Academic literature on the topic 'Dernière glaciation (MIS3 à 2)'

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Journal articles on the topic "Dernière glaciation (MIS3 à 2)":

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Painchaud, Alain, J. M. M. Dubois, and Q. H. J. Gwyn. "Déglaciation et émersion des terres de l’ouest de l’île d’Anticosti, golfe du Saint-Laurent, Québec." Géographie physique et Quaternaire 38, no. 2 (November 29, 2007): 93–111. http://dx.doi.org/10.7202/032545ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ La géomorphologie et les dépôts quaternaires de la partie ouest de l'île d'Anticosti sont principalement associés à la glaciation du Wisconsinien supérieur et à la déglaciation au contact de la mer postglaciaire de Goldthwait. Le till de l'île a été mis en place au Wisconsinien supérieur au cours de la dernière avancée de l'inlandsis laurentidien. La dynamique de la glace à l'époque démontre une faible capacité d'érosion, le front du glacier se maintenant probablement près de la côte sud (actuelle) de l'île. Lors de la déglaciation, une calotte résiduelle s'est maintenue sur l'île. Une récurrence, survenue vers 12 500 ans BP, a permis l'édification de la moraine de Sainte-Marie. Cette moraine est formée de bourrelets morainiques sur la côte sud et d'épandages proglaciaires dans l'ouest et au nord de l'île. La calotte a existé pendant environ 1000 ans. Au cours de sa fonte, la mise en place du till d'Elsie s'est faite en association avec celles de nombreuses moraines de De Geer au nord des bourrelets de la moraine de Sainte-Marie, parallèlement à la côte. Une dernière récurrence venant du nord a permis la mise en place de la moraine de la rivière à l'Huile, probablement vers 9000 - 9500 ans BP, ce qui serait contradictoire avec les données provenant de la Côte-Nord du Saint-Laurent. Entre 11 000 et 9000 ans BP, le taux d'émersion a été de 2 m par siècle; il s'est abaissé par la suite à 25 cm par siècle.
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Lehmkuhl, Frank, Michael Klinge, Henrik Rother, and Daniela Hülle. "Distribution and timing of Holocene and late Pleistocene glacier fluctuations in western Mongolia." Annals of Glaciology 57, no. 71 (January 2016): 169–78. http://dx.doi.org/10.3189/2016aog71a030.

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Abstract:
Abstract.Despite being a key location for paleoglaciological research in north-central Asia, with the largest number of modern and Pleistocene glaciers, and in the transition zone between the humid Russian Altai and dry Gobi Altai, little is known about the precise extent and timing of Holocene and late Pleistocene glaciations in western Mongolia. Here we present detailed information on the distribution of modern and late Holocene glaciers, and new results addressing the geomorphological differentiation and numerical dating (by optically stimulated luminescence, OSL) of Pleistocene glacial sequences in these areas. For the Mongolian Altai, geochronological results suggest large ice advances correlative to marine isotope stages (MIS) 4 and 2. This is in contrast to results from the Khangai mountains, central Mongolia, showing that significant ice advances additionally occurred during MIS3. During the Pleistocene, glacial equilibrium-line altitudes (ELAs) were ~500 to >1000m lower in the more humid portion of the Russian and western Mongolian Altai, compared to 300-600 m in the drier ranges of the eastern Mongolian Altai. Pleistocene ELAs in the Khangai mountains were depressed by 700-1000 m, suggesting more humid conditions at times of major glaciation than in the eastern Mongolian Altai. This paleo-ELA pattern reveals that the precipitation gradient from the drier to the more humid regions was more pronounced during glacial times than at present.
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Godbout, Julie, and Jean Bousquet. "Les génomes du pin gris et du pin tordu, témoins des bouleversements climatiques passés." Foresterie 138, no. 1 (January 6, 2014): 32–44. http://dx.doi.org/10.7202/1021041ar.

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Abstract:
La phylogéographie est un champ de la biogéographie qui s’appuie sur les outils de la génétique afin de mieux comprendre les conséquences d’évènements anciens sur la répartition de la diversité des espèces. Les aires actuelles de répartition de 2 espèces de pin dur, le pin gris (Pinus banksiana Lamb.) et le pin tordu (Pinus contorta Dougl. ex. Loud.) étaient presque entièrement recouvertes par l’inlandsis au moment du maximum glaciaire, il y a 21 000 ans. Ces 2 espèces représentent donc d’excellents modèles pour étudier l’effet de la dernière glaciation sur la diversité génétique des espèces et pour la compréhension des mouvements de colonisation qui ont accompagné le réchauffement climatique de l’Holocène. L’utilisation de marqueurs génétiques de l’ADN mitochondrial et chloroplastique a permis de détecter une structure géographique marquée pour chacune des 2 espèces, permettant de mettre en évidence plusieurs éléments du paysage ayant favorisé la différenciation génétique de sous-groupes durant l’ère glaciaire. Ces marqueurs ont aussi permis de détecter une introgression naturelle entre ces espèces ainsi que des fluctuations de leurs répartitions au cours de l’Holocène. Les contextes historique, théorique et méthodologique sont aussi abordés de façon à permettre la comparaison avec d’autres espèces du biome boréal.
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Hare, F. Kenneth. "Recent Climatological Research in Labrador Ungava." Cahiers de géographie du Québec 10, no. 19 (April 12, 2005): 5–12. http://dx.doi.org/10.7202/020560ar.

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Abstract:
La climatologie de la péninsule Labrador-Ungava vient de nous apparaître dans une nouvelle perspective grâce à des recherches récentes sur le bilan calorifique et hygrométrique à la surface du sol ainsi que sur les divers types de courants atmosphériques en rapport avec les conditions météorologiques locales. Le bilan énergétique du Labrador-Ungava, bien que typique de ces latitudes, témoigne de températures beaucoup plus basses que celles que Von rencontre habituellement dans des régions semblables. Au cours de l’été, on a observé un rayonnement net quotidien de 0.258k cal/cm 2 en moyenne. Durant la saison végétative, l'évapotranspiration utilise à peine 40% du rayonnement net ; ceci permet de penser qu'une part considérable de l'énergie disponible peut être utilisée dans les mouvements convectifs de réchauffement. Ainsi s'expliquerait le développement si répandu de cumulus typiques de l'ensemble de la région en été. On est moins renseigné sur le bilan hygrométrique. Les précipitations sont abondantes et au cours de la période de fonte des neiges, en mai et en juin, le ruissellement est considérable. Il semble probable que le déficit total en eau est de loin inférieur a celui des bassins forestiers situés plus au sud. On n'a guère étudié la climatologie synoptique de l’ Ungava-Labrador, mais l'auteur fait mention des rapports qui auraient pu exister entre les courants atmosphériques et l'accumulation de la neige pendant la dernière glaciation.
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Prichonnet, Gilbert, Ghismond Martineau, and Louis Bisson. "Les dépôts quaternaires de la région de Chibougamau, Québec." Géographie physique et Quaternaire 38, no. 3 (November 29, 2007): 287–304. http://dx.doi.org/10.7202/032569ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cette étude des dépôts quaternaires dans la région de Chibougamau a deux objectifs: 1) décrire les principaux traits de la géomorphologie et les caractères des unités lithostratigraphiques; 2) discuter quelques concepts de la paléogéographie tardiglaciaire. Deux directions majeures d'écoulement glaciaire sont identifiées : l'une, ancienne, vers le SE (125°) attribuée à un centre de dispersion localisé vers la baie d'Hudson, mais d'âge inconnu; l'autre vers le SSO causée par la dernière glaciation du Wisconsinien. Ce dernier mouvement est identifié par des formes fuselées (045-225°), des stries (035-215°) et par des débris erratiques provenant du bassin du lac Misstassini, au NE. Lors du retrait de l'inlandsis, dans le secteur ouest de la région, la bordure du glacier s'écoulait vers le SO et l'OSO, influencée par la présence du lac Ojibway : le mode dominant des orientations des segments d'eskers (055-235°) est interprété comme une preuve complémentaire de cet écoulement tardif; dans le secteur E, par contre, près de la ligne de partage des eaux, les marques d'écoulement vers le S sont abondantes. Une seule nappe de till de fond est identifiée. Une séquence de faciès de fusion (till stratifié et d'ablation) lui succède. Des déformations glaciotectoniques démontrent que la glace est active lors du dépôt des faciès stratifiés. Les contraintes exercées sur le front glaciaire par les reliefs et les eaux du lac Ojibway commandent un réseau de crevasses conjuguées à 25°: des moraines « mineures » (de De Geer?) de dimensions et d'espacements très variables y sont mises en place. Leur espacement ne peut être utilisé qu'avec prudence pour évaluer le taux de retrait glaciaire de cette région. Le niveau relatif supérieur du lac Ojibway est réévalué à environ 445 m. Une tourbe datée à 7600 BP (à 420 m) indique une afforestation rapide après l'exondation.
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Scourse, J. D. "The timing and magnitude of the British–Irish Ice Sheet between Marine Isotope Stages 5d and 2: implications for glacio‐isostatic adjustment, high relative sea levels and ‘giant erratic’ emplacement." Journal of Quaternary Science, March 12, 2024. http://dx.doi.org/10.1002/jqs.3611.

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Abstract:
ABSTRACTThe extent, chronology and dynamics of the pre‐Marine Isotope Stage (MIS) 2 last British–Irish Ice Sheet (BIIS) are not well known. Although the BRITICE‐CHRONO Project has detailed the maximum extent and retreat phases of the last BIIS for the period after 30 ka and into the Last Glacial Maximum (LGM), the Project identified several pre‐existing datasets and generated new data that implied glaciation pre‐dating the LGM but which post‐dated the Last Interglacial (Eemian; MIS5e); these data are reviewed here. There are no dated till units but are other indicators clearly indicative of glaciation: deep‐sea ice‐rafted detritus flux into the adjacent NE Atlantic, cosmogenic rock‐exposure age dating from glaciated surfaces in Wales and the island of Lundy (Bristol Channel), and optically stimulated luminescence (OSL) ages of proximal glacifluvial sequences on the Isle of Lewis (Outer Hebrides) and in the Cheshire Basin. Taken together these indicate BIIS inception during MIS5d, growth into MIS4 and evidence for dynamic retreat–advance phases during MIS3. OSL evidence for high relative sea level indicated by raised beaches in southern Ireland during MIS4 and 3 at a time of lowered glacio‐eustatic sea level indicates substantial glacial isostatic loading, explained by the early growth of the BIIS during the last cold stage. High relative sea level during MIS4 and 3 coincident with adjacent calving ice sheet margins provides an explanation for the rafted giant erratics found around the shores of southern Britain and Ireland.

Dissertations / Theses on the topic "Dernière glaciation (MIS3 à 2)":

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Pallier, Céline. "De l’enregistrement sédimentaire en milieu karstique à la taphonomie des sites archéologiques du Paléolithique supérieur (MIS 3-MIS 2) : les apports de la grotte du Mas d’Azil et de la vallée de l’Arize (Pyrénées, France)." Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2021. http://www.theses.fr/2021TOU20011.

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Abstract:
La grotte du Mas d’Azil, traversée par l’Arize, a conservé les témoignages de dynamiques hydrosédimentaires du dernier cycle glaciaire, qui ont conditionné à la fois les occupations humaines durant le Paléolithique supérieur et la conservation des vestiges archéologiques. Ainsi, comment l’étude d’un tel enregistreur sédimentaire peut-elle répondre à la question des lacunes archéologiques de la dernière période glaciaire ?Des hiatus, chronologiques ou d’ordre spatial, sont observés dans les occupations de la grotte. Quelle signification leur attribuer : absence des humains ou conservation différentielle ? A la transition MIS 3-MIS 2, une phase d’aggradation sédimentaire a contraint l’occupation dans la grotte, tout en jouant un rôle majeur dans la conservation ou l’érosion des vestiges. Elle a permis la conservation partielle des niveaux aurignaciens qu’elle recouvre, mais a rendu la grotte inaccessible pendant plusieurs millénaires. Enfin, l’étude géomorphologique permet une réflexion très précise sur l’organisation de l’espace, les accès et les circulations des populations à l’intérieur de la grotte au cours du Magdalénien moyen récent.La grotte renseigne aussi sur les dynamiques hydrosédimentaires et les conditions paléoclimatiques à l’échelle de la vallée de l’Arize. Les phénomènes observés à l’intérieur de la grotte ont été enregistré à l’extérieur de façon dégradée, mais des hypothèses de corrélations restent possibles entre les enregistrements dans la grotte et dans la vallée de l’Arize. La grotte du Mas d’Azil est donc un enregistreur très haute résolution des réponses hydrosédimentaires découlant des fluctuations climatiques, en particulier lors du dernier cycle glaciaire. Par les témoignages archéologiques insérés dans leur contexte géomorphologique, cette grotte souligne l’importance de la taphonomie différentielle des vestiges archéologiques et permet de les interpréter, de l’échelle du site jusqu’à celle des vallées du piémont nord-pyrénéen
The Mas d'Azil cave, crossed by the Arize river, has preserved evidence of the hydrosedimentary dynamics of the last glacial cycle, which conditioned both human occupation during the Upper Palaeolithic and the conservation of archaeological remains. Thus, how can the study of such a sedimentary recorder answer the question of the archaeological gaps of the last ice age?Hiatuses, either chronological or spatial, are observed in the cave's occupations. What significance can be attributed to them : absence of humans or differential conservation? At the transition MIS 3-MIS 2, a phase of sedimentary aggradation has constrained occupation in the cave, while playing a major role in the conservation or erosion of the remains. It allowed the partial conservation of the Aurignacian levels that it covers, but made the cave inaccessible for several millennia. Finally, the geomorphological study allows a very precise reflection on the organisation of space, access and movement of the populations inside the cave during the recent Middle Magdalenian.The cave also provides information on the hydrosedimentary dynamics and paleoclimatic conditions on the scale of the Arize valley. The phenomena observed inside the cave have been recorded outside in a degraded way, but correlation hypotheses remain possible between the recordings in the cave and in the Arize valley. The Mas d'Azil cave is therefore a very high-resolution recorder of hydrosedimentary responses resulting from climatic fluctuations, particularly during the last glacial cycle. Through the archaeological evidence inserted in its geomorphological context, this cave underlines the importance of the differential taphonomy of the archaeological remains and makes it possible to interpret them, from the scale of the site to that of the valleys of the northern Pyrenean foothills

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