, d'ordre géographique, politique et culturel, qui peuvent expliquer le succès d'un paradigme à un moment donné de l'histoire.
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Mille, Martine. "Pratique des sciences et diplomatie des espaces : les époux Brongniart entre collaboration domestique et sociabilités savantes en France au xixe siècle." Cahiers François Viète, no. III-11 (November 1, 2021): 49–84. http://dx.doi.org/10.4000/cahierscfv.314.

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Badel, Laurence. "Les acteurs de la diplomatie économique de la France au XXe siècle : les mutations du corps des attachés commerciaux (1919-1950)." Relations internationales N°114, no. 2 (2003): 189. http://dx.doi.org/10.3917/ri.114.0189.

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Marinho, Duarte Maria Monteiro de Babo. "Moeglin, Jean-Marie (Dir.), Pequignot, Stéphane (2017), Diplomatie et «Relations Internationales» au Moyen Âge (IXe-XVe siècle). Paris: Presses Universitaires de France." História: Revista da Faculdade de Letras da Universidade do Porto 9, no. 1 (2019): 235–38. http://dx.doi.org/10.21747/0871164x/hist9_1r2.

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Belissa, Marc. "Lucien Bély L’art de la paix en Europe. Naissance de la diplomatie moderne, XVIe-XVIIIe siècle Paris, Presses universitaires de France, 2007, 742 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 63, no. 5 (October 2008): 1155–56. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900025506.

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Prietzel, Malte. "Jean-Marie Moeglin / Stéphane Péquignot (Eds.), Diplomatie et „relations internationales“ au Moyen Âge (IXe–XVe siècle). (Nouvelle Clio.) Paris, Presses universitaires de France 2017." Historische Zeitschrift 308, no. 1 (February 5, 2019): 183–84. http://dx.doi.org/10.1515/hzhz-2019-1033.

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Duchêne-Thégarid, Marie. "L’enseignement musical québécois à travers le prisme de la France : apprentis musiciens canadiens-français à Paris (1911-1943)." Les musiques franco-européennes en Amérique du Nord (1900-1950) : études des transferts culturels 16, no. 1-2 (April 25, 2017): 97–111. http://dx.doi.org/10.7202/1039616ar.

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Abstract:
Pendant l’entre-deux-guerres, les pouvoirs publics et les pédagogues français s’efforcent d’attirer à Paris les élèves musiciens étrangers considérés par Henri Rabaud, directeur du Conservatoire, comme les « plus utiles propagateurs de la culture française ». Signe de cet intérêt, la fondation et le développement de l’École normale de musique et du Conservatoire américain de Fontainebleau, écoles dédiées à l’accueil de musiciens étrangers, coïncident avec ceux de l’Association française d’action artistique (AFAA), organisme chargé de la diffusion, à l’étranger, de l’art français. Le transfert culturel que les autorités françaises tentent ainsi d’orchestrer semble rencontrer, au Canada français, un écho particulièrement favorable. La première moitié du xxe siècle représente, pour la vie musicale québécoise, une période d’essor marquée par la fondation de nombreuses institutions et par la naissance d’une filière de migration estudiantine. Encouragés par les pouvoirs publics québécois à compléter leur formation en France, les futurs musiciens professionnels se confrontent, à Paris, aux modèles esthétiques, pédagogiques et institutionnels qui, à leur retour, nourrissent le « développement de l’art musical » que la création en 1911 du prix d’Europe appelle de ses voeux. L’examen des archives de l’AFAA et des principales écoles parisiennes de musique invite à relire le développement que connaît l’enseignement musical au Canada français à la lumière des ambitions françaises en matière de diplomatie culturelle. Ces sources gardent en effet la trace des mesures adoptées en France pour faciliter le séjour parisien des apprentis musiciens canadiens-français ; elles renseignent aussi sur les tentatives d’ingérence françaises dans les débats qu’occasionne, au Québec, la fondation d’un établissement d’enseignement de la musique à vocation nationale. Ces archives alimentent enfin une étude prosopographique qui recense les élèves canadiens-français inscrits dans les institutions parisiennes, retrace leurs trajectoires et évalue l’efficacité de la stratégie française à leur retour au Québec.
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Contamine, Philippe. "DIPLOMATIE ET « RELATIONS INTERNATIONALES » AU MOYEN ÂGE (IX-XV E SIÈCLE), Jean-Marie Moeglin et Stéphane Péquignot (dir.), Paris, Presses universitaires de France, 2017, 1 112 pages." Politique étrangère Printemps, no. 1 (February 14, 2018): III. http://dx.doi.org/10.3917/pe.181.0186c.

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최애영. "Une étude sur l’imagination spatiale du sujet moderne de la première moitié du 17e siècle en France – à travers le Songe de Kepler et L’Autre monde de Cyrano de Bergerac." Etudes de la Culture Francaise et de Arts en France 53, no. ll (August 2015): 515–57. http://dx.doi.org/10.21651/cfaf.2015.53..515.

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Tabaki, Anna. "Η Émilie du Châtelet ανάμεσα στον ορθό λόγο και τον ευδαιμονισμό." Gleaner, no. 30 (January 3, 2024): 287–324. http://dx.doi.org/10.12681/er.36102.

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Abstract:
Émilie du Châtelet entre la raison et la recherche du bonheur Émilie du Châtelet (1706-1749) fut membre de l’Académie des sciences de l’Institut de Bologne (Accademia delle Scienze dell’Istituto di Bologna), l’une des premières Académies à accepter des femmes comme membres, fondée en 1711 par Luigi Ferdinando Marsili, en collaboration avec l’Université de Bologne. Sa personnalité exubérante, son travail scientifique pionnier, de très nombreux témoignages mis en relief par l’étude de sa correspondance, sa relation tumultueuse avec Voltaire ainsi que ses rapports avec les savants de son temps, hommes et femmes, ont systématiquement préoccupé les chercheurs depuis sa mort, du 18e siècle à nos jours. Contrairement à Voltaire, elle était adepte des idées de Leibniz et a contribué à la diffusion de son æuvre en France. Elle fut la première traductrice française des Principia Mathematica de Newton, traduction toujours en usage et valable, ainsi que l’auteure d’essais scientifiques, dont le plus important demeure son ouvrage Institutions de physique, qu’elle a rédigé pour initier son fils, âgé alors de treize ans, aux nouvelles théories de la physique et qui est mentionné à plusieurs reprises par Eugenios Voulgaris dans sa synthèse Ceux qui plaisent aux philosophes (Τα αρέσκοντα τοις φιλοσόφοις, 1805). Venant maintenant à son fameux Discours sur le bonheur, qui demeura inédit du vivant de la marquise, il s’agit d’un texte qui, après sa mort prématurée, semble avoir circulé sous forme manuscrite. Sa première édition a été faite en 1779, incluse dans un Recueil philosophique et littéraire. Robert Mauzi dans son étude fondamentale sur l’idée du bonheur dans la littérature et la pensée française au XVIIIe siècle (Παρίσι, Armand Colin, 1960) l’a intégré dans les essais philosophiques des Lumières, tout en le distinguant par son style et certaines de ses composantes toutes particulières à travers un grand nombre d’essais traitant du bonheur. Mauzi a compris l’édition critique du Traité, comme Épimètre de sa thèse. De nos jours, surtout après 2006, Émilie du Châtelet constitua un vaste champ d’études et de recherches –des expositions ont été organisées, des conférences ont été consacrées à sa personnalité et à son travail scientifique, elle a inspiré des séries télévisées et des films, ainsi qu’un opéra. Peut-être faut-il repositionner le genre même auquel appartient le Discours (ou Réflexions) sur le bonheur qui acrobate entre l’essai philosophique et le discours personnel, confessionnel et autobiographique. Notre approche est divisée en trois parties: dans la première intitulée «Les caractéristiques du siècle», nous faisons le parcours des idées philosophiques de la première moitié du 18e siècle, en mettant l’accent sur la transition de l’éthique chrétienne vers l’empirisme et la prédominance des sens et des plaisirs. La seconde partie appelée «Une âme tendre et sensible et un tempérament sensuel» essaie d’esquisser le portrait psychologique, souvent contradictoire, de cette grande intellectuelle qui est en même temps une âme passionnée, profondément déçue au moment de l’écriture du Discours, ayant été rédigé juste à la suite du traumatisme de sa séparation avec Voltaire. La troisième partie «Les résonances philosophiques du siècle au Discours sur le bonheur» examine les influences multiples de la philosophie des Lumières dans le Discours. Quoiqu’il fût écrit d’une manière spontanée, d’un esprit et d’un style quelques fois désinvoltes et contradictoires, il prouve sa connaissance solide des théories philosophiques de la première moitié du 18e siècle, et celles du 17e, de concert avec sa bonne connaissance de la littérature classique.
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Drocourt, Nicolas. "Jean-Marie Moeglin and Stéphane Péquignot, eds., Diplomatie et “relations internationales” au Moyen Âge, IXe–XVe siècle. (Nouvelle Clio.) Paris: Presses universitaires de France, 2017. Pp. 1105. €42. ISBN: 978-2-1305-2787-9." Speculum 95, no. 2 (April 1, 2020): 596–98. http://dx.doi.org/10.1086/708207.

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Hadjeras, Stéphane. "Le boxeur Georges Carpentier dans la presse franco-britannique de la Belle Époque." Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 10, no. 2 (December 19, 2021): 104–19. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v10.n2.2021.441.

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Abstract:
FR. A la veille de la Grande Guerre la boxe anglaise a pris, dans les sociétés anglo-saxonnes (États-Unis, Grande-Bretagne et Australie) et depuis peu en France, une dimension sociale et culturelle d’importance. Dans l’Hexagone alors qu’elle était au tournant du XIXème siècle une mise en scène illégale et inconnue du grand public, elle a connu en 10 ans une fulgurante ascension. Aussi, En 1914, elle est devenue sport roi non seulement à Paris mais également en province. Ce que l’on peut appeler « la Belle Époque de la boxe anglaise en France » est marqué par une corrélation entre les succès de cette pratique et l’avènement de la première superstar du sport tricolore : le boxeur Georges Carpentier. Né en 1894 à Liévin, dans les bassins miniers du Pas-de-Calais, le « gosse » embrasse la carrière de pugiliste à l’âge de 14 ans. Entre 1908 et 1914, au rythme de nombreuses et surprenantes victoires, sa popularité ne cesse de croître. Elle atteint son apogée dans les deux années précédant la guerre, particulièrement lors de probants triomphes face à la fine fleur pugilistique britannique. A l’occasion de matchs mobilisant les ressorts du nationalisme anti-anglais, ces affrontements poursuivent la longue inimitié historique entre la France et la « perfide Albion », tout en nourrissant et amplifiant la célébrité du jeune prodige. A l’aube du culte des vedettes et dans une métaphore évidente de la guerre, la presse franco-britannique n’hésite pas à l’élever au rang de « vengeur de Waterloo ». Puis, contre toute attente, à quelques mois de l’embrasement de la vieille Europe, augurant du nouveau jeu d’alliance militaire qui se dessine dans les salons de la diplomatie franco-anglaise, il devient dans ces mêmes journaux le « champion de l’Entente Cordiale ». *** EN. In the years preceding the Great War, English boxing occupied an important social and cultural role in Anglo-Saxon societies (United States, Great Britain and Australia) and came to gradually occupy a similar position in France. At the turn of the 19th century, it was still an illegal and obscure show to French audiences. However, in the course of the following decade, it was propelled to higher grounds: by 1914, it had become the king of sports, both in Paris and in the provinces. The “Belle Époque of English boxing in France" is characterized by the correlation between the success of the sport and the rise of the first French boxing superstar, Georges Carpentier. Born in 1894 in Liévin, in the coal mining basins of the Pas-de-Calais, the “kid” embraces the career of pugilist at the age of 14. Between 1908 and 1914, his popularity was on a constant rise thanks to numerous and surprising victories. His popularity climaxes in the two years preceding the war, largely thanks to multiple victories against the British pugilistic elite. Mobilizing nationalism fueled by anti-English sentiments, these boxing matches are presented as a natural extension of the long historical enmity between France and the "perfidious Albion", contributing to grow and amplify the young prodigy’s fame. At the dawn of celebrity worship, and in an obvious metaphor of the war, the Franco-British press did not hesitate to adorn him as the "Waterloo avenger". Then, against all odds, a few months before the dislocation of old Europe, the same newspapers transformed him into the "champion” of the Entente Cordiale, implicitly pulling in behind the new military alliances taking shape in the halls of Franco-British diplomacy. *** PT. Às vésperas da Grande Guerra, o boxe inglês assume uma dimensão sociocultural central nas sociedades anglo-saxônicas (Estados Unidos, Grã-Bretanha e Austrália). Isso ocorre também na França, onde, até a virada do século XIX, não passava de uma encenação ilegal desconhecida do público em geral. 10 anos depois, experimenta uma ascensão meteórica, tornando-se, em 1914, o rei dos esportes em Paris, mas também nas demais cidades francesas. O período da Belle Époque do boxe inglês na França é marcado por uma convergência entre o sucesso do boxe e o advento da primeira superestrela do esporte francês: o boxeador Georges Carpentier. Nascido em 1894 em Liévin, nas bacias mineiras do Pas-de-Calais, o “moleque”, como era chamado, abraçou a carreira de pugilista aos 14 anos de idade. Entre 1908 e 1914, tendo já acumulado diversas vitórias surpreendentes, sua popularidade não para de crescer, atingindo seu auge nos dois anos que precederam a guerra, com vitórias arrasadoras contra a nata do pugilismo britânico. Essas partidas, cenário de incitação ao nacionalismo antiinglês, passaram simultaneamente a consolidar a longa inimizade histórica entre a França e o “pérfido Albion” e a fama do jovem prodígio. Nos primórdios do culto às estrelas do esporte, a imprensa franco-britânica, lançando mão de uma óbvia metáfora bélica, eleva Carpentier ao ranking de “vingador de Waterloo”. Poucos meses antes do estremecimento da velha Europa, contrariando todas as expectativas e prefigurando o novo jogo de alianças militares que se perfilava nos salões da diplomacia franco-britânica, Georges Carpentier torna-se, nas colunas desses mesmos jornais, o “campeão da Entente Cordiale”. ***
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García Hurtado, Manuel-Reyes. "Un comisionado francés en la primera década del siglo XVIII en Galicia: preparándose para una guerra." Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 11 (June 22, 2022): 375–92. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2022.11.17.

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Abstract:
El ascenso al trono de España de Felipe V lleva aparejado la llegada junto a él de personajes de origen francés que ocupan importantes esferas de poder con la nueva dinastía. Junto a estos vienen numerosos individuos siguiendo órdenes que son quienes van a llevar a cabo un trascendental trabajo de campo clave para poder hacer frente al principal problema que debe superar durante sus primeros años el monarca, que no es otro que garantizar la defensa del territorio ante la posibilidad de un conflicto armado. Analizamos la figura de uno de estos hombres, Bernard Renau d’Éliçagaray, prestando atención singularmente a la misión que llevó a cabo en Galicia en los años 1702 y 1703. Palabras clave: fortificación, ingeniería, Guerra de SucesiónTopónimos: GaliciaPeriodo: siglo XVIII ABSTRACTPhilip V’s ascent to the throne of Spain was accompanied by the arrival of individuals of French origin who occupied important positions of power within the new dynasty. They were joined by numerous individuals, following orders, who would carry out crucial fieldwork, essential in order to address the main problem facing the monarch during his first years, which was none other than guaranteeing the defence of the territory against the possibility of an armed conflict. This work considers the contribution made by one of these men, Bernard Renau d’Éliçagaray, concentrating in particular on the mission he undertook in Galicia in 1702 and 1703. Keywords: Fortification, Engineering, War of SuccessionPlace names: GaliciaPeriod: 18th century REFERENCIASCluny, I. (2002), “A Guerra de Sucessão de Espanha e a diplomacia portuguesa”, Penélope. Revista de História e Ciências Sociais, 26, pp. 63-92.Désos, C. (2016), “Les ingénieurs du roi de France auprès de la couronne d’Espagne (1704-1715)”, Vegueta. Anuario de la Facultad de Geografía e Historia, 16, pp. 67-92.Eiras Roel, A. 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Pavón Benito, Julia. "¿Es necesario seguir investigando sobre la muerte? Una reflexión historiográfica y nuevas perspectivas." Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 12 (June 28, 2023): 65–83. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2023.12.03.

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Abstract:
RESUMENLa historiografía sobre la muerte, desarrollada entre finales de los años setenta y noventa de la pasada centuria, tuvo especial interés y proyección a partir de las investigaciones trazadas por la tercera generación de Annales. Los planteamientos de esta corriente, en sintonía con los modelos de dicha escuela y avalados por la renovación del objeto histórico tras el estructuralismo, giraron alrededor del estudio de las condiciones materiales, actitudes, imágenes y gestualidad del hombre medieval ante la muerte. El cuerpo de esta fructífera reflexión, como parcela de la “historia de las mentalidades”, albergó novedades metodológicas, facilitando una visión y proyección heurística, debido al impacto que tuvo dentro del diálogo de la historia con las ciencias sociales y otras disciplinas del quehacer humanístico. A finales del siglo xx y comienzo del presente, el giro producido en el quehacer histórico ha otorgado un mayor protagonismo a lo social y cultural, colocando en el lugar protagonista ocupado durante décadas por la “historia de la muerte” otros intereses. Compete, por tanto, plantearse qué horizontes cabría dibujar, dentro de las coordenadas historiográficas de la actualidad, para las investigaciones sobre la muerte, cuyas paradojas siguen vigentes como recurso para conocer los fenómenos y manifestaciones propias de la civilización medieval.Palabras clave: Muerte medieval, historiografía de la muerte ABSTRACTThe historiography of death developed between the late 1970s and the 1990s was of special interest and projection. It was based on research carried out by the third generation of the Annales. The approaches developed in line with the models of this school of thought and underpinned by the renewal of the historical object following structuralism, revolved around the study of material conditions, attitudes, images and gestures of the medieval man in the face of death. The core of this prolific reflection as part of the “history of mentalities” contained methodological novelties facilitating a heuristic vision and projection due to the impact it had on the dialogue between History and Social Sciences and other humanistic disciplines. At the end of the 20th century and the beginning of the current the shift in historical endeavour has given greater prominence to what is social and cultural, placing other interests in the key role for decades occupied by the “history of death”. For researching into death, it is necessary therefore to consider what perceptions can be drawn within the historiographical coordinates of the present day whose paradoxes are still valid as a resource to understand the phenomena and manifestations of medieval civilisation.Keywords: mediaeval death, historiography of death REFERENCIASActas de las I Jornadas de Metodología Aplicada de las Ciencias Históricas. V. Paleografía y archivística, Santiago de Compostela, Universidade de Santiago de Compostela, Servicio de Publicaciones, 1975.Alexandre-Bidon, D., La mort au Moyen Âge: xiiie-xvie, París, Editorial Hachette, 1998.Alexandre-Bidon, D. y Treffort, C. (dirs.), A reveiller les morts. La mort au quotidien dans l’Occident médieval, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, 1993.Ariès, P., Essais sur l’histoire de la mort en Occident du Moyen Âge á nous jours, París, Éditions du Seuil, 1975 (trad. Historia de la muerte en Occidente. 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Delabie, Anaïs. "Une nouvelle F(f)rancophonie pour l’Afrique de l’Est. Effets didactiques de la politique linguistique française en Tanzanie." Revue Internationale des Francophonies, no. 6 (December 12, 2019). http://dx.doi.org/10.35562/rif.975.

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Abstract:
Cet article propose de revenir sur les évolutions de la politique extérieure française et leurs conséquences sur la diplomatie culturelle et la Francophonie. La « langue étrangère » est, avant tout, le résultat d’une politique, d’un processus diplomatique. Ce pan définitionnel, trop souvent omis par les didacticiens, est pourtant sous-jacent aux travaux de Valérie Spaëth ou encore Monica Heller lorsqu’elles mettent en évidence les liens entre politiques linguistiques, idéologies et construction ontologique de la langue en tant qu’objet. Ces liens ne datent pas de la colonisation. Ils apparaissent en France dès le XVIe siècle, à l’éclosion de la diplomatie culturelle. Nous retraçons donc cet itinéraire des rapports entre politique extérieure, diplomatie et didactique des langues. Nous décrivons également l’état actuel de la diplomatie culturelle et ce que cela induit pour la Francophonie et son aménagement. Nous présentons ensuite le tournant diplomatique majeur qu’a pris, selon nous, la diplomatie française et, avec elle, la Francophonie en revenant sur l’histoire de ce couple politique et intellectuel. Après un bref retour historique retraçant la façon dont la France a orienté depuis le XVIe siècle son discours à l’égard de sa politique extérieure, nous nous arrêtons plus longuement sur la manière dont, ces dernières années, la diplomatie économique a pris de plus en plus de place au sein du Ministère des Affaires étrangères. La diplomatie culturelle, dans laquelle se trouve intégré l’enseignement-apprentissage du français, a été impactée par une orientation économique inspirée notamment par le contexte international et l’influence chinoise sur le plan diplomatique. Notre travail est centré sur la F(f)rancophonie en Afrique de l’Est, plus précisément la Tanzanie. Nous illustrons donc le rapport intérieur/extérieur en présentant la posture de la France à l’égard de la région, la façon dont les institutions satellites de la Francophonie la relaient sur le terrain par la biais d’un sas diplomatique. La France et la Tanzanie partagent des intérêts économiques et diplomatiques que la Francophonie scelle un peu plus. Ce rapprochement est scruté par le Burundi et le Rwanda, pays francophones et membres de la Communauté Est africaine, qui jouent tous deux un rôle décisionnel incontournable. Enfin, nous nous interrogeons quant à notre rôle dans ce processus spécifique de politique linguistique extérieure : comment, en tant qu’universitaires, devons-nous nous positionner face à ces idéologies mises au service du politique dans le but de modifier les programmes d’enseignement ?
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Trimbur, Dominique. "Une diplomatie religieuse de la France, du xixe siècle à nos jours." Les Cahiers d’EMAM, no. 32 (May 4, 2020). http://dx.doi.org/10.4000/emam.2374.

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Messina, Luisa. "Les Idées sociopolitiques de Casanova sur la France du dix-huitième siècle — selon l’édition de 1880 de ses Mémoires." Le Monde français du dix-huitième siècle 3, no. 1 (July 9, 2018). http://dx.doi.org/10.5206/mfds-ecfw.v3i1.1679.

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Abstract:
Casanova est pratiquement esthète dans son appréciation des personnes, mais il les évalue aussi par rapport à leur abord, leur politesse sociale ou savoir vivre. Entre ses trois visites, la société change. Outre ses amis disparus, le voyageur n’a plus la joie de la conquête. Le Paris qu’il connaissait s’est transformé en une sorte de labyrinthe incompréhensible. Voulant aller de Saint-Eustache à la rue Saint-honoré, il s’égare dès qu’il ne trouve plus l’Hôtel de Soissons. Il n’a plus de succès au jeu, en amour ni en diplomatie. Louis XV dont les excès sexuels rappellent la débauche juvénile de Casanova est bien loin. Le vénitien conclut son observation en admirant le défunt Louis XV tandis que son jugement sur Louis XVI est féroce, parce que le voyageur attribue les maux à la faiblesse du dernier roi des Bourbons, qui aurait sauvé la France des horreurs révolutionnaires. La France n’est plus à l’image de sa seconde patrie.
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Mistre-Schaal, Mylène. "Odorat et émotion. Expression affective et introspection dans les arts figurés." Émotions dans les sciences humaines et sociales, no. 4 (July 21, 2022). http://dx.doi.org/10.57086/strathese.380.

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Abstract:
Les odeurs sont des déclencheurs d’états émotionnels bien contrastés, spontanément interprétés selon la bipolarité hédonique « agréable-désagréable ». Le constat de la bipolarité affective des odeurs, validé par les spécialistes actuels de la cognition, semble se vérifier dans les arts figurés dès l’époque moderne : ce sont soit les parfums, soit les relents qui sont exploités par les artistes. Tandis que le déplaisir olfactif est exprimé à grand bruit dans les registres comiques ou satiriques, le thème allégorique de l’odorat, tel qu’il se développe dans la France et l’Angleterre de la fin du 17e et du 18e siècle, ne donne pas lieu à la représentation d’expressions émotionnelles très marquées. Pourtant, cette apparente neutralité ne peut ou ne veut pas forcément signifier une absence d’émotion. Par conséquent, cet article vise à mettre en lumière les affects se cachant derrière cette apparente indifférence aux émotions induites par les odeurs ; et ce dans une période où artistes et théoriciens de l’art sont pourtant préoccupés par la traduction en images des mouvements de l’âme et des passions. Au 18e siècle, deux types d’allégories picturales de l’odorat ont été principalement exploitées : les scènes galantes valorisant le partage de l’expérience sensorielle et les portraits allégoriques, moments intimes dans lesquels la sensation est intériorisée. Au sein de ce corpus nous envisagerons les liens entre l’olfaction et la figuration du sentiment amoureux, de la séduction au désir, pour mieux comprendre ensuite la représentation picturale des états introspectifs déclenchés par l’inhalation d’une odeur. Au terme de cette enquête, nous verrons que les arômes plaisants qui se dégagent des œuvres rassemblées pour cette étude, ne sont ni anecdotiques ni ornementaux, et suggèrent des émotions plus fortes qu’elles ne paraissent à première vue.
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Aubin, Paul. "La formation à l’enseignement dans une communauté enseignante. Les Frères des écoles chrétiennes du Québec 1837–1980." Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, October 20, 2016. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v28i2.4494.

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Abstract:
RÉSUMÉ Fondée en France à la n du 17e siècle pour l’instruction des garçons des classes laborieuses vivant en milieu urbain, la communauté des Frères des écoles s’implante au Québec à l’automne 1837 avec l’ouverture d’une première école. Héritière d’une longue tradition pédagogique, elle implante ici l’usage de l’enseignement simultané auquel elle joint quelques pratiques de l’enseignement mutuel déjà pratiqué au Québec. Pour contrer l’absence de toute école normale, elle commence par former ses propres recrues pour ensuite offrir le même service aux professeurs laïcs de même qu’à des communautés de sœurs enseignantes sans tradition dans l’enseignement. À partir du début de la décennie 1920, la communauté adopte les programmes des écoles normales gérées par le Département de l’instruction permettant ainsi aux religieux de se munir des mêmes diplômes d’enseignement que les instituteurs laïcs. En n, les frères se perfectionnent dans les rares structures universitaires dispensant des cours de pédagogie avant de fonder leur propre institut universitaire, l’Institut pédagogique Saint-Georges. Cette étude aborde, dans un premier temps, les structures dans lesquelles s’est enseignée la pédagogie chez les frères des écoles chrétiennes du Québec. La description du cadre dans lequel elle s’est enseignée devrait servir de préliminaire à une analyse du discours sur la pédagogie tel qu’exprimé dans les écrits de la communauté. ABSTRACT Founded in France at the end of the seventeenth century for the education of boys from the urban working-class, the Brothers of the Christian Schools—les frères des écoles chrétiennes—opened their rst school in Québec in the autumn of 1837. Drawing on a long teaching tradition, the order was responsible for introducing the use of simultaneous instruction, which they blended with certain techniques of mutual instruction already being employed in Québec. To make up for the absence of a normal school, the Brothers trained their own instructors; they would later offer the same service to lay educators and those orders of teaching sisters without a tradition of teacher instruction. Beginning in the early 1920s, the order adopted the curriculum used in the normal schools run by the Department of Education, thereby permitting religious educators to obtain the same teaching diplomas as lay instructors. Finally, after studying at the few university institutions that offered courses in pedagogy, the Brothers founded their own, l’Institut pédagogique Saint-Georges. This study examines, first of all, the structures within which the Brothers of the Christian Schools taught educational methods. A description of this organizational framework should serve as an introduction to the discourse on pedagogy as expressed in the writings of the community.
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Monika, Salzbrunn. "Migration." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.059.

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Abstract:
En anthropologie, la migration, du mot latin migratio, signifie en principe un déplacement physique d’un être humain (migration humaine), bien que des déplacements non-humains soient aussi qualifiés de migrations (migration animale, migration de plantes, migration de planètes etc.). Suite à la généralisation de l’État-nation comme forme d’organisation politique au 19e siècle, on distingue surtout la migration transnationale (qui implique le déplacement d’au moins une frontière nationale) et la migration interne (à l’intérieur de frontières étatiques). Par ailleurs, ces migrations peuvent prendre la forme d’une migration pendulaire (mouvement de va-et-vient), circulaire (mouvement en cercle), saisonnière (migration de travail influencé par les saisons agricoles) ou durable, menant à une installation et une naturalisation. Parmi les causes, on a longtemps souligné les migrations de travail alors que les cas de migrations climatiques et forcées augmentent de façon significative : migrations imposées par le contexte, notamment politique, par exemple pendant une guerre civile ou encore déplacements engendrés par des changements climatiques comme une sècheresse ou l’avancement du désert dans la zone du Sahel. Le tourisme est parfois considéré comme une forme volontaire de migration à courte durée. Jusqu’à présent, peu de travaux lient les réflexions sur les migrations avec celles sur la mobilité (Ortar, Salzbrunn et Stock, à paraître). Certaines recherches sur l’ethnicité (Barth 1999 [1969]) et la transnationalisation ainsi que de nouvelles catégories statistiques développées au niveau gouvernemental témoignent du fait que certaines personnes peuvent être considérées ou perçues comme migrant-e-s sans avoir jamais effectué un déplacement physique au-delà des frontières nationales de leur pays de naissance. Ainsi, aux Pays-Bas et en Belgique, dans le discours politique, on distingue parfois autochtones (grec, littéralement terre d’ici) et allochtones (grec, littéralement terre d’ailleurs). Au Pays-Bas, on entend par allochtone une personne qui y réside et dont au moins un parent est né à l’étranger. Ce terme était destiné à remplacer le terme « immigré », mais il continue à renvoyer des résidents (voire des citoyens) à (une partie de) leur origine. Le terme allemand « Migrationshintergrund » (littéralement background migratoire) pose le même problème. L’anthropologie s’intéresse de facto dès l’émergence de la discipline aux migrations, notamment dans l’étude de sociétés pastorales (en focalisant les déplacements des éleveurs et de leurs troupeaux) ou dans l’analyse des processus d’urbanisation (suite à la migration du monde rural vers les villes). En revanche, l’anthropologie des migrations et de la transnationalisation n’émergent que dans les années 1990 en tant que champ portant explicitement ce nom – d’abord dans le monde anglophone (Glick Schiller N., Basch L. et C. Blanc Szanton 1992, Hannerz U. 1996), et ensuite dans le monde francophone (Raulin A., D. Cuche et L. Kuczynski 2009 Revue Européenne des Migrations internationales, 2009, no. 25, vol. 3), germanophone (Pries L. 1996), italophone (Riccio 2014), hispanophone, lusophone etc.. La traite des esclaves et les déportations de millions de personnes d’Afrique Sub-Saharienne vers l’Europe et les Amériques, qui ont commencé au 17e siècle et duré jusqu’en 1920, ont été étudiées dans le cadre de l’anthropologie marxiste (Meillassoux 1986) puis par des historiens comme Olivier Pétré-Grenouilleau (2004) ou encore par Tidiane N’Diaye (2008), ce dernier ayant mis l’accent sur la longue et intense implication de commerçants arabes dans la traite négrière. La violente « mission civilisatrice » ou campagne de conquête coloniale a très souvent été accompagnée d’une mission de conversion au christianisme, ce qui a fait l’objet de publications en anthropologie depuis une trentaine d’années sous l’impulsion de Jean et John Comaroff (1991) aux Etats-Unis, et plus récemment en France (Prudhomme 2005). Selon les contextes régionaux, l’une ou l’autre forme de migration a été étudiée de manière prépondérante. En Chine, les migrations internes, notamment du monde rural vers les villes, concernent presque autant de personnes dans l’absolu (229,8 millions en 2009 selon l’Organisation internationale du Travail) que les migrant-e-s transnationaux dans le monde entier (243,7 millions en 2015 selon les Nations Unies/UN International Migration Report). Le pourcentage de ces derniers par rapport à la population mondiale s’élève à environ trois pour cent, ce qui semble en décalage avec la forte attention médiatique accordée aux migrant-e-s transnationaux en général et aux réfugiés en particulier. En effet, la très grande majorité des déplacé-e-s dans le monde reste à l’intérieur des frontières d’un État-nation (Withol de Wenden C., Benoît-Guyod M. 2016), faute de moyens financiers, logistiques ou juridiques (passeport, visa). La majorité des réfugiés politiques ou climatiques reste à l’intérieur des frontières nationales ou dans un des pays voisins. Ainsi, selon l’UNHCR/ l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés, sur les 65,3 millions de personnes déplacées de force, 40,8 millions étaient des déplacé-e-s internes et seulement 3,2 millions des demandeur-e-s d’asile en 2015. L’urbanisation croissante qui s’opère dans le monde suscite une augmentation de la migration de travail, notamment en Chine. Dans cet État, le système d’enregistrement et d’état-civil (hukou) limite l’accès aux services sociaux (santé, école, etc.) à la commune de naissance : un changement de résidence est soumis à des conditions restrictives, ce qui engendre une perte de droits élémentaires pour des dizaines de millions de migrants ruraux ne possédant pas de permis de résidence (Jijiao 2013). En France, jusqu’au tournant culturel (qui marque une bifurcation de la focale de la recherche vers les appartenances culturelles et religieuses des personnes étudiées) dans les années 1990, les sciences sociales des migrations, notamment la sociologie des migrations, ont surtout étudié les conditions et rapports de travail, les inégalités sociales ou encore la politique du logement et les inégalités spatiales (Salzbrunn 2015), conduisant ainsi à une très forte focalisation sur les rapports de classe et sur les conditions de vie des immigré-e-s des anciennes colonies. La migration des personnes hautement qualifiées n’a en revanche été que peu étudiée. Après la chute du mur de Berlin, les « appartenances multiples » (concept central de l’ouvrage de Yuval-Davis, Viethen et Kannabiran 2006), notamment religieuses (Capone 2010), ont été privilégiées comme objet de recherche. Cette tendance, accompagnée par un climat politique de plus en plus xénophobe dans certains pays européens, a parfois pointé vers une « ethnicisation » de la religion (Tersigni, Vincent et Willems, à paraître). Le glissement de perception d’une population de la catégorie des « travailleurs immigrés » ou « Gastarbeiter » (littéralement « travailleurs invités ») vers celle de « musulmans » s’inscrit dans un processus d’altérisation, sous-entendant dans les deux cas qu’il s’agit d’un groupe homogène marqué par les mêmes caractéristiques, et ignorant de ce fait la « diversité au sein de la diversité » (Vertovec 2010), notamment les différences en termes de niveau de formation, de genre, d’âge, de statut juridique, de préférence sexuelle, du rapport aux discours et pratiques religieux etc. Beaucoup d’études se sont ainsi focalisées sur des groupes fondés sur le critère d’une nationalité ou d’une citoyenneté commune, ce qui a été critiqué comme relevant d’un « nationalisme méthodologique » (Glick Schiller et Caglar 2011). Même le nouveau champ de recherches consacré aux espaces sociaux transnationaux (Basch, Glick Schiller et Szanton Blanc 1992 ; Salzbrunn 2016) a parfois été (auto-)critiqué pour la reproduction des frontières nationales à travers une optique transnationale. Ont alors émergé des réflexions sur une relocalisation de la migration (Glick Schiller et Caglar 2011) et sur l’enracinement spatial de la migration dans des espaces sociaux translocaux (Salzbrunn 2011). Bien que la moitié de la population migratoire soit féminine, les aspects de genre n’ont été étudiés que très tardivement (Morokvasic-Müller 1984), d’abord dans un contexte de regroupement ou de liens familiaux maintenus pendant la migration (Delcroix 2001 ; Kofman 2004 ; Kofman et Raghuram 2014), puis dans celui des approches féministes du développement (Verschuur et Reysoo 2005), de la migration du travail et des frontières genrées (Nouvelles Questions Féministes 26, 2007). En effet, les dynamiques internationales dans la division du travail engendrent une chaîne globale des soins (« global care chain ») qui repose essentiellement sur les femmes, que ce soit dans le domaine médical, de la pédiatrie ou des soins aux personnes âgées. La réflexion sur la division internationale du travail reproductif a été entreprise par Rhacel Parrenas (2000) et développée par Arlie Hochschild (2000). On peut obtenir une vue d’ensemble des projets européens consacrés au genre et à la migration, voir les résultats du projet européen GEMMA. Enhancing Evidence Based Policy-Making in Gender and Migration : http://gemmaproject.seminabit.com/whatis.aspx En anthropologie politique, l’évolution de systèmes politiques sous l’impact d’une migration de retour, a été étudiée dans un contexte postcolonial (von Weichs 2013). De manière générale, les réflexions menées dans un contexte études postcoloniales de ce type n’ont été entreprises que tardivement en France, et ce souvent dans une optique très critique, voire hostile à ces débats (L’Homme 156, 2000). Parmi les autres sujets traités actuellement en anthropologie des migrations se trouvent les inégalités sociales et spatiales, les dynamiques religieuses transnationales (Argyriadis et al. 2012), les réfugiés et leurs moyens d’expressions politiques et artistiques (Salzbrunn 2014) ou musicales (Civilisations 67, 2018 ; Salzbrunn, Souiah et Mastrangelo 2015). Enfin, le développement conceptuel du phénomène de transnationalisation ou des espaces sociaux translocaux, voire le retour à la « localisation de la migration » (titre de l’ouvrage de Glick Schiller et Caglar 2011) sont des réponses constructives à la question : Comment étudier les migrations dans des sociétés super-diverses (Vertovec 2011) sans réifier leurs appartenances ?
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"Buchbesprechungen." Zeitschrift für Historische Forschung: Volume 47, Issue 3 47, no. 3 (July 1, 2020): 465–590. http://dx.doi.org/10.3790/zhf.47.3.465.

Full text
Abstract:
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