Journal articles on the topic 'Coréen (langue) – Aspect (linguistique)'

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Kraif, Olivier, and Pascale Roux. "Comparaison d’un texte original et de ses rétrotraductions : que disent les mesures textométriques ?" Meta 67, no. 1 (September 7, 2022): 190–216. http://dx.doi.org/10.7202/1092196ar.

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Abstract:
Cet article présente les premiers résultats de l’analyse d’un corpus littéraire composé de poèmes et d’un essai, ainsi que de leurs 16 rétroversions en français, après traduction dans 8 langues, typologiquement et diachroniquement diversifiées (l’italien, l’allemand, l’arabe, le farsi, le japonais, le coréen, le latin et le grec ancien). Cet ensemble fait l’objet d’une approche interdisciplinaire, interrogeant la rétrotraduction d’un point de vue textométrique et stylistique. À partir d’une évaluation de la distance traductionnelle entre les textes alignés (originaux et rétroversions), fondée sur la longueur, l’indice Dice et la stabilité des lemmes, trois hypothèses principales sont éprouvées : les textes sont-ils davantage transformés lorsqu’ils sont passés par une langue distante du français ? Les poèmes subissent-ils des distorsions plus grandes que l’essai en prose ? Le corpus rétrotraduit peut-il être un outil herméneutique pour l’analyse du texte original ? Pour étudier ces différents aspects dans une perspective de linguistique de corpus outillée et de stylistique française, nous proposons une méthodologie d’alignement multitextuel et de mesures textométriques, s’appuyant sur l’étiquetage et la lemmatisation des unités. L’étude stylistique prend appui sur ces mesures pour aborder ce multitexte riche et complexe. Menée sur un ensemble de taille réduite, l’analyse vise à la mise en place de procédures reproductibles sur d’autres corpus de versions traduites d’un texte dans une même langue.
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Pyoun, Hyéwon. "Pourquoi enseigner l’interprétation simultanée avec texte en anglais – cas d’étude entre le français et le coréen." Meta 51, no. 2 (August 14, 2006): 263–72. http://dx.doi.org/10.7202/013255ar.

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Abstract:
Résumé De plus en plus d’orateurs utilisent comme support des documents en anglais tout en présentant leurs discours dans leur langue natale lors de conférences internationales. Cette situation mène les interprètes coréens-français à effectuer des interprétations simultanées avec texte à partir des supports visuels anglais. Deux canaux, l’un auditif et l’autre visuel, interviennent entre trois langues, coréen, français et anglais, pour accroître la charge mentale de l’interprète qui n’a pas l’anglais dans sa combinaison linguistique. Toutefois, souvent pratiquée dans le contexte coréen, l’interprétation simultanée faisant intervenir un support visuel anglais est négligée dans la formation de l’interprétation. Cet article a pour but d’analyser les erreurs commises par les étudiants en cours de formation afin de mettre en lumière la nécessité d’un enseignement de l’interprétation simultanée avec texte en anglais.
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Bertau, Marie-Cécile. "Pour une notion de forme linguistique comme forme vécue. Une approche avec Jakubinskij, Vološinov et Vygotskij." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 24 (April 9, 2022): 5–28. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2008.1402.

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Abstract:
Jakubinskij ainsi que Vološinov partent dans leur approche de la langue de la situation extra-verbale, entendue comme situation vécue et partagée avec un autre. Les liens avec cette situation forment et l'événement langagier et son aspect proprement linguistique. Les deux linguistes pensent un recul ou une réduction de l'aspect linguistique ; ainsi, Vološinov parle d'un «énoncé dépourvu de mots» où ce qui subsiste est une forme : une intonation, un geste. Ce qui devient visible est le corps parlant et écouté, par là l'autre et le social, puis le rôle que jouent l'intonation et la voix. Devient visible, finalement, une forme réciproque et mutuelle, sensible et matérielle. L'objectif de la contribution est de développer l'approche de Jakubinskij et de Vološinov, d'élaborer ensuite une notion de forme linguistique se basant sur le moment du vécu. L'argumentation suivra également une logique ontogénétique, visant à préciser le développement de la forme linguistique par la voix de l'autre ; c'est ici que nous ferons référence à Vygotskij et aux concepts d'intériorisation et de langage intérieur. Finalement nous proposerons une idée de la langue correspondant à l'idée de forme linguistique élaborée.
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Kim, Hye-Rim. "A Study of Cultures Using Chinese Characters and their Impact on Translation Studies." FORUM / Revue internationale d’interprétation et de traduction / International Journal of Interpretation and Translation 1, no. 1 (April 1, 2003): 13–40. http://dx.doi.org/10.1075/forum.1.1.02kim.

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Abstract:
Les études de traduction doivent viser à devenir une science comportementale. Autrement dit, la recherche de la méthodologie de traduction ou la présentation de la théorie de traduction aura une signification seulement si elle est capable de remplir le rôle auxiliaire à l’activité de traduction. Ainsi les études de traduction chercheront à soulever les questions liées aux travaux de traduction et y proposer des solutions. C’est donc dans ce contexte que cette thèse propose de présenter une méthodologie qui pourra être appliquée à l’interprétation et à la traduction du coréen et du chinois — deux langues qui utilisent en commun les caractères chinois — en soulevant les difficultés qui existent, en les classifiant et en les conceptualisant. Pour cela, en se basant sur les nombreux textes de conférence, les difficultés de traduction dues à l’usage des lettres chinoises ont été traitées en profondeur à travers: (1) l’analyse de la déverbalisation, (2) la compréhension et la reproduction du texte langue, et (3) la redéfinition du nom propre. A partir de cette analyse, cette thèse élabore une stratégie pour exclure toute intervention de la culture linguistique à travers: (1) la traduction basée sur une connaissance correcte, (2) l’amélioration de la capacité linguistique, (3) l’établissement de la terminologie spécialisée, et (4) l’approche éducative.
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Bologna, Maria Patrizia. "Langage et expressivité chez august friedrich pott." Historiographia Linguistica 22, no. 1-2 (January 1, 1995): 75–90. http://dx.doi.org/10.1075/hl.22.1-2.04bol.

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Abstract:
Résumé Cet article traite de la manière dont August Friedrich Pott (1802–1887), l’un des représentants de la linguistique générale allemande au XIXe siècle, s’occupe de certains faits linguistiques que l’on peut compter parmi les manifestations de l’expressivité dans le langage, à savoir les interjections, les mots onomatopéiques, les procédés phonétiques revenant au phonosymbolisme et le redoublement. On note que l’intérêt porté par Pott à ce sujet s’inscrit dans l’intérêt plus général pour l’analyse de 1’ ‘aspect intérieur’ de la langue, en d’autres termes, dans le cadre d’une ébauche de théorie sémantique soutenant – selon une orientation humboldtienne – le rôle médiateur de la langue dans l’expérience. Il s’agit essentiellement d’un intérêt pour les formes linguistiques dans lesquelles on observe une réduction de l’écart entre le caractère ‘subjectif et le caractère ‘objectif propres à tous les faits de langue, c’est-à-dire pour les formes linguistiques dont la nature paraît motiver dans une certaine mesure le lien entre 1’ ‘aspect intérieur’ et 1’ ‘aspect extérieur’ et où un certain degré d’immédiateté des traits phonétiques obscurcit le rôle médiateur de la langue dans l’intuition du monde. L’article soutient que ce ne sont pas des considérations d’ordre pragmatique sur la fonction expressive des faits linguistiques en question, mais des considérations d’ordre sémiotique rapportant l’expressivité à l’iconicité.
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Trousson, Michel. "Un aspect significatif de la réflexion linguistique en Belgique francophone : la réédition, en 1986, du "Bon usage" de Maurice Grevisse." Analyses 21, no. 2 (April 12, 2005): 69–87. http://dx.doi.org/10.7202/500849ar.

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Abstract:
Parmi les nombreux ouvrages de linguistique et de grammaire publiés en Belgique, cette nouvelle édition revue par André Goosse montre qu'il y eut, entre 1975 et 1986, une importante évolution qui a contribué à la libéralisation de la réflexion et de la pratique dans le champ de la grammaire dite « normative ».. La publication de cet ouvrage devrait influencer autant l'enseignement du français dans les pays francophones que l'attitude générale des linguistes à l'égard de cette langue.
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Ouerhani, Béchir. "énoncés du Duςa:ʔ en arabe tunisien : Caractérisation linguistique et gestion de la variation." Langues & Parole 6 (December 22, 2021): 197–213. http://dx.doi.org/10.5565/rev/languesparole.89.

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Abstract:
Les énoncés du duςa:ʔ constituent un genre discursif particulier, spécifique à la langue arabe et aux différents sous-systèmes de dialectes dans les pays arabes. Il s’agirait, selon nous, d’un type particulier de pragmatèmes ; ils offrent une combinatoire interne contrainte, sous forme de moules à éléments préétablis et un contenu sémantique contraint par des situations énonciatives très codées culturellement, le tout ayant une signification globale définie par l’acte d’énonciation lui-même. Nous proposons dans cette contribution d’aborder deux aspect : d’abord, en faire le point en exposant les principales caractéristiques linguistiques des énoncés du duςa:ʔ ; Ensuite, proposer les critères et les axes nécessaires pour une description systématique de ces énoncés dans le dialecte tunisien, tout en prenant en compte les différentes variations de leur usage, que l’enquête de terrain met en évidence.
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BENAMMAR-GUENDOUZ, Naima, and Fatna CHERIF HOSNI. "Repenser l’interculturel dans l’enseignement/apprentissage du FLE." ALTRALANG Journal 1, no. 02 (December 31, 2019): 52–64. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v1i02.23.

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Abstract:
ABSTRACT: Since the existence of school, there are two ways to accede knowledge of languages: the surroundings and school. Acquisition and learning of languages as an instrument for defending cultures require certain knowledge of the culture of its interlocutors. C. Kramsch (1993) explains that learn a foreign language, is not only learn a new manner of communication, but rather a manner of doing a cultural declaration. This supposes that the French has to be treated as a vehicle of culture, and as a language of representation. Because of its multi-definitional aspect, the concept of « culture » is an important as well as a controversial topic of study. We wonder upon the reflexion of good usages of cultures at school. The teaching/learning of a foreign language relies on essential parameters: its content, syntax, lexis and its linguistic aspect. The issue of culture remains a major stake of training of teachers and pupils, mainly in Didactics of languages-cultures. What distinguishes it from didactics of other disciplines is that it makes language a subject of the teaching/learning process including its cultural aspect. The study of culture is essential in teaching languages, whatever is the status of the latter in the sense that it establishes a frame of references outside of it the linguistic production does not make sense; the words of a language refer to meanings inside a given culture by and in a semantic relationship which the learner has to understand. RÉSUMÉ: Depuis que l’école existe, deux voies d’accès à la connaissance des langues se présentent: le milieu et l’école. L’acquisition et l’apprentissage des langues comme un instrument volontariste de défense des cultures exigent une certaine connaissance de la culture de ses interlocuteurs. C. Kramsch (1993) explique qu’apprendre une langue étrangère, ce n’est pas seulement apprendre une nouvelle manière de communiquer, mais une manière de faire une déclaration culturelle. Cela suppose que le français doit être appréhendé comme un véhicule de culture, et comme une langue de représentation. De par son aspect multi-définitionnel, le concept de « culture » est un objet d’étude aussi essentiel que controversé. On s’interroge alors sur la réflexion à conduire sur le bon usage des cultures à l’école. L’enseignement-apprentissage d’une langue étrangère s’appuie sur des paramètres essentiels : son contenu, sa syntaxe, son lexique et son aspect linguistique. La question de la culture reste un enjeu majeur de la formation des enseignants et des élèves, notamment en didactique des langues -cultures. Ce qui la distingue des autres didactiques c’est qu’elle fait de la langue un objet d’enseignement -apprentissage incluant une dimension culturelle. L’étude de la culture est essentielle au sein de l’enseignement de la langue, quel que soit le statut de cette dernière dans la mesure où elle établit un domaine de références hors duquel la production langagière ne fait pas sens, en ce que, notamment, les mots d’une langue renvoient à des significations à l’intérieur.
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Zouogbo, Jean Philippe. "Traduire le proverbe : à la recherche de concordances parémiologiques en bété pour la constitution d’un corpus trilingue allemand/français/bété." Meta 53, no. 2 (August 4, 2008): 310–23. http://dx.doi.org/10.7202/018521ar.

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Abstract:
Résumé La problématique de la traduction du proverbe d’une langue de départ à une langue cible constitue un aspect focal des travaux que nous avons menés antérieurement. L’une des étapes de cette recherche ayant été la constitution d’un corpus parallèle de proverbes en trois langues, l’allemand, le français et le bété, une langue ivoirienne (Zouogbo 2005). L’existence de lexiques dans les langues à rayonnement international et la facilité qu’il y a, à partir de sources lexicographiques pour trouver aux proverbes d’une langue A des correspondants dans une langue B, a grandement contribué à passer sous silence, sinon à occulter ces longs et complexes mécanismes cognitifs qui permettent de transposer la pensée imageante d’une langue à une autre. En effet, la première étape de la constitution de nos corpora consistait à prendre pour point de repère un corpus expérimental de proverbes allemands en vue de trouver des concordances en français. Elle s’est avérée relativement aisée parce que nous nous sommes appuyé sur des sources existantes. Nous avons, au contraire, réalisé dans le second volet de notre travail de répertorisation et de transcription des proverbes bété en allemand et en français qu’il s’agissait là d’une tâche hautement délicate et complexe. Car selon quelles modalités fallait-il non seulement transcrire les unités recueillies à l’oral mais aussi, comment parvenir à trouver et à conférer à ces formes orales un contenu et une morphologie identiques aux proverbes des autres langues ? Car un proverbe, en dépit de sa structure, est une unité linguistique encore loin d’être un simple énoncé phrastique ? Nous avons ainsi rendu compte des différents mécanismes pris en considération pour la constitution de notre concordancier en bété et en particulier les techniques mises en oeuvre pour trouver aux proverbes allemands et français des correspondants en bété. Une méthodologie pouvant servir aussi pour d’autres langues en contraste avec des langues étalons. Ont également été abordées les caractéristiques morphologiques et sémantiques du proverbe et, de façon générale, la distinction entre les proverbes prototypiques et les parémies.
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Almarzoqi, Talal. "Etude du «temps» et de l’ «aspect» dans la langue arabe à travers les travaux de grammairiens français et arabes." مجلة الآداب للدراسات اللغوية والأدبية 1, no. 13 (March 21, 2022): 31–52. http://dx.doi.org/10.53286/arts.v1i13.839.

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Abstract:
cet article vise à aborder le temps linguistique en langue arabe et son concept par rapport au concept de temps en français. En ce qui a trait au français, les linguistes ont classé par huit temps linguistiques qui peuvent être clairement exprimées. En arabe, les linguistes ne mentionnent que deux, à savoir complets et incomplets. Il est même courant que les linguistes français classent le système actuel en arabe comme un système aspectuel plutôt que temporel. Les linguistes anciens et contemporains, ainsi que les orientalistes, différaient dans la définition de ces deux formes, leur donnant une valeur temporelle et une autre fois ils leur donnaient une valeur aspectuelleIl. ce travail a été divisé en trois sections : les anciens linguistes arabes, les orientalistes et les linguistes arabes contemporains. Dans cette étude, basée sur notre conviction de l'importance de cet aspect, pour les apprenants de langues ou les traducteurs, nous présenterons une étude historique, analytique, critique et théorique de ce sujet.
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Elbaz, Pascale. "L’apprentissage du chinois à travers le geste d’écriture." Voix Plurielles 10, no. 2 (November 28, 2013): 43–55. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v10i2.840.

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Abstract:
Pour les apprenants occidentaux, l’accès à l’écriture chinoise se fait d’abord par le biais visuel et notionnel. On apprend à reconnaitre les formes qui composent le caractère, à en identifier les plus courantes et à comprendre leur provenance, refaisant le trajet du réel à l’image puis au signe. Certaines de ces formes servent de repère sémantique, d’autres de repère phonétique, d’autres sont des formes graphiques ajoutées au fil des siècles. Dans tous les cas, l’aspect visuel est premier. L’objectif de ma présentation est de mettre à profit la connaissance de l’histoire et de la structure de l’écriture chinoise pour montrer que son caractère éminemment esthétique rend un apprentissage artistique utile et approprié en classe de langue. J’explorerai le passage du visuel à l’esthétique et au sensible comme voie d’apprentissage du chinois et me demanderai si enseigner la calligraphie chinoise en classe de langue tient de l’enseignement culturel ou linguistique, s’il s’agit de transmettre une pratique profondément ancrée dans les mœurs, ou si cela peut faire partie intégrante de l’apprentissage de la langue écrite. Learning Chinese through the Writing Gesture For Westerners, the first access to Chinese writing is through a visual and notional approach. We learn to recognize the most common shapes of characters, to understand their genesis from natural objects to images and signs and to grasp their meaning. Some of these forms are used to mark semantic elements; others mark phonetic elements; while other forms have been added over the centuries for graphic purposes. In all cases, these forms offer a visual aspect. My presentation analyzes the history and structure of Chinese writing to demonstrate that the aesthetic aspects of the writing system must also be considered in a learning environment to fully grasp the language. I will explore the transition from a visual to an aesthetic and gestural approach of learning to address how Chinese calligraphy teaching in language classes serves not only as an important insight into the cultural aspect of Chinese civilization but as a tool to master the written language.
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Rodriguez Ferreiro, Verónica. "De quelques proverbes qui font l’éloge de la femme." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 16 (May 19, 2021): 67–83. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.16.07.

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Abstract:
Le proverbe reflète la réalité sociale et les croyances populaires. Il peut être envisagé dans le cadre d’une parémiologie comparée, de sorte que nous entreprenons cette étude comme une contribution au dictionnaire phraséologique français-espagnol-galicien. Nous avons eu recours à un ensemble de parémies en langue française, appartenant à différentes époques et sans nous limiter à une perspective eurocentriste, en nous basant sur une culture francophone, comme ensemble linguistique, culturel et sociologique de la francophonie. Le champ de travail a été restreint aux proverbes ayant trait d’une certaine manière à l’amour, au sens large, associé à la figure féminine, comme source d’épanouissement, de discernement, d’opulence, dans son rôle de mère irremplaçable ou comme l’égale de l’homme. Il n’y est question que de ceux qui en font l’éloge ou desquels il en ressort un aspect positif, au moins dans l’une de leurs possibles interprétations, contrairement à ceux, bien plus habituels et nombreux, qui en offrent une image négative.
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Delvaux, Véronique, Kathy Huet, Bernard Harmegnies, Myriam Piccaluga, and Clairet Sandrine. "Guidage perceptif de la production en L2 : tendances générales et variabilité individuelle." Recherches anglaises et nord-américaines 2, no. 1 (2011): 25–44. http://dx.doi.org/10.3406/ranam.2011.1512.

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Abstract:
Dans cette étude, nous avons simulé en laboratoire un aspect spécifique de la situation de nouveaux apprenants «vrais débutants » dont la langue maternelle est le français, qui entrent en contact pour la première fois avec les occlusives non voisées, aspirées à l’initiale de mot, d’une langue étrangère (p.ex. l’anglais), et qui tentent de les reproduire le plus efficacement possible. Les mesures qui ont été effectuées sur les productions imitatives des locuteurs ont révélé une variation significative du VOT et du niveau de burst, liée à l’évolution des deux mêmes paramètres dans les stimuli. Néanmoins, les cibles n’ont pas souvent été pleinement atteintes. Par ailleurs notre étude a révélé une importante variabilité inter-individuelle (sans relation apparente avec l’histoire linguistique des sujets) : les différents locuteurs ne sont pas sensibles aux mêmes propriétés dans les stimuli, ou bien ils n’y réagissent pas de la même manière dans leur réponse. Cependant, tous les effets démontrés pour un sous-groupe de locuteurs donné surviennent toujours dans le même sens (corrélation positive entre l’intensité du burst dans les stimuli et les réponses ; corrélation positive entre la durée du VOT dans les stimuli et les réponses ; corrélation négative entre l’intensité du burst du stimulus et la durée du VOT dans les réponses ; variations systématiques de la durée vocalique dans les réponses alors qu’elle était maintenue constante dans les stimuli ; etc.)
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Coursil, Jacques. "La topique des phonèmes." Recherches sémiotiques 34, no. 1-2-3 (July 28, 2016): 75–96. http://dx.doi.org/10.7202/1037147ar.

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Abstract:
Le Cours de Linguistique Générale consacre deux chapitres à la phonologie sous les titres “Définition des phonèmes” et “Le Phonème dans la chaîne parlée”. Ces textes se présentent aujourd’hui sous le double aspect d’une question d’histoire des sciences non-résolue et d'une question théorique ouverte, l’irrésolution de la première masquant l’intérêt systémique de la seconde. Critiqués dès 1930 par les théoriciens de l’École de Prague (Troubetzkoy, Jakobson), les Principes de Phonologie de Saussure ont perdu tout crédit scientifique et sont tombés dans l’oubli. La critique des Pragois est à la fois élogieuse et sévère. Tout en se réclamant de son caractère fondateur, ils reprochent à la théorie saussurienne d’être contradictoire, mêlant, selon leurs analyses, deux disciplines devant demeurer distinctes, la phonétique et la phonologie. Les contradictions relevées par les maîtres de l’École de Prague paraissent, en effet, évidentes. D’une part Saussure écrit : “L’essentiel de la langue est étranger au caractère phonique du signe linguistique” (CLG : 21) ou “la question de l’appareil vocal est secondaire dans le problème du langage” (CLG : 26); mais d’autre part, il affirme que “la liberté de lier les espèces phonologiques (phonèmes) est limitée par la possibilité de lier les mouvements articulatoires” (CLG : 79). On ne peut, en effet, soutenir la nécessité d’une distinction stricte entre traits différentiels de langue et mécanique articulatoire et, en même temps, affirmer que la délimitation des phonèmes dépend de contraintes de l’appareil vocal. Ainsi Troubetzkoy et Jakobson reprocheront-ils au maître genevois de réintroduire la phonétique dans le débat phonologique. Mais il y a malentendu. En confrontant les critiques pragoises aux textes de Saussure, on découvre, à la place des contradictions attendues, la description d’un système double de catégories et de fonctions dont chaque partie, dûment développée, aboutit à une loi. La thèse de Saussure maintient strictement (mais subtilement) la distinction entre phonétique et phonologie, contrairement aux allégations des Pragois. Dans une lecture systémique des Principes de Phonologie de Saussure, nous n’avons trouvé ni les “contradictions” ni le “psychologisme naïf” ni non plus de “retour aux procédés de la phonétique motrice” que Jakobson avait critiqués. Il s’agit dans cet article de reconstruire et tester ce modèle saussurien discrédité. Les historiens des sciences auront alors à nous expliquer l’étonnante indifférence dans laquelle est tombée une analyse (si opérante et importante) placée au milieu du livre le plus lu de la linguistique générale.
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Goutsos, Dionysis. "Translation in Bilingual Lexicography." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 45, no. 2 (August 20, 1999): 107–26. http://dx.doi.org/10.1075/babel.45.2.02gou.

Full text
Abstract:
Abstract Greek bilingual dictionaries have long been marked by lack of naturalness and inadequate semantic and stylistic discrimination between the various equivalents suggested in translation. Although this is a general problem of bilingual dictionaries, which necessarily deal with decontextualized instances of language in the construction of the lemma, translationese is common in English-Greek dictionaries as a result of the idiosyncratic history of Greek applied linguistic practice. The paper discusses issues of translation equivalence that came into view in the editing of the new Collins English-Greek Dictionary (1997). Specific problems relating to the translation from English to Greek are pointed out, with reference to the areas of lexical, grammatical and discourse equivalence. In particular, the occurrence of 'false friends' and register couplets, the categories of definiteness, countability and verb aspect and the varying Theme-Rheme structures constitute points of divergence between the two languages. The word-for-word translation of these linguistic aspects is mainly accountable for the lack of naturalness. Dictionary editing involves a multitude of detailed decisions along these parameters, which shape the lemmas and influence the quality of the final text. The help from both English and Greek corpora has been indispensable at defining the parameters of naturalness for each lemma and at solving problems specific to Greek bilingual lexicography. Résumé Les dictionnaires bilingues grecs ont été longtemps marqués par un manque de naturel, par une discrimination sémantique et stylistique inadéquate entre les différentes équivalences suggérées dans la traduction. Bien qu'il s'agisse d'un problème général propre aux dictionnaires bilingues, qui, nécessairement se fondent sur des exemples hors de leur contexte linguistique lors de la construction du vocable, des traductions trop influencées par la langue de sortie sont communes dans les dictionnaires anglais-grec à la suite de l'histoire idiosyncratique de la pratique de la linguistique appliquée grecque. L'article se penche sur les problèmes de l'équivalence traductionelle lors de la rédaction du nouveau dictionnaire anglais-grec (Collins - 1997). Des problèmes spécifiques relatifs à la traduction de la langue anglaise à la langue grecque sont mis en évidence relativement aux domaines de l'équivalence lexicologique, grammaticale et du discours. Plus spécialement, l'émergence de "faux amis" et de couples dans le registre, les catégories de précision, la comptabilité des substantifs et l'aspect des verbes ainsi que les structures variables thème-rhème constituent des points de divergence entre les deux langues. La traduction mot-à-mot de ces aspects linguistiques est surtout due au manque de naturel. La rédaction de dictionnaires implique une multitude de décisions détaillés suivant ces paramètres, qui régissent les vocables et influencent la qualité du texte final. L'aide des corpus anglais et grecs a été indispensable lors de la définition des paramètres du naturel pour chaque vocable et lors de la solution des problèmes spécifiques à la lexicographie bilingue grecque.
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Aksoy, Berrin. "Aspects of Textuality in Translating a History Book from Turkish into English." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 47, no. 3 (December 31, 2001): 193–204. http://dx.doi.org/10.1075/babel.47.3.02aks.

Full text
Abstract:
Abstract History texts are regarded as a type of narrative whose existence is related to its textuality. Since a text is a linguistic unity possessing seven characteristics defined by De Beaugrande and Dressler, this aspect of historical texts should be taken into consideration in the translation. Thus, a textual and contextual approach to the text to be translated should be adopted by the translator in the process of translation. Also, the storylike narrative quality, the historian’s subjectivity and his linguistic preferences should not be neglected. Another challenging issue in the translation of history texts is the transfer of realia. “Realia” which means cultural, ethnic or religious terms and objects can be expressed in the other language by means of several methods such as grouping them a) thematically, b) temporally, c) geographically and than using the translation methods such as transcription, substitution and neologisms or approximate translation according to the characteristic and the importance of the realia. Résumé Les textes historiques sont un type de narration, dont l’existence est liée à leur textualité. Comme un texte est une unité linguistique possédant sept caractéristiques définies par De Beaugrande et Dressler, cet aspect des textes historiques devrait être considéré lors de la traduction. Dès lors,une approche contextuelle et textuelle du texte à traduire doit être adoptée par le traducteur lors du processus de traduction. De même, l’istoire vue comme narration de qualité, la subjectivité de l’istorien et ses préférences linguistiques ne sont pas à négliger. Un autre point problématique dans la traduction de textes historiques concerne le transfert des “realia” Les realia ont les termes et les objets culturels, ethniques ou religieux qui peuvent se traduire dans une autre langue au moyen de diverses méthodes tel le groupage (a) thématique, (b) temporel, (c) géographique, et puis en utilisant les méthodes de traduction comme la transcription, la substitution et les néologismes ou une traduction approximative selon la caractéristique et l’importance des “realia”.
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Larivière, Louise. "Vers un produit unifié en terminologie et en documentation : le thésaurus terminologique." 1. Actes du Colloque Les terminologies spécialisées : Approches quantitative et logico-sémantique (Deuxièmes Entretiens du Centre Jacques-Cartier) 34, no. 3 (September 30, 2002): 457–67. http://dx.doi.org/10.7202/003400ar.

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Abstract:
Résumé Les terminologies et les thésaurus documentaires présentent suffisamment d'affinités au plan de leur contenu et de leur structure pour qu'on puisse envisager la création d'un seul répertoire unifié. Un tel produit pourrait prendre la forme d'un thésaurus terminologique qui servirait tant à l'indexation et au repérage des documents qu'à la consultation des données terminologiques et dont la confection s'effectuerait à partir des méthodes utilisées en terminologie et en documentation. Pour ce faire, les descripteurs des thésaurus devront acquérir la spécificité du terme et s'accompagner d'une définition tandis que les terminologies devront adopter la structure des thésaurus : système de relations et plan de classement. En s'appuyant sur ces principes, on présente un modèle de thésaurus terminologique appliqué aux documents professionnels. D'entrée de jeu, Sparck Jones et Kay (1973: 1) affirment, dans l'introduction à leur étude sur les rapports entre la linguistique et les sciences de l'information, que ces deux disciplines ont suffisamment d'affinités pour faire bon ménage ("are bedfellows"). La linguistique, en effet, a pour objet de décrire les langues naturelles qui ont pour fonction, entre autres, de transmettre de l'information, alors que les sciences de l'information ont pour objet de repérer de l'information traduite dans des documents écrits en langue naturelle. Tout en reconnaissant l'existence de recoupements entre les deux disciplines, ces auteurs s'étonnent, néanmoins, de leur manque d'interpénétration et s'interrogent sur les causes d'un tel fait et sur les mesures à prendre pour y remédier. Les recoupements sont si évidents, selon eux, qu'ils se demandent, même, si les sciences de l'information ne devraient pas constituer une sous-discipline de la linguistique ou la linguistique faire partie des sciences de l'information. Mais tel n'est pas leur but de répondre à cette question. Ils cherchent plutôt à savoir ce que ces deux disciplines peuvent s'apporter mutuellement et quel degré d'interpénétration elles ont atteint ou peuvent atteindre. S'est-on, par ailleurs, posé les mêmes questions au sujet de la terminologie et de la documentation ? Depuis une quinzaine d'années, un certain rapprochement s'est amorcé entre terminologues et spécialistes en information documentaire. Dans les publications canadiennes des années 70 (articles de revues et actes de colloque), on s'est surtout arrêté sur la façon dont la fonction recherche de la documentation pouvait optimiser le rendement des activités terminologiques et traductionnelles de plus en plus intenses et complexes1, mais on a démontré peu d'intérêt pour la documentation dans sa fonction analyse. On croit même, dans certains milieux, que la terminologie et la documentation constituent "deux univers séparés dont les concepts de base sont bien distincts, la documentation s'occupant de classes et la terminologie de notions à structurer et à dénommer"2. Quelques auteurs se sont attardés, cependant, sur un aspect de la fonction analyse de la documentation, soit la classification, et ont préconisé le répertoire de type thésaurus comme système de classement des données terminologiques à l'intérieur d'une banque de données3. C'est donc vers l'Europe surtout et les États-Unis qu'il faut se tourner pour trouver des écrits dans lesquels on compare les démarches utilisées en terminologie et en documentation pour produire les répertoires terminologiques, d'une part, et les répertoires documentaires que sont les thésaurus, d'autre part, pour en conclure qu'elles possèdent suffisamment d'affinités pour tendre progressivement vers un produit unifié4. Un tel produit unifié pourrait prendre la forme d'un thésaurus terminologique qui servirait tant à l'indexation et au repérage des documents qu'à la consultation de données terminologiques et dont la confection s'effectuerait à partir des méthodes utilisées en terminologie et en documentation. C'est ce à quoi vise cette communication : 1) justifier la création d'un tel répertoire en comparant les produits fabriqués traditionnellement, l'un par les terminologues (les terminologies) et l'autre par les documentalistes (les thésaurus), du point de vue de leur finalité, de leur contenu, de leur structure pour en faire ressortir les lacunes et les insuffisances; 2) décrire son fonctionnement à partir d'un modèle appliqué aux documents professionnels.
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Owens, Jonathan. "Idiomatic Structure and the Theory of Genetic Relationship." Diachronica 13, no. 2 (January 1, 1996): 283–318. http://dx.doi.org/10.1075/dia.13.2.05owe.

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Abstract:
SUMMARY It has been an assumption of many practitioners of comparative linguistics that genetic relations are defined between languages as holistic entities. A recent explicit expression of this position is Thomason &Kaufman (1988). An alternative viewpoint, probably a minority position, is that expressed (inter alia) by Allen (1953), which defines genetic relations in terms of linguistic components. Assuming the correctness of the first position, which is the more stringent one, I examine one aspect of linguistic structure in Nigerian Arabic, idiomatic expressions, showing that Nigerian Arabic belongs to what I term a Lake Chad Basin areal type, which is quite distinct from Arabic of the Middle East. On the other hand, the Arabic heritage is unmistakeably dominant in its phonology, morphology, lexicon, and syntax. It follows from this comparative study that either the second, componential conception of linguistic relatedness must be adopted, or language families of the world will need to be radically rethought. RÉSUMÉ On suppose généralement que la notion de parenté génétique s'applique aux langues, définies comme entités indivisibles (voir, par exemple, Thoma-son et Kaufman 1988). Un autre point de vue, minoritaire, soutient que la parenté génétique doit plutôt s'établir entre les diverses composantes linguistiques (voir, entre autres, Allen 1953). Partant de l'hypothèse que le premier des deux points de vue est le bon, on examine une composante linguistique — les expression idiomatiques — de l'arabe nigérian. On constate que cette langue se rattache au type des langues du bassin du Lac Tchad, fort différent de celui de l'arabe du Proche-Orient. Par contre, la phonologie, la morphologie, le lexique et la syntaxe relèvent nettement du type arabe. Deux conclusions possibles s'offrent à nous: ou bien le second des points de vue, qui traite de composantes linguistiques, est le bon, ou alors il faut revoir au complet la classification des langues du monde. ZUSAMMENFASSUNG Normalerweise wird angenommen, daß genetische Verhältnisse auf der Basis von Sprachen als gesamte Einheiten zu definiëren sind (z. B. Thomason &Kaufman 1988). Eine andere wohl weniger verbreitete Meinung behauptet dagegen, daB nicht gesamte Sprache sondera deren einzelne linguistische Komponenten (z.B. Morphologie) die zu vergleichenden Einheiten darstellen (Allen 1953). Beide Ansichten werden an Hand von idiomatischen Aus-drücken im Arabischen vom Tschad-See-Gebiet erörtert. Einerseits wird ge-zeigt, daB sich diese Varietät des Arabischen in ihrer idiomatischen Struktur an andere Sprachen des Gebiets angepaBt hat, andererseits allerdings, daB sie in anderen linguistischen Komponenten (Phonologie, Morphologie, Lexikon, Syntax) eine Varietät des Arabischen ist. Als SchluBfolgerung ist daraus zu ziehen, daB entweder ein komponentielles Modell der genetischen Verwandt-schaft anzuwenden wäre oder die Sprachfamilien der Welt radikal umgedacht werden müßten.
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NOURINE ELAID, Lahouaria. "L’interculturalité en Algérie dans la perspective de l’intégration et la multiplicité." ALTRALANG Journal 1, no. 02 (December 31, 2019): 153–61. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v1i02.31.

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Abstract:
ABSTRACT: Interculturality describes a relation between cultures because it implies, by definition, interaction, obviously each culture can have ways of thinking, feeling and acting. We propose in this work a reflection on the fact that the west of Algeria has experienced a strong Spanish influence characterized by an important Spanish migratory contribution during the French colonization. As oranian, the traces of the Spanish language conserved in the variety of our Arabic dialect, interest me a lot. It is important then to begin the task of recovering our history and our linguistic heritage, a difficult but necessary task. Our communication aims to present the socio-historical elements that demonstrate the interaction in Algerian society. In it, coexist cultural diversity and intercultural dialogue, thus creating a coexistence based on the acceptance of the other, as a different entity, with a different identity. This acceptance of difference and coexistence arises from the consciousness of society and, therefore, of the individual, through the history of an entire society, a plural identity, or rather an identity with several aspects and several facets. This awareness makes it possible to give more prominence to the aspect of harmony and integration of social culture than differences. It is in this perspective that diversity and multiplicity are seen more as factors of wealth and enrichment than as a division. RÉSUMÉ: L'interculturalité décrit une relation entre les cultures parce qu'elle implique, par définition, l'interaction, chaque culture peut évidemment avoir des façons de penser, de sentir et d'agir. Nous proposons dans ce travail une réflexion sur le fait que l'ouest de l'Algérie a connu une forte influence espagnole caractérisée par une importante contribution migratoire espagnole lors de la colonisation française. En tant qu'oranaise, les traces de la langue espagnole conservées dans la variété de notre dialecte arabe, m'intéressent beaucoup. Il est donc important de commencer la tâche de récupérer notre histoire et notre héritage linguistique, une tâche difficile mais nécessaire. Notre communication vise à présenter les éléments socio-historiques qui démontrent l'interaction dans la société algérienne. En cela coexistent la diversité culturelle et le dialogue interculturel, créant ainsi une coexistence basée sur l'acceptation de l'autre, en tant qu'entité différente, avec une identité différente. Cette acceptation de la différence et la coexistence naît de la conscience de la société et, par conséquent l'individu, à travers l'histoire de toute une société, une identité plurielle, ou plutôt une identité avec différents aspects et diverses facettes. Cette prise de conscience permet de donner plus d'importance à l'aspect de l'harmonie et de l'intégration de la culture sociale qu'aux différences. C'est dans cette perspective que la diversité et la multiplicité sont perçues davantage comme des facteurs de richesse et d'enrichissement que comme une division.
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Perko, Gregor. "Présentation." Linguistica 51, no. 1 (December 31, 2011): 3–4. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.51.1.3-4.

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Abstract:
Au cours des dernières décennies où l’on assiste à une refondation de la morphologie, la discipline s’intéresse de plus en plus à des phénomènes « périphériques », « marginaux », « irréguliers » ou « extragrammaticaux », à des phénomènes n’appartenant pas aux « régions nodales » de la morphologie. Le présent numéro de Linguistica, premier numéro thématique de notre revue, réunit des études qui s’intéres- sent aux frontières internes et externes de la morphologie. La diversité et la richesse des thèmes abordés et des approches proposées témoignent d’un intérêt croissant que les linguistes, non pas uniquement les morphologues, portent à cette thématique.Les articles proposés s’articulent autour de cinq axes majeurs.Un premier axe rassemble les articles qui étudient les frontières entre différentes composantes de la morphologie. L’étude de Michel Roché examine les contraintes lexicales et morphophonologiques sur le paradigme des dérivés en –aie. Les résultats de son analyse remettent en question la notion de « règle de construction des lexèmes ». Irena Stramljič Breznik et Ines Voršič se penchent sur les néologismes de sport en slovène et essaient d’évaluer la productivité ou la créativité des procédés morphologiques en jeu. Dans une étude d’inspiration cognitiviste, Alexandra Bagasheva aborde l’hétérogénéité des verbes composés en anglais. En s’appuyant sur les données fournies par les para- digmes verbaux du maltais, Maris Camilleri examine la complexité du phénomène de classes flexionnelles basées sur les radicaux. Trois travaux concernent des procédés typiquement « extragrammaticaux » servant à former le plus souvent des occasionnalismes: Arnaud Léturgie tente de dégager des propriétés prototypiques de l’amalgamation lexicale en français, notamment celles de la création des mots-valises; Silvia Cacchiani analyse, à l’intérieur du cadre de la morphologie naturelle, les mots-valises formés à partir de noms propres et de substantifs, phénomène relativement récent en ita- lien ; Thomas Schwaiger, se fondant sur les données tirées de la base « Graz Database on Reduplication », traite des constructions rédupliquées dans une perspective universelle. Deux articles adoptent une perspective contrastive: celui d’Eva Sicherl et Andreja Žele étudie la productivité des diminutifs nominaux en slovène et en anglais ; celui de Marie-Anne Berron et Marie Mouton propose une analyse détaillée de l’importance quantificative et qualificative des procédés de la morphologie marginale dans le slam en France et en Allemagne. Géraldine Walther présente un nouveau modèle général, inscrit dans une approche réalisationnelle, qui permet d’évaluer et de formaliser la (non-)canonicité de phénomènes flexionnels.Un deuxième axe se situe sur la frontière séparant la morphologie dérivationnelle de la morphologie flexionnelle. Tatjana Marvin se penche sur le problème de la préservation de l’accent dans les dérivés anglais, mettant en comparaison les approches de Chomsky et de Marantz avec celle de la théorie de l’Optimalité. L’article de Patrizia Cordin explore la façon dont les constructions locatives verbales dans les langues et les dialectes romans, notamment dans le dialecte trentin, ont perdu en partie leur sens spatial au profit d’un sens grammatical plus abstrait (aspect, résultat, intensité etc.). Se focalisant sur la langue indigène d’Australie kayerdild, Erich Round insiste sur l’utilité de la notion de « morphome » qui permet d’instaurer un niveau de représentation linguistique intermédiaire entre les niveaux lexical, morphosyntaxique et morphophonologique. La contribution de Varja Cvetko Orešnik, qui adopte le cadre théorique de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, apporte quelques données nouvelles sur la morphophonologie et la morphosyntaxe du verbe en ancien indien.Les deux articles suivants examinent des questions d’ordre morphologique aux- quelles se heurtent les langues entrant en contact : Georgia Zellou traite du cas du cir- confixe /ta...-t/ que l’arabe marocain a emprunté au berbère, tandis que Chikako Shigemori Bučar analyse le sort réservé aux emprunts japonais en slovène.L’axe diachronique est exploré principalement par les articles de Douglas Lightfoot, de Javier E. Díaz Vera et de Metka Furlan. D. Lightfoot examine la perti- nence de la notion d’affixoïde et evalue la « suffixoïdité » de l’élément germanique « -mann ». J. E. Díaz Vera décrit la lexicalisation, voire la grammaticalisation des verbes causatifs en ancien anglais. Metka Furlan se penche sur une relation « morpho- logique » archaïque rattachant le nom protoslave pol’e à l’adjectif hittite palhi-.Autour du dernier axe se réunissent les contributions qui examinent la frontière entre la morphologie et les disciplines linguistiques voisines, telles que la phonologie ou la syntaxe. Marc Plénat étudie en détail les contraintes morphologiques, syntaxiques et phonologiques pesant sur la liaison de l’adjectif au masculin singulier sur le nom en français. Janez Orešnik, fondateur de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, explore le comportement morphologique de l’impératif dans une perspective universelle. Mojca Schlamberger Brezar propose une étude contrastive, à partir des don- nées tirées de corpus monolingues et parallèles, de la grammaticalisation du gérondif et du participe en français et en slovène. L’article de Gašper Ilc applique la notionde« cycle de Jespersen » à la négation dans le slovène standard et dans les dialectes pannoniens. Mojca Smolej propose une étude fouillée de l’émergence des articles défini et indéfini dans le slovène parlé spontané.
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Kilani-schoch, Marianne. "Langue et culture." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.017.

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Abstract:
La vaste littérature (linguistique, psycholinguistique, ethnolinguistique, etc.) des XXe et XXIe siècles sur la relation entre langue et culture montre d'importantes variations dans la conception et l'approche de la problématique. Au cours des années 1930, la question du relativisme linguistique a été stimulée par l'hypothèse Sapir-Whorf (Carroll 1956) selon laquelle les structures et catégories linguistiques d'une langue influent sur la pensée et la culture de ses locuteurs, voire même les structurent ou les déterminent. Comme la conception structuraliste dominante de l'époque ne réservait guère de place aux pratiques culturelles, la réflexion autour du relativisme linguistique a d'abord impliqué principalement les systèmes: système linguistique, et plus précisément grammatical et sémantique, d'une part, et système cognitif comme ensemble de concepts ou représentations mentales, d'autre part (voir par exemple plus récemment Wierzbicka 1991 et la critique de Kristiansen et Geeraerts 2007 parmi d'autres, cf. aussi Jackendoff 2007), délaissant ainsi un aspect important de la perspective de Whorf sur la culture (Bickel 2000: 161-163). A partir des années 60, l'importance accordée à la recherche sur les universaux linguistiques et cognitifs a éloigné une bonne partie de la linguistique de toute préoccupation impliquant la diversité sociale et culturelle, et par là même, de l'hypothèse du relativisme linguistique. Par exemple, une étude célèbre de Berlin et Kay (1969) a argué que le lexique des couleurs dans les langues était déterminé par des contraintes universelles sur la perception visuelle. Cette étude a largement contribué à discréditer l'hypothèse Sapir-Whorf. Ces vingt-cinq dernières années cependant, les recherches linguistiques se sont réorientées dans le sens de l'empirie (cf. Sidnell et Enfield 2012) et la question whorfienne a été reprise. Toute une série de travaux linguistiques et psycholinguistiques ont développé des méthodes expérimentales pour évaluer les conséquences cognitives de la diversité linguistique. Par ex. Choi et Bowerman (1991) et Lucy (1992), pour ne citer qu'eux, ont mis en évidence de façon spectaculaire des différences de perception et de catégorisation d'actions et d'objets chez de très jeunes enfants et chez des adultes selon les langues. D'autres travaux, dont l'orientation est plus directement anthropologique, s'intéressent, au-delà des systèmes, aux affinités entre les usages langagiers et les formes culturelles des pratiques sociales (Bickel 2000: 161 ; Hanks 1990 ; Gumperz et Levinson 1996). Une partie importante d'entre eux ont porté sur les manières différentes dont les catégories grammaticales des langues encodent certains aspects des relations et contextes sociaux et culturels. Par exemple, dans de nombreuses langues du monde, la deixis spatiale correspond à la grammaticalisation de coordonnées géographiques, c'est-à-dire est définie par une orientation absolue (personnes et objets sont obligatoirement localisés aux points cardinaux ou en haut, en bas ou au-delà de la colline où les locuteurs vivent, Bickel 2000), et non par une orientation relative comme dans la plupart des langues indo-européennes (ex. Paris rive droite). Or, comme Bickel (2000: 178-9) l'a montré avec l'exemple du belhare (langue tibéto-birmane du Népal), cette grammaire de l'espace est associée à l'expérience directe de l'espace social dans les interactions. En s'attachant aussi à expliciter le rôle de la culture, plus précisément des pratiques culturelles (au sens d'habitus de Bourdieu) dans le relativisme linguistique, Bickel recentre la perspective: il montre qu'entre pratiques culturelles, pratiques linguistiques et cognition, l'influence est réciproque et non unidirectionnelle. Les opérations de schématisation auxquelles les pratiques sociales sont nécessairement sujettes influencent directement la cognition. En retour les principes universels de la cognition peuvent influer sur les formes linguistiques et culturelles. Sidnell et Enfield (2012) ouvrent un autre domaine d'application du relativisme linguistique avec les différentes ressources conversationnelles que les langues mettent à disposition des locuteurs pour effectuer un même type d'action sociale dans l'interaction, tel manifester son accord ou son désaccord avec l'interlocuteur. Ils montrent que les propriétés structurales (ordre des mots, particules, etc.) constitutives de ces ressources ont des implications différentes sur la suite de l'interaction elle-même, et, selon la langue, entraînent notamment la clôture de l'échange ou au contraire sa continuation par un développement thématique. De telles différences induites par la réalisation d'actions langagières identiques sont considérées comme des "effets collatéraux" inévitables de la diversité dans les possibilités structurales offertes aux locuteurs par chaque langue pour réaliser leurs rôles d'agents sociaux. Ces effets collatéraux de moyens linguistiques sur les actions sociales (mais néanmoins linguistiques, voir le commentaire de Duranti 2012 qui suit l'article cité) relèveraient aussi du relativisme linguistique Notons ici que le projet de l'ethnographie de la communication, dès 1960, avait déjà fait de la diversité culturelle dans les formes de communication et la manière dont ces formes de communication interfèrent avec les systèmes et pratiques culturels son objet d'étude (Gumperz et Hymes 1964). La contribution pionnière de Gumperz (1989) dans l'intégration de la culture à l'analyse de l'interprétation en conversation, consiste notamment à avoir mis en évidence les conventions culturelles des indices linguistiques à l'aide desquels les locuteurs signalent au cours de l'interaction le type d'activité sociale dans lequel ils sont engagés, ainsi que l'interprétation à donner à leurs énoncés. Par exemple, les indices prosodiques (direction de la courbe intonative, accentuation) pour marquer la fin ou la continuation d'un tour de parole, une requête polie, etc. varient selon les langues. Le dernier aspect à évoquer dans la reprise de l'hypothèse Sapir-Whorf est la complexification et différenciation de la notion même de pensée, selon que le locuteur est engagé ou non dans des activités langagières. Slobin (2003) distingue le processus "en ligne" consistant à "penser pour parler" (thinking for speaking). Ce mode de pensée ou activité du locuteur sélectionnant les caractéristiques des objets et événements codables dans sa langue, manifeste comment les exigences des langues conduisent les locuteurs à prêter attention à des aspects différents et particuliers de la réalité. La schématisation qui préside aux énoncés est ainsi spécifiée par chaque langue et guidée par elle. Slobin illustre le concept de "penser pour parler" avec l'expression linguistique du mouvement qui en anglais, par exemple, encode la notion de mode de déplacement dans le verbe principal (the dog ran into the house), à la différence du français qui n'encode cette notion que secondairement ou accessoirement (le chien est entré dans la maison [en courant]) et lui préfère celle de direction du déplacement. En résumé, la diversité culturelle et sociale, préoccupation principale de l'anthropologie, a retrouvé une place de choix dans la réflexion linguistique contemporaine et l'hypothèse du relativisme linguistique connaît un renouveau. Mais cette diversité n'est pas pensée comme sans contraintes, la nature précise des éléments universaux ou communs restant cependant à établir (voir par ex. Malt et Majid 2013).
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Schmidt, Bebnd. "Sprachkontakt Malagasy - Französisch: Veränderungen im Kontinuum Französisch – madagassische Literatursprache – Umgangssprache." STUF - Language Typology and Universals 42, no. 6 (January 1, 1989). http://dx.doi.org/10.1515/stuf-1989-0620.

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RésuméL’article se propose de montrer un aspect du contact entre la langue malgache et française: des changements dans le continuum français - malgache standard - malgache parlé du à ce contact. Il traite le sujet d’une variante du malgache parlé comportant différentes sortes d’emprunts au français qui est désignée comme vary amin'anana ou fralgache, mais qui devrait être désignée - en tenant compte de sa structure - plus correctement comme malançais. Par l’intermédiaire do la pratique linguistique des forces sociales dirigeant le pays, cette variante a influencé le code écrit, c.-à-d. le malgache standard.
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Lobry, Claude. "La méthode des élucidations successives." Revue Africaine de la Recherche en Informatique et Mathématiques Appliquées Volume 9, 2007 Conference in... (September 30, 2008). http://dx.doi.org/10.46298/arima.1897.

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Abstract:
International audience In the process of elaboration of a model one emphasize on the necessity of confronting the model with the reality which it is supposed to represent. There is another aspect of the modelling process, to my opinion also essential, about which one usually do not speak. It consists in a logico-linguistic work where formal models are used to produce prediction which are not confronted with the reality but serve for falsifying assertions which nevertheless seemed to be derived from the not formalized model. More exactly a first informal model is described in the natural language and, considered in the natural language, seems to say some thing but in a more or less clear way. Then we translate the informal model into a formal model (mathematical model or computer model) where what was argumentation becomes demonstration.The formal model so serves for raising ambiguities of the natural language. But conversely a too much formalized text quickly loses any sense for a human brain what makes necessary the return for a less formal language. It is these successive "translations" between more or less formal languages that I try to analyze on two examples, the first one in population dynamics, the second in mathematics. Dans le processus d’élaboration d’un modèle on insiste beaucoup sur la nécessité de confronter le modèle à la réalité qu’il est sensé représenter. Il est un autre aspect de la modélisation, à mon avis tout aussi essentiel, dont on ne parle pas. Il s’agit d’un travail logico-linguistique où des modèles formels sont utilisés pour produire des prédiction qui ne sont pas confrontées à la réalité mais servent à falsifier des affirmations qui semblaient pourtant se déduire du modèle. Plus précisément un premier modèle informel est décrit dans la langue naturelle et, toujours dans la langue naturelle, semble dire quelques chose mais de façon plus ou moins claire. Alors on traduit le modèle informel en un modèle formel (mathématique ou informatique) où ce qui était argumentation devient démonstration. Le modèle formel sert ainsi à lever des ambiguïtés de la langue naturelle. Mais inversement un texte trop formalisé perd rapidement tout sens pour un cerveau humain ce qui rend nécessaire le retour à une langue moins formelle. Ce sont ces “traductions" successives entre langues plus ou moins formelles que je cherche à analyser sur deux exemples, le premier en dynamique des populations, le second en mathématiques.
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TOKALAK BALTACI, Filiz. "Image, support à multiples fonctions, éléments de communication dans les albums de littérature jeunesse: exemples du Lycée Tevfik Fikret en Turquie." RumeliDE Dil ve Edebiyat Araştırmaları Dergisi, April 21, 2023. http://dx.doi.org/10.29000/rumelide.1285884.

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Au-delà de la pluridisciplinarité, notre travail représente un aspect interdisiplinaire. En effet, il est passionnant en ce sens qu’il nous donne l’occasion de réinvestir dans d’autres classes de l’apprentissage du français et du français langue étrangère. Dans notre recherche, grâce au sujet de travail, on s’ouvre dans plusieurs domaines à la fois comme la didactique des langues, la littérature jeunesse, la linguistique et la sémiologie. Dans ce travail, nous nous concentrons d’abord sur “l’image”, notre point de départ. Nous enchaînons ensuite avec la relation texte-image, l’album de littérature jeunesse et ses bientfaits, la sémiologie et la place de l’image, l’interprétation des images chez l’enfant. Finalement, nous analysons des documents de différents types d’albums travaillés en classe dans l’apprentissage de la langue française basé sur les images et les symboles réalisés dans le lycée Tevfik Fikret en Turquie. Notre but est de démontrer l’importance, la force et l’impact de l’image, un sujet analysé depuis l’Antiquité, utilisée comme support à multifonction dans l’enseignement prodigué aux jeunes enfants, de faire découvrir la fonction de l’image dans des livres et des albums. On souligne le fait que l’album est un support à multifonction, de littérature jeunesse et d’enseignement des langues qui rejoint aussi le monde de la traduction et de l’interprétation. En partant de l’image, on relie les notions comme le symbole, le code, l’interprétation des codes, des symboles et des images. Notre travail invite les enseignants, lecteurs cibles de cette étude, à se servir de beaucoup plus d’images et d’ albums de toutes sortes dans le cadre de l’enseignement des langues et dans les classes du département de traduction et d’interprétation à l’université.
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