Dissertations / Theses on the topic 'Derrida, Jacques (1930-2004) – Philosophie de l'histoire'

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Delvaux, Amaury. "Défaire le sens de l'histoire : Archéologie et Déconstruction." Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2018-2021), 2020. http://www.theses.fr/2020LILUH042.

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Abstract:
Cette thèse prend pour objet et point de départ le débat entre Michel Foucault et Jacques Derrida afin de proposer une vision originale des rapports entre leurs réflexions respectives durant les années 60. Notre travail cherche à montrer de quelle manière l’archéologie et la déconstruction partagent sur le « concept » d’histoire un important nombre de points d’accord. Il commence par relever que l’objet principal de la querelle Foucault – Derrida est moins la fonction de la folie dans l’économie du discours cartésien que l’essence de l’histoire. À travers les œuvres de Foucault et de Derrida publiées durant les années 60, on a tenté d’établir la discussion implicite mais soutenue de ces deux auteurs autour de la conception de l’histoire. Dans un premier temps, nous avons tenté d’établir le concept d’histoire avec lequel Derrida abordait l’Histoire de la folie de Foucault. Par ailleurs, nous avons tenté de mettre en exergue la manière dont l’ouvrage Les mots et les choses proposait implicitement une réponse de taille à la lecture derridienne de la première méditation et permettait d’en pointer le caractère anachronique. Dans un second temps, on traite de la manière dont Foucault a cherché à s’opposer à cette histoire continue défendue par la tradition hégélienne et husserlienne. Pour ce faire, nous avons étudié en profondeur l’analyse de l’énoncé et des formations discursives qui soutient l’histoire discontinue. Dans un troisième temps, nous avons mis en exergue comment Derrida s’attaque également au cœur de cette histoire continue qu’il opposait pourtant à l’archéologie foucaldienne. En conclusion, nous suggérons que Derrida aurait pu trouver en l’archéologie foucaldienne un « concept » d’histoire qui ne reconduit pas la métaphysique de la présence qu’il s’évertue de déconstruire à la fin de l’année 1964
This thesis is about the famous debate between Michel Foucault and Jacques Derrida. The aim is to propose a new vision of the relation between their respective thoughts during the 1960s. More precisely, our analysis tries to build a discussion between Foucault and Derrida by focusing on the problem of (the) History in their own works. Actually, the real subject of their debate is less the function of madness in the Cartesian discourse than the essence of history. Through the works of Foucault and Derrida published during the 1960s, an implicit but persistent discussion between the two authors about the problem of history can be built. Firstly, our text attempts to establish the conception of history mobilised by Derrida in his reading of Foucault’s book Madness and Civilization. Furthermore, it underlines the way The Order of Things suggests a solid response to the Derridean interpretation of Descartes’s first meditation and reveals its anachronistic aspect. Secondly, it addresses the fashion which Foucault wishes to distance himself from for the continuous history sustained by the Hegelian and Husserlian tradition. In order to do this, it was absolutely necessary to understand correctly the discourse’s analyses that underpin the discontinuous history. Thirdly, our text highlights how Derrida dismantles the core of the continuous history which he mobilises against the Foucauldian archaeology. In the conclusion, our text suggests that archaeological history could have been the “concept” of history that the Derridean deconstruction has been searching after 1967
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Thorsteinsson, Björn. "La question de la justice chez Jacques Derrida." Paris 8, 2005. http://www.theses.fr/2005PA082488.

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Abstract:
La déconstruction est la justice : affirmation surprenante, avancée par Jacques Derrida dans une conférence en 1989. L'objectif ultime de la thèse ici en question revient à l'élucidation de cette égalité. La tâche ainsi définie s'est avérée appeler, en premier lieu, une étude détaillée de ce qui s'appelle, chez Derrida, " la différance " ; en second lieu, une analyse de " la déconstruction " ; en troisième lieu, une mise en scène de la relation intime et complexe qu'entretient la pensée de Derrida avec la philosophie, surtout en tant qu'entreprise systématique et dialectique ; et, en dernier lieu, un rétablissement du contexte à l'intérieur duquel se pose le rapport entre déconstruction et justice. Cette étape finale de l'exposé s'est révélé commander une explication nuancée de la différence entre Derrida et Heidegger au sujet de la temporalité. Il y va d'une certaine disjointure du temps, sans laquelle il n'y aurait pas de justice
In a lecture given in 1989, Jacques Derrida made the somewhat surprising declaration that “deconstruction is justice”. The main objective of the thesis in question can be formulated as the elucidation of this equivalence. Thus defined, the task turned out to demand, first, a detailed study of what is called, in Derrida's writings, “différance”; second, an analysis of “deconstruction”; third, a re-enactment of the intimate and complex relation between Derrida and philosophy, particularly in its systematic and dialectic form; and lastly, an investigation into the context in which the relation between deconstruction and justice appears. This final phase of the exposition turned out to necessitate a thorough investigation of the difference between Derrida and Heidegger with regard to temporality, the focal point of which is the so-called disjointure of time – without which there would be no justice
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Biset, Emmanuel. "Violencia, justicia y política : una lectura de Jacques Derrida." Paris 8, 2009. http://www.theses.fr/2009PA083079.

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Abstract:
Ce que la thèse essaie de montrer est qu'il existe une "tension" dans les textes de Derrida entre violence et justice. Que, bien que dans l'une ou l'autre étape on mette l'accent sur des choses différentes, la dite tension n'est jamais résolue. Il est possible d'établir des liens avec d'autres tensions de la pensée politique, même avec quelques-unes travaillées par l'auteur lui-même comme celle qui a lieu entre Lévinas et Kant. Il n'est pas le cas d'établir ici ces multiples rapports, mais d'indiquer que quand l'accent est mis sur la violence ou sur la justice, des sens différents de la coappartenance sont configurés. Si l'implication réciproque de philosophie et politique acquiert une nouvelle signification, la philosophie, la politique et le lien qui les unit sont redéfinis. Le déplacement d'accent montre, en fin de compte, une tension entre les façons de penser la coappartenance. Cette tension a été l'hypothèse de lecture proposée. Hypothèse qui est très importante quand on la replie sur les présupposés d'où part la thèse. En dernier ressort, la tension développée dans la thèse montre que face à l'absence de fondements on étend le politique jusqu'à ce qu'il occupe un lieu structural, mais pour cette même raison le problème du comment de cette politique surgit. Le retour du politique est concomitant de la réapparition du problème de la justice. Et si la thèse commençait avec une incommodité, non réductible au problème, c'est parce que la difficulté d'articuler une pensée sur le politique - sur le vivre-ensemble - qui aborde le comment de l'excédent y apparaissait. La tension entre violence et justice, celle qui a été parcourue dans et par la thèse, est une façon d'habiter cette incommodité qui initiait la thèse
The object of this writing presents an hypothesis of lecture of Jacques Derrida philosophy. Because of this, the text presents the general result of a major investigation about Derrida's reading. This has two objectives: first, to point out the different shades that Derrida'philosophy acquires throughout time; second, to show that this shades suggest a tension between an irreductible violence and a irreductible hospitality; third, insert this tension inside specific discourse tradition: the political philosophy
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Ruff, Pierre-Yves. "Derrida, l'ecriture et la place de l'autre." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 1996. http://www.theses.fr/1996STR20053.

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Abstract:
Cette these est, d'emblee, un parcours de lecture ou une traversee. Le propos n'est pas de degager des "contenus" de pensee, places sous la signature de derrida. Il s'agit bien plutot - dans la mesure ou ce serait possible - d'oeuvrer a l'interieur du texte de derrida, a la facon dont lui-meme aborde les ecrits qu'il lit, cela implique une attention minutieuse a l'ecriture et, en ce cas precis, la revendication d'une proximite mimetique parfois vertigineuse. Deux chapitres, eux-memes divises en paragraphes, faconnent a eux seuls l'architecture singuliere de la these. Le premier conduit de la "fin du livre" a l'estompement s'annoncant sous la rature; le second tente un nouveau depart, et conduit jusqu'a l'imminence de la venue de l'autre. Ces deux chapitres sont ainsi les deux versants incurves d'un parcours singulier, lequel est avant tout la marque d'une reconnaissance, le signe sans signature d'une marche reglee sur le pas de l'autre: derrida
This thesis is, first of all, a journey through or across derrida's work. Its purpose is not to untangle the "content" of the thought signed derrida. It aims rather - in so much as it is possible - to work within derrida's text in the same way he himself approaches the works that he reads. This implies a close attention to writing and in this particular case demands an approximate if at times vertiginous textual mimesis. Two chapters themselves divided into paragraphs alone form the uncommun architecture of the thesis. The first one leads from the "end of the book" to the blurring which becomes apparent under the erasure; the second one attempts a new departure under the title of the call and leads to the imminent arrival of the other. Thus, these two chapters are the two curved slopes of a single journey, which is above all the mark of a recognition, the unsigned sign of a trajectory accomplished in the pas of the other derrida
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Contreras, Guala Carlos. "Éthique et politique dans l'œuvre de Jacques Derrida." Paris 8, 2008. http://octaviana.fr/document/145514641#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract:
Nombreux sont les auteurs qui s'accordent à penser que la seconde moitié du siècle qui vient de s'écouler apparaît stigmatisée par la tendance à un certain désintérêt pour les domaines éthique et politique. C’est ainsi que la déconstruction a été taxée d'immoralité et d'irresponsabilité. Cependant, quelques lecteurs ont abordé directement les relations entre politique, éthique et déconstruction dans le but d'apporter la lumière sur ces relations. En général, ces derniers postulent qu'il y aurait un tournant, un ethical and political turn dans l'œuvre derridienne. Face à ces problèmes, il s'agit de montrer, d'une part, que la dimension politique et éthique est présente dans l'œuvre de Jacques Derrida et, d'autre part, que s'il y a certes des implications éthico-politiques dans les écrits derridiens, celles-ci ne configurent pas un turn ; il s'agirait plutôt de l'évolution dans le développement d'une pensée engagée dans les apories de l'éthico-politique. La Première partie traite des difficultés que présente l'écriture de Derrida pour tout lecteur qui s'aventure dans ses textes. La Deuxième partie est consacrée au développement des notions de responsabilité, décision, justice et de ce que nous appellerons structure aporétique de la déconstruction. La Troisième partie s'intéresse à la relation entre littérature et démocratie. Dans la Quatrième partie, nous ferons un examen de la notion d'engagement moyennant une plongée dans les concepts de responsabilité, de décision et dans les opinions de Derrida sur les media. Enfin nous tenterons de proposer une approche des concepts d'éthique et de politique, et de la nécessité de la déconstruction pour pouvoir penser les conditions de la possibilité – et de l'impossibilité -, de ces concepts
Many authors agree that the second half of the 20th century seemed to be marked by a certain disinterest in the ethical and political arenas. That is why Deconstruction has been accused of immorality and irresponsibility. However, when reading Derrida's Deconstruction texts, some specialists have attempted to discover and reveal the relationships he established between politics, ethics, and Deconstruction. These specialists claim that there is an ethical and political turn in Derrida's work. In this thesis, we propose, firstly, that both politics and ethics are present in Derrida's work. Secondly, that if there are any ethical and political implications in Derrida's writings, they would not constitute a turn but an evolution of a way of thinking actively involved in ethical and political aporias. In the first part, we present the difficulties any reader might encounter when reading Derrida. The second part is devoted to the development of concepts such as responsibility, decision, justice and what we call Deconstruction's aporetic structure. The third part deals with the relationship between literature and democracy. In the fourth part, we examine the notion of involvement through the concepts of responsibility, decision, and Derrida's opinions about the mass media. Finally, we explore the concepts of ethics and politics and also the necessity for Deconstruction when thinking about the conditions of possibility and impossibility of those concepts
Muchos autores coinciden al afirmar que la segunda mitad del siglo recién pasado aparece marcada por la percepción de cierta despreocupación por el ámbito ético y político. Es así que la desconstrucción ha sido acusada de inmoralismo e irresponsabilidad. Sin embargo, también ha habido ciertos lectores que abordan directamente las relaciones entre política, ética y desconstrucción con el propósito de revelar y exponer dichas relaciones. En general, estos últimos lectores postulan que habría un ethical and political turn en la obra derrideana. Frente a estos problemas se pretende plantear, por una parte, que el problema de lo político y lo ético en la obra de Jacques Derrida está presente y, por otra parte, que, en efecto, si hay implicancias ético-políticas en los escritos derrideanos, éstas no se configurarían como un turn, sino que se trataría más bien de la evolución de un pensamiento comprometido en las aporías de lo ético-político. La Primera Parte se presentan las dificultades que plantea la escritura de Jacques Derrida ante cualquier lector que se aventure en sus textos. La Segunda Parte está consagrada al desarrollo de las nociones de responsabilidad, decisión, justicia y de lo que llamaremos estructura aporética de la desconstrucción. La Tercera Parte se ocupa de la relación entre la literatura y la democracia. La Cuarta Parte hará un examen de la noción de compromiso a través de una revisión de los conceptos de responsabilidad, decisión, y de las opiniones de Derrida a propósito de los media. Por último, intentamos una aproximación a los conceptos de ética y política, y a la necesidad de la desconstrucción para poder pensar las condiciones de posibilidad – y de imposibilidad –, de dichos conceptos
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Hong, Qiaoyun. "Déconstruction et démocratie chez Jacques Derrida." Thesis, Paris 1, 2020. http://www.theses.fr/2020PA01H203.

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Abstract:
Notre étude vise à montrer comment Derrida pense la démocratie à travers la démarche qui lui est propre et singulière de la déconstruction. Notre philosophe présente ses idées sur la démocratie à partir du concept de l’amitié qui, selon lui, donne le modèle de la relation juste entre les humains. On peut dire qu’il cherche à repenser le fondement du politique par ce concept de l’amitié à travers un travail d’héritage, de critique, de rejet parfois, et enfin de déconstruction. Derrida commence à déconstruire le concept de l’amitié par une citation : « O mes amis, il n’y nul ami. », et à partir de là, il met en évidence et questionne une série d’apories sur l’idée de l’amitié dans l’histoire philosophique. Ensuite, on voit que l’idée de l’amitié repensée par le travail de déconstruction chez Derrida s’attache à la survivance qui dépasse la mort devant le deuil. L’amitié s’ouvre alors vers l’avenir à travers la théorie derridienne de la trace et de la différence qui est liée au déplacement de l’espacement et de la durée. En même temps, Derrida évoque la possibilité de penser l’amitié à partir de son contraire, y compris de convertir l’ami en ennemi, il scrute ainsi sur le plan éthique le rapport politique ami / ennemi pour le repenser selon l’exigence de la justice. Pour cela, il introduit l’idée de l’autre et de l’hospitalité. La thèse se termine sur l’importance du concept de l’autre chez Derrida qui est lié dans sa philosophie avec le thème de l’hospitalité, afin de développer sa théorie politique autour de la « démocratie à venir »
Our study aims to show how Derrida thinks of democracy through deconstruction which is his own and unique approach. Our philosopher presents his thinking on democracy from a concept of friendship which, according to him, gives the model of the just relationship between human. We can say that he seeks to rethink the base of politics with this concept of friendship through a work of inheritance, criticism, sometimes rejection, and finally deconstruction. Derrida begins to deconstruct the notion of friendship through a quote: “O my friends, there is no friend.”, and from there, he emphasizes and queries a series of contradictions on the idea of friendship in philosophical history. The concept of friendship rethought by the work of deconstruction in Derrida connects to the idea of surviving which goes beyond death in relation with mourning. Friendship then opens a door to the future, through the Derridian theory of the trace and the différance which is linked to the movement of spacing and duration. At the same time, Derrida evokes the possibility of thinking friendship from its opposite, including converting the friend into enemy, he thus scrutinizes the political relation friend / enemy on the ethical plan to rethink it according to the requirement of justice. For this, he introduces the idea of the other and of hospitality. The thesis ends on the importance of the concept of the other in Derrida which is linked with the theme of hospitality in his philosophy, in order to develop his political theory around the “democracy to come”
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Siscar, Marcos. "La métaphore révolutée : la question des genres dans les textes de Jacques Derrida." Paris 8, 1995. http://www.theses.fr/1995PA081039.

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Abstract:
L'approche esthetique et politique de l'oeuvre de jacques derrida est souvent determinee par l'inscription prealable de ses textes dans le champ de l'opposition generique entre litterature et philosophie. Le rapport de derrida a la theorie du genre (qui s'elabore a partir du traitement donne a la "rhetorique", a la "forme", au "style") montre que ce dont il est question chez lui c'est deja la possibilite d'une telle theorie. L'analyse de glas, de la carte postale et de circonfession nous permet de dire que cette possibilite est soumise a la tension d'un rapport a l'autre, tension traitee chez derrida plutot comme "ton" que comme style, plutot comme resonance que comme simple adequation mimetique. Il n'y a pas simplement une "appartenance" mais la dramatisation d'une "participation" a la generalite du genre, soumise a des lois toujours singulieres. Derrida dramatise ainsi l'experience de la responsabilite comme consideration aporetique d'une ecoute a l'appel de l'autre, selon une logique ou une rhetorique qui reste neanmoins abyssale. On peut dire que l'auteur relit la tradition a travers la problematique de la tension tonale, mais il prend aussi sa part dans la metamorphose de cette tradition en donnant a entendre l'importance d'un changement de ton
A prior consideration of jacques derrida's work in keeping with the opposition of genres (litterature or philosophy) determines on many occasions the aesthetic and political meaning of his texts. Il would be more appropriate to affirm that the dramatization of such theory's possibility is the element that could distinguish his writing and his thinking. Analyses of rhetoric and style in glas, la carte postale and circonfession show us that tension is better described as "tone" than style, better as resonance than mimetic correspondence. There is an instable "participation" and not a neutral "belonging" to generality of genre. It is the manner in which derrida reads tradition and the manner in which he participes in tradition, in order to experiment another inflexion of the usual tone of metaphysics
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Horváth, Eszter. "Deleuze, Derrida : la doublure de la différence." Paris 8, 2005. http://www.theses.fr/2005PA082693.

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Abstract:
Le travail présenté est une tentative pour penser ensemble dans une sorte de dialogue deux philosophies emblématiques de la différence, celles de Gilles Deleuze et de Jacques Derrida, afin de mettre à jour, conformément à l’hypothèse explorée par le mémoire de thèse, une ontologie théâtrale impliquée par la différence. Cette rencontre semble répéter une scène platonicienne, celle de la mimésis, celle justement de la proximité absolue du double. Distinguer entre la bonne et la mauvaise répétition, la répétition et la représentation, la différence et la répétition, la différence et la différance – telle est la tâche infinie, l’héritage platonicien des philosophies de la différence. Les philosophies de Deleuze et de Derrida s’inscrivent dans l’histoire des doubles inséparables, de la doublure en soi, en tant qu’elle est histoire de la mimésis, de la répétition, de la représentation, de la différence donc. On ne parviendra jamais à distinguer entre différence et différance. Tout comme on ne parviendra jamais à faire la différence entre répétition et représentation, ou bien entre parole et écriture, entre théâtre et cinéma – Deleuze et Derrida jouent dans tous ces registres la même scène platonicienne. Grâce à la déconstruction de l’héritage nietzschéen de la répétition et celui platonicien de la mimésis, la différence devient le principe actif par excellence, le sujet même de la philosophie. Penser, donc, revient à déconstruire et reconstruire le sujet de la philosophie. C’est ici que les deux philosophies de la différence se touchent : dans l’image du penseur. Mon travail dans cette thèse a consisté à repenser la différence en tenant compte du penseur qu’elle exige, de la personne pré-individuelle et impersonnelle qui la pense, qui joue le rôle principal dans le jeu de la différence. Cela revient à penser ensemble les héritages cartésien et bergsonien de Deleuze, et ceux freudien et lacanien de Derrida. Et après tant de différences, les images du penseur se mettent à coïncider chez les deux philosophes en ce point : l’origine de la pensée comme surgissement d’abord du Je qui pense depuis l’origine, c’est-à-dire depuis la limite inconsciente du sujet impersonnel et pré-individuel. Même si, pré-individuelle et impersonnelle, vide ainsi qu’elle l’est, cette ultime instance de la pensée garde les traits d’une personne qui deviendra capable de dire Je. Elle sera bien représentable, et le fou, le schizo, le mime, l’acteur, en seront l’image.
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Moati, Raoul. "Le double problème de l'intentionnalité et des actes de langage dans la pensée de Jacques Derrida." Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010698.

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Abstract:
Le présent travail de thèse de doctorat prend pour objectif d'élucider l'articulation de l'intentionnalité aux actes de langage dans la pensée mise en oeuvre par Jacques Derrida travers la rencontre de la philosophie de la déconstruction avec celle du langage ordinaire. Une telle exploration permet du point de vue historique ainsi que du point de vue conceptuel de démentir la réprobation unilatérale formulée par J. R. Searle des thèses de la déconstruction à l'endroit de la philosophie du langage ordinaire de J. L. Austin, tout en proposant d'établir le plus rigoureusement possible les limites interprétatives et théoriques de la réappropriation par Derrida, et la tradition qui se réclama de celle-ci, des enjeux de la philosophie du langage ordinaire concernant les relations qu'entretient la question des actes de langage à celles de l'intentionnalité et de la signification. Pour ce faire, une première partie vise à démontrer l'ancrage intentionnaliste profond de la pensée de Jacques Derrida, inf1uençant l'émergence théorique du thème de la (déconstruction» comme tel. On cherche à montrer dans une deuxième partie, l'existence de lignes de convergence conceptuelle entre les motivations qui conduisent Derrida de la ( phénoménologie» à la {( déconstruction» et J. L. Austin à la mise au jour de la philosophie du langage ordinaire. Pourtant, malgré les affinités théoriques incontestables que nous mettons en lumière, il nous faut montrer dans une troisième partie, comment le poids de la tradition phénoménologique et la radicalisation décisive de certains de ses thèmes, amène Derrida à ériger l'intentionnalité en un concept constitutif, prise de parti théorique qui conduit inévitablement la pensée de Derrida à la reproduction inversée des préjugés nourris par « l’ illusion descriptive» dénoncée par J. L. Austin, et dont la critique systématique définit le coeur même de la démarche adoptée par la philosophie du langage ordinaire, avec Austin et au-delà de lui. L'appropriation des thèmes de la philosophie du langage ordinaire par Derrida ne pouvait alors manquer de nous apparaître comme une première étape sur le chemin de la levée du descriptivisme, laquelle demeure l'objectif de toute démarche philosophique impliquée, comme l'est la déconstruction dérridienne, dans la déprise conceptuelle de certaines illusions fondamentales du représentationalisme linguistique et de la métaphysique qui lui fait fond.
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Masó, Illamola Joana. "Dessiller la langue : écriture et vision chez Hélène Cixous et Jacques Derrida." Paris 8, 2009. http://octaviana.fr/document/14551546X#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract:
Dans le discours philosophique, dans la critique littéraire et l'histoire de l'art, voir et parler, regarder et dire ont fait l'objet de multiples parallélismes et partages qui demeurent l'arrière-plan de notre étude. L'articulation du texte et de l'image, ainsi que leurs rapports étroits où le visible et le lisible sont tantôt incompatibles tantôt complémentaires restent l'objet de la présente thèse. Toutefois, entre ces deux modèles, ni la correspondance ni l'adéquation parviennent à nommer l'étrange complicité de l'œil et de la voix, du regard et du mot dans l'aventure de la connaissance, la révélation, la représentation et l'accès au sens - les grandes lignes de force qui traversent la problématique du visible et du lisible. L'écriture d'Hélène Cixous et la pensée de Jacques Derrida reprennent et déplacent l'héritage de la vision, qu'ils transforment dans le cadre d'une expérience déconstructrice de la langue. Cette déconstruction, nous le verrons tout au long de notre étude, met en place une forte critique de la notion indoeuropéenne de savoir et de vérité, profondément liée au mode de production de sens du visible. Nous aborderons également les nouveaux modèles perceptifs qui s'esquissent dans les corpus cixousien et derridien. L'étude de ces deux écritures et pensées nous permettra d'analyser et de bien comprendre la puissante critique de la vision qui s'installe en France avec la pensée dite post-structuraliste, chez des auteurs tels que Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Gilles Deleuze, Jean-Luc Nancy ou Luce Irigaray, entre autres
In the fields of philosophy, literary criticism and art history, the linguistic and the visual paradigms - seeing and talking, watching or saying - have been studied as different parallelisms. These oppositions constitute the context of our essay. The purpose of this essay is to analyse the articulation of text and image and the relationships between the visual and the writing models, which are sometimes exclusive and sometimes complementary. Hence, the correspondence between these two models is always inadequate to describe the strange complicity between the eye and the voice, the gaze and the word in the main points of our investigation: knowledge, revelation, representation, and meaning. Hélène Cixous' writing and Jacques Derrida's philosophical thought both echo and displace the heritage of vision. Cixous and Derrida transform this heritage in the context of a deconstructive experience of language and writing. As we will discuss throughout this essay, the deconstruction of the visible paradigm supposes a strong criticism of the Indo-European concept of knowledge and truth, which is deeply intertwined with the visual model. Moreover, we intend to analyze new perceptive models developed in Cixous' and Derrida's texts. The analysis of these two authors and their thoughts will allow us to understand and interpret the strong criticisms of vision operating in France in the context of post-structuralist thought, especially in the work of Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Gilles Deleuze, Jean-Luc Nancy and Luce Irigaray, etc
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Kiritani, Kei. "La genèse de la déconstruction : Derrida et le temps de la phénoménologie." Thesis, Strasbourg, 2020. https://publication-theses.unistra.fr/restreint/theses_doctorat/2020/Kiritani_Kei_2020_ED520.pdf.

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Abstract:
Notre thèse se donne pour objectif d’éclaircir le développement de la pensée de Jacques Derrida dans ses écrits des années 1950 et 1960, c’est-à-dire la « genèse de la déconstruction ». Comme il commence sa carrière philosophique en tant que phénoménologue, nous traitons principalement de ses trois textes portant sur la phénoménologie d’Edmund Husserl. Le problème du temps constitue le fil conducteur de cette thèse. Il est possible de dire que Derrida élabore sa propre pensée en s’expliquant avec la notion phénoménologique du temps. Nous tentons de conceptualiser son idée singulière du temps, tout en prenant en compte l’impossibilité d’une telle conceptualisation. Or, ce travail ne se limite pas à confirmer rétroactivement sa philosophie de jeunesse. En saisissant la déconstruction à l’état naissant, nous cherchons aussi à remettre en question la « déconstruction de la métaphysique » telle qu’on la comprend d’ordinaire. Il ne s’agit pas du dépassement une fois pour toutes de la métaphysique de la présence, mais de la complicité fatale entre le désir métaphysique et la décision, malgré tout, de le déconstruire
The aim of our thesis is to shed light on the development of Jacques Derrida’s thought in his writings of the 1950s and 1960s, that is the “genesis of deconstruction”. As he began his philosophical career as a phenomenologist, we will deal mainly with his three works on the phenomenology of Edmund Husserl. The problem of time is the guiding theme of this thesis. It is possible to say that Derrida elaborates his own thought by having it out with the phenomenological notion of time. We attempt to conceptualize his singular idea of time, while taking into account the impossibility of such a conceptualization. However, this work is not limited to the retroactive analysis of his youthful philosophy. We also seek to reexamine the well-known “deconstruction of the metaphysics” by clarifying the nascent deconstruction. It is not a question of overcoming once and for all the metaphysics of presence, but of the fatal complicity between the metaphysical desire and the decision, nevertheless, to deconstruct it
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González, Castaño Héctor. "L'autre corps : le problème de la corporéité dans la philosophie de Jacques Derrida." Thesis, Paris 10, 2017. http://www.theses.fr/2017PA100117/document.

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Abstract:
Cette thèse analyse la manière dont Derrida considère le problème du corps ; nous prenons pour fil conducteur la déconstruction du concept de « corps propre », ébauchée depuis les premiers textes de Derrida consacrés à la phénoménologie de Husserl. En lisant ce dernier, Hegel ou la psychanalyse, Derrida interroge le problème de l’« idéalisation » pour montrer qu’une forme d’« itérabilité » se trouve à la base du rapport entre le corps et la « vie », d’un côté, et du processus d’« auto-affection » qui constitue l’expérience du « corps propre », de l’autre. Derrida analyse la dimension économique du « propre » à travers les problèmes du signe et de l’écriture, et il démontre l’hétéro-affection inséparable de l’expérience du corps, qu’il considère comme un champ de forces. L’expérience corporelle du « propre » s’avère dérivée par rapport à une technicité « originaire », dont le rapport avec la singularité nous permet de penser « l’autre corps » qui travaille à l’intérieur du corps dit « propre ». Pour mieux développer ces questions, nous comparons les propos de Derrida avec deux grands philosophes du corps : Merleau-Ponty et Jean-Luc Nancy. Indissociable du rapport à l’autre, le corps nous oblige à interroger le problème du monde, dont l’unité, présupposée par la « chair » merleau-pontienne, est mise en cause par la déconstruction. Les réserves de Derrida à l’égard du concept nancyen de « corpus » et l’expérience de l’« intraductibilité » que constitue son livre 'Le toucher, Jean-Luc Nancy', nous conduisent à considérer une certaine pratique de la traduction comme ce qui ouvre la voie vers une pensée« toute autre » du corps
This dissertation analyses the ways in which Derrida considers the problem of the body. It takes as its central theme the deconstruction of the “body proper” (corps propre) concept, whose discussion dates back to Derrida’s first texts on Husserl’s phenomenology. Through Husserl, Hegel and psychoanalysis, Derrida questions the problem of “idealisation”, and in doing so, he shows that a form of “iterability” is both the basis of the relationship between body and “life”, and equally, the basis of the process of “auto-affection”. By considering the economic dimension of the “proper” through the problems of writing and the sign, Derrida takes into account the hetero-affection inseparable from the experience of the body and insists that we think of the body as a space of forces. The bodily experience of the “proper” turns out to be derived from an “originary” technicity. The relationship of technics and singularity allows us to think “the other body” which operates from within the so called body “proper”.In order to better understand these questions, Derrida’s position is compared to two important philosophers of the body, Maurice Merleau-Ponty and Jean-Luc Nancy. The experience of the body implies a relation to the other and the world, whose unity is presupposed by Merleau-Ponty’s “flesh” (chair) and put into question by deconstruction. By clarifying Derrida’s reservations regarding Nancy’s concept of “corpus”, as well as considering the experience of “untranslatability” that constitutes 'On Touching, Jean-Luc Nancy', it is argued that Derrida’s philosophy asserts a certain practice of translation which opens up a space through which the “each time other” of the body can be thought
Esta tesis analiza la forma en que Derrida considera la cuestión del cuerpo, tomando como hilo conductor la deconstrucción del concepto de “cuerpo proprio” (corps propre) esbozada desde los primeros escritos de Derrida sobre Husserl. Con este último, Hegel o el psicoanálisis, Derrida interroga el problema de la “idealización” para mostrar que una forma de “iterabilidad” se encuentra en la base de la relación entre el cuerpo y la “vida”, por un lado, y del proceso de “autoafección” que constituye la experiencia fenomenológica del “cuerpo proprio”, por el otro. Derrida analiza la dimensión económica del concepto de “propio” a través de los problemas del signo y de la escritura, para mostrar que hay una hetero-affección inseparable de la experiencia del cuerpo, que considera como un campo de fuerzas. La experiencia corporal de lo “propio” se descubre derivada con respecto a una tecnicidad “originaria”, cuya relación con la singularidad nos permite pensar “el otro cuerpo” que opera en el interior del llamado cuerpo “proprio”.Para desarrollar mejor estas cuestions, comparamos la posición de Derrida con la de dos grandes filósofos del cuerpo, Merleau-Ponty y Jean-Luc Nancy. Indisociable de la relación con el otro, el cuerpo nos obliga a interrogar el problema del mundo, cuya unidad, que la “carne” de Merleau-Ponty presupone, es puesta en duda por la deconstrucción. Las reservas de Derrida con respecto al concepto de “corpus” propuesto por Nancy y la experiencia de “intraducibilidad” que constituye el libro de Derrida 'Le toucher, Jean-Luc Nancy', nos llevan a considerar cierta práctica de la traducción como aquello que abre la vía a un pensamiento “cada vez otro” del cuerpo
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Mansur, Mehmet. "Autour de Jacques Derrida : l'écriture entre vol et circoncision." Thesis, Strasbourg, 2016. http://www.theses.fr/2016STRAC049.

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Au commencement il y a la circoncision « du » commencement (La dissémination). La cicatrice vient en place de ce qui est volé (Marges) — le prépuce (Circonfession), le corps (La Parole Soufflée), la langue (Monolinguisme de l’autre, Béliers, Schibboleth) —, se donne comme le lieu même où bat l’opération de la coupure et comme celui du voleur (dieu, la mère, le théologiciel) qui effectue une telle opération. Les effets d’un passé qui a eu lieu sans avoir eu lieu, qui ne passe pas et qui est « instantanément » appellé par l’imminence de la mort de l’autre (celle de la mère dans Circonfession), reviennent sur la marque que le « moi « sans » moi » (Parages) porte depuis avant qu’il ne sache qu’il la porte. Notre thèse se concentre sur ces effets qui coupent le moi — à la lettre de son corps — de toute destination, de tout avenir prévisible, et ainsi constituent le moi comme l’éthique, à travers les questions de la culpabilité, du pardon, de la conversion « et » de l’écriture
In the beginning there is circumcision of the beginning (Dissemination). The scar comes in the place of that which is stolen (Marges) — the foreskin (Circumfession), body (La Parole Soufflée), language (Monolingualism of the other, Rams, Shibboleth) —, gives itself as the very place where the operation of the cut lives and as the place of the thief (god, mother, theologic program) who carries out such an operation. The effects of a past which has taken place without taking place, which does not pass et which is « instantaneously » called by the imminence of the death of the other (that of the mother in Circumfession), come back to the mark that the « I « without » I » (Parages) carries since before he knows that he carries it. Our thesis concentrates on these effects which cut the I — at the letter of its body — off from all destination, all predictable future, and that way constitute the I as ethics, through the questions of guilt, of forgiveness, of conversion« and » of writing
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Garcia-Hubard, Gabriela. "Beckett et Derrida (d')après les apories de la signification." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070034.

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Dans le contexte dit poststructuraliste ou même postmoderniste, on arrive trop souvent à la conclusion qu'un concept, une hypothèse, un texte et même une action est aporétique, sans pour autant s'arrêter un instant et rechercher leurs traces et leurs histoires, ainsi que la richesse lexicale qui les constituent, l'infinité sémantique qui les déclenche, sans considérer la pratique syntaxique et contextuelle qui les compose et les décompose. C'est pour cela que nous proposons une exploration, non exhaustive, des différentes figures aporétiques qui simultanément animent et menacent l'œuvre beckettienne et derridienne, telles que la mort, l'ignorance, l'aphasie, la suspension, le bruit, le chaos, la destinerrance, l'hymen, entre autres
In the so-called postmodernist or even poststructuralist context, we come too often to the conclusion that a concept, an hypothesis, a text or even an action is aporetic, without pausing to inquire into its traces and its histories, the lexical richness that constitutes it, the endless semantics that provoke it, without considering the syntactic and contextual practice that composes and decomposes it. That is why we propose an exploration (although not an exhaustive one) of different aporetic figures that simultaneously animate and threaten Beckett's and Derrida's work, such as death, ignorance, aphasia, suspension, noise, chaos, destinerrance, and the hymen, among others
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Yun, Ji-Yeong. "La déconstruction du phallogocentrisme." Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010540.

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Abstract:
Le phallogocentrisme est un terme créé par Derrida, ensuite repris par M. Klein, L. Irigaray et S. Bordo; Impliquant l'imbrication du règne du primat du logos et du phallus, le phallogocentrisme attribue le privilège illimité aux termes relevant du spirituel, de l'intelligible, du substantiel, de l'identique au détriment de leur altérité. En déstabilisant ces dichotomies hiérarchiques, nous pourrions voir à quel point elles sont le point d'ancrage de la misogynie et de l'androcentrisme dans la métaphysique. Cette prééminence du logos se cristallise avec celle du phallus en tant que structure éternelle et immuable dans la psychanalyse. En ce sens, disloquer la prérogative du phallus, a pour but de montrer la contingence rendue nécessaire, inébranlable de cette norme symbolique afin de fonder un nouveau paradigme au-delà du phallus et de disloquer la libido d'essence masculine. La déconstruction du phallogocentrisme consiste à déterminer celui-ci en tant que régime de discours et du pouvoir qui vise à domestiquer le corps étant le terme de l'altérité par excellence dans la métaphysique et à dénaturaliser l'identité substantive et hiérarchisée du genre et à penser une autre forme de subjectivité à travers le corps indéterminé, complexe et contradictoire qui est dégagée d'une binarité du genre, laquelle est déjà le ciblage du corps sexué.
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Celedón, Gustavo. "Emancipations de l'expérimentation sonore : dimension philosophique-politique d'une pensée sur le son." Paris 8, 2014. http://www.theses.fr/2014PA084153.

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Abstract:
Il s'agit d'une recherche sur l'expérimentation sonore des XX et XX siècles à la lumière d'une pensée sur ses conséquences politiques et philosophiques. Notre approche ne vise pas à traiter l'expérimentation sonore comme un objet pour la philosophie, mais plutôt à penser l'émergence progressive des sons dans nos vies et les déplacements esthétiques, philosophiques et politiques d'une telle émergence à travers l'expérience de l'expérimentation sonore. En ce point, l'expérimentation sonore se présente moins comme une pratique artistique déterminée que comme une recherche et une inquiétude autour du son, de l'écoute et les formes -formes politiques- du sensible. Ainsi, é n de penser l'altération actuelle qu'elle introduit dans les formes sensibles traditionnelles qui commandent tant donné que l'émergence des sons est un événement de nos jours, notre approche est surtout une faço nos formes de penser et vivre, toujours guidées par la vue et l’œil. Notre travail pense cette altération à partir d'une approche de Badiou, Rancière et Stiegler et, indirectement, Jacques Derrida. Badiou et Rancière nous donnent la possibilité de nous approcher à l'expérimentation sonore à partir d'une pensée sur l'événement, l'émancipation et le partage du sensible. Stiegler, à son lieu, nous permet de penser la question technique, indissociable à l’émergence sonore. Face à lui, l'expérimentation sonore nous permet poser une critique à toute tentative de placer la technique comme logos, idée que nous renforçons avec la pensée de Derrida
This is a research on sound experimentation of XX and XX centuries by the light of a thought of her political and philosophical consequences. Our approach is not intended to treat experimental sound as a philosophy’s object, but rather to think the gradual emergence of the sounds in our lives and in the aesthetic, philosophical and political movements through the experience of sound experimentation. At this point, the sound experimentation is presented less as a specific artistic practice as research around the sound, listening and forms –political forms– of sensitive. Thus, given that the emergence of sound is an our day’s event, our approach is mainly a way of thinking the actual that she gets in sensitive forms who control our ways of thinking and living, always guided by vision and the eye. Our work thinks this change from an approach to Badiou, Rancière and Stiegler and, indirectly, Jacques Derrida. Badiou and Rancière give us the possibility to approach the sound experimentation from thinking about the event, emancipation and the distribution of the sensible. Stiegler enables us to think the question of technique, inseparable to the sound emergence. Facing him, sound experimentation enables us to propose a critique to any attempt to place the technique as logos, idea that we bolster with Derrida
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Ertuğrul, Tacettin. "Jacques Derrida et le problème de la technique." Thesis, Strasbourg, 2016. http://www.theses.fr/2016STRAC023.

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La tâche de notre travail est de penser la question de la technique dans sa relation profonde et complexe avec celle de l’écriture chez Derrida. Les quasi-concepts du pharmakon et du supplément nous permettent de dire que la technique est pharmaco-supplémentaire. Mais il faut avancer et dire que l’archi-technicité est déjà la techno-graphie pharmaco-supplémentaire. L’œuvre de Derrida nous permet aussi de penser les télétechnologies à partir de l’écriture qui est déjà télé-technique. Les télétechnologies vont bien au delà d’une certaine conception courante de « média » ou de « télécommunication», car le concept de télé-technique atteint le coeur du mouvement de la différance. Il faut penser la télé-technique avec l’extériorisation, l’ex-appropriation, la trace, l’archive etc. Et dans le coeur de la différance, l’itération comme répétition en différence nous pousse à penser d’une nouvelle manière le même ou l’autos. Le même n’est pas stable, toujours en distance à soi-même et ouvert à l’autre. Il faudrait chercher l’archi-technicité dans cette ouverture à l’autre qui est liée à l’itérabilité différancielle. Une technicité comme ouverture à l’incalculable
The task of our work is to think the question of technique in its profound and complex relation with the question of writing in Derrida’s work. The quasi-conceptsof pharmakon and of supplement allow us to say that the technique is pharmaco-supplementary. But we must move forward and say that thearchi-technicity is pharmaco-supplementary techno-graphy. Derrida’s workalso allows us to think the teletechnologies from writing that is already teletechnical.The teletechnologies go well beyond a certain current conception of« media » or « tele-communication », because the concept of teletechnology reach the heart of the movement of différance. We try to think the teletechnique with exteriorisation, ex-appropriation, trace, archive, etc. And in the heart of différance, the iteration as repetition in difference leads us to think newly the same (le même). The same is not stable, is in distance with it self and open to the other. We should search the archi-technicity in this opening to the other that is related to differential iterability. It has to be noted that the archi-technicity is a technicity which remains open to the incalculable, to the event (l’événement)
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Martinez, Olguín Juan José. "Le clin d'oeil de la politique : écriture, politique et philosophie." Thesis, Paris 8, 2017. http://www.theses.fr/2017PA080154.

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Abstract:
Ce travail essaie de démontrer que la pensée de la philosophie politique reste enfermée dans les limites d’une pensée logocentrique, c’est-à-dire dans l’horizon de la métaphysique. Ce logocentrisme opère, d’après nous, selon deux principes : le premier est celui qui affirme que l’humanité de l’homme se présente dans la parole ou le logos, et qu’elle s’y présente de façon pleine. La conception qui dans l’histoire de la philosophie politique correspond à ce principe est celle de l’homme comme animal politique, soit le zoon politikon. Le deuxième principe est celui qui soutient que cette pleine présence de l’humanité, que cette humanité pleine, se donne à voir dans la parole parlée, c’est-à-dire par l’effet de l’unité originaire et essentielle entre corps et parole. On estime que ce deuxième principe correspond à la notion d’espace public. Tout logocentrisme est aussi un phonocentrisme. Nous proposons, contre cette pensée logocentrique de la politique, de montrer que l’humanité de l’homme se présente par une autre voie que celle de la parole ou le logos : elle se présente, sans se rendre pleinement présente, dans le geste, le geste qui identifie chaque être humain. On analyse, dans les pages qui suivent, le statut spécifique de ce geste : selon nous, il n’appartient ni à la sphère du logos ni à la sphère de la phoné, ni à la sphère de la pleine humanité, ni à la sphère de la pleine animalité. Cette sphère de ce que l’on appelle le geste, finalement, nous permet donc de formuler la question fondamentale de ce travail, la question qui, comme un spectre, hante ces pages : Quelle est la singularité de l’écriture comme geste spécifiquement humain, c’est-à-dire politique ?
This work tries to demonstrate that political philosophy’s thought remains locked within the limits of a logocentric thought, that is to say, in the horizon of metaphysics. This logocentrism operates, according to us, through two main principles: the first affirms that man’s humanity appears in the dimension of word or the logos, and that it presents itself (in the dimension of word or the logos) in a full way. The conception that corresponds, in political philosophy’s thought, to this principle is the conception of man as a political animal, the zoon politikon. The second principle affirms that this full presence of humanity gives itself to be seen in the spoken word, that is to say, by the effect of the original and essential unity between the body and speech. We consider that this second principle corresponds to the notion of public space. All logocentrism is also a phonocentrism. We propose to show, against this logocentric thought of politics, that man’s humanity is presented in a different way which doesn’t respond to the dimension of word or the logos: it presents itself, without making itself fully present, in the gesture, the gesture that identifies each human being. We analyse the specific status of this gesture: according to us, it belongs neither to the sphere of logos nor to the sphere of the phoné, nor to the sphere of full humanity, nor to the sphere of full animality. This sphere of what we call the gesture, finally, allows us to formulate the fundamental question of this work, the question which, like a spectre, haunts these pages: What is the singularity of writing as human condition’s specific gesture, that is to say, as a political practice?
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Rochechouart, Alice de. "Un motif eschatologique dans la philosophie contemporaine française : l'eschatologie du présent chez Levinas et Derrida." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEP053.

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Abstract:
La notion d'eschatologie est originellement théologique : elle est pourtant réinvestie par la philosophie contemporaine chez Heidegger, puis par la philosophie française chez Levinas et Derrida. Quelles sont ainsi les conditions de possibilité, la spécificité philosophique et l'opérativité spéculative de ce réinvestissement ? L'étude généalogique de l'eschatologie, chez Kant, Hegel, Nietzsche et Heidegger, révèle que l'eschatologie ne peut être mobilisée en philosophie qu’à condition d’être préalablement dissociée de la téléologie, de la théologie et de l'ontologie. Elle est alors convoquée chez Levinas et Derrida en dialogue avec le messianisme et la phénoménologie pour former un motif original, aussi bien élément constituant que moteur philosophique. L’eschatologie lévinasso-derridienne devient un schème éthique, sans contenu ontique et radicalement anti-ontologique, qui consiste à interrompre le présent et la présence : une eschatologie du présent. L’eschatologie du présent constitue ainsi une triple problématisation de la limite : elle éclate les limites entre les circonscriptions disciplinaires (théologie et philosophie) ; marque la limite (c'est-à-dire la défaillance) du logos ; et brise la limite (l'horizon) de l'histoire pour proposer une pensée éthique de l'événement
The concept of eschatology originally comes from theology: it is however summoned by contemporary philosophers, first by Heidegger then by Levinas and Derrida. What are the conditions of possibility of this philosophical gesture? How is it specifically philosophical? And what are its operativity and consequences? The genealogical study of eschatology in Kant, Hegel, Nietzsche and Heidegger’s philosophy reveals that eschatology can only be used in philosophy if it is first dissociated from teleology, theology and ontology. It then becomes an original motive (both a pattern and a philosophical driving force) in Levinas and Derrida’s philosophy, in dialog with Jewish messianism and phenomenology. As an ethical and contentless principle, radically anti-ontological, it consists in interrupting presence (both time and essence): an eschatology of the present. It thus constitutes a triple problematization of limit: it bursts limits between disciplines (theology and philosophy); its sets logos’ limitation (its failure); and shatters the historical limit (horizon) to create and ethical conception of the event
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Jabre, Elias. "La pulsion de pouvoir : traduire la psychanalyse dans le champ politique entre Deleuze et Derrida." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2019. http://www.theses.fr/2019PA080009.

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Abstract:
Cette thèse développe une analyse comparative de la pensée de Derrida et de celle de Deleuze-Guattari du point de vue de leur rapport à la psychanalyse. Nous nous attachons à confronter ces deux stratégies pour ré-impliquer la psychanalyse dans un champ de questionnements philosophico-politiques, stratégies qui passent l’une et l'autre par une réinterprétation de la « spéculation freudienne » d'Au-delà du principe de plaisir sur la pulsion de pouvoir. A suivre Freud, tout ensemble se lie à lui-même à partir d’une force sans origine. Or, cette pulsion de pouvoir révèle que tout socius, toute communauté, et toute institution ne s’appuient sur aucun fondement, bien qu’ils se fondent sur une écriture. Nous soulignons alors la nécessité de traduire dans l’ordre juridico-politique cette logique du détour qui excède le jeu de la souveraineté, et ouvre à d’autres partages de pouvoir. Or, nous avons voulu évaluer s’il n’y avait pas une manière plus juste de le faire. Si Derrida engage des formalisations à partir d’une raison hyperbolique qui tient compte d’un calcul, où il faut calculer avec l’événement incalculable qui réécrit tout ensemble – cet autre qui se présente et qu’il faut laisser venir dans l'épreuve de la rencontre –, Deleuze-Guattari, d’après nous, ont fait l’économie de la déconstruction. Ils auront alors récusé la représentation au nom d’une justice immanente, ce qui compromet en partie leur geste, bien qu'il converge dans une certaine mesure avec celui de Derrida
This thesis dissertation develops a comparative analysis of Derrida’s and Deleuze-Guattari’s thought from the point of view of their relation to psychoanalysis. We confront two strategies used to re-involve psychoanalysis in the field of philosophical-political questions. Both strategies involve a reinterpretation of the "Freudian speculation" on the power-drive as developed in Beyond The Pleasure Principle. According to Freud, any body is bound to itself by a force without origin. However, this power-drive reveals that any socius, community, or institution is groundless, in spite of being grounded in a kind of writing. We then stress the necessity to translate into the legal and political fields this detour logic which exceeds the logic of sovereignty and allows us to rethink power distribution. We also explore whether there is a more just way of doing this. While Derrida undertakes formalizations with a kind of hyperbolic reason using a calculation that finds it necessary to calculate with the incalculable event that rewrites any social body – the other which presents itself and that we have to allow into our experience –, we argue that Deleuze-Guattari have bypassed deconstruction and rejected representation for the sake of an immanent justice. This partially jeopardizes their gesture, although it converges to a certain extent with that of Derrida
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Szeto, Man chun. "Pour penser un dialogue entre l'herméneutique gadamérienne et la déconstruction derridienne." Thesis, Bourgogne Franche-Comté, 2019. http://www.theses.fr/2019UBFCH034.

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Abstract:
Bien que l'herméneutique gadamérienne et la déconstruction derridienne soient deux écoles de pensée importantes sur la théorie de l'interprétation, il existe en effet peu de rapports entre eux. Particulièrement après la rencontre infructueuse entre Derrida et Gadamer à Paris en 1981, les deux camps n'ont pratiquement pas de collaborations. De ce fait, les littératures existantes comparant ces deux théories de l'interprétation sont insuffisantes en deux façons. D'abord, la plupart ne traite que de la rencontre de 1981. Deuxièmement, même des études qui prennent une démarche plus synoptique restent souvent unilatérales en simplifiant trop le côté opposé du débat.Ce présent projet est par conséquent conçu à l'égard de ces défauts. En déchiffrant les langages philosophiques très différents de ces deux penseurs, nous pouvons plus clairement identifier les points d'accords et de désaccord entre eux. Une telle démarche nous conduit à un point de comparaison significative qui se situe autour un point commun entre eux : les critiques chez Derrida et chez Gadamer de la philosophie de la réflexion hégélienne
Although Gadamer's philosophical hermeneutics and Derrida's deconstruction are two important school of thoughts on the theory of interpretation, there are little connections between them. Especially after the unsuccessful meeting between Derrida and Gadamer at Paris in 1981, there were practically no collaborations between the two camps. As a result, the existing literatures comparing these two school of thoughts suffer two general problems. First, most focus only on their 1981 debate at Paris. Secondly, even for the commentators who take a wider approach, the investigation is often one-sided, simplifying too much the opposing side of the debate.The present project takes into consideration these difficulties and tries to more comprehensively compare these two theories of interpretation that employ terminologies very different one from the other. Such an approach would allow us to position our comparison with regard to a common point shared between Derrida and Gadamer: their critics of Hegelian Philosophy of Reflection
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Irudayadason, Nishant Alphonse. "Penser un monde par-delà les frontières : Derrida et Tirumular, essai de philosophie comparative." Phd thesis, Université Paris-Est, 2008. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00462179.

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Abstract:
Dans la philosophie de Derrida, " déconstruction " signifie, entre autres, découverte de l'autre, négligé, oublié ou poussé à la périphérie. Derrida tient que la justice et le " messianique ", en tant que clés d'une transcendance vers tout autre, ne peuvent pas être déconstruits. Cette approche lui permet de traiter d'une manière radicalement nouvelle des thèmes conventionnels comme le pardon, le don, l'hospitalité, etc., souhaitables et impératifs dans un monde déchiré par des divisions de toutes sortes, soutenues par des oppositions binaires où le premier élément de chaque binôme exerce sa domination sur le second. Il est étonnant de découvrir que la tradition sivaïte tamoule que l'on croit remonter au IIe siècle avant J.-C., et qui commença à se formuler philosophiquement au VIe siècle, a un même objectif : un monde ouvert dépassant les frontières. Déjà à l'époque classique de la littérature philosophique tamoule (l'époque du sangam, du IIe siècle), Kanniyan Poonkonranar exprima ce désir sous forme poétique: " Yadhum ouré; yavarum kélir ", " nous sommes tous du même village et de la même famille ". Cette vision radicale qui veut briser l'horizon est bien développée par Tirumular, saint shivaïte tamoul (saiva siddha) du VIe siècle, dans son Tirumantiram (prières sacrées) composé de 3000 poésies. Cependant, en soulignant qu'il est important de dépasser les frontières, Tirumular ne cesse d'affirmer le rôle central d'une expérience mystique de l'immanence dans la conscience par les chemins du yoga. Une telle vision " au-delà des frontières " est notamment un point de convergence entre la pensée philosophique de Derrida et celle de la tradition philosophique du sivaïsme tamoul, et particulièrement celle de Tirumular. Cette idée d'un monde ouvert est-elle une utopie ou une invitation à la sagesse ? L'issue serait-elle la " déconstruction " ? Quel pourrait être, en la matière, le rapport entre la tradition indienne et la philosophie occidentale dans sa version contemporaine ? Notre tâche consiste à pénétrer la réflexion philosophique occidentale, en interrogeant la pensée de Derrida touchant cette ouverture. Cela nous permet d'entrer dans les traditions qui l'ont formé et celles qui ont été initiées par sa pensée. Cette recherche est aussi un approfondissement de la philosophie de Tirumular. C'est une étude comparative entre deux pensées, l'une occidentale et l'autre indienne
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Moulenda, Joseph-Igor. "Derrida et la critique de la phénoménologie de Husserl : Autour de la question de la "Métaphysique de la présence"." Caen, 2012. http://www.theses.fr/2012CAEN1647.

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Abstract:
Cette étude est une introduction à la critique que Derrida a engagée à l’endroit de la phénoménologie de Husserl. Il s’agit précisément d’une critique dont l’épicentre est la « métaphysique de la présence », expression forgée par Derrida, pour rendre évident l’unité conceptuelle parfois insoupçonnée où continue de s’opérer la jointure entre phénoménologie et métaphysique. Cette unité conceptuelle reste l’attachement au présupposé de l’être comme « présence », que Derrida ne manque pas de déconstruire au motif de son impossibilité à apparaître dans sa plénitude. Dans cette étude divisée en deux grandes parties, nous avons voulu montrer comment Derrida part de la question de la signification chez Husserl dont il critique l’idéalisation extrême, pour ensuite opérer la déconstruction de la phénoménologie à partir de l’une de ses idées fortes, à savoir la réduction de tout phénomène à son fondement originaire dans la conscience. On peut voir que de part et d’autre, il relève et dénonce l’emprise intuitionniste de la métaphysique sur la phénoménologie
This study is an introduction to the critique that Derrida initiated about the Husserl’s phenomenology. More accurately, the epicenter of that critique is the "metaphysics of presence", a phrase coined by Derrida. His goal is to bring out the conceptual unity that is oft-times unsuspected at the usual binding point between phenomenology and metaphysics. That conceptual unity represents the bond to the so-called being viewed as "presence" that Derrida successfully unravels by reason of his inability to reach his fullness. The study is divided into two main parts. First, we wanted to show how Derrida questions the Husserl’s view on Meaning by criticizing its extreme idealization. Secondly, how he sets out to deconstruct phenomenology by utilizing one of his strong ideas, namely the reduction of all phenomena to the consciousness. We can see that all in all, he points out and denounces the intuitionist grip of metaphysics on phenomenology
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Tunç, Serpil. "Justice en tant que loi, justice au-delà de la loi : Hobbes, Derrida et les Critical Legal Studies." Sorbonne Paris Cité, 2016. http://www.theses.fr/2016USPCC003.

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Abstract:
Dans ce travail nous avons pour but d'élaborer philosophiquement le rapport entre la justice, le droit, la loi. La première partie de la thèse est consacrée à Thomas Hobbes, considéré comme le précurseur du positivisme juridique. S'il traite de la justice comme loi de nature, dans la mesure où seul le souverain sera en mesure de garantir l'effectuation de la justice, cela l'attire ainsi dans une relation circulaire avec les lois positives, la force et la violence. Dans la mesure où c'est la nécessité de la souveraineté qui fait tenir ensemble ces notions, il était cohérent de repartir, non pas tant de la critique que de la déconstruction de la souveraineté faite par Jacques Derrida. La deuxième partie s'oriente donc vers l'élucidation de la formule surprenante que l'on trouve chez Derrida : « la déconstruction est la justice » et établit, contre Hobbes, la possibilité d'une justice au-delà de la loi. En élaborant une notion de justice au-delà de la loi, Derrida ne vise aucun horizon d'abolition du droit comme tel. On est ainsi confronté au paradoxe consistant dans le fait qu'on doit à la fois déconstruire le droit et demeurer aux confins des lois. D'où l'interrogation qui pose la question de comment cette exigence paradoxale est prise en compte - lorsqu'elle l'est - par des juristes (praticiens, enseignants et théoriciens du droit). C'est pourquoi la troisième partie de la thèse est consacrée à l'examen de l'inspiration derridienne dans les deux générations qui ont constitué le mouvement né aux Etats-Unis que l'on appelle les Critical Legal Studies
The thesis aims at an examination of the relationship between justice, rights and laws. To do that, first part of the thesis wishes to investigate Thomas Hobbes, namely the chief representative of positivist jurisprudence, who considers justice to be a naturel law the enforcement of which is to be guaranteed alone by the sovereign. Thus, that leads justice to a circular relation between positive laws, power and violence. In so far as it is the notion of sovereignty that brings justice into the circular relation constituted by positive laws, power and violence. Rather than criticizing the notion of sovereignty, this work, taking another approach, wishes to focus on Jacques Derrida who tries to deconstruct sovereignty. Accordingly, the second part concerns the influential proposition "the deconstruction is justice" stated by Derrida against Hobbes, on behalf of defending a justice beyond the law. While developing a notion of justice that is beyond the law, Derrida has no intention to deny the necessity of the law as such. So we are confronted with a paradox consisting of fact that we must both deconstruct the law and remain within its boundaries. It is exactly where we begin to pose the question of how this paradox is could be taken into account in the juridical domains of application. (Jurists, professors and theoreticians of law) It is for that reason that, the third part of the thesis investigates the two generations of the Derridean influence on Critical Legal Studies(CLS), originated in United-States
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Bankovsky, Miriam Ann. "La Justice sociale après Kant : entre constructivisme et déconstruction (Rawls, Habermas, Lévinas, Derrida)." Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100117.

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Abstract:
Le but de cette thèse est d’examiner le rapport entre deux approches de la justice : d’une part, le projet constructiviste et reconstructiviste de Rawls et Habermas et d’autre part, le projet déconstructionniste de Lévinas et Derrida. Nous cherchons d’abord à identifier la différence centrale entre les approches, reconstruisant chaque théorie de la justice telle qu’elle se construit en rapport avec la philosophie pratique de Kant. Nous montrons ensuite que ces deux projets sont complémentaires. Rawls et Habermas défendent la possibilité de déterminer le contenu de l’impartialité kantienne au moyen de « la position originelle » ou du « principe de discussion ». Au contraire, Lévinas et Derrida soutiennent l’impossibilité de cerner le contenu de la justice. A partir d’une lecture non-kantienne du principe moral, Lévinas défend un concept non-formel de responsabilité pour autrui. Certes, Derrida affirme la possibilité de la justice, mais il soutient aussi que sa forme déterminée ne saurait réconcilier la responsabilité devant autrui avec l’idée d’impartialité. Nous défendons ensuite la complémentarité de ces deux projets. « La foi raisonnable » dans la possibilité de la justice doit être complétée par l’affirmation de son impossibilité. En revanche, la défense de l’impossibilité est insatisfaisante sans affirmer la possibilité de construire une société équitable. En nous éloignant de la critique libérale selon laquelle la déconstruction se retire de la politique (Fraser, McCarthy, Benhabib), nous apportons notre appui à des voix dissidentes (Cornell, Mouffe, Honig, Young, Honneth, Patton, Thomassen) qui font valoir que la déconstruction est utile à la tradition constructiviste
This thesis examines the relation between two contrasting approaches to justice: the constructive and reconstructive projects of Rawls and Habermas on the one hand, and the deconstructive projects of Levinas and Derrida on the other. First, I identify the central difference between the two projects, reconstructing each account of justice as it develops in relation to Kant’s practical philosophy. I then argue that the two projects are complementary. Whilst Rawls and Habermas defend the possibility of objectively realising Kant’s impartial standpoint by means of the “original position” or the “procedures of discourse ethics”, Levinas and Derrida affirm the impossibility of determining the content of justice. In Kant’s moral law, Levinas discovers a non-Kantian principle of responsibility for the particular other which conflicts with impartiality. Distinguishing himself still further, Derrida defends the “undecidability” of justice’s function. Justice must be pursued but no local determination can reconcile responsibility for the other with impartiality among all. I then defend the complementarity of the two projects. “Reasonable faith” in the possibility of justice must be supplemented by the acknowledgment of its impossibility. Conversely, attesting to justice’s failure is unsatisfactory without commitment to the possibility of constructing just social forms. Distancing myself from the liberal critique whereby deconstruction withdraws from the political (Fraser, McCarthy, Benhabib), I instead add my voice to a dissenting group (Young, Cornell, Mouffe, Honig, Honneth, Patton, Thomassen) which affirms that deconstruction can productively engage with the constructive tradition
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Farnia, Shalmani Hamed. "Architecture contemporaine et théorie de la déconstruction : le processus architectural à l'épreuve de la philosophie." Thesis, Strasbourg, 2015. http://www.theses.fr/2015STRAC005/document.

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Abstract:
Dans cette thèse, nous nous intéressons aux relations spécifiques entre l’architecture et la philosophie dans une période bien précise de l’histoire de l’architecture. Notre recherche consiste en une analyse approfondie du processus de la conception architecturale approchée à partir de la philosophie de la déconstruction. Il ne s’agit pas d’aborder de façon générale le domaine trop vaste des emprunts que les architectes peuvent faire à la philosophie, mais bien de se limiter à une entrée beaucoup plus précise, en partant d’une interrogation portant sur les relations que les architectes dits «déconstructivistes» entretiennent avec un courant de la philosophie connu, depuis les écrits du philosophe français Jacques Derrida, sous cette même appellation de «philosophie de la déconstruction». L’enjeu est d’étudier le processus de conception architecturale, son passage par des concepts et son aboutissement dans des formes, en le référant à la philosophie et en se demandant en particulier comment les architectes utilisent des références philosophiques. Pour arriver à une assimilation plus rigoureuse de la pensée déconstructive en architecture, l’architecte American : Peter Eisenman a proposé une interprétation du processus de conception architecturale proche de la logique textuelle. Ce processus s’appellera chez Eisenman la «décomposition». Notre problématique majeure sera d’essayer de comprendre quels outils à la fois théoriques et pratiques utilisent les architectes contemporaines afin de restructurer une conception architecturale influencée par la pensée déconstructive ? Le but était d’arriver à donner à la déconstruction en architecture un aspect et une définition précis, au-delà loin des seules images métaphoriques que certains architectes peuvent proposer de cette notion. De là dépendait le choix des œuvres analysées comme exemples de ce mouvement, mais aussi l’élucidation que nous tentions du processus de conception architecturale issu de cette notion de déconstruction. Notre but était de parvenir à donner une figure esthétique, théorique, fonctionnelle et opérationnelle à un mouvement architectural. Nous avons construit notre projet de recherche autour de quatre problématiques et hypothèses majeures qui résument de façon générale le chemin parcouru. La première interrogation vise l’origine de ce mouvement, dans la mesure où il est au croisement de ses deux disciplines divers, la philosophie et l’architecture. Est-il possible que ce mouvement soit le fruit d’une transformation philosophique en architecture, détaché de toute théorie architecturale antérieure ? Ou bien n’est-il que le développement d’une ou plusieurs idéologies antérieures en architecture ? Notre deuxième interrogation est orientée vers une compréhension de la source philosophique – les écrits de Jacques Derrida – et le processus d’une critique de la métaphysique chez le philosophe. Qu’est-ce que la déconstruction? La troisième interrogation vise une analyse concrète entre les données philosophiques et les œuvres architecturales. Comment l’architecture, art de construction par excellence, peut-elle devenir une déconstruction d’elle-même ? Dans quelle (s) limite (s) est-il possible de réduire la déconstruction à des connaissances définissables, comme semble malgré tout l’exiger l’architecture ? Ainsi, la dernière interrogation principale de notre projet vise l’impacte de ce mouvement sur l’architecture en globale et l’architecture contemporaine
In this thesis, we focus on the specific relationship between architecture and philosophy in a specific period in the history of architecture. Although our research analyzes the process of architectural design through the philosophy of deconstruction, it does not generally address too broad field of philosophy. In fact, the project undermines the effects of the philosophical method of deconstruction on architecture and the so-called deconstructivists' concern with "philosophy of deconstruction" known from the writings of the French philosopher Jacques Derrida. In other words, the challenge is to study the process of architectural design, its association with concepts and its effect on forms, by referring to philosophy and in particular by claiming how architects use the philosophical references. To achieve a more precise assimilation of deconstructive thought in architecture, American architect Peter Eisenman proposed an interpretation of the architectural design process close to the textual logic. For Eisenman, this process is called "decomposition". Our major issue is to try to understand what theoretical tools and practices are used at the same time by the contemporary architects to restructure an architectural design influenced by the deconstructive thought. The aim is to give the deconstruction in architecture, a specific dimension and precise definition, far beyond the few metaphorical images that may offer some architects of thisconcept. Although we require analyzable projects to achieve a clear-cut definition, we have tried to elucidate the architectural design process resulting from the notion of deconstruction. Our goal is to achieve an operational, functional, theoretical and anaesthetic figure in an architectural movement. We have carried out our research project around four major issues and assumptions that generally summarize achieved progress. The first question examines the origin of this movement, in so far as it is at the crossroads of two different disciplines, philosophy and architecture. Is this architectural movement theresult of a philosophical transformation in architecture apart from any previous ideologies in architecture or is it the product of the development of one or more ideologies ? Our second question is directed towards an understanding of the philosophical source in the writings of Jacques Derrida and the process of critique of metaphysics for him. What is deconstruction ? The third question is about the concrete analysis between philosophical data and architectural works. How architecture, art of construction by excellence, become a deconstruction itself ? To what extent is it possible to reduce the deconstruction to a definable knowledge that the architecture can use it ? Thus, the last main question of our project highlights the impact of this movement on architecture in global and contemporary architecture
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Marin, Laura. "La manière et les effets du neutre : lire Blanchot dans les traces de Levinas et Derrida." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070080.

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Abstract:
Cette thèse cherche à interroger une notion-clé des écrits de Maurice Blanchot, aussi bien difficile que délicate, et très peu mise en question par la théorie et la critique littéraires contemporaines : le neutre. Blanchot y reconnaît la condition essentielle de la littérature, mais cette notion semble se soustraire à toute approche théorique de type dialectique. Échappant à toute forme d'affirmation ou de négation, de présence ou d'absence, d'objectivité ou de subjectivité, comment peut-on alors s'y rapporter, comment s'en approcher, quel type de discours en permettrait une juste entente, philosophique et littéraire? Si une telle série de questions réclame une entente du neutre pour ainsi dire « frontale » et pas moins vouée à l'échec, j'ai tenté de l'aborder par le détour de ses effets en procédant, par des analyses ponctuelles, à une sorte de po(i)étique de la manière dont le neutre se présente chez Blanchot, de nature à rendre possible une double distanciation : d'abord, en deçà des effets de lecture et de pensée suscités par le neutre, comment se présente la lettre de Blanchot, de quel type de rhétorique se soutient-elle, dans les récits, les fragments et l'écriture «critique»? Je me suis ensuite intéressée à l'accueil que les œuvres de Levinas et Derrida réservent à la question du neutre : manière d'observer chez deux auteurs qui entretiennent avec l'œuvre de Blanchot un rapport difficile, le pli que font dans la pensée, l'entente, la distance et l'écriture, le long d'une lecture appelée ici dans les traces
The Ph. D. Thesis The manners and the effects of the Neutral. Reading Blanchot in the traces of Levinas and Derrida aims at exploring the meaning and uses of a key concept in Maurice Blanchot's theoretical writings: the neutral, a notion difficult to seize and seldom discussed in recent literary theory. In Blanchot's view, the neutral is the fundamental ontological condition of literature, but to analyze his way of understanding it is a challenging task, since the neutral is impossible to tackle by means of a dialectic approach. In these circumstances, a direct conceptual analysis cannot but fail, and that is why I opted for a methodological reduction which enabled me to consider the neutral from an "oblique" perspective. The primary question my thesis tries to answer is therefore not "What is the neutral?", but "What does the neutral do?" (i. E. What are the effects it produces), and how (in what manner it acts). From my point of view, this strategy creates a double critical distance: on the one hand, the diverse consequences the neutral had in the field of post-war French literature and philosophy notwithstanding, it allows me to deal with Blanchot's writing, that is with the rhetoric it is based upon in both his fiction and his essays; on the other hand, my analysis of the place and reception of such a notion in Levinas' and Derrida's works allows me to understand and stress out the fold that critical insight, conceptual detachment and writing create in their thought, given their complex relationship with Blanchot's oeuvre
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Bodart, Céline. "Architecture et déconstruction, remises en jeu d'une rencontre : raconter, traduire, hériter." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2018. http://www.theses.fr/2018PA080112.

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Abstract:
Cette thèse s'adresse à un domaine de recherche nommé "architecture et philosophie". La spécificité de ce domaine s'inscrit dans la question d'une coordination possible entre ces deux disciplines. Afin de mieux comprendre ce à quoi tient ce "et", nous proposons de revenir sur un épisode singulier de son histoire: la rencontre entre la déconstruction derridienne et la culture architecturale anglo-américaine de la seconde moitié du 20e siècle. Trois parties composent la restitution de cette recherche. Premièrement, il s'agit d'étudier comment se raconte cette rencontre depuis différentes situations d'énonciation (anglo-américaine et francophone), afin de mettre en avant comment des réceptions et appropriations culturelles variées conditionnent des poursuites théoriques spécifiques. D'un milieu à l'autre, entre les versions d'une même histoire, il y a de l'écart. L'objet principal de la thèse est alors d'investir l'écart entre ces versions par la mise en traduction de certaines traces de son histoire (Wigley 1993; Kipnis 1997). La seconde partie propose d'expérimenter comment traduire aujourd'hui en français ce qu'ont produit les Derridean years de l'architecture. Enfin, il s'agit de reconsidérer l'héritage de cette rencontre comme un problème à construire, en vue de remettre en jeu l'histoire longue et oscillante de l'hospitalité des discours de l'architecture. Cette thèse est une focale construite sur un épisode de l'histoire récente. En proposant d'en expérimenter de nouveaux modes d'énonciation, nous soutenons l'hypothèse que ces modes spécifiques permettent de transformer et ré-engager notre attention sur les conditions de rencontre entre architecture et philosophie
This thesis addresses a field of research named "architecture and philosophy". The specificity of this field is related to the question of a possible coordination between these two disciplines. In order to better understand what this "and" holds, we propose to return to a singular episode in its history: the encounter between the Derridean deconstruction and the Anglo-American architectural culture of the second half of the 20th century. The restitution of this research is composed of three parts. First, we study how this encounter is recounted trough different institutional and intellectual contexts (Anglo-American and French speaking contexts), in order to highlight how various cultural receptions and appropriations condition specific theoretical pursuits. From one context to another, between versions of a same story, there is a gap. The main purpose of the thesis is to invest such a gap between these versions by putting in translation some traces of its history (Wigley 1993, Kipnis 1997). The second part proposes to experiment how to translate today into French what the Derridean years of architecture produced. Finally, it is a question of reconsidering the inheritance of this encounter as a problem to build, in order to put into play the long and oscillating history of the hospitality of architectural discourses. This thesis is a focal point built on an episode of recent history. By proposing to experiment with new modes of recounting, we support the hypothesis that these specific modes make it possible to transform
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Alombert, Anne. "Simondon et Derrida face aux questions de l'homme et de la technique : ontogenèse et grammatologie dans le moment philosophique des années 1960." Thesis, Paris 10, 2020. http://faraway.parisnanterre.fr/login?url=http://bdr.parisnanterre.fr/theses/intranet/2020/2020PA100085/2020PA100085.pdf.

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Abstract:
La thèse poursuit deux objectifs principaux. D’abord, confronter les projets d'ontogenèse et de grammatologie respectivement proposés par G. Simondon en 1958 et J. Derrida en 1967 en les resituant dans leur contexte historico-théorique et en explicitant leurs enjeux épistémologiques (il s’agit dans les deux cas d'"excéder" les présupposés métaphysiques de la tradition philosophique occidentale et d’inventer une nouvelle relation entre discours philosophique et savoirs positifs). Puis, évaluer les conséquences théoriques de ces deux gestes concernant les questions philosophiques de l’homme et de la technique (il s'agit dans les deux cas de rompre avec une conception « humaniste » de l'homme et « instrumentale » de la technique, et de repenser la relation entre vie, technique et esprit). Il s’agit enfin de confronter ces pensées au contexte technique actuel et d’ouvrir de nouvelles perspectives pour penser les enjeux anthropologiques et sociaux des transformations technologiques contemporaines
The aim of this work is twofold. First, we focus on the projects of ontogenesis and grammatology, formulated by G. Simondon in 1958 and by J. Derrida in 1967, we situate them in their theoretical context and we evaluate their metaphysical and epistemological stakes (we try to show that a new way of thinking is appearing, after the end of Western metaphysics) ;Secondly, we focus on the theoretical consequences of Simondon’s and Derrida’s thought, particularly on the questions of human and technics (we try to show that they both open a way beyond humanism and reductionism by rethinking the links between life, technics and mind or spirit). We finally try to revive Simondon’s and Derrida’s reflections in the contemporary technical context, in order to open new perspectives on the anthropological and social consequences of the current digital transformations
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Zangeneh, Hakhamanesh. "La structuration de la phénoménalité : temporalité, trace, événement (Heidegger, Derrida, Nancy)." Thesis, Paris Est, 2009. http://www.theses.fr/2009PEST0008.

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Abstract:
En lisant la deuxième partie (peu commentée) d’Etre et Temps de Heidegger comme une nouvelle philosophie transcendantale au sens étroit, nous y décelons une multiplicité de temporalités comportant plusieurs instances de la présence. L’instance la plus originaire contient pourtant, selon nous, un noyau relationnel et a-phénoménal, ce qui implique l’affirmation d’une structuration à même le phénomène. Nous poursuivons ce thème comme fil conducteur établissant un chemin de continuité entre Heidegger et Derrida, notamment dans les textes de Derrida dédiés à la phénoménologie où il est question de la métaphysique de la présence. Loin d’y voir une critique de Heidegger nous lisons ces textes comme une extension de notre problématique : le vocabulaire derridien de la trace et de la différance nous permet d’approfondir la description de ladite structuration archaïque. En insistant sur la référence analogique au domaine langagier, nous nous servirons de l’analyse grammatologique afin de répondre aux questions laissées ouvertes dans Etre et Temps, et notamment afin de caractériser la temporalisation immanente. En même temps, nous suggérons de voir une distinction dans la trace, une distinction qui traverse l’oeuvre ultérieure de Derrida. Le versant grammatologique de la déconstruction est une réponse à la question de la temporalité. Enfin, la question, récemment très discutée, de l’événementialité, se laisse rattacher à notre problématique à travers des travaux de Jean-Luc Nancy. La notion d’événement distensif, lorsque enrichi par une série de gloses historiques, est une pensée de la singularité qui ne sacrifie pas les acquis grammatologiques de la détermination d’une structuration de la phénoménalité
This thesis begins with Heidegger’s theory of temporality in part II of Sein und Zeit. While reading it as a novel form of transcendental philosophy in the strict sense, we show, contrary to commentators, that it describes multiple temporalisations and thus multiple notions of presence. The most original notion of presence, however, contains an a-phenomenal and relational core, and this amounts to describing a structuration of phenomenality. In a next step, we examine early texts of Jacques Derrida where, in analyzing Husserl and Heidegger, the author first sets out the idea of a metaphysics of presence. Rather than reading these texts as a critique of Heidegger we show how they can be understood as an extension of our Heideggerian problematic: the notion of différance and of the written trace supply us with a particularly linguistic and writerly description of the archaic structuration. This also allows us both to respond in a novel fashion to open questions immanent to Sein und Zeit, and to suggest a previously unseen distinction running through Derridean deconstruction. The grammatological moment in deconstruction is a response to the question of temporality. Finally, we show how the recently popular discussion of the event can also be read as a thematisation of phenomenality, and specifically in the theory of Jean-Luc Nancy, how such a theory can avoid the facile metaphysical concepts of presence. By supplementing Nancy’s distensive event with a series of explicit historical glosses we show how it sketches out an original event-conception quite compatible with our interest in the structuring of phenomenality
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Meier, Alexis. "Destins de traces : pensée et formes de l'architecture « conceptuelle » chez Peter Eisenman." Paris 8, 2008. http://www.theses.fr/2008PA083641.

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Abstract:
Notre recherche tente de dégager et de problématiser les mécanismes théoriques et projectuels qui permettent le passage de la pensée à une des formes « contemporaines » de l’architecture : l’architecture « conceptuelle » de Peter Eisenman. Nous examinons comment Eisenman soutient une lecture critique des œuvres d’architecture, qui diffère des approches traditionnelles basées sur le type, le style et la fonction d’un bâtiment. À travers l’étude de projets issus de la linguistique structurale, des formalistes (littéraires et artistiques) et de la déconstruction, nous analysons comment Peter Eisenman met au point, des syntaxes « formelles » qui permettent d’organiser l’environnement spatial de façon plus abstraite et plus fondamentale. Plus largement, l’objectif de cette étude est d’essayer de distinguer les enjeux, difficultés et limites consécutives à la mise en relation de la philosophie contemporaine dans le champ de la conception architecturale et d’en mesurer la réelle portée dans le domaine de la « fabrication » de l’architecture elle-même. Cette problématique pose la question de la constitution de la « forme » architecturale aujourd’hui, sa « structure », sa « généalogie », ses discours et sa légitimité sur le plan expressif et conceptuel. Notre étude aspire également à contribuer à un champ théorique plus vaste, celui des relations qui unissent, au sein d’une œuvre d’architecture, forme, concept et représentation. Le texte est composé de trois parties, portant successivement sur l’anti-fonctionnalisme et l’anti-humanisme d’Eisenman, sur le concept et les usages du « diagramme », et sur la dimension éthique, voire politique, de l’œuvre de l’architecte
Our research attempts to reveal and question the theoretical and projectual mechanisms, which articulates thought and forms in one of the "contemporary" of architecture: the "conceptual" architecture of Peter Eisenman. We examine how Eisenman supports a critical reading of architecture works, which differs from the traditional approaches based on the type, the style and the function of a building. Through the study of projects resulting from structural linguistics, formalism (literature and artistic) and deconstruction critics, we analyze how Peter Eisenman develops "formal" syntaxes, which make it possible to organize the space in a more abstract way and produce more fundamental environment. More broadly, the objective of this study is to try to distinguish the stakes, difficulties and limits resulting from the comparison of contemporary philosophy in the field of the architectural design, and to measure its real impact in the field of the construction of architecture apparatus. These issues raise the question of the constitution of the actual architectural "form", its "structure", its "genealogy", its Discourse and its legitimacy at the expressive and conceptual level. Our study also aims at contributing to a broader theoretical field, that of the relations that link within any architectural work, forms, concept and representation. The text is composed of three parts, dealing with the anti-functionalism and the anti-humanism of Eisenman, the concept and the uses of the "diagram", and finally the examination of the possible ethical dimension, even political, of his experimental work
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Başaran, Melih. "Exposition sacrificielle : logiques et économies de l'énonçable et du visible." Paris 8, 1994. http://www.theses.fr/1994PA080992.

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Abstract:
A partir d'une critique de la metaphysique de la "presence", nous avons indique l'etendue d'un champ sacrificiel qui ne se limite pas aux sacrifices du type seulement "ethnologique". A l'encontre d'un discours rationaliste qui pretend que le sacrifice est aboli, nous avons montre que dans l'exposition a autrui, et au monde, nous reproduisons encore les logiques et les economies du sacrifice. Par ailleurs, nous avons montre qu'une certaine "rationalite" determinant l'economie du sacrifice, n'etait pas etrangere a la logique de l'"ancien sacrifice", et que le sacrifice avait toujours fonctionne en se dissimulant, en se substituant aux autres sacrifices. Ce qui est sacrifie etant l'incommensurable", echappe aussi au regime d'enonces et de visibilites. La "perte irrecuperable" reste indicible et invisible
Starting with a criticism of the metaphysics of "presence", a large sacrificial domain is indicated, not limited to purely "ethnological" considerations of sacrifice. Contrary to a rationalist discourse which posits the abolishment of sacrifice, it is shown that in exposing oneself to the other, and to the world, we fall back into sacrificial logics and economics. Furthermore, it is shown that a certain "rationality" determining sacrificial economy was not foreign to the logic of "ancient sacrifice", and that sacrifice has always operated by self-dissimulation, by substitution with other sacrifices. The sacrificied being immeasurable, it also escapes the order of the utterable and the visible. The "unrecoverable loss" remains unutterable and invisible
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Alnabwani, Khaldoun. "Habermas et Derrida : divergence théorique et convergence pratique ?" Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010621.

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Abstract:
Cette thèse examine le rapport complexe entre Habermas et Derrida en s'interrogeant sur l'évolution, durant les années 1980, d'une relation conflictuelle en un lien amical et collaboratif. Elle analyse leurs œuvres afin d'évaluer la convergence et la divergence entre leurs pensées. Nous avons essayé en premier lieu de dessiner les contours de la scène culturelle en Allemagne et en France à partir de l'année 1945. Cette approche nous a permis de mieux comprendre la philosophie de chacun d'eux et d'étudier la continuité et la discontinuité, la tension et l'échange philosophique, entre les philosophies allemandes et françaises. Même si notre thèse se divise en huit parties, elle s'étend sur deux champs d'investigation: l'un théorique et l'autre pratique. Concernant le champ théorique, cette thèse se penche sur la querelle franco-allemande relative au débat modernité/post-modernité, dans laquelle ils s'engagèrent et développèrent des critiques sévères l'un à l'égard à l'autre. La question de la modernité nous invite à mettre en question certaines idées générales, notamment celle selon laquelle Habermas serait un défenseur du projet de la modernité, tandis que Derrida serait un post-moderne hostile à la modernité et aux Lumières. Au sujet de leurs philosophies pratiques nous avons effectué une approche comparative de leurs idées sur la morale, l'éthique, la théorie du droit et la philosophie politique. Cette comparaison nous a permis de comprendre les raisons pour lesquelles ils se sont réconciliés et se sont intervenus ensemble pour atteindre certains objectifs politiques, mais aussi juridiques: la réforme du droit international
This work examines the complex relationship between Habermas and Derrida by shedding light on the shift from a less pleasant interaction in the 1980s to a rather friendly and collaborative affiliation later in an attempt to highlight comparable areas of interest as well as evaluate areas of convergence and divergence among the two great minds. Intuitively, a philosophical eye looks deep to examine to womb where thoughts are born. We lay out the scene in post WWII Germany and France, both fertile lands for such phenomena. This allows us to garner a sharper image of how the two philosophers evolved within their backgrounds and influenced one another. Two focal points, theory and practice, are covered in eight sections. We will address the Franco German quarrel of Modernity vs. Post Modernity revealing the critique so-called Modernist Habermas and supposed Post Modernist Derrida bathed one another with, and, there, we tackle the question of ideology. The later point, practice, reveals a deep assessment of the two philosophers' stances on morality, ethics, philosophy of law, and politics. We conclude with an analysis of the two's collaboration, as they share comparable fundamentals, and inspect the fruit of that effort, which achieved not only political reform but legal in the shape of a Reform of International Law
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Viri, Federico. "La nozione di « événement » nella fenomenologia francese contemporanea." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040205.

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Le but de ce travail est de reconstruire la structure théorique et l’aspect historique de la notiond’« événement » dans le milieu de la phénoménologie française contemporaine, et en particulierdans les travaux de J. Derrida, J.-L. Marion et C. Romano. Le processus de reformulation de laphénoménologie qui est l’objet de notre étude s’étend des années 80 aux années 2000 et nepouvait adopter une approche diverse de celle qui consiste précisément dans le développementdu thème de l’événement, dont on a tenté de mettre en lumière les différentes traditions dont ilhérite. Il s’agit en général d’une référence mixte à la phénoménologie heideggerienne del’inapparent et au post-structuralisme. La question du statut de l’anthropos et du futur de laphénoménologie demeure en arrière-fond grâce aux questions ouvertes par la notion d’ «événement »
The purpose of this work is to provide a theoretical and historical reconstruction of the notion of« event » in the field of French contemporary phenomenology and as it is developed in the worksof three main authors, notably J. Derrida, J.-L. Marion et C. Romano. The starting point of thework is in the attempt to reform French phenomenology from 80’s till nowadays through theconcept of event. Accordingly, the heritage of French contemporary phenomenology is identifiedin the tangle of Heidegger’s inapparent phenomenology as well as in post-structuralism. Thequestions cornering the definition of anthropos and the future of phenomenology are thereby inbackground
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Micheal, Antony Selvan Charles Alexius. "La différance comme déconstruction de la violence : des jeux, des traces et des silences." Thesis, Paris 8, 2017. http://www.theses.fr/2017PA080049/document.

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Abstract:
La thèse intitulée « La différance comme déconstruction de la violence : des jeux, des traces et des silences » nous révèle le jeu stérile, la trace fertile et l’ironie muette de la philosophie contemporaine.L’enquête sur la différance avec un « a », une singularité derridienne, est donc un jeu linguistique et, en même temps, un enjeu métaphysique entre la disparition et l’apparition. Jacques Derrida écrit : « En toute exposition elle (la différance) serait exposée à disparaître comme disparition. Elle risquerait d’apparaître : de disparaître». En 1968, il a prononcé sa fameuse conférence, « la différance », à la Société française de philosophie. La différance est lancée avec une disparition et avec une apparition. Le « e » a disparu mais le « a » est apparu. Il s’agit de cette « différance » avec ce jeu entre le « e » et le « a » et ce jeu est apparemment perturbant et violent. L’absence du « e » est violence et la présence du « a » est violence.La différance est violente envers la violence. Ce terme nouveau est à l’origine d’une déconstruction et d’un déplacement, d’un changement de sens de la « différence ». Derrida a mal orthographié v(i)olontairement la différence pour faire ressortir une dimension plus profonde de la présence et de l’absence dans la signification. Il rattache certaines catégories à la différance comme le jeu, le silence, l’évasion, la rupture, la violence, la rature, la négativité, le non-espace, le non-nom, etc. La différance est un concept du concept, du méta-concept et du non-concept – un concept de la différence, un concept hors de la différence, un concept de non-différence –. C’est une écriture sur l’écriture, une non-écriture, une violence sur la violence, une non-violence.Globalement, cette recherche sur la différance se situe donc dans une perspective de la violence de la présence à l’absence ; elle donne trois lectures à la violence de la différance : une lecture du jeu, une lecture de la trace et une lecture du silence.La première lecture est « jeu ». Elle présente les jeux de la différance. Derrida joue des jeux métaphysiques dans le champ de la différance comme à son habitude. La différance est un jeu parce qu’elle ne veut rien proposer. Et, ne rien proposer, c’est « jouer à jouir », jouer sans arrêt. La différance comme un jeu oblige ses lecteurs à faire une déconstruction de toutes les propositions. Elle nage parmi les Positions contradictoires. Derrida écrit : « Le concept de jeu se tient au-delà de cette opposition ».La deuxième lecture de la différance est la trace. Ne sommes-nous pas toujours déjà tracés ? Pourrions-nous être totalement libérés de la trace des autres ? Tout est dans le cercle de trace. Derrida écrit dans Glas : « C’est pourquoi il n’y a ici que des traces, des traces de traces sans tracé, ou si vous voulez des tracés qui ne traquent et ne retracent que d’autres textes, (…) » Derrida, même ouvertement, accepte d’être influencé par plusieurs pensées. Or, nous énumérons cinq traces importantes dans la différance – Rousseau, Hegel, Nietzsche, Heidegger et Levinas – ; certainement, il y en aura beaucoup plus. La troisième lecture est le silence. Elle remarque une perte silencieuse dans la différance entre le « e » et le « a ». La différance est un projet politique, une politique textuelle contre la souveraineté de la parole pour que la parole réalise sa faiblesse et son absence. Ce qui nous intéresse dans cette politique est qu’une politique du silence se déploie dans la différance. Par sa différance, Derrida lance sa recherche envers une absence présente, envers un mutisme brillant et envers un vide existentiel. [...]
This thesis entitled "Difference as deconstruction of violence : plays, traces and silences" reveals the sterile play, the fertile trace and the ironical silence of postmodern thinking.The inquiry on differance with an "a", a derridien singularity, is a linguistic play and, at the same time, a metaphysical challenge between disappearing and appearing. Jacques Derrida writes : « En toute exposition elle (la différance) serait exposée à disparaître comme disparition. Elle risquerait d’apparaître : de disparaître » (Jacques Derrida. Marges de la Philosophie. Paris : Les Éditions de Minuit, 1972, p. 6.) In 1968, he delivered his famous lecture, "Differance", to the philosophical community. Differance is launched into philosophy with a disappearance and with an appearance. The "e" has disappeared but the "a" has appeared. This "differance" with it’s game between the "e" and the "a" is apparently disturbing and violent. The absence of "e" is violence and the presence of "a" is violence.In this particular thesis, Differance is violent towards violence. This new term originates from the deconstruction by its displacement and by its change of meaning. Derrida misspelled willingly “difference” in order to bring out a deeper dimension of presence and absence in the semantic economy. He attaches certain categories to differance such as play, silence, escape, rupture, violence, erasure, negativity, non-space, non-name, etc. Differance is a concept of concept, a meta-concept and a non-concept - a concept of difference, a concept out of difference, a concept of non-difference. It is a writing on writing, a non-writing, a violence on violence, a non-violence.Overall, this research on differance is therefore oriented in the perspective of “violence of presence to absence” ; It gives three readings to the violence of differance : a playful reading, a traced reading and a silent reading.The first reading is "play". It presents the plays of differance. As usual Derrida plays metaphysical games in the court of differance. Differance wants to remain playful because it does not want to propose anything ; and, to propose nothing is « jouer à jouir » (Jacques Derrida. Glas. Paris : Éditions Galilée, 1974, p. 77), play continuously (Cf. Sarah Kofman, Lectures de Derrida. Paris, Éditions Galilée, 1984, p. 39.). Differance as play obliges its readers to make a deconstruction of all propositions. It swims among and across the contradictory positions. Derrida writes : « Le concept de jeu se tient au-delà de cette opposition » (Derrida. Marges. op.cit. p. 4.).The second reading on differance is trace. Are we not already traced? Could we be totally free from the traces of others? Everything is in the circle of trace. Derrida writes in Glas : « C’est pourquoi il n’y a ici que des traces, des traces de traces sans tracé, ou si vous voulez des tracés qui ne traquent et ne retracent que d’autres textes, (…) » (Derrida. Glas. op.cit. pp. 92-93). Derrida, even openly accepts to have been influenced by several thinkers. (Cf. « La Déconstruction et l’Autre : entretien par Richard Kearney avec Derrida » in Les Temps Modernes : Derrida L’événement déconstruction, N°669 /670, 67° année juillet/octobre 2012, p. 10. Derrida says : « Ma formation philosophique doit beaucoup à la pensée de Hegel, Husserl et Heidegger. Heidegger est probablement l’influence la plus constante, en particulier son projet de ‘dépassement’ de la métaphysique grecque. ») Here, we point out just five important traces in differance - Rousseau, Hegel, Nietzsche, Heidegger and Levinas -; Certainly, there are many more. The third reading is silence. This research indicates a silent loss in the differance between "e" and "a". Differance is a political project, a textual politic against the sovereignty of speech so that speech realizes its weakness and its absence. That which interests us in this politic is that there is a political silence is expressed in differance. Through his differance,[...]
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Smith, Claude. "Déplacements post-structuraux." Thesis, Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100165/document.

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Abstract:
Ce travail tente de prendre la mesure de certaines des évolutions les plus significatives qui, sous le nom de «post-structuralisme», ont pu affecter la philosophie et la culture contemporaine dans son ensemble. Pour surmonter les difficultés liées à la trop grande généralité de la dénomination, on a choisi de privilégier des lectures suivies d'oeuvres de Deleuze, Derrida et Lyotard, qui servent de fil directeur tout au long de l'étude. Non que nous pensions que ces auteurs suffisent à résumer entièrement le mouvement de pensée dans lequel ils s'inscrivent. Mais ils présentent du moins l'avantage de le traverser très largement, et d'en avoir réfléchi la plupart des composantes. Suivre leurs trajectoires permet donc aussi de revenir sur ces composantes, de la réception post-phénoménologique du structuralisme «méthodologique» aux principaux travaux philosophiques qui en assument un certain héritage (particulièrement dans les oeuvres d'Althusser, Foucault et Lacan), et jusqu'aux gestes de démarcations par lesquels Deleuze, Derrida et Lyotard eux-mêmes en viennent à déterminer ce qu'on pourrait appeler l'originalité «supplémentaire» de leurs orientations. Dans la mesure où ce mouvement de pensée est communément caractérisé comme «français», ce travail tente aussi de rendre compte de la situation d'échanges philosophiques internationaux dans laquelle il s'élabore, et de la position singulière qu'il y occupe, qui conduit souvent à souligner son potentiel critique, sur les terrains de l'art, des moeurs ou de la politique
This work tries to report and estimate some of the most significant evolutions that, under the name of «post-structuralism», have affected contemporary philosophy and culture. But, as the «post-structuralist» appellation seems obviously too general, Deleuze's, Derrida's ans Lyotard's texts are actually, all along this work, more specifically studied. Those texts don't indeed sum up by themselves the whole cultural mouvement. But they widely pass through it, and reflect on most of its components.Consequently, following their trajectories can be a way to come back to those components, from the post-phenomenological receipt of «methodological structuralism», to the most important philosophical works that assume a portion of its inheritance (especially Althusser, Foucault and Lacan), up to the assertion of Deleuze's, Derrida's and Lyotard's own originalities. As this mouvement is frequently said «french», this work also tries to report the international cultural and philosophical context in which it spreads out, and the particular position that it holds. This can lead to underline and estimate the value of its critical dimensions, in the spheres of art, morals or politics
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Sebbah, François-David. "De l'intentionnalité vers l'épreuve de la subjectivité : aux limites de la phénoménologie française contemporaine." Paris 1, 1998. http://www.theses.fr/1998PA010514.

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Abstract:
Il s'agit de tenter d'évaluer la fécondité d'un certain nombre de pratiques françaises contemporaines de la méthode phénoménologique. L'enquête se concentre sur les œuvres de J. Derrida, de M. Henry, et d'E. Levinas. Fondamentalement, l'"air de famille" commun à ces différents auteurs consiste en une pratique qui se porte aux limites de la phénoménologie. On pourrait parler d'une phénoménologie excessive au sens où elle se porterait en direction de ce qui excède le champ de l'apparaitre et le pouvoir de se donner ce qui apparait en tant que tel : l'intentionnalité. Cette pratique de la méthode phénoménologique ne court-elle pas ainsi le risque de mettre en œuvre une réduction phénoménologique excessive qui, à se vouloir trop radicale, ferait paradoxalement éclater les contraintes de sa propre pertinence? Que peut-on attendre de l'épreuve des limites de la méthode phénoménologique? Comment les différents auteurs lus ici se situent-ils les uns par rapport aux autres en cette épreuve commune? On pose ces questions au travers d'une étude de la question de la temporalité qui est de ce point de vue exemplaire, puis au travers d'une étude de la question de la subjectivité, notion qui apparait comme un point commun essentiel de ces œuvres. On fait en effet l'hypothèse que tenter de décrire la limite même de la phénoménalité reconduit vers l'épreuve de la subjectivité. Le travail se termine sur l'examen de la question de l'usage, du bon usage, de ces pratiques de la méthode phénoménologique
The aim of this thesis is to evaluate the fruitfulness of a certain number of contemporary French approaches to a practice of the phenomenological method. The study concentrates on the work of J. Derrida, M. Henry and E. Levinas. Fundamentally, the "family resemblance" that these authors have in common stems from the fact that their practice reaches to the very limits of phenomenology. One could even speak of a phenomenology carried to excess, in the sense that it stretches in the direction of that which exceeds intentionality, i. E. The domain of appearances and the capacity to experience that which appears to be donated as such. One can ask whether this practice of the phenomenological method does not run the risk of carrying out an excessive phenomenological reduction which, by trying to be too radical, might paradoxically break the bounds of its own relevance. What can be expected from examining what is experienced at the limits of the phenomenological method? How do the various authors studied here situate themselves and each other with respect to the common features of what is experienced? These questions are posed through a study of the question of temporality, which is exemplary from this point of view; and then through a study of the question of subjectivity, a notion which appears as an essential common point in the works of these authors. Indeed, this study suggests the hypothesis that the attempt to describe the very limits of phenomenality leads back to the question of what it is that is subjectively experienced. The thesis ends by examining the question of the use, the appropriate use, of these ways of practicing the phenomenological method. A
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Mary, Paul. "La question du premier principe : entre Plotin et Derrida : volume I : apophase, principe et matière dans les Ennéades : volume II : déconstruction, archéologie et apophase." Thesis, Montpellier 3, 2011. http://www.theses.fr/2011MON30003/document.

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Abstract:
Il semblerait que la recherche d’un premier principe ne puisse ni aboutir une fois pour toutes ni être abandonnée. L’objectif est de montrer, d’une part, que cette tension travaille l’apophatisme de Plotin et la déconstruction de Derrida en y induisant des difficultés symétriques, et, d’autre part, que l’exploration de ces difficultés suggère une doctrine « intermédiaire » du premier principe intégrant la tension en question. Leurs philosophies reposent toutes deux sur une instance que son excès radical conduit à déborder l’être et l’originarité, mais le néoplatonicien et le déconstructeur interprètent ce débordement de façons diamétralement opposées. Le premier la comprend comme un aboutissement de la quête d’origine, tandis que le second y voit une invitation à dépasser cette quête. D’un côté, Plotin pense une arkhè que sa transcendance radicale rend difficile à déconstruire, mais qui devrait aussi interdire d’en garantir l’existence et la fonction. Sa volonté de maintenir cette garantie induit une série de perturbations, notamment autour du thème de la matière. D’un autre côté, la déconstruction du principe repose sur l’usage d’un schème principiel dénié. Pour le montrer, il faut élaborer une présentation générale de la pensée derridienne, qui révèle une tension culminant avec l’occultation de cet usage par un positionnement anti-principiel. Il s’agit de montrer que l’auto-dépassement de l’arkhè ne représente ni une garantie ni une abolition, qu’il peut être intégré dans une conception originale fondée sur certains éléments propres à chacun de nos auteurs, et qui articule un premier principe métaphysique à une ontologie et à une éthique
It would seem that the search for a first metaphysical principle cannot either succeed once for all or be abandoned. The objective is to show, on one hand, that this tension works Plotinus’ apophatism and Derrida’s deconstruction by causing in it symmetric difficulties, and, on the other hand, that the exploration of these difficulties suggests an "intermediate" doctrine of the first principle, integrating the tension. Their philosophies rest both on something that its radical excess drives beyond being and origin, but they give diametrically opposite interpretations of this situation.The Neoplatonist understands it as a success of the quest for the first principle, whereas the deconstructionist sees it as an invitation to give up this quest. On one side, Plotinus tries to think an arkhè which its radical transcendence makes difficult to deconstruct, but that should also forbid guaranteeing its existence and its function. His will to maintain this guarantee causes disturbances, in particular in his theory of matter. On the other hand, the deconstruction of the first principle requires the use of a transcendental schema, which is yet partially denied by Derrida. To show this, it is necessary to elaborate a general presentation of derridean thought, which reveals a tension, peaking with the attempt to conceal the use of foundational methods.Our aim is to show that the auto-exceeding of the arkhè is neither a guarantee nor an abolition, and that it can be integrated into an original conception based on certain elements from each of our authors, which associates a first metaphysical principle with an ontology and an ethics
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Ávalos, Valdivia Carolina. "L'enseignement philosophique comme (im)possibilité de la déconstruction." Thesis, Paris 8, 2014. http://www.theses.fr/2014PA080056/document.

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Abstract:
L'enseignement de la philosophie, dans les lycées chiliens et français a su défendre sa place au sein de l'enseignement secondaire malgré l'intervention des politiques libérales et néolibérales qui ont envahi l'éducation. Cela a été un succès, mais la question devient: quelle philosophie a-t-on voulu défendre? Pourquoi faire? Ce sont aussi ces questions que s'est posé Jacques Derrida dans les années soixante-dix aux fin de mettre en pratique et systématiser le travail théorique qu'il avait fait à partir de la publication de: De la Grammatologie en 1967. Dans cette recherche nous essayerons de répondre à ces questions à partir du travail réalisé par Derrida dans les années 1967 et 1978. Nous considérons que cette période  propédeutique  nous permet de démontrer que la déconstruction aurait comme base stratégique l'enseignement philosophique. C'est à partir de cette prémisse que nous espérons pouvoir établir quelques idées régulatrices déconstructives qui justifient la présence de la philosophie dans le secondaire. Elles seraient nécessaires et fondamentales pour construire un cadre philosophique référentiel et de cette façon, créer des stratégies d'enseignement propres aux conditions historiques, géographiques et culturelles des jeunes. Ces fondements seraient la base principale de la possibilité de déconstruction – la lutte et la résistance – de l'institution de la philosophie
Although secundary education, both Chilean and French education, has not been unaware to the risk that philosophy has run with the intervention of the liberal and neoliberal policies in education, the multiple edges that build its institutional framework have been able to defend and, therefore, maintain the teaching to adolescents. This has certainly been an achievement, but, what philosofy has defended itself? For what? These interrogatives are also some of which Jaques Derrida contemplated in the seventies, with the idea of putting into practice and systematize the theoretical work that he had been doing since the publication of Of Grammatology in 1967.In this research, we attempt to answer these interrogatives from Derrida’s work, done between 1967 and 1968. We consider that this period – which is institutive– allows us to demonstrate that deconstruction would have the philosophical basis as strategic teaching. From the deconstructive premise, we intend to establish certain guidelines to justify the presence of philosophy in high school, needed to generate a referential philosophical framework and create future strategies of teaching philosophy, distinctive of historical, geographical and cultural conditions of the adolescents and which are the fundamental basis of the possibility of deconstruction -resistance and struggle- of the philosophical institution
A pesar que la enseñanza secundaria, tanto la chilena como la francesa, no ha estado ajena al riesgo que ha corrido la filosofía con la intervención de políticas liberales y neoliberales en la educación, las múltiples aristas que constituyen su entramado institucional, han sabido defender y, por lo tanto, mantener la enseñanza de la filosofía para los jóvenes. Sin duda que esto ha sido un logro, pero ¿qué filosofía se ha defendido? ¿Para qué? Estas preguntas son también algunas de las cuales se planteó Jacques Derrida en los años setenta con la idea de poner en práctica y de sistematizar el trabajo teórico que venía haciendo desde la publicación de De la gramatología en 1967. En esta investigación intentamos responder estas interrogantes a partir del trabajo realizado por Derrida entre los años 1967 y 1978. Consideramos queeste período −que es instituyente− nos permite demostrar que la deconstrucción tendría como base estratégica la enseñanza filosófica. A partir de esta premisa pretendemos establecer ciertos lineamientos deconstructivos que justifiquen la presencia de la filosofía en secundaria, necesarios para generar un marco filosófico referencial y para crear futuras estrategias de enseñanza de la filosofía que sean propias a las condiciones históricas, geográficas y culturalesde los jóvenes, base fundamental de la posibilidad de deconstrucción −resistencia y lucha− de la institución filosófica
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Bettinger, Matthieu. "La politique contre l'objet : figures du sujet émancipé." Thesis, Strasbourg, 2015. http://www.theses.fr/2015STRAC023.

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Abstract:
Cette thèse a pour but d’interroger la pertinence des catégories d’objet et de sujet dans le champ politique, à la fois comme outils d’analyse, mais aussi comme support de l’action. Il s’agira ainsi de montrer que les objets, c’est-à-dire tout ce qui vient à occuper une place dans le champ politique, sont le produit d’une construction subjective, dont la mise en œuvre est à la fois individuelle et collective : le monde n’apparaît comme réalité d’objets qu’en tant qu’il est fixé à travers la perception humaine et le langage.Les processus de subjectivation seront alors envisagés selon le double critère d’opposition aux objets du monde, ou de leur utilisation stratégique. Le développement de cette thèse sera l’occasion d’adopter une approche pluri-disciplinaire : seront convoqués la psychanalytique, la philosophie, des écrits d’esthétique musicale, ainsi qu’une analyse théorico-historique de certains courants politiques, singulièrement le maoïsme chinois et sa réception française
The aim of this thesis is to question the relevance of object and subject categories in the political field, as tool for the analysis but also as props for action. The focus will be on showing that objects, namely, everything that comes to occupy a place in the political field, are the product of a subjective construction, which is carried out both individually and collectively : the world appears as a reality of objects only insofar as it is established through human perception and language.Subjectification processes will then be considered using the double criterion of opposition to world objects or of their strategic use. The central part of this thesis will afford the opportunity to adopt a pluridisciplinary approach : it will rest on psychoanalysis, philosophy, drawn mainly from the Works of J. Derrida and A. Badiou, writings on musical esthetics, as well as a theoretico-historical analysis of a few political movements, particularly Chinese Maoism and its French reception
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Lo, Sardo Antonella. "Le poste in gioco metafisiche della fenomenologia : una sequenza della fenomenologia francese contemporanea." Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040145.

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Abstract:
Dans le cadre complexe de la réception française des deux paradigmes phénoménologiques de Husserl et Heidegger et à partir d’une lecture critique de l'hypothèse herméneutique de D. Janicaud sur Le tournant théologique de la phénoménologie française contemporaine, la thèse se propose d’articuler quelques-unes des questions centrales d'une séquence de figures importantes du panorama phénoménologique français contemporain (Lévinas, Ricoeur, Derrida, Henry et Marion). A travers un parcours qui des apories de la subjectivité se déplace sur les paradoxes de la temporalité et les nouvelles configurations de la phénoménalité, la recherche présente une possible ouverture phénoménologique à l'une des instances métaphysique plus traditionnelles, à savoir, la légitimité de l'"accès" philosophique à Dieu. Tout en s'expectant des présupposés classiques de la théologie rationnelle et de l'onto-théologie, la thèse montre comment une nouvelle définition des dimensions différents de l'expérience (la subjectivité entre corporéité et langage, le temps entre perception et mémoire, la phénoménalité entre apparent et inapparent) analysées par les auteur français de la phénoménologie, puisse constituer le terrain où se confrontent et dialoguent les approches philosophiques de la phénoménologie et de la métaphysique. L'itinéraire de la recherche essaye finalement de signifier dans ce qu'on pourrait appeler un esprit phénoménologique français, les célèbres paroles de Heidegger selon lesquelles "la provenance dit toujours futur"
The research tries to deals with some crucial questions presented by a sequence of important figures of the French contemporary phenomenological context (Lévinas, Ricoeur, Derrida, Henry and Marion). The analysis is developed in dialogue with the composite background of the French reception of the two phenomenological paradigms, Husserl's and Heidegger's one and in a critic discussion of Janicaud hermeneutic thesis exposed in his famous pamphlet "Le tournant théologique de la phénoménologie française". Throughout a path that goes by the "apories" of subjectivity, the paradoxes of temporality and the new configuration of phenomenality, the research presents a possible phenomenological way to one of the most traditional metaphysical instances, i. E. , the legitimacy of a philosophical "access" to God. Revoking the classical presupposes of rational theology and of onto-theology, the work shows how a new definition of the different dimensions of experience (subjectivity between corporeity and language, time between perception and memory, phenomenality between apparent and unapparent), analysed by the French authors of phenomenology, could be the field in which the philosophical approaches offered by phenomenology and metaphysics, face one another and dialogue each other. Finally, the research trail tries to give a different meaning - pursuing a sort of typical French phenomenological spirit to the famous Heidegger's words according to which "the provenience says always future"
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Husson, Valentin. "Dieu ou le signe d'adieu : sur les signes de ponctuation de la grammaire de l'être : la pensée contemporaine face à Dieu et au temps." Thesis, Strasbourg, 2015. http://www.theses.fr/2015STRAC030.

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Abstract:
On aura essayé, dans notre période où des actes meurtriers sont commis au nom de Dieu, de réévaluer la compréhension de celui-ci dans la philosophie contemporaine de Kant à Lévinas. En effet, là où autrefois Dieu réglait le régime de signification de la vie et de la mort, jusqu'à déterminer le sens du sacrifice de cette vie, la philosophie contemporaine tente de dégager – c'était du moins notre thèse principale – un Dieu déceptif et non plus tout-puissant. Ce Dieu ne justifierait ainsi plus le sens de la vie, mais décevrait le sens de celle-ci en l'ouvrant non pas à la promesse d'une vie après la mort, mais à la finitude comme telle. Cette ouverture divine à la finitude, ouvre en cela même à des injonctions éthiques et politiques. Si « Dieu est mort », ainsi, c'est en tant que, dans sa mort, il ouvre également l'instant de la mort en général : la mienne et celle de l'Autre – a fortiori –, en intimant chacun et chaque autre à se veiller dans une Bien-veillance soucieuse de la mortalité d'Autrui. A la conséquence de quoi, on aura dernièrement voulu penser, contre notre tradition métaphysique patriarcale, non plus un Dieu-le-Père, mais un Dieu comme Mère, dont la maternité, selon Lévinas, serait accueil inconditionnel de l'Autre, responsabilité infinie pour sa vie et pour sa mort
We would have try, in our area where murderous acts are committed in the name of God, to reevaluate his understanding in contemporary philosophy from Kant to Levinas. In point of fact, there were formerly God solved the meaning regime of life and death, up to determine the sense ofthis life's sacrifice, the contemporary philosophy tempts to clarify - it is at the very least our mainthesis - a deceptive God ( Kant ) and neither all-mighty. This God thus wouldn't justify the meaning of life, but deceived it's meaning in opening it not to the promise of life after death, but to a finiteness as such. This divine opening to finiteness, opens in itself ethical and political injunctions. If "God is dead", so, it is a such that, is his death, he also opens the instant of death in general : mine and others - all the more so - ordering each and everyone to attend to a Good-attending, mindful of Other's morality. In the consequence of what, we would lately have wanted to think, asour metaphysic patriarchal tradition, not anymore a God-the-Father, but a God as a Mother, whosemotherhood, according to Levinas, would be an unconditional welcome of the Other, infinite responsibility for it's life and death
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Revel, Judith. "Différence et discontinuité dans la pensée de Michel Foucault : langage, histoire, subjectivité." Paris, EHESS, 2005. http://www.theses.fr/2005EHES0053.

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M. Foucault a tenté de fonder une véritable pensée du discontinu par la production d'un concept de discontinuité capable de rompre à la fois avec les philosophies du sujet et avec les modèles linéaires et téléologiques de l'histoire, et par une nouvelle histoire des systèmes de pensées qui enregistre l'historicisation de ses propres dispositifs d'objectivation. La pensée du philosophe étant elle-même discontinue, non linéaire et ancrée dans sa propre histoire, il fallait donc une nouvelle approche de l'oeuvre qui applique à M. F. Sa propre méthode d'historicisation. Le lien paradoxal entre discontinuité et histoire a été abordé à l'aide du concept de la différence, qui semble par ailleurs au coeur d'une tentative plus générale, dans la pensée française du second après-guerre, de définir les conditions de possibilité d'une pensée non-dialectique. La confrontation avec les pensées de Merleau-Ponty, Derrida et Deleuze, pour lesquels la question de la différence semble centrale, permet de faire l'hypothèse d'une problématisation commune où, pourtant, le rapport à l'histoire sous l'angle de la discontinuité fait éclater des divergences
M. Foucault has been trying to found a new way to think discontinuity through the production of a concept of discontinuity which might be able to break both with "philosophies of the subject" and the linear, teleological models of history, and conceiving a new history of the systems of thought which would warrant the historicization of its own process or objectivation. Foucault's philosophy is discontinuous, non linear and obviously rooted in its own history. A new approach of his work was thus wanted in order to read Foucault with its own method of historicization. The paradoxal link between discontinuity and history has been approached through a second concept, "difference", which appears to be central in French thought after 1945, associated with a larger attempt to formulate the possible conditions of a non-dialectical thought. Foucault's neglected dialogue with Merleau-Ponty, Derrida and Deleuze's works, to whom such a topic has been central, suggests to formulate a new hypothesis : there has been among them a common problematization of difference, but the relation to history and discontinuity has underlined the singularity of each singl philosophical choice
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Gosselin, Sophie. "Le toucher du monde : les techniques du naturer." Thesis, Strasbourg, 2015. http://www.theses.fr/2015STRAC012.

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A un moment où le projet anthropotechnique semble s'imposer à travers l'avènement du paradigme technoscientifique et l'implantation généralisée des technologies du code, l'enjeu consiste à interroger et à mettre en crise la soudure métaphysique entre anthropos et techné en repensant la question de la technique par-delà le partage entre Nature et Culture. Dans cette perspective, il ne s'agit plus de penser LA Technique comme ce qui vient s'opposer à une Nature prédonnée pour instituer le règne instrumental d'une humanité coupée du mouvement cosmique, mais au contraire des modes techniques différenciés, autant de manières d'articuler des trames d'espace et de temps, c'est-à-dire des expériences sensibles. Ces modes d'articulation ne répondent pas du pouvoir ni de la volonté de l'Homme mais s'ouvrent depuis l'écart sensible et mouvant du naturer, écart événementiel qui échappe à toute tentative de capture
At a time of the increasing dominance of anthropotechnic, with the advent of the technoscientific paradigm and the generalised introduction of digital technology, the challenge consists in questioning and disrupting the metaphysical bond between anthropos and techné by reconsidering the issue of technique beyond the division between Nature and Culture. From this perspective, the problem is no longer to see Technique in opposition to a pre-given Nature, opposition which allows the establishment of the instrumental reign of mankind cut off from the cosmic process. The question is to view different technical modes as ways to articulate weaves of space and time, that is as sensitive experiences. These modes of articulation do not depend on the power or the will of Man, but emerge from the sensitive and moving difference of 'naturing', a difference which escapes from any attempt to capture it
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Nagasaka, Masumi. "La foi dans la méfiance : "la possibilité de l'impossibilité" chez Derrida, à travers sa lecture de Husserl, Heidegger et Levinas." Phd thesis, Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00927776.

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Abstract:
Cette recherche se consacre à l'examen de la formation de la notion de foi, formulée comme "possibilité de l'impossible" dans la philosophie de Derrida. Cette notion, décrite sous plusieurs exemples concrets tels que "pardon", "don", "promesse" ou "témoignage" dans sa dernière philosophie, a néanmoins sa source dès le commencement de sa philosophie. La notion de foi n'est pas identifiable à celle de religion - bien qu'elle en soit l'une des sources -, et signifie plutôt un dépassement de la limite du savoir. Afin d'esquisser la formation de ce concept, notre recherche se concentre sur son développement dans la lecture derridienne de Husserl, Heidegger et Levinas. Derrida met en question leurs distinctions philosophiques, à savoir, la distinction husserlienne entre la réalité et l'idéalité, la distinction heideggerienne entre l'étant et l'être et la distinction lévinassienne entre l'être et l'au-delà de l'être. Au moment même où il tente de suivre ces distinctions d'une manière stricte, Derrida découvre des points dans lesquels il devient impossible d'accomplir ces distinctions. Dans cette impossibilité, les trois auteurs prennent, selon Derrida, leurs décisions au sein de l'indécidabilité. La foi en question n'est rien d'autre que cette croyance en les distinctions. En observant ainsi rétrospectivement cette problématique, notre recherche tente de montrer que la notion de foi est une conséquence inhérente de la déconstruction, pratiquée comme l'expérience de l'impossible.
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Huang, Hai Rong. "Du "piège" de la rhétorique à la critique de la critique : la pensée occidentale de la rhétorique de Friedrich Nietzsche à Jacques Derrida, Michel Foucault, Paul de Man et Roland Barthes." Thesis, Paris 3, 2009. http://www.theses.fr/2009PA030091.

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Abstract:
Cette étude est consacrée à la critique contemporaine occidentale de la rhétorique initiée par la critique nietzschéenne de la philosophie métaphysique. La rhétorique se présente comme une remise en cause et une ré-vision profonde et radicale de la nature du langage lui-même, et par la suite, de tous les aspects de la vie sociale et culturelle. Cette étude traite principalement de la pensée rhétorique chez quatre penseurs, Jacques Derrida, Michel Foucault, Paul de Man and Roland Barthes. Dans leurs héritage commun et leur critique de l'approche critique nietzschéenne, ils ont mis en lumière une double nature de la rhétorique : celle-ci non seulement caractérise le mécanisme de la métaphysique, mais aussi conduit tout usage du langage, y compris le discours critique, à un « piège » de déconstruction. Dans leur exposition de la nature et du mécanisme de la rhétorique, ils ont consacré leurs efforts, d'une part, à la réfutation d'une conception aristotélicienne du langage et de la rhétorique; et d'autre part, à une critique d'un certain aveuglement dont faisaient preuve les critiques de la métaphysique. Leur pensée critique sur la rhétorique se résume alors à deux questions: qu'est-ce que la nature de la rhétorique et à partir de là, du langage ? Comment la pensée critique — sur celle-ci et avec celle-ci — est-elle possible ? S’engageant dans une double tâche — une critique (démystification) et une auto-critique — la pensée critique se transforme alors à une « critique de la critique » en tant qu'une réflexion sur la limite de la pensée critique elle-même. C'est-à-dire, une critique — dans le sens kantien du mot — de l'[im]possibilité de la pensée rationnelle. Notre étude se concentre alors sur deux points : premièrement, la nature de la rhétorique telle que l'expose chacun de ces penseurs depuis sa propre perspective intellectuelle. Deuxièmement, la stratégie critique proposée et employée par chacun d'entre eux
This thesis is a study of the contemporary Western critical approach to the problem of rhetoric pioneered by Nietzsche, in which rhetoric presents itself as a profound and radical questioning as well as a re-vision of the nature of language itself, and consequently of all aspects of social and cultural life. This study mainly addresses the rhetorical thinking of four critics — Jacques Derrida, Michel Foucault, Paul de Man and Roland Barthes — who, in their common inheritance from and critique of Nietzsche’s own critical approach, have revealed a dual-nature of rhetoric which not only characterizes the mechanism of metaphysics, but also inevitably enmeshes all human thinking — including critical thinking — in a trap of deconstruction. This double-edged character of rhetoric sets a dual-task for critical thinking: an endless criticism [demystification] and self-criticism. Critical thinking thus turns out to be a “critique of criticism” as a reflection on the limit of critical thinking itself, that is, a critique — in the Kantian sense of the word — of the [im]possibility of rational thinking. Accordingly, this study focuses on two points: firstly, the dual-nature of rhetoric as expounded by each one of the critics from his specific intellectual perspective; secondly, the strategy for critical thinking proposed and employed by each of them
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Rowner, Ilai. "Ecriture corporelle : Théorie des événements littéraires." Paris 7, 2012. http://www.theses.fr/2012PA070008.

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Abstract:
L'objectif principal de cette étude consiste à examiner le concept d'événement, en tant qu'objet privilégié de la pensée philosophique et en particulier à l'égard du texte littéraire. A travers le travail de Heidegger, Blanchot, Derrida et Deleuze, cette recherche présente une nouvelle méthode de penser l'événement du texte littéraire, à la fois en mettant en question l'essence de la création littéraire et en élaborant les fondements d'une nouvelle approche critique de l'œuvre littéraire. La première partie est consacrée à étudier l'événement comme un tiers ontologique qui pourrait clarifier ce qui génère et relie le cours même de ce qui se produit et le fait même de la production du langage. Dans la seconde partie, nous examinerons d'abord la façon dont l'écriture littéraire considère le statut de l'événement à la différence de l'historiographie ou de la narratologie. Dans les derniers chapitres de cette étude, nous appliquerons ces développements théoriques à l'analyse de deux passages littéraires portant sur le bombardement de Paris : le premier tiré du Temps Retrouvé de Marcel Proust, le deuxième de Féerie Pour Une Autre Fois de Louis Ferdinand Céline. Nous verrons que ces situations historiques et thématico-narratives sont en fait travaillées par ce que nous appelons une écriture corporelle : une écriture où le virtuel défait sans cesse l'actuel, où il se produit une dissimilitude immanente entre corps et image. Ce n'est qu'à cet instant que la déformation créative de l'événement se déclare et se relance : la dispersion et la multiplicité qui y sont en état de devenir
What is literature's approach to the event? How does literature produce and give testimony to events? The event is generally defined in this study as any occurrence, real or fictional, within a singular verbal work. The event is that which obviously comes about, yet in its very essence the event comprises a dimension of inexhaustibility, an unknown element that refuses perception and appropriation, and that constructs and depends on the creative engagement of the stylistic and fictional work. Reading Heidegger's later writings and discussing his reception by French thinkers such as Blanchot, Derrida, and Deleuze, my study defines the act of literary creation as a progression towards the event and, most particularly, as the experience of the un-happening element within the happening. As I argue, while the event incessantly acts in the literary work as an unprecedented call for absolute creation, literature offers the evasive voice and image of the non-place within the taking place. My study demonstrates how these theoretical premises may be applied to actual literary works by analysing Marcel Proust's and Louis Ferdinand Céline's air raid passages in Le Temps Retrouvé (1927) and in the first book of Féerie Pour Une Autre Fois (1953) respectively. In these passages, the experience of literature—as both an act of writing and reading—becomes the vital move of the event itself: the more one surrenders to the violent and impersonal corporeality of the event, the more the work becomes "the offspring of the event," as Deleuze joyfully remarks (Logique du Sens, 1969)
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Lefebvre, Denys. "Et Hamlet, et Faust, et Punch, et la déconstruction et-- etc. : mise en implication de la déconstruction derridienne et de certains de ses concepts constitutifs dans le processus d'écriture textuelle et scénique d'une oeuvre de théâtre multidisciplinaire." Mémoire, 2006. http://www.archipel.uqam.ca/2972/1/M9334.pdf.

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Abstract:
Ce texte d'accompagnement a pour but de rendre compte de l'expérimentation de la mise en implication de la déconstruction derridienne et de certains de ses concepts constitutifs dans le processus de mise en chantier de deux sphères fondamentales de l'activité théâtrale, soit l'écriture du texte et la mise en scène, à partir de matériaux textuels existants. Ce mémoire cherche donc à témoigner de la trace de la déconstruction et de l'espace que celle-ci a occupé dans le processus de réécriture et d'adaptation de trois oeuvres (Hamlet, Faust et Punch) ainsi que dans le processus d'élaboration de la mise en scène de cette adaptation. Cette adaptation sous forme de lecture croisée et ce compte rendu de la trace qu'occupe la déconstruction dans notre processus de création sont précédés d'une étude non-exhaustive de la déconstruction comme concept philosophique général, puis comme protocole de lecture et enfin en tant que possible principe moteur à la création d'une oeuvre théâtrale multidisciplinaire ou pluridisciplinaire. Pour réaliser l'étude, Derrida (l'homme et le philosophe) et le parcours de sa pensée à travers ses oeuvres sont au préalable présentés. Puis, la déconstruction est définie de manière générale, ensuite précisée en fonction de son contexte théâtral d'utilisation, et enfin disséminée en neuf concepts ou groupes concepts constitutifs jugés essentiels à l'expérimentation : le joint et le dis-joint, la marge, la trace, la ruine, le texte, la différance, la spectralité, le cadre et la signature. Dans ce document, certaines hypothèses découlent de l'emploi de ces concepts dans le processus d'écriture (ou de réécriture) dramaturgique et de mise en scène, la principale étant que la déconstruction, par le protocole de mise en lecture qu'elle implique, oriente la création en s'avérant génératrice de nouvelles écritures, donc libératrice de nouveaux sens. Il va de soi qu'elle engage une certaine responsabilité du créateur face aux oeuvres qu'il déconstruit, c'est-à-dire non pas celle de la relecture, mais bel et bien celle de la lecture, de la lecture active et responsable, propice à la création d'une oeuvre de théâtre transdisciplinaire. L'utilisation de l'exemple déconstructionnisté de Glas de Jacques Derrida comme expérience d'analyse et d'écriture en lecture croisée contribue également à l'encadrement de l'expérimentation d'un point de vue formel. Le texte Et cetera de Derrida servira quant à lui de guide idéologique à notre définition de la déconstruction derridienne. Afin de définir et de cerner plus avant la déconstruction derridienne, ses concepts constitutifs et leurs possibilités de mise en influence sur le processus d'écriture (ou de réécriture), qu'il soit dramaturgique ou scénique, les travaux de plusieurs auteurs comme Marc Goldschmit, Stratos E. Constantinidis, Nathalie Roelens, Peter Brunette, David Wills, Béatrice Picon-Vallin, André Green, André Dabezies et bien sûr Derrida lui-même (avec principalement Glas et Et Cetera) serviront d'assises théoriques à l'analyse. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Derrida, Déconstruction, Hamlet, Faust, Punch, Théâtre multidisciplinaire, Interdisciplinarité.
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