Journal articles on the topic 'Dépistages des cancers'

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1

Launoy, Guy. "Cancer : les causes de l’augmentation du nombre de cas en France." Questions de santé publique, no. 4 (April 2009): 1–4. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2009004.

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Abstract:
Le nombre de cancers a doublé entre 1980 et 2008 en France, alors que la mortalité par cancer ne cesse de diminuer. Grâce aux 21 registres de cancer, coordonnés par le réseau FRANCIM, 20 % à 25 % des nouveaux cas sont enregistrés et des estimations nationales régulières peuvent être fournies. Près de la moitié de l’augmentation du nombre de cas de cancers est due à l’augmentation de la population française et à son vieillissement. Si l’on prend en compte ces évolutions, l’augmentation du nombre de cas est d’abord due aux modifications des pratiques de soins : développement des techniques d’imagerie diagnostique et surtout extension des dépistages. Pour certains cancers, la question de la pertinence de la pratique actuelle de dépistage doit néanmoins être posée.
2

Descamps, P., J. J. Baldauf, and P. Bonnier. "Dépistages des cancers gynécologiques et mammaires." Journal de Gynécologie Obstétrique et Biologie de la Reproduction 33, no. 6 (October 2004): 536. http://dx.doi.org/10.1016/s0368-2315(04)96573-8.

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3

Copin, N., G. Gusto, B. Royer, F. Devay, A. Ruiz, and O. Lantieri. "Inégalités de recours aux dépistages des cancers." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 61 (October 2013): S314. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2013.07.369.

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4

Moutel, Grégoire, Sylviane Darquy, Odile Jullian, and Nathalie Duchange. "Éthique et dépistages organisés des cancers en France." Santé Publique S2, HS2 (2019): 67. http://dx.doi.org/10.3917/spub.197.0067.

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5

Sampic, Maureen, Valérie Lépine, and Pierre Mignot. "Communication et régionalisation des centres de dépistages des cancers." Communication et organisation, no. 63 (July 1, 2023): 173–87. http://dx.doi.org/10.4000/communicationorganisation.12222.

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6

Bloy, Géraldine, and Laurent Rigal. "En quête de pertinence et d’égalité ? Quand les prescriptions des dépistages des cancers gynécologiques s’emmêlent." Revue française des affaires sociales 1, no. 3 (2019): 11. http://dx.doi.org/10.3917/rfas.193.0011.

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7

Sicsic, Jonathan, and Carine Franc. "Préférences des médecins généralistes vis-à-vis des mesures incitatives associées aux dépistages des cancers." Santé Publique S2, HS2 (2019): 33. http://dx.doi.org/10.3917/spub.197.0033.

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8

Dawidowicz, S., J. Le Breton, V. Renard, S. Bercier, Z. Brixi, E. Audureau, P. Clerc, S. Bastuji-Garins, and E. Ferrat. "Déterminants de non-participation des femmes aux trois dépistages des cancers du sein, du col et colo-rectal (étude « TRI-PTIC »)." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 65, no. 2 (April 2017): 172. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2017.01.109.

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9

Hsairi, Mohamed, Heger Ben Gobrane, Nissaf Ben Alaya, Ridha Bellaaj, and Noureddine Achour. "Connaissances et attitudes des étudiants en fin d'études médicales vis-à-vis des dépistages des cancers du col utérin et du sein." Santé Publique 19, no. 2 (2007): 119. http://dx.doi.org/10.3917/spub.072.0119.

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GOCKO, X. "PROPHETIE AUTOREALISATRICE ET DEPISTAGE DU CANCER DU POUMON." EXERCER 35, no. 204 (June 1, 2024): 243. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2024.204.243.

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Abstract:
« Les prophètes ont toujours tort d’avoir raison. » Boris Vian Une prophétie autoréalisatrice peut être définie comme une assertion qui induit des comportements de nature à valider cette assertion. Plusieurs mythes illustrent ce concept : OEdipe, Pygmalion, Dédale, etc. Si comme prévu OEdipe devint un parricide incestueux, si Icare, fils de Dédale, mourut en faisant fondre la cire de ses ailes en s’approchant trop près du soleil, la prophétie autoréalisatrice de Pygmalion fut quant à elle positive. Célibataire endurci, choqué par les moeurs de ses contemporaines, Pygmalion sculpte Galatée si belle qu’il en tombe éperdument amoureux. Il prie Aphrodite de lui donner vie, afin qu’il puisse l’épouser. Ce mythe qui a inspiré à Rodin une statue des plus sensuelles est aussi à l’origine d’un concept pédagogique proche de la prophétie autoréalisatrice : l’effet Rosenthal et Jacobson (appelé aussi effet Pygmalion). Ces chercheurs après avoir mesuré le QI d’enfants transmettent « par accident » aux enseignants les résultats. En réalité, les résultats ont été attribués de manière aléatoire avec 20 % des notes surévaluées. À la fin de l’année scolaire, Rosenthal et Jacobson mesurent à nouveau les QI : les élèves dont les enseignants pensaient qu’ils étaient plus doués obtiennent effectivement de meilleurs résultats1. Le numéro 204 d’exercer vous propose de réfléchir à l’intérêt du dépistage du cancer du poumon par tomodensitométrie faible dose2. Tudrej et al., après avoir résumé les essais comparatifs randomisés ayant testé ce dépistage, nous proposent une analyse classique et précisent des bénéfices (réduction de la mortalité spécifique par cancer du poumon) et les risques (faux positifs, surdiagnostics inhérents aux dépistages). Ils nous proposent aussi une analyse médico-économique très importante avec en France la fameuse enveloppe globale, 11,9 % du PIB en 20223… Ils posent la question de la faisabilité avec un système de santé français où l’instauration d’un tel dépistage pourrait ralentir la réalisation d’autres examens, augmentant encore les tensions éthiques liées à la démographie médicale. Et, plus original, les auteurs nous proposent de réfléchir à la santé planétaire et à l’impact de ces nouvelles tomodensitométries puisqu’en France 8 % des gaz à effets de serre sont attribuables au système de santé. Enfin, ils posent la question de l’acceptabilité par les personnes et par les professionnels de santé2. Si la question de l’acceptabilité par les personnes se pose avec par exemple un taux de participation au dépistage organisé du cancer du côlon de 34,2 % en 2023… la question pour les professionnels me paraît moins prégnante. Certes, en 2016, Huas et al. (tous membres du conseil scientifique du CNGE) publiaient dans exercer : « Dépister ou ne pas dépister : comment s’y retrouver ? »4. Mais force est de constater que la plupart du temps, quel que soit l’âge de votre interlocuteur, s’il ne lit pas exercer ou une autre revue favorisant la réflexivité, vous risquez d’entendre une assertion débutant par « il faut dépister plus tôt…». Cette assertion explique le comportement des médecins très proactifs en termes de dépistages et leur déception quand le « patient » ne fait pas ce qu’ils disent. Le patient, cible idéale et compliante, est en réalité fictive, comme nous l’expliquent les sociologues et le concept d’Homo medicus5. Ces soignants méconnaissent les concepts d’information en santé, d’approche centrée sur le patient, et de décision partagée. Le dépistage est toujours positif et toujours à réaliser : une véritable prophétie autoréalisatrice… parfois décrite comme un biais cognitif. En attendant, qu’Asclépios exauce leur voeu et leur sculpte un dépistage parfait et un Homo medicus, je vous propose, amis lecteurs, d’être les messagers d’exercer et de doucement déconstruire leur prophétie dans l’intérêt des personnes qu’ils soignent. Nous pourrions leur rappeler l’importance de la prévention primaire, ici la lutte contre le tabac, probablement plus facile à mettre en oeuvre et probablement moins onéreuse. À moins que ce ne soit ma prophétie autoréalisatrice…
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Hsairi, M., R. Fakhfakh, and N. Achour. "[Knowledge,attitudes and behaviours of women towards breast cancer screening]." Eastern Mediterranean Health Journal 9, no. 1-2 (April 2, 2003): 87–98. http://dx.doi.org/10.26719/2003.9.1-2.87.

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Abstract:
L’objectif de ce travail était de décrire les connaissances, attitudes et comportements des femmes vis-à-vis des méthodes de dépistage du cancer du sein dons deux régions du nord de la Tunisie. Ainsi 936 femmes résidant à l’Ariana [région urbanisée] et 993 femmes résidant à Zaghouan [région rurale] ont été choisies et ont répondu à un questionnaire sur leur perception de la gravité du cancer du sein, la vulnérabilité des femmes, l’efficacité du dépistage et le recours au dépistage. Le recours au dépistage était significativement plus fréquenta l’Ariana pour l’examen physique des seins et la mammographie mais demeure assez modeste. Ce faible recours au dépistage du cancer du seln contraste avec une attitude positive vis-à-vis des méthodes de dépistage de ce cancer. Les facteurs associés positivement au recours au dépistage sont la résidence en milieu urbain, l’âge compris entre 35 et 49 ans, le niveau d’instruction et la perception des progrès accomplis dans le domaine du traitement des cancers en Tunisie
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Bruno, B. "Cancer secondaire : accepter le dépistage à vie et pourtant vivre heureux." Psycho-Oncologie 11, no. 4 (December 2017): 210–12. http://dx.doi.org/10.3166/s11839-017-0644-8.

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Abstract:
L'enfant greffé de moelle et guéri de sa leucémie doit suivre un dépistage des cancers secondaires à vie. Mais à l'âge adulte, comment concilier envie d'oubli, de vivre et dépistage annuel systématique d'un cancer secondaire ? Beaucoup de jeunes adultes abandonnent leur suivi postgreffe. Le dépistage est pourvoyeur d'anxiété, il prend sur le temps personnel, sur l'insouciance. Pourtant, si l'on veut continuer à vivre heureux, il faut se dépister. Le rôle du médecin est d'informer sans faire peur et de responsabiliser le patient tout en l'accompagnant dans cette nouvelle phase qu'est le dépistage.
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Niyonsenga, Gaudence, Darius Gishoma, Ruth Sego, Marie Goretti Uwayezu, Bellancille Nikuze, Margaret Fitch, and Pierre Céléstin Igiraneza. "Connaissances, utilisation et obstacles liés au dépistage du cancer du col utérin dans des hôpitaux de district de Kigali, au Rwanda." Canadian Oncology Nursing Journal 31, no. 3 (July 22, 2021): 275–84. http://dx.doi.org/10.5737/23688076313275284.

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Abstract:
Contexte : Dans le monde, le cancer du col utérin arrive au troisième rang des cancers les plus fréquents chez les femmes, mais il passe au deuxième rang en Afrique orientale, où se trouve le Rwanda. Le dépistage périodique est un moyen de prévention efficace. Malgré cela, en Afrique, on estime que le taux de dépistage de ce cancer se situe entre 10 et 70 %. Plusieurs facteurs entravent le dépistage, surtout en Afrique subsaharienne. Au Rwanda, on recense peu d’écrits sur l’utilisation des services de dépistage et les facteurs nuisant au dépistage du cancer du col utérin. Objectif : Évaluer les connaissances sur le dépistage du cancer du col utérin qu’ont les femmes fréquentant les hôpitaux de district de Kigali (au Rwanda), recenser l’utilisation de ce service et déterminer les obstacles qui empêchent d’y recourir. Méthodologie : Une étude transversale descriptive a été menée, et les données ont été collectées au moyen d’un questionnaire structuré. Des questions nominales de type « oui ou non » ont mis en lumière les connaissances des femmes sur le cancer du col utérin et l’utilisation des services de dépistage. Pour cerner les obstacles au dépistage, nous avons utilisé des questions de type « échelle de Likert ». Ces données ont ensuite fait l’objet d’une analyse statistique descriptive et déductive. La sélection des répondantes s’est faite par échantillonnage aléatoire systématique depuis la base de données des patientes fréquentant les services gynécologiques de trois hôpitaux de district de Kigali (Rwanda). Résultats : Au total, 329 femmes ont répondu au sondage. La moitié d’entre elles (n = 165) connaissaient bien le dépistage du cancer du col utérin. Le pourcentage de dépistage se situe à 28,3 %. Nous avons décelé un lien entre l’utilisation du dépistage et une bonne connaissance du sujet (P = 0,000, r = -0,392) ainsi que certains facteurs démographiques (P = 0,000). Parmi les obstacles qui concourent à restreindre l’accès au dépistage, nous avons relevé des obstacles individuels (méconnaissance de l’existence des services de dépistage), géographiques (milieu rural) et liés au système de santé et aux prestataires de soins (campagnes de sensibilisation déficientes, attitudes négatives des prestataires de soins envers les patientes et longs délais d’attente). Conclusion : Dans les hôpitaux de district étudiés de Kigali (Rwanda), on constate un faible pourcentage de dépistage du cancer du col utérin causé par plusieurs obstacles. Il est donc fortement recommandé d’engager une campagne d’information permanente sur ce cancer et son dépistage. Enfin, il est crucial que les prestataires de soins qualifiés encouragent les femmes à se soumettre au dépistage, et qu’ils s’efforcent de réduire les obstacles qui s’y rattachent.
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Igiraneza, Pierre Céléstin, Lilian A. Omondi, Bellancille Nikuze, Marie Goretti Uwayezu, Margaret Fitch, and Gaudence Niyonsenga. "Cancer du sein chez les Rwandaises en âge de procréer du district sud de Kayonza : facteurs influençant les pratiques de dépistage." Canadian Oncology Nursing Journal 31, no. 3 (July 22, 2021): 258–65. http://dx.doi.org/10.5737/23688076313258265.

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Introduction : Au Rwanda, le cancer du sein est une grande préoccupation pour la santé des femmes puisque la plupart des diagnostics sont faits à un stade avancé de la maladie. On sait pourtant que les pratiques de dépistage du cancer du sein permettent d’accélérer le diagnostic. Objectif : Évaluer les facteurs qui influencent les pratiques de dépistage du cancer du sein chez les femmes en âge de procréer habitant le district de Kayonza, au Rwanda. Méthodologie : Une étude quantitative a été menée dans quatre centres de santé au sud du district de Kayonza auprès de 246 femmes de 16 à 49 ans. Un questionnaire structuré, prétesté et autoadministré a été utilisé pour évaluer l’influence des connaissances, des centres de santé et des facteurs socioéconomiques et culturels sur les pratiques de dépistage du cancer du sein chez les femmes dans le sud de Kayonza. Résultats : Parmi les répondantes, 55,5 % avaient une connaissance moyenne des facteurs de risque du cancer du sein, et 60,2 % sur l’incidence du dépistage du cancer du sein. On a constaté que 28 % étaient familiarisées avec l’auto-examen des seins (AES) et 16,4 % avec l’examen clinique des seins (ECS) et l’échographie mammaire. Au cours des deux années précédentes, les réponses entourant les pratiques de dépistage du sein ont révélé que 72 % des répondantes n’avaient jamais réalisé d’AES et que 81,3 % n’avaient jamais passé d’ECS ou d’échographie mammaire. Pour 30,4 % des répondantes, l’information sur le dépistage du cancer du sein provenait principalement de la radio. Des relations significatives avec les pratiques de dépistage du cancer du sein sont ressorties pour l’âge et l’état matrimonial. Conclusion : L’étude témoigne du peu de connaissances sur le cancer du sein, le dépistage et les pratiques relatives au dépistage de cette maladie. Il est donc nécessaire de promouvoir la sensibilisation au cancer du sein et de créer un programme qui puisse améliorer les connaissances et les pratiques en matière de dépistage afin d’améliorer la santé des femmes du sud de Kayonza.
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Senghor, F., I. Thiam, MCN Odah, AM Gaye, and K. Ndiaye. "C50: Cancer du col utérin, un risque considérable même après 65 ans : Une expérience dakaroise." African Journal of Oncology 2, no. 1 Supplement (March 1, 2022): S22—S23. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c50.trzv1670.

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INTRODUCTION : Le cancer du col de l’utérus est un problème de santé publique et le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme dans le monde et le premier en Afrique. Grâce aux stratégies de dépistage organisé dans les pays développés, l’incidence du cancer du col a diminué chez les femmes jeunes, mais sa fréquence chez les femmes de 70 ans et plus reste inchangée. En Afrique, cette incidence augmente avec une part des personnes âgés de plus de 65 ans sous-évalués. Nous nous sommes intéressés à étudier le profil épidémiologique et anatomopathologique des cancers du col chez les femmes africaines de plus 65 ans (limite d’âge pour le dépistage) en vue d’examiner la pertinence de la poursuite du dépistage chez ces femmes. MATERIELS ET METHODES : Etude rétrospective descriptive et analytique sur cinq ans allant de 2016 à 2020 portant sur les comptes-rendus anatomopathologiques, blocs et lames des prélèvements du col utérin, au laboratoire d’Anatomie et Cytologie Pathologiques de l’Hôpital Aristide le Dantec. Nous avons inclus tous les cas de cancer du col utérin confirmé des patientes de 65 ans et plus. RESULTATS : Nous avons colligé 203 cas de cancer du col chez la femme de plus 65 ans en cinq ans (2016 à 2021). La moyenne d’âge était de 71 ans avec des extrêmes allant de 65 à 90 ans. Les patientes étaient essentiellement de grandes multigestes et multipares. Les prélèvements étaient exclusivement des biopsies. Les cancers étaient totalement de nature épithéliale, avec une nette prédominance des carcinomes épidermoïdes (91,6%). Ces cancers représentent 91,03% des échantillons du col utérin reçus pour cette tranche d’âge et un sixième de l’ensemble des cancers du col utérin tout âge confondu. CONCLUSION : Notre étude confirme que l’incidence du cancer du col chez les femmes âgées de plus de 65 ans est considérable. Il est nécessaire de dépister les femmes après 65 ans.
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Withrow, DR, A. Amartey, and LD Marrett. "Facteurs de risque et dépistage du cancer chez les membres des Premières Nations vivant hors réserve, chez les Métis et chez les non-Autochtones en Ontario." Maladies chroniques et blessures au Canada 34, no. 2/3 (July 2014): 110–21. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.34.2/3.05f.

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Introduction Cette étude vise à décrire la prévalence du tabagisme, de l'obésité, des comportements sédentaires et de l'activité physique, de la consommation de fruits et de légumes et de la consommation d'alcool ainsi que la participation au dépistage du cancer du sein, du cancer du col de l'utérus et du cancer colorectal chez les adultes des Premières Nations et métis en Ontario, par rapport à la population non autochtone. Méthodologie Nous avons utilisé les données de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (données de 2007 à 2011 combinées) pour calculer les estimations de la prévalence chez les trois populations ethnoculturelles. Résultats Par rapport aux adultes non autochtones, les adultes des Premières Nations et métis étaient beaucoup plus nombreux à déclarer fumer et à être classés comme obèses. Les membres des Premières Nations étaient plus nombreux que la population non autochtone à consommer de l'alcool au-delà des recommandations en matière de prévention du cancer et à consommer insuffisamment des fruits et des légumes. Les femmes des Premières Nations étaient plus nombreuses que les femmes non autochtones à déclarer avoir fait l'objet d'un dépistage par recherche de sang occulte dans les selles au cours des deux dernières années. Aucune différence significative n'a été observée entre les membres des trois groupes ethnoculturels en ce qui concerne le dépistage du cancer du sein et du cancer du col de l'utérus chez les femmes et le dépistage du cancer colorectal chez les hommes. Conclusion Si l'on intervient pas, il est probable que les cancers liés au tabagisme et à l'obésité continueront à représenter un fardeau considérable au sein de la population autochtone de l'Ontario.
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BERKHOUT, C. "Facteurs prédictifs d’une absence de participation ou d’une participation partielle aux programmes de dépistage du cancer du sein, du col de l’utérus et colorectal." EXERCER 31, no. 163 (May 1, 2020): 202–3. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.163.202.

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Publication originale de Dawidowicz S, Le Breton J, Moscova L, et al. Fam Pract 2020;1:15-24. Les cancers du sein et colorectal se situent au 1er et au 3e rang de la mortalité par cancer chez la femme. Le cancer du col apparaît en 4e position au niveau mondial. Afin de réduire l’incidence de ces cancers, leur taux de dépistage doit atteindre 70 % pour les mammographies, 50 % pour la recherche de sang occulte dans les selles (RSO), et 80 % pour les frottis cervico-utérins (FCU)...
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Sampson, Charlotte Naa, Samuel Donkor Nkpeebo, and Thywill Amenuveve Degley. "Connaissances, attitudes et croyances concernant le dépistage du cancer du col utérin dans le District d’Ajumako-Enyan-Essiam au Ghana." Canadian Oncology Nursing Journal 31, no. 3 (July 22, 2021): 291–97. http://dx.doi.org/10.5737/23688076313291297.

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L’étude a été menée dans le district d’Ajumako-Eyan-Essiam (AEED) et visait à évaluer les connaissances, attitudes et croyances des femmes relativement au dépistage du cancer du col utérin. Au Ghana, ce cancer vient au deuxième rang des causes de cancer gynécologique. Dans les études et la pratique clinique effectuées auprès de femmes atteintes de cancer du col utérin, le diagnostic précoce, le traitement et la prévention du cancer sont largement influencés par leurs connaissances et leurs attitudes envers le dépistage. À ce jour, on ne dispose pas d’étude sur ces perceptions chez les femmes dans le district d’AEED. Un devis transversal quantitatif a été utilisé avec une analyse statistique descriptive de données provenant de 240 femmes. Les résultats ont révélé que 61,3 % d’entre elles ne savaient pas quel organe était touché lors d’un cancer du col utérin ou à quel intervalle un suivi était nécessaire après un résultat de test Pap normal; il y aurait donc des lacunes dans les connaissances. Au total, 36 % croyaient que le test de Papanicolaou (test Pap) était effectué une fois pour toutes, et 57,1 % pensaient qu’il était dispendieux, ce qui limite la participation au dépistage. Par peur de l’inconnu, beaucoup de répondantes avaient refusé le dépistage (48,8 %) alors que d’autres croyaient qu’elles n’étaient pas à risque (65,8 %). De plus, bon nombre de femmes (46,7 %) pensaient qu’il n’y avait pas de traitement contre le cancer du col. En conclusion, les connaissances fausses et inadéquates de ces femmes ont influencé leurs attitudes envers le dépistage du cancer.
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Pang, Kittie, Alison McAndrew, and Margaret Fitch. "Brève communication : Dépister la détresse en milieu communautaire." Canadian Oncology Nursing Journal 32, no. 2 (April 21, 2022): 311–18. http://dx.doi.org/10.5737/23688076322311318.

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But de l’étude : Le projet consistait à concevoir, perfectionner et tester une approche de dépistage de la détresse auprès des survivants du cancer qui fréquentent des organismes communautaires de soutien aux personnes atteintes du cancer. Méthodologie : Le projet s’est décliné en plusieurs phases; on a notamment effectué une revue de la littérature récente et formé des groupes de discussion avec les survivants du cancer et le personnel d’organismes communautaires. Les données ont été collectées pour servir d’assise à la conception et à la mise en œuvre d’une nouvelle approche de dépistage adaptée aux organismes communautaires de soutien du cancer qui souhaitent identifier la détresse psychosociale de leurs membres. Résultats : Les questionnaires normalisés utilisés dans les approches de dépistage de la détresse en contexte clinique n’étaient pas considérés comme appropriés par les survivants du cancer qui cherchaient du soutien en milieu communautaire. Une nouvelle approche de dépistage a été conçue et mise en œuvre en tenant compte des commentaires des survivants du cancer et du personnel des organismes communautaires. L’outil utilisé dans l’approche de dépistage était axé autour des problèmes pertinents des personnes en milieu communautaire. Si des problèmes étaient identifiés, le personnel suivait une trajectoire de soins personnalisée pour les résoudre. Les patients comme les employés ont trouvé l’approche de dépistage utile pour repérer les problèmes et les solutions afférentes. Conclusions : Les approches de dépistage de la détresse peuvent être utiles dans un contexte de soutien communautaire aux survivants du cancer pour identifier les personnes très à risque de vivre des difficultés. Les données du dépistage peuvent servir aux organismes qui souhaitent faire état de l’efficacité de leurs services.
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Sewitch, M. J., C. Fournier, A. Ciampi, and A. Dyachenko. "Le dépistage du cancer colorectal au Canada : Résultats d'une enquête nationale." Maladies chroniques au Canada 29, no. 1 (2008): 10–23. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.29.1.02f.

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Abstract:
Les lignes directrices canadiennes recommandent le dépistage du cancer colorectal (CCR) pour les personnes âgées de 50 à 74 ans. L'étude vise à estimer les taux du dépistage du CCR selon des caractéristiques individuelles et géographiques et de l'observation des lignes directrices en vigueur à l'égard du dépistage du CCR. Des enquêtés du cycle 2.1 de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes 2003 (âgés de ≥ 50 ans, sans CCR passé ou présent) ont participé à l'étude. Les taux d'utilisation et de dépistage par recherche de sang occulte dans les selles (RSOS) et endoscopie ont été calculés. L'échantillon comprend 16 747 résidents de Terre-Neuve, de l'Ontario, de la Saskatchewan et de la Colombie- Britannique. Dans l'ensemble, le taux de dépistage par RSOS était de 7,7 % au cours de la dernière année et le taux de dépistage par endoscopie était de 8,8 % dans les cinq dernières années. Les taux de dépistage par RSOS sont plus élevés chez les personnes sondées plus âgées et les personnes sondées de sexe masculin; les taux de dépistage par endoscopie sont plus élevés chez les interrogés plus âgés. Les personnes de 50 à 59 ans et de plus de 90 ans étaient les moins susceptibles d'avoir subi un dépistage. Environ 70 % des personnes sondées n'observaient pas les lignes directrices en vigueur sur le dépistage du CCR. Les taux d'inobservation étaient plus élevés dans la plupart des régions sanitaires de la Colombie-Britannique. Les données de l'enquête nationale semblent indiquer que le dépistage du CCR au Canada est faible; les personnes plus jeunes et les résidents de la Colombie-Britannique sont les moins susceptibles d'avoir subi un test de dépistage du CCR.
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Thierry, Alain R., and Rita Tanos. "La biopsie liquide." médecine/sciences 34, no. 10 (October 2018): 824–32. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2018208.

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Abstract:
La biopsie liquide est apparue comme une voie prometteuse pour le dépistage du cancer. En effet, plusieurs biomarqueurs comme les ADN circulants, les cellules tumorales circulantes, les micro-ARN circulants etc. se sont révélés prometteurs pour le théragnostic ou le suivi du patient. La détection précoce peut aider à réduire la mortalité associée au cancer et augmenter la survie globale des patients. La plupart des types de cancer manquent de biomarqueurs spécifiques et le développement de techniques de dépistage efficaces appliquées en clinique a été limité malgré des efforts intenses dans ce domaine. La nature non invasive de la biopsie liquide lui donne un avantage vis-à-vis d’autres méthodes, notamment pour le développement de tests de dépistage du cancer. Les différentes études fondées sur l’analyse de la biopsie liquide dans le but de développer des tests de dépistage et de détection précoce du cancer sont présentées dans cette revue. Bien qu’actuellement aucun test développé à partir de la biopsie liquide s’avère à la fois assez spécifique et sensible pour être utilisé comme test universel de dépistage, le potentiel de cette nouvelle approche apparaît de plus en plus crédible, eu égard aux récents développements de méthodes sophistiquées, notamment multiparamétriques.
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Jiang, Li, Julie Gilbert, Hugh Langley, Rahim Moineddin, and Patti A. Groome. "Cancer du sein : méthode de détection, intervalle diagnostique et recours aux unités d’évaluation diagnostique spécialisées en Ontario (Canada)." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 38, no. 10 (October 2018): 405–15. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.38.10.02f.

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Abstract:
Introduction Le cancer du sein est détecté soit par un examen de dépistage, soit à l’aide de signes et symptômes. Au Canada, les mammographies pour le dépistage du cancer du sein sont offertes dans le cadre de programmes organisés ainsi qu'en contexte indépendant (dépistage opportuniste). Les unités d’évaluation diagnostique (UED) de la province de l’Ontario sont des programmes en établissement qui fournissent des services diagnostiques coordonnés pour le cancer du sein. à la différence des soins habituels où le fournisseur de soins de première ligne organise les examens et les consultations. Cette étude décrit les méthodes de détection, l’intervalle diagnostique et l’utilisation des UED pour le cancer du sein en Ontario. Méthodologie L’étude a porté sur une cohorte de 6 898 femmes ayant reçu un diagnostic de cancer du sein envahissant en 2011. Nous avons utilisé le Registre d’inscription des cas de cancer de l’Ontario jumelé à des bases de données administratives sur les soins de santé. Nous avons déterminé la méthode de détection à l’aide des données du Programme ontarien de dépistage du cancer du sein (PODCS) et des demandes de règlement des médecins. L’intervalle diagnostique a été défini comme le temps écoulé entre le dépistage initial, l’aiguillage vers un spécialiste ou la première épreuve diagnostique et le diagnostic de cancer lui-même. Le parcours diagnostique (qu'il passe par les UED ou les soins habituels) a été déterminé en fonction des dossiers du PODCS et du lieu de biopsie ou d’intervention chirurgicale. Nous avons cartographié l’intervalle diagnostique et de la couverture des UED en fonction du lieu de résidence des femmes. Résultats En 2011, 36 % des cas de cancer du sein en Ontario ont été détectés par dépistage, dont 48 % chez des femmes de 50 à 69 ans. L’intervalle diagnostique provincial médian était de 32 jours, les médianes par comté variant entre 15 et 65 jours. À l’échelle provinciale, 48,4 % des cas ont été diagnostiqués dans une UED, ce pourcentage variant entre 0 et 100 % selon les comtés. Conclusion Le taux de détection au dépistage correspondant aux patientes admissibles du fait de leur âge s'est révélé inférieur au taux de dépistage officiel du cancer du sein pour l’ensemble de la population. La répartition géographique de l’intervalle diagnostique et du recours aux UED révèle des variations régionales dans les soins diagnostiques en oncologie qu'il est nécessaire de corriger.
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Lan, Romain, Anne-Charlotte Galieri, Jean-Hugues Catherine, and Delphine Tardivo. "Le cancer oral : état des lieux et perspectives de santé publique." Santé Publique 35, HS1 (December 1, 2023): 93–105. http://dx.doi.org/10.3917/spub.hs1.2023.0093.

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Abstract:
Malgré les progrès des traitements chirurgicaux et oncologiques, les taux d’incidence et de survie à 5 ans (~50 %) liés aux cancers oraux (CO) ne se sont pas améliorés au cours des dernières décennies et demeurent un problème majeur de santé publique. 70 % sont encore diagnostiqués à un stade tardif (T3 ou T4), avec un délai de diagnostic moyen de 2 à 5 mois. La guérison et la survie des patients étant directement liées au stade de développement de la tumeur au moment du diagnostic, l’objectif de ce travail est d’analyser l’ensemble des déterminants liés au cancer oral et de proposer de nouvelles approches cliniques de diagnostic et de dépistage. De nouveaux modèles de dépistage, de formations et d’actions concrètes sont proposés pour mieux sensibiliser la population à la problématique mondiale majeure que constitue le CO. Les forces et faiblesses des études de dépistage du CO nécessitent d’être objectivement appréhendées, pour orienter efficacement les essais dans les établissements de soins primaires et les dynamiser, avec la perspective d’utiliser de nouvelles technologies émergentes qui peuvent aider à améliorer la précision discriminatoire de la détection des cas. La plupart des organisations nationales n’ont, jusqu’à présent, pas recommandé le dépistage massif de la population, en raison d’un manque de preuves scientifiques suffisantes quant à la réduction de la mortalité qui lui serait associée. Lorsque les ressources en soins de santé sont élevées, un dépistage individuel opportuniste est recommandé, bien que la faiblesse de la capacité diagnostique des cliniciens en première ligne soit alarmante.
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Fontaine, M., K. L. Schwering, P. Priollet, C. Labrousse, and J. Trédaniel. "Dépistage des cancers liés au tabac : l'information préalable aux patients." Psycho-Oncologie 11, no. 4 (December 2017): 238–42. http://dx.doi.org/10.3166/s11839-017-0635-9.

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Abstract:
Les tests de dépistage des cancers sont des procédures proposées à une large partie de la population, ce qui engage nécessairement des enjeux de communication. Les lois françaises et des recommandations spécifiques définissent les prérequis en matière d'information prédépistage. Cet article compare qualitativement l'information transmise par les médecins aux patients lors d'une proposition de participation à un dépistage des cancers liés au tabac et ces recommandations pour tenter d'améliorer la communication médecin–patient dans ce cadre.
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McDonald, Mia, and Dawn Stacey. "Aide à la décision pour le dépistage du cancer du sein : Étude de cas pré-test/post-test." Canadian Oncology Nursing Journal 34, no. 2 (April 30, 2024): 158–65. http://dx.doi.org/10.5737/23688076342158.

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Abstract:
Les lignes directrices canadiennes recommandent la prise de décision partagée aux femmes de moins de 50 ans qui envisagent de passer des examens de dépistage du cancer du sein. Les infirmières peuvent les épauler dans le processus de décision. La présente étude de cas, menée selon une approche pré-test/post-test auprès d’une seule participante, a mesuré le changement survenu dans le conflit décisionnel vécu par une femme de moins de 50 ans ayant reçu du soutien à la décision pour choisir de subir ou non une mammographie de dépistage. Avant l’étude, cette femme, âgée de 44 ans, présentait un risque de cancer du sein dans la moyenne et vivait un conflit décisionnel. Elle a obtenu un score de 1 sur 4 au test SURE, indiquant qu’elle n’était pas bien informée, que ses valeurs n’étaient pas clairement définies et qu’elle ne se sentait pas bien soutenue. Après avoir reçu le soutien d’une infirmière formée pour l’aider à choisir de procéder ou non à une mammographie de dépistage du cancer du sein, elle a obtenu un score de 4 au test SURE, un signe d’absence de conflit décisionnel. La participante a gagné la confiance nécessaire pour prendre une décision éclairée qui respecte ses valeurs, le soutien à la décision lui ayant permis d’améliorer ses connaissances et d’apaiser son conflit décisionnel.
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BERKHOUT, C. "Inégalités sociales et dépistage du cancer du col de l'utérus." EXERCER 32, no. 176 (October 1, 2021): 348–49. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.176.348.

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Abstract:
En Europe, le cancer du col de l’utérus (CCU) est le cinquième cancer par son incidence et le septième par sa mortalité, avec une incidence annuelle d’environ 58 000 cas et 24 000 décès. Il se distingue par son caractère évitable et par sa mortalité importante en cas de survenue. Le dépistage du CCU par frottis cervico-utérin semble efficace pour réduire la mortalité qui lui est liée. Les campagnes de dépistage organisées du CCU instaurées dans certains pays ont entraîné une évolution épidémiologique favorable, et de nombreux pays ont adopté une politique de dépistage selon diverses recommandations ou organisations...
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Doyle, GP, D. Major, C. Chu, A. Stankiewicz, ML Harrison, L. Pogany, VM Mai, and J. Onysko. "Étude sur la participation à la mammographie de dépistage et sur son utilisation au Canada." Maladies chroniques et blessures au Canada 31, no. 4 (September 2011): 154–59. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.31.4.03f.

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Abstract:
Introduction Le taux de participation est un indicateur important de l’efficacité d’un programme de dépistage; cependant, la méthode actuellement utilisée pour mesurer le taux de participation au Canada ne permet pas d’établir des comparaisons avec les autres pays. Cette étude vise à évaluer la méthode utilisée pour mesurer la participation à la mammographie de dépistage au Canada, à comparer les méthodes utilisées à l’échelle internationale et à proposer d’autres méthodes. Méthodologie Les données des programmes canadiens de dépistage du cancer du sein sur les femmes âgées de 50 à 69 ans ayant subi un examen de dépistage entre 2004 et 2006 ont été extraites de la Base de données canadienne sur le dépistage du cancer du sein (BDCDCS). Les données sur les mammographies effectuées par des médecins rémunérés à l’acte (mammographies de dépistage opportunistes) ont été fournies par les ministères provinciaux de la Santé. Les taux de participation aux programmes de mammographie de dépistage et les taux d’utilisation à des intervalles de 24 et de 30 mois ont été examinés. Résultats Au Canada, le taux de participation aux programmes de dépistage s’élève à 39,4 % selon un intervalle de 24 mois, et il est de 43,6 % lorsque l’intervalle est fixé à 30 mois. Toujours au Canada, le taux d’utilisation de la mammographie s’élève à 63,1 % selon un intervalle de 24 mois; il passe à 70,4 % lorsque l’intervalle est de 30 mois. Conclusion Compte tenu des différences dans la prestation des services de santé d’une province canadienne à une autre, il faudrait surveiller tant la participation aux programmes que le taux d’utilisation global de la mammographie selon des intervalles de 24 et de 30 mois.
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MALMARTEL, A. "DEPISTAGE DU CANCER DU COL DE L UTERUS." EXERCER 32, no. 169 (January 1, 2021): 40–41. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.169.40.

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Abstract:
La Haute Autorité de santé (HAS) a publié en 2019 des recommandations concernant le dépistage du cancer du col de l’utérus comportant des différences notables avec les pratiques antérieures1. Le dépistage reste recommandé chez les femmes âgées de 25 à 65 ans. Elle ne recommande plus le double immunophénotypage quel que soit l’âge des patientes.
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King, Elizabeth, and David Busolo. "Rôle des infirmières praticiennes en soins primaires pour aplanir les obstacles au dépistage du cancer du col : revue de la littérature." Canadian Oncology Nursing Journal 32, no. 2 (April 21, 2022): 245–57. http://dx.doi.org/10.5737/23688076322245257.

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Abstract:
Presque tous les cas de cancer du col (CC) sont causés par une infection persistante au virus du papillome humain (VPH). Le cancer du col est le deuxième carcinome en importance chez les femmes; malgré tout, les taux de dépistage pour le Canada en 2017 ont raté l’objectif par 19 %. On a, par exemple, observé des taux aussi bas que 57,6 % dans les quartiers défavorisés de l’Ontario, comparativement à 70 % dans les quartiers aisés. Des obstacles complexes et multifactoriels nuisent à la participation des femmes au dépistage du cancer du col (DCC). Les écueils les plus courants sont directement liés aux disparités dans les déterminants de santé, notamment l’appartenance à une minorité ethnique, le faible statut socio-économique, une moins grande éducation, et la difficulté d’accès aux soins de santé. Les infirmières praticiennes (IP) peuvent aplanir ces obstacles en prodiguant des soins d’avant-garde, fondés sur la recherche, respectueux de la culture et attentifs aux besoins des femmes tout en établissant des liens de confiance avec les patientes, jouant ainsi un rôle plus vaste dans la prévention de la maladie. L’objectif de la présente revue de littérature est de résumer les contraintes au DCC et le rôle que peuvent jouer les IP canadiennes pour les alléger. Mots-clés : cancer du col, dépistage du cancer, infirmière praticienne, obstacles
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LEFEVBRE, T., S. ABED, L. CHÊNE, A. VALOIS, T. BOYÉ, and J. J. MORAND. "Les cancers de la peau." Médecine et Armées Vol.49 No.4, Volume 49, Numéro 4 (December 20, 2023): 37–56. http://dx.doi.org/10.17184/eac.8052.

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Abstract:
Les cancers cutanés sont le type le plus fréquent de cancer. L’augmentation de leur incidence depuis le milieu du XXe siècle est mondiale mais concerne surtout les pays industrialisés à population génétiquement peu pigmentée, dont les militaires. La progression des mélanomes et des carcinomes de Merkel est quasi-exponentielle. Or, ce sont des cancers à haut risque métastatique qui fort heureusement bénéficient désormais de nouvelles thérapeutiques dont l’immunothérapie. Les carcinomes basocellulaires et épidermoïdes sont encore les plus fréquents et sont favorisés par l’exposition solaire. Les sarcomes et les lymphomes cutanés constituent un cadre complexe méritant un dépistage plus précoce. La connaissance de ces tumeurs est donc fondamentale pour le médecin militaire.
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Bergeron, Christine, and Gérard Orth. "La prévention du cancer du col utérin." médecine/sciences 39, no. 5 (May 2023): 423–28. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023057.

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Abstract:
Le dépistage du cancer du col de l’utérus concerne les femmes âgées de 25 à 65 ans. Il consiste à recueillir des cellules en frottant le col utérin avec une spatule. Le matériel biologique prélevé est ensuite déposé directement sur lame ou après l’avoir dilué dans un conservateur et cytocentrifugé (cytologie en milieu liquide). Il est ensuite analysé au microscope. En juillet 2019, la Haute autorité de santé a recommandé de rechercher l’ADN des types de papillomavirus humains (human papillomavirus, HPV) à haut risque ou potentiellement oncogènes, par PCR (test HPV HR), comme première étape du dépistage après l’âge de 30 ans. Ce test est plus sensible que la cytologie pour diagnostiquer une lésion histologique malpighienne intraépithéliale de haut grade, et plus efficace pour prévenir les cancers invasifs. Lorsque ce test est positif, une analyse cytologique sur le même prélèvement est réalisée afin de sélectionner les patientes nécessitant une colposcopie. Le deuxième volet de la prévention du cancer du col utérin repose sur la vaccination. Nous discutons, dans cette revue, l’importance de la détection des lésions du col utérin et le rôle des HPV.
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Tahir, Talha, Melanie Wong, Rabia Tahir, and Michael Wong. "The Cost-Effectiveness of Mammography-Based Breast Cancer Screening in Canada." Canadian Journal of General Internal Medicine 16, no. 4 (December 19, 2021): 39–52. http://dx.doi.org/10.22374/cjgim.v16i4.520.

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Abstract:
Background: The current literature on female breast cancer screening is largely focused on the health out-comes that result from screening. There is comparatively little data on the cost-effectiveness of the screening. Methods: This systematic review sought to identify all studies published within the last 10 years that analyzed the cost-effectiveness of mammography-based female breast cancer screening policies in Canada. Results: Seven studies were included, and four were applicable to the average-risk Canadian women. Triennial screening for average-risk women aged 50–69 years was the most cost-effective in terms of cost per QALY. The use of MRI with mammography for women with the BRCA1/2 mutation was cost-effective, while annual mammography-based screening for women with dense breasts was cost-ineffective. Conclusion: Analyses of the cost-effectiveness of mammography-based screening within Canadian populations are few in numbers and have heterogeneous methodologies. The existing data suggest that Canada’s current screening policy to screen average-risk women aged 50–74 years, biennially or triennially is cost-effective. RésuméContexte : La documentation actuelle sur le dépistage du cancer du sein chez la femme est principalement axée sur les résultats cliniques qui découlent du dépistage. Il existe relativement peu de données sur le rapport coût/efficacité du dépistage. Méthodologie : Cette revue systématique a tenté de repérer toutes les études publiées au cours des dix dernières années qui ont analysé la rentabilité des politiques de dépistage du cancer du sein par mammogra-phie chez la femme au Canada. Résultats : Sept études ont été retenues, et quatre d’entre elles s’appliquent aux femmes canadiennes à risque moyen. Le dépistage triennal chez les femmes à risque moyen âgées de 50 à 69 ans est le plus rentable en ce qui concerne le coût par AVAQ. L’utilisation de l’IRM couplée à la mammographie chez les femmes présentant la mutation BRCA1/2 est rentable, tandis que le dépistage annuel par mammographie chez les femmes aux seins denses ne l’est pas. Conclusion : Les analyses du rapport coût/efficacité du dépistage par mammographie au sein des populations canadiennes sont peu nombreuses et leurs méthodologies sont hétérogènes. D’après les données existantes, la politique actuelle du Canada en matière de dépistage, qui consiste à faire subir une mammographie de dépi-stage aux femmes à risque moyen âgées de 50 à 74 ans tous les deux ou trois ans, est rentable.
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Bulliard, de Landtsheer, and Levi. "Fidélisation aux programmes de dépistage du cancer du sein en Suisse: rôle central du médecin." Praxis 94, no. 36 (September 1, 2005): 1381–87. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.94.36.1381.

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Abstract:
Les caractéristiques des participantes au premier cycle du programme pilote suisse de dépistage du cancer du sein par mammographie, ainsi que les facteurs déterminant la fidélisation au programme ont été explorés. Lors du premier cycle d'invitation, entre 1993 et 1995, des données sur les caractéristiques sociodémographiques des participantes, le comportement en matière de santé et l'utilisation des services de prévention, ainsi que les caractéristiques des médecins référents ont été collectées. Les 4162 participantes au premier cycle de dépistage ont fait l'objet d'un suivi prospectif jusqu'au cycle suivant. Les déterminants d'une nouvelle participation (fidélisation) ont été identifiés à l'aide d'un modèle statistique de régression logistique. Le taux de fidélisation est élevé (80%). Les femmes les plus disposées à revenir au dépistage vivaient en milieu urbain, étaient de nationalité suisse et avaient reçu un résultat négatif (plutôt qu'un résultat faux positif) lors de la première participation. Plus l'effort déployé par le programme pour aboutir à la première participation (lettre(s) de rappel) avait été élevé, moindre était la probabilité que la femme revienne au dépistage. Le fait d'avoir déjà bénéficié d'un dépistage par mammographie avant l'entrée dans le programme était associé à une plus forte fidélisation au programme. La fidélisation s'est avérée plus élevée lorsque le médecin de référence était gynécologue, de sexe féminin et plutôt jeune. La participation aux programmes de dépistage par mammographie n'est pas uniquement influencée par des facteurs liés aux femmes mais aussi par des facteurs d'ordre structurel. Pour cette raison, elle doit être étudiée par une approche globale. La compréhension et la quantification des déterminants de la participation et de la fidélisation sont des éléments-clé à considérer pour toute stratégie visant à augmenter l'impact des programmes organisés de dépistage du cancer.
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GUINEBERTEAU, C., and S. MUNCK. "REALISATION PREMATUREE DU FROTTIS CERVICO-UTERIN CHEZ LES MOINS DE 25 ANS SELON LE MODE CONTRACEPTIF." EXERCER 32, no. 178 (December 1, 2021): 465–72. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.178.465.

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Le dépistage du cancer du col utérin par frottis cervico-utérin (FCU) est un dépistage pertinent lorsqu’il est réalisé tous les 3 ou 5 ans pour les 25-65 ans. D’après un rapport de la Haute Autorité de santé de 2010, 40 % des femmes étaient surdépistées. Les conséquences du surdépistage sont multiples : renoncement au suivi, risque d’accouchement prématuré, surcoût sociétal et personnel...
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Sweeney-Magee, Molly, Carolyn Gotay, Mohammad Ehsanul Karim, Jennifer Telford, and Trevor Dummer. "Tendances et déterminants de l’adhésion aux recommandations en matière de prévention primaire et secondaire du cancer colorectal dans le cadre du BC Generations Project." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 42, no. 2 (February 2022): 89–104. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.42.2.04f.

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Abstract:
Introduction L’adhésion aux recommandations en matière de prévention du cancer peut grandement réduire le risque de cancer colorectal. Cette étude porte sur les tendances et les déterminants de l’adhésion à ces recommandations par les participants (n = 26 074) au début d’une étude de cohorte en Colombie‑Britannique (Canada). Méthodologie Nous avons mesuré l’adhésion à cinq comportements de prévention primaire du cancer colorectal tirés des recommandations émises par la Société canadienne du cancer et le Fonds mondial de recherche contre le cancer (absence de tabagisme, indice de masse corporelle (IMC), activité physique, consommation d’alcool et consommation de fruits et légumes) et nous avons établi un score composite reposant sur la somme des mesures. La définition de l’adhésion aux comportements de prévention secondaire est fondée sur les recommandations du Groupe d’étude canadien sur les soins de santé préventifs pour le dépistage du cancer colorectal. Résultats L’adhésion aux lignes directrices en matière de prévention primaire variait entre 94,8 % (absence de tabagisme) à 44,2 % (IMC santé). Le score composite médian était de 4. Les scores composites supérieurs ont été associés au fait d’être une femme, d’être marié(e) et d’avoir un niveau de scolarité plus élevé. Le taux d’adhésion au dépistage du cancer colorectal était de 62,4 %. Un âge avancé, la présence de maladies chroniques, le fait d’avoir subi un examen médical récemment et le fait de faire partie d’un ménage à revenu élevé étaient associés à une probabilité accrue d’adhésion au dépistage. Conclusion L’adhésion à certains comportements de prévention du cancer colorectal s’est révélée élevée, ce qui concorde avec les constatations selon lesquelles la Colombie-Britannique affiche des taux faibles pour de nombreux comportements risqués pour la santé. Cependant, on a constaté une agglomération de plus faible adhésion aux comportements de prévention les uns avec les autres et en présence d’autres facteurs de risque. L’adhésion au dépistage s’est révélée élevée, mais varie en fonction de certains facteurs sociodémographiques et sanitaires. Les travaux futurs devraient porter sur des interventions ciblées visant à améliorer l’adhésion des individus faisant partie des groupes dont le statut socioéconomique et l’état de santé sont les plus précaires. Il faut également mieux comprendre les obstacles à l’accès et à la participation au dépistage du cancer colorectal, qui persistent même au sein du système de santé public canadien.
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Jordan, Bertrand. "Le dépistage du cancer sauve-t-il vraiment des vies ?" médecine/sciences 39, no. 11 (November 2023): 885–87. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023158.

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Abstract:
Systematic screening for specific cancers has been shown to reduce cancer-specific mortality, but has not demonstrated an effect on all-cause mortality. This paradox is due to minor but frequent risks of screening bearing on a large population, and also to the small beneficial effect expected even if screening is highly efficient. Upcoming multicancer detection approaches should allow a better detection of the effect (if any) of screening on all-cause mortality.
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Hill, Catherine. "Prévention et dépistage des cancers." Bulletin du Cancer 100, no. 6 (June 2013): 547–54. http://dx.doi.org/10.1684/bdc.2013.1770.

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Moulion Tapouh Jean Roger, Djanteng Seuji Priscille, Dongmo Fomekong Sylviane, Nwatsock Joseph Francis, Onana Yannick Richard, Mbede Maggy, Maleu Mbah Félicité, and Moifo Boniface. "Mammography supply for breast cancer screening at the eve of Universal Health Coverage in Yaounde city (Cameroon, Central Africa)." Journal Africain d Imagerie Médicale (J Afr Imag Méd) Journal Officiel de la Société de Radiologie d’Afrique Noire Francophone (SRANF) 16, no. 2 (June 18, 2024): 51–56. http://dx.doi.org/10.55715/jaim.v16i2.590.

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Abstract:
RÉSUMÉ Introduction : Le cancer du sein reste le cancer le plus répandu chez les femmes dans le monde. Le Cameroun a adopté une politique annuelle de dépistage par mammographie pour les femmes âgées de 40 ans et plus. Objectif : Évaluer la capacité de l'offre actuelle de mammographie à répondre aux besoins de dépistage du cancer du sein dans la ville de Yaoundé. Méthodes : Etude transversale ciblant les services de radiologie comportant une unité de mammographie dans la ville de Yaoundé (Cameroun, Afrique Centrale) de janvier 2021 à juin 2021. Nous avons collecté la géolocalisation, le nombre de mammographies réalisées par mois et le coût d'une mammographie de dépistage dans chaque service radiologie. La capacité était définie comme le nombre d'unités de mammographie disponibles pour 10 000 femmes âgées de 40 ans et plus. Résultats : A Yaoundé, 37,78% (17/45) des services de radiologie disposaient d'un appareil de mammographie, et 76,47% (13/17) de ces appareils étaient en état de fonctionnement au moment de l'étude. Le nombre médian de mammographies réalisées par mois dans chaque service était de 15 [8-60], et le coût médian d'une mammographie de dépistage était de 53.55 US dollars [48.68 - 64.9]. Les unités de mammographie étaient principalement situées dans le centre administratif, mais elles étaient accessibles à moins d'une heure de route depuis n'importe quel endroit de la ville. La capacité était estimée à 0,32 pour 10 000 femmes âgées de 40 ans, ce qui suffisait à peine à couvrir 19,54 % des besoins en mammographie de dépistage chez les femmes éligibles. Conclusion : L'offre de services de mammographie dans la ville de Yaoundé était insuffisante pour couvrir les besoins en matière de dépistage du cancer du sein en 2021. Les unités de mammographie fonctionnelles étaient accessibles mais sous-utilisées. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour identifier les obstacles au dépistage par mammographie et la rareté des unités de mammographie à Yaoundé. ABSTRACT Background: Breast cancer remains the most common cancer among women worldwide. Cameroon has adopted an annual mammography screening policy for women aged 40 years and over. Objective: To evaluate the capacity of the current mammography supply to meet the needs for breast cancer screening in Yaounde City. Methods: Cross-sectional study targeting radiology departments containing a mammography unit in Yaounde (Cameroon, Central Africa) from January 2021 to June 2021. We collected the geolocation, number of mammograms performed per month, and cost of a screening mammogram for each radiology service. We calculated mammography capacity as the number of mammography units per 10,000 women aged 40 and above. Results: In Yaounde, 37.78% (17/45) of radiology departments had a mammography unit, and 76.47% (13/17) of these units were in operating condition at the time of the study. The median number of mammograms performed per month in each service was 15 [8 - 60], and the median cost of a screening mammogram was 53.55 US dollars [48.68 - 64.9]. Mammography units were mainly located in the administrative center, but they were accessible within an hour's drive from any location in the city. The capacity was estimated to be 0.32 per 10,000 women aged 40, which was only enough to cover 19.54% of the needs for screening mammography in eligible women. Conclusion: Mammography service supply in Yaounde was critically insufficient to cover breast cancer screening needs in 2021. Functional mammography units were accessible but underutilized. Further research is needed to identify the barriers to mammography screening and the scarcity of mammography units in Yaounde.
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Bejou, B., and R. Benamouzig. "Dépistage du cancer colorectal." EMC - Gastro-entérologie 5, no. 1 (January 2010): 1–12. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1968(10)26602-6.

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Bedrossian Samaha, Doreen. "Dépistage du cancer colorectal." Soins Aides-Soignantes 17, no. 92 (January 2020): 8–10. http://dx.doi.org/10.1016/j.sasoi.2019.12.002.

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Lemarié, E. "Dépistage du cancer bronchique." Revue des Maladies Respiratoires Actualités 1 (June 2009): S124—S125. http://dx.doi.org/10.1016/s1877-1203(09)75288-7.

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42

Nackaerts, K. "Dépistage du cancer bronchique." Revue des Maladies Respiratoires Actualités 6, no. 4 (September 2014): 335–40. http://dx.doi.org/10.1016/s1877-1203(14)70586-5.

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43

Lemarié, E. "Dépistage du cancer bronchique." Revue des Maladies Respiratoires 21, no. 5 (November 2004): 88–89. http://dx.doi.org/10.1016/s0761-8425(04)71516-8.

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44

Gornet, J. M. "Dépistage du cancer colorectal." Pathologie Biologie 52, no. 3 (April 2004): 115–16. http://dx.doi.org/10.1016/j.patbio.2003.12.004.

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45

Vonlaufen, Alain, François-Xavier Troillet, and Berj Armenian. "Dépistage du cancer colorectal." Revue Médicale Suisse 9, no. 381 (2013): 754–57. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2013.9.381.0754.

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46

Dorta, Gian, Hayssam Moubayed, and Joël Thorens. "Dépistage du cancer colorectal." Revue Médicale Suisse 61, no. 2422 (2003): 234–36. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2003.61.2422.0234.

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Leupin, Nicolas, Jean Bauer, François Lüthi, Danielle Liénard, Mme Diane Vulliémoz, and S. Leyvraz. "Le dépistage du cancer." Revue Médicale Suisse 1, no. 20 (2005): 1328–34. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2005.1.20.1328.

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Dangbemey, P., M. Aboubakar, R. Atade, RS Imorou, M. Tamegnon, M. Ogoudjobi, B. Hounkpatin, et al. "C53: Expérience des centres de dépistage du cancer du col de l'utérus au Bénin et perspectives de passage à l'échelle." African Journal of Oncology 2, no. 1 Supplement (March 1, 2022): S23—S24. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c53.uori5299.

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Abstract:
INTRODUCTION : La forte mortalité précoce du cancer du col de l’utérus en Afrique peut être améliorée. Le dépistage opportuniste par inspection visuelle avec l’acide acétique (IVA) suivi d’un traitement en une ou deux visites des lésions précancéreuses reste la meilleure solution. La Fondation Claudine Talon (FCT), en partenariat avec certains organismes, a mis en place un programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus au Bénin. L’objectif visé était de présenter l’expérience des centres de dépistage du cancer du col de l’utérus au Bénin et les perspectives de passage à l’échelle. MATERIELS ET METHODES : Il s’agissait d’une étude multisite, longitudinale, descriptive et analytique réalisée dans six formations sanitaires de Cotonou (Bénin) sur une période de 18 mois suivie de la phase de mise à l’échelle. La population d’étude était des patientes admises dans les centres de dépistage du cancer du col de l’utérus de Cotonou. L’échantillonnage était non probabiliste avec un recrutement systématique des patientes. Les critères d’inclusion étaient : avoir entre 25 et 49 ans, avoir donné son consentement éclairé, être dépistée avec de l’acide acétique et du lugol dans les centres de dépistage équipés, par un agent de santé formé. Les variables étudiées étaient sociodémographiques, cliniques, les résultats du test à l’IVA/IVL, les aspects colposcopiques et histologiques des lésions. Les tests visuels (IVA/IVL) consiste à badigeonner le col de l’utérus avec quatre ml de l’acide acétique dosé entre trois et 5%. L’analyse visuelle et méthodique du col de l’utérus, une minute après l’application de l’acide, fait suite à l’application de quatre ml du lugol sur le col. Les lésions moins graves étaient traitées immédiatement ou en deux visites au maximum, par la thermocoagulation tandis que les lésions sévères ou ininterprétables étaient référées pour la colposcopie qui était systématique avec ou sans biopsie ou conisation/résection à l’anse diathermique. Un suivi était établi pour chaque cas. RESULTATS : Sur 5.966 femme enrôlées, 734 dépistées étaient positives, soit un taux de positivité de 12,4%. Sur 288 colposcopies réalisées, 105 (36,4%) étaient pathologiques avec 53,3% (n=56) de lésions graves dont cinq cas de lésions micro-invasives. La valeur prédictive positive (VPP) de l’IVA/IVL était de 76,90% et la fréquence des lésions précancéreuses était 8,9%. Au total 461 (86,2%) lésions dont 33 au centre de référence, étaient traitées par la thermocoagulation et 51(48,6%) lésions graves avaient nécessité la réalisation de la conisation/RAD. Les complications post-thermocoagulations représentaient 2,3% des cas contre 9,8% en cas de conisation/RAD. Le taux d’acceptabilité de l’approche « dépister et traiter » était de 96,6%. Le taux de guérison était de 94% à 12 mois. Le suivi global à 12 mois était de 58%. La mise à l’échelle était progressive et par région. Elle a connu, en septembre 2021, 3.546 cas dépistées pour 329 positifs à l’IVA, soit un taux de positivité de 9,3%. CONCLUSION : Le dépistage opportuniste par IVA/IVL suivi du traitement des lésions précancéreuses améliore l’efficacité du dépistage, permet d’éviter des perdues de vue le diagnostic tardif du cancer du col de l’utérus. Le passage progressif à l’échelle par zonage améliore la couverture de dépistage.
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Séradour, Brigitte, and Juliette Bloch. "Dépistage organisé des cancers du sein." Journal de Radiologie 85, no. 9 (September 2004): 1342. http://dx.doi.org/10.1016/s0221-0363(04)77107-3.

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Séradour, Brigitte, and Marie-Hélène Dilhuydy. "Dépistage organisé des cancers du sein." EMC - Gynécologie 1, no. 1 (January 2006): 1–6. http://dx.doi.org/10.1016/s0246-1064(00)00023-2.

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