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Barbier, Rémi, and Corinne Larrue. "Démocratie environnementale et territoires : un bilan d'étape." Participations 1, no. 1 (2011): 67. http://dx.doi.org/10.3917/parti.001.0067.

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Galibert, Olivier. "L'injonction participative au débat environnemental en ligne : imaginaires d'Internet, démocratie environnementale et communication engageante." Les Enjeux de l'information et de la communication 14/1, no. 1 (2013): 35. http://dx.doi.org/10.3917/enic.014.0035.

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3

Depraz, Samuel. "Action environnementale et démocratie locale en Hongrie post-socialiste." Revue d’études comparatives Est-Ouest 36, no. 1 (2005): 33–61. http://dx.doi.org/10.3406/receo.2005.1695.

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4

Prieur, Michel. "La Convention d'Aarhus, instrument universel de la démocratie environnementale." Revue Juridique de l'Environnement 24, no. 1 (1999): 9–29. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1999.3592.

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Buclet, Nicolas. "Gestion de crise environnementale et démocratie participative : le cas de l'incinération des déchets ménagers." Politiques et management public 23, no. 2 (2005): 91–116. http://dx.doi.org/10.3406/pomap.2005.2279.

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Larroque, Claire. "Corruption de la démocratie et enjeu environnemental : la « crise des ordures » napolitaine." Les ateliers de l'éthique 9, no. 1 (April 9, 2014): 167–89. http://dx.doi.org/10.7202/1024300ar.

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Abstract:
Cet article se propose d’étudier la question de la corruption démocratique à partir d’un cas précis, celui de la crise du traitement des déchets à Naples, communément nommée « crise des ordures ». En analysant trois formes ou niveaux de corruption démocratique lors de cette crise, l’article souhaite souligner que le terme de corruption démocratique, loin de désigner un mécanisme précis, qualifie, au contraire, des actes, des pratiques et des phénomènes très divers. La crise napolitaine est marquée, d’une part, par l’implication du réseau mafieux local – la Camorra – et, d’autre part, par de graves problèmes environnementaux. L’article analyse donc, dans un premier temps, le phénomène de corruption démocratique lié à la présence d’un réseau mafieux et s’attache ensuite à montrer que ce phénomène n’est pas uniquement lié à la présence de la Camorra. En montrant que la mise en place des commissariats extraordinaires est une réponse gouvernementale technocratique à la crise napolitaine, l’article met ensuite en exergue le lien peu évident existant entre corruption démocratique et environnement. Il démontre la difficulté pour nos démocraties libérales et représentatives de répondre démocratiquement à l’enjeu environnemental contemporain et soutient que cette difficulté relève d’une forme de corruption démocratique.
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Ekomene, Genèse Bibi. "COMPETENCES DES JURIDICTIONS CONGOLAISES A L’EGARD DES CRIMES ENVIRONNEMENTAUX." KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques 5, no. 4 (2018): 614–36. http://dx.doi.org/10.5771/2363-6262-2018-4-614.

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Abstract:
Cet article analyse le cadre institutionnel de la répression des crimes environnementaux en République Démocratique du Congo. Il s’agit des infractions contre la législation environnementale qui régit notamment la faune, la flore, les mines et les hydrocarbures. L’auteure fait le constat d’une impunité quasi totale en rapport avec les crimes environnementaux tel qu’attesté par la carence de la jurisprudence en la matière au sein des juridictions. Et pourtant, les cours et tribunaux congolais ordinaires ont également des compétences en matière environnementale. Cette étude met exergue quelques obstacles qui empêchent les juges à réprimer les infractions à l’environnement et propose des solutions pour rendre effective la lutte contre la criminalité environnementale.
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Montouroy, Yves. "La démocratie environnementale au défi des triangles de fer : ouvrir la fabrication des politiques publiques à la société civile." Participations 8, no. 1 (2014): 173. http://dx.doi.org/10.3917/parti.008.0173.

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Graben, Sari M. "Assessing Stakeholder Participation in Sub-Arctic Co-Management: Administrative Rulemaking and Private Agreements." Windsor Yearbook of Access to Justice 29 (February 1, 2011): 195. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v29i0.4485.

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Abstract:
This paper argues that participatory governance initiatives like co-management can be made effective through agency rulemaking. Using the Mackenzie Valley Environmental Impact Review Board as a case study, this paper affirms that it is possible for marginalized stakeholders to participate in co-management and alter decision-making. By using its formal authority to generate rules that reflect community perspectives, this board contextualized environmental assessment in community-based perspectives. The study of participation presented here illustrates: 1) that a high level of agency support for community participation in rule-making can lead to rules which reflect community perspectives; and 2) that agency implementation of community perspectives has led to the increased use of stakeholder collaboration through private agreement. Nonetheless, the paper also addresses limitations on the ability to translate social needs into privately negotiated agreements where negotiations depart from highly commoditized terms. Consequently, this paper questions the use of negotiated agreements to meet the goals of stakeholder participation, as conceived by deliberative democratic strands of new governance.Dans cet article, l’auteure soutient que le pouvoir de règlementation d’un organisme peut rendre plus efficace de nouvelles initiatives en matière de gouvernance telles que la cogestion. Prenant l’Office d’examen des répercussions environnementales de la vallée du Mackenzie comme exemple, elle affirme que des parties prenantes marginalisées ont la possibilité de participer à de nouvelles modalités de gouvernance comme la cogestion et d’influer sur la prise de décision. En exerçant son pouvoir d’adopter des règles inspirées des valeurs communautaires, l’Office a procédé à une évaluation environnementale en tenant compte du contexte communautaire. L’étude de participation présentée ici démontre: 1) que, lorsqu’un organisme appuie fortement la participation de la collectivité à l’élaboration des règles, les règles adoptées peuvent davantage refléter les valeurs communautaires; et 2) que l’adhésion de l’organisme aux valeurs communautaires favorise une plus grande collaboration entre les parties prenantes, grâce à la conclusion d’ententes privées. Quoi qu’il en soit, l’article révèle également que la capacité d’exprimer des besoins sociaux dans des ententes privées négociées est limitée. Lorsque les négociations dévient des termes hautement standardisés et tentent d’inclure différentes valeurs communautaires, la participation des parties prenantes est restreinte. L’article remet par conséquent en question l’utilisation d’ententes négociées pour atteindre les buts fixés en matière de participation des parties prenantes, telle que les conçoivent les courants de pensée s’appuyant sur la démocratie délibérative au regard de la nouvelle gouvernance.
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Pissaloux, Jean-Luc. "La démocratie participative dans le domaine environnemental." Revue française d'administration publique 137-138, no. 1 (2011): 123. http://dx.doi.org/10.3917/rfap.137.0123.

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Bouneau, Christophe, Michel Derdevet, and Jacques Percebois. "Le défi environnemental et démocratique." Nouvelles FondationS 6, no. 2 (2007): 86. http://dx.doi.org/10.3917/nf.006.0086.

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Maurice, Paul. "Les mouvements environnementaux en République démocratique allemande." Allemagne d'aujourd'hui N° 228, no. 2 (2019): 144. http://dx.doi.org/10.3917/all.228.0144.

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Zmirou, Denis. "De la démocratie en expertise. Le cas des risques sanitaires environnementaux." Santé Publique 18, no. 3 (2006): 483. http://dx.doi.org/10.3917/spub.063.0483.

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Toé, François Thierry, and Anne-Marie Émond. "Overview of Museum Education and Cultural Mediation in a Quebec Regional Museum: Between Democracy and Cultural Democratization / Aperçu de l’éducation muséale et de la médiation culturelle dans un musée régional du Québec : entre démocratie et démocratisation culturelle." Canadian Review of Art Education / Revue canadienne d’éducation artistique 46, no. 2 (September 13, 2019): 54–70. http://dx.doi.org/10.26443/crae.v46i2.77.

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Abstract:
Summary: The Beaulne Museum is a regional institution located in Coaticook, Quebec. Its threefold mission includes the showcasing of textiles and costumes, local heritage, and visual arts. While favouring an historical approach, the museum’s programming is also open to modernity. A large number of exhibitions and a range of cultural activities are offered to the public with the aim of promoting cultural democracy and cultural democratization. This paper examines audiences’ response to the museum’s offerings and the impact of the socio-economic and environmental context on the relevance of its activities.Keywords: Museum education; Regional museum; Cultural democracy; Cultural democratization; Cultural mediation.Résumé : Le Musée Beaulne est une institution régionale de Coaticook, au Québec. Sa mission à trois volets inclut la mise en valeur des textiles et des costumes, du patrimoine local et des arts visuels. Privilégiant une approche historique, la programmation du musée laisse néanmoins place à la modernité. Il propose au public une vaste gamme d’expositions et d’activités culturelles dans le but de promouvoir la démocratie culturelle et la démocratisation culturelle. Cet article porte sur la réaction de la clientèle aux propositions du musée ainsi que sur l’impact du cadre socioéconomique et environnemental vis-à-vis la pertinence des activités muséales.Mots-clés : éducation muséale ; musée régional ; démocratie culturelle ; démocratisation culturelle ; médiation culturelle.
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Reyniers, Camille. "Agroforesterie et déforestation en République démocratique du Congo. Miracle ou mirage environnemental ?" Mondes en développement 187, no. 3 (2019): 113. http://dx.doi.org/10.3917/med.187.0113.

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Rhouma, Amel ben, Éric Demolli, Jean-Yves Moisseron, and Tristan Boyer. "Transition démocratique et reporting environnemental, social et de gouvernance (ESG) en Tunisie." Maghreb - Machrek 209, no. 3 (2011): 43. http://dx.doi.org/10.3917/machr.209.0043.

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Koveneva, Olga. "Les communautés politiques en France et en Russie: Regards croisés sur quelques modalités du «vivre ensemble»." Annales. Histoire, Sciences Sociales 66, no. 3 (September 2011): 785–817. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900011112.

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Abstract:
RésuméL’article présente un regard comparatif sur les modalités d’agrandissement de la cause environnementale en France et en Russie depuis des usages locaux. En suivant de près la formation progressive des collectifs écologiques, nous mettons en lumière les exigences qui pèsent sur la transformation de l’environnement de proximité, mais aussi sur celle des personnes en êtres publics. Nous appréhendons les tensions qui accompagnent ce mouvement, les vacillements et basculements entre les attachements locaux et engagements publics, ainsi que les tentatives politiques de laisser place, voire de mettre en valeur au sein-même du format public, les relations personnelles et attaches familières. Cette démarche nous permet de porter un regard symétrique et nuancé sur les cas étudiés et de rendre compte des difficultés et obstacles qui jalonnent le chemin de l’apprentissage de l’exercice démocratique.
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Sohnle, Jochen. "Démocratie et diplomatie environnementales – Acteurs et processus en droit international, Éric Canal-Forgues, éd Pedone, 2015." Civitas Europa 36, no. 1 (2016): 241. http://dx.doi.org/10.3917/civit.036.0241.

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Fontan, Jean-Marc, Pierre Hamel, Richard Morin, and Eric Shragge. "Le développement local dans un contexte métropolitain." Articles 25, no. 1 (September 8, 2006): 99–127. http://dx.doi.org/10.7202/013517ar.

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Abstract:
Résumé Traditionnellement, le développement local en référence aux milieux urbains s’est avant tout défini à l’échelle des quartiers. Nous avançons ici l’hypothèse que, à la faveur de la mondialisation, les acteurs sociaux qui en ont fait la promotion dans le passé, en particulier les acteurs du milieu communautaire, devraient dorénavant se tourner vers l’espace métropolitain, car c’est à cette échelle que prennent place, de plus en plus, non seulement le développement économique, mais aussi la gestion des problèmes sociaux et environnementaux. Pour vérifier cette hypothèse, nous avons fait une étude empirique des pratiques des organismes communautaires de la région de Montréal en matière de développement local, en accordant une attention particulière à leur engagement sur le plan de la démocratie locale. Toutefois, les résultats de notre enquête n’ont pas permis de vérifier notre hypothèse. Cela peut sans doute être expliqué, du moins en partie, par le fait que l’espace métropolitain en tant que territoire politique demeure relativement récent à Montréal.
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Do Nascimento José da Costa, Manuel D'Assunção, and Lúcio Correia Miranda. "DESMATAMENTO, BEM-ESTAR COMUNITÁRIO E O DESENVOLVIMENTO SUSTENTÁVEL: uma análise integrada em São Tomé e Príncipe – África." InterEspaço: Revista de Geografia e Interdisciplinaridade 3, no. 9 (October 10, 2017): 109. http://dx.doi.org/10.18764/2446-6549.v3n9p109-125.

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Abstract:
DEFORESTATION, COMMUNITY WELLNESS AND SUSTAINABLE DEVELOPMENT: an integrated analysis in Sao Tome and Principe - AfricaDÉFORESTATION, BIEN-ÊTRE COMMUNAUTAIRE ET DÉVELOPPEMENT DURABLE: une analyse intégrée à Sao Tomé-et- Principe – AfriqueA preocupação com a natureza, frente aos impactos negativos provocados pela ação humana, tem sido objeto de grande reflexão internacional. Vários eventos já foram realizados sobre a matéria, mormente apelando à conservação dos recursos naturais e à necessidade do desenvolvimento sustentável. Entretanto, atrocidades contra a natureza têm defasado fauna e flora em diversos lugares, como é caso de São Tomé e Príncipe. Eis o objeto do presente trabalho: analisa-se a relação socioambiental no país, sobretudo as causas e efeitos da acentuada prática do desmatamento. E para tanto, usou-se uma metodologia centralizada na revisão da literatura complementada com uma análise interpretativa e reflexiva sobre os problemas ambientais. Assim, convém destacar subsídios teóricos usados: Eiffert (2010); Castro et al. (2005); Filho (2000); Rodriguez et al. ( 2009); Souza et al. (2012). Outrossim, diplomas legais que dispõem sobre a matéria foram de capital importância, sobretudo a Constituição da República Democrática de São Tomé e Príncipe 2003 e da Lei n.º 05/2001, Lei de Florestas. No decorrer da análise, constatou-se que o fator desmatamento registrado, em parte, está condicionado ao fator econômico (pobreza), e isso impôs à necessidade da reflexão socioeconômica em conjugação com o fator socioambiental. Por fim, instiga-se a importância de planos estratégicos para uso sustentável de recursos naturais, visando à estabilidade ecológica local. São essas reflexões que deram sustentação e especificidade no desenrolar do presente estudo, o qual se espera ensejar mais reflexões e debates sobre a matéria em epígrafe.Palavras-chave: Impacto Ambiental; Bem-estar Comunitário; São Tomé e Príncipe.ABSTRACTThe concern with nature, in the face of the negative impacts caused by human action, has been the object of great international reflection. Several events have already been held on the subject, especially appealing to the conservation of natural resources and the need for sustainable development. However, atrocities against nature have lagged fauna and flora in several places, as is the case of São Tomé and Príncipe. The objective of the present study is to analyze the socio-environmental relationship in the country, especially the causes and effects of the marked deforestation practice. For this purpose, a centralized methodology was used in the review of the literature and complemented with an interpretative and reflexive analysis on the environmental problems. Thus, it is worth mentioning the theoretical subsidies used: Eiffert (2010); Castro et al. (2005); Filho (2000); Rodriguez et al. (2009); Souza et al. (2012). In addition, the legal provisions on this matter were of paramount importance, especially the Constitution of the Democratic Republic of São Tomé and Príncipe 2003 and Law no. 05/2001, Law on Forests. In the course of the analysis, it was found that the recorded deforestation factor, in part, is conditioned to the economic factor (poverty), and this imposed the need for socioeconomic reflection in conjunction with the socio-environmental factor. Finally, the importance of strategic plans for the sustainable use of natural resources is instigated, aiming at the local ecological stability. It is these reflections that gave support and specificity in the course of the present study, which is expected to lead to more reflections and debates on the subject in question.Keywords: Environmental Impact; Community Well-being; Sao Tome and Principe.RÉSUMÉLa préoccupation de la nature, face aux impacts négatifs causés par l'action humaine, a fait l'objet d'une grande réflexion internationale. Plusieurs événements ont déjà eu lieu sur le sujet, en particulier pour la conservation des ressources naturelles et la nécessité d'un développement durable. Cependant, les atrocités contre la nature ont retardé la faune et la flore dans plusieurs endroits, comme c'est le cas à São Tomé et Príncipe. L'objectif de la présente étude est d'analyser les relations socio-environnementales dans le pays, en particulier les causes et les effets de la pratique de la déforestation. À cette fin, une méthodologie centralisée a été utilisée dans l'examen de la littérature et complétée par une analyse interprétative et réflexive des problèmes environnementaux. Ainsi, il convient de mentionner les subventions théoriques utilisées: Eiffert (2010); Castro et al. (2005); Filho (2000); Rodriguez et al. (2009); Souza et al. (2012). En outre, les dispositions légales sur cette question revêtaient une importance primordiale, en particulier la Constitution de la République démocratique de São Tomé et Príncipe de 2003 et la Loi n ° 05/2001, Loi sur les forêts. Au cours de l'analyse, on a constaté que le facteur de déforestation enregistré, en partie, est conditionné au facteur économique (pauvreté), ce qui a imposé la nécessité d'une réflexion socio-économique en conjonction avec le facteur socio-environnemental. Enfin, l'importance des plans stratégiques pour l'utilisation durable des ressources naturelles est instigée, en vue de la stabilité écologique locale. Ce sont ces réflexions qui ont apporté un soutien et une spécificité au cours de la présente étude, ce qui devrait conduire à plus de réflexions et de débats sur le sujet en question.Mots-clés: Impact Environnemental; Bien-être Communautaire ; Sao Tomé-et-Principe.
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Mihigo, Blaise-Pascal Ntirumenyerwa. "L’optimisation juridique du paiement pour services environnementaux en faveur de la préservation des services environnementaux : le cas du Cameroun et de la République Démocratique du Congo." Afrika Focus 30, no. 1 (February 26, 2017): 151–61. http://dx.doi.org/10.1163/2031356x-03001012.

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Abstract:
The study starts from a hypothesis on the coherence and compatibility of the legal instruments in force in Cameroon and in the Democratic Republic of Congo (DRC) with the optimization of payment for environmental services (PES) and the preservation of environmental services. This study has employed a legal approach and interviews in order to investigate whether there is coherence and compatibility or not between the two variables of this hypothesis: (1) the legal instruments in force in Cameroon and in the DRC and (2) the optimization of PBS and the preservation of environmental services. This study consists of three parts. The first part deals with the theoretical framework of PES and the place of PES in the legal order. In this first part, the definition of an optimal PES, the indicators of an optimal PES and the categories of legal frameworks on PES have been revealed. These are the fundamental elements to conduct a systematic analysis in the second and third parts. Based on these fundamental elements, the study analyses the legal instruments from international, regional (Africa) and domestic (Cameroon and the DRC) levels and investigates through field research two PES projects, one in Cameroon called “PES comminatory project” and another in the DRC called “REDD CBFF-Luki” respectively in the second and the third parts. From the analysis of these legal instruments and the investigation of these two PES projects, it has become apparent that there is a lack of coherence and compatibility between the legal instruments and these two PES projects in Cameroon and in the DRC, and the optimization of PES and the preservation of environmental services in the Congo Basin in general, especially in these two States. Useful recommendations have been made to eradicate these shortcomings.
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de Cazals, Marie. "La saisine du Conseil économique, social et environnemental par voie de pétition citoyenne : gage d'une Ve République « plus démocratique » ?" Revue française de droit constitutionnel 82, no. 2 (2010): 289. http://dx.doi.org/10.3917/rfdc.082.0289.

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Proces, Pierre, Emilien Dubiez, Franck Bisiaux, Adrien Péroches, and Adeline Fayolle. "Production d’Acacia auriculiformis dans le système agroforestier de Mampu, plateau Batéké, République démocratique du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (January 2, 2018): 23. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31489.

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Abstract:
Géré par des communautés locales depuis plus de vingt ans, le massif agroforestier à Acacia auriculiformis de Mampu, sur le plateau Batéké en République démocratique du Congo (RDC), contribue à l’approvisionnement de Kinshasa en produits vivriers et en bois énergie. Grâce aux subventions internationales, ce système agroforestier, qui intègre la pratique de l’abattis-brûlis, est reproduit un peu partout en RDC, bien que sa performance n’ait jamais été évaluée. L’objectif de cette étude était d’estimer la production d’Acacia auriculiformis en biomasse totale et exploitable pour le charbon de bois (tige et branches de plus de 4 cm de diamètre) dans le système agroforestier. À cet effet, deux équations allométriques locales, portant sur la biomasse totale et exploitable, ont été ajustées à partir de données destructives. Des données d’inventaire existantes (n = 112 parcelles) ont permis d’identifier une grande hétérogénéité structurale sur l’ensemble de la rotation (8-10 ans) mais également entre parcelles du même âge. Malgré cette hétérogénéité qui peut s’expliquer par la diversité des conditions environnementales sur le site et/ou les disparités dans l’appropriation de l’itinéraire technique, la production reste néanmoins comparable à celle observée sur d’autres sites avec, en moyenne, 145 tonnes par hectare en 10 ans. Le système agroforestier de Mampu présente de nombreux avantages, des services directs avec la création d’emplois ruraux, et la production combinée de produits vivriers et de charbon de bois, mais aussi des services indirects, comme la déforestation évitée, et le stockage du carbone. La durabilité et la diffusion de ce système agroforestier peuvent néanmoins être discutées.
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Kyale Koy, Justin, David Andrew Wardell, Jean-Fiston Mikwa, Joël Masimo Kabuanga, Alphonse Maindo Monga Ngonga, Johan Oszwald, and Charles Doumenge. "Dynamique de la déforestation dans la Réserve de biosphère de Yangambi (République démocratique du Congo) : variabilité spatiale et temporelle au cours des 30 dernières années." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (July 20, 2019): 15. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31752.

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Abstract:
D’une superficie de 225 000 ha, la Réserve de biosphère de Yangambi (République démocratique du Congo) est l’une des principales aires protégées menacées par l’anthropisation dans la région. Malgré son appartenance au réseau mondial des réserves de biosphère depuis les années 1970, les connaissances sur les dynamiques d’occupation du sol y sont encore lacunaires. Une démarche fondée sur l’analyse d’images (Landsat TM, ETM+ et OLI) et la réalité du terrain a été mise en œuvre pour étudier la dynamique d’occupation des sols de la réserve entre 1986 et 2016. Le taux annuel de déforestation est passé de 0,18 % au cours de la période 1986-2003 à 0,38 % en 2003-2016. Durant cette dernière période, la forêt primaire a connu un taux de déforestation plus élevé qu’en forêt secondaire (respectivement 4,5 % et 0,4 %). Quatre zones aux dynamiques socio-environnementales spécifiques ont été identifiées, nécessitant des approches de gestion différentes. Il s’agit notamment de la concession de l’INERA, des zones proches d’axes principaux de circulation, des zones situées sur des axes routiers plus ou moins abandonnés et des zones isolées du cœur de la réserve. Les principales causes de déforestation mentionnées par les habitants sont l’agriculture itinérante sur brûlis (54 % des ménages), l’exploitation artisanale des minerais (17 %) et la fabrication des pirogues (8 %). La pression démographique, sans amélioration du niveau de vie des communautés ou des techniques agricoles, et le développement du réseau routier, favorisant les échanges commerciaux, en sont les causes sous-jacentes. Cette dynamique de déforestation dans une forêt rattachée au réseau mondial des réserves de biosphère entame l’objectif fixé par l’État d’étendre le réseau d’aires protégées à 15 % du territoire national.
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Lescuyer, Guillaume, and Julienne Nadège Essoungou. "Gestion forestière multi-usages en Afrique centrale : perceptions, mises en oeuvre et évolutions." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20536.

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Abstract:
Quoique la gestion forestière multiusages (Gfmu) soit promue par les codes forestiers d'Afrique centrale, cette approche reste mal comprise et peu mise en oeuvre pour les forêts de production et les forêts communautaires. L'article présente les résultats de 62 entretiens avec des personnes impliquées dans la gestion forestière au Cameroun, au Gabon et en République démocratique du Congo, et fait ressortir trois interprétations de la Gfmu : une exploitation durable du bois intégrant secondairement les usages des autres acteurs ; une utilisation coutumière des ressources par les populations locales ; une gestion planifiée et formelle de la diversité des biens et fonctions fournis par ces écosystèmes. L'analyse détaillée de huit études de cas montre en pratique que l'aménagement durable de la forêt se focalise presque toujours sur l'exploitation du bois ; quoique l'utilisation du gibier et la collecte des produits forestiers non ligneux soient systématiquement mentionnés dans les documents d'aménagement. À l'inverse, les services environnementaux - séquestration du carbone, protection des bassins versants - ou les biens publics y sont quasi absents. L'inscription de différents usages dans les documents de gestion ne suffit toutefois pas pour qu'ils soient toujours mis en oeuvre sur le terrain. Trois pistes sont explorées pour renforcer l'application de la Gfmu dans le bassin du Congo : concevoir la Gfmu à l'échelle du paysage et non à celle du massif forestier ; améliorer le contenu des documents d'aménagement forestier pour y inclure et valoriser l'ensemble des usages de la forêt ; renforcer le contrôle de l'application effective des documents de gestion, grâce à la certification ou à un meilleur contrôle du respect de la légalité.
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Aragão, Alexandra. "Les intérêts diffus, instruments pour la justice et la démocratie environnementale." VertigO, Hors-série 22 (September 10, 2015). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.16284.

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Sørensen, Asger. "Pour un élargissement de l’éducation à la citoyenneté démocratique à travers la Bildung: Klafki défiant le 21ème siècle." Nordicum-Mediterraneum 15, no. 3 (November 2020). http://dx.doi.org/10.33112/nm.15.3.2.

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Abstract:
The problem that I am addressing is the lack of social cohesion in contemporary democratic countries confronted with social and environmental challenges, in particular the lack of interest of citizenship education. As a basic conceptual framework, I dismiss political liberalism in the narrow Rawlsian sense and employ social-democratic republicanism, asserting with Durkheim that only by being considered a valuable comprehensive doctrine, i.e. a comprehensive civic religion, can deliberative democracy also become an individual civic obligation and vice versa. In continuation, the idea is that democratic citizenship education may benefit from introducing into the discussion the very rich German idea of Bildung. In his didactical works, Wolfgang Klafki argues for recognizing both the classical heritage of Bildung and the ideology critique of Critical Theory, substantializing educationally the argument for coping with contemporary societal problems through democratic formation, stressing both political and environmental sustainability. Klafki’s didactics is clearly political, relating explicitly to questions of justice, also in the classroom. It does, however, also aims to be a theory of learning, teaching and schooling as such, emphasizing thus the importance of cultural Bildung and problem solving in addition to political democracy for citizenship education. This implies appreciating other non-political, apolitical and supra-political aspects of human life, recognizing for instance as legitimate both basic human rights and anarchist recalcitrance. This very liberal emphasis, however, also has an important implication for republican and deliberative social democracy, namely by stressing that a truly democratic education implies the mutual recognition of the individual other in her or his substantial singular otherness. ————————————————————————————————————————- Le problème abordé ici est celui de l’absence de cohésion sociale dans les démocraties contemporaines et, en particulier, de l’absence d’intérêt pour l’éducation à la citoyenneté. J’ai choisi ici de rejeter le concept du libéralisme politique au sens étroit de Rawls, et de placer ma réflexion dans la perspective du républicanisme social-démocrate en affirmant avec Durkheim que c’est seulement si on la considère comme une doctrine complète de valeurs, c’est-à-dire une religion civique complète, que la démocratie délibérative pourra aussi devenir une obligation civique individuelle et vice versa. En poursuivant cette idée, l’éducation citoyenne démocratique pourrait bénéficier de l’introduction dans le débat du concept allemand de Bildung qui s’avère être d’une très grande richesse. Dans ses travaux didactiques, Wolfgang Klafki insiste sur la nécessité de reconnaître à la fois l’héritage classique de la Bildung et l’idéologie critique de la Théorie critique, en concrétisant de manière pédagogique les débats sur les problèmes contemporains sociétaux à travers une formation démocratique et en mettant l’accent sur la durabilité politique et la durabilité environnementale. La didactique de Klafki est clairement politique, connectée explicitement aux questions de justice que l’on trouve également dans la salle de classe. Toutefois, elle vise aussi à être une théorie de l’apprentissage et du parcours scolaire, soulignant ainsi l’importance de la Bildung culturelle et de la résolution de problèmes en plus de la démocratie politique quant à l’éducation citoyenne. Cela implique la prise en compte d’autres aspects de la vie humaine – le non-politique, l’apolitique et le supra-politique – reconnaissant par exemple comme légitimes à la fois les droits humains et la récalcitrance anarchiste. Toutefois, cet accent très libéral a aussi une implication importante pour la démocratie sociale, républicaine et délibérative, notamment en soulignant qu’une véritable éducation démocratique implique la reconnaissance mutuelle des personnes dans leur altérité si importante et particulière.
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Liéval, Cécile. "« Nouveaux risques », controverse environnementale et démocratie participative: l’exemple de l’opposition grenobloise aux nanotechnologies." Revue Géographique de l'Est 53, no. 1-2 (August 31, 2013). http://dx.doi.org/10.4000/rge.4616.

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Jakob, Fabien. "Vers une démocratie environnementale attentive aux processus écologiques qui permettent au cycle de la vie de se perpétuer." Natures Sciences Sociétés, 2021. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2021030.

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Abstract:
À partir d’une enquête du sens commun (Dewey, 1993), cette étude entend identifier et analyser, en prenant appui sur la sociologie de la justification (Boltanski et Thévenot, 1991), les critères de jugement et les sens de justice des acteurs engagés dans divers « forums hybrides » (Callon et al., 2001). Durant un tel processus participatif et délibératif, en l’occurrence lors de la révision du Schéma d’aménagement et de développement de l’agglomération de Québec (2015-2020), ils peuvent être amenés à repenser les systèmes de valeurs orientant les actions publiques en matière de développement territorial.
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Lambert, Marie-Laure, Aurélie Arnaud, and Cécilia Claeys. "Justice climatique et démocratie environnementale - Les inégalités d’accès au droit des populations vulnérables aux risques littoraux – quelques éléments de comparaison." VertigO, Volume 19 Numéro 1 (July 5, 2019). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.24149.

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Kihangi Bindu, Kennedy. "La justiciabilité du droit à l'environnement consacré par la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples de 1981 en République Démocratique du Congo." Revista Catalana de Dret Ambiental 4, no. 1 (July 17, 2013). http://dx.doi.org/10.17345/1336.

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Abstract:
Plus de deux décennies après l'entrée en vigueur de la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples, la justiciabilité du droit à l'environnement fait encore l'objet de controverses. Le juge congolais est marqué par des hésitations qui l'empêchent de s'engager dans un procès où ce droit est en cause. Cela, malgré la ratification par la République Démocratique du Congo de la Charte Africaine des droits de l'Homme et des Peuples, l'existence d'une jurisprudence en construction sur le plan continental, la constitutionnalisation du droit à l'environnement pouvant faire l'objet d'une action tant individuelle que collective devant les instances judiciaires. Le contentieux environnemental est quasi inexistant devant les juridictions congolaises malgré les violations manifestes de la législation en matière environnementale. La jurisprudence n'a donc pas contribué à la définition notamment de l'étendue des droits environnementaux des citoyens, des régimes de protection de l'environnement, des obligations de l'État, etc. Il est peu probable que les particuliers réclament ce droit avec succès, par voie judiciaire. Une analyse rétrospective et prospective mérite d'être faite pour des fins utiles. Sinon, la Charte et la Constitution de la RDC serviront de « menu » réservé aux seuls acteurs politiques sans impact réel auprès des populations.
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Kihangi Bindu, Kennedy. "La justiciabilité du droit à l'environnement consacré par la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples de 1981 en République Démocratique du Congo." Revista Catalana de Dret Ambiental 4, no. 1 (July 17, 2013). http://dx.doi.org/10.17345/rcda1336.

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Abstract:
Plus de deux décennies après l'entrée en vigueur de la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples, la justiciabilité du droit à l'environnement fait encore l'objet de controverses. Le juge congolais est marqué par des hésitations qui l'empêchent de s'engager dans un procès où ce droit est en cause. Cela, malgré la ratification par la République Démocratique du Congo de la Charte Africaine des droits de l'Homme et des Peuples, l'existence d'une jurisprudence en construction sur le plan continental, la constitutionnalisation du droit à l'environnement pouvant faire l'objet d'une action tant individuelle que collective devant les instances judiciaires. Le contentieux environnemental est quasi inexistant devant les juridictions congolaises malgré les violations manifestes de la législation en matière environnementale. La jurisprudence n'a donc pas contribué à la définition notamment de l'étendue des droits environnementaux des citoyens, des régimes de protection de l'environnement, des obligations de l'État, etc. Il est peu probable que les particuliers réclament ce droit avec succès, par voie judiciaire. Une analyse rétrospective et prospective mérite d'être faite pour des fins utiles. Sinon, la Charte et la Constitution de la RDC serviront de « menu » réservé aux seuls acteurs politiques sans impact réel auprès des populations.
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Haluza-DeLay, Randolph, and Debra J. Davidson. "The Environment and a Globalizing Sociology." Canadian Journal of Sociology 33, no. 3 (September 26, 2008). http://dx.doi.org/10.29173/cjs4157.

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Abstract:
Abstract. The challenges for sociology posed by global environmental crises are two-fold. First, the growing prevalence of environmental dilemmas in global society demand that a globalizing sociology also be an environmental sociology. This requires the discipline to refine its ability to integrate environmental influences into its conceptual frameworks on social change. Second, the effectiveness of society’s strategic responses to environmental crises depends on the degree to which understanding the generation of environmental problems and responding to them are sociologically informed. Consequently, sociologists can make important contributions to environmental improvement, through sociological research on environmental discourses within civil society. However, this can only be done if the first challenge is addressed. In this paper, we highlight coupled socioecological systems functioning in an embedded hierarchy of local, regional, and global scales. Strategic environmental response depends particularly on governance structures and the production and accessibility of knowledge and we focus our discussion on these two domains. Global environmental changes have introduced multiple sources of challenge for nation-states and for the ways in which democratic participation in governance becomes operative. The dramatic shifts in governance fomented by environmental concern in and of themselves require sociological attention; sociologists also have a role in evaluating the efficacy of these organizational networks for addressing environmental crises. Second, we turn our attention to the means by which these environmental changes have challenged the production of knowledge about the environment. For example, the limits of traditional methods of scientific inquiry accompany an erosion in society’s confidence in science as a harbinger of progress, all the while simultaneously pushing science — however reluctantly for scientists themselves — into a position of political prominence. We close with suggestions for future sociological attention to governance and knowledge, and the ways this projects sociology more effectively into the global milieu in which environmental change will be increasingly salient. Résumé. Les défis que constitue la crise environnementale pour la sociologie présentent un double aspect. Tout d’abord, la prévalence des dilemmes environne mentaux dans une société mondiale exige d’une sociologie mondialisante qu’elle soit également une sociologie environnementale. Cela exige donc que cette discipline soit davantage en mesure d’intégrer à ses cadres conceptuels les influences que peuvent avoir les changements environnementaux sur les changements sociaux. En second lieu, l’efficacité potentielle des interventions stratégiques d’une société en regard des crises environnementales dépend de la mesure dans laquelle la sociologie éclaire notre compréhension de la source des problèmes environnementaux et de la manière d’y réagir. Par conséquent, les sociologues sont en mesure d’apporter d’importantes contributions à l’amélioration de l’environnement, en amenant la recherche sociologique à s’appuyer sur les discours environnementaux qui ont cours dans la société civile. Toutefois, on ne peut y arriver que si l’on aborde le premier défi. Dans cet article, nous mettons brièvement en lumière les moyens par lesquels les systèmes, social et écologique, sont mutuellement constitutifs, c’est-à-dire qu’ils sont des systèmes socio-écologiques associés qui fonctionnent dans une hiérarchie enchâssée d’échelles locale, régionale et mondiale. Ensuite, parce que la stratégie d’intervention environnementale dépendra en particulier des structures de gouvernance ainsi que de la production et de l’accessibilité des connaissances, nous analysons en détail ces deux domaines. Les changements environnementaux à l’échelle planétaires ont introduit de nombreux défis de tous types pour les nations-États et quant aux manières dont se met en oeuvre la participation démocratique à la gouvernance. Deuxièmement, nous étudierons les moyens par lesquels les changements environnementaux mondiaux ont, dans le même ordre d’idées, remis en question la production de connaissances sur l’environnement. Par exemple, les limites des méthodes traditionnelles d’investigation scientifique sont mises à jour, en même temps qu’elles propulsent la science sur la scène politique. D’autres formes de connaissances agissent également comme des « contre-connaissances » envers la dominance épistémique de la science sur l’environnement. Nous terminons l’article par quelques suggestions quant à l’attention de nature sociologique qu’il faudra porter dans le futur à la gouvernance et à la connaissance, et par un examen de la façon dont cela projette la sociologie tout de bon dans le milieu planétaire dans lequel les changements environnementaux seront de plus en plus marquants.
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Noonan, Jeffrey. "Philosophy at the Service of History: Marx and the need for critical philosophy today." Socialist Studies/Études Socialistes 5, no. 2 (November 30, 2009). http://dx.doi.org/10.18740/s4sk5r.

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Abstract:
Marx is famous for apparently dismissing the practical role of philosophy. Yet, as accumulating empirical knowledge of growing life-crises proves, the simply availability of facts is insufficient to motivate struggles for fundamental change. So too manifest social crisis. The economic crisis which began in 2008 has indeed motivated social struggles, but nothing on the order of the revolutionary struggles Marx expected. Rather than make Marx irrelevant, however, the absence of global struggles for truly radical change make his early engagement with the role of philosophy more important than ever. This engagement suggests a conception of philosophy as a uniquely practical discipline distinguished from empirical science by its unique capacity to synthesise values from the facts of life. The article examines the development of this conception of philosophy in Marx’s early work and concludes with the outlines for a new critical philosophy capable of generating a new set of universal values necessary to motivate anti-capitalist struggles today. Si Hegel a raison et que la philosophie émerge toujours dans un monde social dans lequel les contradictions se sont fossilisées, où le pouvoir d'unification semble avoir disparu, alors notre monde est un monde qui a besoin de la philosophie. L’automne 2008 a été témoin du début d'une crise économique qui promet d’être la pire de sa génération. La crise économique est liée à une crise politique de la démocratie sur le long terme (même si la crise n’est pas typiquement reconnue comme telle), caractérisée à travers le monde par un retrait de la régulation de l’activité économique par l’Etat et (sous le prétexte de la ‘guerre contre le terrorisme’) l’hyperrégulation des vies publiques et privées des citoyens. Les crises économiques et politiques sont toutes deux enserrées dans une profonde crise environnementale provoquée par la croissance hypertrophiée de l’économie capitaliste dirigée par l’argent-comme-valeur. Si cette valeur est en crise parce qu’elle ne peut plus ‘unifier’ le monde social (elle est maintenant la cause et non pas la solution des problèmes fondamentaux de la vie humaine) alors la philosophie, si Hegel a raison, devrait être conviée en tant qu'unique pratique intellectuelle capable de générer une nouvelle synthèse sur la base des nouvelles valeurs (ou au moins une nouvelle articulation des anciennes valeurs).
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Bidou, Jean-Étienne. "Pour en lire plus : Éducation environnementale au Sahel - Guide pratique du formateur | Pour une éducation environnementale démocratique." Éducation relative à l'environnement, Volume 3 (March 20, 2002). http://dx.doi.org/10.4000/ere.6684.

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Blanc, Julien, and Marcelo Sampaio Carneiro. "Le Brésil et l’environnement au XXIe siècle : déficit démocratique, carences environnementales." Brésil(s), no. 13 (May 31, 2018). http://dx.doi.org/10.4000/bresils.2551.

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Balagizi, Innocent Karhagomba, Serge Ngendakumana, Hermes Namegabe Mushayuma, Trésor Mirindi Adhama, Alphonse Muhimuzi Bisusa, Bajope Baluku, and Mwapu Isumbish. "Perspectives de gouvernance environnementale durable dans la région de Lwiro (Sud Kivu, République Démocratique du Congo)." VertigO, Hors-série 17 (September 4, 2013). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.13826.

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Mollard, Eric. "Idéal démocratique et idéal environnemental : analyse comparée des pouvoirs territoriaux en France et au Mexique." VertigO, Volume 9 Numéro 1 (May 7, 2009). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.8391.

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Brédif, Hervé, and Didier Christin. "La construction du commun dans la prise en charge des problèmes environnementaux : menace ou opportunité pour la démocratie ?" VertigO, Volume 9 Numéro 1 (May 7, 2009). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.8489.

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Mihigo, Blaise-Pascal Ntirumenyerwa. "L’optimisation juridique du paiement pour services environnementaux en faveur de la préservation des services environnementaux : le cas du Cameroun et de la République Démocratique du Congo." Afrika Focus 30, no. 1 (February 24, 2017). http://dx.doi.org/10.21825/af.v30i1.4989.

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Abstract:
The study starts from a hypothesis on the coherence and compatibility of the legal instruments in force in Cameroon and in the Democratic Republic of Congo (DRC) with the optimization of payment for environmental services (PES) and the preservation of environmental services. This study has employed a legal approach and interviews in order to investigate whether there is coherence and compatibility or not between the two variables of this hypothesis: (1) the legal instruments in force in Cameroon and in the DRC and (2) the optimization of PES and the preservation of environmental services. This study consists of three parts. The first part deals with the theoretical framework of PES and the place of PES in the legal order. In this first part, the definition of an optimal PES, the indicators of an optimal PES and the categories of legal frameworks on PES have been revealed. These are the fundamental elements to conduct a systematic analysis in the second and third parts. Based on these fundamental elements, the study analyses the legal instru- ments from international, regional (Africa) and domestic (Cameroon and the DRC) levels and investigates through field research two PES projects, one in Cameroon called “PES comminatory project” and another in the DRC called “REDD CBFF-Luki” respectively in the second and the third parts. From the analysis of these legal instruments and the investigation of these two PES projects, it has become apparent that there is a lack of coherence and compatibility between the legal instruments and these two PES projects in Cameroon and in the DRC, and the optimization of PES and the preservation of environmental services in the Congo Basin in general, especially in these two States. Useful recommendations have been made to eradicate these shortcomings. Key words: payment for environmental services, environmental services, Congo Basin
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Gramaccia, Gino. "Les stratégies performatives dans le discours environnementaliste." Recherches en Communication 35 (January 3, 2012). http://dx.doi.org/10.14428/rec.v35i35.51293.

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Abstract:
Cette étude aborde les propriétés performatives du discours environnementaliste dans les organisations. Comment l’entreprise s’y prend-elle pour rendre des comptes sur son impact social et environnemental auprès de publics susceptibles d’être affectés par ses activités, ou, plus simplement, pour prendre les devants en affichant ses choix politiques volontaristes en matière de protection de l’environnement (Tremblay et al., 2007, pp. 218-219) au moyen de chartes, par exemple) ou encore, selon les événements, fournir des explications, présenter des excuses, rassurer des victimes, redorer son blason ? Notre hypothèse est qu’il y parvient en usant d’actes de langage, au sens du philosophe anglais Austin. La performativité est constitutive du statut juridique de textes de portée plus normative (normes, chartes, conventions, lois, décrets, déclarations officielles…). Certes, et ce point constitue l’essentiel de mon propos, le performatif environnementaliste peut faire l’objet de parodies, d’esquives ou de paradoxes… On verra que, pour l’essentiel, les stratégies de langage permettent de gagner du temps La performativité est constitutive du discours politique en raison de la légitimité démocratique de ses énonciateurs. A quelle condition le discours environnementaliste peut-il revendiquer une telle légitimité ? A quel titre l’entreprise peut-elle revendiquer un statut d’éco-citoyenneté ?
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Slimani, Melki, Jean-Marc Lange, and Atf Azzouna. "Le projet pédagogico-didactique de socialisation : perspective d’une socialisation démocratique pour l’enseignement-apprentissage des questions environnementales et de développement." Éducation et socialisation, no. 50 (December 15, 2018). http://dx.doi.org/10.4000/edso.5106.

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Sola, Phosiso, Jolien Schure, Richard Eba’a Atyi, Davison Gumbo, and Irene Okeyo. "Politiques et pratiques en matière de bois-énergie dans certains pays d’Afrique subsaharienne – un examen critique." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 340 (May 15, 2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.340.a31690.

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Abstract:
L'Afrique subsaharienne reste très dépendante des biocombustibles, qui couvrent 60 % de sa demande énergétique totale. Bien que le bois-énergie soit une source d'énergie importante pour des millions de personnes en Afrique subsaharienne, il est rarement suffisamment reconnu dans les politiques énergétiques. Depuis des décennies, les politiques gouvernementales ont supposé que la croissance économique et l'augmentation des revenus des ménages qui en résulterait entraînerait un passage à des carburants plus "modernes". Cependant, avec des niveaux de pauvreté toujours élevés et le manque d'accès à des sources d'énergie alternatives abordables, cette transition est loin de devenir une réalité. Cet article conceptualise la gouvernance du bois-énergie et analyse les politiques et les mécanismes institutionnels pertinents pour le sous-secteur du bois-énergie dans certains pays : Cameroun, République démocratique du Congo, Kenya et Zambie. Sur la base d'un examen structuré de la littérature, il évalue les politiques et les mécanismes juridiques existants et leur mise en œuvre, dans le contexte des pratiques actuelles le long des chaînes de valeur du bois-énergie dans ces mêmes pays. La principale conclusion est que, bien que le bois-énergie soit de plus en plus reconnu comme une source d'énergie majeure dans la plupart des pays, il est souvent associé à des résultats environnementaux négatifs et à des résultats socio-économiques positifs. Récemment, les gouvernements de plusieurs pays ont élaboré des politiques et des cadres législatifs pour guider, gérer, soutenir et réglementer la production et le commerce du bois-énergie. En dépit des dispositions légales, l'industrie du bois de feu fonctionne en grande partie dans le secteur informel et n'est pas réglementée et/ou réprimée dans certains endroits. La gouvernance des chaînes de valeur du bois-énergie est confrontée à des défis majeurs liés au manque de clarté des arrangements institutionnels et des mécanismes d'application, aux capacités limitées et aux comportements corrompus, ainsi qu'à l'insuffisance des investissements et du financement. Par conséquent, une gouvernance plus intégrée et mieux adaptée est nécessaire pour que les chaînes de valeur durables du bois-énergie deviennent une réalité.
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Cassiers, Isabelle, and Géraldine Thiry. "Numéro 75 - décembre 2009." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15423.

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Abstract:
On le sait depuis toujours, le Produit intérieur brut (PIB) n’est pas un indicateur de bien-être ou de qualité de vie. C’est un agrégat monétaire qui évalue l’activité annuelle d’une nation sur des bases essentiellement marchandes. Toutefois, pendant des décennies, croissance du PIB et progrès des sociétés ont été largement assimilés, comme si la première était une condition nécessaire et suffisante à la réalisation du deuxième. Cette liaison est aujourd’hui amplement remise en cause. De nombreux travaux ont mis en évidence un décrochage de la qualité de la vie en regard d’une croissance continue du PIB : stagnation des indicateurs subjectifs de satisfaction de vie; dégradation des indicateurs objectifs de santé sociale et de bien-être économique; et surtout, sonnette d’alarme des indicateurs environnementaux. Récemment, des initiatives de grande envergure (Forum mondiaux de l’OCDE) ou très médiatisées (Commission Stiglitz) ont explicitement posé la question d’un «Au-delà du PIB» : si cet indicateur, utilisé comme moteur des politiques économiques, nous égare, n’y a-t-il pas urgence à en changer ? Comme le résume joliment Paul Krugman, quel intérêt d’avoir de la croissance s’il n’y a plus de planète ? Alors, comment réconcilier ce qui compte (la préservation de la nature et nos valeurs humaines) et ce que l’on compte (les indicateurs à l’aide desquels on gouverne) ? Les débats actuels sur ce sujet mettent en évidence trois impératifs : Mesurer des résultats plutôt qu’une production évaluée moné : les taux d’alphabétisation importent plus que les dépenses d’éducation sans prise en compte de leur efficacité; il n’y a pas lieu de valoriser deux fois des activités qui de facto se compensent (polluer et assainir, détruire et reconstruire, se rendre malade et se guérir). C’est une question de bon sens. Prendre en compte les patrimoines, dans leur diversité : on ne peut plus se contenter de valoriser les flux d’activité et de revenus (ce que fait le PIB) en ignorant les ponctions sur les stocks de richesse. La question se pose aujourd’hui avec acuité pour les ressources naturelles. Elle mérite d’être élargie à toutes les formes de richesse que nous avons reçues et : patrimoines culturels, sites et monuments, savoir accumulé. Il en va de notre responsabilité vis-à-vis des générations futures. Intégrer des questions de répartition : la croissance d’un revenu global peut être très inégalitaire. Un PIB par tête en hausse n’empêche pas certains revenus de baisser, ce qui crée dans la population le sentiment d’être trompé par les chiffres. Nos systèmes statistiques devraient aussi évaluer d’autres formes d’inégalité : accès à l’eau, à l’éducation; impact du réchauffement climatique. Equité et représentation démocratique sont ici en jeu. Remplacer le PIB est un exercice complexe et digne du plus grand intérêt. La complexité n’est pas tant d’ordre statistique : de nombreux indicateurs alternatifs ont été pensés, sous-pesés, calculés, publiés. On peut en faire l’inventaire. La complexité de l’exercice provient surtout du bousculement implicite des valeurs sur lesquelles une ou deux générations se sont construites. Chaque indicateur recèle une vision singulière du progrès. La question sous-jacente au choix de l’un d’entre eux n’est pas anodine : dans quel monde voulons-nous vivre ? Pour cette raison, elle ne peut être confiée aux seuls experts mais relève du débat démocratique. Elle est passionnante, car elle nous donne l’occasion de repenser et de ré-affirmer nos finalités. On aurait tort d’y voir une question réservée à quelques idéalistes, sous prétexte que la croissance du PIB est indispensable à la création d’emploi, à la survie des entreprises et à la santé des finances publiques. Les temps où toute croissance de l’activité et des revenus était bonne sont révolus. S’y accrocher est un combat d’arrière-garde. Aujourd’hui, l’urgence n’est plus d’élargir le gâteau mais de le cuisiner sans dégâts, d’améliorer sa qualité nutritive et de mieux le partager.
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Cassiers, Isabelle, and Géraldine Thiry. "Numéro 75 - décembre 2009." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2009.12.01.

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Abstract:
On le sait depuis toujours, le Produit intérieur brut (PIB) n’est pas un indicateur de bien-être ou de qualité de vie. C’est un agrégat monétaire qui évalue l’activité annuelle d’une nation sur des bases essentiellement marchandes. Toutefois, pendant des décennies, croissance du PIB et progrès des sociétés ont été largement assimilés, comme si la première était une condition nécessaire et suffisante à la réalisation du deuxième. Cette liaison est aujourd’hui amplement remise en cause. De nombreux travaux ont mis en évidence un décrochage de la qualité de la vie en regard d’une croissance continue du PIB : stagnation des indicateurs subjectifs de satisfaction de vie; dégradation des indicateurs objectifs de santé sociale et de bien-être économique; et surtout, sonnette d’alarme des indicateurs environnementaux. Récemment, des initiatives de grande envergure (Forum mondiaux de l’OCDE) ou très médiatisées (Commission Stiglitz) ont explicitement posé la question d’un «Au-delà du PIB» : si cet indicateur, utilisé comme moteur des politiques économiques, nous égare, n’y a-t-il pas urgence à en changer ? Comme le résume joliment Paul Krugman, quel intérêt d’avoir de la croissance s’il n’y a plus de planète ? Alors, comment réconcilier ce qui compte (la préservation de la nature et nos valeurs humaines) et ce que l’on compte (les indicateurs à l’aide desquels on gouverne) ? Les débats actuels sur ce sujet mettent en évidence trois impératifs : Mesurer des résultats plutôt qu’une production évaluée moné : les taux d’alphabétisation importent plus que les dépenses d’éducation sans prise en compte de leur efficacité; il n’y a pas lieu de valoriser deux fois des activités qui de facto se compensent (polluer et assainir, détruire et reconstruire, se rendre malade et se guérir). C’est une question de bon sens. Prendre en compte les patrimoines, dans leur diversité : on ne peut plus se contenter de valoriser les flux d’activité et de revenus (ce que fait le PIB) en ignorant les ponctions sur les stocks de richesse. La question se pose aujourd’hui avec acuité pour les ressources naturelles. Elle mérite d’être élargie à toutes les formes de richesse que nous avons reçues et : patrimoines culturels, sites et monuments, savoir accumulé. Il en va de notre responsabilité vis-à-vis des générations futures. Intégrer des questions de répartition : la croissance d’un revenu global peut être très inégalitaire. Un PIB par tête en hausse n’empêche pas certains revenus de baisser, ce qui crée dans la population le sentiment d’être trompé par les chiffres. Nos systèmes statistiques devraient aussi évaluer d’autres formes d’inégalité : accès à l’eau, à l’éducation; impact du réchauffement climatique. Equité et représentation démocratique sont ici en jeu. Remplacer le PIB est un exercice complexe et digne du plus grand intérêt. La complexité n’est pas tant d’ordre statistique : de nombreux indicateurs alternatifs ont été pensés, sous-pesés, calculés, publiés. On peut en faire l’inventaire. La complexité de l’exercice provient surtout du bousculement implicite des valeurs sur lesquelles une ou deux générations se sont construites. Chaque indicateur recèle une vision singulière du progrès. La question sous-jacente au choix de l’un d’entre eux n’est pas anodine : dans quel monde voulons-nous vivre ? Pour cette raison, elle ne peut être confiée aux seuls experts mais relève du débat démocratique. Elle est passionnante, car elle nous donne l’occasion de repenser et de ré-affirmer nos finalités. On aurait tort d’y voir une question réservée à quelques idéalistes, sous prétexte que la croissance du PIB est indispensable à la création d’emploi, à la survie des entreprises et à la santé des finances publiques. Les temps où toute croissance de l’activité et des revenus était bonne sont révolus. S’y accrocher est un combat d’arrière-garde. Aujourd’hui, l’urgence n’est plus d’élargir le gâteau mais de le cuisiner sans dégâts, d’améliorer sa qualité nutritive et de mieux le partager.
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Sliwinski, Alicia. "Globalisation." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.084.

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Abstract:
Le concept de globalisation désigne l’interconnexion et l’interdépendance accrues de toute une gamme de relations sociales à l’échelle planétaire recouvrant d’importantes dimensions politiques, économiques, culturelles, environnementales et subjectives. Depuis les années 1980, la globalisation est devenue un discours dominant pour décrire la mise en place d’une nouvelle condition planétaire. Si nul ne nie que la globalisation soit un processus, la période historique qu’elle est censée marquer a fait l’objet de maints débats, aussi bien en anthropologie que dans les autres sciences sociales. Pour certains, la globalisation prend son essor au 19ème siècle avec les bouleversements liés au colonialisme, les avancées technologiques en matière de transport et de communication et l’expansion sans précédent des échanges commerciaux. Pour d’autres, la globalisation réalise la consolidation d’un système capitalisme mondial ou d’une « économie-monde » qui s’organise au 16ème siècle avec la division internationale du travail. Que des parties éloignées de la planète soient reliées entre elles ne date certes pas d’hier : les empires hellénique, romain et mongol ou encore la route de la soie montrent bien que les relations « transnationales » existent depuis longtemps. Cette discussion largement débattue a opposé le camp des « sceptiques » à celui des « globalisants » quant à la nouveauté du phénomène. Notons qu’en français deux termes existent pour désigner l’intensification et la multiplication des connexions et des réseaux reliant différentes parties du monde jadis nettement plus isolées les unes des autres : mondialisation et globalisation. Parfois ils sont utilisés en tant que synonymes, mais il y a lieu d’apprécier la nuance que leur distinction permet (Abélès 2008). La notion de mondialisation insisterait davantage sur les continuités historiques entre le passé et notre contemporanéité – sur le devenir-monde –, alors que la globalisation signale les discontinuités et les ruptures qui permettent d’affirmer que quelque chose de déterminant est apparu à la fin du 20ème siècle dans notre expérience du monde. Il y a au moins trois facteurs décisifs à cet égard : l’essor d’une économie de marché globale, l’ascension de l’Internet et des technologies de communication dans nos vies quotidiennes et l’apparition de mouvements et de politiques identitaires, plus ou moins violents, et parfois clairement orientés contre la globalisation. La phase actuelle de la globalisation est généralement associée à la doctrine du néolibéralisme, mais il ne faut pas les confondre. Le néolibéralisme caractérise le décloisonnement et la réorganisation des champs politiques et économiques dans le but de réduire les obstacles au commerce mondial. Les mesures macroéconomiques du Consensus de Washington introduites dans les années 1980 – telles que la libéralisation du commerce, la déréglementation de l’économie, la privatisation des entreprises nationales et la réduction des dépenses publiques et des impôts –, ont été mises en place pour favoriser le libre-échange entre les États. Avec la chute du bloc communiste qui annonçait, selon certains, « la fin de l’histoire » (Fukuyama 1992) et la preuve que les démocraties libérales étaient les plus aptes à assurer la croissance d’une économie avancée, la globalisation néolibérale a pris son envol. Au cœur de l’idéologie néolibérale siège la croyance que moins il y a d’entraves à une économie de marché globale, plus les pays seront prospères. De fait, la globalisation va grossir la sphère d’influence d’entités supranationales sur les États modifiant leur rapport au territoire et le contrôle de leurs économies nationales. Le triumvirat de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International et de l’Organisation mondiale du commerce y a joué un rôle clé, mais ces organisations ont également fait l’objet d’intenses critiques et de mobilisations populaires pour avoir creusé le fossé entre les riches et les pauvres. En matière d’économie politique, la globalisation néolibérale a libéré le capital de ses lieux de production : le capitalisme du nouveau millénaire n’est plus caractérisé par la valeur du travail, mais plutôt par la consommation, la délocalisation et la circulation sans précédent de flux financiers transnationaux, souvent spéculatifs, générant la concentration d’immenses fortunes, mais aussi de nouvelles formes d’exclusion et de dépossession. Parmi les gagnants, soulignons l’essor fulgurant des compagnies technologiques. De fait, le « numérique » exerce une influence considérable dans les nouvelles grammaires culturelles, symboliques et identitaires. Il est couramment entendu que c’est le rapport au temps et à l’espace que la globalisation a profondément altéré. Selon David Harvey (1989), la globalisation exprime la compression de l’espace et du temps, accélérant les processus économiques et sociaux. Elle a créé de nouvelles configurations sociales et technologiques ayant radicalement réduit le temps des échanges et des déplacements. Depuis, l’espace ne cesse de se réduire et le temps de s’accélérer. Pour Anthony Giddens (1990), il s’agit davantage d’un élargissement de l’expérience vécue de ces catégories, et de leur séparation, si bien que la globalisation implique le désenclavement (disembedding) des relations sociales de leurs contextes locaux. Ici, la globalisation prolonge et affermit le processus d’individualisation de la société entamé au 19ème siècle. Un troisième penseur de la globalisation parmi les plus cités est Manuel Castells (1998) qui a avancé l’idée de la société en réseau. Cette nouvelle société réticulaire, informationnelle et globale, est issue de la révolution technologique ayant profondément transformé les modes d’organisation économique, les modalités du travail (et leur contenu), ainsi que les pratiques sociales reliées au temps et à l’espace. À partir de ces thèses notoires, nous pouvons identifier quelques paramètres pour mieux cerner la globalisation : le mouvement accru du capital, des personnes, des marchandises, des images et des idées ; l’intensification des réseaux qui relient différentes parties du globe ; l’élargissement et la déterritorialisation de pratiques sociales, culturelles, politiques et économiques au-delà des frontières ; enfin l’imbrication du local au global, et vice versa, dans nos expériences vécues du monde. Ces dynamiques restent pertinentes, mais nous aurions tort de croire que la globalisation est un phénomène total et achevé. La société en réseau n’est pas uniformément distribuée et la géographie de la globalisation expose combien cette dernière encourage la concentration des activités économiques, politiques et culturelles dans quelques grands centres et mégapoles. Si d’un côté la globalisation tend à homogénéiser les cultures quand les contextes locaux assimilent des produits culturels importés – on a parlé de l’américanisation, de la McDonaldisation et de l’aplatissement du monde –, elle entraine tout autant des formes de fragmentation et de recomposition des identités ethniques et culturelles. De vifs débats ont cherché à déterminer si la globalisation produisait plus de standardisation ou de diversité, d’intégration ou de désintégration, et si ces processus s’avéraient avantageux ou non. Les questions d’échelle sont importantes et les anthropologues ont adopté des approches plurielles pour éviter les interprétations qui ont « tendance à se produire dans l’espace raréfié de la méta-histoire et des généralités abstraites » (Barber et Lem 2004). Jonathan Friedman (2008) envisage la globalisation sous l’angle de la modernité, entendue comme le champ culturel du capitalisme commercial. La globalisation s’articule alors au développement d’un ethos cosmopolitique dont l’essor continue d’infléchir la « forme sociale du monde » (Agier 2013). Les analyses anthropologiques ont mis l’accent sur les flux et les disjonctions que la globalisation entraine (Appadurai 1996), les nouveaux assemblages politiques, technologies et éthiques (Ong et Colier 2005), l’hybridité et la créolisation (Hannerz 1987), la circulation des marchandises et des valeurs dans les contextes non hégémoniques de la « globalisation-par-le-bas » (Ribeiro 2012; Haugerud et al. 2001), la création de « non-lieux » caractéristiques de la surmodernité (Augé 1992), ou les frictions que les nouvelles articulations entre le local et le global entrainent (Tsing 2005). Par ailleurs, la globalisation a eu des répercussions sur les méthodologies de l’anthropologie : on assiste à une plus grande réflexivité dans la pratique de terrain qui devient lui-même multisites (Marcus 1995). Il s’agit également de révéler les liens entre le micro et le macro et ce qui y circule, s’y négocie ou se conteste. Toutefois, au niveau épistémologique la globalisation n’a pas la même valence que la notion de culture. Peut-on parler d’une culture globale et faire une ethnographie du global ? Marilyn Strathern (1995) notait que le global risquait d’être un concept autoréférentiel puisqu’il n’offre pas de point de vue sur le monde : il ne donne pas à voir les relations sociales qui sont rendues manifestes dans des ancrages locaux. Ces questions ne sont pas tranchées et renvoient à la portée herméneutique accordée au global en tant que contexte dans et par lequel la pratique anthropologique opère, en tant qu’objet bon à penser, sur lequel agir, et qui libère de nouveaux imaginaires. Le 21ème siècle maintenant bien entamé, force est de constater que la globalisation a creusé les inégalités entre les nations, les régions et les classes sociales. En 2017, plus de 80 % de la richesse mondiale a été empoché par 1 % de la population (Oxfam 2018). Ces rapports d’inégalité ne s’expriment pas uniquement en termes économiques, mais aussi selon le genre et le degré d’exposition au risque. Ils alimentent également des mouvements de paniques morales face à diverses sortes d’indésirables, qu’il s’agisse de pandémies, de terroristes, de migrants ou de réfugiés. Les politiques identitaires, exacerbées dans l’exutoire des réseaux sociaux, sont un corollaire qui polarise l’espace politique autant par le « haut » (quand les gouvernements promeuvent des nationalismes xénophobes) que par le « bas » (quand les minorités revendiquent la reconnaissance de leurs droits). Ces tensions profondes forcent à repenser le paradigme de l’État-nation dont la souveraineté affaiblie expose la désuétude d’un modèle d’exercice du pouvoir. L’utopie de la globalisation s’est essoufflée et d’autres concepts sont apparus, tels ceux de capitalocène et d’anthropocène pour accuser les maux engendrés par le capitalisme et l’impact délétère des activités humaines sur la planète. Comment infléchir les pathologies de la globalisation pour y remédier est sans doute l’enjeu principal de notre avenir commun.
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