Journal articles on the topic 'Créativité des acteurs'

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Viel, Annette. "Créativité et territoire(s) en mouvement." Ethnologies 38, no. 1-2 (October 20, 2017): 213–36. http://dx.doi.org/10.7202/1041594ar.

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Abstract:
Au cours des dernières décennies, un grand vent de renouveau a soufflé sur les territoires d’ici comme d’ailleurs, entraînant dans son sillage de multiples changements qui ont généré de nouveaux paradigmes sociétaux. Les musées et lieux patrimoniaux n’y ont pas échappé : que ce soit au niveau conceptuel ou opérationnel, « l’esprit des lieux » a, assurément, bénéficié de cette mouvance contemporaine au sein de laquelle l’acte créateur s’est taillé une place signifiante. Cette métamorphose interprétative a stimulé des mises en valeur innovantes qui ont marqué tout autant le sens et les mémoires que les visions et manières de faire qui en émergent. Ce grand mouvement de transformation a dynamisé la venue d’expériences, en majeure partie empreintes d’une créativité offrant une variété d’approches. Ainsi, lorsque l’on aborde la patrimonialisation d’un lieu, il ne s’agit plus de demeurer sur les acquis et les traditions qui ont signé la mise en valeur qui s’est imposée au cours du siècle passé, mais de proposer une offre culturelle, certes adaptée aux différents publics mais également porteuse d’originalité et d’inventivité. Les multiples acteurs de projets ont senti l’importance de renouveler l’offre touristico-patrimoniale et donc de stimuler la vitalité d’ancrages signifiants au sein des communautés locales, nationales et internationales, favorisant un dialogue renouvelé entre soi et l’autre, un dialogue où l’interprétation ressentie occupe une place de choix, du côté des acteurs autant que de celui des nombreux publics.
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Lafranchise, Nathalie, Pamela Chavez Ortiz, Isabelle Monast-Landriault, Émilie Rochette-Jalbert, and Marie-Laure M. Rozas. "L'animation culturelle au cœur d’enjeux organisationnels, identitaires et citoyens." Revue internationale animation, territoires et pratiques socioculturelles, no. 1 (November 19, 2010): 91–103. http://dx.doi.org/10.55765/atps.i1.86.

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Abstract:
Malgré la diversité des pratiques et des approches utilisées, l’objectif commun à tous les animateurs culturels est de favoriser le changement vers un mieux-vivre ensemble. Leur rôle vise à dynamiser le milieu en créant des ponts entre les divers acteurs culturels, les citoyens et le monde politique. Leurs actions facilitent le développement de la capacité des citoyens à devenir des acteurs de changement dans leur communauté. L’animation peut augmenter l’impact de différents groupes sociaux en mettant en place des projets leur permettant de participer activement à la construction de la société. Peu importe auprès de qui il intervient, l’animateur doit avoir une connaissance approfondie du territoire d’action et des cultures présentes. Pour ce faire, il est indispensable qu’une expérience pratique pertinente complète la formation théorique. L’animateur culturel doit aussi être imaginatif puisque la créativité est son modus operandi. En effet, l’animation déploie une pratique qui utilise des manières de faire novatrices qui visent à développer la créativité d’individus ou d’une population. En ce sens, elle peut être décrite comme la capacité de créer et d’innover ensemble.
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Jallat, Frédéric. "Nouvelle économie et principes d’organisation des marchés : Du marketing comme mode de conduite stratégique et projet collectif." Décisions Marketing N° 23, no. 2 (June 1, 2001): 43–52. http://dx.doi.org/10.3917/dm.023.0043.

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Abstract:
Dans le contexte de la “ nouvelle économie ”, la créativité et l’imagination managériales s’appliquent non seulement au niveau de la recomposition des filières et des métiers mais aussi au niveau de la nature même des prestations vendues et des solutions offertes, des codes véhiculés et des messages promus par les acteurs économiques. Ces approches traduisent l’aspect transversal et dynamique du marketing dans une optique d’orientation marché déjà connue par ailleurs mais devenue réellement indispensable et véritablement stratégique .
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John, Catherine. "Défis contemporains de la pédopsychiatrie de secteur. cmp/cmpp , pivots du secteur, du territoire." Empan 134, no. 2 (May 24, 2024): 35–43. http://dx.doi.org/10.3917/empa.134.0035.

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Abstract:
Acteurs majeurs du soin psychique, les cmp/cmpp , pivots du dispositif de secteur, accueillent sans discrimination une patientèle de 0 à 18 ans dans une démarche de prévention, de diagnostic et de soins. Demande croissante, pénuries de professionnels, moyens insuffisants, nécessité d’allier les approches neurodéveloppementales et psychodynamiques, recommandations de bonnes pratiques, les cmp/cmpp ont dû absorber les changements inhérents à ces nouvelles approches. Ils restent des lieux propices à l’éclosion d’une grande créativité au profit du patient et des familles.
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Ancori, Bernard. "Communication, cognition et créativité dans les sociétés de la connaissance. À propos de deux dilemmes." Nouvelles perspectives en sciences sociales 9, no. 2 (July 23, 2014): 45–93. http://dx.doi.org/10.7202/1025971ar.

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Abstract:
L’histoire des sciences et l’analyse bibliométrique suggèrent que les sciences de la nature, les sciences de l’ingénieur et, dans une moindre mesure, les sciences médicales seraient entrées depuis une trentaine d’années dans un régime d’équilibre stationnaire. Le but de cet article est d’identifier l’une des causes possibles d’une telle situation, et de proposer une solution efficace pour y remédier. Cette cause pourrait en effet tenir au privilège conféré, depuis le début des années 1970 et surtout depuis le milieu des années 1990, à la communication sociale au détriment de la cognition individuelle ou collective. Quant à la solution efficace pour y remédier, elle consisterait à développer systématiquement dans certains domaines des collaborations de recherche entre le monde académique et les mondes non académiques. Pour le montrer, nous procédons en deux étapes. La première met en évidence l’existence de deux dilemmes liés en ce qui concerne la structure et l’évolution d’un réseau sociocognitif complexe d’acteurs individuels : le dilemme entre créativité globale du réseau et proximités individuelles des acteurs, et celui qui se pose à chacun de ces derniers, dans chaque état du réseau, entre communiquer et cogiter. La seconde étape résume rapidement l’évolution des sciences et des technologies occidentales vers une techno-science dont la créativité semble s’essouffler, puis montre que la généralisation de forums hybrides pourrait redonner un surcroît de vigueur à cette créativité aujourd’hui atone.
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Roth, Solen. "Répercussions des publications et des expositions sur la création en art autochtone de la côte Nord-Ouest." Recherches amérindiennes au Québec 48, no. 1-2 (November 5, 2018): 101–12. http://dx.doi.org/10.7202/1053707ar.

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Abstract:
Ce qui correspond aujourd’hui à la catégorie « art de la côte Nord-Ouest » est en partie le produit de représentations académiques. Ainsi, les nombreuses publications et expositions à ce sujet, considérées par certains artistes comme de précieuses sources de savoir et d’inspiration, sont ressenties par d’autres comme les vecteurs d’effets d’imposition coloniale sur leur créativité. En effet, les limites de la catégorie « art de la côte Nord-Ouest » qu’anthropologues et historiens de l’art ont contribué à établir servent de canon de référence au grand public, aux acteurs du marché de l’art et aux artistes eux-mêmes. En conséquence, certaines formes d’art ont été privilégiées tant par les acheteurs que par les producteurs, alors que d’autres sont longtemps restées méconnues. Certains chercheurs et leurs institutions commencent à reconnaître les effets des représentations qu’ils produisent et à mieux tenir compte de la réflexion critique portée sur celles-ci par les artistes et d’autres acteurs autochtones.
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Lafortune, Jean-Marie. "Animation culturelle et mouvements sociaux : perspectives communes de recherche." Revue internationale animation, territoires et pratiques socioculturelles, no. 19 (June 14, 2021): 15–28. http://dx.doi.org/10.55765/atps.i19.1023.

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Abstract:
La dimension sociale de l’animation culturelle, définie comme intervention visant à renforcer l’initiative culturelle par l’élargissement de l’accès aux œuvres et la stimulation de la créativité sociale, rejoint le champ culturel des mouvements sociaux, considérés comme un mode de mobilisation combinant structures organisationnelles, formes de leadership et de communication. Or, il se dégage des traditions d’analyse européenne et nord-américaine deux dynamiques culturelles distinctes. Du côté européen, elle met en scène des acteurs politiques agissant sur le terrain de la culture (entendue comme système de valeurs présidant aux choix de développement) tandis que du côté nord-américain, elle recouvre des acteurs culturels agissant sur le terrain juridico-politique. Dans la foulée des premiers travaux de Jean-Claude Gillet axés sur le sens de l’action et articulées autour de conflits réels, les analyses de Melucci et de Castells opèrent la synthèse de ces traditions et dégagent des perspectives fécondent pour la compréhension tant des formes contemporaines d’action collective que des défis actuels de l’animation culturelle.
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Koenig, Marie, Olivier Las Vergnas, and Emmanuelle Jouet. "COVID-19 : quelles répercussions sur la coopération entre les acteurs du soin et de l’accompagnement ?" Santé Publique 36, no. 3 (June 21, 2024): 93–102. http://dx.doi.org/10.3917/spub.243.0093.

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Introduction : Pendant la crise sanitaire due à l’épidémie de COVID-19, les dispositifs officiels de démocratie en santé, partenariat et participation ont été mis à mal. Amorcées par les acteurs de terrain, des formes moins visibles institutionnellement se sont développées. But de l’étude : Cet article vise à mieux comprendre les répercussions de l’épidémie sur les partenariats en santé et dans les situations de handicap au cours de la période 2020-2021. Résultats : L’analyse des réponses (étude 1) et du récit (étude 2) des participants a été effectuée grâce au logiciel d’analyse lexicale Iramuteq. Les résultats montrent que, si la pandémie est venue révéler un défaut de pratique partenariale avec les personnes concernées dans les champs sanitaire et médico-social, elle a également mis en lumière de nouveaux fonctionnements entre les acteurs et des initiatives sources de créativité. Conclusions : Les résultats de notre recherche s’inscrivent dans la perspective d’un changement de paradigme impliquant la reconnaissance de la pluralité des savoirs à l’œuvre dans la relation usagers-professionnels-décideurs.
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Laplante, Julie. "« Art de dire » Rastafari : créativité musicale et dagga dans les townships sud-africains." Drogues, santé et société 11, no. 1 (February 7, 2013): 90–106. http://dx.doi.org/10.7202/1013889ar.

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Abstract:
Le mouvement rastafari, et son expansion à l’échelle mondiale, est un témoignage du succès d’un « art de dire » par l’expression musicale. Technique du corps et des sens, la création de la musique peut se lier à l’éthos d’un peuple. Il s’agit dans cet article de comprendre les conditions de créativité musicale au sein du quotidien rastafari des townships du Cap en Afrique du Sud. Ainsi, comment la création musicale s’insère-t-elle au coeur du mouvement rastafari sud-africain, en quoi ce processus est-il porteur de signification, voire gage de survie au quotidien ? Et plus particulièrement, quelle est la place de la plante sacrée dagga (cannabis, marijuana) dans ce processus, dont l’usage hors du mouvement est légiféré comme criminel, et dont l’usage en son sein apparaît libérateur, voire thérapeutique ? Voilà le défi de cet article qui pourra être relevé grâce à une famille musicienne/herboriste rastafari sud-africaine et à une anthropologie des sens. Dans le mouvement rastafari qui s’est érigé explicitement contre l’oppression d’un monde colonial en Jamaïque dans les années 1930, le processus de créativité musicale apparaît comme un mode de « mieux-être dans le monde », mode où les mots et les sons sont nettement privilégiés comme médium de changement social. En ce qui concerne son Herbe, la dagga, ses fonctions y sont multiples, tant sur le plan culturel que biologique, s’entrelaçant à la créativité musicale selon les ancrages positionnels particuliers des acteurs.
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GALA BI TIZIÉ, Emmanuel, Koffi Roland BINI, and Alice Rachel GALA TIZIE LOU FEWEZAN. "Créativité musicale et culture citoyenne chez les jeunes en Côte d’Ivoire." Revue internationale animation, territoires et pratiques socioculturelles, no. 16 (December 18, 2019): 21–38. http://dx.doi.org/10.55765/atps.i16.449.

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Abstract:
La musique s’offre au monde comme un puissant vecteur de loisir, mais aussi de sensibilisation et de conscientisation. Dès son accession à l’indépendance en 1960, la Côte d’Ivoire s’est dotée d’un hymne national dénommé ‘‘l’Abidjanaise’’ qui, du point de vue de l’orchestration, se chante à sept voix, le texte lui-même portant sur des valeurs citoyennes essentielles au développement de cette jeune nation. La musique est donc un véhicule de promotion de valeurs utiles à la construction d’un pays. Dans le contexte ivoirien la musique a évolué avec l’histoire du pays. Au fil du temps cependant, on constate la marginalisation de l’éthique et des valeurs citoyennes dans la majorité des productions musicales urbaines. Le présent travail tente d’apporter des éclairages sur la question en s’appuyant sur une approche mixte, prenant en compte les acteurs principaux du champ musical. Il ressort de l’étude que la marginalisation des valeurs citoyennes dans le champ musical ivoirien contemporain est essentiellement due à une quête de facilité, à la peur des représailles politiques et à la course à l’argent.
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Harrisson, Denis. "Réceptivité et contraintes de l’innovation dans l’administration publique." Télescope 19, no. 2 (March 20, 2014): 71–86. http://dx.doi.org/10.7202/1023841ar.

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Abstract:
Les administrations publiques font face à des contraintes économiques et politiques et à l’obligation de maintenir des services de qualité. Elles doivent créer des approches innovantes qui transforment les règles et les normes qui orientent l’action et les activités des acteurs. L’innovation n’est pas qu’un résultat, c’est avant tout un processus qui met en scène une diversité d’acteurs. Leurs connaissances, leur créativité et leur participation sont au coeur des processus d’innovation et ils doivent faire converger des valeurs et des objectifs vus parfois comme opposés vers la performance et la productivité. Cette analyse repose sur deux recherches menées sur l’innovation dans l’administration publique au cours des dix dernières années, elle montre que le processus d’innovation n’est pas fixe, il se moule aux évolutions du contexte.
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Voirol, Jérémie. "Récit ethnographique d’une expérience partagée de la fête de San Juan/Inti Raymi à Otavalo (Andes équatoriennes)." Ethnologies 35, no. 1 (September 9, 2014): 51–74. http://dx.doi.org/10.7202/1026451ar.

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Abstract:
Cet article constitue une tentative de récit ethnographique qui compte rendre l’expérience vécue de la fête de San Juan/Inti Raymi dans la région d’Otavalo (Andes équatoriennes) de différents acteurs et de l’anthropologue. L’auteur s’essaie à la description minutieuse afin de montrer, à partir d’une perspective pragmatique, le développement des actions dans l’espace et dans le temps, permettant de mettre en évidence le savoir pratique et la créativité de ses interlocuteurs, ainsi que la dimension d’indétermination des situations. Par ce faire, aucune explication sous-jacente ou cachée est recherchée, le sens se trouvant dans la pratique festive même. L’abondance des détails a également pour objectif de faire vivre aux lecteurs les situations et de leur faire prendre conscience de leur caractère complexe et situé.
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Caillard, Marc. "L’éveil artistique et culturel du très jeune enfant : un rêve ou un devoir d’agir des adultes pour l’avenir des générations futures ?" Spirale N° 105, no. 1 (July 13, 2023): 91–97. http://dx.doi.org/10.3917/spi.105.0091.

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Abstract:
Dans notre société capitaliste et consumériste actuelle, nous avons plus que jamais besoin d’éveil artistique et culturel, et ce dès le plus jeune âge. Depuis les années 1970, les acteurs de la petite enfance tirent la sonnette d’alarme sur l’importance de nourrir les enfants de culture vivante, aussi indispensable que la nourriture. C’est ainsi que différentes pratiques culturelles ont vu le jour dans les lieux d’accueil du jeune enfant, entraînant parents, enfants et professionnels. Les processus de créativité, de rêverie et d’humanité y prennent leur source. Condition indispensable pour que le petit d’homme cultive sa sensibilité d’origine et devienne ainsi un citoyen éclairé, responsable et engagé. Il en va de l’avenir de notre civilisation et de la préservation du vivant dont nous sommes partie prenante.
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Castro-Gonçalves, Luciana, Margaret Josion-Portail, and Cathy Zadra-Veil. "Le potentiel du design thinking pour les politiques publiques : Développer les capacités créatives pour co-construire la ville inclusive avec les personnes âgées." Innovations Pub. anticipées (April 17, 2026): I168—XXXVIII. http://dx.doi.org/10.3917/inno.pr2.0168.

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Abstract:
L’adaptation des villes au vieillissement constitue un défi majeur pour les politiques publiques bottom-up . Dans ce cadre, cette recherche s’intéresse aux adaptations des méthodes de design thinking (DT) pour permettre la participation des citoyens âgés aux dispositifs de co-construction des innovations urbaines. L’analyse de trois ateliers de créativité montre comment les facteurs liés à la préparation des ateliers (appui sur des acteurs tiers, adoption d’une configuration intergénérationnelle, sensibilisation des participants âgés quant au rôle qu’ils peuvent jouer dans la génération de solutions) et à l’atteinte des finalités du processus créatif participent au développement des capacités créatives des personnes âgées. Les résultats sont discutés sous l’angle des apports à la littérature sur le DT et sur la participation des publics vulnérables au processus créatif. Codes JEL : R580, H750, O360, O350
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Castro-Gonçalves, Luciana, Margaret Josion-Portail, and Cathy Zadra-Veil. "Le potentiel du design thinking pour les politiques publiques : Développer les capacités créatives pour co-construire la ville inclusive avec les personnes âgées." Innovations Pub. anticipées (April 17, 2026): I168—XXXVIII. http://dx.doi.org/10.3917/inno.pr2.0168.7000.

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Abstract:
L’adaptation des villes au vieillissement constitue un défi majeur pour les politiques publiques bottom-up . Dans ce cadre, cette recherche s’intéresse aux adaptations des méthodes de design thinking (DT) pour permettre la participation des citoyens âgés aux dispositifs de co-construction des innovations urbaines. L’analyse de trois ateliers de créativité montre comment les facteurs liés à la préparation des ateliers (appui sur des acteurs tiers, adoption d’une configuration intergénérationnelle, sensibilisation des participants âgés quant au rôle qu’ils peuvent jouer dans la génération de solutions) et à l’atteinte des finalités du processus créatif participent au développement des capacités créatives des personnes âgées. Les résultats sont discutés sous l’angle des apports à la littérature sur le DT et sur la participation des publics vulnérables au processus créatif. Codes JEL : R580, H750, O360, O350
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Leclerc, Yvon. "Le développement local par la culture : cinq propositions pour des villes culturelles." Revue Gouvernance 14, no. 2 (April 26, 2018): 72–89. http://dx.doi.org/10.7202/1044936ar.

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Les recherches menées par l’auteur durant plus de vingt ans sur l’évolution des territoires l’ont conduit à présenter la culture comme le premier élément à considérer dans le développement urbain ou rural, car elle intègre le respect de l’histoire, le sens du lieu, le patrimoine sous toutes ses formes et les pratiques des habitants. Il a observé que les projets de nature culturelle provoquent des réactions intangibles qui ne sont pas toujours prises en compte dans le développement des territoires. À une époque où les villes et les régions sont en concurrence, la beauté d’un lieu, la fierté et le sentiment d’appartenance qui en découlent sont des facteurs de développement. L’auteur démontre, à partir d’études de cas, la pertinence du recours à une stratégie culturelle, car elle stimule la créativité, l’innovation et la mobilisation des acteurs locaux.
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Vézina, Cathy. "Susciter les effets de la créativité collective au cours du processus de création : exemple d’un dispositif pédagogique." Hors-thème 5, no. 1 (May 1, 2018): 264–88. http://dx.doi.org/10.7202/1045160ar.

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Dans cet article, nous exposons une expérimentation menée auprès d’étudiants de premier cycle universitaire inscrits dans un programme de formation en création numérique. D’abord, nous mettons en lumière une approche méthodologique qui consiste en la mise en place d’un dispositif de création (composé d’un cadre d’analyse, d’une situation-problème et d’un scénario pédagogique) auprès d’une population étudiante. Puis, nous présentons les résultats témoignant d’un travail d’analyse où le terrain fait émerger une proposition théorique menant à la distinction de formes d’interactions de la créativité collective. Cette étude est ainsi orientée vers l’identification des transformations de l’activité de création. Elle participe à la construction de connaissances sur les processus de création collectifs en considérant, d’un côté, le point de vue de l’expérience vécue (des acteurs de la situation), et de l’autre, celui d’observateurs de cette même situation.
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Stals, Adeline, Catherine Elsen, and Sylvie Jancart. "L’immersion pour l’appréhension des outils de modélisation paramétrique en conception architecturale." SHS Web of Conferences 47 (2018): 01010. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184701010.

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L’évolution des besoins des architectes en matière d’outils de conception les a poussés à adopter et adapter des outils d’abord dédiés à d’autres secteurs. Certains de ces outils dits paramétriques sont davantage utilisés dans les grands bureaux d’architecture que dans les petites agences, qui représentent pourtant la majorité des acteurs de la conception architecturale (Stals et al., 2017). Le papier se concentre dès lors sur l’analyse du ressenti d’architectes intégrés à ces plus petites structures et participant à une journée de formation. Leur appréhension des outils de modélisation paramétrique est évaluée comparativement en début et en fin de formation selon trois attributs émergeant tant de la littérature que de leurs propres réponses. L’article développe donc les résultats selon trois attributs : créativité, aspects techniques, fonctionnalités. La pertinence de l’usage de tels outils dans de petites structures est également discutée.
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Baillargeon-Fortin, Annie. "Réappropriation d’une friche urbaine par l’art: analyse d’une démarche créative citoyenne dans l’espace public." Revue internationale animation, territoires et pratiques socioculturelles, no. 10 (June 15, 2016): 57–70. http://dx.doi.org/10.55765/atps.i10.578.

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Chaque ville possède des zones dépourvues de circulation humaine durant le jour ou la nuit. Par la réclusion qu’ils comportent, ces lieux rendent vulnérables quiconque s’y aventure et particulièrement les femmes. Afin de remédier à cette situation, l’organisme Conscience Urbaine fait le pari qu’en modifiant un lieu par l’art, cela changera les perceptions, augmentera la fréquentation et par conséquent la sécurité du lieu. Plus qu’un simple projet d’art dans l’espace public, on parle d’une action concertée qui repose sur la coopération des différents acteurs pouvant agir sur le lieu. Nous avons suivi les projets de Conscience urbaine durant l’été et l’automne 2015 pour comprendre comment ceux-ci pouvaient s’inscrire dans une démarche d’innovation sociale. Nous avons également observé la démarche du point de vue des modèles des changements profonds pour parvenir à comprendre ce qui freinait ou alimentait l’innovation et la créativité dans le processus d’action de l’organisme.
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Le Capitaine, Jean-Yves. "Le secteur médico-social dans les paradoxes du changement." VST - Vie sociale et traitements N° 148, no. 4 (November 18, 2020): 91–97. http://dx.doi.org/10.3917/vst.148.0091.

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Des changements importants sont en cours dans le fonctionnement des services et l’accompagnement des personnes en situation de handicap, mettant en jeu les acteurs de ce fonctionnement que sont le discours sociétal et les politiques publiques, les organisations de services et les professionnels. Toutefois, ces changements se heurtent à des résistances, dont l’une des causes pourrait se trouver dans les paradoxes mêmes des modalités de mise en oeuvre des changements. En effet, du côté des professionnels, les changements sont opérés de manière unilatérale par les politiques publiques et les organisations, dépouillant les professionnels de toute créativité et tout sens, en les contraignant à adhérer à des représentations, actions et organisations élaborées loin d’eux. Pour lever les obstacles de ces résistances, qui nuisent à la pleine participation des personnes en situation de handicap, il conviendrait de penser autrement l’engagement des professionnels dans la mise en sens de leur action.
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Harvey, Fernand. "La vie culturelle à Québec (1791-2008)." Les Cahiers des dix, no. 62 (September 24, 2009): 251–81. http://dx.doi.org/10.7202/038127ar.

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Entreprendre l’analyse de la vie culturelle d’une ville équivaut à dégager les paramètres de son identité. Au fil des décennies, les arts et les lettres connaissent des périodes de créativité et de stagnation, compte tenu du dynamisme des acteurs culturels. À quoi s’ajoute le contexte économique et politique qui conditionne, pour une bonne part, l’ampleur et la qualité de cette vie culturelle. Le cas de Québec est ici examiné sur une période de deux siècles, soit de 1791, au moment où la ville devient la capitale du Bas-Canada, jusqu’à 2008, année du 400e anniversaire de sa fondation. Quatre sous périodes sont identifiées : la ville coloniale du régime anglais où les influences étrangères et locales façonnent la nouvelle personnalité culturelle de Québec (1791-1866), la capitale culturelle du Canada français et la valorisation du régionalisme (1867-1945), la ville qui cherche sa voie entre la tradition et la modernité (1946-1969), et finalement Québec comme second pôle culturel du Québec (1970-2008).
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Pierron, Jean-Philippe. "Imaginer plus pour agir mieux. L’imagination en morale chez Carol Gilligan, Martha Nussbaum et Paul Ricoeur." Dossier : Éthiques et philosophies politiques du care, du soin et de la sollicitude. Perspectives ricoeuriennes et féministes 10, no. 3 (October 17, 2016): 101–21. http://dx.doi.org/10.7202/1037653ar.

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Abstract:
Dans leur réflexion sur le raisonnement moral, critique d’une approche rationaliste stricte, les théories du care et les philosophies travaillant à une compréhension enrichie de la raison pratique se sont attachées à mettre en valeur l’importance éthique qu’il y a à envisager la perspective de l’autre. Elles se sont concentrées à cette fin sur le travail de l’imagination. On montre ici que l’éthique du care de Gilligan, l’éthique de la narration de Nussbaum et l’éthique de la sollicitude ricoeurienne, quoique différentes, se renforcent mutuellement à partir d’une compréhension renouvelée du rôle de l’imagination dans la morale. Si l’enquête psychologique de Gilligan, la philosophie de la littérature chez Nussbaum et l’herméneutique du texte chez Ricoeur diffèrent, ces trois auteur.es ont en commun de ne pas se satisfaire des méfaits d’une rationalité instrumentale qui bride la créativité pratique des actrices morales et acteurs moraux. Il appartiendrait à l’imagination éthique de prendre la mesure de la complexité des situations morales et d’en suivre les variations subtiles, afin de prendre soin de formes de vies rendues invisibles ou d’existences vulnérables.
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Emin, Sandrine, and Gérôme Guibert. "Complexité et auto-organisation en entrepreneuriat collectif : analyse d’une scène musicale locale." Revue internationale P.M.E. 30, no. 2 (July 6, 2017): 87–113. http://dx.doi.org/10.7202/1040457ar.

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Abstract:
Cet article a pour objet de proposer une autre manière d’appréhender le processus entrepreneurial que celle ancrée dans une vision individualiste. Pour ce faire, il documente une forme spécifique d’entrepreneuriat collectif, celle dans laquelle l’organisation impulsée est un contexte entrepreneurial (et non une entreprise ou une activité innovante). Il repose sur l’étude longitudinale d’une scène musicale locale reposant essentiellement sur les pratiques amateurs et le bénévolat. S’inscrivant dans l’approche processuelle en entrepreneuriat (Steyaert, 2007) et dans les travaux sur l’ancrage territorial de l’entrepreneuriat (Julien, 2005), il s’intéresse aux interactions entre acteurs et aux phénomènes d’encastrement pour répondre aux questions suivantes : comment se forme un tel contexte ? Que produit-il ? Quel est son processus d’organisation ? Les résultats défont l’évidence d’une vision causale et linéaire du processus entrepreneurial ; une telle approche ne permettant pas de saisir le phénomène collectif étudié. L’analyse montre un acte collectif de création que l’on peut qualifier d’auto-organisé et émergent. L’intérêt des résultats est alors à rechercher dans une meilleure compréhension de la complexité et de la créativité du processus entrepreneurial.
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Lemaire, Andréanne, Mélanie Vachon, and Sarah Fraser. "EXISTER, APPARTENIR ET TRANSMETTRE : ARTCIRQ COMME ESPACE DE MIEUX-ÊTRE POUR LES JEUNES INUITS D’IGOOLIK." ARTICLES LIBRES 38, no. 3 (November 14, 2017): 153–77. http://dx.doi.org/10.7202/1041842ar.

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Abstract:
Les exemples liés à l’utilisation de l’art comme moyen d’expression et de transformation foisonnent chez les autochtones. Toutefois, nous en connaissons peu sur ce qui se produit en termes de transformations via l’art et la créativité du point de vue de l’expérience des jeunes eux-mêmes. Cette étude, s’insérant dans un devis ethnographique, porte un regard phénoménologique sur un collectif de cirque (Artcirq) dans une communauté inuit et vise à mieux comprendre le vécu des jeunes qui y participent. Nos données de recherche incluent à la fois des entrevues avec les jeunes inuit impliqués dans Artcirq, des notes et observations de terrain et des entretiens complémentaires avec divers acteurs de la communauté. Nos analyses nous amènent à décrire trois dimensions centrales à l’expérience des jeunes, relativement à Artcirq comme espace : 1) où reconnaître et développer ses forces ; 2) où se lier et appartenir et 3) où vivre sa culture inuit et la transmettre. Les implications potentiellement thérapeutiques de tels espaces communautaires au service du mieux-être des jeunes inuit sont évoquées en discussion.
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Delvaulx, Tamara, and Dominique Debucquois. "Quand les enseignants pratiquent l’art et la musique à l’école." NEXUS : Connecting teaching practice and research 3, no. 1 (December 8, 2023): 95–115. http://dx.doi.org/10.14428/nexus.v3i1.78873.

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Abstract:
Dans cet article, nous nous attachons à comprendre quels sont les freins et leviers à la pratique artistique dans l’enseignement fondamental. Partant du constat que la pratique artistique est souvent le parent pauvre dans le cursus de l’élève de 6 à 12 ans, une recherche a été menée par des didacticiens de l’art en Haute École Pédagogique et des acteurs/enseignants de terrain sur base d’un questionnaire suivi d’entretiens compréhensifs. Les résultats de cette étude pointent comme freins à la pratique de l’éducation artistique les contraintes organisationnelles (locaux, temps, espace), le manque de formation initiale et de sentiment d’expertise. Les leviers sont principalement liés à des aspects émotionnels comme le plaisir, la valorisation des enfants, la créativité. Notre recherche a également mis en évidence que la pratique artistique en classe est souvent liée à des valeurs, à de l’éthique personnelle et dépend de la confiance qu’ont les enseignants dans leurs capacités à mener à bien l’enseignement-apprentissage dans cette discipline. En filigrane des réponses et entretiens, le sentiment d’efficacité personnelle des enseignants apparaît comme la pierre d’angle de la pratique artistique à l’école.
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Cantin, Richard, and Jean-Claude Cryonnet. "Strategies d’identification des data utiles à la conduite d’opérations de construction." Acta Europeana Systemica 7 (July 11, 2020): 51–64. http://dx.doi.org/10.14428/aes.v7i1.56633.

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Abstract:
Lors de la conduite d’opérations de construction impliquant de nombreux acteurs et des secteurs industriels différents, une pensée managériale standardisée accompagnée de l’explosion de data réduit la créativité sans toujours prouver son efficacité. Ce constat est illustré dans les domaines de la construction et de la gestion d’infrastructures de transport, de projets industriels et d’équipements structurant un territoire. Mais comment, dans cette profusion informationnelle, identifer les data utiles à la conduite d’opérations de construction ? Revenant à la notion primordiale d’activité, l’article montre comment les paradigmes des modèles de production se sont succédés dans l’évolution de la réalisation des artéfacts nécessaires à l’homme, et ont généré des modèles de représentation et de pilotage. La pensée systémique est mise en œuvre afin de reformuler les modèles précédemment identifiés. L’article met en évidence les objets, les relations et les opérations des différents systémes artisanaux, manufacturiers, industriels... et l’installation des TIC comme système additionnel. L’article constate que ce dernier système apporte une novation importante dans l’échange informationnel qui ne s’exerce plus uniquement entre humains, et montre la nécessité d’une différenciation entre information et data. La conduite de ce polysystème ne peut être assuré qu’en respectant la variété des paradigmes et des cultures techniques des différents systèmes qui le constituent. Ainsi il est nécessaire de savoir repérer et extraire les datautiles à traiter, les relations et les opérations qui existent dans les systèmes dotés de paradigmes dominants (Droit, Subordination, Norme, Commerce, Cybernétique, etc.). Cette étude de la conduite d’opérations contribue à l’émergence de stratégies visant à appliquer des TIC n’appauvrissant pas la variété des systèmes humains, c’est-à-dire ne mutilant pas leur capacité de création. Distinguer l’information comme phénomène du monde organisé et les data comme matière première du monde des artéfacts numériques devrait permettre de réconcilier créativité et efficacité.
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Garcia, Margarida. "De nouveaux horizons épistémologiques pour la recherche empirique en droit : décentrer le sujet, interviewer le système et « désubstantialiser » les catégories juridiques." Les Cahiers de droit 52, no. 3-4 (December 1, 2011): 417–59. http://dx.doi.org/10.7202/1006669ar.

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Abstract:
Sur la toile de fond qui est celle du rapport entre le droit et les sciences sociales, l’article qui suit énonce trois propositions épistémologiques susceptibles d’ouvrir de nouveaux horizons pour la recherche empirique en droit : décentrer le sujet ; interviewer le système à l’aide d’entretiens qualitatifs tournés vers l’observation de la communication ; et « désubstantialiser » les catégories juridiques. Ces propositions épistémologiques sont décrites comme des conditions nécessaires à la possibilité d’un regard externe sur le droit. Elles sont, par ailleurs, considérées comme favorables au développement de la recherche multidisciplinaire en droit puisque, sous certaines conditions, autant le droit que les sciences sociales peuvent bénéficier de ces trois stratégies. Les sciences sociales doivent « prendre le droit au sérieux », les recherches sur le droit devant être réalisées « avec le droit ». De son côté, le droit peut améliorer ses observations et ses modèles normatifs internes en intégrant davantage, dans ses prémisses décisionnelles, les connaissances produites par les sciences sociales. L’auteure soulève dans son texte l’hypothèse que cette intégration — une réalité déjà bien réelle sur le terrain judiciaire, mais encore peu problématisée — tendra à se développer de plus en plus dans le monde juridique à venir. Les enjeux de société contemporains (droits religieux, droits des minorités, droits des femmes, droits des peuples autochtones, droit au suicide assisté, droit au mariage entre couples de même sexe, droits de reproduction, droits des sans-papiers, etc.) sont de plus en plus régulés par des figures juridiques caractérisées par leur texture normative ouverte (valeurs fondamentales, droits de la personne, etc.) et les sciences sociales seront davantage envisagées comme des ressources cognitives importantes de détermination et de spécification juridique, essentielles donc pour ceux qui pensent et disent le droit. En effet, puisque ces enjeux exigent des acteurs judiciaires de la créativité, de l’imagination juridique et de l’ouverture cognitive et normative à l’égard des différentes possibilités de régulation, devant la conception des différents « possibles », les sciences sociales seront, dans ce contexte, des éléments importants de « détermination » des possibles encore non actualisés.
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Dugué, Bernard, and Johann Petit. "La discussion des modèles d’action, une condition pour l’action des comités en santé et en sécurité au travail." Articles 73, no. 2 (June 18, 2018): 252–73. http://dx.doi.org/10.7202/1048570ar.

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Abstract:
Le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) s’avère, en France, une pièce maitresse des dispositifs de prévention des risques et d’amélioration des conditions de travail dans les entreprises. Bien que son rôle soit de plus en plus reconnu, il a souvent des difficultés à fonctionner et à trouver sa place dans le paysage des relations professionnelles. Cette situation est liée, d’une part, à la nature même du comité — à la fois institution de représentation du personnel et instance chargée de la prévention des risques de manière coordonnée avec les services de l’entreprise — et, d’autre part, aux caractéristiques de son champ d’intervention. La conduite des actions et leur efficience sont directement en lien avec la capacité du CHSCT à mettre en discussion des conceptions différentes, et parfois opposées, en matière de conditions de travail, de santé, de risques professionnels et d’exercice du mandat représentatif. Les représentations qu’ont les différents acteurs de ces questions contribuent à la définition des choix stratégiques et des actions à entreprendre. Notre travail de recherche s’est appuyé sur deux types de données. D’abord celles recueillies, au moyen d’entretiens et d’observations participantes, auprès de 27 CHSCT dans des entreprises de tailles et de secteurs d’activité très variés. Ensuite, des données collectées au moyen d’une grille de questionnement auprès de plus de 100 CHSCT lors de sessions de formation ou d’interventions dans des entreprises sur une période de cinq ans, et de la consultation de procès-verbaux de réunion ou de documents d’information remis aux membres de l’instance. L’objectif de cet article est de montrer que si les tensions qui traversent l’activité du CHSCT sont, en grande partie, inhérentes aux caractéristiques de cette instance et si elles sont fréquemment à l’origine de conflits, elles sont aussi une source de débats féconds qui constituent un espace de créativité pour le développement de l’action collective. Au-delà des CHSCT en France, nous sommes convaincus que les conclusions de cette recherche concernent toute instance chargée de la prévention et de l’amélioration des conditions de travail dans les entreprises à travers le monde.
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Zossou, Espérance, Seth Graham-Acquaah, John Manful, Simplice D. Vodouhe, and Rigobert C. Tossou. "Les petits exploitants agricoles à l’école inclusive : cas de l’apprentissage collectif par la vidéo et la radio sur la post-récolte du riz local au Bénin." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 4 (November 19, 2021): 1678–97. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.29.

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Abstract:
En Afrique subsaharienne, les petits exploitants agricoles ruraux ont difficilement accès aux connaissances et informations actualisées afin d’améliorer leur revenu. Pour renforcer l’apprentissage collectif au sein des acteurs des chaînes de valeur du riz local blanc et étuvé, la vidéo et la radio ont été utilisées de façon participative. La présente étude visait à comprendre l’influence de cet apprentissage collectif sur (i) le changement des pratiques des transformations et (ii) la qualité du riz local. Des interviews et suivis hebdomadaires ont été réalisés entre 2009 et 2018 au sud et nord du Bénin auprès de 240 transformateurs choisis aléatoirement. Des échantillons de riz ont été également collectés pour des analyses de qualité au laboratoire. L’analyse des données a été faite avec les tests t de Student, Wilcoxon, ANOVA, et le modèle de régression de Poisson. Les résultats ont montré une amélioration des pratiques de 14% ; 23% et 58% respectivement dans les villages contrôles, radio et vidéo. Dans le processus d’amélioration des pratiques, les transformateurs ont renforcé leur créativité en développant des technologies appropriées à leur environnement ; ce qui a eu un impact positif sur les qualités physiques et de cuisson du riz. Dans un contexte de pauvreté, d’insécurité alimentaire, de ruralité et d’analphabétisme, l’apprentissage collectif par la vidéo et la radio locale se révèle être une opportunité pour le renforcement du système d’innovation agricole. English title: Smallholder farmers at inclusive school: Lessons learnt from collective learning through video and radio on local rice processing in Benin In sub-Saharan Africa, rural smallholder farmers have limited access to timely and up-to-date knowledge and information to improve their incomes. To strengthen collective learning among rice sector’ stakeholders, videos and radio were participatory used. This study aims to assess the impact of this collective learning on (i) changing rice processors practices and (ii) the quality of local rice. Interviews and weekly follow-ups were conducted between 2009 and 2018 in southern and northern Benin with 240 randomly selected rice processors. Rice samples were also collected for quality analysis in the laboratory. Data analysis was done with Student's t-tests, Wilcoxon, one-way ANOVA, and the Poisson regression model. The results showed an improvement in rice processors practices of 14%; 23% and 58% respectively in control, video and radio villages. During the improvement of their practices, rice processors have increased their creativity by developing appropriate technologies to their environment; and this has positively impact on the physical and cooking qualities of the rice. In a context of poverty, food insecurity, rurality and illiteracy, collective learning through video and radio seems to be an opportunity to strengthen the agricultural innovation system, and a booster for change through adoption and adaptation of innovation.
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Ramseier, Aude, and Sabine Oppliger. "Apprendre et pratiquer sa créativité : des dispositifs en actes inspirés de la démarche des arbres de connaissances." Voix Plurielles 13, no. 1 (May 14, 2016): 113–24. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v13i1.1374.

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Abstract:
Cet article décrit et analyse l’émergence de la créativité dans un contexte scolaire dans une classe d’élèves de neuf à onze ans dans le canton de Vaud en Suisse. Il s’appuie sur les bases d’une recherche-action menée par une des auteures durant l’année scolaire 2011-2012. Les dispositifs mis en place, inspirés de la démarche des arbres de connaissances (Authier et Lévy 1996) et des principes des communautés d’apprenants (Brown et Campione 1995), proposent des conditions-cadre propices à une culture de créativité partagée qui institutionnalise cette dimension en l’intégrant dans un processus continu qui la légitime comme objet d’apprentissage. Cette recherche permet de questionner les relations entre les conditions-cadre proposées par les dispositifs présentés et des éléments liés à la créativité, à savoir ce qui peut la promouvoir dans un contexte d’apprentissage scolaire. La question de recherche a été formulée de la manière suivante : en quoi les dispositifs mis en acte proposent des conditions-cadre favorables à l’émergence de la créativité des élèves ? Les résultats mettent en évidence une posture d’auteur-acteur endossée par les élèves. La posture de l’enseignant est aussi abordée ainsi que son rôle en tant qu’accompagnateur facilitateur qui intègre de manière intentionnelle et transversale la créativité dans son enseignement. Il est le garant de la conduite de cette démarche qui mobilise les potentialités individuelles au service du collectif et de la co-création d’une culture de la reconnaissance des compétences des élèves en classe par la création d’espaces qui la rendent possible.
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Muscianisi, Véronique. "Une pédagogie du mouvement dramatique : la formation de l’acteur au sein de la compagnie du Théâtre du Mouvement." L’Annuaire théâtral, no. 55 (October 20, 2015): 101–13. http://dx.doi.org/10.7202/1033705ar.

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Abstract:
Cet article se propose d’aborder la formation des professionnels dans le domaine du théâtre gestuel à partir d’une étude centrée sur la pédagogie de la compagnie française du Théâtre du Mouvement, qui s’appuie sur les principes du mime corporel d’Étienne Decroux ainsi que sur des techniques somatiques. Nous nous demandons dans quelle mesure cette pédagogie, axée sur des connaissances anatomiques et physiologiques, apporte un vocabulaire de jeu pour un acteur conscient et autonome, tout en s’articulant à des principes de créativité pour le mouvement dramatique. Cette étude s’appuie sur un travail de terrain in situ que nous menons depuis 2009 auprès de la compagnie.
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Bon, Véronique, and Corinne Van Der Yeught. "L’entrepreneur responsable en développement durable : un cadre conceptuel intégrateur." Revue internationale P.M.E. 31, no. 2 (July 10, 2018): 127–60. http://dx.doi.org/10.7202/1049964ar.

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Abstract:
Résumé Selon Schumpeter (1935), la fonction entrepreneuriale est par essence, le véhicule d’une transformation continuelle de l’économie. L’entrepreneur responsable n’est-il pas cet acteur, capable d’engager la révolution économique nécessaire pour qu’advienne un monde plus équitable et plus soutenable ? Comment cet entrepreneur parvient-il à combiner sa liberté d’entreprendre et sa créativité au bénéfice d’autrui ? Dans cette contribution, nous partons à la recherche de cet entrepreneur responsable. Il s’agit de mettre en évidence les capacités éthiques nécessaires à son action et de questionner la façon, dont elle se traduit au regard des quatre paradigmes de l’entrepreneuriat mis en exergue par Verstraete et Fayolle (2005) : à savoir la création de valeur, les opportunités d’affaires, l’innovation et la création d’organisation(s). Deux principales figures émergent de ces investigations : l’entrepreneur économique en DD et l’entrepreneur responsable en DD. Concernant ce dernier, un cadre conceptuel synthétique et intégrateur est proposé pour caractériser son action, les fondements de cette action et l’ensemble des capacités qu’il doit mobiliser.
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Fabiani, Jean-Louis. "Une sociologie transcendentale?" Annales. Histoire, Sciences Sociales 65, no. 6 (December 2010): 1429–39. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900037513.

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Abstract:
Une des caractéristiques les plus remarquables de la sociologie en tant que discipline réside dans le fait qu’elle n’a jamais cessé d’être refondée depuis ses multiples, et souvent incertaines, fondations. On pourrait dire que son style épistémologique dominant est celui d’une science toujours déjà là et encore à venir, partagée entre d’infinies potentialités cognitives et une situation effective dans le monde social marquée par la puissance des obstacles qui ne cessent de surgir sur le périlleux chemin de la scientificité. L’idée qui prévaut est celle d’une science jeune, même si ses premières mises en forme ont maintenant un siècle et demi. Jean-Claude Passeron a parfaitement analysé une telle disposition dans Le raisonnement sociologique et il est inutile d’y revenir en détail. L’anxiété épistémologique constitutive d’un savoir dévolu aux formes de sociation (Vergesellschaftung), dont on s’efforce de repérer les régularités et les automatismes tout en faisant droit aux émergences et aux disruptions, a suscité un espace permanent de discussion autour des principes fondateurs, de la définition de l’objet et des protocoles d’observation et d’analyse jusqu’aux modèles plus ou moins explicites de l’action qui permettent de rendre compte des motifs des agents et des institutions ou bien qui s’affranchissent de tout recours à la motivation au profit d’une mécanique sociale. Très souvent, le débat tend à devenir scholastique, au sens que Pierre Bourdieu donnait à ce terme, particulièrement dans ses Méditations pascaliennes. On peut voir les choses de deux façons: la première consiste à considérer que la surchauffe épistémologique ainsi produite est un impédiment pour la recherche empirique à base monographique et qu’elle n’est qu’un cruel indicateur de la minceur des enjeux de la sociologie universitaire. La seconde consiste à reconnaître dans cette négociation indéfinie le site propre des sciences sociales, comme le montrent les débats récurrents sur les pouvoirs explicatifs réflexifs de la structure et de l’agencéité, particulièrement dans la sociologie de langue anglaise. On doit ainsi constater que la pluralité théorique est inhérente à la sociologie. Il est frappant que la discipline se soit régulièrement trouvée de nouveaux pères fondateurs. On pourrait dire ironiquement qu’elle compte aujourd’hui plus de fils fondateurs que de pères fondateurs, instituant une sorte de démocratie séminale où tout le monde a sa chance. Proposer son paradigme semble être une épreuve dans le cursus honorum du sociologue, pourvu qu’il ait un peu d’ambition et qu’il fasse montre de bonnes dispositions lexicographiques. Un sociologue produit d’abord un vocabulaire destiné à signifier le niveau de sa créativité conceptuelle. Pas de grande carrière sans lexique indexé sur un nom propre: middle range theory et obliteration by incorporation pour Robert Merton, habitus-champ-capital pour P. Bourdieu, justification-cité-grandeur pour Luc Boltanski et Laurent Thévenot, objets chevelus et non chevelus et acteur-réseau – au sein d’un dictionnaire et d’un arsenal métaphorique proprement stupéfiant – pour Bruno Latour. Il est remarquable que ces lexiques coexistent sans produire aucun effet de babélisme: tous les protagonistes continuent de se comprendre parfaitement, même s’ils parlent des langages ostensiblement antagonistes. Il serait sous ce rapport fécond de mener une enquête sur les profondes mutations subies par le lexique weberien de la légitimité dont P. Bourdieu a intensifié et universalisé l’usage: les vocabulaires de la justification et de l’artification en constituent des transpositions assez fidèles dans des cadres de référence épistémologiquement hétérogènes. Le livre de Cyril Lemieux, Le devoir et la grâce, pourrait être lu comme un exemple supplémentaire de cette volonté de produire un lexique nouveau. Il pourrait avoir pour sous-titre: Projet d’une sociologie grammaticale. Ce ne serait pourtant pas rendre justice à un travail extrêmement stimulant qui ne se réduit jamais à la proposition d’un nouveau vocabulaire des sciences sociales, mais qui prend au sérieux la nécessité de construire un espace commun qui transcende les démarcations institutionnelles et les paradigmes locaux.
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LÉTOURNEAU, Patrice, and Émilie PAWLAK. "L'économie de la créativité et ses implications pour les acteurs d'un territoire." Management et ingénierie de l'innovation, November 2013. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-re236.

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Bazet, Isabelle, Philippe Marrast, and Minica Houry-Panchetti. "Collaboration numérisée et dépliage organisationnel." Partage, échange, contribution, participation (Partie I) 8, no. 3 (April 10, 2020). http://dx.doi.org/10.25965/interfaces-numeriques.4031.

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Nous présentons un projet pédagogique universitaire transversal distribué dans le temps et entre de nombreux acteurs enseignants et étudiants. Ce projet quoique cadré et formalisé, laisse une grande part à la créativité, à l’innovation et à l’émergence d’une organisation participative équipée et rendue possible par le recours à différentes technologies numériques. Nous mobilisons le concept d’hétérotopie et prenons appui sur une approche communicationnelle de l’organisation, pour caractériser les dynamiques, le travail et les habiletés infocommunicationnelles des collectifs à l’œuvre dans la construction de cette hétérotopie. Nous développerons plus particulièrement la figure des passeurs organisationnels, essentiels à la construction, l’équipement et la stabilisation de l’hétérotopie.
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Michaud, Thomas. "La science-fiction institutionnelle, un imaginaire au service du management de l’innovation." Interfaces numériques 11, no. 1 (April 11, 2022). http://dx.doi.org/10.25965/interfaces-numeriques.4732.

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La science-fiction institutionnelle est devenue une pratique fréquente dans les entreprises à la recherche d’une identité innovante et originale. Le design fiction est une méthode de créativité utilisant la science-fiction pour créer des technologies utopiques, ou prototypes diégétiques, utiles aux organisations pour innover. Cette nouvelle pratique est utile à la prospective d’entreprise, en proposant des modèles de sociétés du futur, ou des exemples d’usages de technologies innovantes. L’impact de la fiction sur l’économie suit deux modèles. D’un côté, il est possible de considérer que le design fiction permet aux organisations de créer du sens a posteriori de leurs actions à partir de discours futuristes fédérant les acteurs autour de perspectives communes (théorie de l’énaction et du sensemaking de Weick). D’un autre côté, dans la lignée de l’économie narrative de Shiller, nous considérons que les œuvres de science-fiction ont un impact sur la rationalité des acteurs économiques. Cela justifie le recours à cet imaginaire par les organisations, si elles veulent contrôler leur destinée dans le système productif.
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Caws, Catherine. "Improviser dans l’espace numérique: des enjeux pour les acteurs de la scène éducative." Nouvelle Revue Synergies Canada, no. 8 (April 23, 2015). http://dx.doi.org/10.21083/nrsc.v0i8.3140.

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Le présent article est une réflexion sur le concept d’improvisation dans l’espace virtuel. A partir d’une étude de cas basée sur des utilisations variées de microblogues dans un cours de langue universitaire de niveau débutant/intermédiaire, nous tenterons d’analyser les productions de quelques participants en les contrastant à certaines des caractéristiques de l’improvisation en éducation. Bien que l’improvisation soit une technique principalement utilisée en présentiel, et plus généralement en études théâtrales, nous verrons que les enjeux éducatifs résultant de l’utilisation de réseaux sociaux tels que Twitter se comparent facilement à ceux que présentent l’improvisation en éducation. Ce contraste nous permettra de mieux comprendre et de mieux gérer ces enjeux pour conduire les participants (apprenants et enseignants) de ces réseaux à improviser plus librement dans cet espace public virtuel. Notre méthodologie est de nature essentiellement qualitative ; elle propose notamment une analyse de quelques microblogues pour y repérer des marques de créativité et de spontanéité langagières. Celles-ci sont discutées dans la conclusion.
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Patrix, Pénélope. "Le répertoire du fado ou la tradition en action." Intermédialités, no. 28-29 (September 20, 2017). http://dx.doi.org/10.7202/1041084ar.

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Cet article aborde le fado par le prisme du répertoire, un concept fortement structurant dans les pratiques et sans cesse débattu par les acteurs. Ce choix permet de réfléchir à ce qui fait l’unité, la continuité et la créativité de cette chanson intermédiale, à la fois traditionnelle et moderne, orale et écrite, performative et médiatique. Le fado peut dès lors être abordé comme un art de la reprise : chaque interprète, en se réappropriant des éléments du répertoire et en proposant de nouvelles configurations lors de sa performance, réactive et renouvelle ce dernier, tout en laissant sa trace dans une mémoire collective des interprétations. On adopte ici une perspective historique afin d’observer comment le répertoire est réinvesti et redéfini à chaque époque, et quels sont les affects, les valeurs et les mémoires que ses mises en oeuvre véhiculent.
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Périsset, Danièle. "Maulini, Olivier & Progin, Laetitia (Éd.) (2016). Des établissements scolaires autonomes? Entre créativité des acteurs et éclatement du système." Swiss Journal of Educational Research 40, no. 1 (October 24, 2018). http://dx.doi.org/10.24452/sjer.40.1.5174.

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Bangali, Marcelline. "Les acquis de la formation doctorale: perceptions des compétences développées." Canadian Journal of Higher Education, March 23, 2021, 15–27. http://dx.doi.org/10.47678/cjhe.vi0.188885.

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Plusieurs travaux soulignent des difficultés particulières auxquelles certains titulaires d’un doctorat sont confrontés sur le marché du travail en dehors du milieu universitaire. Une des principales raisons de ces difficultés serait la méconnaissance ou l’inadéquation des acquis de la formation doctorale en ce qui concerne les compétences recherchées par les organisations. Or, en dehors de données statistiques, peu de travaux nous renseignent sur les perceptions que les différents acteurs ont de ces compétences. Cet article apporte une contribution dans ce sens. Il est basé sur les résultats d’une recherche mixte à devis séquentiel. La première étape a consisté en une étude qualitative par entretiens semi-directifs réalisés auprès de 85diplômés du doctorat en emploi et 21 responsables d’organisations. Les résultats de cette étude, dont les données ont été traitées par la méthode Alceste, ont servi à la conception d’une échelle de 45 items sur les compétences des titulaires d’un doctorat. Cette échelle a été mesurée lors de deux enquêtes par questionnaire auxquelles ont répondu 2139 diplômés du doctorat en emploi et 215 responsables d’organisations. Des analyses descriptives de comparaison de moyennes standardisées (d de Cohen) mettent en évidence des points de convergence qui montrent que la formation doctorale pourrait constituer un atout pour le développement des compétences du futur, notamment celles difficiles à automatiser : la gestion de la complexité, la créativité, l’esprit critique.
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Hansez, Isabelle, Laurent Taskin, and Jacques-François Thisse. "Numéro 164 - Juin 2021." Regards économiques, June 8, 2021. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2021.06.08.01.

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Abstract:
Dans ce numéro spécial de Regards économiques, trois expertises dialoguent afin d’offrir une compréhension multidisciplinaire du «télétravail» aujourd’hui et demain : D’un point de vue économique, la question clé demeure celle de l’incidence d’une pratique intensive de télétravail à domicile sur la mobilité, les villes et l’économie dans son ensemble. Le gain espéré de productivité au travail sous-tend le développement du télétravail. Souvent déclaré, mais rarement mesuré de façon précise, des rares études montrent néanmoins une relation de cause à effet entre la pratique du travail à domicile et un surcroît de productivité au travail. Mais, qu’en sera-t-il demain sur le long terme ? Et quel impact une pratique plus forte du télétravail peut-elle avoir sur la demande et l’offre immobilières dans les villes et sur les marchés locaux du travail ? Ce sont quelques-unes des analyses développées par Jacques-François Thisse, professeur émérite d’économie à l’UCLouvain. Du point de vue des organisations et du management, la pratique du télétravail a conduit à revisiter les processus de régulation du rapport au travail (tels que le contrôle et l’autonomie au travail, les styles de management, l’identité au travail, la productivité et l’équilibre entre sphères privée et professionnelle). Autre enjeu pour les entreprises ? La gestion de la distance sur les comportements au travail (notamment l’hyper connexion ou l’invisibilisation). Selon Laurent Taskin, professeur en sciences de gestion à l’UCLouvain, le futur verra s’intensifier le télétravail. L’enjeu organisationnel et managérial clé de l’après-covid sera donc de réinventer de nouvelles routines de travail autour de la présence, là où c’était la distance qui était régulée avant la crise covid. C’est cette réflexion qui permettra de préserver et valoriser l’innovation, la créativité et la socialisation. Du point de vue des individus, les recherches sur le télétravail ont identifié de longue date des effets plutôt positifs en termes de satisfaction, de motivation, de bien-être ou de fidélisation, justifiant une demande, de la part des travailleurs, pour ce type d’arrangement. Se basant sur une enquête menée durant le premier confinement en Belgique, Isabelle Hansez, professeure de psychologie à l’ULiège, offre une perspective nuancée des conditions de la pratique du télétravail durant le confinement et des perspectives affichées par les personnes sondées. Plus que jamais, semble-t-il, la dimension du bien-être au travail semble clé dans la valorisation du télétravail par les individus et montre aussi les disparités de situations (familiale, professionnelle) qui amènent à apprécier différemment la flexibilité offerte par le télétravail. Ces trois regards se complètent et permettent, in fine, d’identifier les équilibres et les tensions qui caractérisent le développement du télétravail. Et donner des pistes qui pourront satisfaire à la fois les travailleurs, les managers, les entreprises et les acteurs qui vivent de la présence des travailleurs sur leur lieu de travail (commerces, services, entretien…) ? Voici les principaux enseignements et recommandations des trois scientifiques : L’accroissement de productivité dû à la pratique du télétravail est lié à sa fréquence : au-delà de deux jours par semaine ou de 50% du temps de travail, l’impact sur la productivité s’atténue ; Le développement du télétravail peut potentiellement modifier la consommation d’espace de bureau (décroissance) et domestique (croissance), dans un mouvement qui risque de dévitaliser les centres urbains et d’affaires ; La pratique plus intensive du télétravail menace l’existence de communautés de travail au sein des organisations, au profit de liens plus formels et instrumentaux avec l’organisation et les collectifs de travail ; Pour les travailleurs, la pratique du télétravail est source de satisfactions (autonomie, flexibilité, par exemple) mais aussi d’inconfort (ergonomie, conflit privé-professionnel, ambiguïté des attentes, par exemple) ; Les politiques publiques doivent d’urgence proposer des solutions de mobilité afin de faciliter l’accès aux centres urbains, pour les travailleurs, et juguler une potentielle désertion de ceux-ci par les quartiers d’affaire—la mobilité étant le premier facteur de choix pour le télétravail ; Les employeurs doivent formaliser la possibilité de télétravail dans des accords collectifs négociés et permettre à leurs salariés d’être dans de bonnes conditions de travail à domicile, a fortiori si le télétravail fait l’objet d’une politique organisationnelle ou de gestion des ressources humaines ; Le management doit réguler la présence des équipes de travail en tenant compte de leurs réalités propres (activités, par exemple) afin de préserver les liens sociaux, garants d’une performance de long terme ; Les travailleurs sont invités à organiser leurs temps et leurs espaces privé et professionnel de sorte à permettre une conciliation harmonieuse.
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de Suremain, Charles-Édouard. "Coco, l’« enfant du patrimoine » ? Sur la représentation de la fête des morts au Mexique à partir d’un « dessin animé patrimonial »." AnthropoChildren, January 1, 2019. http://dx.doi.org/10.25518/2034-8517.3135.

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Abstract:
Le patrimoine, à travers le dessin animé Coco, semble avoir trouvé un mode d’expression et de transmission inédit, à ce point qu’il apparaît désormais concevable de parler d’un nouveau genre cinématographique, le « dessin animé patrimonial ». Véritable production destinée à la scène globale, combinant créativité, invention et hommage à l’« âme d’un peuple », le film met en avant la « culture mexicaine » perçue par la « culture latino », tout en rappelant les valeurs fondatrices de la Nation mexicaine : la tradition, les ancêtres, la famille… et l’enfant ; au-delà, il reprend les questions universelles relatives à la condition humaine : la vie, la mort. Figure centrale d’une trame narrative à la fois dramatique et humoristique, l’« enfant du patrimoine » reflète les tensions actuelles entre le modèle de l’enfant du droit fortement doté d’agencéité – qui tente de s’affranchir de l’ordre social traditionnel pour une part – et le modèle d’enfant consumériste qui va jusqu’à tenter d’imposer ses choix aux adultes pour l’autre. Le dessin animé patrimonial montre en creux que, pour avoir une chance d’être transmis, le patrimoine ne peut s’appuyer sur un récipiendaire abstrait, un enfant générique, mais qu’il doit s’incarner dans un acteur fait de chair et d’os, avide de biens de consommation culturels, devenu entre-temps expert en patrimoine.
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Laurent, Pierre-joseph, and Lionel Simon. "Ruse." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.037.

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Abstract:
En Occident, la ruse (en tant que raison raisonnée, délibérée, contextuelle) fut progressivement, et surtout depuis Descartes, reléguée aux oubliettes d’une rationalité calculatrice, économique, quantitative. La raison rusée semble survivre, dans nos sociétés, à la périphérie des rapports sociaux, de manière indicible, voir inaudible, car nous n’aurions plus les mots pour en saisir les vertus. Déclassée, bien souvent considérée comme suspecte face aux principes de la démocratie, nous en avons perdu la compréhension, à la suite d’un rapprochement analogique entre la ruse et l’idée de mal. Ainsi, dans la Grèce antique, la raison possédait à la fois un volet d’une intelligence pratique rusée, la Mètis (Detienne et Vernant 1974), considérée comme un support du politique, et un autre fait de rationalité calculatrice. Progressivement l’esprit de calcul triomphera du raisonnable et deviendra le mode de pensée hégémonique en Occident (Latouche 2004). La bonne ruse, soit celle qui était impliquée dans la gestion de la Cité (Vernant et Vidal-Naquet 1992) et donc dans la politique, a été considérée comme une pratique obsolète : floue et ambiguë, la ruse serait devenue indigne de la raison. Dès lors en Occident, les seules ruses reconnues seraient plutôt les fourberies. Celles-ci prennent la forme de calculs, de stratégies et d’abus. L’intelligence rusée se retrouve ici au service d’une efficacité sans principe éthique, c’est-à-dire sans discernement ni prudence. Dans ce sens, la fourberie a fréquemment rendez-vous avec la corruption et les pratiques maffieuses. Si la trajectoire du concept de ruse tend à dévoiler une tension entre deux types de raison, elle exprime aussi une tension entre deux épistémologies. Courtois-l’Heureux (2009) pointe dans les travaux de Certeau une manière particulière d’envisager les phénomènes sociaux. La ruse, en tant que concept analytique, rompt avec une épistémologie quantitative. Face aux approches statistiques et sociologiques de sociétés aux facettes supposées quantifiables, la ruse introduit le détournement, rompt la verticalité définissant l’axe de propagation d’une « culture » sur des individus. Si la ruse parait comme l’opposé et l’opposant de la rationalité, c’est que là où cette dernière veut encadrer les phénomènes, la première s’en joue et les déjoue. Elle introduit dans l’analyse le contextuel, le local, le particulier, la déclinaison. Elle focalise sur la manière dont les individus usent « d’arts de faire » au quotidien, détournent, se dérobent, se jouent, bricolent avec ce qui semble s’imposer à eux. Elle s’intéresse à toutes les distorsions que les locaux, en sourdine, font subir à tout ce qui leur échappe en apparence. La ruse rattache ainsi chaque phénomène au local, focalise l’attention sur les déclinaisons particulières ; elle se concentre sur le contexte, sur la vitalité et la créativité d’un détournement. La ruse enclenche une approche pragmatique des manières de faire et de dire (ou de ne pas faire et de ne pas dire). En cela, la ruse est un concept susceptible d’éclairer de multiples réalités. Cela parce qu’elle se niche dans de nombreuses pratiques, quotidiennes ou occasionnelles. Elle est l’art de jouer avec l’inattendu. Elle est dissimulée dans les rapports sociaux, et peut être explicite dans des récits cosmogoniques, reconnue comme le trait archétypique de certains animaux ou d’êtres mythologiques ; elle peut motiver une attitude particulière envers des divinités, voire encore opérer dans une relation maîtrisée et silencieuse avec la nature (Artaud 2013). Ainsi, si on ruse avec le fort (ou le plus fort que soi) – souvent pour tourner sa force contre lui-même – on ruse en général avec tout ce qui parait se passer de nous pour fonctionner et se mettre en place. Mais c’est sa dimension politique qu’elle évoque le plus spontanément, éclairant d’un jour singulier les usages populaires du pouvoir. La ruse se tisse en effet dans l’ombre des hiérarchies sociales et donc du pouvoir. À l’instar du don qui survit à l’échange marchand (sur le rapport entre don, dette et ruse, voir Laurent 1998), la ruse semble résister aux effets de la globalisation. La ruse populaire, de nature tactique, largement spontanée, indicible, voire parfois inconsciente, ne peut pas être assimilée tout de go à de la fourberie mal intentionnée. Il doit exister une différence irréductible entre l’idée de la ruse digne, comprise ici comme un détournement, dans le sens de « tourner dans une autre direction » et la corruption qui renvoie à un enrichissement personnel à partir d’une place d’autorité (Laurent 2000). La ruse populaire participe pleinement à la construction de l’identité des groupes dominés, comme une manière originale de traiter avec le pouvoir et d’accéder à des ressources. Ceci renvoie à une façon de se mouvoir dans un environnement qui n’est pas possédé en propre (de Certeau 1990, 1994) ; que fait-on, lorsque l’espoir d’accéder aux biens de consommation est grand, mais que ceux-ci resteront inaccessibles, dès lors qu’on participe à des mutations techniques, technologiques, sociales, culturelles, politiques, etc. comme derrière une vitrine ? La ruse est une arme au service du faible. Son efficacité est sa discrétion. L'ordre en place, abusé par l'universalité de son explication du monde, ne peut s'imaginer être joué par un sens pratique. Celui-ci demeure inaudible, invisible, indicible, inavouable pour qui, du dehors, ne partage pas le secret des "coups" et des bricolages. La ruse populaire appartient dans une forte mesure à des groupes situés à la marge de l'ordre établi. Elle troque l'absence de lieu propre, c'est-à-dire la possession d'un espace sur lequel imposer son autorité, son hégémonie, ses décisions, contre le temps, celui de l'occasion, du braconnage, de l'affût, de la dérobade (de Certeau 1990, 1994). La ruse synthétise trahison, intelligence, finesse, secret, subtilité, comédie, mensonge, discrétion. Les actions populaires rusent par une invention quotidienne qui se compose d'une pratique du "coup par coup", c'est-à-dire de l'acuité à se saisir de l'occasion et de la transformer en opportunité, d'un fort sentiment d'autonomie vis-à-vis de l'ordre institué qui peut s'exprimer par de l'indocilité, de la résistance et de l'élaboration de réseaux de relations institués à la faveur de dons, du recours et de la dépendance réciproque (dans le sens ici de prestations et de contre-prestations). La ruse, si elle procède d'un calcul évident, n'en demeure pas moins une élaboration caractérisée par une logique situationnelle. Elle constitue l’arme privilégiée des pratiques populaires, car elle est la manière la plus sûre de cadrer ou de parer au flux événementiel. Déploiement stratégique et anticipatif de plusieurs facteurs contextuels, elle devient une disposition, une manière de poser un regard teinté d’opportunisme sur les alentours pour y dénicher des opportunités (Simon 2012). Les Peuls, guidés par leurs troupeaux à travers les pâturages sahéliens, incarnent par excellence l'idée de "l'ailleurs dans le dedans" (de Certeau 1990, 1994). Le peuple peul ne possédant pas à proprement parler de lieux propres, opère sur le territoire de l'autre. Traversant des régions où vivent des agriculteurs sédentaires, les pasteurs se sentent toujours étrangers, c'est-à-dire extérieurs aux sociétés côtoyées, mais profitant de leurs pâturages. Le sommet de la ruse est atteint lorsque le grand génie Gaari-Jinne conseille au jeune couple peul de dérober chez les voisins ses premières vaches pour constituer son troupeau, avec certes une infinie prudence et avec toutes les formes requises (Le Pichon et Balde 1990). La notion de jamfa - traduit par le mot trahison - se trouve au cœur du pulaaku, c'est-à-dire de l'identité peul. Le jamfa constitue une éclatante démonstration de la capacité d'un peuple à se trouver toujours "ailleurs", c'est-à-dire jamais là où on croit le rencontrer. Il est ici question de survie. La notion de jamfa se situe au cœur du mythe fondateur de la société peul et comme le montre Vidal-Naquet à propos des éphèbes de la Cité, la ruse est consubstantielle aux cadets ou à ces groupes dominés (Vidal-Naquet 1992). Le pasteur peul ne s'oppose pas, le rapport de force ne penche pas en sa faveur, il ruse. Il traverse des espaces qui ne lui appartiennent pas en propre, mais dont il tire sa subsistance. Ceci illustre parfaitement en quoi consiste cet art du dominé, capable de se jouer d’un contexte a priori défavorable. Le champ de l’aide, des projets, de l’assistance, du bénévolat met par définition en contact des acteurs souvent étranger l’un pour l’autre. C'est par exemple le cas des paysans mossi du Burkina Faso et des offreurs d’aide de la coopération au développement. Pour comprendre les relations s’établissant entre ces deux groupes, il convient de s’écarter du discours officiel et du registre de la justification, pour prendre en considération l'informel des pratiques et apercevoir l'inédit qui se tapit au cœur de l'ordre institué par les dispositifs de l’aide (Laurent 1998). Le monde de l’aide, des projets, de la coopération, est aussi celui de la recherche de « la participation des populations bénéficiaires à la base » (souvent appelé dans le jargon de la coopération au développement « les partenaires »). Il est alors utile de se demander ce qui se passe lorsque deux « socio-logiques » se croisent (Latour 1989). Selon Hume « on ne peut établir des normes de justice abstraites et formelles qu’entre gens à peu près égaux. » (Hume 1993). Autrement dit, la négociation entre des partenaires issus de mondes différents, dont les uns aident et les autres reçoivent, sera généralement difficile à établir pour ne pas dire, a priori, impossible, sans autres artifices. Pour analyser le vaste secteur de l’aide, mieux vaut partir de l’absence d’un véritable partage des règles d’un jeu commun. Ceci conduit à la mise en spectacle, en forme de trompe-l’œil, des croyances (normes et valeurs) des donateurs par « les aidés ». La communication entre offreurs d’aide et bénéficiaires repose d’emblée sur une asymétrie qui peut conduire à des malentendus. Elle s'établit à l'insu des évidences, des stratégies et des "projets" des offreurs d'aide (Bourdieu 1980) et à la faveur de la perception du décalage, pour ne pas parler de l’inadéquation de l'offre, dans l'invisibilité, l'ambiguïté, la ruse, l'esquive, la tactique, l'occasion, le bricolage des bénéficiaires ou des « aidés ». Autrement dit, les offreurs d’aide, parfois abusés par l’évidence de leurs propositions d’actions, s’imaginent collaborer avec des partenaires, animés des mêmes perspectives qu’eux. Sachant que l’aide hiérarchise et subordonne, les donateurs n’entrevoient pas vraiment l’existence de l’autre scène régie par d’autres conventions. Cette situation conduit à des équivoques. Les acteurs locaux - à défaut de maîtriser par eux-mêmes le jeu - miment une adhésion aux conventions des offreurs d’aide, en vue d’accéder aux ressources offertes, sans pour autant partager les mêmes valeurs et avec le risque de les détourner à leurs propres fins, afin de les rendre compatibles avec leurs stratégies de survies.
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Fougeyrollas, Patrick. "Handicap." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.013.

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Abstract:
Handicap : nom commun d’origine anglo-saxonne dont l’étymologie proviendrait de Hand in Cap, une pratique populaire pour fixer la valeur d'échange d’un bien. Dans le domaine des courses de chevaux, le handicap vise à ajouter du poids aux concurrents les plus puissants pour égaliser les chances de gagner la course pour tous les participants. Il apparait dans le dictionnaire de l’Académie française dans les années 1920 dans le sens de mettre en état d’infériorité. Son utilisation pour désigner les infirmes et invalides est tardive, après les années 1950 et se généralise au début des années 1970. Par un glissement de sens, le terme devient un substantif qualifiant l’infériorité intrinsèque des corps différentiés par leurs atteintes anatomiques, fonctionnelles, comportementales et leur inaptitude au travail. Les handicapés constituent une catégorisation sociale administrative aux frontières floues créée pour désigner la population-cible de traitements socio-politiques visant l’égalisation des chances non plus en intervenant sur les plus forts mais bien sur les plus faibles, par des mesures de réadaptation, de compensation, de normalisation visant l’intégration sociale des handicapés physiques et mentaux. Ceci rejoint les infirmes moteurs, les amputés, les sourds, les aveugles, les malades mentaux, les déficients mentaux, les invalides de guerre, les accidentés du travail, de la route, domestiques et par extension tous ceux que le destin a doté d’un corps différent de la normalité instituée socio-culturellement dans un contexte donné, ce que les francophones européens nomment les valides. Dans une perspective anthropologique, l’existence de corps différents est une composante de toute société humaine (Stiker 2005; Fougeyrollas 2010; Gardou 2010). Toutefois l’identification de ce qu’est une différence signifiante pour le groupe culturel est extrêmement variée et analogue aux modèles d’interprétation proposés par François Laplantine (1993) dans son anthropologie de la maladie. Ainsi le handicap peut être conçu comme altération, lésion ou comme relationnel, fonctionnel, en déséquilibre. Le plus souvent le corps différent est un corps mauvais, marqueur symbolique culturel du malheur lié à la transgression d’interdits visant à maintenir l’équilibre vital de la collectivité. La responsabilité de la transgression peut être endogène, héréditaire, intrinsèque aux actes de la personne, de ses parents, de ses ancêtres, ou exogène, due aux attaques de microbes, de virus, de puissances malveillantes, génies, sorts, divinités, destin. Plus rarement, le handicap peut être un marqueur symbolique de l’élection, comme porteur d’un pouvoir bénéfique singulier ou d’un truchement avec des entités ambiantes. Toutefois être handicapé, au-delà du corps porteur de différences signifiantes, n’implique pas que l’on soit malade. Avec la médicalisation des sociétés développées, une fragmentation extrême du handicap est liée au pouvoir biomédical d’attribuer des diagnostics attestant du handicap, comme garde-barrière de l’accès aux traitements médicaux, aux technologies, à la réadaptation, aux programmes sociaux, de compensation ou d’indemnisation, à l’éducation et au travail protégé ou spécial. Les avancées thérapeutiques et de santé publique diminuent la mortalité et entrainent une croissance continue de la morbidité depuis la Deuxième Guerre mondiale. Les populations vivant avec des conséquences chroniques de maladies, de traumatismes ou d’atteintes à l’intégrité du développement humain augmentent sans cesse. Ceci amène l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à s’intéresser non plus aux diagnostics du langage international médical, la Classification internationale des maladies, mais au développement d’une nosologie de la chronicité : la Classification internationale des déficiences, des incapacités et des handicaps qui officialise une perspective tridimensionnelle du handicap (WHO 1980). Cette conceptualisation biomédicale positiviste situe le handicap comme une caractéristique intrinsèque, endogène à l’individu, soit une déficience anatomique ou physiologique entrainant des incapacités dans les activités humaines normales et en conséquence des désavantages sociaux par rapport aux individus ne présentant pas de déficiences. Le modèle biomédical ou individuel définit le handicap comme un manque, un dysfonctionnement appelant à intervenir sur la personne pour l’éduquer, la réparer, l’appareiller par des orthèses, des prothèses, la rétablir par des médicaments, lui enseigner des techniques, des savoirs pratiques pour compenser ses limitations et éventuellement lui donner accès à des subsides ou services visant à minimiser les désavantages sociaux, principalement la désaffiliation sociale et économique inhérente au statut de citoyen non performant ( Castel 1991; Foucault 1972). À la fin des années 1970 se produit une transformation radicale de la conception du handicap. Elle est étroitement associée à la prise de parole des personnes concernées elles-mêmes, dénonçant l’oppression et l’exclusion sociale dues aux institutions spéciales caritatives, privées ou publiques, aux administrateurs et professionnels qui gèrent leur vie. C’est l’émergence du modèle social du handicap. Dans sa tendance sociopolitique néomarxiste radicale, il fait rupture avec le modèle individuel en situant la production structurelle du handicap dans l’environnement socio-économique, idéologique et matériel (Oliver 1990). La société est désignée responsable des déficiences de son organisation conçue sur la performance, la norme et la productivité entrainant un traitement social discriminatoire des personnes ayant des déficiences et l’impossibilité d’exercer leurs droits humains. Handicaper signifie opprimer, minoriser, infantiliser, discriminer, dévaloriser, exclure sur la base de la différence corporelle, fonctionnelle ou comportementale au même titre que d’autres différences comme le genre, l’orientation sexuelle, l’appartenance raciale, ethnique ou religieuse. Selon le modèle social, ce sont les acteurs sociaux détenant le pouvoir dans l’environnement social, économique, culturel, technologique qui sont responsables des handicaps vécus par les corps différents. Les années 1990 et 2000 ont été marquées par un mouvement de rééquilibrage dans la construction du sens du handicap. Réintroduisant le corps sur la base de la valorisation de ses différences sur les plans expérientiels, identitaires et de la créativité, revendiquant des modes singuliers d’être humain parmi la diversité des êtres humains (Shakespeare et Watson 2002; French et Swain 2004), les modèles interactionnistes : personne, environnement, agir, invalident les relations de cause à effet unidirectionnelles propres aux modèles individuels et sociaux. Épousant la mouvance de la temporalité, la conception du handicap est une variation historiquement et spatialement située du développement humain comme phénomène de construction culturelle. Une construction bio-socio-culturelle ouverte des possibilités de participation sociale ou d’exercice effectif des droits humains sur la base de la Déclaration des droits de l’Homme, des Conventions internationales de l’Organisation des Nations-Unies (femmes, enfants, torture et maltraitance) et en l’occurrence de la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CDPH) (ONU 2006; Quinn et Degener 2002; Saillant 2007). Par personnes handicapées, on entend des personnes qui présentent des incapacités physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité avec les autres. (CDPH, Art 1, P.4). Fruit de plusieurs décennies de luttes et de transformations de la conception du handicap, cette définition représente une avancée historique remarquable autant au sein du dernier des mouvements sociaux des droits civiques, le mouvement international de défense des droits des personnes handicapées, que de la part des États qui l’ont ratifiée. Malgré le fait que l’on utilise encore le terme personne handicapée, le handicap ne peut plus être considéré comme une caractéristique de la personne ni comme un statut figé dans le temps ni comme un contexte oppressif. Il est le résultat d’une relation dont il est nécessaire de décrire les trois composantes anthropologiques de l’être incarné : soi, les autres et l’action ou l’habitus pour en comprendre le processus de construction singulier. Le handicap est situationnel et relatif , sujet à changement, puisqu’il s’inscrit dans une dynamique interactive temporelle entre les facteurs organiques, fonctionnels, identitaires d’une part et les facteurs contextuels sociaux, technologiques et physiques d’autre part, déterminant ce que les personnes ont la possibilité de réaliser dans les habitudes de vie de leurs choix ou culturellement attendues dans leurs collectivités. Les situations de handicap ne peuvent être prédites à l’avance sur la base d’une évaluation organique, fonctionnelle, comportementale, identitaire ou de la connaissance de paramètres environnementaux pris séparément sans réintroduire leurs relations complexes avec l’action d’un sujet définissant le sens ou mieux incarnant la conscience vécue de cette situation de vie. Suite au succès de l’expression personne en situation du handicap en francophonie, on remarque une tendance à voir cette nouvelle appellation remplacer celle de personne handicapée. Ceci est généralement interprété comme une pénétration de la compréhension du modèle interactionniste et socio constructiviste. Toutefois il est inquiétant de voir poindre des dénominations comme personnes en situation de handicap physique, mental, visuel, auditif, intellectuel, moteur. Cette dérive démontre un profond enracinement ontologique du modèle individuel. Il est également le signe d’une tendance à recréer un statut de personne en situation de handicap pour remplacer celui de personne handicapée. Ceci nécessite une explication de la notion de situation de handicap en lien avec le concept de participation sociale. Une personne peut vivre à la fois des situations de handicap et des situations de participation sociale selon les activités qu’elle désire réaliser, ses habitudes de vie. Par exemple une personne ayant des limitations intellectuelles peut vivre une situation de handicap en classe régulière et avoir besoin du soutien d’un éducateur spécialisé mais elle ne sera pas en situation de handicap pour prendre l’autobus scolaire pour se rendre à ses cours. L’expression personne vivant des situations de handicap semble moins propice à la dérive essentialiste que personne en situation de handicap. Le phénomène du handicap est un domaine encore largement négligé mais en visibilité croissante en anthropologie. Au-delà des transformations de sens donné au terme de handicap comme catégorie sociale, utile à la définition de cibles d’intervention, de traitements sociaux, de problématiques sociales pour l’élaboration de politiques et de programmes, les définitions et les modèles présentés permettent de décrire le phénomène, de mieux le comprendre mais plus rarement de formuler des explications éclairantes sur le statut du handicap d’un point de vue anthropologique. Henri-Jacques Stiker identifie, en synthèse, cinq théories du handicap co-existantes dans le champ contemporain des sciences sociales (2005). La théorie du stigmate (Goffman 1975). Le fait du marquage sur le corps pour indiquer une défaveur, une disgrâce, un discrédit profond, constitue une manière de voir comment une infirmité donne lieu à l’attribution d’une identité sociale virtuelle, en décalage complet avec l’identité sociale réelle. Le handicap ne peut être pensé en dehors de la sphère psychique, car il renvoie toujours à l’image de soi, chez celui qui en souffre comme celui qui le regarde. Le regard d’autrui construit le regard que l’on porte sur soi mais en résulte également (Stiker 2005 :200). La théorie culturaliste qui met en exergue la spécificité des personnes handicapées, tout en récusant radicalement la notion même de handicap, est enracinée dans le multiculturalisme américain. Les personnes handicapées se constituent en groupes culturels avec leurs traits singuliers, à partir de conditions de vie, d’une histoire (Stiker 2005). Par exemple au sein des Disability Studies ou Études sur le handicap, il est fréquent de penser que seuls les corps différents concernés peuvent véritablement les pratiquer et en comprendre les fondements identitaires et expérientiels. L’exemple le plus probant est celui de la culture sourde qui se définit comme minorité ethno-linguistique autour de la langue des signes et de la figure identitaire du Sourd. On fera référence ici au Deaf Studies (Gaucher 2009). La théorie de l’oppression (Oliver 1990). Elle affirme que le handicap est produit par les barrières sociales en termes de déterminants sociologiques et politiques inhérents au système capitaliste ou productiviste. Les personnes sont handicapées non par leurs déficiences mais par l’oppression de l’idéologie biomédicale, essentialiste, individualiste construite pour empêcher l’intégration et l’égalité. Ce courant des Disability Studies s’inscrit dans une mouvance de luttes émancipatoires des personnes opprimées elles-mêmes (Stiker 2005 : 210; Boucher 2003) La théorie de la liminalité (Murphy 1990). Par cette différence dont ils sont les porteurs, les corps s’écartent de la normalité attendue par la collectivité et sont placés dans une situation liminale, un entre-deux qu’aucun rite de passage ne semble en mesure d’effacer, de métamorphoser pour accéder au monde des corps normaux. Cette théorie attribue un statut anthropologique spécifique au corps handicapé sans faire référence obligatoire à l’oppression, à l’exclusion, à la faute, ou au pouvoir. Marqués de façon indélébile, ils demeurent sur le seuil de la validité, de l’égalité, des droits, de l’humanité. La théorie de l’infirmité comme double, la liminalité récurrente de Stiker (2005). L’infirmité ne déclenche pas seulement la liminalité mais en référant à la psychanalyse, elle est un véritable double. La déficience est là, nous rappelant ce que nous n’aimons pas et ne voulons pas être, mais elle est notre ombre. Nous avons besoin de l’infirmité, comme de ceux qui la portent pour nous consoler d’être vulnérable et mortel tout autant que nous ne devons pas être confondus avec elle et eux pour continuer à nous estimer. Ils sont, devant nous, notre normalité, mais aussi notre espoir d’immortalité (Stiker 2005 : 223)
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Valente, Gabriela Abuhab. "Situações escolares envolvendo a questão religiosa: recursos docentes e suas origens (School situations involving the religious matter: teaching resources and its origins)." Revista Eletrônica de Educação 12, no. 3 (October 31, 2019). http://dx.doi.org/10.14244/198271993121.

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Abstract:
The aim of this article is to identify and analyze the genesis of the resources used by teachers to deal with school situations, especially those related to the religious matter. The constitution of resources for teaching practice does not come only from professional experience, mainly in the Brazilian case, where there are no official rules or prescriptions for this subject. Thus, it is questioned: what are the resources mobilized by teachers in situations involving the religious question? What are the origins of these resources for action in real and often unpredictable situations? It is supposed that the action resources used in teaching practices are consistent with the plurality of references that constitute the teaching identity. Based on ethnographic interviews with eighteen teachers from Elementary School II in the State of São Paulo, 54 situations involving the religious question were collected. All the situations were analyzed in what concerns the resources used by the teachers. For this article four situations will be exposed, they were chosen because they are representative, and they serve to exemplify and to assist the argument developed here. To sum up, this paper reveals that the origin of the repertoires used in the teaching practice, as far as the religious question is concerned, comes from the personal competences, which are closely associated with characteristics of the Brazilian socio-cultural configuration, such as the hybrid dispositions of habitus and the mixture between public sphere and private sphere. All things considered, these aspects of the Brazilian culture culminate in the naturalization of the religious in the teaching practice.ResumoO objetivo deste artigo é identificar e analisar as origens dos recursos utilizados pelos docentes para gerir situações escolares envolvendo a questão religiosa. A constituição de recursos para a prática docente não advém apenas da experiência profissional, principalmente quando se trata de um assunto para o qual não há normas ou prescrições oficiais. Desta forma, questiona-se: quais são os recursos mobilizados pelos docentes em situações envolvendo a questão religiosa? Quais são as origens desses recursos para a ação em situação real, muitas vezes, imprevisível? Tem-se como hipótese que os recursos de ação utilizados nas práticas docentes condizem com a pluralidade de referências que constituem a identidade docente. A partir de entrevistas etnográficas com 18 docentes do Ensino Fundamental II no Estado de São Paulo, foram recolhidas 54 situações envolvendo a questão religiosa. Todas as situações foram analisadas no que concerne aos recursos utilizados pelos docentes. Para este artigo, foram selecionadas quatro situações que serão expostas por serem representativas e por exemplificarem e auxiliarem no argumento aqui desenvolvido. Conclui-se que a origem dos repertórios utilizados na prática docente, no que concerne à questão religiosa, advém das competências pessoais dos profissionais que, por sua vez, estão intimamente associadas com características da configuração sociocultural brasileira, como a mistura entre esfera pública e esfera privada e as disposições híbridas de habitus que culminam com a naturalização do religioso na prática docente.Palavras-chave: Prática docente, Religião e educação, Formação de profissionais da educação, Repertório.Keywords: Teaching practices, Religion and education, Teacher training, Resources.ReferencesALBUQUERQUE, E. M. Avaliação da técnica de amostragem “Respondent-driven Sampling” na estimação de prevalências de Doenças Transmissíveis em populações organizadas em redes complexas. 2009. 99p. Dissertação de Mestrado em Saúde Pública. Escola Nacional de Saúde Pública Sérgio Arouca; Rio de Janeiro: Ministério da Saúde – Fiocruz, 2009.BEAUD, Stéphane; WEBER, Florence. 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