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Journal articles on the topic 'Déterminants génétiques'

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Schürhoff, F. "Déterminants génétiques des idées délirantes." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 169, no. 3 (April 2011): 175–78. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2011.02.008.

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2

Bouatia-Naji, Nabila. "Nouveaux déterminants génétiques des traits glycémiques." médecine/sciences 30, no. 1 (January 2014): 27–29. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20143001008.

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3

Hulot, Jean-Sébastien, and Pascale Gaussem. "Déterminants génétiques de la réponse au clopidogrel." Hématologie 15, no. 1 (January 2009): 045–71. http://dx.doi.org/10.1684/hma.2009.0312.

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4

Hulot, Jean-Sébastien, and Pascale Gaussem. "Déterminants génétiques de la réponse au clopidogrel." Hématologie 15, no. 2 (March 2009): 113–16. http://dx.doi.org/10.1684/hma.2009.0343.

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5

Kalichman, Leonid, and David J. Hunter. "Déterminants génétiques de la discopathie dégénérative. Gènes concernés." Revue du Rhumatisme 75, no. 7 (July 2008): 572–81. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2007.11.010.

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6

Jacob, Raphaëlle, Angelo Tremblay, Vicky Drapeau, Véronique Provencher, and Louis Pérusse. "Susceptibilité à l’obésité : rôle des déterminants génétiques des comportements alimentaires." Canadian Journal of Dietetic Practice and Research 78, no. 4 (December 2017): 197–203. http://dx.doi.org/10.3148/cjdpr-2017-019.

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7

Kalichman, Leonid, and David J. Hunter. "Déterminants génétiques de la discopathie dégénérative. Prédisposition familiale et estimation de l’héritabilité." Revue du Rhumatisme 75, no. 7 (July 2008): 567–71. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2007.11.009.

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8

Ciccolini, J. "Déterminants moléculaires et génétiques d’efficacité et de toxicité du 5-fluoro-uracile." Oncologie 16, no. 2-3 (February 2014): 91–95. http://dx.doi.org/10.1007/s10269-014-2372-4.

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9

Hasan, Milena. "Milieu Intérieur." médecine/sciences 35, no. 5 (May 2019): 423–30. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019077.

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Abstract:
Le projet Milieu Intérieur vise à élucider les facteurs environnementaux et héréditaires qui façonnent un système immunitaire sain, et à définir ses frontières lors de l’homéostasie et à la suite d’une stimulation immunitaire. Le projet repose sur un phénotypage immunitaire de 1 000 donneurs sains. En corrélant les mesures obtenues par analyse en cytométrie en flux de la composition des cellules immunitaires du sang périphérique en homéostasie avec les métadonnées associées, nous avons défini des valeurs de référence de phénotypes en fonction du sexe et de l’âge et constaté un impact significatif du tabagisme et de l’infection latente par le cytomégalovirus sur les phénotypes mesurés. Nous avons également identifié onze nouveaux polymorphismes (SNP, single-nucleotide polymorphism), associés à des phénotypes spécifiques de certaines cellules immunitaires. Des conduites expérimentales robustes et standardisées ont été établies pour quantifier les signatures protéiques et transcriptionnelles de la réponse immunitaire résultant de la stimulation des cellules du sang périphérique et pour explorer les déterminants génétiques et non-génétiques de la variabilité de cette réponse. Les approches analytiques établies par Milieu Intérieur et l’ensemble des données recueillies pourront ainsi servir de référence pour des études comparatives avec différentes maladies.
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Milh, M., C. Mignon-Ravix, P. Cacciagli, N. Villeneuve, B. Chabrol, and L. Villard. "P163 - Étude des déterminants génétiques des encéphalopathies épileptiques précoces : une maladie de la neurotransmission ?" Archives de Pédiatrie 17, no. 6 (June 2010): 90. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(10)70563-7.

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11

Gavrilova, Natalia S., and Leonid A. Gavrilov. "Étude biodémographique des déterminants familiaux de la longévité humaine." Population Vol. 56, no. 1 (January 1, 2001): 225–51. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p2001.56n1-2.0251.

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Abstract:
Résumé Gavrii.ov L A . Gwrilova N S - Étude biodémographique des déterminants familiaux de la longévité humaine A partir de données empruntées aux généalogies de familles aristocratiques d'Europe, cet article explore deux questions l'âge des parents a la conception de l'entant attecte-t-il la durée de vie de celui-ci ' Quels sont les mécanismes possibles de transmission de la longévité des parents aux enfants > La méthode des generations éteintes est appliquée a la durée de vie individuelle (plusieurs milliers de cas) comme variable dépendante dans une analyse statistique multivanee Nous constatons que les effets de l'âge des parents sur la longévité de leurs enfants sont fonction du sexe et particulièrement forts dans la combinaison pere fille Contrairement aux fils, les filles nées de pères plus ages vivent moins longtemps Ces résultats saccordent avec les explications génétiques (origine paternelle des mutations délétères et role crucial du chromosome paternel X transmis aux seules filles) Nous constatons aussi une relation non linéaire (accélérée) inhabituelle entre durées de vie des parents et des enfants d une même famille, ce qui indique une hentabilite accrue de la durée de vie quand les parents ont vécu longtemps Ce résultat est conforme a la théorie evo- lutionniste du vieillissement et, en particulier, a la théorie de 1 accumulation des mutations. Finalement, nous observons un mode paradoxal de transmission héréditaire de la longévité par la lignée paternelle de préférence a la lignée maternelle 11 faudra d'autres études a grande échelle pour valider ce premier constat
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Rezk, N., and J. B. Richards. "88 - Des déterminants génétiques peuvent influencer la sensibilité et la gravité de la COVID-19." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 70 (August 2022): S195. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2022.06.182.

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ELSEN, J. M., F. LANTIER, R. RUPP, B. CAYRON, F. EYCHENNE, F. SCHELCHER, I. PALHIERE, and B. BED’HOM. "Organisation à l’INRA des observations et expérimentations sur des animaux modèles ou agronomiques infectés par une Encéphalopathie Spongiforme Transmissible." INRAE Productions Animales 17, HS (December 19, 2004): 7–12. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3614.

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Abstract:
Les investissements mis en place par l’INRA pour aborder l’étude des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST) dans les populations animales, de ferme ou en conditions expérimentales, sont décrits : laboratoire de génotypage du gène PrP à grande échelle, domaine expérimental de Langlade où sont suivis des ovins soumis à une tremblante naturelle, très grande animalerie protégée (Installations Nationales PRotégées pour l’étude des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles « INPREST ») pour les gros animaux de ferme, bergerie protégée de l’Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), animaleries rongeurs protégées sur les sites INRA de Nouzilly et Jouy-en-Josas, et de Toulouse (ENVT). Cet ensemble d’investissements donne aux scientifiques les moyens de mener à bien leurs investigations sur la physiopathologie des EST animales, les déterminants génétiques de la sensibilité/résistance à ces pathologies, la nature de l’agent pathogène et notamment sa variabilité, ainsi que sur l’évaluation des risques et le diagnostic.
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Cenatiempo, Y., J. M. Berjeaud, F. Biet, C. Fremaux, Y. Hechard, and D. Robichon. "Bactériocines de bactéries lactiques : données récentes sur leur structure, leur mode d'action et leurs déterminants génétiques." Le Lait 76, no. 1-2 (1996): 169–77. http://dx.doi.org/10.1051/lait:19961-215.

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TAUSSAT, Sébastien, Gonzalo CANTALAPIEDRA-HIJAR, Jacques AGABRIEL, Gilles RENAND, Sylvie BROUARD, Laurent GRIFFON, and Pauline MARTIN. "Caractériser les déterminants physiologiques et génétiques de l’efficience alimentaire des bovins allaitants : le programme BEEFALIM 2020." INRAE Productions Animales 36, no. 3 (October 27, 2023): 7816. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2023.36.3.7816.

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Abstract:
Dans le contexte actuel de forts coûts des intrants alimentaires et d’impact des productions bovines sur le changement climatique, l’efficience alimentaire apparaît comme un levier d’action pour la durabilité économique et environnementale de l’élevage allaitant. De plus, la valorisation par les bovins d’aliments cellulosiques, non éligibles à l’alimentation humaine et favorisant un maintien des prairies et des services environnementaux associés, représente également un enjeu majeur, en particulier dans les régimes d’engraissement des jeunes bovins. Dans l’objectif d’étudier les déterminants, aussi bien physiologiques que génétiques, de l’efficience alimentaire des bovins allaitants tout en prenant en compte le fait que la filière allaitante repose sur différents types d’animaux (jeunes bovins à l’engraissement mais également mères allaitantes et génisses de renouvellement) et différents types d’alimentation, un vaste programme de recherche a été mené. Intitulé BEEFALIM 2020, celui-ci s’est étalé entre 2013 et 2021 et a permis la production de nombreuses connaissances scientifiques. Cet article introductif présente la structure et les objectifs de BEEFALIM 2020, décrit les dispositifs expérimentaux utilisés et reprend les principaux enseignements du programme en préambule aux trois articles scientifiques qui en rapportent les résultats dans le détail.
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Ranque, B., M. Orlova, V. T. Nguyen, E. Schurr, L. Abel, and A. Alcaïs. "Recherche de déterminants génétiques prédisposant aux réactions de réversion au cours de la lèpre : analyse des voies d’activation du TNF-α." La Revue de Médecine Interne 30 (June 2009): S39. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2009.03.034.

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RASOLOFOTSIALONINA, Nambinina Hajamanantena, Madson Avotriaina RASOAMANALINA, Hasina Menja ANDRIAMANJATO, Benjamina Oniarivololona Norosoa RAKOTOA, Evah Norotiana Andriamiakatsoa RAOBELLE, Bertille Hortense RAJAONARISON, and Adeline RAHARIVELO. "Troubles De La Conduite Chez Les Mineurs Incarcères : Prévalence Et Facteurs Déterminants." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 34, no. 1 (September 22, 2022): 314. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v34.1.4544.

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Abstract:
Résumé – Le trouble de la conduite est défini comme un ensemble de conduites répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet. L’objectif de cette étude est de déterminer la prévalence des troubles de conduites des mineurs incarcérés et de décrire les facteurs qui influent sur les comportements de ces enfants. Il s’agit d’une étude descriptive transversale menée du mois de février jusqu’en avril 2018 auprès des mineurs incarcérés au Centre de Rééducation Mandrosoa Ambohidratrimo Antananarivo. Au total, 103 garçons incarcérés ont été inclus dans l’étude. Les troubles de conduites ont été observés dans 72,81 % (n= 75) d’entre eux. L’âge des garçons variait de 9 à 18 ans avec une moyenne d’âge de 14,18 ans. Il existe une liaison statistiquement significative entre la situation monoparentale (p= 0,0068), la non cohabitation des parents avec l’adolescent (p=0,0168), le bas niveau d’instruction du père (p=0,0159) et l’existence de trouble de la conduite. Ce trouble a été surtout constaté chez les garçons abandonnés par leurs parents (p= 0,0303) dont le motif de l’abandon est le divorce (p=0,0124). Par ailleurs, tous les garçons témoins d’une violence conjugale et ceux victimes de négligence présentent significativement des troubles de la conduite. Les troubles de la conduite de l’adolescent incarcéré ne reconnaissent pas un seul facteur étiologique. C’est le cas des facteurs génétiques et des facteurs anténataux.Mots-clés – Adolescent ; Madagascar ; Mineurs ; Trouble de la conduiteAbstract – Conduct disorder is defined as a pattern of repetitive and persistent behavior in which the basic rights of others or age-appropriate social norms and rules are violated. The purpose of this study is to determine the prevalence of conduct disorder in incarcerated juveniles and to describe the factors that influence the behaviors of these children. This is a descriptive cross-sectional study conducted from February until April 2018 among minors incarcerated at the Mandrosoa Ambohidratrimo Antananarivo Rehabilitation Center. A total of 103 incarcerated boys were included in the study. Conduct disorder was observed in 72.81% (n= 75) of them. The ages of the boys ranged from 9 to 18 years with a mean age of 14.18 years. There was a statistically significant relationship between single-parent status (p=0.0068), parents not living with the adolescent (p=0.0168), low level of education of the father (p=0.0159) and the existence of conduct disorder. This disorder was most prevalent among boys abandoned by their parents (p=.0303) whose reason for abandonment was divorce (p=.0124). On the other hand, all boys who witnessed domestic violence and those who were victims of neglect showed significant conduct disorder. Conduct disorder in the incarcerated adolescent does not recognize a single etiological factor. This is the case for genetic and antecedent factors.Keywords – Adolescent; Madagascar; Minors; Conduct disorder.
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Verstegen, Ruud H. J., Iris Cohn, Mark E. Feldman, Daniel Gorman, and Shinya Ito. "La pharmacothérapie en fonction des gènes chez les enfants et les adolescents qui prennent des médicaments psychoactifs." Paediatrics & Child Health 29, no. 5 (August 2024): 311–17. http://dx.doi.org/10.1093/pch/pxae028.

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Abstract:
Résumé Les médicaments psychoactifs sont de plus en plus utilisés pour traiter les enfants et les adolescents ayant des troubles de santé mentale, mais la variabilité des réponses individuelles fait ressortir l’importance d’une médecine personnalisée. Les tests pharmacogénétiques sont un volet important d’un tel type de médecine. Le nombre d’entreprises de tests pharmacogénétiques commerciaux qui font la promotion de tests de ce genre et promettent un traitement efficace et individualisé des troubles de santé mentale se multiplie depuis quelques années. Les preuves scientifiques en appui à l’utilisation de la pharmacogénétique sont limitées, particulièrement dans les populations pédiatriques. Le présent point de pratique souligne les étapes qui orientent le recours à ces tests pour la prise de médicaments psychoactifs en milieu clinique et présente des ressources de soutien importantes. Il existe des directives cliniques sur les variants des pharmacogènes qui encodent les enzymes de métabolisation du cytochrome P450 (p. ex., CYP2C19, CYP2D6, CYP2C9), lesquels sont l’un des déterminants des concentrations pharmacologiques dans le sang et peuvent appuyer à la fois le choix du médicament et la stratégie posologique de certains antipsychotiques, antidépresseurs et antiépileptiques. Les effets indésirables de certains médicaments antiépileptiques (p. ex., la carbamazépine et la phénytoïne) sont associés à certains types d’antigènes d’histocompatibilité humaine et à des variants de l’ADN polymérase gamma (POLG; acide valproïque). Les données probantes sont limitées à l’égard des variants génétiques des protéines qui ciblent les médicaments, et c’est pourquoi il est difficile de déterminer quels patients présenteraient une réponse altérée au traitement à une concentration sanguine thérapeutique.
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Brousse, G. "Le plaisir n’est-il que dans le gène : où en sommes-nous de l’interaction gène-individu-environnement dans les addictions ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S13. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.043.

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Abstract:
Les facteurs déterminants dans l’apparition des addictions sont généralement présentés selon la formule consacrée : interaction produit-individu-environnement. Le poids variable du facteur produit dans cette équation tiendrait à la différence de potentialité addictogène entre les différentes substances psychoactives. En ce qui concerne la vulnérabilité relative des individus on retient les facteurs psychologiques considérés comme acquis, les facteurs génétiques, et à mi-chemin entre les deux, les pathologies psychiatriques. Enfin, l’environnement constitue le creuset où l’alchimie addictive va opérer ou non. Même s’il reste très large et discutable ce modèle interactif a permis de compenser les positions unicistes. Ainsi, si on a mis, à juste titre, beaucoup d’espoir dans la vulnérabilité liée aux gènes l’intérêt de cette approche repose beaucoup plus aujourd’hui sur l’étude d’une dynamique gène environnement ou d’une interaction gène traitement que sur la découverte d’une cause unique de la maladie addictive. De la même façon, l’idée d’identifier un trouble psychologique spécifique des addictions s’éloigne progressivement. C’est la recherche sur l’interaction des différents facteurs qui enrichit aujourd’hui la connaissance en addictologie. Nous avons souhaité rendre compte des avancées en la matière. Pour ce faire nous présenteront d’abord des travaux concernant les interactions gènes traitement dans l’addiction aux opiacés (Dr F. Vorspan, Paris), puis nous discuterons de l’interaction de l’individu avec son environnement en particulier dans l’addiction à l’alcool (Dr P. Nubupko, Limoges) et enfin nous aborderons l’état des connaissances actuelles sur l’implication des facteurs psychologiques et psychiatriques dans l’étiologie de ces troubles (Pr C. Lançon, Marseille).
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JULIAN-REYNIER, Claire, Jean-Paul MOATTI, Pascale BOURRET, François EISINGER, and Hagay SOBOL. "Vers une colonisation génétique de la médecine?" Sociologie et sociétés 28, no. 2 (September 30, 2002): 141–55. http://dx.doi.org/10.7202/001368ar.

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Abstract:
Résumé Parce qu'elle constitue l'archétype d'une innovation en train de se faire et que son extension aux facteurs de risque des principales pathologies de l'adulte n'obéit pas encore à une trajectoire claire, la génétique médicale constitue un objet de recherche privilégié pour une approche en sciences sociales visant à dépasser la dialectique mécaniste entre offre et demande des modèles économiques et sociologiques traditionnels. Cet article est consacré plus particulièrement à l'émergence des consultations de génétique en cancérologie, il est articulé autour de quatre champs principaux où sont susceptibles de se nouer des configurations d'acteurs, pour l'instant encore largement indéterminées, mais qui semblent déterminantes pour l'avenir et la portée du développement de cette activité. Le premier est celui des modes d'articulation entre activité clinique d'oncogénétique et recherche biologique " fondamentale ", le deuxième est celui de la frontière entre une activité demeurant restreinte et un éventuel " dépistage " beaucoup plus généralisé de facteurs de risque génétiques en population, frontière dont la délimitation dépendra directement des possibilités d'interventions à visée préventive, le troisième est celui des modes de spécialisation de l'oncologie génétique dans l'ensemble des disciplines médicales préexistantes, et enfin le dernier est celui de l'impact possible de la " médecine prédictive " sur les mécanismes d'assurance collectifs qui président actuellement à la gestion du risque-maladie en France comme au Canada.
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Germon, Pierre, Florence B Gilbert, and Pascal Rainard. "La diversité génétique des pathogènes majeurs." Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 9, no. 35 (2016): 17–22. https://doi.org/10.1051/npvelsa/35017.

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Abstract:
Escherichia coli, Staphylococcus aureus et Streptococcus uberis sont les principaux pathogènes majeurs responsables d'infections intramammaires en élevage laitier. Les techniques de biologie moléculaire récentes et le séquençage génomique à haut débit ont permis d’affiner les études de ces bactéries et de montrer la diversité génétique que recouvraient ces noms d’espèce. Un des objectifs des travaux de recherche actuels et à venir est de mettre en évidence un éventuel lien entre le génotype bactérien et la typologie clinique des mammites. Les souches d’Escherichia coli de mammites sont plutôt caractérisées par une absence de facteurs de virulence spécifiques. Des travaux récents ont toutefois mis en évidence des régions génétiques plus fréquentes chez les E. coli isolées de mammites, notamment une région impliquée dans l’acquisition du fer. Les souches de S. aureus isolées d’infections mammaires sont également très variées mais possèdent des propriétés particulières qui permettent de leur attribuer une spécificité d’hôte. Si des différences de potentiel pathogène ou de contagiosité sont avérées, le lien entre un équipement génétique ou un profil phénotypique particulier et un type d’infection précis reste hypothétique. Quant à l'espèce Str. uberis, elle présente également une certaine diversité génétique et au niveau d'un élevage, de nombreuses souches peuvent être isolées. Les derniers travaux de génotypage de souches isolées de mammites confirment que les modèles épidémiologiques environnemental et mixte, c'est-à-dire à la fois environnemental et contagieux, prédominent. Même si des facteurs de virulence putatifs ont été identifiés dans l’espèce Str. uberis, aucun ne semble individuellement déterminant. Cependant, l'accroissement du nombre de génomes séquencés devrait permettre de mieux apprécier la diversité des souches de Str. uberis, et d'ouvrir de nouveaux champs de recherche pour maîtriser ce pathogène. Ces trois espèces bactériennes se caractérisent par une grande diversité de profils génétiques qui est à l'image de la grande amplitude de sévérité des infections mammaires observée sur le terrain.
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Touvier, M., M. Deschasaux, M. Montourcy, A. Sutton, N. Charnaux, E. Kesse-Guyot, K. E. Assmann, et al. "P228: Déterminants du statut en vitamine D chez des adultes de type caucasien : influence de l’exposition solaire, des apports alimentaires, du mode de vie et de facteurs sociodémographiques, anthropométriques et génétiques." Nutrition Clinique et Métabolisme 28 (December 2014): S188. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(14)70870-2.

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Grey, Corinne, Vérane Sommermeyer, Valérie Borde, and Bernard de Massy. "Déterminants de la carte génétique." médecine/sciences 27, no. 1 (January 2011): 63–69. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/201127163.

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BROCHARD, M., K. DUHEN, and D. BOICHARD. "Dossier "PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait"." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 21, 2014): 251–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3071.

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Abstract:
Dossier "PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait Avant-propos Le lait est un produit animal complexe à l’origine de multiples valorisations en alimentation humaine : laits de consommation incluant les laits infantiles, fromages, beurres, crèmes, yaourts, desserts et boissons lactées, ingrédient dans une grande diversité de pâtisseries et de plats cuisinés, etc. Il s’agit donc d’un pilier de l’alimentation humaine y compris à l’âge adulte et ce depuis des milliers d’années. Toutefois, les demandes des consommateurs et de la société ont évolué rapidement ces dernières années et les exigences en matière de qualité des produits se sont complexifiées (Le Bihan-Duval et al 2014). Tout d’abord du point de vue du consommateur, en particulier occidental, l’alimentation doit désormais répondre à une diversité d’attentes. A la demande en « quantité » d’après-guerre, se sont en particulier ajoutées des exigences sanitaires, des exigences organoleptiques, de traçabilité du produit, des exigences nutritionnelles, et après une période « nutrition - santé » (Cniel 2011), une exigence croissante de « naturalité ». De plus, du point de vue du citoyen, la qualité intègre l’environnement, le bien-être animal, les conditions de production. Une partie des consommateurs a d’ailleurs évolué vers une stratégie d’achat « responsable » (Cniel 2011). Simultanément, le lait, bien que bénéficiant d’une image traditionnellement et majoritairement favorable à plusieurs titres, est confronté ces dernières années à des remises en causes parfois virulentes (allergies, intolérances, rejet des matières grasses saturées et trans…) qui s’installent probablement durablement dans les rapports des consommateurs avec le lait (Cniel 2011). Malgré ce contexte exigeant et changeant, jusqu’à aujourd’hui, au-delà des quantités totales en matières grasses et protéiques, peu de dispositifs sont disponibles et mis en œuvre pour suivre, qualifier, voire piloter la composition fine du lait « en sortie de ferme ». Le lait a suivi, avec le développement du secteur laitier, un processus de standardisation conformément au principe du « lait apte à toute transformation », devenant une matière première à laquelle l’application de procédés de fabrication variés donne de la valeur. Ce constat est à moduler pour les filières AOP fromagères. La composition fine du lait, en particulier la variabilité des profils en acides gras et en protéines, n’est pas ou peu valorisée, ni au niveau de la production, ni au niveau de la transformation. Dans le contexte actuel, traiter le lait de manière indifférenciée peut être contre-productif, en particulier si l’on reconsidère la richesse intrinsèque de la matière première « lait » et le fait que la composition du produit final reflète largement la composition du lait d’origine (Lucas et al 2006). Le lait « en sortie de ferme » se situe à la charnière entre l’amont et l’aval des filières laitières et, à ce titre, est idéalement placé pour être une source importante de compétitivité et d’adaptabilité des filières laitières dans leur globalité. Le sujet de la composition fine du lait a bien entendu fait l’objet de travaux bien avant que le programme PhénoFinlait ne soit imaginé et mis en œuvre. Ainsi, les liens entre alimentation et profil en acides gras (Chilliard et al 2007, Couvreur et al 2007, Hurtaud et al 2007) ou encore les variants génétiques des lactoprotéines majeures (Grosclaude et al 1987, Grosclaude 1988) ont été étudiés généralement à partir de dispositifs expérimentaux. Ces connaissances ont servi de point de départ et d’assurance sur la faisabilité et l’intérêt d’engager un programme à grande échelle. L’ambition de PhénoFinlait était alors de transposer ces connaissances et hypothèses en élevages privés avec une grande diversité de systèmes d’alimentation et de coupler cela à une analyse conjointe du déterminisme génétique afin d’apporter aux éleveurs et à leurs filières des outils et des réponses globales. De nombreuses nouvelles références étaient bien évidemment à établir, mais l’un des enjeux majeurs portait et porte toujours sur les possibilités de transfert aux filières. Les développements à la fois de la spectrométrie dans l’infra-rouge et de la sélection génomique ont ouvert de nouvelles portes en matière d’accès à la composition fine du lait à coûts réduits et d’analyses de ses déterminants génétiques.Les travaux pionniers de la Faculté Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux (Soyeurt et al 2006) ont ainsi ouvert la voie à l’estimation de nombreux composants fins du lait à partir d’une exploitation plus fine des données d’absorbance de la lumière dans le Moyen Infra-Rouge (MIR) principalement. Le principe est simple : la spectrométrie MIR, utilisée pour estimer les taux de matière grasse et protéique en routine dans les laboratoires d’analyse du lait, peut aussi être utilisée pour quantifier individuellement certains composants fins. Des modèles de prédiction sont développés à partir d’un jeu d’échantillons caractérisés à la fois à l’aide d’une méthode d’ancrage et par un spectre MIR. Ces modèles sont ensuite appliqués aux données spectrales telles que celles produites dans le cadre des analyses laitières habituelles de paiement du lait à la qualité et de contrôle laitier. Plusieurs dizaines d’acides gras et protéines peuvent ainsi être estimés avec une précision satisfaisante et à un coût additionnel modeste par rapport aux analyses déjà réalisées en routine. Parallèlement, les avancées dans le domaine de la génomique permettent d’analyser et d’exploiter plus rapidement et plus finement le déterminisme génétique des caractères. Là encore, le principe est relativement simple : deséquations d’estimation du potentiel génétique des animaux pour les différents caractères sont établies à partir d’une population de référence (animaux génotypés et caractérisés d’un point de vue phénotypique). Cette population peut être de taille beaucoup plus restreinte que celle nécessaire pour mettre en œuvre une évaluation génétique « classique ». Par ailleurs, les équations produites permettent de déterminer le potentiel génétique d’un animal sans pour autant qu’il dispose lui-même (ou ses descendants) de phénotype mesuré (Robert-Granié et al 2011). L’un des enjeux en sélection est alors de concevoir et de mettre en œuvre des programmes de caractérisation phénotypique de populations de référence, ce que l’on a appelé des programmes de « phénotypage » à plus ou moins grande échelle. Le programme PhénoFinlait est l’un des premiers grands programmes de phénotypage à haut débit (Hocquette et al 2011) avec ses caractéristiques : phénotypage fin sur la composition du lait, dans des systèmes d’élevage caractérisés, en particulier, par l’alimentation, préalable à un génotypage à haut débit des animaux suivis. Face à ces enjeux pour la filière laitière et ces nouvelles potentialités techniques et scientifiques, les filières laitières bovine, caprine et ovine, les acteurs de l’élevage (conseil en élevage et laboratoires d’analyse du lait) et de la génétique (entreprises de sélection et de mise en place d’insémination), les instituts de recherche et de développement (Inra, Institut de l’Elevage, Actalia) et APIS-GENE ont décidé de se constituer en consortium afin d’unifier leurs efforts et de partager leurs compétences et réseaux. Le consortium, avec le soutien financier d’APIS-GENE, de l’ANR, du Cniel, du Ministère de l’Agriculture (fond dédié CASDAR et Action Innovante), de France AgriMer, de France Génétique Elevage, du fond IBiSA et de l’Union Européenne, a initié début 2008 un programme pour :- analyser la composition fine du lait en acides gras et en protéines par des méthodes de routine et des méthodes d’ancrage ultra-résolutives (protéines) ;- appliquer ces méthodes à grande échelle sur une diversité de systèmes et de races représentatives de la diversité de la ferme France afin d’identifier des facteurs influençant la composition fine du lait ;- optimiser la valorisation des ressources alimentaires et génétiques par le conseil en élevage ;- initier une sélection génomique. Au-delà de ces objectifs, le programme PhénoFinlait a été envisagé comme un investissement majeur et collectif pour les filières laitières françaises afin de leur permettre de conserver ou de développer des avantages compétitifs par la possibilité de mieux valoriser la composition fine et demain ultrafine (grâce à des méthodes plus fines encore que la spectrométrie MIR) du lait. Les bases de données et d’échantillons ont ainsi vocation à être exploitées et ré-exploitées pendant plusieurs années au fur et à mesure des demandes des filières et de l’avancée des connaissances et des technologies d’analyse du lait. D’autres pays se mobilisent également sur cette problématique : Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Danemark et Suède, Italie, Belgique, etc. Ce dossier de la revue Inra Productions Animales fait état des principales productions issues à ce jour du programme PhénoFinlait. Il n’a pas vocation à couvrir exhaustivement les résultats produits. En particulier, nous ne présenterons pas systématiquement l’ensemble des résultats pour l’ensemble des espèces, races et composants. Néanmoins, nous nous sommes attachés à présenter à travers trois articles de synthèse et un article conclusif les principales avancées permises par ce programme à partir d’exemples pris dans les différentes filières. Gelé et al, débutent ce dossier par une présentation du programme dans ses différents volets, depuis la détermination des élevages et animaux à suivre jusqu’à la collecte et la conservation d’échantillons (de lait et de sang), en passant par l’enregistrement en routine des spectres MIR, des conditions d’alimentation, le prélèvement d’échantillons de sang puis, plus tard, le génotypage sur des puces pangénomiques. Cet article développe plus particulièrement la méthodologie mise en place pour déterminer la composition du lait en acides gras etprotéines à partir de spectres MIR. Enfin, il dresse un bilan des données collectées, permettant d’actualiser les références sur la caractérisation des troupeaux, des femelles laitières, des régimes alimentaires, et du profil des laits produits dans les trois filières laitières françaises. Legarto et al, présentent ensuite les résultats relatifs à l’influence des facteurs physiologiques (stade de lactation...), alimentaires (à travers des typologies de systèmes d’alimentation), raciaux et saisonniers, sur les profilsen acides gras. Ces résultats mettent en évidence de nombreuses sources de variation de la composition du lait qui pourront être exploitées à différentes échelles : animal, troupeau et bassin de collecte. Enfin, Boichard et al, présentent une synthèse de l’analyse du déterminisme génétique des acides gras d’une part et des protéines d’autre part. Cette synthèse aborde les estimations de paramètres génétiques tels que l’héritabilité et les corrélations génétiques entre caractères de composition fine entre eux, et avec les caractères de production. Ces résultats permettent en particulier de définir les potentialités de sélection ainsi que les liaisons génétiques à considérer. Ces analyses ont aussi permis de mesurer l’importance du choix de l’unité d’expression des teneurs (en pourcentage de la matière grasse ou protéique, ou en pourcentage dans le lait). Dans une dernière partie, cet article présente les analyses de détection de QTL avec une analyse des co-localisations entre races, entre composants et avec des gènes majeurs connus. RéférencesBoichard D., Govignon-Gion A., Larroque H., Maroteau C., Palhière I., Tosser-Klopp G., Rupp R., Sanchez M.P., Brochard M., 2014. Déterminisme génétique de la composition en acides gras et protéines du lait des ruminants. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 283-298. Chilliard Y., Glasser F., Ferlay A., Bernard L., Rouel J., Doreau M., 2007. Diet, rumen biohydrogenation, cow and goat milk fat nutritional quality: a review. Eur. J. Lipid Sci. Technol., 109, 828-855. Cniel, 2011. Lait, produits laitiers et société : France 2025 – Prospective collective. Note de synthèse sur les évolutions probables, juillet 2011. Couvreur S., Hurtaud C., Marnet P.G., Faverdin P., Peyraud J.L., 2007. Composition of milk fat from cows selected for milk fat globule size and offered either fresh pasture or a corn silage-based diet. J. Dairy Sci., 90, 392-403. Gelé M., Minery S., Astruc J.M., Brunschwig P., Ferrand M., Lagriffoul G., Larroque H., Legarto J., Martin P., Miranda G., Palhière I., Trossat P., Brochard M., 2014. Phénotypage et génotypage à grande échelle de la composition fine des laits dans les filières bovine, ovine et caprine. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 255-268. Grosclaude F., Mahé M.F., Brignon G., Di Stasio L., Jeunet R., 1987. A Mendelian polymorphism underlying quantitative variations of goat αS1-casein. Génét. Sel. Evol., 19, 399-412. Grosclaude F., 1988. Le polymorphisme génétique des principales lactoprotéines bovines. Relations avec la quantité, la composition et les aptitudes fromagères du lait. INRA Prod. Anim., 1, 5-17. Hocquette J.F., Capel C., David V., Guemene D., Bidanel J., Barbezant M., Gastinel P.L., Le Bail P.Y., Monget P., Mormede P., Peyraud J.L., Ponsart C., Guillou F., 2011. Les objectifs et les applications d’un réseau organisé de phénotypage pour les animaux d’élevage. Renc. Rech. Rum., 18, 327-334. Hurtaud C., Peyraud J.L., 2007. Effects of feeding camelina (seeds or meal) on milk fatty acid composition and butter spreadability. J. Dairy Sci., 90, 5134-5145. Le Bihan-Duval E., Talon R., Brochard M., Gautron J., Lefevre F., Larzul C., Baeza E., Hocquette J.F., 2014. Le phénotypage de la qualité des produits : enjeux de société, scientifiques et techniques. In : Phénotypage des animaux d’élevage. Phocas F. (Ed). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 223-234. Legarto L., Gelé M., Ferlay A., Hurtaud C., Lagriffoul G., Palhière I., Peyraud J.L., Rouillé B., Brunschwig P., 2014. Effets des conduites d’élevage sur la composition en acides gras du lait de vache, chèvre et brebis évaluéepar spectrométrie au moyen infrarouge. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds).Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 269-282. Lucas A., Rock E., Chamba J.F., Verdier-Metz I., Brachet P., Coulon J.B., 2006. Respective effects of milk composition and the cheese-making process on cheese compositional variability in components of nutritionalinterest. Lait, 86, 21-41. Robert-Granié C., Legarra A., Ducrocq V., 2011. Principes de base de la sélection génomique. In : Numéro spécial, Amélioration génétique. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M. (Eds). INRA Prod. Anim., 24, 331-340. Soyeurt H., Dardenne P., Dehareng F., Lognay G., Veselko G., Marlier M., Bertozzi C., Mayeres P., Gengler N., 2006. Estimating fatty acid content in cow milk using mid-infrared spectrometry. J. Dairy Sci., 89, 3690-3695.
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Veilleux, Mélanie, Lucie Mandeville, and Karine Morin. "LE BONHEUR DES GENS HEUREUX." Revue québécoise de psychologie 38, no. 1 (June 8, 2017): 103–28. http://dx.doi.org/10.7202/1040072ar.

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Abstract:
Le présent article décrit l’expérience subjective des gens heureux à partir de trois composantes du bonheur : le plaisir, l’engagement et le sens à sa vie. Une étude phénoménologique a été réalisée auprès de six participants reconnus comme des modèles de personnes heureuses. L’analyse thématique fait ressortir sept conceptions du bonheur (c’est un choix, c’est une question de pouvoir personnel, il est en soi, il dépend peu des circonstances, il ne provient pas des autres, le bonheur est une quête et il a une base génétique). Les résultats mettent en lumière les déterminants du bonheur : la génétique, les conditions externes, l’adaptation hédonique, l’investissement personnel, ainsi que les composantes du modèle PERMA.
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PARIS, A., F. ANDRE, J. P. ANTIGNAC, B. LE BIZEC, M. BONNEAU, C. BRIANT, A. CARATY, et al. "Hormones et promoteurs de croissance en productions animales : de la physiologie à l’évaluation du risque." INRAE Productions Animales 19, no. 3 (May 13, 2006): 151–240. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.3.3491.

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Abstract:
Au cours des cinquante dernières années, des progrès considérables dans les performances d’élevage des espèces domestiques ont été obtenus grâce à une meilleure connaissance acquise dans le domaine de la physiologie, en particulier en ce qui concerne la nutrition, la croissance, la reproduction et la lactation, et qui s’est conjuguée aux progrès génétiques accomplis dans les différentes espèces animales dans un contexte de meilleure maîtrise sanitaire des troupeaux et de maîtrise plus fine des systèmes d’élevage en place. Le recours aux substances hormonales pour mieux maîtriser les fonctions de reproduction et de croissance a pris une place déterminante dans ce progrès. Néanmoins, une tendance profonde consistant à restreindre leur utilisation à certains moments critiques de la vie de l’animal est apparue en Europe ces quinze dernières années, obligeant à rechercher des alternatives par le biais d’une meilleure maîtrise alimentaire, génétique et des systèmes d’élevage, ceci afin de garantir aux consommateurs une meilleure qualité définie a priori des produits animaux. Les fonctions physiologiques qui offrent des possibilités d’un contrôle hormonal exogène, les substances hormonales utilisables et les spéculations animales concernées sont présentées tour à tour. Un éclaircissement sur les risques toxicologiques que présentent ces substances, le contrôle et la traçabilité de leur utilisation et les réglementations en vigueur sont ensuite rappelés. Enfin, sont évoquées les recherches qui permettront de faire progresser sensiblement la question de l’utilisation des hormones en élevage dans un contexte sociétal renouvelé.
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Hamadeh, H., S. Larré, A. R. Azzouzi, G. Cancel-Tassin, G. Vallancien, B. Cochand-Priollet, and O. Cussenot. "Facteurs génétiques déterminant les variations anatomiques de la prostate." Progrès en Urologie 18, no. 4 (April 2008): 214–22. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2007.12.014.

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Braun, Serge. "Thérapies géniques de l’amyotrophie spinale infantile." médecine/sciences 36, no. 2 (February 2020): 141–46. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020011.

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Abstract:
On convient de dire qu’une génération est nécessaire pour faire émerger une nouvelle famille de médicaments. L’amyotrophie spinale infantile (SMA), après l’élucidation du gène causal en 1995, dispose depuis peu de deux classes innovantes de thérapeutiques : l’administration répétée d’oligonucléotides antisens et l’administration unique d’une thérapie génique par scAAV9-SMN. En s’adressant aux mécanismes génétiques de la maladie, elles en modifient fondamentalement le cours. Ces avancées majeures dans une maladie extrêmement sévère, mortelle souvent avant l’âge de 18 mois dans les formes de type 1 (50 % des malades), ouvrent la voie pour d’autres pathologies graves du système nerveux ou neuromusculaire, et apportent une preuve déterminante de l’efficacité de ces classes nouvelles de produits appelés à s’adresser à de nombreuses maladies génétiques ou acquises. Elles génèrent aussi de nouvelles questions d’ordre scientifique et technologique (capacités limitées de production des quantités nécessaires en thérapie génique) mais également d’ordre éthique (conditions d’accès des malades à ces thérapies innovantes), qui résonnent au-delà de cette seule maladie.
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Dalpé, Robert, and Louise Bouchard. "Les collaborations de recherche en génétique." Cahiers de recherche sociologique, no. 40 (May 2, 2011): 47–68. http://dx.doi.org/10.7202/1002418ar.

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Abstract:
La recherche en biotechnologie et en génétique est marquée par la constitution de grandes équipes de recherche et une préoccupation pour la commercialisation des résultats de recherche. Cette étude constitue une étude de cas sur la découverte de deux gènes responsables du cancer du sein et des ovaires (BRCA1 et BRCA2) dans les années 1990. Il s’agit des premiers gènes découverts pour une maladie fréquente et sévère. L’objectif est de comprendre la construction des grands réseaux de collaboration scientifique, notamment dans le contexte de la présence de l’industrie. Trois dimensions sont importantes pour expliquer ces réseaux. Premièrement, les particularités du secteur de recherche sont importantes, notamment les spécialisations des chercheurs. Deuxièmement, les stratégies et les objectifs de chercheurs sont déterminants. Au moment des grandes découvertes, les réseaux sont instables et les conflits émergent plus facilement. Troisièmement, les organisations incluant les politiques de financement expliquent aussi les stratégies des chercheurs.
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Belghith, Sirine, Saloua Mrabet, Istabrak Abdelkefi, Amina Nasri, Amina Gargouri, Imen Kacem, and Riadh Gouider. "Facteurs déterminants des troubles cognitifs au cours de l’épilepsie génétique focale." Revue Neurologique 175 (April 2019): S19. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2019.01.079.

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Raberin, Monique, Caroline Diesmusch, Marie-Pierre Cordier, and Jean-Christophe Farges. "Innovations dans le diagnostic et le traitement d’un cas de défaut primaire d’éruption lié à une mutation du gène PTHR1." L'Orthodontie Française 86, no. 3 (September 2015): 221–31. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2015025.

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Abstract:
Le défaut primaire d’éruption est une anomalie peu fréquente qui se traduit par un blocage d’éruption des dents postérieures en relation avec la mutation d’un gène déterminant pour l’éruption dentaire. Il peut être aujourd’hui dépisté précocement à l’aide de méthodes d’imagerie 3D innovantes et confirmé par des examens génétiques et histologiques qui permettent de valider le diagnostic et de préciser le pronostic défavorable. La surveillance de la croissance alvéolaire des autres secteurs sera privilégiée afin d’éviter l’installation d’une asymétrie structurale et fonctionnelle. Une analyse des possibilités diagnostiques et thérapeutiques à l’aide d’ancrages osseux est réalisée à travers le suivi à long terme d’une patiente présentant un défaut primaire d’éruption lié à une mutation du gène PTHR1.
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Dessein, A., P. Rihet, C. Demeure, P. Couissinier, O. Bacellar, EM Carvalho, S. Kohlstaedt, et al. "Facteurs génétiques et immunologiques déterminant la résistance à la bilharziose en région d'endémie." médecine/sciences 8, no. 2 (1992): 108. http://dx.doi.org/10.4267/10608/3082.

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Sicsic, Michaël. "Quelle est l’influence du milieu familial d’origine sur le revenu des jeunes adultes ?" Revue économique Vol. 75, no. 2 (April 17, 2024): 217–29. http://dx.doi.org/10.3917/reco.752.0217.

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Abstract:
Nous mesurons dans cet article le rôle du contexte familial dans la formation des revenus des individus à partir de deux méthodes complémentaires. Nous montrons d’abord que, si les revenus des parents en sont le principal déterminant observable, seule une faible part (un peu moins de 10 %) de la variabilité des rangs des jeunes adultes d’environ 28 ans est expliquée par les variables observables des parents. À partir des revenus de fratries, on estime ensuite qu’environ 25-30 % de la variation des revenus d’un individu seraient liés à l’influence globale de son milieu familial d’origine. Les variables inobservables comme l’éducation familiale ou le patrimoine culturel et génétique auraient donc plus d’influence que les variables observables des parents comme le revenu. Classification JEL : J62, D1, D31, H0.
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Sicsic, Michaël. "Quelle est l’influence du milieu familial d’origine sur le revenu des jeunes adultes ?" Revue économique Pub. anticipées, no. 7 (January 31, 2030): 73–87. http://dx.doi.org/10.3917/reco.pr2.0190.

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Abstract:
Nous mesurons dans cet article le rôle du contexte familial dans la formation des revenus des individus à partir de deux méthodes complémentaires. Nous montrons d’abord que, si les revenus des parents en sont le principal déterminant observable, seule une faible part (un peu moins de 10 %) de la variabilité des rangs des jeunes adultes d’environ 28 ans est expliquée par les variables observables des parents. À partir des revenus de fratries, on estime ensuite qu’environ 25-30 % de la variation des revenus d’un individu seraient liés à l’influence globale de son milieu familial d’origine. Les variables inobservables comme l’éducation familiale ou le patrimoine culturel et génétique auraient donc plus d’influence que les variables observables des parents comme le revenu. Classification JEL : J62, D1, D31, H0.
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REZAEI, H., J. GROSCLAUDE, F. EGHIAIAN, T. HAERTLE, M. MARDEN, M. KNOSSOW, and P. DEBEY. "Lien entre type génétique et résistance des ovins à la Tremblante : une approche structurale et physico-chimique." INRAE Productions Animales 17, HS (December 20, 2004): 45–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3626.

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Abstract:
Le polymorphisme génétique de la protéine prion ovine associé à des degrés divers de résistance ou de sensibilité à la tremblante ouvre une voie féconde pour comprendre le lien entre les propriétés structurales de la protéine et le mécanisme du développement de la pathologie. Les travaux menés par les équipes de l’INRA, en collaboration avec d’autres équipes nationales, ont apporté des renseignements inattendus sur la stabilité et la convertibilité des variants naturellement rencontrés dans les troupeaux européens. Les mécanismes, au niveau atomique, sous-tendant ces caractéristiques ont pu être explicités par la détermination cristallographique de la structure tri-dimensionnelle de la protéine ovine, apportant en même temps une première information expérimentale sur la structure de la protéine pathologique. Des formes intermédiaires de repliement, sous forme d’oligomères solubles, ont pu être isolées in vitro, et se sont révélées neurotoxiques, ouvrant de nouvelles pistes de recherche vers les déterminants respectifs de la mort neuronale et de la réplication du prion.
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Nassif, Hala, and Jean-François Toussaint. "Se dépenser plus pour gagner en qualité de vie." Questions de santé publique, no. 5 (June 2009): 1–4. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2009005.

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Abstract:
Notre mode de vie actuel privilégie les déplacements motorisés et incite à augmenter le temps passé sans stimulation physique. Ceci est responsable de l’augmentation de la sédentarité1. Les recommandations en vigueur préconisent 30 minutes d’activité physique d’intensité modérée chaque jour, mais 54 % de la population française ne parvient pas à se maintenir à ce niveau minimum favorable à la santé [1]. La sédentarité est l’un des facteurs de risque favorisant le développement de très nombreuses maladies chroniques, et son niveau est tel désormais que les bénéfices sanitaires de la réactivation physique sont importants dès le premier pas pour toutes ces pathologies et à tous leurs stades. Le défi auquel sont maintenant confrontés les pouvoirs publics est de pouvoir rétablir, pour l’ensemble de la population, un niveau d’activité correspondant à notre bagage génétique et adapté à nos besoins de santé. Ceci nécessite d’une part de comprendre les déterminants de l’activité physique, et d’autre part d’en mesurer les répercussions sur l’état de santé des populations.
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Meyre, David, and Philippe Froguel. "ENPP1, premier exemple d’un déterminant génétique commun à l’obésité et au diabète de type 2." médecine/sciences 22, no. 3 (March 2006): 308–12. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2006223308.

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Bouchrit, N., M. Khyatti, J. Nourlil, R. Dardari, S. Ibrahimy, N. Tordo, H. Bourhy, and A. Benslimane. "Déterminants de la rage humaine au Maroc : variabilité génétique, qualité du vaccin ou prise en charge insuffisante." Médecine et Maladies Infectieuses 32, no. 9 (September 2002): 508–13. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(02)00407-9.

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LEBRET, B., S. PRACHE, C. BERRI, F. LEFÈVRE, D. BAUCHART, B. PICARD, G. CORRAZE, F. MÉDALE, J. FAURE, and H. ALAMI-DURANTE. "Qualités des viandes : influences des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d'élevage." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 151–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3022.

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Abstract:
Cette synthèse présente l’influence des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d’élevage sur les qualités des viandes et des chairs des principales espèces animales d’élevage (porc, bovins, ovins, poulets, poissons). Les dimensions intrinsèques (composition des carcasses, qualités sensorielle, nutritionnelle et technologique) et extrinsèques (interactions entre productions animales et environnement, bien-être des animaux, origine des produits, authenticité des pratiques de production…) de la qualité des produits sont considérées. Dans toutes les espèces, le type génétique et la conduite alimentaire sont les principaux déterminants de la composition des carcasses. La nature de l’alimentation des animaux constitue le principal levier pour moduler la qualité nutritionnelle, toutefois le niveau d’enrichissement des viandes et chairs en acides gras, minéraux ou vitamines favorables à la santé humaine varie selon les espèces. Pour une espèce donnée, les caractéristiques des animaux, leurs conditions d’élevage et d’abattage interagissent pour déterminer les propriétés (teneurs en lipides, glycogène, myoglobine…) et le métabolisme péri et post-mortem des muscles, et consécutivement la qualité sensorielle des viandes ou chairs et de leurs produits. A l’inverse, la qualité technologique, composante importante dans les filières porc, poulet et poisson résulte essentiellement du type génétique et des conditions d’abattage des animaux et de transformation des viandes. Dans les différentes filières animales, les qualités extrinsèques des produits font partie intégrante de certaines démarches collectives ou privées et sont garanties aux consommateurs au travers des signes officiels de qualité. Elles visent à améliorer les interactions favorables entre les productions animales et l’environnement et/ou le bien-être des animaux, garantir l’origine des produits et/ou valoriser l’authenticité des méthodes de production et de transformation. Différents exemples sont développés pour illustrer la prise en compte par les acteurs des filières de cette demande croissante des consommateurs et plus largement des citoyens envers leur alimentation.
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BONNEAU, M. "Intérêt et limites de la production de viandes de porc mâle entier." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (May 11, 1988): 133–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4445.

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Abstract:
La castration précoce du porc mâle entraîne des modifications importantes du métabolisme de l’animal, favorisant le dépôt des lipides au détriment de la fixation de protéines. La production de viandes de porc mâle entier permet ainsi une amélioration sensible de l’efficacité alimentaire et de la qualité des carcasses. Les viandes de porc mâle entier se caractérisent par des différences mineures de composition chimique des tissus, des graisses plus insaturées et par la présence des odeurs sexuelles. Le scatol et l’androsténone sont les deux déterminants majeurs de la manifestation de ces odeurs désagréables, mais les importances respectives de chacun de ces 2 composés ne sont pas encore clairement établies. La transformation en produits de charcuterie offre de nombreuses possibilités d’utilisation des viandes défectueuses. Le tri sur la chaîne d’abattage des viandes présentant des odeurs sexuelles n’est possible que de façon grossière et imparfaite. il n’existe pour l’instant aucun moyen de produire des verrats que l’on puisse garantir indemnes de défaut d’odeurs sexuelles. Les voies génétique et immunologique offrent des possibilités intéressantes qu’il faut explorer plus avant pour en démontrer la faisabilité sur les plans zootechnique et économique.
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BARILLET, F., and F. BOCQUIER. "Le contexte de production des ovins laitiers en France : principaux objectifs de recherche-développement et conditions de leur mise en oeuvre." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (February 27, 1993): 17–24. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4183.

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Abstract:
En France, l’élevage des ovins laitiers repose sur des productions typiques, agneaux de lait et fromages de brebis à AOC, permettant le maintien d’une population rurale et le développement industriel dans trois régions de montagne aussi différentes que le sud du Massif Central (Rayon de Roquefort), les Pyrénées Atlantiques et la Corse. Dans les années 70, l’avenir de ces productions passait par une amélioration de la productivité des brebis, des troupeaux et du travail (particulièrement de la traite). Ces objectifs sont largement atteints : la taille moyenne des troupeaux a triplé entre 1970 et 1990, et la production laitière des brebis a doublé, avec l’émergence d’éleveurs spécialisés livrant leur lait, tandis que la tradition des fromages fermiers se perpétue dans certaines zones de production. L’impact de la génétique et de la physiologie animale a été déterminant dans cette évolution remarquable, dans trois domaines complémentaires : mécanisation de la traite, maîtrise de la reproduction, sélection des races locales dans leur bassin respectif. Ainsi en 1990, 75% du lait de brebis produit en France provient d’élevages en contrôle laitier, ce qui constitue un atout déterminant au plan international. Logiquement, de nouveaux objectifs de recherche-développement se font jour pour la décennie 90, dans un contexte où l’on verra se renforcer la relation entre terroirs de production, races locales, systèmes de production et fromages de brebis en AOC. Ces nouveaux objectifs et leurs conditions de mise en oeuvre sont décrits dans cet article. On peut noter en particulier la volonté des partenaires professionnels de renforcer l’interface entre la recherche et le développement avec l’officialisation du Comité National Brebis Laitières en 1991.
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Julian-Regnier, C., A. D. Bouhnik, M. Gauthiers-Villars, P. Berthet, C. Lasset, and C. Noguès. "Déterminants psychosociaux des délais de recours à la chirurgie prophylactique. Cohorte nationale Genepso (prédisposition génétique cancer sein/ovaire)." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 58 (September 2010): S52. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2010.06.021.

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BELHACHI, Ahmed, and Rabéa BENAMAR. "Typologie textuelle et types d’écriture : facteurs déterminants de la fréquence d’utilisation des opérations d'écriture dans les productions écrites des scripteurs lycéens en Algérie." ALTRALANG Journal 6, no. 1 (June 30, 2024): 71–81. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v6i1.400.

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Abstract:
ABSTRACT: The addition, deletion, replacement and displacement represent the fundamental writing operations of textual genetics; they are identifiable in the writings of writers as well as in those of students (Grésillon, 1994, 2008), and they remain the fruit of a metalinguistic reflection on writing (Fabre-Cols, 1987). It is, in fact, in relation to the work of Claudine Fabre-Cols (2002), who was interested in the rate of presence of each writing operation in the writings of schoolchildren, that we seek to understand how these operations are classified in the writings of young scribblers in the FLE class in Algeria. We analyzed genetically the writings produced by the young scribblers of 2nd year secondary to check the impact of the textual typology and the types of writing on the presence and the predominance of the operations of writing. RÉSUMÉ : L'ajout, la suppression, le remplacement et le déplacement, représentent les opérations d'écriture fondamentales de la génétique textuelle, elles sont repérables aussi bien dans les écrits des écrivains que dans ceux des élèves (Grésillon, 1994, 2008), elles demeurent le fruit d’une réflexion métalinguistique sur l'écrit (Fabre-Cols, 1987). C’est, en fait, par rapport aux travaux de Claudine Fabre-Cols (2002), qui s'est intéressée au taux de présence de chaque opération d'écriture dans les écrits des écoliers, que nous cherchons à comprendre comment ces opérations se classent dans les écrits des jeunes scripteurs en classe de FLE en Algérie. Nous avons analysé génétiquement les écrits produits par les jeunes scripteurs de 2ème année secondaire pour vérifier l'impact de la typologie textuelle et des types d'écriture sur la présence et la prédominance des opérations d'écriture.
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INGRAND, S., and B. DEDIEU. "Numéro spécial : Quelles innovations pour quels systèmes d'élevage ?" INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 1, 2014): 75–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3055.

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Abstract:
Anant-propos « Innover » est un mot d’ordre sociétal qui encourage la communauté des chercheurs à produire des connaissances, des démarches et des outils visant à faire « autrement », à changer de paradigme, ou tout au moins de modèle de production pour ce qui concerne la communauté des agronomes. Pour une grande partie de cette communauté, le débat est centré sur la conception innovante des systèmes agricoles visant de nouveaux compromis entre production (quantité, qualité), protection de l’environnement, maîtrise de la consommation des énergies non renouvelables, tout en contribuant à la sécurité alimentaire globale et à la traçabilité des pratiques. Mais d’autres dimensions doivent être intégrées : la participation des acteurs au processus de conception, la façon dont les différentes sources d’innovations (la recherche, les agriculteurs, les filières, les industriels) interagissent, l’accompagnement de l’engagement dans le changement des exploitants agricoles et le rôle du conseil (public, privé) dans ce cadre, l’étude des verrouillages sociotechniques, etc. La notion d’innovation embarque de fait beaucoup de questions de natures différentes, auxquelles apporter des réponses nécessite une interdisciplinarité entre sciences techniques et sciences sociales. Ce numéro spécial propose une vision de l’innovation dans les systèmes d’élevage centrée sur la contribution des zootechniciens. Il regroupe ainsi huit articles choisis pour traiter des innovations à l’échelle des systèmes d’élevage (et non aux échelles infra – fonctions physiologiques, animal, ou supra – territoire, filière –). Les auteurs ont été sollicités principalement au sein de l’Inra et chez nos partenaires proches (enseignement supérieur agronomique, Instituts techniques et Cirad). A l’Inra, cela concerne les deux départements de recherche au sein desquels des travaux sont conduits sur les systèmes d’élevage, à savoir le département « Sciences pour l’action et le développement » (Sad) et le département « Physiologie animale et systèmes d’élevage » (Phase). Partant des questions générales sur la conception innovante et l’évaluation des systèmes, ce numéro explore différentes leviers de changements radicaux qui sont en germe dans le secteur de l’élevage : l’élevage de précision, l’écologie industrielle, l’agro-écologie, avec leurs déclinaisons (les capteurs appareillés sur les animaux, l’élevage de poissons avec de l’eau recirculée, les systèmes laitiers bas intrants). Deux articles complètent le panorama en s’intéressant au repérage des innovations dans les exploitations d’élevage en France et aux dynamiques diversifiées d’innovation et de changement en Afrique. Les thèmes des articles ont ainsi été pensés pour mixer des réflexions conceptuelles sur l’innovation, en tant qu’objet et en tant que processus, avec des exemples concrets pris soit dans les dispositifs expérimentaux des instituts de recherche, soit chez les éleveurs eux-mêmes. Différentes espèces animales sont concernées par ces exemples, des poissons aux bovins, en passant par les volailles, les ovins et les caprins. Ce numéro spécial souligne ainsi que le secteur de l’élevage n’est pas en reste en matière d’innovations. Mais le champ est vaste et il ne prétend pas en faire le tour, notamment sur le plan des innovations génétiques : il est difficile d’être exhaustif dans un tel exercice ! Pour finir, à la lecture de ce numéro, quelques questions pour l’avenir nous semblent devoir être formulées : - L’innovation dans les systèmes d’élevage se construit aujourd’hui dans des dispositifs partenariaux associant recherche, développement et formation, inventeurs et utilisateurs. Les éleveurs sont au cœur du processus d’innovation et sont bien sûr les acteurs déterminants de sa réussite ou de son échec. Mais le rôle d’autres parties prenantes (filières, conseil public et privé, action publique, acteurs des territoires et industriels) mériterait d’être plus approfondi ; - Dans le secteur de l’agriculture, et en particulier de l’élevage, les applications des innovations portent sur le vivant, en l’occurrence des animaux. Des questions portent sur la considération apportée à ces êtres vivants et aux formes d’interaction entre hommes et animaux dans le travail quotidien. Par exemple, est-il souhaitable, éthique, d’équiper les animaux avec des capteurs divers et variés, au risque de remettre en cause leur bien-être, ou la nature même de l’activité d’élevage ? L’agro-écologie porte-t-elle d’autres formes de considérations des animaux ? Ces questions importantes restent ouvertes ; - L’avenir sera sans doute fait d’une coexistence de deux mouvements qui peuvent apparaître en première approche contradictoires : d’une part, le mouvement vers l’agro-écologie mettant en exergue les propriétés des processus écologiques et d’autre part, le mouvement vers l’automatisation, les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC), l’élevage dit « de précision » s’appuyant sur l’écologie industrielle et la recherche de l’efficience. Mais ne faudra-t-il pas tenter de travailler aussi la mise en synergie de ces deux mouvements ? - L’innovation dans les systèmes d’élevage doit être réfléchie en même temps dans le secteur animal et végétal, en particulier quand il s’agit de raisonner les systèmes fourragers de demain, mais aussi le rôle des cultures dans l’alimentation animale et l’autonomie des exploitations. La polycultureélevage, bien plus qu’une tradition désuète, est sans doute une forme intéressante et prometteuse pour mettre en œuvre les principes tant d’agro-écologie que d’écologie industrielle, avec des modes d’organisation et d’interaction à repenser entre ateliers à l’intérieur de l’exploitation et entre exploitations à l’intérieur d’un territoire. L’année 2014 est marquée par la sortie en France de deux numéros spéciaux consacrés à l’innovation en élevage : le présent numéro d’INRA Productions Animales et celui de la revue Fourrages1. Pour nous, cela est le signe d’un enjeu important perçu par la communauté scientifique agronomique autour des questions d’innovation, à l’heure où l’élevage doit relever le défi d’être multi-performant. 1 L'innovation en systèmes fourragers et élevages d’herbivores : un champ de possibles. Fourrages, 217, mars 2014
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HOCQUETTE, J. F., I. ORTIGUES-MARTY, M. DAMON, P. HERPIN, and Y. GEAY. "Métabolisme énergétique des muscles squelettiques chez les animaux producteurs de viande." INRAE Productions Animales 13, no. 3 (June 18, 2000): 185–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.3.3780.

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Abstract:
Le muscle est d’importance économique majeure chez les animaux producteurs de viande. Ses principales fonctions physiologiques sont la thermogenèse, la posture et l’activité physique de l’animal. Ces fonctions et la croissance du muscle ont des besoins spécifiques en énergie, entraînant parfois des compétitions pour l’utilisation des différents nutriments. Ces régulations métaboliques modifient les efficacités de production et d’utilisation de l’ATP, et certaines caractéristiques musculaires déterminantes pour les qualités de la viande. Par exemple, un métabolisme musculaire plus glycolytique est associé à une meilleure utilisation du glucose, à une plus grande sensibilité du muscle à l’insuline, à un développement accru du muscle, à une réduction de ses dépenses énergétiques, et à une augmentation de sa teneur en glycogène. L’amélioration de la croissance musculaire par la sélection génétique induit un métabolisme musculaire moins oxydatif avec, comme conséquence, moins de lipides intramusculaires. Une augmentation des apports énergétiques favorise les dépôts de protéines, de glycogène et de lipides intramusculaires. Toutefois, des apports excessifs induisent une résistance du muscle à l’insuline favorisant le développement des tissus adipeux de la carcasse. Le turnover des nutriments et leur répartition entre les voies anaboliques (lipogenèse, glycogenèse) ou cataboliques (glycolyse, lipolyse, oxydation) intramusculaires restent à préciser. L’activité physique des animaux et la lutte contre le froid modifient les caractéristiques musculaires en favorisant le métabolisme oxydatif. La question qui se pose aujourd’hui est donc : l’optimisation des efficacités de production et d’utilisation de l’ATP est-elle compatible avec l’amélioration des qualités de la viande, déterminées notamment par les taux de glycogène et de lipides intramusculaire.
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Etain, B. "Trauma affectifs dans l’enfance et dyscontrôle impulsif." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 38. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.095.

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Abstract:
Les déterminants pathophysiologiques des troubles bipolaires (TB) sont multiples, incluant des facteurs de susceptibilité génétique et des facteurs environnementaux. Parmi ces derniers, de nombreuses pistes ont été explorées parmi lesquelles la survenue de traumatismes dans l’enfance comme facteurs de prédisposition aux TB. Ces traumatismes sont évaluables rétrospectivement grâce au Childhood Trauma Questionnaire. Nous avons montré que les patients bipolaires étaient plus fréquemment exposés à des traumatismes multiples dans l’enfance que les témoins (63 % vs 33 %) et que seuls les abus émotionnels (et non les abus physiques ou sexuels) étaient associés aux TB [2]. Nous avons ensuite étudié l’influence des traumatismes subis sur l’expression clinique de la maladie chez 587 patients bipolaires et ainsi montré que les abus émotionnels et sexuels étaient associés à un profil clinique plus sévère caractérisé par un âge de survenue plus précoce, la présence de tentatives de suicide, de cycles rapides et de mésusage de cannabis [3,4]. Cette association entre les traumatismes affectifs et la sévérité des TB pourrait être en lien avec une impulsivité/réactivité émotionnelle plus marquée. En effet, nous avons montré que différents registres d’impulsivité (motrice ou cognitive) étaient associés à un profil de sévérité notamment en termes de conduites suicidaires (quoique discuté) et de mésusage de toxiques [3,4]. Par ailleurs, il existe une corrélation entre le niveau de traumatismes dans l’enfance et celui d’impulsivité/réactivité émotionnelle à l’âge adulte [1]. Les traumatismes dans l’enfance sont fréquents chez les patients bipolaires, aggravent l’expression clinique des troubles et sont associés à un profil psychopathologique caractérisé par une impulsivité/hyperréactivité émotionnelle accrue. Le repérage de ces traumatismes et des caractéristiques cliniques et dimensionnelles associées sont particulièrement pertinents à intégrer dans l’évaluation clinique du patient pour guider la prise en charge.
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BEAUMONT, C., E. LE BIHAN-DUVAL, H. JUIN, and P. MAGDELAINE. "Productivité et qualité du poulet de chair." INRAE Productions Animales 17, no. 4 (October 5, 2004): 265–73. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.4.3602.

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Abstract:
Le poulet de chair a connu une amélioration spectaculaire de sa productivité, grâce aux progrès concomitants des méthodes d’élevage, de la nutrition, de la génétique et de la médecine vétérinaire. Ces progrès se sont traduits par une forte réduction de l’âge à l’abattage, principal déterminant de la qualité sensorielle de la viande. Ce critère a été le principal élément de la segmentation qualitative de la filière. Débutée dès les années 1960, celle-ci a conduit à la différenciation entre poulets standard, d’appellation d’origine contrôlée, Label et certifiés. Un second axe de segmentation, plus récent, porte sur le degré d’élaboration des produits : vente sous forme de carcasses, de morceaux de découpe ou de produits élaborés et ce sont ces deux derniers types de produits qui se développent aujourd’hui. La productivité des produits standard est la plus élevée, mais l’écart avec celle du poulet certifié apparaît assez réduit et pourrait être compensé par les garanties de traçabilité et production qu’apporte la certification. En terme de qualité aussi, une partie des différences s’estompent, parce que les préférences du consommateur évoluent et que la différence de goût est surtout marquée pour les cuisses, moins bien valorisées que les filets. Les différences d’aptitude à la transformation sont en faveur des souches à croissance rapide. Par ailleurs, si les animaux peuvent davantage exprimer leur comportement naturel sur parcours, ils courent un risque accru de contamination microbienne. Face à ce bilan contrasté, il semble difficile de prédire l’avenir de la production avicole. Mais il apparaît clairement que le poulet certifié, intermédiaire entre poulet standard et poulet Label se développera fortement.
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NYS, Y. "Préface." INRAE Productions Animales 23, no. 2 (April 10, 2011): 107–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.2.3292.

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Abstract:
A la question «Qui de l’oeuf ou de la poule est né le premier ?» Silésius répondait «l’oeuf est dans la poule et la poule dans l’oeuf» soulignant sa dualité, le passage du deux en un. Dans l’imagerie populaire, l’oeuf reflète le tout et son contraire, fragilité, protection, épargne, abondance (être «plein comme un oeuf»), richesse («avoir pondu ses oeufs»), éternité (le Phénix est né de l’oeuf) mais aussi mort et destruction («casser ses oeufs» se dit d’une fausse couche). Dans la mythologie de nombreuses civilisations, l’oeuf est le symbole de la naissance du monde (Apollon, le dieu grec de la lumière est né de l’oeuf). L’oeuf décoré apparu 3000 ans avant J.-C. en Ukraine fête, au printemps, le retour de la fécondité de la nature ; l’oeuf de Pâques la résurrection du Christ. L’oeuf est un tout à condition d’en sortir ! Fragile cependant car selon La Fontaine briser l’oeuf de la poule aux oeufs d’or (par curiosité) rompt l’effet magique (Auer et Streff 1999). Pour l’Homme, l’oeuf séduit pour sa valeur nutritionnelle, sa diversité d’utilisation en cuisine et son prix modique. Il en existe une grande diversité, de l’oeuf de Colibri (0,5 g) à l’oeuf de l’Aepyornis (8 litres soit l’équivalent de 150 oeufs), un oiseau de Madagascar (500 kg) disparu au 18ème siècle. Mais l’Homme ne consomme que l’oeuf de caille, de poule ou de cane. L’ère moderne a considérablement intensifié la production de ces deux dernières espèces car les poules saisonnées, qui étaient élevées avec soin par la fermière, ont plus que doublé leur production en 60 ans (de 120 oeufs par an dans les années 50 à plus de 300 aujourd’hui). Cette révolution technique résulte des efforts conjugués de la sélection génétique, d’une alimentation raisonnée répondant aux besoins nutritionnels, d’une évolution du système de production (apparition des cages) et d’une meilleure connaissance de la pathologie aviaire. Qu’en est-il du contrôle de la qualité nutritionnelle, organoleptique, technologique et hygiénique de l’oeuf ? L’oeuf est la plus large cellule reproductrice en biologie animale. Il assure dans un milieu externe le développement et la protection d’un embryon dans une enceinte fermée matérialisée par la coquille. Aussi, une de ses particularités est la diversité de ses constituants, de leur parfait équilibre nutritionnel et leur forte digestibilité, qui assure la croissance d’un être vivant. Ces caractéristiques sont à l’origine de la qualité nutritionnelle exceptionnelle de l’oeuf pour l’Homme. Une autre particularité est la présence d’une protection physique, la coquille mais, aussi d’un système complexe de défenses chimiques. Aussi, ce produit est-il remarquable de par son aptitude à engendrer la vie et pour l’oeuf de table à se conserver. Outre les éléments nutritifs, on y trouve de multiples molécules participant au développement et à la protection de l’embryon (molécules antibactériennes, antivirales, antioxydantes). Certaines d’entre elles, comme par exemple le lysozyme de blanc d’oeuf, sont partiellement valorisées par différents secteurs industriels (agroalimentaire, cosmétique, santé animale/humaine). La révélation récente d’un grand nombre de nouveaux constituants de l’oeuf, suite au séquençage génomique de la poule et au développement de la biologie intégrative, a conforté l’existence d‘activités antimicrobiennes, anti-adhésives, immuno-modulatrices, hypertensives, anticancéreuses, antiinflammatoires ou cryoprotectrices, prometteuses en médecine humaine et devrait à terme enrichir le potentiel d’utilisation de ce produit en agroalimentaire et en santé. L’objet de ce numéro spécial d’INRA Productions Animales est de rassembler les principales informations qui ont contribué au développement économique récent de ce produit, de rappeler les efforts en génétique, élevage et nutrition qui ont assuré des progrès quantitatifs et qualitatifs remarquables de la production et de la qualité des oeufs au cours des trente dernières années. Les poules élevées à l’origine par la femme pour un usage domestique se comptent aujourd’hui par milliers dans les élevages. Quelle sera la durabilité de ce système d’élevage dans un contexte socio-économique européen remettant en cause en 2012 le système éprouvé de production conventionnel d’oeufs en cage pour des cages aménagées ou des systèmes alternatifs avec ou sans parcours ? Notre objectif est d’analyser les facteurs qui contribueront à son maintien, notamment le contrôle de la qualité de l’oeuf. Il est aussi de décrire l’évolution spectaculaire des connaissances sur ce produit liée au développement des techniques à haut débit et des outils d’analyse des séquences moléculaires. Il permettra enfin d’actualiser les atouts de ce produit. Ce numéro est complémentaire d’un ouvrage plus exhaustif sur la production et la qualité de l’oeuf (Nau et al 2010). Le premier article de P. Magdelaine souligne la croissance considérable en 20 ans de la production d’oeufs dans les pays d’Asie et d’Amérique du Sud (× 4 pour la Chine, × 2 en Inde et au Mexique). En revanche, les pays très développés notamment européens à forte consommation (> 150 oeufs/hab) ont stabilisé leur production malgré une évolution importante de la part des ovoproduits mais aussi de leurs systèmes de production. La consommation des protéines animales entre pays est tout aussi hétérogène puisque le ratio protéines de l’oeuf / protéines du lait varie de 0,4 au USA, à 0,9 en France et 2,7 en Chine ! Le doublement de la production mondiale d’oeufs en 20 ans n’a été possible que grâce à des progrès techniques considérables. La sélection génétique a renforcé les gains de productivité (+ 40 oeufs pour une année de production et réduction de l’indice de consommation de 15% en 20 ans !). L’article de C. Beaumont et al décrit cette évolution, la prise en compte croissante de nouveaux critères de qualité technologique, nutritionnelle ou sanitaire. Ces auteurs soulignent les apports des nouvelles technologies, marqueurs moléculaires et cartes génétiques sur les méthodes de sélection. Ils dressent un bilan actualisé des apports et du potentiel de cette évolution récente en sélection. Le séquençage génomique et le développement de la génomique fonctionnelle est aussi à l’origine d’une vraie révolution des connaissances sur les constituants de l’oeuf comme le démontre l’article de J. Gautron et al. Le nombre de protéines identifiées dans l’oeuf a été multiplié par plus de dix fois et devrait dans un avenir proche permettre la caractérisation fonctionnelle de nombreuses molécules. Il donne aussi de nouveaux moyens pour prospecter les mécanismes d’élaboration de ce produit. Un exemple de l’apport de ces nouvelles technologies est illustré par l’article de Y. Nys et al sur les propriétés et la formation de la coquille. Des progrès considérables sur la compréhension de l’élaboration de cette structure minérale sophistiquée ont été réalisés suite à l’identification des constituants organiques de la coquille puis de l’analyse de leur fonction potentielle élucidée grâce à la disponibilité des séquences des gènes et protéines associés. La mise en place de collaborations internationales associant de nombreuses disciplines, (microscopie électronique, biochimie, cristallographie, mécanique des matériaux) a démontré le rôle de ces protéines dans le processus de minéralisation et du contrôle de la texture de la coquille et de ses propriétés mécaniques. Cette progression des connaissances a permis de mieux comprendre l’origine de la dégradation de la solidité de la coquille observée chez les poules en fin d’année de production. La physiologie de la poule est responsable d’évolution importante de la qualité de l’oeuf. Aussi, l’article de A. Travel et al rappelle l’importance d’effets négatifs de l’âge de la poule contre lequel nous disposons de peu de moyens. Cet article résume également les principales données, souvent anciennes, concernant l’influence importante des programmes lumineux ou de la mue pour améliorer la qualité de l’oeuf. Enfin, il souligne l’importance de l’exposition des poules à de hautes températures ambiantes sur leur physiologie et la qualité de l’oeuf. Le troisième facteur indispensable à l’expression du potentiel génétique des poules, et déterminant de la qualité technologique et nutritionnelle de l’oeuf, est la nutrition de la poule. Elle représente plus de 60% du coût de production. L’article de I. Bouvarel et al fait le point sur l’influence de la concentration énergétique de l’aliment, de l’apport en protéines et acides aminés, acides gras et minéraux sur le poids de l’oeuf, la proportion de blanc et de jaune ou sa composition notamment pour obtenir des oeufs enrichis en nutriments d’intérêt en nutrition humaine. Cependant, la préoccupation principale des éleveurs depuis une dizaine d’année est la mise en place en 2012 de nouveaux systèmes de production d’oeufs pour assurer une meilleure prise en compte du bien-être animal. L’article de S. Mallet et al traite de l’impact des systèmes alternatifs sur la qualité hygiénique de l’oeuf. Ces auteurs concluent positivement sur l’introduction de ces nouveaux systèmes pour la qualité hygiénique de l’oeuf une fois que les difficultés associées aux méconnaissances d’un nouveau système de production seront résolues. La qualité sanitaire de l’oeuf est la préoccupation majeure des consommateurs et un accident sanitaire a des conséquences considérables sur la consommation d’oeufs. L’article de F. Baron et S. Jan résume d’une manière exhaustive l’ensemble des éléments déterminants de la qualité microbiologique de l’oeuf et des ovoproduits : mode de contamination, développement des bactéries dans les compartiments de l’oeuf, défenses chimiques du blanc et moyens pour contrôler la contamination des oeufs et des ovoproduits. Le consommateur ne souhaite pas, à juste titre, ingérer d’éventuels contaminants chimiques présents dans ses aliments. L’article de C. Jondreville et al analyse ce risque associé à la consommation des oeufs. Il est exceptionnel de détecter la présence de polluants organiques au seuil toléré par la législation. Les auteurs insistent notamment sur l’importance de contrôler la consommation par les animaux élevés en plein air de sols qui peuvent être une source de contaminants. Une caractéristique de l’évolution de la production d’oeufs est le développement des ovoproduits qui répondent parfaitement à l’usage et à la sécurité sanitaire exigée en restauration collective. L’article de M. Anton et al décrit le processus d’obtention et l’intérêt des fractions d’oeufs du fait de leurs propriétés technologiques (pouvoirs moussant, foisonnant, gélifiant ou émulsifiant). Les différents processus de séparation, de décontamination et de stabilisation sont analysés pour leur effet sur la qualité du produit final. Enfin le dernier article de ce numéro spécial de F. Nau et al se devait d’aborder la principale qualité de l’oeuf qui conditionne son usage : la qualité nutritionnelle de ce produit pour l’Homme. Cet article actualise l’information dans ce domaine et fait le point sur les atouts nutritionnels en tentant de corriger de fausses idées. L’oeuf présente un intérêt nutritionnel du fait de la diversité et l’équilibre de ces constituants pour l’Homme mais mériterait plus d’études pour mieux évaluer son potentiel réel. En conclusion, l’oeuf est la source de protéines animales ayant la meilleure valeur nutritionnelle, la moins chère, facile d’emploi et possédant de nombreuses propriétés techno-fonctionnelles valorisées en cuisine. Dans les pays développés, l’oeuf a souffert jusqu’à aujourd’hui d’une image entachée par plusieurs éléments négatifs aux yeux des consommateurs : sa richesse en cholestérol, le risque sanitaire associé à sa consommation sous forme crue ou son système de production en cage. L’évolution des connaissances sur le risque cardio-vasculaire, les progrès réalisés sur le contrôle sanitaire des Salmonelloses en Europe et la modification radicale des systèmes de production d’oeufs devraient modifier positivement son image. La consommation de protéines de l’oeuf a augmenté de plus de 25% en 20 ans (2,53 g/personne/j vs 4,3 g pour le lait en 2005) et poursuivra sa croissance rapide notamment dans les pays en développementoù sa consommation par habitant reste faible. Cette évolution considérable de la production de ce produit devrait être mieux intégrée dans les formations des écoles spécialisées en productions animales. L’oeuf restera dans l’avenir une des sources de protéines animales dominantes et l’acquisition de connaissances sur la fonction des nombreux constituants récemment mis à jour devait renforcer son intérêt pour la santé de l’Homme. Je ne voudrais pas terminer cette préface sans remercier au nom des auteurs, Jean-Marc Perez, le responsable de la revue INRA Productions Animales, d’avoir pris l'initiative de la publication de ce numéro spécial dédié à l'oeuf et d’avoir amélioré par plusieurs lectures attentives la qualité finale des textes. Je voudrais aussi adresser mes remerciements à sa collaboratrice Danièle Caste pour le soin apporté dans la finition de ce document. Enfin, je n'oublie pas le travail d'évaluation critique des projets d'article par les différents lecteursarbitres que je tiens à remercier ici collectivement. Auer M., Streff J., 1999. Histoires d’oeufs. Idées et Calendes, Neuchatel, Suisse, 261p.Nau F., Guérin-Dubiard C., Baron F., Thapon J.L., 2010. Science et technologie de l’oeuf et des ovoproduits, Editions Tec et Doc Lavoisier, Paris, France, vol 1, 361p., vol 2, 552p.
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Santi, Saïdou, Rokyatou Sissao, Aboubacar Sourabie, Cheik Mouhamed Bachir Ky, Halidou Komi, and Souleymane Sanogo. "Caractérisation des performances zootechniques des souches sauvage (Sirba) et domestiquée (Bouaké) de Oreochromis niloticus (Linné, 1758) au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no. 1 (March 8, 2023): 117–29. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i1.9.

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Les performances zootechniques des souches de Oreochromis niloticus sont des facteurs déterminants dans la réussite de leur élevage. Cette étude visait à caractériser les performances des souches Bouaké (introduite) et Sirba (locale) au Burkina Faso. La production de larves et la survie des géniteurs ont été évaluées pendant 5 mois dans 3 happas contenant chacun 9 femelles (129,28 g ± 18,32). Les performances de croissance et de survie des juvéniles monosexes mâles (24,81 g ± 3,27) ont été déterminées pendant 6 mois dans 3 happas de 50 juvéniles chacun. Les taux de survie étaient de 100% chez les géniteurs des deux souches et chez les juvéniles Bouaké, contre 96,00% ± 2,00 chez les juvéniles Sirba. Les moyennes de production bihebdomadaire de larves par happa étaient de 933 ± 1130 chez la souche Bouaké et 1129 ± 1223 chez celle de la Sirba. Les gains de poids quotidiens des juvéniles étaient de 2,05 g/j ± 0,02 chez la souche Bouaké et 1,11 g/j ± 0,07 chez celle de la Sirba. Ces résultats montrent que les performances de reproduction des deux souches ne diffèrent pas significativement. Cependant, le potentiel de croissance de la souche Sirba pourra être davantage amélioré après sélection génétique. English title: Characterization of the zootechnical performance of wild (Sirba) and domesticated (Bouaké) strains of Oreochromis niloticus (Linné, 1758) in Burkina Faso The zootechnical performance of Oreochromis niloticus strains is a determining factor in their successful rearing. This study aimed at characterizing the performance of the Bouaké (introduced) and Sirba (local) strains in Burkina Faso. Larval production and broodstock survival were evaluated for 5 months in 3 happas each containing 9 females (129.28 g ± 18.32). The growth and survival performances of all-male juveniles (24.81 g ± 3.27) was determined during 6 months in 3 happas of 50 juveniles each. Survival rates were 100% for broodstock of both strains as well as for Bouaké juveniles and 96.00% ± 2.00 for Sirba juveniles. The average biweekly larval production per happa was 933 ± 1130 in the Bouaké strain and 1129 ± 1223 in the Sirba strain. Daily weight gains of all-male juveniles were 2.05 g/d ± 0.02 in the Bouaké strain and 1.11 g/d ± 0.07 in the Sirba strain. These results show that the reproductive performance of the two strains does not differ significantly. However, the growth potential of the Sirba strain could be further improved after genetic selection.
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Osipowicz, Grzegorz, Andrzej Bokiniec, Krzysztof Kurzyk, Daniel Makowiecki, Dorota Bienias, Tomasz Górzyński, Michał Jankowski, et al. "The Late Neolithic sepulchral and ritual place of site 14 in Kowal (Kuyavia, Central Poland)." Praehistorische Zeitschrift 89, no. 2 (June 30, 2014): 261–79. http://dx.doi.org/10.1515/pz-2014-0018.

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Abstract:
Zusammenfassung: Forschungsgegenstand dieses Artikels ist ein Begräbnis- und Ritualplatz der Kugelamphoren-Kultur der Fundstätte 14 in Kowal (Zentral-Polen). Die Stätte umfasst einen Submegalithen sowie einen Ritualplatz mit Tiergräbern und einer menschlichen Bestattung. Der Komplex kann auf die Zeit zwischen 3250/3100 und 2400/2150 v. Chr. datiert werden. Analysen haben gezeigt, dass der Platz über eine lange Zeit benutzt wurde, und dass die durchgeführten Rituale sehr komplex waren. Beweise wurden gefunden, dass an einigen Stellen rituelle Handlungen ohne Unterbrechung über viele Jahre durchgeführt wurden und einzelne Tieropfer und Niederlegungen nur durch einen Zeitraum von wenigen Jahren voneinander getrennt waren. Die Fund-Struktur einiger Gruben zeigt eine sehr penible Organisation des geheiligten Platzes und ermöglicht an einigen Stellen sogar eine Unterscheidung in Nutz- und rituelle Zonen. Weitere wichtige Informationen wurden durch die Untersuchung einer menschlichen Grablege an dieser Stätte gewonnen. Die Analyse der Grabbeigaben hat deren Natur als rituelle Gaben gezeigt; weiter weist sie auf eine dominante Rolle von Tieren im täglichen Leben der verstorbenen Person hin. Wichtige Daten wurden durch die paläo-biologische Untersuchung der menschlichen Knochen gewonnen. Die paläo-serologische Analyse ergab die Blutgruppe der bestatteten Person. Dies ist der erste derartige Nachweis in der Geschichte der europäischen neolithischen Forschung. Bei den Ergebnissen der DNA-Analyse handelt es eines Vertreters der Kugelamphoren-Kultur in der Literatur und zudem um eine von nur wenigen solcher Untersuchungen eines neolithischen Menschen. Einige der nachgewiesenen Allele sind die ältesten Beispiele dieses speziellen Allel-Typs, die in menschlichen Überresten bis heute identifiziert wurden. Die DNA-Analysen belegen eine Laktose-Intoleranz der bestatteten Person, sie legen weiter eine genetische Verwandtschaft mit der Bevölkerung aus der Region des Fruchtbaren Halbmondes nahe. Die Analyse des stabilen Sauerstoff-Isotopen-Verhältnisses zeigt Muster für häufigeren Ortswechsel und das Entwöhnungsalter. Analysen von stabilen Kohlenstoff- und Stickstoff-Isotopen-Verhältnissen haben Rückschlüsse auf die Ernährung ermöglicht; besondere Aufmerksamkeit verdient die Tatsache, dass bis zu 25 % der Kohlenhydrat-haltigen Nahrung aus Hirse bestanden hat. Das ist der früheste Isotopen-gestützte Nachweis von Hirse in der menschlichen Ernährung in Mitteleuropa. Résumé: Le site 14 de Kowal en Pologne centrale, un complexe rituel appartenant à la culture des amphores globulaires, forme le sujet de cet article. Le site comporte un sub-mégalithe, une structure rituelle avec des dépôts d’animaux et une sépulture humaine. Il fut occupé pendant une longue période allant de 3250/3100 à 2400/2150 av. J.-C. et les rituels étaient complexes: certains furent célébrés au même endroit pendant longtemps, tandis que les sacrifices et dépôts d’animaux n’étaient séparés que par de courts intervalles de peutêtre quelques années. Le remplissage de plusieurs fosses démontre une organisation précise de l’espace sacré, et il a même été possible de faire une distinction entre les actes de déposition rituelle et les dépôts de type utilitaire à l’intérieur de ces fosses. L’étude de la sépulture humaine a également fourni d’importants indices. Il en ressort qu’un individu intentionnellement choisi parmi les membres de ‘l’aristocratie’ locale a été la victime d’un meurtre rituel. L’analyse du mobilier funéraire indique qu’il s’agit d’offrandes rituelles et suggère que les animaux jouaient un rôle déterminant dans la vie de cet individu. L’étude de ses ossements a fourni un important ensemble de données, y compris les résultats d’une analyse sérologique permettant d’identifier – pour la première fois pour le Néolithique européen – le groupe sanguin de cette homme. Dans une étude également pionnière pour la culture des amphores globulaires, l’analyse ADN a permis de décrire la composition génétique d’un de ses membres, une rareté dans les études sur le Néolithique. Certains allèles sont les plus anciens exemplaires d’un type particulier d’allèles jusqu’à présent découvert dans des restes humains. Les données de l’analyse de l’ADN de cet individu suggèrent qu’il était intolérant au lactose et qu’il avait des affinités génétiques avec le Croissant fertile. Les résultats de l’analyse des isotopes stables de l’oxygène peuvent être interprétés soit en termes de mobilité ou de sevrage. Ceux provenant de l’analyse des isotopes stables du carbone et de l’azote nous permettent de reconstruire l’alimentation de notre individu ; en particulier le millet fournissait jusqu’à 25 % de sa consommation en glucides. Ce résultat constitue le premier indice isotopique de la présence du millet dans l’alimentation des populations de l’Europe centrale. Abstract: Site 14 in Kowal (central Poland), a funerary and ritual place of the Globular amphora culture forms the subject of this article. The site includes a sub-megalith, a ritual feature with animal burials and a human burial. The complex can be dated to a period spanning from 3250/3100 to 2400/2150 BC; it was used over a long period, and the rituals carried out were complex. Rituals were performed over many years in certain areas, while individual acts of animal sacrifice and deposition may have been separated by a short interval of just a few years. The fill of some pits shows that the sacred space was carefully organised and it has been possible to distinguish between some utilitarian and ritual deposits within them. Other important information is provided by the study of a human burial discovered at the site. It is possible that a deliberately chosen individual from the tribal ‘aristocracy’ was the victim of a ritual murder. The analysis of the grave goods reveals that they were ritual offerings, and these suggest that animals played a dominant role in the deceased man’s daily life. The study of his bones provides important new insights, including those from a palaeo-serological analysis revealing his blood group, a first in the history of European Neolithic research. The results of DNA analysis constitute the first description of the genetic traits of a representative of the Globular amphora culture, among very few such DNA profiles available for a Neolithic person. Some of the alleles discovered are the oldest examples of particular alleles among those identified in human remains so far. DNA evidence suggests that the individual was lactose intolerant, and it demonstrates a genetic relationship with the Fertile Crescent. The analysis of stable oxygen isotope ratios shows patterns compatible with either residential mobility or weaning age. The analysis of stable carbon and nitrogen isotope ratios allowed us to reconstruct the individual’s diet; particular attention is drawn to the fact that up to 25 % of his carbohydrate diet consisted of millet. This is the earliest isotopic evidence for the presence of millet in the diet of people living in Central Europe.
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