Journal articles on the topic 'Culture archéologique'

To see the other types of publications on this topic, follow the link: Culture archéologique.

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 journal articles for your research on the topic 'Culture archéologique.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Gadoua, Marie-Pierre. "Les rôles contemporains de la culture matérielle inuit ancienne." Études/Inuit/Studies 37, no. 1 (May 29, 2014): 57–78. http://dx.doi.org/10.7202/1025254ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Cet article explore le potentiel des collections ethnographiques inuit pour la recherche archéologique collaborative. Nous présentons une étude réalisée au Musée McCord à Montréal, où des groupes d’aînés inuit ont été invités à partager leurs connaissances à propos d’objets inuit du quotidien, collectés durant la première moitié du XXesiècle au Canada. Cette recherche visait à mieux comprendre les significations sociales de l’équipement de chasse, des outils pour la préparation des peaux et la confection de vêtements, des ustensiles domestiques et des divers objets personnels (couteaux, peignes et ornements) chez les Inuit au début du siècle dernier, afin d’aider les analyses archéologiques d’objets thuléens analogues. Plus particulièrement, nous exposons la méthodologie de ces ateliers au Musée McCord où les participants étaient invités à manipuler librement les objets et expliquons comment ces interactions ont joué un rôle dans les processus de remémoration et de partage des savoirs. Nous concluons en présentant quelques résultats des analyses archéologiques qui ont suivi ces ateliers, ainsi qu’une discussion sur notre vision de la collaboration entre les Inuit, les institutions muséales et les archéologues.
2

Menn, Thomas M. "Hawelti-Melazo: the French legacy and recent research In memoriam Henri de Contenson(1926-2019)." Annales d'Ethiopie 33, no. 1 (2020): 155–66. http://dx.doi.org/10.3406/ethio.2020.1692.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Dans les années 1950, les travaux archéologiques de la Section d’Archéologie se sont déroulés non seulement à Aksoum mais aussi à Haoulti-Melazo, à une dizaine de kilomètres au sud-est. Ici, plusieurs sites ont révélé des structures sabéennes et aksoumites. Bien que la communauté scientifique ait pris acte des fouilles à Haoulti-Melazo – et cela principalement grâce aux activités archéologiques d’Henri de Contenson – aucune autre investigation n’a été effectuée pendant les 50 années qui ont suivi. Depuis 2009, un projet de coopération éthioallemand – impliquant l’Institut archéologique allemand (DAI), l’Université d’Iéna, l’Autorité éthiopienne pour la recherche et la conservation du patrimoine culturel (ARCCH) et le Bureau de la culture et du tourisme du Tigrai (TCTB) – est en cours dans ladite région et mène des recherches sur le patrimoine culturel. En l’honneur d’Henri de Contenson – décédé en septembre 2019 – cet article donne un bref aperçu de l’histoire de la recherche sur Haoulti-Melazo, de l’héritage laissé par les archéologues français et de la façon dont – après des décennies d’inactivité – ces travaux ont repris.
3

Moussette, Marcel. "L’épingle et son double en Nouvelle-France." Les Cahiers des dix, no. 60 (March 10, 2011): 103–28. http://dx.doi.org/10.7202/045769ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Le point de départ de cet article est de situer la place occupée dans la culture matérielle de la Nouvelle-France par un artéfact d’apparence anodine, l’épingle droite en laiton. La première partie du texte traite de l’histoire de cet objet et de sa fabrication, tandis que la deuxième partie est consacrée aux usages et fonctions qu’on lui connaît, à partir de données archéologiques accumulées. Enfin, la découverte archéologique d’une bouteille de sorcières dans les fortifications de Québec a amené l’auteur à élaborer une troisième partie portant sur l’imaginaire de l’épingle ; d’où le titre de cet article.
4

Benz, Marion, Christian Strahm, and Samuel van Willigen. "Le Campaniforme : phénomène et culture archéologique." Bulletin de la Société préhistorique française 95, no. 3 (1998): 305–14. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.1998.10805.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Martínez Martínez, Guadalupe. "Territorio y paisaje en la gestión del patrimonio arqueológico. Alcances desde la experiencia del diagnóstico territorial del patrimonio arqueológico en la región Lambayeque, Perú / Territory and landscape in the archaeological heritage management. The scope of territorial assessment experience of archaeological heritage in Lambayeque Region, Peru." Ería 1, no. 1 (May 3, 2020): 53–71. http://dx.doi.org/10.17811/er.1.2020.53-71.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Los procesos de transformación del territorio en el Perú afectan la comprensión, protección y conservación de los sitios arqueológicos, desbordados por la intensidad y rapidez de los cambios. Sin embargo, los instrumentos de gestión patrimonial y territorial vigentes no facilitan espacios de integración del patrimonio arqueológico en las dinámicas territoriales actuales. El concepto de paisaje abre una oportunidad de alineación de sendas visiones sectoriales. En la región Lambayeque, en el norte del Perú, la elaboración de un diagnóstico territorial de su patrimonio arqueológico por el Ministerio de Cultura, permitiría ensayar una propuesta operativa del paisaje para la gestión de este patrimonio.Les processus de transformation du territoire au Pérou affectent la compréhension, la protection et la conservation des sites archéologiques, submergés par l’intensité et la vitesse des changements. Cependant, les instruments de gestion du patrimoine et du territoire ne fournissent pas d’espaces pour l’intégration du patrimoine archéologique dans les dynamiques territoriales actuelles. Le concept de paysage ouvre une opportunité d’aligner les visions sectorielles. Dans la région de Lambayeque, au nord du Pérou, l’élaboration d’un diagnostic territorial de son patrimoine archéologique par le ministère de la Culture, permettrait de tester une proposition de paysage opérationnelle pour la gestion de ce patrimoine.The understanding, protection and conservation of archaeological sites are overwhelmed by the strength and speed of territorial changes. However, heritage and territorial management tools do not integrate archaeological heritage into current territorial dynamics. The landscape concept is an opportunity to align both approaches. The Ministry of Culture of Peru has developed a territorial assessment of archaeological heritage in Lambayeque, North of Peru. It allows for a landscape operational approach to the heritage management.
6

Holtorf, Cornelius. "Entre culture populaire et science, la « marque archéologique »." Les Nouvelles de l'archéologie, no. 113 (September 30, 2008): 26–30. http://dx.doi.org/10.4000/nda.564.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Chapdelaine, Claude, Éric Graillon, François Courchesne, Marie-Claude Turmel, Laurence Forget Brisson, François Hardy, Michel Lamothe, and Adrian L. Burke. "Cascades 5, une composante de la tradition de l’Archaïque du Golfe du Maine à East Angus, Estrie, Québec." Recherches amérindiennes au Québec 45, no. 2-3 (November 15, 2016): 93–126. http://dx.doi.org/10.7202/1038044ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
La vallée de la rivière Saint-François a été occupée depuis au moins 10 000 ans avant aujourd’hui par des chasseurs de la culture Plano, et le site Cascades 5 contribue à combler un hiatus culturel important entre 8000 et 10 000 ans avant aujourd’hui avec une occupation associée à l’Archaïque ancien. L’enfouissement des vestiges exigeait une lecture pédologique pour confirmer la présence d’un horizon enfoui. Le matériel archéologique présente de fortes similitudes avec les assemblages rattachés à la tradition de l’Archaïque du Golfe du Maine. Une profusion d’outils unifaciaux, la majorité étant taillée dans du quartz, caractérise l’assemblage du site Cascades 5, témoignant d’une adaptation vieille d’au moins 10 000 ans si l’on se fie à l’âge obtenu sur une pierre chauffée à l’aide de la luminescence optique. L’adaptation aux ressources de l’intérieur par des groupes du centre-nord du Maine et de la rivière Saint-François durant les mois chauds confirme un réseau de contacts soutenus malgré la présence des montagnes frontalières. Ces groupes partageaient des choix techniques, un réseau lithique dominé par l’utilisation de rhyolites dont la provenance est confirmée par la géoarchéologie et probablement d’autres aspects culturels qui laissent peu de traces dans les sites archéologiques.
8

Siebert, Gérard. "Vie publique et vie privée dans les maisons hellénistiques de Délos." Ktèma : civilisations de l'Orient, de la Grèce et de Rome antiques 23, no. 1 (1998): 171–78. http://dx.doi.org/10.3406/ktema.1998.2727.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L’étude archéologique des maisons de Délos révèle plus d’une fois leur ouverture à la vie publique pour les besoins de la profession et des rites sociaux (artisanat, commerce, fêtes). Réexamen des problèmes de l’andrôn. La culture grecque de la geitonia exclut la conception de la vie privée comme univers clos.
9

Labrèche, Yves. "Habitations, camps et territoires des Inuit de la région de Kangiqsujuaq-Salluit, Nunavik." Études/Inuit/Studies 27, no. 1-2 (July 15, 2005): 155–90. http://dx.doi.org/10.7202/010800ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Résumé Des interventions ethnoarchéologiques ont été réalisées au Nunavik (Québec arctique) en collaboration avec les Inuit de Kangiqsujuaq et de Salluit entre 1985 et 1995. Des zones écologiques d'abondance variée ont été explorées: rives de riches estuaires ou de baies, côte et îles maritimes, proximité de grands lacs et rivières ainsi que les hautes terres les plus pauvres de l'arrière-pays où se chevauchent partiellement les territoires des deux communautés. La première partie de cet article présente un bref survol ethnohistorique, suivi d'une synthèse interprétative basée sur les résultats d'un examen de sources publiées et de données tirées d'entrevues ethnographiques réalisées par l'auteur pour dépeindre les liens entre habitation, campement, territoire, toponymie et culture des Inuit. Dans la seconde partie, le traitement cartésien des données archéologiques sert à estimer la densité de la population, l'intensité de l'occupation humaine et l'utilisation des ressources, en insistant sur les contrastes remarquables entre la côte et l'arrière-pays. Cet exercice tend à démontrer qu'il est indispensable d'intégrer les savoirs traditionnels à toutes les étapes de la recherche archéologique, de la planification des études en passant par la collecte, l'analyse et l'interprétation des vestiges matériels envisagées à différentes échelles spatiales: structures, sites, secteurs et région.
10

Rivera, Francisco, Rodrigo Lorca, and Paula González. "Le soufre d’Ollagüe." Recherches amérindiennes au Québec 48, no. 1-2 (November 5, 2018): 213–24. http://dx.doi.org/10.7202/1053719ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Cet article propose un regard sur un ensemble de photographies afin d’étudier les transformations économiques et socioculturelles survenues au cours du xxe siècle à Ollagüe, une communauté autochtone du nord du Chili. Les ruines industrielles et la culture matérielle de l’exploitation du soufre y sont des témoins privilégiés d’une époque qui aspirait, dans l’utopie industrielle du xxe siècle, au développement économique régional et national. Les photographies permettent une interprétation fondée sur l’expérience et la mémoire. Elles permettent également une réflexion sur une pratique archéologique pouvant contribuer à la compréhension du contexte local d’une modernité complexe, avec ses propres expériences et spécificités.
11

Calvez, Ronan. "Tradition d’une invention. La création par l’Église d’une langue bretonne de culture : xvie–xixe siècle." Port Acadie, no. 24-25-26 (October 31, 2013): 346–56. http://dx.doi.org/10.7202/1019143ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
En 1935, dans le Bulletin de la Société archéologique du Finistère, Daniel Bernard portait ce jugement : « les oeuvres du P. Maunoir [auteur jésuite] et de ses successeurs n’eurent aucune influence sur le sort du breton écrit. Au xviiie siècle, celui-ci était devenu un misérable patois tout farci de mots français ». Cette affirmation péremptoire conforte une idée reçue, encore de nos jours, dans les lettres bretonnes : à compter du milieu du xviie siècle, après un âge d’or aux limites chronologiques incertaines, le breton forgé par l’Église pour les besoins de l’évangélisation est devenu un « jargon mixte » – cette expression est de Théodore Hersart de La Villemarqué. Et il faut attendre le début du xixe siècle pour que le breton d’Église retrouve une quelconque valeur. Néanmoins, lorsqu’on s’intéresse aux écrits religieux produits entre le xvie et le xixe siècle, se fait jour une même volonté ecclésiastique de forger une langue bretonne de culture digne de la mission qui lui est allouée.
12

Cordonnier, Jean-Louis. "Aspects culturels de la traduction : quelques notions clés." Meta 47, no. 1 (August 26, 2004): 38–50. http://dx.doi.org/10.7202/007990ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Résumé La problématique de la culture constitue désormais un champ de recherche primordial pour travailler à une théorie de la traduction. On se situe ici au niveau du sol archéologique, c’est-à-dire au niveau des modes d’être de la culture, et de leurs interactions avec les modes de traduire. La traduction n’étant jamais une opération neutre, il convient de mettre en évidence les interventions du traducteur réalisées dans le cadre de son appartenance à telle ou telle culture. Mais il ne faut pas non plus réifier la culture, et il faut mettre en relief également les interventions d’ordre purement individuel. Cette relation à la culture est d’une grande importance puisque le traducteur, étant au coeur des relations d’altérité, constitue de par son activité traduisante, l’identité de sa propre culture. Il s’agit de passer aujourd’hui d’un ethnocentrisme négatif, procédant à l’effacement de l’Autre, à un ethnocentrisme positif réalisant par la « montre » de l’Autre, la tâche de constitution de l’identité propre. Ce dévoilement pour l’identité passe par la critique de la dichotomie par trop simpliste « cibliste/sourcier », qui est prisonnière de la langue. Le traducteur se donnera en revanche comme tâche, la « montre » du discours de l’Autre. Cette problématique interculturelle est examinée à travers cinq champs clés dans lesquels se déploie l’activité traduisante : altérité, histoire, critique, éthique et tâches de la traduction.
13

Francfort, Henri-Paul, and Olivier Lecomte. "Irrigation et société en Asie centrale des origines à l’époque achéménide." Annales. Histoire, Sciences Sociales 57, no. 3 (June 2002): 625–63. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2002.280068.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
RésuméL’article fait le point sur la question de l’origine de l’agriculture irriguée en Asie centrale au début du IIIe millénaire et de son développement jusqu’à l’époque achéménide d’après une documentation principalement archéologique, car les sources textuelles sont rares. Les informations tirées des fouilles et des prospections (vestiges de canaux anciens, sites d’habitat, artefacts) sont confrontées aux données paléo-environnementales pour évaluer l’importance des paramètres naturels et celle des facteurs économiques et sociaux dans l’émergence, à haute époque, de cultures archéologiques homogènes sur de vastes territoires. Ces cultures sont souvent prises comme des expressions matérielles de formations socio-politiques appelées «proto-étatiques». Cette notion de proto-État, ses implications socio-économiques, ainsi que la conception de l’Asie centrale comme périphérie d’empires moyen-orientaux font l’objet d’une discussion critique.
14

Waldvogel, Laura. "En poudre ou en blocs ? Matières colorantes et faciès funéraires dans la plaine d’Alsace au Néolithique ancien (5300 à 4950 av. n.è.)." La mort et ses frontières, no. 6 (July 22, 2022): 11–24. http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.1323.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
En 1995, l’étude des pratiques funéraires du Rubané occidental, culture archéologique du Néolithique ancien trouvant son origine dans le bassin du Danube, a permis d’identifier deux faciès funéraires visibles dans la partie ouest de sa zone d’extension. La plaine d’Alsace présente ainsi la particularité d’être scindée en deux avec une frontière localisée au niveau de la ville actuelle de Colmar. Parmi les traits distinctifs de ces entités, la forme prise par les matières colorantes situées au niveau du défunt a été perçue comme déterminante : en poudre dans le faciès I, ces substances sont déposées en blocs bruts ou semi-transformés dans le faciès II. Vingt-six ans après la publication de C. Jeunesse, la révision d’un corpus alsacien considérablement accru et sa mise en parallèle avec les données des ensembles funéraires situés à l’ouest et à l’est de cette région permettent non seulement de confirmer l’existence de ces faciès au moins à partir de l’étape III, mais également d’identifier de nouvelles particularités propres à la Haute-Alsace et au Bassin parisien (faciès I) relatives à la localisation de l’« ocre » en poudre.
15

Pagès, Gaspard. "Productions, commerces et consommation du fer dans le Sud de la Gaule de la Protohistoire à la domination romaine." Gallia 71, no. 2 (2014): 47–67. http://dx.doi.org/10.4000/11q15.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
En Gaule du Sud, si le travail du fer apparaît durant la Protohistoire, la généralisation de cet artisanat s’étend sur la longue durée sous des influences continentales et méditerranéennes, à l’interface des mondes indigènes et classiques. Il s’agit donc ici de discuter des parts des héritages gaulois et de la colonisation romaine dans le développement des débuts de la métallurgie du fer en Gaule méditerranéenne sous la forme d’un état des lieux critique mené à partir de la documentation archéologique disponible. Le raisonnement s’inscrit dans la longue durée, depuis l’apparition des premières pièces ferreuses aux viiie-viie s. av. J.-C. jusqu’à la domination de l’Empire romain, autour de quatre problématiques complémentaires : quelle est la place du fer dans la culture matérielle des différentes sociétés, quelle est l’ampleur des activités de forge installées dans le tissu de peuplement, quelles sont les stratégies d’exploitation des gisements de minerai de fer adoptées et, enfin, quels sont les réseaux et les standards de commercialisation en gros de ce matériau qui se développent dans le Sud de la Gaule entre la Protohistoire et l’Empire romain ?
16

Baslez, Marie-Françoise. "La communauté paulinienne de Philippes à la lumière de l’archéologie historique." Thème 21, no. 1 (June 4, 2014): 191–212. http://dx.doi.org/10.7202/1025474ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L’importance des fouilles archéologiques de Philippes, première fondation paulinienne en Europe, ainsi que leur longue histoire, offre l’occasion de réfléchir sur les rapports entre Bible et archéologie. Le bilan historiographique met en évidence des surinterprétations et des anachronismes, afin de faire « coller » les vestiges au texte des Actes des apôtres ou, au contraire, provoquer la tradition chrétienne en avançant des hypothèses hasardeuses sur de nouvelles découvertes et les silences des textes. À Philippes, l’intérêt historique des inscriptions l’emporte sur celui des vestiges et permet de restituer un contexte religieux et culturel de la mission chrétienne dans la moyenne durée, sinon pour la période précise du passage de l’apôtre. Mais c’est surtout la construction de la mémoire de saint Paul au cours des trois premiers siècles, comme héros fondateur et martyr intercesseur, que les vestiges archéologiques permettent d’étudier.
17

Palavestra, Aleksandar. "Structuralisme en archéologie." Issues in Ethnology and Anthropology 4, no. 2 (February 28, 2016): 137–48. http://dx.doi.org/10.21301/eap.v4i2.8.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Même si déjà Edmund Leach dans les années soixante-dix du 20e siècle menaçait l'archéologie d'être contaminée par le structuralisme, le structuralisme dans l'oeuvre de Lévi-Strauss n'a pas influencé de façon directe et décisive les changements de paradigmes dans les interprétations archéologiques. D'une part la raison en est le manque d'intérêt structuraliste pour la diachronie, et de l'autre, le concept des structures universelles de l'entendement, auquel le postmodernisme en archéologie n'allait pas être sensible. Il existe néanmoins (même dans l'archéologie serbe) certaines interprétations structuralistes très intéressantes des fouilles archéologiques, basées principalement sur des oppositions binaires. Toutefois, dans un contexte plus large, le structuralisme et l'oeuvre de Lévi-Strauss, et surtout la sémiotique de Saussure, ont permis aux archéologues de considérer la culture matérielle dans le champ sémiotique – comme une étude des signes et des contextes de significations. Ce sont finalement le post-structuralisme, les théories de la pratique et les critiques post-structuralistes de l'objectivisme scientifique qui ont exercé une influence bien plus grande sur l'archéologie, notamment l'archéologie du post-processualisme.
18

Isaza Urrego, Anguley. "Cien años de la cultura agustiniana: reflexiones acerca de un propósito convertido en despropósito." CALLE14: revista de investigación en el campo del arte 10, no. 16 (November 6, 2015): 81. http://dx.doi.org/10.14483/10.14483/udistrital.jour.c14.2015.2.a07.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
<p>RESUMEN</p><p>A propósito de la declaración del 2013 como Año de la Cultura Agustiniana, y retomando las polémicas causadas por la realización de la exposición “El retorno de los ídolos” del Museo Nacional de Colombia y el Instituto Colombiano de Antropología e Historia (ICANH), se reflexiona sobre los propósitos de la actual administración del instituto en torno a los procesos que se desarrollan en el Parque Arqueológico, que implican, junto al trabajo de conservación del patrimonio cultural que allí reposa, un vínculo con la comunidad de San Agustín e Isnos. Este vínculo se plantea aquí en términos de la concepción de Rancière de la política como espacio de disenso, en contraposición al Estado/policía como espacio del ejercicio del poder.</p><p>Palabras claves</p><p>Cultura Agustiniana, ICANH, patrimonio, política, Rancière.</p><p>AGUSTINIANAPA PATSHA WATA KUNA IMASA KAGTAKUNA IMAPAPAS</p><p>Sugllapi Iskai waranga chunga kimsa watapi iacharirka imasata ka. Agustinianapa, kaugsaikuna (imami Niria) chi ñugpamanda kuna wakachidiru wasi colombiano Llagtapi (ICANH) iuiarispa imasami kaikunata kawariku, chikunapi chi plazapi kawaridirupi Kasapi chipi kaugsagkunapas. San Agustinpi e Isnoscopi mana licinciaruchu chi policiakuna o escritopas manaka wachukuna. Ima suti Rimai Simi: Agustinianapa kaugsai (ICANH) paikunapa, imasa kaugsai, Ranciére.</p><p> </p><p>ONE HUNDRED YEARS OF AUGUSTINIAN CULTURE: REFLECTIONS ON AN INTENT TURNED INTO DISCONTENT .Abstract</p><p>In the wake of the declaration of 2013 as the Year of the Augustinian Culture, and revisiting the controversy caused by the exhibition “The Return of the Idols” by the National Museum of Colombia and the Colombian Institute of Anthropology and History (ICANH), we reflect on the objectives of the current administration of the institute when carrying out the processes that are taking place in the Archaeological Park, which involve, alongside the work of preserving the cultural heritage that rests there, maintaining a link with the community of San Agustín and Isnos. This link is proposed here in terms of Rancière’s conception of politics as a space for dissent, as opposed to the state/police as a space of exercise of power. t San Agustín. Fotografía: Fabián Erazo Viveros, 2011</p><p>Keywords</p><p>Agustinian culture, ICANH, heritage, politics, Rancière.</p><p>CENT ANS DE CULTURE AUGUSTINIENNE : RÉFLEXIONS SUR UN BUT DEVENU UN NON-SENS .Résumé</p><p>A propos de la déclaration de l’année 2013 comme l’Année de la Culture Augustinienne, et reprenant les polémiques provoquées par la réalisation de l’exposition «Le retour des idoles» du Musée National de la Colombie et de l’Institut Colombien d’Anthropologie et d’Histoire (ICANH), on réfléchit sur les fins de l’administration actuelle de l’institut sur les processus qui se développent dans le Parc Archéologique, qui impliquent, en marge des travaux de préservation du patrimoine culturel qui y repose, un lien avec la communauté de San Agustín et Isnos. Ce lien est proposé ici en termes de la conception de la politique Rancière comme un espace pour la dissidence, par opposition à l’État / la police comme un espace de gouvernance.</p><p>Mots-clefs</p><p>Culture Augustinienne, ICANH, patrimoine, politique, Rancière.</p><p>CEM ANOS DA CULTURA AGUSTINIANA: REFLEXÕES ACERCA DE UM PROPÓSITO CONVERTIDO EM DESPROPÓSITO. Resumo</p><p>A propósito da declaração de 2013 como Ano da Cultura Agustiniana, e retomando as polêmicas causadas pela realização da exposição “O retorno dos ídolos” do Museu Nacional da Colômbia e o Instituto Colombiano de Antropologia e História (ICANH), reflete-se sobre os propósitos da atual administração do instituto em torno aos processos que se desenvolvem no Parque Arqueológico, que implicam, junto ao trabalho de conservação do patrimônio cultural que ali repousa, um vínculo com a comunidade de San Agustín e Isnos. Este vínculo se concebe aqui em termos da concepção de Rancière da política como espaço de dissenso, em contraposição ao Estado/polícia como espaço do exercício do poder.</p><p>Palavras chaves</p><p>Cultura Agustiniana, ICANH, patrimônio, política, Rancière.</p>
19

Trinkaus, Kathryn M. "La recherche archéologique en France 1985/1989. Ministère De La Culture, De La Communication, Des Grands Travaix Et Du Bicentenaire. Association Pour Les Fouilles, Archéologiques Nationales, Paris, 1990. 286 pp., bibliography, appendixes, illustrations. Fr 200 (paper)." American Antiquity 58, no. 4 (October 1993): 767–68. http://dx.doi.org/10.2307/282215.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Forestier, Hubert, Heng Sophady, and Vincenzo Celiberti. "Le techno-complexe hoabinhien en Asie du Sud-est continentale : L’histoire d’un galet qui cache la forêt." Journal of Lithic Studies 4, no. 2 (September 15, 2017): 305–49. http://dx.doi.org/10.2218/jls.v4i2.2545.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
La préhistoire du Sud-est asiatique se caractérise par un matériel lithique dont les chaînes opératoires restent encore peu connues ou mal décrites. Cette méconnaissance s’explique par l’éloignement géographique de ces régions tropicales vis à vis des problématiques préhistoriques occidentales développées depuis maintenant deux siècles. La préhistoire de l’Extrême-Orient est complexe, originale, surprenante parfois paradoxale car en marge des grandes lignées techniques connues ailleurs pour la période concernée, celle qui a vu l’avènement de l’Homme anatomiquement moderne. Cette préhistoire régionale d’environ 2 millions de km2 que l’on nomme l’Asie du Sud-est péninsulaire ou continentale renvoie à l’élaboration d’une science en mouvement dont la construction est toujours d’actualité. En se heurtant à la thèse classique de l’évolution comme à celle du progrès technique, le Hoabinhien bouscule les règles et les repères en préhistoire. Il se situe aux antipodes du modèle classique (Eurasiatique, Africain) de développement des outils de pierre selon l’enrichissement et l’allègement progressif de l’outillage depuis la pebble culture jusqu’au Néolithique. C’est précisément sur cette singularité que porte notre réflexion à propos d’un phénomène technique unique qui reste difficile à positionner sur l’axe évolutif des industries tel qu’il existe ailleurs dans le monde ou en Asie de l’Est (Chine, Corée, Japon). La régularité et l’homogénéité des formes d’outils façonnées sur galet dans un vaste espace et sur une durée record de près de 30 000 ans sont les caractéristiques principales de ce technocomplexe peu orthodoxe qui interroge la capacité cognitive d’Homo sapiens en écosystème tropical humide. Mais aussi, la question de la nature des liens existants entre l’homme et ses productions lithiques ou la place occupée par la technique de la pierre taillée lors du développement humain dans cette région hors d’Europe.A cette monotone pérennité d’outils sur galet se greffe l’absence d’outils lithiques pointus (pointe, extrémité apicale, outil à bords saillants convergents, etc.) tels qu’ils se rencontrent partout ailleurs chez les groupes de chasseurs-cueilleurs qu’ils soient du Paléolithique supérieur ou (sub-)actuels.C’est pourquoi la stabilité de ces outillages sur galet cacherait tout un pan de complexité inconnu du domaine technique comme l’insaisissable travail des matières dures d’origine animale mais surtout végétale non conservées à ce jour dans les niveaux archéologiques. Le cheminement du minéral vers la question du végétal renvoie à la nécessité de compléter la « boîte à outils » des artisans préhistoriques hoabinhiens par des objets pointus. Connue à ce jour qu’à travers les données de l’ethnographie, la « civilisation du végétal » conduit tout naturellement à réfléchir sur l’importance de ce matériau périssable dans le bagage outillé des derniers chasseurs-cueilleurs de la forêt tropicale d’Asie du Sud-est continentale. Autrement dit, la possibilité d’une autre existence technique en équilibre avec le milieu extérieur.Après avoir mis en avant l’originalité du phénomène culturel hoabinhien au regard de l’impact de la recherche en préhistoire et en paléoanthropologie dans les régions du Sud-est asiatique, cet article présentera d’un point de vue strictement qualitatif, les chaînes opératoires du techno-complexe hoabinhien. Faciès industriel sur galet qui caractérise la principale culture technique des chasseurs-cueilleurs du Paléolithique final d’Asie du Sud-est entre environ 30 000 et 5 000 ans BP. Plus largement des précisions seront apportées d’une part sur l’inachèvement informatif du phénomène lithique en tant que donnée archéologique et d’autre part, sur son dépassement en tant que phénomène. Il s’agira donc de repenser l’envers de la dialectique lithique-lignic c’est-à-dire les objets du végétal à jamais disparus, à la lumière des objets de pierre taillée seuls conservés comme marqueurs de temps, de technique, d'espace et d’absence.
21

Schmider, Béatrice. "Introduction – L’organisation de l’habitat aurignacien. Les données historiques." Gallia préhistoire. Suppléments 34, no. 1 (2002): 15–24. http://dx.doi.org/10.3406/galip.2002.2782.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
La couche VII de la Grotte du Renne, fouillée par André Leroi-Gourhan, dans les années cinquante, n’avait fait l’objet, jusqu’alors, que de publications préliminaires. Cet horizon archéologique représente les vestiges, bien conservés, de plusieurs occupations aurignaciennes, fortement imbriquées, mais bien individualisées dans la stratigraphie générale du site. L’étude s’appuie sur un nouvel examen du matériel recueilli lors des fouilles et aussi sur la critique des documents, coupes, plans, photographies, dont la plupart étaient restés inédits. Une introduction est consacrée aux données historiques situant les recherches dans le contexte de l’époque et rappelant les propositions de A. Leroi-Gourhan, principalement en ce qui concerne l’aménagement de l’espace où s’installèrent les Aurignaciens. Le premier chapitre de l’ouvrage traite de la géomorphologie du site : il replace la couche VII dans une séquence stratigraphique qui ne compte pas moins de quatorze niveaux archéologiques et tente une reconstitution de l’évolution du système karstique local. Une nouvelle interprétation de l’analyse palynologique, effectuée anciennement, permet de mieux préciser la période du séjour des Aurignaciens, corrélée avec le réchauffement central de l’Interstade d’Arcy. Les données paléoenvironementales sont complétées, dans le second chapitre, par l’étude de la faune réalisée d’une part sur les restes du gibier rapporté dans l’habitat par les chasseurs, d’autre part sur les ossements des animaux sauvages qui fréquentaient le site pendant leurs absences. Le chapitre suivant (ch. III) présente les résultats du nouvel examen de l’abondant matériel lithique (nucléus, produits de débitage et outils) recueilli lors des fouilles, analysé sous l’angle typomorphologique mais aussi techno-économique et fonctionnel. Il est complété par la description des galets utilisés (ch. IV). L’étude de l’industrie osseuse fait l’objet du cinquième chapitre et évoque les différentes techniques employées par les Aurignaciens pour la fabrication d’un outillage riche et diversifié. Le dernier chapitre traite des objets de parure dont certains sont particulièrement remarquables par leur valeur esthétique et symbolique et la technologie mise en œuvre pour leur réalisation ainsi que des fossiles ramassés comme objets de curiosité. En conclusion, la synthèse de toutes ces données permet de nouvelles hypothèses sur l’organisation de l’habitat, sa durée, sa périodicité, ainsi que la recension des activités du groupe nomade qui s’arrêta sous le porche de la grotte du Renne, il y a environ 33 000 ans. La place de l’Aurignacien de la grotte du Renne dans le contexte général de cette culture est enfin discutée et il est proposé de le rapprocher typologiquement d’un Aurignacien archaïque (proche du Proto-Aurignacien méditerranéen) plutôt que de l’ Aurignacien classique du sud-ouest français.
22

Roy, Jean-Bernard. "Les parcs archeologiques au risque du parcs de divertissement. Los parques arqueológicos corren el riesgo de convertirse en parques de diversiones." Entornos 26, no. 2 (September 30, 2013): 95–109. http://dx.doi.org/10.25054/01247905.477.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L’histoire des parcs archéologiques, en France, débute en 1972, avec l’ouverture du Thot, en Dordogne. La première génération de parcs, avec le célèbre Archéodrome de Beaune, en Bourgogne, apparaît en même temps que les parcs naturels régionaux (PNR) et les premiers musées de plein air et écomusées, dans le cadre d’une politique d’aménagement du territoire, pour les sites naturels, archéologiques et historiques. Les parcs utilisent toutes les ressources de la reconstitution des vestiges préhistoriques et historiques, au moyen de l’archéologie expérimentale. Certains d’entre eux intègrent les temps géologiques avec les «dinosaures». Ils sont toujours situés dans des sites naturels. Cette reconstitution du passé est en rupture avec les musées de site traditionnels, avec les risques d’une culture de masse qui privilégie le divertissement au détriment du culturel «disneylandisation»). Le concept s’avère cependant pérationnel pour les nouveaux musées archéologiques qui l’utilisent aujourd’hui: les parcs-musées archéologiques ne sont plus seulement des parcs de divertissement.
23

Perrot-Minnot, Sébastien. "Le peuplement initial des Antilles." Bulletin de la Société d'Histoire de la Guadeloupe, no. 170 (April 13, 2015): 1–27. http://dx.doi.org/10.7202/1029390ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Si l’on excepte le cas de l’île de Trinidad, en raison de son caractère continental, les occupations humaines les plus anciennes des Antilles ont été découvertes dans les Grandes Antilles. Elles datent d’une période qui a été qualifiée de « Lithique » ou de « Paléoindienne », dans le système chrono-culturel conçu par Irving Rouse, mais que nous avons préféré désigner sous le nom d’Archaïque Ancien (6500-4000 BP). Leur matériel archéologique a été rattaché, par Rouse, à la tradition Casimiroïde. Il comprend un outillage de pierre qui a suscité des comparaisons avec des complexes archaïques du Belize et du nord-ouest du Venezuela ; il nous semble que les analogies entre les industries macrolaminaires du Belize et des Antilles sont particulièrement significatives, et qu’elles pourraient désigner le lieu d’origine des premiers Antillais. Les raisons qui ont pu pousser des groupes humains à coloniser l’archipel sont difficiles à déterminer, mais sont sans doute à rechercher dans les bouleversements économiques et sociaux qui ont affecté les sociétés de la période Archaïque. En tout cas, certains indices archéologiques font présumer que l’établissement de l’homme dans les Antilles s’est accompagné d’une rupture de l’ordre social en vigueur sur le continent, et de changements profonds et durables dans l’organisation des sociétés.
24

Bertrand, B. "Cémentochronologie, précision et exactitude de l’estimation de l’âge au décès chez l’adulte." Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris 31, no. 3-4 (October 2019): 189–98. http://dx.doi.org/10.3166/bmsap-2019-0064.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L’estimation de l’âge au décès de sujets adultes découverts en contexte médico-légal ou archéologique est un sujet fondamental. La cémentochronologie, fondée sur le dépôt annuel de cément, est une technique parmi les plus performantes dont l’exactitude est appréciée dans de nombreuses publications. Cependant, le manque de standardisation ralentit l’adoption de cette méthode et freine l’étude de la précision qui demeure méconnue tout comme l’impact des conditions taphonomiques. L’objectif de ce travail est de mesurer la concordance des estimations, donc la précision, puis d’évaluer l’exactitude, donc la qualité de l’accord entre l’âge estimé et l’âge chronologique, en appliquant un protocole standardisé pour s’affranchir des biais inhérents à la préparation. L’étude porte sur 2 000 lames histologiques réalisées à partir de 400 canines. Deux cents canines sont issues de collections de référence dont l’âge, le sexe, l’intervalle post mortem et la durée d’inhumation des sujets sont connus. Afin d’étudier l’applicabilité de la méthode à du matériel ancien, 200 canines extraites de sujets archéologiques datés entre les XIIe et XVIIIe siècles sont intégrées à l’étude. Les résultats démontrent que l’analyse cémentochronologique peut permettre une estimation fiable de l’âge au décès mais révèlent également une diminution significative de la lisibilité des dépôts cémentaires avec l’âge et une moindre efficacité pour les sujets de plus de 50 ans.
25

Clarkson, Persis B. "Considérations historiques et contextualisation de la recherche sur les géoglyphes au Chili." Anthropologie et Sociétés 23, no. 1 (September 10, 2003): 125–50. http://dx.doi.org/10.7202/015580ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Résumé RÉSUMÉ Considérations historiques et contextualisation de la recherche sur les géoglyphes au Chili Une circonstance particulière nuit à l'étude de l'art rupestre (pétroglyphes et pictogrammes) et des géoglyphes (dessins sur le sol) des Amériques: l'absence de contexte stratigraphique, qui empêche de donner un cadre adéquat aux enquêtes sur les relations entre ces formes dominantes et majeures d'expression de la culture matérielle et sociale, et les peuples dont on sait qu'ils avaient habité et exploité les territoires dans lesquels ces images ont été trouvées. Les milliers de géoglyphes aux motifs biomorphes et géométriques dont on connaît l'existence au nord du Chili depuis le milieu du 19e siècle ont suscité plusieurs interprétations qui se sont transformées avec le temps, suivant les théories dominantes en vigueur. On a généralement conclu que les géoglyphes avaient été fabriqués à l'époque des modes de vie agricole et pastoral pour des motifs magico-religieux liés à la chasse et à la fabrication des pistes caravanières. D'autres analyses d'art rupestre basées sur des données archéologiques, ethnographiques et sur des analogies ethnographiques sont évaluées dans le contexte d'une recherche sur les géoglyphes chiliens, lesquels sont finalement interprétés comme des buts de voyage, par exemple un lieu de pèlerinage, ou comme des lieux porteurs d'une signification extraordinaire. Mots clés : Clarkson, géoglyphes, archéologie, pèlerinage, Chili
26

Roques, D. "Procope de Césarée et la Cyrénaïque du 6e. s.ap J.C. (résumé)." Libyan Studies 25 (January 1994): 259–64. http://dx.doi.org/10.1017/s0263718900006403.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L'intérêt qu'offre l'oeuvre de Procope de Césarée pour la connaissance de l'Antiquité tardive et protobyzantine est évident pour quiconque est familier avec cette période, et l'ouvrage récent, et excellent, que lui a consacré Av. Cameron (Oxford, 1986) est venu opportunément mettre en lumière cet auteur, d'ailleurs beaucoup plus lu dans le monde anglo-saxon qu'en France. Il valait la peine, dans le cadre du 2e Colloque International de Cambridge sur la Cyrénaïque, d'étudier le témoignage que Procope nous a laissé (De Aedificiis, VI, 2, 1–23) sur ‘les Deux Libyes’, puisqu'aussi bien au 6e. s. le découpage administratif ne coïncide pas avec les données de la géographie naturelle.Les rapports qu'entretiennent la réalité littéraire et la réalité archéologique ne pouvaient constituer l'essentiel de cette étude, car, comme l' a bien montré Av. Cameron, on ne saurait lire l' oeuvre de Procope comme un guide touristique: en effet l'information que fournit l'écrivain est déformée, tant en raison du caractère inéluctablement rhétorique des ouvrages littéraires de l'Antiquité qu'en vertu de la tendance certaine de Procope à la propagande, ce qui ne saurait surprendre chez un historiographe officiel. On a donc commencé par resituer le passage étudié dans l'ensemble de l'oeuvre, puis, après avoir proposé une traduction française du texte — traduction qui n'est en fait qu'un fragment de la traduction complète (achevée, mais non encore publiée) du texte —, on a tenté de définir successivement les sources, la structure et la signification du témoignage de Procope, avant d'étudier en dernier lieu la relation du texte avec les réalités archéologiques actuellement connues.
27

Lorrio, Alberto J. "Les Celtibères : archéologie et culture." Etudes Celtiques 33, no. 1 (1997): 7–36. http://dx.doi.org/10.3406/ecelt.1997.2109.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Schmitt, A. "Germaine Depierre (2013) Crémation et archéologie. Nouvelles alternatives archéologiques en ostéologie humaine. éditions universitaires de Dijon, Collection « Art, Archéologie et Patrimoine », Dijon, 654 p." Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris 28, no. 1-2 (January 19, 2016): 106–7. http://dx.doi.org/10.1007/s13219-015-0137-2.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Fitzhugh, William W. "Les projets archéologiques Tuvaaluk et Torngat: description et bilan." Études/Inuit/Studies 39, no. 2 (December 2, 2016): 61–96. http://dx.doi.org/10.7202/1038143ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
À la fin des années 1970, deux grands programmes multidisciplinaires devant durer plusieurs années ont été lancés le long des côtes du nord du Labrador et de l’Ungava au nord du Québec. Tous deux envisageaient un nouveau modèle d’archéologie arctique alliant l’archéologie, l’ethnographie, les études environnementales, les sciences de la Terre et l’informatique. Le programme de recherche Tuvaaluk était dirigé par Patrick Plumet de l’Université du Québec à Montréal, et le projet archéologique Torngat, par William Fitzhugh de la Smithsonian Institution et Richard Jordan du Bryn Mawr College. Ces projets ont duré approximativement cinq ans et ont rassemblé des chercheurs et des étudiants de plusieurs institutions. Le projet Tuvaaluk se concentrait sur les cultures thuléennes et paléoesquimaudes, tandis que le projet archéologique Torngat incluait des recherches sur les cultures amérindiennes de l’Archaïque maritime et celles qui ont suivi, en plus des cultures paléoesquimaudes et inuit. Cet article passe en revue les projets Tuvaaluk et Torngat, et compare leurs objectifs, leurs méthodes, leurs résultats, les leçons qui en ont été tirées et l’influence qu’ils ont eue.
30

Fussman, Gérard. "Archéologie, culture et aménagement du territoire." Raison présente 142, no. 1 (2002): 39–51. http://dx.doi.org/10.3406/raipr.2002.3745.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Merrett, Deborah, Roland Sawatzky, and Christopher Meiklejohn. "Possible Case of Glanders in a Late-Nineteenth- or Early-Twentieth- Century Mennonite Woman in Manitoba, Canada." Bioarchaeology International 3, no. 4 (May 21, 2020): 240–61. http://dx.doi.org/10.5744/bi.2019.1015.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
This article uses bioarchaeological and biocultural analyses to explore the life history and health status of an older Mennonite woman recovered from an unmarked grave in southeastern Manitoba, dated to the late nine-teenth or early twentieth century. Much of the woman’s skeleton exhibits a number of pathological conditions, including periosteal new bone formation in the lower limbs, healed cranial lesions of the posterior parietals, and lytic lesions in subchondral bone of the elbows, knees, and ankles. In those of the ankles, cloacae exit the metaphyseal bone rather than into the joint capsule. By incorporating macroscopic and radiographic observa¬tions, bone histology, and the medical literature, this study differentiates between the main disease contenders responsible for these bone lesions: tuberculosis, syphilis, and glanders (a zoonotic disease of horses). Given the culturally prescribed construction of housebarns, which placed Mennonite women at substantial risk for zoo¬notic disease exposure, and the historic documentation of severe glanders outbreaks in southeastern Manitoba, this study concludes that glanders is the most plausible diagnosis for the observed skeletal lesions. This is, to our knowledge, the first archaeological demonstration of this disease. Cet article utilise des analyses bioarchéologiques et bioculturelles pour explorer le cycle de vie et l’état de santé d’une femme Mennonite âgée du sud-est du Manitoba datant de la fin du XIXe ou du début du XXe siècle; l’en¬terrement récupéré d’un cimetière non marqué d’une communauté abandonnée. L’affiliation est établie à partir du lieu d’inhumation et de la tenue vestimentaire, de la construction du cercueil et des sources documentaires. Une grande partie du squelette présentait une nouvelle formation osseuse sous-périostée, principalement dans les membres inférieurs. De plus, il y avait des lésions crâniennes cicatrisées sur les pariétaux postérieurs et des lésions lytiques dans l’os sous-chondral des genoux et des chevilles avec des cloacae sortant de l’os métaph¬ysaire plutôt que dans la capsule articulaire. L’étude intègre des observations macroscopiques et radiographiques, l’histologie osseuse, et la littérature médicale pour différencier les principaux candidats: la tuberculose, la syphilis, et la morve (une maladie zoo¬notique des chevaux). La construction des granges-maisons prescrite par la culture a exposé les femmes Men¬nonites à un risque substantiel d’exposition aux maladies zoonotiques, tandis que la documentation historique des épidémies de morve sévères étaye davantage notre diagnostic des lésions squelettiques observées comme les plus plausibles. Il s’agit, à notre connaissance, de la première démonstration archéologique de morve.
32

Zenkine, Serge. "Le relativisme culturel : archéologie d'une idée." Romantisme 31, no. 114 (2001): 31–40. http://dx.doi.org/10.3406/roman.2001.1044.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Fitzgerald-Huber, Louisa G. "Corinne Debaine-Francfort, Du Néolithique à l'Âge du Bronze en Chine du Nord-Ouest: La culture de Qijia et ses connexions. Mémoires de la Mission Archéologique Française en Asie Centrale, volume VI. Paris: Éditions Recherche sur les Civilizations, 1995. 435 pp." Early China 22 (1997): 246–70. http://dx.doi.org/10.1017/s0362502800003291.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Gorin, Franck, and Dominique Rigat. "Le projet archéologique « Chontales » au Nicaragua." Journal de la Société des Américanistes 73, no. 1 (1987): 258–61. http://dx.doi.org/10.3406/jsa.1987.1040.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Bravard, Jean-Paul. "Dialogue interdisciplinaire : de l’unité stratigraphique aux interactions culture-environnement." Archimède. Archéologie et histoire ancienne 7 (June 9, 2020): 119–28. http://dx.doi.org/10.47245/archimede.0007.act.02.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Cette communication dégage quelques grandes périodes et une dynamique dans l’essor de la discipline géoarchéologique. Dès les années 1860, des découvertes innovantes mais isolées et sans lendemain ont été réalisées; des dépôts sédimentaires sont replacés dans un contexte historique et parfois dans celui du changement climatique. Les concepts de changements paysager et environnemental apparaissent dans les Alpes et en Méditerranée entre les années 1920 et les années 1980, dans leurs liens potentiels avec des sites archéologiques. Dans les années 1980 le dialogue interdisciplinaire lyonnais montre le potentiel d’étude que recèlent les formations alluviales. Des innovations techniques ont fortement enrichi l’apport des géosciences depuis la fin des années 1980 tandis que des notions clés problématisent la recherche : l’ouverture du site au bassin et au territoire, la crise, l’effondrement et la résilience. Des enregistrements de crises historiques sont présentés dans la moyenne vallée du Rhône et dans des oasis d’Égypte.
36

Briamont, Thomas, Estelle Collineau, Benoît Leysten, and Manuelina Maria Duarte Cândido. "Mértola : ville-musée et champ archéologique." Revista do Museu de Arqueologia e Etnologia, no. 39 (February 7, 2022): 170–87. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2448-1750.revmae.2022.187956.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
En avril 2019, les étudiants du master en muséologie de l’Université de Liège (Belgique) ont eu la chance de visiter Mértola. Située dans le sud du Portugal, cette petite ville est l’héritière d’un riche patrimoine valorisé depuis 1978 par le « Campo Arqueológico de Mértola ». Reposant sur les observations réalisées au cours de ce voyage, cet article analyse les aspects innovants et les défis de cette expérience singulière de muséalisation de l'archéologie. Un premier axe d’analyse s’intéresse au concept de « développement durable » qui est au centre du projet développé à Mértola. En effet, ce projet est articulé autour d’une forme alternative de développement reposant sur la richesse du patrimoine local, alors que la région est menacée par la dépopulation. Aussi, face aux dangers inhérents au tourisme de masse, Mértola propose comme alternative un tourisme culturel et rural qui rend à la communauté locale le bénéfice de ses efforts dans la préservation du patrimoine. Un deuxième aspect développé dans cette contribution est l’intégration des espaces archéologiques muséalisés dans le quotidien de la population locale. Véritable ville-musée, Mértola propose une conception particulière de l’archéologie qui, en tant que science ouverte, ne doit pas uniquement s’adresser aux spécialistes, mais également se mettre au service de la société. Au final, l’expérience singulière et innovante proposée à Mértola conduit à s’interroger sur notre conception du musée et sur son rôle dans notre société.
37

Simon-Millot, Rolande. "Le réseau « gestion des biens archéologiques »du ministère de la Culture." Les nouvelles de l'archéologie, no. 130 (December 30, 2012): 26–28. http://dx.doi.org/10.4000/nda.1936.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Nacéra, Benseddik. "Histoire coloniale. Les tribulations des collections archéologiques de l'Algérie." Libyan Studies 50 (April 23, 2019): 165–77. http://dx.doi.org/10.1017/lis.2019.7.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
AbstractFrom the Musée Algérien established at the Louvre in Paris by Captain Delamare, to the Bibliothèque-musée created by A. Berbrugger in 1838 in the former Janissaries barracks in Algiers, to the short-lived Musée Africain, the archaeological collections of Algeria did not have a real museum space until 19 April 1897, when the Musée des Antiquités Algériennes et d'Art Musulman was inaugurated in the Parc de Galland (today the Parc de la Liberté). Independent Algeria placed the museum under the Ministère de l’éducation nationale until 1970, and then it was moved to the Ministère de l'information et de la culture, and the Musée Stéphane Gsell became the Musée National des Antiquités, financially autonomous in 1985 under the Ministère de la culture. Have the true missions of a museum been fulfilled? And what is the situation at the Louvre where only a few ancient Algerian works are now on display?
39

Gavini, Alberto. "Marcel Le Glay et la religion romaine dans l’Afrique ancienne." REVISTA DE HISTORIOGRAFÍA (RevHisto), no. 36 (December 14, 2021): 289–307. http://dx.doi.org/10.20318/revhisto.2021.6560.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L’essai retrace la carrière scientifique de Marcel Le Glay à travers les études que le savant a menées sur la culture religieuse en Afrique romaine, à travers l’analyse des découvertes archéologiques et épigraphiques. À partir de son expérience romaine au Palais Farnèse, on voit son parcours africain qui commence en 1948 en Algérie, où Le Glay fut nommé Directeur-adjoint des Antiquités. Dans sa production scientifique une attention particulière est portée au culte de Saturne en Afrique, qui fit l’objet de deux monographies et de nombreux articles, à la Dea Africa, au thème de la romanisation et au phénomène du syncrétisme.
40

Përzhita, Luan. "Nouvelles données sur l’occupation du haut Moyen Âge en Dardanie." Mélanges de l École française de Rome Moyen Âge 120, no. 2 (2008): 385–92. http://dx.doi.org/10.3406/mefr.2008.9505.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L’étude s’appuie sur les données archéologiques nouvelles offertes par les projets menés au Kosovo occidental entre 2000 et 2006. On tente pour la première fois de constituer une typologie soucieuse de chronologie des sites fortifiés du Moyen Âge, situés sur les principaux axes routiers reliant l’Adriatique à l’intérieur des Balkans. La classification s’intéresse au réseau des sites ruraux et des fortifications simples pourvus d’une tour de guet. L’accent est également mis sur les transformations des structures administratives et religieuses en Dardanie entre l’Antiquité tardive et le haut Moyen Âge. Un dernier élément pris en considération est la culture matérielle des nécropoles des VIe-VIIIe et des IXe-XIIe siècles. Âge. Un dernier élément pris en considération est la culture matérielle des nécropoles des VIe-VIIIe et des IXe-XIIe siècles.
41

Lucier, Pierre. "Le patrimoine immatériel des communautés religieuses et ses traces dans la culture." Articles 78, no. 1 (April 2, 2012): 5–11. http://dx.doi.org/10.7202/1008559ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L’auteur propose un type d’analyse visant à cerner en quoi les oeuvres des communautés religieuses ont laissé des traces structurantes dans notre culture. L’hypothèse heuristique sous-jacente est qu’il y a, provenant de ces oeuvres, un formatage matriciel qui est encore opérant dans nos façons de penser, de dire et d’aménager les choses, voire dans nos institutions. L’auteur rappelle d’abord, par mode d’analogie, en quoi les héritages grec, romain et chrétien façonnent toujours la culture occidentale. Il propose ensuite d’appliquer le même type d’« archéologie culturelle » à l’héritage des communautés religieuses et suggère quelques pistes à explorer dans cette perspective, notamment dans les domaines de l’éducation et des services sociaux.
42

Grenet, Frantz. "South Asia - Françoise Olivier-Utard: Politique et archéologie: histoire de la Délégation Archéologique Française en Afghanistan (1922–1982). 423 pp. Paris: Éditions Recherches sur les Civilisations. 1997. Fr. 149." Bulletin of the School of Oriental and African Studies 62, no. 1 (January 1999): 159–60. http://dx.doi.org/10.1017/s0041977x00017961.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Dancette, Jeanne. "Dictionnaires, objets du patrimoine culturel : le vocabulaire du commerce dans différentes communautés linguistiques12." Meta 49, no. 4 (January 13, 2005): 910–19. http://dx.doi.org/10.7202/009789ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Résumé Les dictionnaires, comme les monuments, les églises ou les sites archéologiques, sont des lieux privilégiés de la mémoire. Ils constituent, à ce titre, des éléments du patrimoine culturel à léguer aux générations futures. Ouvrage centralisateur d’un savoir, le dictionnaire spécialisé a, lui aussi, non seulement une dimension d’usage mais aussi une dimension symbolique. Cet article discute cette idée en s’appuyant sur le Dictionnaire analytique de la distribution/Analytical Dictionary of Retailing. Dépositaire de la mémoire et annonciateur du futur, il rappelle les usages disparus ou en voie de disparition, et consigne les formes actuelles ou en devenir. Ainsi, les archaïsmes, les néologismes, les connotations nouvelles, les calques et emprunts de l’anglais sont-ils donnés à titre d’exemple pour illustrer notre propos, en français et en espagnol.
44

Lartet, L. "Une sépulture des troglodytes du Périgord (crânes des Eyzies)." Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris 30, no. 3-4 (October 2018): 121–28. http://dx.doi.org/10.3166/bmsap-2018-0029.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
(par R. Nespoulet et D. Henry-Gambier) L’article de Louis Lartet, qu’il écrit à l’âge de 28 ans, reste un document princeps de référence, le seul qui donne un contexte à la découverte fortuite des vestiges humains au lieu-dit « Cro-Magnon », dans le village des Eyziesde- Tayac, au printemps 1868. C’est un véritable rapport d’expertise, commandité par Victor Duruy, ministre de l’Instruction publique de l’époque, dans le but de « vérifier l’authenticité de cette découverte » (p. 337). La mission de Louis Lartet comporte en effet une dimension politique. C’est le ministre qui commandite l’opération, et qui financera les nombreux moulages des fossiles distribués dès 1869 dans les musées d’archéologie. Les vestiges originaux, eux, seront ramenés à Paris, et conservés au Muséum national d’Histoire naturelle. Ils y demeurent encore aujourd’hui. Louis Lartet intervient non seulement au titre de sa filiation avec Édouard Lartet son père, fouilleur d’Aurignac et de plusieurs sites classiques de la vallée de la Vézère, mais aussi en tant que naturaliste à la double compétence en géologie et en préhistoire. À ce titre, sa mention à la « Pétra périgourdine » (p. 336) ne doit pas être comprise comme une référence romantique à une archéologie exotique, mais bien à son expérience de terrain au Proche-Orient. Le but principal de son expertise à Cro-Magnon est, au-delà de la confirmation de l’authenticité de la découverte, de prouver la grande ancienneté de la couche géologique qui a livré les vestiges humains. Par un focus progressif, de la lecture du paysage à la description détaillée et argumentée de la stratigraphie et de la position des différents objets archéologique découverts, Louis Lartet contextualise précisément les vestiges humains. Son observation géomorphologique du massif crétacé de la vallée de la Vézère, de la formation des abrissous- roche et de leur comblement par l’érosion, apporte ainsi la preuve que les dépôts de Cro-Magnon sont scellés par un long processus géologique. Louis Lartet réponds ainsi à la commande qui lui a été faite. À quelle espèce fossile appartiennent ces crânes et ces ossements ? Lartet renvoie prudemment la balle dans le camp des anthropologues de son époque. Quant à la datation du niveau ayant livré les vestiges humains, il ne s’y aventure pas. Il faudra attendre 136 ans pour qu’une réponse soit proposée. Elle modifiera radicalement notre perception des « sépultures » du Paléolithique supérieur en Périgord.
45

Daugas, Jean-Pierre. "Archéologie, patrimoine culturel et datation par le carbone 14." Les Nouvelles de l'archéologie, no. 107 (March 31, 2007): 50–52. http://dx.doi.org/10.4000/nda.496.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Crubézy, Eric. "26 ans après. Archéologie funéraire et paléobiologie : L’enjeu culturel." Archéo-Nil. Revue de la société pour l'étude des cultures prépharaoniques de la vallée du Nil 28, no. 1 (2018): 19–29. http://dx.doi.org/10.3406/arnil.2018.1296.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Ribichini, Sergio. "Recherche archéologique et éditeurs : quelle stratégie ?" Mélanges de la Casa de Velázquez, no. 43-2 (November 15, 2013): 293–301. http://dx.doi.org/10.4000/mcv.5337.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Piovanelli, Pierluigi. "Jésus de Nazareth et l’archéologie de la Galilée." Thème 21, no. 1 (June 4, 2014): 173–89. http://dx.doi.org/10.7202/1025473ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
La recherche actuelle sur le Jésus de l’histoire s’efforce de recontextualiser l’homme de Nazareth dans la société et la culture qui furent les siennes. Pour ce faire, il est primordial de pouvoir déterminer quel était le niveau de la romanisation de la Galilée auiersiècle de notre ère, s’il y avait des tensions sociales, des phénomènes d’acculturation ou de résistance. Les données archéologiques suggèrent que, en dépit de la prospérité et du calme apparents, les communautés rurales de la Galilée refusèrent d’adhérer aux valeurs du monde romain. Trois ouvrages récents se signalent tout particulièrement pour la volonté de leurs auteurs de réinscrire Jésus dans une perspective régionale galiléenne.
49

Sergent, Bernard. "Linguistique historique et archéologie." Afrique & histoire 5, no. 1 (July 1, 2006): 203–19. http://dx.doi.org/10.3917/afhi.005.0203.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Duhaime, Bernard, and Camille Labadie. "Les voyages des manuscrits de la mer Morte." Thème 24, no. 2 (July 12, 2018): 183–218. http://dx.doi.org/10.7202/1050507ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Depuis la découverte des premiers rouleaux de parchemin en 1947, les Manuscrits de la mer Morte ont fait l’objet de nombreuses querelles non seulement d’ordre théologique et archéologique, mais également d’ordre culturel, politique et juridique. Actuellement détenus en grande majorité par Israël, ces Manuscrits sont désormais au coeur de revendications concurrentes dans la mesure où tant Israël que la Jordanie et l’Autorité palestinienne en réclament la propriété. Dans cette perspective, le présent article se propose non seulement d’explorer les enjeux juridiques soulevés par la question de la propriété des Manuscrits de la mer Morte, plus spécifiquement ce qui a trait aux normes de droit international, mais également de mettre en lumière la manière dont les questions relatives au patrimoine culturel et religieux conservent une dimension hautement politique du fait de l’implication des États dans la protection de ces biens, et de la notion de territoire qu’elle implique.

To the bibliography