Academic literature on the topic 'Derrida, Jacques (1930-2004) – Philosophie de l'histoire'

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Journal articles on the topic "Derrida, Jacques (1930-2004) – Philosophie de l'histoire"

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Halpern, Catherine. "Jacques Derrida (1930-2004). La subversion pour philosophie." Sciences Humaines N° Hors-série, HS11 (January 6, 2022): 42. http://dx.doi.org/10.3917/sh.hs11.0042.

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Bachelot, Luc. "L’invisible du visible." Cadernos do LEPAARQ (UFPEL) 14, no. 27 (June 29, 2017): 89. http://dx.doi.org/10.15210/lepaarq.v14i27.10106.

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Abstract:
Ce travail tente une analyse ontologique de l’image visant à expliquer son omniprésence dans l’histoire de l’humanité. En effet, il n’existe pas de société qui ait ignoré les images. Même celles qui les ont condamnées avec vigueur, en agissant ainsi, ne faisaient que souligner l’importance qu’elles leur accordaient.Les images ont donc suscité des passions aussi bien négatives (condamnation théorique, interdiction pratique, iconoclasme, etc.) que positives (amour des images, de la représentation, etc.). On défend ici l’hypothèse que ce qui est au fondement de l’image, c’est sa capacité à faire le lien entre le visible (ce qui sedonne effectivement à voir dans l’image) et l’invisible (tout ce qui ne s’y voit pas, mais vers lequel on se tourne pour interpréter). En effet, aucune description aussi détaillée qu’elle puisse être n’en épuise la signification. C’est dire que ce qui n’est pas dans l’image compte autant, sinon plus, que ce qui s’y trouve. Pour étayer cette démonstration, on s’appuie à la fois sur la très suggestive documentation de la Mésopotamie ancienne et sur certaines créations emblématiques de l’art contemporain à la lumière de deuxdes courants de pensée qui ont marqué le XXe siècle, la psychanalyse et la philosophie de Jacques Derrida (1930-2004).
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Dissertations / Theses on the topic "Derrida, Jacques (1930-2004) – Philosophie de l'histoire"

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Delvaux, Amaury. "Défaire le sens de l'histoire : Archéologie et Déconstruction." Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2018-2021), 2020. http://www.theses.fr/2020LILUH042.

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Abstract:
Cette thèse prend pour objet et point de départ le débat entre Michel Foucault et Jacques Derrida afin de proposer une vision originale des rapports entre leurs réflexions respectives durant les années 60. Notre travail cherche à montrer de quelle manière l’archéologie et la déconstruction partagent sur le « concept » d’histoire un important nombre de points d’accord. Il commence par relever que l’objet principal de la querelle Foucault – Derrida est moins la fonction de la folie dans l’économie du discours cartésien que l’essence de l’histoire. À travers les œuvres de Foucault et de Derrida publiées durant les années 60, on a tenté d’établir la discussion implicite mais soutenue de ces deux auteurs autour de la conception de l’histoire. Dans un premier temps, nous avons tenté d’établir le concept d’histoire avec lequel Derrida abordait l’Histoire de la folie de Foucault. Par ailleurs, nous avons tenté de mettre en exergue la manière dont l’ouvrage Les mots et les choses proposait implicitement une réponse de taille à la lecture derridienne de la première méditation et permettait d’en pointer le caractère anachronique. Dans un second temps, on traite de la manière dont Foucault a cherché à s’opposer à cette histoire continue défendue par la tradition hégélienne et husserlienne. Pour ce faire, nous avons étudié en profondeur l’analyse de l’énoncé et des formations discursives qui soutient l’histoire discontinue. Dans un troisième temps, nous avons mis en exergue comment Derrida s’attaque également au cœur de cette histoire continue qu’il opposait pourtant à l’archéologie foucaldienne. En conclusion, nous suggérons que Derrida aurait pu trouver en l’archéologie foucaldienne un « concept » d’histoire qui ne reconduit pas la métaphysique de la présence qu’il s’évertue de déconstruire à la fin de l’année 1964
This thesis is about the famous debate between Michel Foucault and Jacques Derrida. The aim is to propose a new vision of the relation between their respective thoughts during the 1960s. More precisely, our analysis tries to build a discussion between Foucault and Derrida by focusing on the problem of (the) History in their own works. Actually, the real subject of their debate is less the function of madness in the Cartesian discourse than the essence of history. Through the works of Foucault and Derrida published during the 1960s, an implicit but persistent discussion between the two authors about the problem of history can be built. Firstly, our text attempts to establish the conception of history mobilised by Derrida in his reading of Foucault’s book Madness and Civilization. Furthermore, it underlines the way The Order of Things suggests a solid response to the Derridean interpretation of Descartes’s first meditation and reveals its anachronistic aspect. Secondly, it addresses the fashion which Foucault wishes to distance himself from for the continuous history sustained by the Hegelian and Husserlian tradition. In order to do this, it was absolutely necessary to understand correctly the discourse’s analyses that underpin the discontinuous history. Thirdly, our text highlights how Derrida dismantles the core of the continuous history which he mobilises against the Foucauldian archaeology. In the conclusion, our text suggests that archaeological history could have been the “concept” of history that the Derridean deconstruction has been searching after 1967
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Thorsteinsson, Björn. "La question de la justice chez Jacques Derrida." Paris 8, 2005. http://www.theses.fr/2005PA082488.

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Abstract:
La déconstruction est la justice : affirmation surprenante, avancée par Jacques Derrida dans une conférence en 1989. L'objectif ultime de la thèse ici en question revient à l'élucidation de cette égalité. La tâche ainsi définie s'est avérée appeler, en premier lieu, une étude détaillée de ce qui s'appelle, chez Derrida, " la différance " ; en second lieu, une analyse de " la déconstruction " ; en troisième lieu, une mise en scène de la relation intime et complexe qu'entretient la pensée de Derrida avec la philosophie, surtout en tant qu'entreprise systématique et dialectique ; et, en dernier lieu, un rétablissement du contexte à l'intérieur duquel se pose le rapport entre déconstruction et justice. Cette étape finale de l'exposé s'est révélé commander une explication nuancée de la différence entre Derrida et Heidegger au sujet de la temporalité. Il y va d'une certaine disjointure du temps, sans laquelle il n'y aurait pas de justice
In a lecture given in 1989, Jacques Derrida made the somewhat surprising declaration that “deconstruction is justice”. The main objective of the thesis in question can be formulated as the elucidation of this equivalence. Thus defined, the task turned out to demand, first, a detailed study of what is called, in Derrida's writings, “différance”; second, an analysis of “deconstruction”; third, a re-enactment of the intimate and complex relation between Derrida and philosophy, particularly in its systematic and dialectic form; and lastly, an investigation into the context in which the relation between deconstruction and justice appears. This final phase of the exposition turned out to necessitate a thorough investigation of the difference between Derrida and Heidegger with regard to temporality, the focal point of which is the so-called disjointure of time – without which there would be no justice
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Biset, Emmanuel. "Violencia, justicia y política : una lectura de Jacques Derrida." Paris 8, 2009. http://www.theses.fr/2009PA083079.

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Abstract:
Ce que la thèse essaie de montrer est qu'il existe une "tension" dans les textes de Derrida entre violence et justice. Que, bien que dans l'une ou l'autre étape on mette l'accent sur des choses différentes, la dite tension n'est jamais résolue. Il est possible d'établir des liens avec d'autres tensions de la pensée politique, même avec quelques-unes travaillées par l'auteur lui-même comme celle qui a lieu entre Lévinas et Kant. Il n'est pas le cas d'établir ici ces multiples rapports, mais d'indiquer que quand l'accent est mis sur la violence ou sur la justice, des sens différents de la coappartenance sont configurés. Si l'implication réciproque de philosophie et politique acquiert une nouvelle signification, la philosophie, la politique et le lien qui les unit sont redéfinis. Le déplacement d'accent montre, en fin de compte, une tension entre les façons de penser la coappartenance. Cette tension a été l'hypothèse de lecture proposée. Hypothèse qui est très importante quand on la replie sur les présupposés d'où part la thèse. En dernier ressort, la tension développée dans la thèse montre que face à l'absence de fondements on étend le politique jusqu'à ce qu'il occupe un lieu structural, mais pour cette même raison le problème du comment de cette politique surgit. Le retour du politique est concomitant de la réapparition du problème de la justice. Et si la thèse commençait avec une incommodité, non réductible au problème, c'est parce que la difficulté d'articuler une pensée sur le politique - sur le vivre-ensemble - qui aborde le comment de l'excédent y apparaissait. La tension entre violence et justice, celle qui a été parcourue dans et par la thèse, est une façon d'habiter cette incommodité qui initiait la thèse
The object of this writing presents an hypothesis of lecture of Jacques Derrida philosophy. Because of this, the text presents the general result of a major investigation about Derrida's reading. This has two objectives: first, to point out the different shades that Derrida'philosophy acquires throughout time; second, to show that this shades suggest a tension between an irreductible violence and a irreductible hospitality; third, insert this tension inside specific discourse tradition: the political philosophy
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Ruff, Pierre-Yves. "Derrida, l'ecriture et la place de l'autre." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 1996. http://www.theses.fr/1996STR20053.

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Abstract:
Cette these est, d'emblee, un parcours de lecture ou une traversee. Le propos n'est pas de degager des "contenus" de pensee, places sous la signature de derrida. Il s'agit bien plutot - dans la mesure ou ce serait possible - d'oeuvrer a l'interieur du texte de derrida, a la facon dont lui-meme aborde les ecrits qu'il lit, cela implique une attention minutieuse a l'ecriture et, en ce cas precis, la revendication d'une proximite mimetique parfois vertigineuse. Deux chapitres, eux-memes divises en paragraphes, faconnent a eux seuls l'architecture singuliere de la these. Le premier conduit de la "fin du livre" a l'estompement s'annoncant sous la rature; le second tente un nouveau depart, et conduit jusqu'a l'imminence de la venue de l'autre. Ces deux chapitres sont ainsi les deux versants incurves d'un parcours singulier, lequel est avant tout la marque d'une reconnaissance, le signe sans signature d'une marche reglee sur le pas de l'autre: derrida
This thesis is, first of all, a journey through or across derrida's work. Its purpose is not to untangle the "content" of the thought signed derrida. It aims rather - in so much as it is possible - to work within derrida's text in the same way he himself approaches the works that he reads. This implies a close attention to writing and in this particular case demands an approximate if at times vertiginous textual mimesis. Two chapters themselves divided into paragraphs alone form the uncommun architecture of the thesis. The first one leads from the "end of the book" to the blurring which becomes apparent under the erasure; the second one attempts a new departure under the title of the call and leads to the imminent arrival of the other. Thus, these two chapters are the two curved slopes of a single journey, which is above all the mark of a recognition, the unsigned sign of a trajectory accomplished in the pas of the other derrida
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Contreras, Guala Carlos. "Éthique et politique dans l'œuvre de Jacques Derrida." Paris 8, 2008. http://octaviana.fr/document/145514641#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract:
Nombreux sont les auteurs qui s'accordent à penser que la seconde moitié du siècle qui vient de s'écouler apparaît stigmatisée par la tendance à un certain désintérêt pour les domaines éthique et politique. C’est ainsi que la déconstruction a été taxée d'immoralité et d'irresponsabilité. Cependant, quelques lecteurs ont abordé directement les relations entre politique, éthique et déconstruction dans le but d'apporter la lumière sur ces relations. En général, ces derniers postulent qu'il y aurait un tournant, un ethical and political turn dans l'œuvre derridienne. Face à ces problèmes, il s'agit de montrer, d'une part, que la dimension politique et éthique est présente dans l'œuvre de Jacques Derrida et, d'autre part, que s'il y a certes des implications éthico-politiques dans les écrits derridiens, celles-ci ne configurent pas un turn ; il s'agirait plutôt de l'évolution dans le développement d'une pensée engagée dans les apories de l'éthico-politique. La Première partie traite des difficultés que présente l'écriture de Derrida pour tout lecteur qui s'aventure dans ses textes. La Deuxième partie est consacrée au développement des notions de responsabilité, décision, justice et de ce que nous appellerons structure aporétique de la déconstruction. La Troisième partie s'intéresse à la relation entre littérature et démocratie. Dans la Quatrième partie, nous ferons un examen de la notion d'engagement moyennant une plongée dans les concepts de responsabilité, de décision et dans les opinions de Derrida sur les media. Enfin nous tenterons de proposer une approche des concepts d'éthique et de politique, et de la nécessité de la déconstruction pour pouvoir penser les conditions de la possibilité – et de l'impossibilité -, de ces concepts
Many authors agree that the second half of the 20th century seemed to be marked by a certain disinterest in the ethical and political arenas. That is why Deconstruction has been accused of immorality and irresponsibility. However, when reading Derrida's Deconstruction texts, some specialists have attempted to discover and reveal the relationships he established between politics, ethics, and Deconstruction. These specialists claim that there is an ethical and political turn in Derrida's work. In this thesis, we propose, firstly, that both politics and ethics are present in Derrida's work. Secondly, that if there are any ethical and political implications in Derrida's writings, they would not constitute a turn but an evolution of a way of thinking actively involved in ethical and political aporias. In the first part, we present the difficulties any reader might encounter when reading Derrida. The second part is devoted to the development of concepts such as responsibility, decision, justice and what we call Deconstruction's aporetic structure. The third part deals with the relationship between literature and democracy. In the fourth part, we examine the notion of involvement through the concepts of responsibility, decision, and Derrida's opinions about the mass media. Finally, we explore the concepts of ethics and politics and also the necessity for Deconstruction when thinking about the conditions of possibility and impossibility of those concepts
Muchos autores coinciden al afirmar que la segunda mitad del siglo recién pasado aparece marcada por la percepción de cierta despreocupación por el ámbito ético y político. Es así que la desconstrucción ha sido acusada de inmoralismo e irresponsabilidad. Sin embargo, también ha habido ciertos lectores que abordan directamente las relaciones entre política, ética y desconstrucción con el propósito de revelar y exponer dichas relaciones. En general, estos últimos lectores postulan que habría un ethical and political turn en la obra derrideana. Frente a estos problemas se pretende plantear, por una parte, que el problema de lo político y lo ético en la obra de Jacques Derrida está presente y, por otra parte, que, en efecto, si hay implicancias ético-políticas en los escritos derrideanos, éstas no se configurarían como un turn, sino que se trataría más bien de la evolución de un pensamiento comprometido en las aporías de lo ético-político. La Primera Parte se presentan las dificultades que plantea la escritura de Jacques Derrida ante cualquier lector que se aventure en sus textos. La Segunda Parte está consagrada al desarrollo de las nociones de responsabilidad, decisión, justicia y de lo que llamaremos estructura aporética de la desconstrucción. La Tercera Parte se ocupa de la relación entre la literatura y la democracia. La Cuarta Parte hará un examen de la noción de compromiso a través de una revisión de los conceptos de responsabilidad, decisión, y de las opiniones de Derrida a propósito de los media. Por último, intentamos una aproximación a los conceptos de ética y política, y a la necesidad de la desconstrucción para poder pensar las condiciones de posibilidad – y de imposibilidad –, de dichos conceptos
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Hong, Qiaoyun. "Déconstruction et démocratie chez Jacques Derrida." Thesis, Paris 1, 2020. http://www.theses.fr/2020PA01H203.

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Abstract:
Notre étude vise à montrer comment Derrida pense la démocratie à travers la démarche qui lui est propre et singulière de la déconstruction. Notre philosophe présente ses idées sur la démocratie à partir du concept de l’amitié qui, selon lui, donne le modèle de la relation juste entre les humains. On peut dire qu’il cherche à repenser le fondement du politique par ce concept de l’amitié à travers un travail d’héritage, de critique, de rejet parfois, et enfin de déconstruction. Derrida commence à déconstruire le concept de l’amitié par une citation : « O mes amis, il n’y nul ami. », et à partir de là, il met en évidence et questionne une série d’apories sur l’idée de l’amitié dans l’histoire philosophique. Ensuite, on voit que l’idée de l’amitié repensée par le travail de déconstruction chez Derrida s’attache à la survivance qui dépasse la mort devant le deuil. L’amitié s’ouvre alors vers l’avenir à travers la théorie derridienne de la trace et de la différence qui est liée au déplacement de l’espacement et de la durée. En même temps, Derrida évoque la possibilité de penser l’amitié à partir de son contraire, y compris de convertir l’ami en ennemi, il scrute ainsi sur le plan éthique le rapport politique ami / ennemi pour le repenser selon l’exigence de la justice. Pour cela, il introduit l’idée de l’autre et de l’hospitalité. La thèse se termine sur l’importance du concept de l’autre chez Derrida qui est lié dans sa philosophie avec le thème de l’hospitalité, afin de développer sa théorie politique autour de la « démocratie à venir »
Our study aims to show how Derrida thinks of democracy through deconstruction which is his own and unique approach. Our philosopher presents his thinking on democracy from a concept of friendship which, according to him, gives the model of the just relationship between human. We can say that he seeks to rethink the base of politics with this concept of friendship through a work of inheritance, criticism, sometimes rejection, and finally deconstruction. Derrida begins to deconstruct the notion of friendship through a quote: “O my friends, there is no friend.”, and from there, he emphasizes and queries a series of contradictions on the idea of friendship in philosophical history. The concept of friendship rethought by the work of deconstruction in Derrida connects to the idea of surviving which goes beyond death in relation with mourning. Friendship then opens a door to the future, through the Derridian theory of the trace and the différance which is linked to the movement of spacing and duration. At the same time, Derrida evokes the possibility of thinking friendship from its opposite, including converting the friend into enemy, he thus scrutinizes the political relation friend / enemy on the ethical plan to rethink it according to the requirement of justice. For this, he introduces the idea of the other and of hospitality. The thesis ends on the importance of the concept of the other in Derrida which is linked with the theme of hospitality in his philosophy, in order to develop his political theory around the “democracy to come”
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Siscar, Marcos. "La métaphore révolutée : la question des genres dans les textes de Jacques Derrida." Paris 8, 1995. http://www.theses.fr/1995PA081039.

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Abstract:
L'approche esthetique et politique de l'oeuvre de jacques derrida est souvent determinee par l'inscription prealable de ses textes dans le champ de l'opposition generique entre litterature et philosophie. Le rapport de derrida a la theorie du genre (qui s'elabore a partir du traitement donne a la "rhetorique", a la "forme", au "style") montre que ce dont il est question chez lui c'est deja la possibilite d'une telle theorie. L'analyse de glas, de la carte postale et de circonfession nous permet de dire que cette possibilite est soumise a la tension d'un rapport a l'autre, tension traitee chez derrida plutot comme "ton" que comme style, plutot comme resonance que comme simple adequation mimetique. Il n'y a pas simplement une "appartenance" mais la dramatisation d'une "participation" a la generalite du genre, soumise a des lois toujours singulieres. Derrida dramatise ainsi l'experience de la responsabilite comme consideration aporetique d'une ecoute a l'appel de l'autre, selon une logique ou une rhetorique qui reste neanmoins abyssale. On peut dire que l'auteur relit la tradition a travers la problematique de la tension tonale, mais il prend aussi sa part dans la metamorphose de cette tradition en donnant a entendre l'importance d'un changement de ton
A prior consideration of jacques derrida's work in keeping with the opposition of genres (litterature or philosophy) determines on many occasions the aesthetic and political meaning of his texts. Il would be more appropriate to affirm that the dramatization of such theory's possibility is the element that could distinguish his writing and his thinking. Analyses of rhetoric and style in glas, la carte postale and circonfession show us that tension is better described as "tone" than style, better as resonance than mimetic correspondence. There is an instable "participation" and not a neutral "belonging" to generality of genre. It is the manner in which derrida reads tradition and the manner in which he participes in tradition, in order to experiment another inflexion of the usual tone of metaphysics
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Horváth, Eszter. "Deleuze, Derrida : la doublure de la différence." Paris 8, 2005. http://www.theses.fr/2005PA082693.

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Abstract:
Le travail présenté est une tentative pour penser ensemble dans une sorte de dialogue deux philosophies emblématiques de la différence, celles de Gilles Deleuze et de Jacques Derrida, afin de mettre à jour, conformément à l’hypothèse explorée par le mémoire de thèse, une ontologie théâtrale impliquée par la différence. Cette rencontre semble répéter une scène platonicienne, celle de la mimésis, celle justement de la proximité absolue du double. Distinguer entre la bonne et la mauvaise répétition, la répétition et la représentation, la différence et la répétition, la différence et la différance – telle est la tâche infinie, l’héritage platonicien des philosophies de la différence. Les philosophies de Deleuze et de Derrida s’inscrivent dans l’histoire des doubles inséparables, de la doublure en soi, en tant qu’elle est histoire de la mimésis, de la répétition, de la représentation, de la différence donc. On ne parviendra jamais à distinguer entre différence et différance. Tout comme on ne parviendra jamais à faire la différence entre répétition et représentation, ou bien entre parole et écriture, entre théâtre et cinéma – Deleuze et Derrida jouent dans tous ces registres la même scène platonicienne. Grâce à la déconstruction de l’héritage nietzschéen de la répétition et celui platonicien de la mimésis, la différence devient le principe actif par excellence, le sujet même de la philosophie. Penser, donc, revient à déconstruire et reconstruire le sujet de la philosophie. C’est ici que les deux philosophies de la différence se touchent : dans l’image du penseur. Mon travail dans cette thèse a consisté à repenser la différence en tenant compte du penseur qu’elle exige, de la personne pré-individuelle et impersonnelle qui la pense, qui joue le rôle principal dans le jeu de la différence. Cela revient à penser ensemble les héritages cartésien et bergsonien de Deleuze, et ceux freudien et lacanien de Derrida. Et après tant de différences, les images du penseur se mettent à coïncider chez les deux philosophes en ce point : l’origine de la pensée comme surgissement d’abord du Je qui pense depuis l’origine, c’est-à-dire depuis la limite inconsciente du sujet impersonnel et pré-individuel. Même si, pré-individuelle et impersonnelle, vide ainsi qu’elle l’est, cette ultime instance de la pensée garde les traits d’une personne qui deviendra capable de dire Je. Elle sera bien représentable, et le fou, le schizo, le mime, l’acteur, en seront l’image.
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Moati, Raoul. "Le double problème de l'intentionnalité et des actes de langage dans la pensée de Jacques Derrida." Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010698.

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Abstract:
Le présent travail de thèse de doctorat prend pour objectif d'élucider l'articulation de l'intentionnalité aux actes de langage dans la pensée mise en oeuvre par Jacques Derrida travers la rencontre de la philosophie de la déconstruction avec celle du langage ordinaire. Une telle exploration permet du point de vue historique ainsi que du point de vue conceptuel de démentir la réprobation unilatérale formulée par J. R. Searle des thèses de la déconstruction à l'endroit de la philosophie du langage ordinaire de J. L. Austin, tout en proposant d'établir le plus rigoureusement possible les limites interprétatives et théoriques de la réappropriation par Derrida, et la tradition qui se réclama de celle-ci, des enjeux de la philosophie du langage ordinaire concernant les relations qu'entretient la question des actes de langage à celles de l'intentionnalité et de la signification. Pour ce faire, une première partie vise à démontrer l'ancrage intentionnaliste profond de la pensée de Jacques Derrida, inf1uençant l'émergence théorique du thème de la (déconstruction» comme tel. On cherche à montrer dans une deuxième partie, l'existence de lignes de convergence conceptuelle entre les motivations qui conduisent Derrida de la ( phénoménologie» à la {( déconstruction» et J. L. Austin à la mise au jour de la philosophie du langage ordinaire. Pourtant, malgré les affinités théoriques incontestables que nous mettons en lumière, il nous faut montrer dans une troisième partie, comment le poids de la tradition phénoménologique et la radicalisation décisive de certains de ses thèmes, amène Derrida à ériger l'intentionnalité en un concept constitutif, prise de parti théorique qui conduit inévitablement la pensée de Derrida à la reproduction inversée des préjugés nourris par « l’ illusion descriptive» dénoncée par J. L. Austin, et dont la critique systématique définit le coeur même de la démarche adoptée par la philosophie du langage ordinaire, avec Austin et au-delà de lui. L'appropriation des thèmes de la philosophie du langage ordinaire par Derrida ne pouvait alors manquer de nous apparaître comme une première étape sur le chemin de la levée du descriptivisme, laquelle demeure l'objectif de toute démarche philosophique impliquée, comme l'est la déconstruction dérridienne, dans la déprise conceptuelle de certaines illusions fondamentales du représentationalisme linguistique et de la métaphysique qui lui fait fond.
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Masó, Illamola Joana. "Dessiller la langue : écriture et vision chez Hélène Cixous et Jacques Derrida." Paris 8, 2009. http://octaviana.fr/document/14551546X#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract:
Dans le discours philosophique, dans la critique littéraire et l'histoire de l'art, voir et parler, regarder et dire ont fait l'objet de multiples parallélismes et partages qui demeurent l'arrière-plan de notre étude. L'articulation du texte et de l'image, ainsi que leurs rapports étroits où le visible et le lisible sont tantôt incompatibles tantôt complémentaires restent l'objet de la présente thèse. Toutefois, entre ces deux modèles, ni la correspondance ni l'adéquation parviennent à nommer l'étrange complicité de l'œil et de la voix, du regard et du mot dans l'aventure de la connaissance, la révélation, la représentation et l'accès au sens - les grandes lignes de force qui traversent la problématique du visible et du lisible. L'écriture d'Hélène Cixous et la pensée de Jacques Derrida reprennent et déplacent l'héritage de la vision, qu'ils transforment dans le cadre d'une expérience déconstructrice de la langue. Cette déconstruction, nous le verrons tout au long de notre étude, met en place une forte critique de la notion indoeuropéenne de savoir et de vérité, profondément liée au mode de production de sens du visible. Nous aborderons également les nouveaux modèles perceptifs qui s'esquissent dans les corpus cixousien et derridien. L'étude de ces deux écritures et pensées nous permettra d'analyser et de bien comprendre la puissante critique de la vision qui s'installe en France avec la pensée dite post-structuraliste, chez des auteurs tels que Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Gilles Deleuze, Jean-Luc Nancy ou Luce Irigaray, entre autres
In the fields of philosophy, literary criticism and art history, the linguistic and the visual paradigms - seeing and talking, watching or saying - have been studied as different parallelisms. These oppositions constitute the context of our essay. The purpose of this essay is to analyse the articulation of text and image and the relationships between the visual and the writing models, which are sometimes exclusive and sometimes complementary. Hence, the correspondence between these two models is always inadequate to describe the strange complicity between the eye and the voice, the gaze and the word in the main points of our investigation: knowledge, revelation, representation, and meaning. Hélène Cixous' writing and Jacques Derrida's philosophical thought both echo and displace the heritage of vision. Cixous and Derrida transform this heritage in the context of a deconstructive experience of language and writing. As we will discuss throughout this essay, the deconstruction of the visible paradigm supposes a strong criticism of the Indo-European concept of knowledge and truth, which is deeply intertwined with the visual model. Moreover, we intend to analyze new perceptive models developed in Cixous' and Derrida's texts. The analysis of these two authors and their thoughts will allow us to understand and interpret the strong criticisms of vision operating in France in the context of post-structuralist thought, especially in the work of Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Gilles Deleuze, Jean-Luc Nancy and Luce Irigaray, etc
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Books on the topic "Derrida, Jacques (1930-2004) – Philosophie de l'histoire"

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A companion to Derrida. Hoboken: John Wiley & Sons Inc., 2014.

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David, Wood, ed. Derrida: A critical reader. Oxford, UK: Blackwell, 1992.

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3

Derrida & the political. London: Routledge, 1996.

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Jacques, Derrida. Deconstruction in a nutshell: A conversation with Jacques Derrida. New York: Fordham University Press, 1997.

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Joyce, Derrida, Lacan, and the trauma of history: Reading, narrative and postcolonialism. Cambridge: Cambridge University Press, 1999.

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6

Dooley, Mark. The philosophy of Derrida. Stocksfield: Acumen, 2007.

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7

Jacques, Derrida. The Derrida reader: Writing performances. Edinburgh: Edinburgh University Press, 1998.

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Jacques, Derrida. The Derrida Reader: Writing Performances. Lincoln: University of Nebraska Press, 1998.

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Jacques, Derrida. A Derrida reader: Between the blinds. New York: Columbia University Press, 1991.

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10

Deconstruction: Derrida. Basingstoke: Macmillan, 1998.

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