Journal articles on the topic 'Déficit énergétique'

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1

Tamion, F., and J. Bohé. "Comment je prends en charge la nutrition d’un patient en état de choc." Médecine Intensive Réanimation 27, no. 6 (October 16, 2018): 501–9. http://dx.doi.org/10.3166/rea-2018-0068.

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Abstract:
La réponse métabolique à l’agression correspond à un ensemble de réactions à la base de l’adaptation de l’organisme aux nouvelles conditions. Ces modifications concernent des aspects métaboliques spécifiques comme le maintien de la masse protéique et/ou l’état des réserves énergétiques. L’une des principales difficultés de l’optimisation du support métabolique consiste à distinguer les changements métaboliques bénéfiques de ceux qui sont délétères pour l’organisme. Dans ce contexte, les objectifs thérapeutiques peuvent se limiter à une approche nutritionnelle s’attachant à limiter le déficit énergétique et les pertes protéiques et musculaires. Ils peuvent être plus ambitieux en essayant d’adapter les apports aux différents besoins d’un point de vue quantitatif comme qualitatif. La limitation du déficit énergétique semble être un objectif raisonnable à atteindre selon les données de la littérature. Enfin, essayer d’interférer avec la réponse métabolique à l’agression (immunomodulation, manipulations pharmacologiques des voies métaboliques, etc.) représente le degré d’intervention métabolique le plus élaboré et, si quelques données ont pu être encourageantes, il n’est pas possible d’affirmer que cet objectif soit complètement réaliste, voire même bénéfique. Les apports nutritionnels doivent être intégrés à la stratégie thérapeutique globale de prise en charge. La réponse optimale du support nutritionnel a pour but « de donner les moyens métaboliques » de la guérison.
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2

Milh, M., A. Cano, C. Halbert, and B. Chabrol. "Déficit moteur aigu et troubles du métabolisme énergétique." Archives de Pédiatrie 18, no. 5 (May 2011): H136—H137. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(11)71005-3.

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3

Faisy, C., and L. Sutterlin. "Déficit énergétique aigu et infections acquises en réanimation." Réanimation 25, S2 (March 14, 2016): 44–52. http://dx.doi.org/10.1007/s13546-016-1185-4.

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4

Dupuis, Luc, and Jean-Philippe Loeffler. "Sclérose latérale amyotrophique, jonction neuromusculaire et déficit énergétique." médecine/sciences 24, no. 12 (December 2008): 1077–82. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/200824121077.

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5

Koné, Moussa, Fadaba Danioko, Mamadou Dansoko, Sid-Ali Addouche, David Tchoffa, and Abderrhaman El-Mhamedi. "Evaluation du potentiel de production du biogaz emanant des dechets organiques : cas de Bamako." Journal de Physique de la SOAPHYS 2, no. 2 (May 12, 2021): C20A24–1—C20A24–6. http://dx.doi.org/10.46411/jpsoaphys.2020.02.24.

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Abstract:
La transition énergétique vers les énergies renouvelables a poussé les pays notamment ceux du sahel à utiliser au mieux les énergies renouvelables. Parmi ces énergies renouvelables, le biogaz contribue aux défis énergétiques et environnementaux des populations. Dans ce papier, nous proposons une méthodologie capable à la fois de produire du froid et d’électricité à partir des déchets organiques. L’approche proposée donne une étude du potentiel et de la disponibilité des déchets (analyse de la disponibilité, caractérisation des déchets, etc.), une conception et dimensionnement du système de conversion (centrale à déchets), une modélisation et simulation du processus de production de froid et d’électricité sous le logiciel « Thermoptim ». Les résultats obtenus notamment pour le cas de Bamako (capitale du Mali) donnent la quantité journalière de biogaz (déchets méthanisables) de 1544 tonnes/j dont celle du méthane est de 14479,084 m3/j et celle de l’énergie primaire est de 143,922 MWh/j. L’énergie thermique convertible en froid est de 57,93 MW/j et l’énergie électrique est de 52,475 MW/j. Par ailleurs, la simulation a permis d’une part de comprendre le processus thermodynamique, d’obtenir des résultats intéressants sur l’analyse de la biomasse soit 60,51% de matières sèches et 39,08 % de matières organiques pour le cas de Bamako et d’autre part de faire les analyses environnementale et économique. L’application de ce travail peut combler un déficit énergétique par rapport à la demande énergétique (froid, électricité) qui croit 10% environ par an.
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Metz, L., D. Thivel, P. Genin, A. Fillon, and M. Duclos. "Déficit énergétique induit par différentes modalités de pédalage en immersion : étude pilote." Nutrition Clinique et Métabolisme 33, no. 1 (March 2019): 43. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2019.01.296.

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7

Hanfer, Mourad, Hichem Mezdour, Souad Ameddah, and Ahmed Menad. "Valproïc acid and its relationship with onset of hepatotoxicity in patients." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 3, no. 1 (June 29, 2016): 39–44. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsra.2016.3107.

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Abstract:
L’acide valproïque (AVP) est un médicament largement utilisé comme antiépileptique dans le traitement de formes variées d’épilepsies partielles ou généralisées. Cependant, il existe de nombreux effets secondaires inhérents à son métabolisme qui peuvent provoquer une toxicité hépatique qui se manifeste par une stéatose chez les patients subissant un traitement chronique ou prenant des doses excessives. Selon la littérature, l’incidence des atteintes hépatiques liées à l’AVP est de 0,01 %. Cette incidence a augmenté en raison de la plus grande utilisation de ce médicament. L’AVP est presque uniquement métabolisé par le foie qui est l’organe cible dominant de sa toxicité. Sa biotransformation est très complexe et conduit à la production de plus de 50 métabolites différents. L’AVP subit une β-oxydation dans les mitochondries des hépatocytes qui peut provoquer un déséquilibre de l'état énergétique de la cellule et aboutir à un déficit énergétique, une stéatose et la mort cellulaire.
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QUESNEL, H. "État nutritionnel et reproduction chez la truie allaitante." INRAE Productions Animales 18, no. 4 (October 18, 2005): 277–86. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.4.3533.

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Abstract:
Si le déficit nutritionnel que subissent la plupart des truies pendant la lactation est sévère, il peut résulter en un allongement de l’intervalle sevrage-œstrus, surtout chez les jeunes femelles. Le taux d’ovulation au premier œstrus post-sevrage peut également être réduit. Un déficit énergétique ou un déficit protéique induits expérimentalement ont les mêmes effets que le déficit nutritionnel global. L’impact du déficit nutritionnel sur les performances de reproduction peut être atténué si les réserves corporelles des truies sont élevées en début de lactation. Le retard de l’ovulation après le sevrage des porcelets est dû à l’inhibition de la sécrétion pulsatile du GnRH par l’hypothalamus pendant la lactation. En revanche, la baisse du taux d’ovulation n’est pas nécessairement liée à l’altération des sécrétions gonadotropes, ce qui implique l’existence d’effets directs au niveau des ovaires. Les différents mécanismes par lesquels l’axe gonadotrope pourrait être informé des changements métaboliques subis par la truie sont passés en revue. La disponibilité en substrats oxydables, notamment en glucose, serait le premier signal qui informe l’hypothalamus du statut métabolique. L’insuline interviendrait en modulant la disponibilité en glucose au niveau cellulaire. L’influence de la leptine et de l’IGF-I sur la sécrétion du GnRH pendant la lactation n’est pas établie chez la truie. Enfin, certains acides aminés sont des précurseurs de neurotransmetteurs impliqués dans le contrôle de la sécrétion du GnRH, et leur moindre disponibilité pourrait participer à l’inhibition de LH pendant la lactation. Au niveau ovarien, la folliculogénèse peut être altérée par les faibles concentrations d’insuline et/ou d’IGF-I associées au déficit nutritionnel. L’influence d’autres facteurs, comme la disponibilité en certains acides aminés, ne peut pas être exclue.
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9

Amstutz, D., N. Dupertuis, L. Ciutto, F. Donzallaz Lucas, J. Depeyre, B. Vogt, and P. Coti Bertrand. "P202 Impact de l’organisation institutionnelle sur le déficit protéino-énergétique des patients dialysés hospitalisés." Cahiers de Nutrition et de Diététique 46 (December 2011): S150—S151. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(11)70286-3.

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Amstutz, D., N. Dupertuis, L. Ciutto, F. Donzallaz Lucas, J. Depeyre, B. Vogt, and P. Coti Bertrand. "P202 Impact de l’organisation institutionnelle sur le déficit protéino-énergétique des patients dialysés hospitalisés." Nutrition Clinique et Métabolisme 25 (December 2011): S150—S151. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(11)70269-2.

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Agueh, V., J. Saizonou, A. Batonon, Y. Glèlè Hèssou, V. Mongbo Adé, and M. Makoutodé. "Facteurs associés au déficit énergétique chronique chez les personnes vivant avec le VIH sous antirétroviraux au Bénin." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 62 (September 2014): S230. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2014.06.189.

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Graf, S., A. Clerc, C. P. Heidegger, R. Thibault, M. Berger, and C. Pichard. "O13 Seuil de déficit énergétique associé à une augmentation du risque d’infection chez les patients de Soins Intensifs (SI) ?" Cahiers de Nutrition et de Diététique 46 (December 2011): S27. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(11)70034-7.

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Graf, S., A. Clerc, C. P. Heidegger, R. Thibault, M. Berger, and C. Pichard. "O13 Seuil de déficit énergétique associé à une augmentation du risque d’infection chez les patients de Soins Intensifs (SI) ?" Nutrition Clinique et Métabolisme 25 (December 2011): S27. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(11)70017-6.

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Faye, Bernard, and C. Mulato. "Facteurs de variation des paramètres protéo-énergétiques, enzymatiques et minéraux dans le plasma chez le dromadaire de Djibouti." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, no. 3 (March 1, 1991): 325–34. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9174.

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Abstract:
L'analyse du plasma de 52 dromadaires (27 femelles adultes, 13 jeunes femelles, 7 mâles adultes et 5 jeunes mâles) en provenance de cinq régions naturelles de Djibouti a concerné 15 paramètres biochimiques. Les valeurs observées tendent à admettre des états de subcarence en oligo-éléments (cuivre : 60, 7 µg/100 ml; zinc : 46,2 µg/100 ml) mais non en calcium (9,5 mg/100 ml), ni en magnésium (2,3 mg/100 ml), bien que dans ce dernier cas les écarts soient grands (1,1-3,9). Par ailleurs, les dromadaires de Djibouti semblent en état de déficit énergétique (63,7 mg/100 ml pour le glucose, 0,025 mmol/l pour le BOH, 0,17 mmol/l pour les acides gras libres), mais le niveau azoté alimentaire serait globalement satisfaisant (urée : 35,9 mg/100 ml, albumine : 32,7 g/l). Les lipides plasmatiques (cholestérol, phospholipides, triglycérides) signent les particularités métaboliques du dromadaire (respectivement 19,5, 22,4 et 26,6 mg/100 ml). Le facteur géographique est prépondérant sur les facteurs zootechniques pour expliquer les différences entre les profils observés. Les caractéristiques des cinq régions sont discutées en relation avec le profil moyen observé sur les animaux.
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SAUVET, F., M. CHENNAOUI, S. BANZET, C. BOURRILHON, F. CANINI, L. BOURDON, and N. KOULMANN. "Coup de chaleur d’exercice, système cardiovasculaire et vulnérabilité systémique." Médecine et Armées Vol. 40 No. 3, Volume 40, Numéro 3 (June 1, 2012): 231–40. http://dx.doi.org/10.17184/eac.6611.

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Abstract:
L’un des problèmes posés par le coup de chaleur d’exercice réside dans la précocité des troubles neurologiques qui sont la conséquence de mécanismes pernicieux généraux et cérébraux aboutissant à un déficit de perfusion tissulaire et à une ischémie cérébrale. Au niveau général, la redistribution vasculaire et les modifications de la vasomotricité d’origine inflammatoire, favorisent l’apparition d’un collapsus vasculaire. L'ischémie cérébrale, liée à l’oedème cérébral et à l’hypoperfusion, favorise un état de déséquilibre énergétique qui s'accompagne d'une cytotoxicité, d’une inflammation locale et d'une augmentation de la production de radicaux libres qui majorent la diminution des débits sanguins. Ainsi, les modifications vasculaires observées sont liées à des réponses physiopathologies locales et générales, parfois contradictoires et complexes, qui entrent en compétition et déséquilibrent dans un sens ou dans l’autre la balance vasoconstriction/vasodilatation. Ces déséquilibres modifient les résistances vasculaires, créant des mécanismes vicieux qui favorisent la diminution de la tolérance à la chaleur. Dans ce travail, nous décrierons l’implication du système cardiovasculaire dans la diminution de la tolérance à la chaleur et la survenue d’un coup de chaleur d’exercice. Nous aborderons également les mécanismes qui augmentent la vulnérabilité individuelle et les effets des contremesures protectrices.
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Hare, F. Kenneth. "Recent Climatological Research in Labrador Ungava." Cahiers de géographie du Québec 10, no. 19 (April 12, 2005): 5–12. http://dx.doi.org/10.7202/020560ar.

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Abstract:
La climatologie de la péninsule Labrador-Ungava vient de nous apparaître dans une nouvelle perspective grâce à des recherches récentes sur le bilan calorifique et hygrométrique à la surface du sol ainsi que sur les divers types de courants atmosphériques en rapport avec les conditions météorologiques locales. Le bilan énergétique du Labrador-Ungava, bien que typique de ces latitudes, témoigne de températures beaucoup plus basses que celles que Von rencontre habituellement dans des régions semblables. Au cours de l’été, on a observé un rayonnement net quotidien de 0.258k cal/cm 2 en moyenne. Durant la saison végétative, l'évapotranspiration utilise à peine 40% du rayonnement net ; ceci permet de penser qu'une part considérable de l'énergie disponible peut être utilisée dans les mouvements convectifs de réchauffement. Ainsi s'expliquerait le développement si répandu de cumulus typiques de l'ensemble de la région en été. On est moins renseigné sur le bilan hygrométrique. Les précipitations sont abondantes et au cours de la période de fonte des neiges, en mai et en juin, le ruissellement est considérable. Il semble probable que le déficit total en eau est de loin inférieur a celui des bassins forestiers situés plus au sud. On n'a guère étudié la climatologie synoptique de l’ Ungava-Labrador, mais l'auteur fait mention des rapports qui auraient pu exister entre les courants atmosphériques et l'accumulation de la neige pendant la dernière glaciation.
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Behling, Maurel, Marie-Gabrielle Piketty, Thiago Fonseca Morello, Jean-Pierre Bouillet, Francisco Mesquita Neto, and Jean-Paul Laclau. "Plantations d'eucalyptus et sidérurgie en Amazonie : apports du modèle 3-PG." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20464.

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Abstract:
Le secteur sidérurgique de Carajás, en Amazonie Brésilienne, fait l'objet de contestations environnementales du fait de sa forte consommation en charbon de bois. Ce charbon est essentiellement produit à partir de biomasse de forêts naturelles, avec des impacts directs et indirects sur la déforestation et la dégradation de ces écosystèmes. Les plantations d'eucalyptus à vocation énergétique installées sur des pâturages dégradés constituent une alternative intéressante. Peu de ces plantations ont été mises en place jusqu'à présent et faute d'évaluations valables de leur potentiel de production, une étude a été menée pour présenter une estimation consolidée de la croissance et de la productivité des plantations d'eucalyptus du pôle de Carajás. Celles-ci ont été obtenues à partir du modèle 3-PG (Physiological Principles in Predicting Growth). Son paramétrage a été réalisé à partir de données de croissance du massif d'eucalyptus d'une entreprise de la municipalité de Breu Branco dans l'État du Pará au Brésil. La calibration locale du modèle s'est avérée beaucoup plus performante que l'utilisation de paramètres établis pour des plantations d'eucalyptus dans d'autres régions du Brésil, d'Afrique du sud ou d'Australie. Les simulations réalisées indiquent que l'accroissement moyen annuel actuel de l'ordre de 20 m³ à l'hectare, obtenu pour une période de six ans, pourrait augmenter jusqu'à 30 m³ avec des fertilisations adaptées et un contrôle efficace du sous bois. Elles suggèrent aussi que des productions supérieures seraient obtenues sans déficit hydrique. Cela montre la nécessité de sélectionner les zones de plantation où la saison sèche est la moins marquée autour du pôle de Carajás. La calibration du modèle 3-PG a permis d'améliorer cet outil de gestion des plantations industrielles dans les conditions amazoniennes. (Résumé d'auteur)
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BAKOUR, Chafik, and Wafaa Chagraoui. "Evaluation du déficit du compte courant marocain par l’approche External Balance Assessment." International Journal of Economic Studies and Management (IJESM) 1, no. 2 (November 25, 2021): 197–211. http://dx.doi.org/10.52502/ijesm.v1i2.189.

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Abstract:
Cet article vise à analyser empiriquement les causes du déséquilibre du compte courant marocain pour en présenter des éléments de réflexions qui devraient nous permettre de proposer des pistes de recherche pour résoudre la problématique du déficit du compte courant. A cet effet et en choisissant de baser notre étude empirique sur l’approche théorique inter temporelle du compte courant, cet article examine économétriquement les effets des variables du stock initial des avoirs extérieurs nets, des crédits privés, des importations énergétiques, du taux d’épargne, du taux d’investissement, du PIB, des dépenses de santé, de l’Output gap, du degré d’ouverture commerce international et du déficit budgétaire sur le solde du compte courant en utilisant la méthodologie VAR. Les résultats montrent que le degré d’ouverture au commerce international, le taux d’investissement élevé, le déficit budgétaire, les crédits privés, les importations énergétiques sont des facteurs importants qui expliquent le comportement à long terme du déficit du compte courant marocain.
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NYS, Y., and B. SAUVEUR. "Valeur nutritionnelle des oeufs." INRAE Productions Animales 17, no. 5 (October 5, 2004): 385–93. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.5.3611.

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Abstract:
L’oeuf peut être défini comme une source peu énergétique de protéines parfaitement équilibrées et de lipides de très bonne digestibilité, assurant par ailleurs 20 à 30 % du besoin journalier de l’homme en de nombreux minéraux et vitamines (pour 100 g d’oeuf). Il est cependant déficient en glucides, calcium et vitamine C. Ces qualités font de l’oeuf un aliment particulièrement indiqué pour les populations sensibles à l’équilibre de leur ration : enfants, personnes âgées ou convalescentes. L’oeuf est enfin le seul aliment d’origine animale capable d’être conservé à l’état cru pendant une période notable à température ambiante.
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Cantin, Richard, and Cédric Bereaud. "Differentes sources d’erreurs dans le diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments." Acta Europeana Systemica 8 (July 10, 2020): 231–40. http://dx.doi.org/10.14428/aes.v8i1.56393.

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Abstract:
Parmi les différents diagnostics mis en oeuvre dans le bâtiment, le diagnostic de performance énergétique (DPE) renseigne sur la performance énergétique en évaluant sa consommation d'énergie et son impact en termes d'émission de gaz à effet de serre. Le contenu et les modalités d'établissement du DPE sont réglementés en France depuis plus de 10 ans. Les DPE ont ainsi produit des données, des rapports, des guides, des logiciels... utilisés pour élaborer les stratégies de réhabilitation énergétique du parc immobilier. Mais aujourd’hui les retours d’expériences interrogent la qualité de ces DPE. En effet, alors que ces diagnostics influencent le marché de l’immobilier, différentes enquêtes ont montré qu’ils manquaient de fiabilité... Dans ces conditions, il semble difficile d’assurer la qualité des prises de décision pour une transition énergétique efficace dans le secteur du bâtiment. Il apparaît que l’évaluation de la performance énergétique des bâtiments relève d’une problématique complexe qui fait appel à un ensemble de connaissances dans des domaines variés. Définir la performance énergétique d’un bâtiment renvoie à toutes les difficultés de compréhension posées par l'appréhension d'une réalité complexe. Cet article présente comment la vision systémique permet d’appréhender la problématique complexe de l’évaluation de la performance énergétique des bâtiments. Avec plusieurs exemples, il montre comment la modélisation des systèmes, l’identification des facteurs complexes et leurs influences vont permettre de caractériser les différentes sources d'erreurs. Enfin, l’article propose des actions visant à réduire ces sources d’erreurs et à améliorer l’intégration des exigences du développement durable dans le secteur du bâtiment.
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Diatta, Ambroise, Abdoulaye Dieng, Mamadou Tandiang Diaw, Thierry Daniel Tamsir Nesseim, and Saliou Ndiaye. "Production et valeur nutritive de fourrages de pois Mascate (Mucuna pruriens (L.) DC. var. utilis (Wall. ex Wight) Baker ex Burck) cv. Ghana cultivé dans le Centre et Nord bassin arachidier sénégalais." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1262–72. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.8.

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Abstract:
L’insuffisance des ressources fourragères naturelles constitue une contrainte majeure au développement de l’élevage des ruminants dans le Centre et Nord bassin arachidier sénégalais. Pour y faire face, il faut recourir à des techniques telles que la culture fourragère. L’objectif est donc d’étudier la production de fourrage de Mucuna pruriens dans la zone et de déterminer sa valeur nutritive. Du fourrage frais de 79-84 jours et des foins de 60, 75 et 90 jours ont été produits. Les rendements ont été mesurés, les fourrages analysés, les compostions chimiques et les valeurs nutritives déterminées. Les rendements sont globalement faibles, 1,16 à 1,50 t MS/ ha, mais comparables à certains rapportés dans la littérature. Le fourrage frais est plus riche en protéines brutes que les foins, soit 19,56 contre 14,16 à 18,65% de la MS, moins fibreux, soit 27,26 contre 33,82 à 35,27% de la MS et plus nutritif, soit 150,65 contre 96,60 à 141,48 g/ kg MS de protéine brute digestible et 0,70 contre 0,67 à 0,69 UF/ kg MS. Parmi les foins, celui de 75 jours offre un léger avantage. En définitive, cette culture reste possible dans cette zone et peut y être préconisée en vue d’une atténuation du déficit fourrager. Mots clés : Rendement, composition chimique, fourrage frais, foins, valeur azotée, valeur énergétique. English Title: Production and nutritional value of Muscat pea fodder (Mucuna pruriens (L.) DC. var. utilis (Wall. ex Wight) Baker ex Burck) cv. Ghana cultivated in the Center and North senegalese groundnut basin The insufficiency of natural fodder resources constitutes a major constraint to the development of ruminant farming in the Central and Northern senegalese groundnut basin. To deal with this, techniques such as forage cultivation must be used. The objective is therefore to study the forage production of Mucuna pruriens in the area and determine its nutritional value. Fresh forage of 79-84 days and hay of 60, 75 and 90 days were produced. Yields were measured, forages analyzed, chemical compositions and nutrient values determined. Yields are generally low, 1.16 to 1.50 t DM / ha, but comparable to some reported in the literature. Fresh forage is richer in crude protein than hay, 19.56 against 14.16 to 18.65% DM, less fibrous, 27.26 against 33.82 to35.27% DM and more nutritious, 150.65 against 96.60 to 141.48 g/kg DM of digestible crude protein and 0.70 against 0.67 to 0.69 UF /kg DM. Among the hays, that of 75 days offers a slight advantage. Ultimately, this crop remains possible in this area and can be recommended there with a view to reducing the fodder deficit.Keywords: Yield, chemical composition, fresh fodder, hay, nitrogen value, energy value.
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Perron, Dominique. "« On est Hydro-Québécois ». Consommateur, producteur ou citoyen? Analyse de la nationalisation symbolique d’Hydro-Québec." Globe 6, no. 2 (February 14, 2011): 73–97. http://dx.doi.org/10.7202/1000817ar.

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Abstract:
Quelles sont les représentations liées aux entreprises d’exploitation énergétique? C’est ce que cet article examine en se penchant sur le cas de la campagne publicitaire de 1973 d’Hydro-Québec. On y découvre un processus de nationalisation symbolique qui fait de cette société d’État une des composantes essentielles d’une nouvelle identité collective, désormais définie comme québécoise et non plus canadienne-française. Nous proposons une analyse détaillée des aspects idéologiques et historiques de cette représentation identitaire.
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Mésirard, Sandrine. "Deux schémas régionaux au service de la transition énergétique." Études Normandes 4, no. 1 (2017): 47–48. http://dx.doi.org/10.3406/etnor.2017.3622.

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Abstract:
Le schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie (SRCAE) est l’un des grands schémas régionaux créés par les lois dites « Grenelle » (2010). C’est un document dont la vocation est de définir, à partir d’un scénario optimum, de grandes orientations, notamment sur les stratégies énergétiques. Les actions seront mises en oeuvre par les collectivités territoriales au travers des plans climat air énergie territoriaux (PCAET), qui seront à leur tour pris en compte dans les documents de planification et d’urbanisme (schéma de cohérence territoriale, plan local d’urbanisme…).
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Rötig, A., JP Bonnefont, M. Colonna, V. Cormier, P. Rustin, JM Saudubray, and A. Munnich. "Les remaniements du génome mitochondrial dans les déficits énergétiques de l'enfant : de nouvelles maladies de système ?" médecine/sciences 5, no. 7 (1989): 459. http://dx.doi.org/10.4267/10608/4003.

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BENOIT, Marc, and Patrick VEYSSET. "Calcul des Unités Gros Bétails : proposition d’une méthode basée sur les besoins énergétiques pour affiner l'étude des systèmes d'élevage." INRAE Productions Animales 34, no. 2 (October 18, 2021): 139–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.2.4855.

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Abstract:
Originellement basé sur l’ingestion de fourrages par les herbivores et par extension sur leurs besoins énergétiques, le concept d'Unité de Gros Bétail (UGB) est largement utilisé, sans être toujours précisément défini, pour décrire et évaluer les systèmes d'élevage ou pour calculer des statistiques. Cependant, le calcul de la valeur UGB d'un animal donné peut être considéré comme très frustre dans la mesure où il ne tient compte ni de sa taille, ni de son niveau de production, ni de ses conditions d'élevage, dont dépendent ses besoins énergétiques et donc alimentaires. Nous proposons une méthode de calcul de l'UGB adaptée aux espèces bovines, ovines et caprines basée sur les besoins énergétiques nets des animaux, en utilisant les équations et paramètres fournis par le GIEC (« Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat »). Grâce à une analyse de sensibilité vis-à-vis des variables utilisées, nous confirmons que le poids des animaux et leur niveau de production sont déterminants de ces besoins. En intégrant ces deux paramètres, nous proposons deux types d'équations qui diffèrent par leur niveau de précision et par la disponibilité des données requises. Sur la base d'une équivalence de 29 000 MJ pour une UGB correspondant à une vache laitière de 600 kg produisant 3 000 kg de lait par an à un taux butyreux de 4 %, nous conservons la notion d'animal de référence pour une UGB. La méthode proposée permet d’approcher, à travers la taille des animaux, leur niveau de production et leur génotype, la variabilité des besoins alimentaires des animaux. Les coefficients UGB ainsi calculés peuvent très significativement différer des coefficients historiques et ainsi modifier les conclusions de comparaisons de systèmes de production entre eux ou dans le temps.
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Fédou, C., F. Brandou, A. Razimbaud, I. Aloulou, J. F. Brun, and J. Mercier. "CO09 - Métabolisme énergétique à l’effort chez l’adulte déficient en hormone de croissance (GHD A) sous traitement substitutif." Annales d'Endocrinologie 66, no. 5 (October 2005): 391. http://dx.doi.org/10.1016/s0003-4266(05)81810-4.

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DOURMAD, J. Y., M. ETIENNE, and J. NOBLET. "Mesurer l’épaisseur de lard dorsal des truies pour définir leurs programmes alimentaires." INRAE Productions Animales 14, no. 1 (February 16, 2001): 41–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.1.3724.

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Abstract:
Pour optimiser les performances de la truie et sa longévité, il est important d’adapter régulièrement les apports alimentaires de façon à contrôler l’état des réserves corporelles et éviter ainsi les situations d’engraissement ou d’amaigrissement excessif, qui sont préjudiciables à de bonnes performances de reproduction. La gestation apparaît la période privilégiée pour reconstituer un niveau de réserves corporelles adéquat. Pour cela il est nécessaire de disposer de critères objectifs d’évaluation des réserves, de fixer des objectifs en fonction du stade physiologique et de traduire ces objectifs en termes d’apports nutritionnels. La démarche proposée consiste à évaluer les besoins énergétiques de la truie en gestation sur la base d’une approche factorielle prenant en compte l’importance des réserves à reconstituer, ces réserves étant évaluées à partir du poids vif et de l’épaisseur de lard dorsal mesurée aux ultrasons. Sur la base des informations obtenues expérimentalement ou en élevage, on peut retenir, pour des femelles croisées Large White x Landrace, un objectif d’épaisseur de lard dorsal (mesuré au niveau de la dernière côte à 6,5 cm de la ligne médiane) de 16 à 19 mm au sevrage et de 19 à 22 mm à la mise bas, quel que soit le numéro de portée, l’écart entre ces deux objectifs devant se situer entre 2 et 4 mm. En pratique, le plus important pour atteindre ces objectifs est de favoriser au maximum la consommation pendant la lactation, l’alimentation pendant la gestation servant seulement à corriger l’état des réserves.
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DELAGARDE, R., and J. L. PEYRAUD. "Gérer les variations des apports alimentaires des vaches laitières au pâturage." INRAE Productions Animales 26, no. 3 (June 18, 2013): 263–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.3.3155.

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Abstract:
La prairie pâturée, source de nutriments la plus économique pour les vaches laitières, devrait constituer la base de systèmes économes et durables. Dans ces systèmes, la gestion de l’alimentation des troupeaux laitiers au pâturage est un challenge majeur. L’objectif de cet article de synthèse est de présenter et de hiérarchiser les principaux facteurs déterminant des apports énergétiques et azotés des vaches laitières au pâturage en milieu tempéré, afin de mettre en évidence les voies d’actions possibles permettant des performances par vache élevées tout en maximisant l’utilisation et la valorisation de l’herbe par hectare. La gamme de variation possible des besoins alimentaires des vaches et de leur capacité d’ingestion est comparée avec celle de la valeur alimentaire des prairies pâturées et des effets induits par la gestion du pâturage. Ces comparaisons montrent que les vaches fortes productrices ne peuvent pas atteindre leur potentiel de production laitière lorsqu’elles sont nourries à l’herbe seule. Les bilans énergétiques théoriques des vaches peuvent cependant être estimés dans une large gamme de disponibilité et de qualité de prairies. Des modèles prévisionnels permettent aussi de calculer les apports de concentrés nécessaires pour couvrir ces besoins dans une large gamme de pratiques. Les effets de la pression de pâturage, de la complémentation, de l’utilisation des légumineuses ou de la gestion du temps d’accès journalier au pâturage sont notamment présentés et discutés. Il est conclu que les connaissances acquises en termes de régulation de l’ingestion et de la digestion des vaches laitières au pâturage permettent aujourd’hui de définir les voies de maîtrise de l’alimentation du troupeau et des performances des systèmes laitiers bovins herbagers.
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DIRRENBERGER1, P. "Méthanisation (partie 1) : principe, paramètres et polluants émis – état de l’art." Techniques Sciences Méthodes, no. 9 (September 21, 2020): 15–30. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202009015.

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Abstract:
La méthanisation est un processus biologique de dégradation anaérobie de la matière organique, poursuivant deux buts principaux : une valorisation énergétique par la production de biogaz, composé en majorité de méthane (CH4) et de gaz carbonique (CO2), et une valorisation agronomique par la production de digestat (résidu organique liquide ou pâteux des déchets non digérés), riche en nutriments (azote, phosphore, potassium) et pouvant être utilisé comme fertilisant ou amendement (épandage direct ou compostage). La digestion anaérobie est un procédé complexe mettant en jeu de nombreux microorganismes. Pour qu’il soit efficace, des paramètres variés (température, pH, temps de séjour…) doivent être pris en compte, maîtrisés et suivis tout au long du processus. Il est également nécessaire de connaître les inhibiteurs de la méthanisation pouvant enrayer le processus. Comme tout procédé de traitement des déchets, la méthanisation est susceptible de générer, à chaque étape, de nombreux gaz et aérosols pouvant être délétères pour la santé des travailleurs potentiellement exposés. Cet article vise à rappeler le principe et le fonctionnement de la méthanisation, à répertorier les paramètres influant sur le procédé, les notions permettant de définir les caractéristiques du déchet entrant et les polluants délétères potentiellement émis au cours du procédé.
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LECLERCQ, B., and C. BEAUMONT. "Etude par simulation de la réponse des troupeaux de volailles aux apports d’acides aminés et de protéines." INRAE Productions Animales 13, no. 1 (February 18, 2000): 47–59. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.1.3768.

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Abstract:
Plusieurs modèles de simulation de réponse aux teneurs des aliments en acides aminés ou protéines, ainsi que d’estimation des besoins sont décrits et appliqués à trois productions : le poulet de chair en croissance, le canard de Barbarie en finition et la poule pondeuse. Ces modèles conduisent à l’estimation de besoins et de performances proches de ce qui est observé expérimentalement. Ils permettent une approche objective du besoin économique, défini comme la teneur permettant de minimiser le coût alimentaire du gain de poids. Il est ainsi possible de prévoir les effets probables de la sélection sur les besoins nutritionnels des espèces considérées. Chez les volailles de chair, la vitesse de croissance influence peu le besoin en acide aminé (exprimé en g par kg d’aliment). Au contraire les lipides corporels sont, avec l’efficacité énergétique d’entretien, l’un des facteurs déterminants ; plus les animaux sont maigres ou efficaces, plus ils exigent des régimes enrichis en acides aminés. Chez la poule pondeuse, ce sont les performances de ponte qui rendent le mieux compte de l’élévation des recommandations. Dans tous les cas, l’optimum économique, teneur en acides aminés de l’aliment permettant de minimiser le coût alimentaire, est très proche de la teneur permettant d’atteindre les performances maximales.
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SAUVANT, Daniel, Laurence PUILLET, and Bertrand BLUET. "Extension spatio-temporelle du modèle chèvre INRA 2018 : 2. L'évolution de la dynamique des réserves, du poids vif et de la NEC sur un cycle productif." INRAE Productions Animales 35, no. 1 (May 17, 2022): 73–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.1.5492.

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Abstract:
L'objectif de ce travail était de simuler les évolutions du Poids Vif (PV), de ses composantes (ex. les réserves corporelles) et de la Note d'État Corporel (NEC) des chèvres sur un cycle de production en s'appuyant sur les relations dynamiques du modèle nutritionnel caprin INRA 2018. Dans un premier temps, l'approche a considéré de façon distincte les phénomènes de changement de poids vif liés à la lactation, la gestation et la croissance. En effet, la nature des informations disponibles a priori et les démarches calculatoires n'étaient pas les mêmes pour ces trois états physiologiques. Pour les situations considérées, un modèle original d'évolution des contenus digestifs au cours d'un cycle productif a été développé pour aboutir à des évolutions du PV et du PV vide (PVV), défini comme le poids maternel hors contenus digestifs et utérus gravide. Pour la lactation, la démarche a consisté à utiliser les équations de la dynamique des réserves énergétiques pour déterminer les bilans énergétiques cumulés puis les cinétiques de PVV, en intégrant l’effet du potentiel de production laitière. Pour la gestation, l’approche a consisté à utiliser les cinétiques de PV puis de PVV, pour distinguer la cinétique pondérale de l'utérus gravide, fonction de la prolificité, et la cinétique pondérale de l'organisme maternel seul. Pour ce dernier, une approche originale a permis d’estimer l'anabolisme maternel en début de gestation et le catabolisme en seconde partie de gestation en intégrant l’effet de la prolificité. Les cinétiques de PV et PVV au cours des trois états physiologiques ont été combinées pour prédire la cinétique globale sur un cycle productif. Il a ainsi été possible de proposer une méthode d'estimation des cinétiques de PV à partir de la donnée du « poids vif format » (PVF correspondant au PV minimal atteint pendant un cycle productif). Enfin, la prédiction des cinétiques des NEC a été possible grâce aux relations disponibles entre la NEC sternale et la teneur en lipides corporels, ainsi qu’entre les NEC sternales et lombaires. Les évolutions de la NEC ont été calculées en séparant les phases de lactation, croissance et gestation, en particulier pour s'appuyer sur l'évolution de l'organisme maternel indépendamment de celle de l'utérus gravide. Ce modèle a été intégré dans le module « chèvres laitières » du logiciel de rationnement INRAtion®V5 – Rumin’Al afin de pouvoir tracer les dynamiques d'évolution du PV et de la NEC correspondant au potentiel des animaux afin de les comparer aux valeurs réelles.
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BOCQUIER, F., and G. CAJA. "Production et composition du lait de brebis : effets de l’alimentation." INRAE Productions Animales 14, no. 2 (April 16, 2001): 129–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.2.3734.

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Abstract:
Le niveau d’alimentation est un des facteurs d’élevage qui affecte la production et la composition du lait chez la brebis laitière. La production laitière augmente avec le niveau d’alimentation et inversement, alors que les effets sur la composition du lait sont moins nets. Le taux butyreux du lait est généralement corrélé négativement au bilan énergétique des brebis, alors que le taux protéique est corrélé positivement avec celui-ci : un niveau d’alimentation élevé diminue généralement la teneur en matières grasses du lait et augmente légèrement la teneur en protéines. La distribution de grandes quantités de concentrés, qui est un moyen simple d’augmenter l’apport d’énergie dans la ration, risque de provoquer une chute des taux butyreux et protéique et, secondairement, entraîne une réorientation des flux d’énergie vers le dépôt de gras corporel. Lorsque la brebis n’a pas atteint son potentiel de production, l’augmentation de la teneur protéique de la ration augmente la production de protéines du lait, mais sans modification du taux protéique du lait. L’utilisation de certains nutriments tels que les matières grasses ou les acides aminés protégés semble intéressante comme moyen d’accroître les teneurs en matières grasses et/ou protéiques du lait, mais peu d’expériences ont été effectuées sur brebis laitières et l’intérêt de ces nutriments est encore mal connu. Dans les conditions pratiques d’élevage de brebis laitières, généralement alimentées en groupes, les effets de l’alimentation sont souvent masqués par d’autres facteurs d’élevage connus pour modifier eux-mêmes la composition du lait. Il est donc nécessaire de prendre en compte la variabilité individuelle (stade de lactation notamment) pour définir la stratégie d’alimentation qui permette de maîtriser la composition du lait collecté.
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Simard, Louis. "L’acceptabilité sociale : trajectoire d’une nouvelle norme d’action publique." Articles non thématiques 40, no. 3 (October 28, 2021): 29–62. http://dx.doi.org/10.7202/1083023ar.

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Abstract:
La notion d’acceptabilité sociale est devenue incontournable dans plusieurs secteurs de l’action publique. Au coeur des grands projets d’aménagement et d’urbanisme, énergétiques, d’extraction des ressources, ou qui concernent l’environnement en général, cette nouvelle norme publique apparaît comme un traceur de changements importants en matière de décision tant sur le plan substantif que processuel. Comment comprendre cette notion ? Comment l’étudier et quelle trajectoire a-t-elle connu au Québec ? Dans cet article nous proposons dans un premier temps un cadre théorique pour étudier cet objet : l’approche par les instruments d’action publique, en la considérant comme un instrument de type normatif visant à favoriser la coordination, la coopération et la prévisibilité dans un environnement complexe, par la recherche d’un ajustement négocié sur des bases scientifiques et politiques. Nous présentons ensuite les principales composantes pour bien définir l’acceptabilité sociale. Enfin nous proposons d’étudier la trajectoire de cette norme sur plus de 40 ans au Québec à travers l’étude des rapports du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement, le Chantier sur l’acceptabilité sociale (2014-2015) et deux jugements des tribunaux (Cour supérieure du Québec en 2017 et Cour d’appel du Québec en 2020). Nous constatons une montée en importance de l’acceptabilité sociale au cours des décennies, pour devenir le critère ultime de décision en plus de s’institutionnaliser jusqu’à être confirmée dans sa portée juridique et pouvant apparaître comme le chaînon manquant entre démocratie participative et démocratie représentative.
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FRIGGENS, N. C., D. SAUVANT, and O. MARTIN. "Vers des définitions opérationnelles de la robustesse s’appuyant sur des faits biologiques. L’exemple de la nutrition." INRAE Productions Animales 23, no. 1 (February 8, 2010): 43–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.1.3284.

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Abstract:
Cette publication aborde quelques questions-clés liées à la robustesse (la capacité d’un animal à s’adapter aux perturbations liées à l’environnement) qu’il convient de considérer quand on en recherche des définitions opérationnelles. Le plus souvent les définitions simples (facile à mesurer) de la robustesse ne correspondent pas à l’intégralité du phénomène biologique sous-jacent. Une méta-analyse des réponses sécrétoires des composants énergétique du lait (lactose, protéine, lipides) à l’apport d’énergie montre que la réponse zootechnique (à partir de laquelle on souhaite définir la robustesse) à un challenge donné comprend des composantes qui ne répondent pas de la même façon. Ainsi, pour aboutir à une meilleure compréhension, la réponse de la sécrétion d’énergie doit être décomposée en ses composantes biologiques explicatives. Dans ce contexte, la distinction entre caractère biologique et critère mesuré est importante. Il est possible de fournir une définition opérationnelle de la robustesse à partir de cinétiques de mesures multicritères. Pour ceci, il faut extraire, pour chaque critère mesuré, la « trace » du phénomène biologique sous-jacent (par exemple un décrochage de production laitière comme témoin d’un aspect du phénomène d’infection de la mamelle), et puis combiner les différentes traces qui reflètent les différents aspects du phénomène biologique sous-jacent (infection de la mamelle). L’approche est illustrée à partir deux exemples : 1) Un lissage différentiel pour extraire le décrochage de production laitière ; 2) La construction d’une cinétique de degré d’infection en partant des cinétiques d’un jeu d’indicateurs. Dans cette exemple, la méthode est appliquée à ces indicateurs, mais l’approche est censée être générique et utilisable pour d’autres phénomènes biologiques et d’autres indicateurs. Il apparaît ainsi possible de mettre en avant des définitions opérationnelles de la robustesse et de mettre au point des méthodes pour la quantifier sur le terrain.
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MARTIN, C., L. BROSSARD, and M. DOREAU. "Mécanismes d’apparition de l’acidose ruminale latente et conséquences physiopathologiques et zootechniques." INRAE Productions Animales 19, no. 2 (March 13, 2006): 93–108. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.2.3488.

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Abstract:
Alors que sa forme aiguë est devenue rare, l’acidose ruminale se développe dans nos systèmes de production intensive sous sa forme latente, plus discrète mais touchant un nombre important d’animaux avec des impacts financiers négatifs. L’acidose ruminale aiguë a pour origine une surconsommation accidentelle de glucides rapidement fermentescibles. Elle apparaît comme un état de perturbation bien défini : chute du pH à des valeurs inférieures à 5, associée à une accumulation de lactate dans le rumen. Ceci est dû à l’appauvrissement de l’écosystème microbien ruminal (protozoaires, bactéries) au profit d’une flore productrice de lactate acido-tolérante. L’acidose latente apparaît plus spécialement lors des périodes de transitions alimentaires vers des régimes à forte densité énergétique. Elle représente un état de déséquilibre transitoire plus ou moins fréquent ou durable. La baisse du pH, proche des valeurs physiologiques inférieures (pH moyen entre 5 et 6,25), n’est pas liée à l’accumulation de lactate, mais à celle des acides gras volatils. La proportion d’acétate diminue en relation avec la baisse de l’activité cellulolytique. Pour une baisse de pH modérée, les protozoaires se développent et les fermentations s’orientent vers le butyrate. Pour des pH plus faibles, les protozoaires disparaissent au profit des bactéries amylolytiques, avec une orientation fermentaire vers le propionate. Ces modifications ruminales peuvent avoir des conséquences physiopathologiques à plus ou moins long terme au niveau digestif (inhibition de la motricité ruminale, diarrhées, lésions de la paroi ruminale…), des troubles métaboliques ou encore des complications infectieuses et locomotrices. Les conséquences négatives sur les quantités ingérées et les performances, bien que réelles, sont très difficiles à quantifier du fait que les régimes acidogènes, riches en concentré, vont généralement de pair avec des quantités ingérées et des performances élevées. L’état d’acidose se traduirait par des diminutions de courte durée, et donc une plus grande irrégularité de l’ingestion et de la production.
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PRUD’HON, M., G. MOLENAT, P. LAPEYRONIE, and G. REBOUL. "L’unité ovine méditerranéenne est-elle une bonne référence pour évaluer la production des pâturages méditerranéens ? Bilan de quatre ans d’utilisation en garrigue et en Crau." INRAE Productions Animales 2, no. 1 (February 10, 1989): 39–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.1.4398.

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Abstract:
Un groupe de chercheurs méditerranéens (groupe PHILOETIOS) a défini une unité standard : l’Unité Ovine Méditerranéenne, ou UOM, pour faciliter l’évaluation et les comparaisons des productions fourragères des parcours et prairies, en zone méditerranéenne. L’UOM est l’énergie nette consommée par une brebis de 45 kg à l’entretien sur des pâturages. Toutes les dépenses énergétiques sont transformées en UOM. Nous avons utilisé cette unité pour comparer les potentiels de production des prairies irriguées de Crau et des parcours de garrigue au cours de quatre années d’exploitation exclusive par le pâturage ovin. Les valeurs moyennes respectives : 37 et 2,3 UOM/ha/an situent bien les extrêmes que l’on peut obtenir sur de tels types de pâturage. En outre, l’étude met en évidence l’extrême variabilité des résultats saisonniers et annuels des parcours de garrigue ainsi que leur grande hétérogénéité : variations dans le rapport de 1 à 2,5 aussi bien entre années intra parcelle qu’entre parcelles à l’intérieur d’une même année. Sur prairie irriguée, les fluctuations sont plus réduites mais demeurent importantes. Sur le plan méthodologique, le calcul des UOM est simple mais nécessite le contrôle de nombreuses données : calendrier de pâturage, pesée périodique des brebis et agneaux, contrôle de la reproduction, mesure de l’état corporel. L’utilisation des facteurs de correction aboutit à des résultats cohérents dans le cas des prairies irriguées de Crau ; par contre, il semble que les besoins spécifiques à la vie au pâturage, fixés forfaitairement à 30 % des besoins d’entretien, soient sousestimés dans les conditions plus difficiles du pâturage en garrigue. Une correction complémentaire serait souhaitable dans les milieux difficiles.
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LARZUL, C., P. E ROY, G. MONIN, and P. SELLIER. "Variabilité génétique du potentiel glycolytique du muscle chez le porc." INRAE Productions Animales 11, no. 3 (June 3, 1998): 183–97. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.3.3937.

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Abstract:
Le potentiel glycolytique du muscle (PG) se réfère à la teneur en glycogène musculaire chez l’animal vivant et est défini comme le potentiel de production d’acide lactique lors de la glycolyse post mortem. Le PG varie selon le muscle considéré : il est plus fort dans les muscles de type blanc que dans les muscles de type rouge. La valeur du PG dépend aussi du moment de la mesure : elle est plus élevée lorsque le muscle est prélevé par biopsie sur l’animal au repos que lorsqu’il est prélevé sur la carcasse dans l’heure qui suit l’abattage. Une relation de type linéaire puis en plateau lie le pH ultime au PG, et la valeur-seuil de PG au-delà de laquelle le pH ultime reste constant dépend du muscle considéré. La valeur du PG est très fortement influencée par le gène majeur RN (viande acide), qui est à l’origine de la position très particulière occupée de ce point de vue par la race Hampshire ("effet Hampshire"). L’allèle RN-, responsable de l’augmentation substantielle (+ 70 %) de la teneur en glycogène des muscles de type blanc rapide (Long dorsal par exemple), est presque complètement dominant. En dehors du gène RN, le PG présente une variabilité polygénique appréciable (héritabilité de 20-25 %). Ce caractère est lié positivement au rapport muscle/gras de la carcasse et à la teneur en glycogène résiduel de la viande. Il est lié négativement au pH ultime et au rendement à la cuisson de la viande. Les animaux porteurs de l’allèle RN-se caractérisent par une forte élévation du rapport eau/protéines du muscle. Plusieurs faits indiquent que le métabolisme énergétique du muscle est à tendance plus oxydative chez les animaux à PG génétiquement plus fort. Le potentiel glycolytique du muscle, caractère mesurable chez l’animal vivant (sur une biopsie du Long dorsal), est un critère de sélection à prendre en considération pour l’amélioration génétique de la qualité de la viande de porc.
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CHEVAUX, F. "Étude prospective pour une gestion territorialisée et optimisée des boues de l’assainissement collectif." Techniques Sciences Méthodes, no. 11 (November 20, 2020): 89–108. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202011089.

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Abstract:
La Métropole Rouen Normandie (MRN) dispose d’un parc de 23 stations de traitement des eaux usées (STEU) générant un total de 9075 tonnes de matières sèches (MS) par an. Les boues des quatre principales stations, à savoir « Émeraude » à Petit-Quevilly (72% du flux total produit), Saint-Aubin-lès-Elbeuf (15%), Grand-Quevilly (4,8%) et Grand-Couronne (1,5%), sont incinérées sur deux sites, le reste étant épandu. L’incinérateur de la STEU de Saint-Aubin-lès-Elbeuf fonctionne actuellement en souscharge alors que celui d’Émeraude est amené à recevoir davantage de boues depuis l’extension de la STEU fin 2018, ce qui engendre des problématiques de consommation énergétique. La mise en place de la digestion anaérobie permet de réviser la gestion des boues à l’échelle d’un territoire. À cet effet, l’approche multicritère menée par le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) a permis à la collectivité de disposer d’une aide à la décision pour ses futures orientations. L’étude a tout d’abord défini un état des lieux de la production de l’ensemble des boues des STEU du territoire de la MRN, puis présenté une analyse de la faisabilité de différentes filières de traitement des boues en lien avec les équipements en place sur le site d’Émeraude et, sur la base d’un retour d’expérience, proposé des recommandations et des points de vigilance pour les filières d’incinération et de méthanisation par rapport aux techniques existantes pour l’adaptation au contexte rouennais. Quatre scénarios avec suppression ou maintien des fours d’incinération et mise en place d’une digestion anaérobie sur Émeraude ont été élaborés, puis analysés suivant des critères techniques (flux à traiter, équipements nécessaires, emprise foncière), environnementaux (émission de gaz à effet de serre), économiques (investissement, fonctionnement, recettes envisageables) et réglementaires (procédures nécessaires). L’article présente la démarche et la méthodologie mises en oeuvre, le choix de la collectivité sur le scénario proposé n’étant à ce jour pas entériné officiellement.
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HENRY, Y. "Alimentation du porc pour la production de viande maigre : évolutions récentes et perspectives." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (February 27, 1993): 31–45. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4185.

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Abstract:
La production porcine a bénéficié, au cours des dernières décennies, de progrès importants et continus réalisés par la sélection pour une croissance sans cesse plus forte de tissus maigres et un dépôt décroissant de gras, en réponse à la demande des consommateurs. Cet article examine les changements intervenus dans l’alimentation en considérant les évolutions récentes et les perspectives, compte tenu de l’évolution prévisible des performances de production et de l’apport des nouvelles technologies. L’importance du progrès génétique en faveur de la croissance des tissus maigres a conduit en premier lieu à envisager une modélisation de la prévision des besoins nutritionnels (énergie, protéines et acides aminés, minéraux), dont les variations se traduisent notamment par des exigences moins marquées en énergie que par le passé et par un accroissement important des besoins en acides aminés relativement à l’apport énergétique. Grâce à cette démarche de modélisation, il est désormais possible de définir de nouvelles stratégies d’alimentation adaptées pour la production de viande maigre (plan de rationnement alimentaire, choix du type d’aliment pour une phase de production déterminée), en fonction des conditions particulières de production et à l’aide de systèmes d’évaluation des aliments suffisamment discriminants (énergie nette, digestibilité iléale des acides aminés). En outre, l’augmentation de certains intrants alimentaires (azote, phosphore) pour une production accrue de viande maigre implique une gestion raisonnée de leurs apports, afin de prévenir des rejets excessifs dans l’environnement (eau, atmosphère). La tendance à une certaine dégradation de la qualité de la viande, notamment sous l’angle technologique et organoleptique, au fur et à mesure des progrès de la sélection sur la croissance musculaire, oblige à une prise en compte, par l’alimentation, des exigences de qualité des produits, qu’il s’agisse des dépôts gras ou des tissus maigres (importance du gras intramusculaire). Il en est de même avec le recours à de nouvelles technologies permettant, soit de préserver le potentiel de croissance musculaire (utilisation du porc mâle entier), soit de le stimuler (facteurs de croissance). En dernier lieu, après avoir considéré les effets de l’alimentation sur la conformation des carcasses, en relation avec l’amélioration du développement musculaire, les conséquences d’un amaigrissement excessif des truies sur les performances de reproduction sont évoquées en liaison avec la mobilisation et la reconstitution des réserves lipidiques corporelles. Ce problème d’équilibre entre les tissus musculaire et gras constitue un enjeu important pour l’évolution future de l’alimentation du porc maigre. Au plan de l’application, les nouvelles approches nutritionnelles, basées sur l’établissement de lois de réponse qui prennent en compte la diversité à la fois des types génétiques (depuis les plus gras jusqu’aux plus maigres) et des conditions d’élevage et de milieu devraient permettre, dans chaque cas, de définir les conditions optimales de production d’un type de porc particulier.
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Andrieu, Nadine, Eduardo Chia, and Eric Vall. "Recherche et innovations dans les exploitations de polyculture-élevage d’Afrique de l’Ouest Quelles méthodes pour évaluer les produits de la recherche ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10116.

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Abstract:
Alors que l’invention peut se définir comme la découverte d’un principe, l’innovation peut être définie comme l’adoption de ce principe par une population (1, 2, 3, 17). En Afrique de l’Ouest, la grande majorité des inventions et leur traduction fréquente en propositions techniques de la recherche pour intensifier les systèmes mixtes agriculture-élevage ont été peu ou n’ont pas été intégrées dans les systèmes de production (11, 13, 14, 18, 21, 23). Ce constat d’échec a amené la recherche à s’interroger sur ses démarches de conception et d’évaluation de ses propositions et à impliquer davantage les acteurs de terrain dans la formulation des problèmes et l’élaboration des solutions dans le cadre de recherches participatives (5, 8, 10, 12, 15, 16). L’analyse des facteurs d’adoption des inventions constitue un premier champ au sein des méthodes d’évaluation existantes. L’objectif est d’identifier les facteurs économiques, institutionnels, structurels ou sociotechniques qui favorisent le passage de l’invention à l’innovation (4, 20). Des outils de modélisation peuvent aussi être utilisés pour analyser le profil des populations susceptibles d’adopter telle ou telle technologie (7, 24). Les méthodes de diagnostic des impacts de la recherche constituent un deuxième champ d’évaluation. Il s’agit d’analyser les effets, prévus ou non, des propositions de la recherche quand elles sont expérimentées sur le terrain ou adoptées (19). La modélisation peut là encore s’avérer un outil puissant pour explorer les impacts potentiels des propositions de la recherche avant leur mise en oeuvre effective au sein des systèmes de production (6, 9, 22). L’objectif de ce numéro thématique est de passer en revue différents travaux sur l’évaluation des propositions de la recherche, récemment réalisés en zone agropastorale d’Afrique de l’Ouest, afin de définir comment concevoir et évaluer des innovations dans cette région. Les contributions se basent sur différentes études menées non seulement dans le domaine de la production et de la santé animales mais aussi dans celui des productions végétales intimement liées à l’élevage dans les systèmes mixtes étudiés. Elles abordent également la gestion socio-économique des exploitations et, en particulier, intègrent les projets des producteurs. Cette diversité de terrains et d’approches permet d’enrichir la réflexion sur les méthodes d’évaluation des innovations dans les systèmes d’élevage et dans les systèmes agro-sylvo-pastoraux de cette région. Les trois premiers articles s’intéressent aux facteurs d’adoption des produits de la recherche. Bouyer et coll. analysent les facteurs ayant joué sur l’adoption d’une nouvelle méthode de lutte sanitaire acaricide en milieu paysan au Burkina Faso. Ngondjeb et coll. étudient les facteurs d’adoption de techniques de lutte contre l’érosion hydrique des sols en zone cotonnière du Cameroun. Dans des contextes de changements socio-économiques induisant des stratégies adaptatives de producteurs camerounais, Pedelahore et coll. s’interrogent sur la place de processus d’intensification promus par la recherche. Ces méthodes fournissent des pistes pour mieux caractériser la diversité des besoins et des contraintes des populations cibles. Les autres travaux concernent surtout les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche. Ces évaluations sont prospectives pour deux articles : les travaux de Dabire et coll. explorent les impacts potentiels de la prévision saisonnière des pluies sur les performances économiques des exploitations familiales burkinabés ; ceux de Deffo et coll. évaluent les effets de différents systèmes de culture sur la durabilité des exploitations. L’article de Sempore et coll. combine évaluation prospective et évaluation ex post, respectivement avant et après l’expérimentation d’ateliers d’embouche chez des agroéleveurs. Trois articles analysent a posteriori les impacts de propositions expérimentées ou adoptées par les producteurs : Blanchard et coll. mesurent l’impact de l’utilisation raisonnée de la fumure organique au champ sur les rendements et les revenus de producteurs burkinabés ; Fokou et coll. explorent les liens entre, d’une part, les innovations technologiques et organisationnelles et, d’autre part, les relations de pouvoir dans des systèmes de production laitiers du Mali. Enfin, en s’inspirant d’une méthode expérimentée à la Réunion (France), Vayssières et coll. cherchent à mieux prendre en compte les consommations énergétiques et les émissions de gaz à effet de serre dans les exploitations d’élevage d’Afrique de l’Ouest dans la conception de systèmes agropastoraux plus respectueux de l’environnement. L’objectif global de ces travaux est de consolider les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche pour sélectionner les propositions qui contribuent le mieux au développement durable des systèmes agro-sylvo-pastoraux d’Afrique de l’Ouest.
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Dasta, Joseph F., Mark Mlynarek, Barbara J. Zarowitz, Brendar R. Morand, and Chantal Guevremont. "Individualizing Nutrition in Patients with Acute Respiratory Failure Requiring Mechanical Ventilation." Drug Intelligence & Clinical Pharmacy 21, no. 11 (November 1987): 865–70. http://dx.doi.org/10.1177/106002808702101102.

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Abstract:
Provision of adequate nutrition is recognized as a therapeutic necessity to maintain inspiratory muscle strength and prevent weaning failures in patients with acute respiratory failure requiring mechanical ventilation. Total caloric needs are empirically estimated by calculation of basal energy expenditure and modified by correction factors for concurrent levels of stress. Energy requirements can vary considerably from empiric estimations and may be better defined by indirect calorimetry that measures oxygen consumption and carbon dioxide production. Protein constituents are initiated empirically until patient-specific urea nitrogen excretion is available. The addition of fat emulsion as 20–50 percent of total daily calories limits lipogenesis, prevents excessive carbon dioxide production, and provides a volume-concentrated caloric source to fluid-restricted patients. Manipulation of nutrient composition can improve or impair ventilatory weaning and nutritional rehabilitation. The significance of substrate utilization is reviewed and recommendations for establishing nutritional regimens for mechanically ventilated adults with acute respiratory failure are provided. Extracto La provisión de adecuada nutrición es reconocida como una necesidad terapeútica para mantener la fuerza muscular inspiratoria y prevenir fracasos al descontinuar la ventilación mecánica en pacientes con fallo respiratorio agudo que así lo requieren. Los requisitos calóricos totales son estimados empíricamente calculando el consumo de energía basal y son modificados por factures de corrección para niveles de tensión concurrentes. Los requisitos de energía pueden variar considerablemente de las estimaciones empíricas y podrían definirse mejor a través de calorimetría indirecta que mide el consumo de oxígeno y la producción de dióxido de carbono. Los constituyentes protéicos se comienzan empíricamente hasta que la excresión de urea nitrogenada del paciente está disponible. La adición de una emulsión de grasa como 20–50 por ciento de las calorías totales diarias limita la lipogénesis, previene la producción excesiva de dióxido de carbono y provee un volumen concentrado de fuente calórica a pacientes en restricción de l***íquidos. La manipulación de la composición de nutrientes puede mejorar o menoscabar el descontinuar la ventilación mecánica y la rehabilitación nutricional. En este artículo se revisa la importancia de la utilización de sustrato y se proveen recomendaciones para establecer regimenes nutricionales para adultos con fallo respiratorio agudo en ventilación mecánica. Resume Le support nutritionnel est devenu une nécessité thérapeutique pour maintenir la force musculaire inspiratoire et ainsi prévenir les difficultés dans un programme de sevrage chez les patients atteints d'un trouble respiratoire aigu requerrant une ventilation mécanique. Les besoins caloriques globaux sont estimés empiriquement par un calcul de la dépense énergétique basale modifié par un facteur de correction pour les niveaux de stress concurrents. Les besoins en énergie peuvent varier considérablement à partir des estimations empiriques. Ils pourraient être mieux définis par calorimétrie indirecte qui mesure la consommation d'oxygène et la production de bioxyde de carbone. Les constituants protéiniques sont débutés empiriquement jusqu'à ce qu'une collecte d'urine de 24 heures soit disponible pour le patient afin de déterminer sa balance azotée. L'addition d'une émulsion de lipides de 20 à 50 pour cent des calories totales quotidiennes limite la lipogénèse, prévient la production excessive de bioxyde de carbone et fournie une source calorique concentrée pour les patients en restriction liquidienne. Globalement, l'usage d'une composition enrichie peut améliorer ou altérer le sevrage du ventilateur et la réhabilitation nutritionnelle. L'importance de l'utilisation de substrats est revue et des recommandations pour établir des régimes nutritifs sont fournies aux adultes ventilés mécaniquement pour insuffisance respiratoire.
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Onunkwo, D. N., G. Daniel-Igwe, E. Afam-Ibezim, B. N. Ezenyilimba, and I. U. Udokwu. "Carcass characteristics and organ proportions of broiler chickens fed different plant protein sources in an Acha grain-based diet." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 6 (February 28, 2021): 108–12. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i6.2915.

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Abstract:
The stiff competition between man and livestock for maize as energy feedstuff has resulted in the high cost of poultry products. Therefore, a study was conducted to evaluate the effect of feeding acha-based diet varying dietary plant protein to broiler chickens on carcass characteristic and organ proportions. A total of 120, one day-old Abor acre broiler chicks were used for the study in a Complete Randomized Design. Four dietary plant proteins were included in the broiler chicken diet at 28% level with an acha grain as the main energy source. Diet 1 contains 28% groundnut cake, while diets 2, 3 and 4 contain 28% of full fat soyabean, soyabean cake and cashew nut meal, respectively. The birds were randomly allotted to the 4 treatment groups, with each group having 30 birds which was further subdivided into 3 replicates of 10 birds each. This study lasted for 56 days. At the end of the feeding trial, carcass evaluation was carried out. One bird per replicate was randomly selected, starved overnight and slaughtered by severing the jugular vein. The visceral were removed and weighed. The results showed that birds fed dietary soyabean cake (Diet 3) had the highest live weight gain (2155.00g), slaughtered weight (1855.00g), defeathered weight (1838.33g), dressed weight (1455.00g) and shank (112.00g). The organ proportions showed significant differences (p<0.05), though followed no definite trend. In conclusion, birds fed diet 3 gave the best carcass weight, and the organ proportions showed no negative effect as par the diets offered the birds. Thus, inclusion of 28%, soyabean meal in an acha-grain based diets proved to be superior over groundnut cake and cashew nut and it is therefore recommended. La vive concurrence entre l'homme et le bétail pour le maïs comme aliment énergétique a entraîné le coût élevé des produits de volaille. Par conséquent, une étude a été menée pour évaluer l'effet de l'alimentation à base d'acha avec des protéines végétales alimentaires variées sur les poulets de chair ainsi que les caractéristiques de la carcasse et les proportions des organes. Un total de 120 poussins de chair de 'Abor acre' âgés d'un jour a été utilisés pour l'étude dans un plan randomisé complet. Quatre protéines végétales diététiques ont été incluses dans le régime des poulets de chair à un taux de 28%, le grain d'acha étant la principale source d'énergie. Le régime 1 contient 28% de farine d'arachide, tandis que les régimes 2, 3 et 4 contiennent 28% de farine de soja, de gâteau de soja et de noix de cajou, respectivement. Les oiseaux ont été répartis au hasard dans les 4 groupes de traitement, chaque groupe comptant 30 oiseaux qui ont ensuite été subdivisés en 3 répétitions de 10 oiseaux chacun. Cette étude a duré 56 jours. À la fin de test d'alimentation, une évaluation de la carcasse a été effectuée. Un oiseau par réplique a été sélectionné au hasard, affamé pendant la nuit et abattu en sectionnant la veine jugulaire. Les viscéraux ont été prélevés et pesés. Les résultats ont montré que les oiseaux nourris avec du gâteau de soja diététique (régime 3) avaient le gain de poids vif (2155,00 g), le poids abattu (1855,00 g), le poids sans plumes (1838,33 g), le poids habillé (1455,00 g) et le jarret (112,00 g). Les proportions d'organes ont montré des différences significatives (p <0,05), mais n'ont suivi aucune tendance définie. En conclusion, les oiseaux nourris avec le régime 3 ont donné le meilleur poids de carcasse, et les proportions d'organes n'ont montré aucun effet négatif par rapport aux régimes offerts aux oiseaux. Ainsi, l'inclusion de 28% de gâteau de soja dans un régime à base de céréalesacha s'est avérée supérieure aux gâteau d'arachide et de noix de cajou et elle est donc recommandée.
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FAVERDIN, P. "Dossier : Palatabilité et choix alimentaires - Avant-propos." INRAE Productions Animales 9, no. 5 (October 20, 1996): 337–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.5.4072.

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Abstract:
Les trois articles qui suivent retracent le contenu de trois exposés présentés dans le cadre du groupe de réflexion sur le thème ingestion au sein du département Elevage et Nutrition des Animaux de l’INRA. Ce groupe "Ingestion", qui existe depuis environ une dizaine d’année maintenant, se réunit une ou deux fois par an autour d’un thème particulier dont les différents aspects sont traités par des membres du groupe ou invités par le groupe. Il nous est apparu que ce travail pouvait intéresser un public francophone plus large que les seuls participants à ces réunions. A l’avenir, des dossiers seront donc ainsi proposés à la revue Productions Animales en fonction des activités du groupe. Le premier dossier a pour thème "Palatabilité et choix alimentaires". Avant même d’essayer d’en définir les termes, le titre posait problème : fallait- il parler de palatabilité ou d’appétibilité ? Si palatabilité nous apparaît aujourd’hui comme un néologisme, Gallouin et Le Magnen (1987) nous ont rassurés en nous apprenant que les Anglais l’ont importé de France il y a plusieurs siècles. Quant au mot appétibilité, il n’a été proposé qu’il y a un peu moins d’un demi-siècle pour traduire "palatability" de l’anglais. Malheureusement, résoudre ce différend linguistique ne permet pas de définir facilement et précisément ce terme. L’estimation de la palatabilité est généralement décrite par la notion de préférence alimentaire, donc de choix, sans que les deux soient équivalents. Enfin, ce critère de palatabilité est très couramment associé aux qualités organoleptiques des aliments. Différences de définitions, de méthodes de caractérisation, de mécanismes impliqués pour expliquer ces phénomènes, il est apparu important de clarifier la situation et de faire le point sur ce sujet. Les finalités des travaux sur la prise alimentaire chez les monogastriques et les ruminants sont généralement différentes. La nature de la ration (des aliments concentrés jusqu’aux prairies naturelles), mais également le type de production qui recouvre des échelles de temps très variées (de quelques semaines à 10 ans) posent des problèmes de prise alimentaire très différents. Les travaux sur les monogastriques (porcs et volailles) et les ruminants sont donc traités dans des articles séparés. Ces textes permettent de mieux percevoir la spécificité d’approche pour chaque espèce, mais soulignent les points communs quant aux mécanismes associés au concept de palatabilité. Pour les espèces à cycle court, les problèmes d’apprentissage et les choix alimentaires peuvent affecter rapidement la productivité des systèmes. Le refus par des jeunes d’un nouvel aliment pendant quelques jours va affecter leur croissance, même si, a priori, dans l’aliment rien de perceptible par l’homme ne permet de comprendre ce comportement. La synthèse de Marie- Christine Meunier-Salaün et Michel Picard essaye donc de préciser les relations entre ces problèmes de choix alimentaires, de préférence ou d’aversion, et la notion de palatabilité chez le porc et les volailles et discute les moyens d’étudier ces problèmes. Les ruminants disposent souvent de fourrages à volonté. Les fourrages étant généralement, en France, d’un coût plus faible que les autres aliments, l’éleveur souhaite en maximiser l’utilisation. Ceci suppose que le fourrage soit bien ingéré par l’animal. La palatabilité d’un aliment interfère-t-elle avec le niveau d’ingestion de cet aliment ? Comment apprécier objectivement cette notion de palatabilité ? Quel est le rôle des sens dans les préférences alimentaires des ruminants ? La revue de René Baumont essaye de répondre à ces questions à l’aide de nombreux exemples. Les ruminants d’élevage disposent généralement pendant plus de la moitié de l’année d’un accès au pâturage. Dans ces conditions d’alimentation très particulières l’animal va être amené à gérer lui-même ses prises alimentaires avec des situations de choix parfois très complexes. Cette complexité au pâturage est accrue par la dispersion de l’offre alimentaire. Les choix comportementaux ne sont donc pas que le reflet des préférences alimentaires strictes pour telle ou telle espèce ou partie de végétal, mais le résultat d’une stratégie de pâturage complexe qui pourrait chercher à maximiser le bénéfice énergétique. Ces relations entre les préférences alimentaires des ruminants et les choix alimentaires effectués au pâturage sont étudiées par Bertrand Dumont qui en présente une synthèse dans le dernier article de ce dossier. Bien que recouvrant des approches et des points de vue très divers, ces trois articles partagent certaines conclusions sur la notion de palatabilité. En particulier, on peut difficilement la dissocier d’une notion d’apprentissage si l’on veut en comprendre les rouages. Essayer de s’en défaire ne fait que renforcer le poids des apprentissages précédents (souvent inconnus) au détriment de la propre expérience de l’animal sur tel aliment. Les choix d’un animal peuvent donc évoluer pour prendre en compte des signaux post-ingestifs. L’utilisation de tests en tout genre pour apprécier la palatabilité doit donc se faire avec discernement. Néanmoins, une meilleure connaissance des mécanismes d’apprentissage et d’identification de l’aliment permettrait de limiter les problèmes lors des transitions alimentaires et de mieux comprendre comment l’animal équilibre sa ration. Un travail de réflexion important reste donc à réaliser pour mettre en place des méthodologies adaptées afin de mieux expliquer les choix alimentaires des animaux domestiques. Gallouin F., Le Magnen J., 1987. Evolution historique des concepts de faim, satiété et appétit. Reprod. Nutr. Dévelop., 27, 109-128.
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GUY, G., and L. FORTUN-LAMOTHE. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 5 (December 19, 2013): 387–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3167.

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Abstract:
Ce numéro de la revue INRA Productions Animales contient un dossier consacré aux dernières avancées de la recherche sur le foie gras. En effet, la démocratisation de la consommation de ce produit haut de gamme a été permise notamment par les efforts de recherche et développement sur l’élevage des palmipèdes à foie gras et la maîtrise de la qualité du produit. Ce dossier est l’occasion de faire en préalable quelques rappels sur cette belle histoire ! Un peu d’histoire La pratique du gavage est une tradition très ancienne, originaire d’Egypte, dont les traces remontent à 2 500 avant JC. Elle avait pour objectif d’exploiter la capacité de certains oiseaux à constituer des réserves énergétiques importantes en un temps court pour disposer d’un aliment très riche. Si les basreliefs datant de l’ancien empire égyptien attestent de la pratique du gavage, il n’existe pas de preuves que les égyptiens consommaient le foie gras ou s’ils recherchaient la viande et la graisse. Ces preuves sont apparues pour la première fois dans l’empire romain. Les romains gavaient les animaux avec des figues et pour eux le foie constituait le morceau de choix. Le nom de jecur ficatum, signifiant « foie d’un animal gavé aux figues », est ainsi à l’origine du mot foie en français. La production de foie gras s’est développée dans le Sud-ouest et l’Est de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles avec le développement de la culture du maïs. Le foie gras est aujourd’hui un met inscrit au patrimoine culturel et gastronomique français (article L. 654-27-1 du code rural défini par la Loi d’Orientation Agricole de 2006). Le contexte de la production de foie gras Avec près de 72% de la production mondiale en 2012, la France détient le quasi monopole de la production de foie gras. Les autres pays ayant des productions significatives sont la Hongrie et la Bulgarie en Europe Centrale, avec environ 10% pour chacun de ces pays, mais aussi l’Espagne avec 3% de la production. L’Amérique du nord et la Chine représentent les deux autres pôles de production les plus significatifs, mais avec moins de 2% du marché. La production française a connu un essor considérable, sans doute le plus important de toutes les productions agricoles, passant de 5 880 tonnes en 1990 à plus de 19 000 tonnes en 2012. A l’origine, le foie gras était principalement obtenu par gavage des oies, longtemps considérées comme l’animal emblématique de cette production. Aujourd’hui, le canard mulard, hybride d’un mâle de Barbarie (Cairina Moschata) et d’une cane commune (Anas Platyrhynchos), est plus prisé (97% des palmipèdes gavés en France). En France, l’oie a vu de ce fait sa part relative pour la production de foie gras diminuer, et c’est la Hongrie qui contrôle 65% de la production mondiale de foie gras d’oie. Toutefois, cette espèce ne représente que 10% de la production mondiale. La France est également le principal pays consommateur de foie gras avec 71% du total, l’Espagne se classant au second rang avec environ 10%. Compte tenu de son image de produit de luxe et d’exception, le foie gras est consommé un peu partout dans le monde lors des repas de haute gastronomie. Les grandes avancées de connaissance et l’évolution des pratiques d’élevage L’amélioration des connaissances sur la biologie et l’élevage des palmipèdes à foie gras a permis de rationnaliser les pratiques d’élevage et d’améliorer la qualité du produit. Plusieurs laboratoires de recherche et structures expérimentales, ayant leurs installations propres et/ou intervenant sur le terrain, ont contribué à l’acquisition de ces connaissances : l’INRA avec l’Unité Expérimentale des Palmipèdes à Foie Gras, l’UMR Tandem, le Laboratoire de Génétique Cellulaire, la Station d’Amélioration Génétique des Animaux et l’UR Avicoles, l’Institut Technique de l’AVIculture, la Ferme de l’Oie, le Centre d’Etudes des Palmipèdes du Sud Ouest, le LEGTA de Périgueux, l’ENSA Toulouse, l’ENITA Bordeaux et l’AGPM/ADAESO qui a mis fin en 2004 à ses activités sur les palmipèdes à foie gras. Aujourd’hui ces structures fédèrent leurs activités dans un but de rationalité et d’efficacité. Les avancées des connaissances et leur transfert dans la pratique, associés à une forte demande du marché, sont à l’origine de l’explosion des volumes de foie gras produits. Ainsi, la maîtrise de la reproduction couplée au développement de l’insémination artificielle de la cane commune et à la sélection génétique (Rouvier 1992, Sellier et al 1995) ont permis la production à grande échelle du canard mulard adapté à la production de foie gras. En effet, ses géniteurs, le mâle de Barbarie et la femelle Pékin, ont fait l’objet de sélections spécifiques basées sur l’aptitude au gavage et la production de foie gras de leurs descendants. La connaissance des besoins nutritionnels des animaux et le développement de stratégies d’alimentation préparant les animaux à la phase de gavage ont également été des critères déterminants pour la rationalisation d’un système d’élevage (Robin et al 2004, Bernadet 2008, Arroyo et al 2012). La filière s’est par ailleurs structurée en une interprofession (le Comité Interprofessionnel du Foie Gras - CIFOG) qui soutient financièrement des travaux de recherches et conduit des actions (organisation de salons du foie gras par exemple) visant à rendre accessibles toutes les avancées de la filière. Ainsi, l’amélioration du matériel d’élevage (gaveuse hydraulique et logement de gavage) a engendré des gains de productivité considérables (Guy et al 1994). Par exemple, en 20 ans, la taille d’une bande de gavage est passée de deux cents à mille individus. Enfin, la construction de salles de gavage, dont l’ambiance est parfaitement contrôlée autorise désormais la pratique du gavage en toute saison. Des études ont aussi permis de déterminer l’influence des conditions d’abattage et de réfrigération sur la qualité des foies gras (Rousselot-Pailley et al 1994). L’ensemble de ces facteurs a contribué à ce que les possibilités de production soient en cohérence avec la demande liée à un engouement grandissant pour le foie gras. Les pratiques d’élevage actuelles Aujourd’hui, le cycle de production d’un palmipède destiné à la production de foie gras comporte deux phases successives : la phase d’élevage, la plus longue dans la vie de l’animal (11 à 12 semaines chez le canard ou 14 semaines chez l’oie) et la phase de gavage, d’une durée très courte (10 à 12 jours chez le canard ou 14 à 18 jours chez l’oie). La phase d’élevage se décompose elle même en trois étapes (Arroyo et al 2012). Pendant la phase de démarrage (de 1 à 4 semaines d’âge) les animaux sont généralement élevés en bâtiment clos chauffé et reçoivent à volonté une alimentation granulée. Pendant la phase de croissance (de 4 à 9 semaines d’âge), les animaux ont accès à un parcours extérieur. Ils sont nourris à volonté avec un aliment composé de céréales à 75% sous forme de granulés. La dernière phase d’élevage est consacrée à la préparation au gavage (d’une durée de 2 à 5 semaines) grâce à la mise en place d’une alimentation par repas (220 à 400 g/j). Son objectif est d’augmenter le volume du jabot et de démarrer le processus de stéatose hépatique. Pendant la phase de gavage les animaux reçoivent deux (pour le canard) à quatre (pour l’oie) repas par jour d’une pâtée composée à 98% de maïs et d’eau. Le maïs est présenté soit sous forme de farine (productions de type standard), soit sous forme d’un mélange de graines entières et de farine, soit encore sous forme de grains modérément cuits (productions traditionnelles ou labellisées). En France, on distingue deux types d’exploitations. Dans les exploitations dites en filière longue et de grande taille (au nombre de 3 000 en France), les éleveurs sont spécialisés dans une des phases de la production : éleveurs de palmipèdes dits « prêt-à-gaver », gaveurs ou éleveurs-gaveurs. Ce type de production standard est sous contrôle d’un groupe ou d’une coopérative qui se charge des opérations ultérieures (abattage, transformation, commercialisation ou diffusion dans des espaces de vente à grande échelle). Il existe également des exploitations en filière courte qui produisent les animaux, transforment les produits et les commercialisent directement à la ferme et qui sont généralement de plus petite taille. Ces exploitations « fermières » ne concernent qu’une petite part de la production (10 à 15%), mais jouent un rôle important pour l’image de production traditionnelle de luxe qu’elles véhiculent auprès des consommateurs. Pourquoi un dossier sur les palmipèdes à foie gras ? Au-delà des synthèses publiées précédemment dans INRA Productions Animales, il nous a semblé intéressant de rassembler et de présenter dans un même dossier les avancées récentes concernant la connaissance de l’animal (articles de Vignal et al sur le séquençage du génome du canard et de Baéza et al sur les mécanismes de la stéatose hépatique), du produit (articles de Théron et al sur le déterminisme de la fonte lipidique du foie gras à la cuisson et de Baéza et al sur la qualité de la viande et des carcasses), ainsi que les pistes de travail pour concevoir des systèmes d’élevage innovants plus durables (article de Arroyo et al). L’actualité et les enjeux pour demain La filière est soumise à de nombreux enjeux sociétaux qui demandent de poursuivre les efforts de recherche. En effet, pour conserver son leadership mondial elle doit rester compétitive et donc maîtriser ses coûts de production tout en répondant à des attentes sociétales et environnementales spécifiques telles que la préservation de la qualité des produits, le respect du bien-être animal ou la gestion économe des ressources. Ainsi, la production de foie gras est parfois décriée eu égard à une possible atteinte au bien-être des palmipèdes pendant l’acte de gavage. De nombreux travaux ont permis de relativiser l’impact du gavage sur des oiseaux qui présentent des prédispositions à ce type de production : la totale réversibilité de l’hypertrophie des cellules hépatiques (Babilé et al 1998) ; l’anatomie et la physiologie des animaux de même que l’absence de mise en évidence d’une élévation du taux de corticostérone (considéré comme marqueur d’un stress aigu) après l’acte de gavage (Guéméné et al 2007) et plus récemment la mise en évidence de l’aptitude à un engraissement spontané du foie (Guy et al 2013). Le conseil de l’Europe a toutefois émis des recommandations concernant le logement des animaux qui préconisent, la disparition des cages individuelles de contention des canards pendant le gavage au profit des cages collectives. Par ailleurs, il recommande la poursuite de nouvelles recherches pour développer des méthodes alternatives au gavage. Parallèlement, à l’instar des autres filières de productions animales, la filière foie gras doit aussi maîtriser ses impacts environnementaux (voir aussi l’article d’Arroyo et al). Les pistes de recherches concernent prioritairement la maîtrise de l’alimentation, la gestion des effluents et des parcours d’élevage. Il reste donc de grands défis à relever pour la filière foie gras afin de continuer à proposer un produitqui conjugue plaisir et durabilité.Bonne lecture à tous !
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"Nutrition et déficit énergétique." Réanimation 23, S1 (November 20, 2013): 144–48. http://dx.doi.org/10.1007/s13546-013-0768-6.

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Alphonse, Sadam, Jacques Bikai, Abraham Tetang Fokone, and Kapseu Cesar. "Potentiel énergétique éolien et profil de consommation d’énergie dans le village Wouro Kessoum Ngaoundéré Cameroun." Journal of Renewable Energies 23, no. 1 (November 6, 2020). http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v23i1.34.

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Dans le cadre de la résolution du problème de déficit énergétique et de la pollution environnementale due aux énergies fossiles, l’utilisation des énergies renouvelables (ER) constitue une solution idoine. Cependant, l’instabilité de ces sources demeure une des limites considérables à leur exploitation. Notre travail porte sur l’évaluation du potentiel éolien en intégrant le paramètre de la densité massique locale de l’air. L’extrapolation de la demande d’énergie permet de prédire la solution envisageable. Le but de ce travail est de vérifier si l’énergie éolienne peut satisfaire à la demande d’énergie dans le village Wouro Kessoum. Les résultats montrent que ce n’est qu’entre 8 heures et 17 heures de la journée que la puissance récupérable satisfait à la demande d’énergie pour 195 ménages de ce village.
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Sesbreno, E., S. Leclerc, A. C. Dupont, E. Tiollier, C. Maitre, S. Hein, V. Lacroix, R. Seil, and G. Martens. "Déficit énergétique relatif dans le sport (RED-S) : synthèse ReFORM de la position de consensus du Comité International Olympique." Science & Sports, July 2022. http://dx.doi.org/10.1016/j.scispo.2022.06.002.

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MARVILLET, Christophe, and Léon NOUINDE. "Définir la transition énergétique." Ressources énergétiques et stockage, November 2022. http://dx.doi.org/10.51257/f-1771.

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Baurin, Arno, Vincent Bodart, François Courtoy, Nathan Lachapelle, Mathilde Pourtois, Mathieu Sauvenier, and Leïla Van Keirsbilck. "Numéro 176 - janvier 2023." Regards économiques, January 12, 2023. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2023.01.12.01.

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Abstract:
Malgré l’inflation élevée et la détérioration de la confiance des ménages et des entreprises, l’économie belge était toujours en progression au 3ème trimestre 2022, même si le rythme de la croissance fut plus faible que celui enregistré aux deux premiers trimestres. Il est probable que cette performance positive soit due encore pour partie à la réouverture complète de plusieurs activités économiques dont l’accès en début d’année était encore restreint par les mesures sanitaires. Ce phénomène étant par nature temporaire, il ne devrait plus avoir d’impact économique significatif fin 2022, si bien que l’évolution de l’activité économique au dernier trimestre devrait être plus fortement marquée par la crise énergétique. Nous prévoyons ainsi une contraction significative (-0,3%) de l’activité économique belge entre septembre et décembre. Fin 2022, de nombreux freins à la croissance persistent : inflation élevée, resserrement des conditions de financement, faible confiance et incertitude élevée, ralentissement de la croissance économique mondiale. En raison de ceux-ci, l’activité économique belge devrait continuer à se contracter début 2023. Pour autant que les prix de l’énergie se stabilisent, la récession pourrait être de courte durée. Soutenue par un marché du travail qui est resté dynamique tout au long de 2022, la croissance économique pourrait redevenir positive dès le 2ème trimestre 2023. Selon ces perspectives, la croissance de l’économie belge en 2023 serait de +0,2% en base annuelle moyenne (contre 3,0% en 2022). L’emploi, qui a très fortement augmenté en 2022, n’augmenterait plus que faiblement en 2023, si bien que le chômage devrait se relever. Enfin, la hausse des prix devrait ralentir de manière significative en 2023. Résumé des prévisions L’économie belge devrait croître de 0,2% en 2023. L’emploi augmenterait d’environ 11.000 unités en 2023. Le nombre de demandeurs d’emploi augmenterait de 12.600 unités en 2023. L’inflation générale des prix à la consommation s’élèverait à 5,3% en 2023. Le déficit budgétaire des administrations publiques atteindrait 5,0% en 2023.
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Canuel, Claudie-Maude, Evelyne Thiffault, Ayaovi Locoh, and Nelson Thiffault. "La bioénergie forestière pour lutter contre les changements climatiques : quelles implications dans la transition énergétique du Québec (Canada)?" Forestry Chronicle, February 21, 2023, 1–14. http://dx.doi.org/10.5558/tfc2023-004.

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Abstract:
Afin d’atteindre les cibles climatiques, le gouvernement du Québec prévoit une augmentation de la production de bioénergie forestière pour favoriser la transition énergétique. Cependant, l’utilisation de la biomasse forestière à des fins énergétiques présente des défis sociaux, économiques et environnementaux particuliers. Au cours d’un atelier de travail collaboratif tenu à l’hiver 2022, des professionnels et parties prenantes se sont prononcés sur le développement durable de la bioénergie forestière au Québec. L’objectif de cet article est d’identifier les sources de biomasse, les façons de faire et les voies de conversions perçues comme étant propices au succès de cette filière émergente. Il ressort des discussions qu’il est difficile d’entrevoir un seul et unique modèle d’affaires pour le déploiement de projets de bioénergie forestière, ce dernier s’insérant dans les activités de différents secteurs. La disponibilité de la biomasse forestière, le coût d’approvisionnement et de production, la valeur et le cycle de vie des produits générés ainsi que le comportement des parties prenantes sont des éléments déterminants pour définir la nature et la portée de projets de bioénergie forestière. Le succès de tels projets nécessite une amélioration de la cohérence tout au long de la chaîne de valeur et leur acceptabilité auprès des communautés.
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