Academic literature on the topic 'Contrôle de l’espace urbain'

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Journal articles on the topic "Contrôle de l’espace urbain":

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Paillard, Joffrey. "Le design urbain : un dispositif disciplinaire et sécuritaire « interstitiel » ?" Sciences du Design 17, no. 1 (July 18, 2023): 38–62. http://dx.doi.org/10.3917/sdd.017.0038.

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Abstract:
Si l’interstice urbain est souvent considéré comme un espace des « possibles », voire « politique » et de « résistance », nous aimerions soumettre l’idée qu’il peut également se moduler en un « micro-espace de pouvoir ». Pour cet article, nous avons souhaité renverser cette dialectique pour questionner et commencer une critique spatiale et urbaine de la ville comme milieu de vie normé, normalisé et normalisant. L’interstice sera à comprendre comme une intervention discrète de design urbain sur le territoire habité permettant potentiellement un contrôle, une régulation, une disciplinarisation des comportements et des conduites au sein de l’espace public.
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Litscher, Monika, Giada De Coulon, and Annamaria Colombo. "Espace public, cohabitation et marginalités: Quelles nouvelles réalités et quels enjeux pour les villes contemporaines ?" TSANTSA – Journal of the Swiss Anthropological Association 21 (May 1, 2016): 4–25. http://dx.doi.org/10.36950/tsantsa.2016.21.7374.

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Abstract:
Vidéosurveillance, couvre-feu, aménagement de mobilier urbain encourageant la mobilité, revitalisation des quartiers du centre-ville, présence policière accrue, lois anti-mendicité, mesures d’éloignement... Dans la plupart des villes du monde on observe une augmentation de la régulation et du contrôle des espaces publics ou « semi-publics ». De tels développements suscitent une série de questions : Par qui et comment est négocié l’accès aux espaces publics? Qui est habilité à s’immiscer dans la production de l’espace urbain et qui le fait réellement ? Qui circule dans ces espaces de pouvoir et sous quelles conditions ? Qui en sont les personnes inclues et les exclues, de quelle façon le sont-elles et dans quelle mesure ? Et quelles sont les conséquences de ces processus sur nos sociétés urbaines, pour les groupes et individus qui les constituent ? Comment une vie urbaine démocratique et un usage collectif et égalitaire des espaces publics sont-ils possibles ?
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Parazelli, Michel. "L’espace dans la formation d’un potentiel de socialisation chez les jeunes de la rue : assises théoriques." Cahiers de géographie du Québec 39, no. 107 (April 12, 2005): 287–308. http://dx.doi.org/10.7202/022500ar.

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Abstract:
Les jeunes de la rue montréalais connaissent non seulement d'importantes difficultés à s'identifier au monde adulte, mais aussi à occuper l'espace urbain sans pouvoir s'y établir. En rupture avec les formes traditionnelles d'insertion sociale, ces jeunes institueraient de façon précaire un certain usage de la marge sociospatiale urbaine dans la perspective d'une recomposition identitaire. Cette marge sociospatiale est présentée comme une organisation géographique structurant de façon topologique les pratiques d'appropriation spatiale et d'identification sociale. L'auteur nous invite ainsi à comprendre théoriquement le lien qui unit le processus identitaire à une représentation hétérogène de l'espace. C'est à partir des concepts-clés d'espace transitionnel (psychanalyse winnicottienne) et de trajectoire géographique (géographie structurale) qu'il serait possible d'identifier un parcours géosocial des jeunes de la rue s'initiant par la fugue. Afin d'évaluer le potentiel de socialisation marginalisée des jeunes de la rue, ce parcours est mis en relation avec certains déterminants de la gestion des usages urbains tels que la programmation, l'accessibilité, le contrôle et la surveillance.
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Vidoni, Nicolas. "La peste et le gouvernement municipal : Montpellier en 1720-1723." Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale 128, no. 295 (2016): 393–413. http://dx.doi.org/10.3406/anami.2016.8837.

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Abstract:
Les gouvernements des villes de l’époque moderne furent confrontés à des catastrophes impliquant, parfois, des redéfinitions des cadres administratifs et des pratiques de régulation des désordres, qui marquèrent profondément le fonctionnement des cités. Le cas de Montpellier en 1720-1723, sous la menace de la peste de Provence, révèle que les autorités de la ville, au sein du Bureau de santé, recoururent aux savoirs des médecins et des chirurgiens pour asseoir et rationaliser leur action (encadrement de l’espace, des activités et des mouvements de personnes). Des innovations furent introduites par le Bureau de santé, qui regroupait une partie des élites de la ville. Mais elles furent menées en accord et de manière coordonnée avec le Bureau de police et ne supplantèrent pas les formes de contrôle pratiquées par cette institution. Au contraire, elles permirent de les réformer dans le sens d’une plus grande attention portée à l’espace urbain et à ses usages, et de créer de nouveaux types d’agents policiers. On peut donc, à partir des pratiques policières en temps de risque de peste, connaître un nouveau pan du gouvernement urbain et saisir ses évolutions dans les années qui suivirent la période de danger, pour déceler ainsi les prémices d’une «police médicale» .
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Chapuis-Després, Stéphanie. "Sorties sous contrôle : les femmes bourgeoises dans l’espace urbain du Saint-Empire romain germanique (xvie-xviie." Clio, no. 47 (July 11, 2018): 199–228. http://dx.doi.org/10.4000/clio.14344.

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Collin, Jean-Pierre. "La Cité sur mesure : Spécialisation sociale de l’espace et autonomie municipale dans la banlieue montréalaise, 1875-1920." Articles 13, no. 1 (August 26, 2013): 19–34. http://dx.doi.org/10.7202/1018144ar.

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Abstract:
Partant de l’hypothèse que la municipalité, en tant que produit social tributaire de la spécialisation de l’espace urbain, constitue un centre de pouvoir autonome capable de générer des projets municipaux différenciés, cet article livre les résultats d’une analyse comparative de la réglementation de quatre banlieues montréalaises au cours de la période 1875-1920. Il s’en dégage, en particulier, deux types de politiques locales associés aux enjeux politiques spécifiques à deux types de municipalités : les faubourgs industriels de Maisonneuve et de Saint-Henri, et les banlieues bourgeoises d’Outremont et de Westmount. L’expression de cette autonomie municipale s’articule autour de cinq thèmes privilègiés de législation : (1) l’aménagement du territoire et l’urbanisme; (2) l’exercice du pouvoir de police et la volonté d’assurer la moralité publique; (3) la protection de la qualité de la vie; (4) la stratégie d’accueil aux activités urbaines non résidentielles; (5) les modalités de contrôle du processus démocratique.
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Chambon, Jean-Baptiste. "Des bureaucraties transformées par les données ?" Gouvernement et action publique VOL. 12, no. 4 (January 25, 2024): 9–30. http://dx.doi.org/10.3917/gap.234.0009.

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Abstract:
Dispositif numérique permettant aux Parisiens de signaler aux services de maintenance la présence d’anomalies dans l’espace public, DansMaRue a connu durant de la décennie 2010 une ascension inédite dans le paysage de ces technologies de crowdsourcing urbain. Introduit comme un à-côté des politiques d’entretien, ce système de signalement, par le biais des masses de données qu’il génère, est devenu une architecture informatique centrale pour les activités de maintenance et se voit dans la période récente investi de différentes ambitions réformatrices. Trois facettes de l’édifice administratif parisien sont notamment visées par des logiques de rationalisation : la place octroyée aux « usagers de l’espace public » dans les activités d’entretien, le contrôle politique exercé par les élus parisiens sur les administrations de maintenance, les principes et modalités de production de l’efficacité des tournées de maintenance. Cet article propose une lecture des processus par lesquels s’est opérée cette solide inscription dans l’écosystème administratif de la maintenance urbaine, et analyse les effets sur les bureaucraties municipales que cet ancrage a occasionnés. De manière transversale, l’article met alors au jour une tendance de fond allant dans le sens de la neutralisation des aspirations réformatrices, au profit d’un renforcement ou d’une poursuite par d’autres moyens des formes bureaucratiques existantes. Pour en faire sens, il insiste sur le rôle joué par la dimension discrète et en douceur de l’approche adoptée par l’équipe en charge du système de signalement.
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Margier, Antonin. "L’espace public en partage. Expériences conflictuelles de l’espace et marginalisation." Cahiers de géographie du Québec 57, no. 161 (May 5, 2014): 175–92. http://dx.doi.org/10.7202/1024899ar.

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Abstract:
Résumé L’exclusion dans les espaces publics est souvent interprétée comme le résultat de politiques urbaines revanchistes visant à attirer touristes et classes supérieures aux dépens des personnes marginalisées. Autour de l’analyse d’usages conflictuels de l’espace public dans un quartier montréalais, cet article explore l’hypothèse selon laquelle l’exclusion prendrait aujourd’hui de nouvelles formes. Dans cette perspective, nous nous intéressons aux conditions de l’investissement des positions sociospatiales et aux diverses expériences de l’espace, afin de saisir les mécanismes de l’exclusion dans les espaces publics. Nous montrons alors comment les stratégies d’appropriation des espaces publics par les riverains, et leur utilisation comme une extension du « chez-soi » participent d’une transformation des valeurs spatiales et de l’émergence d’une « dispersion douce » à l’encontre des personnes marginalisées. Cet article vise ainsi à montrer comment de nouvelles formes de pouvoir, moins visibles que le revanchisme ou la tolérance-zéro, se font jour dans la production des espaces publics, notamment à travers le contrôle des références topologiques.
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Medjadj, Tarek, and Guy Baudelle. "L’espace public à Algér : le désintérêt privé (beylick) comme produit du contrôle public." Historia Urbana 31 (March 15, 2024): 205–17. http://dx.doi.org/10.59277/hu.31.10.

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Abstract:
Public spaces in Algeria are characterized by the strong lack of interest among people who rely entirely on public authority. Not any tendency here to make of it a common good. The purpose of the paper is to exhibit the extent of popular indifference from in situ observations in Algiers and to explain this attitude through historical analysis. Indeed, the collective imaginary and practices have not always been insensitive to public spaces. On the contrary, in traditional rural society, public spaces were perceived as a continuity of domestic space. The peasant was obliged to take charge of its maintenance as well as for his home, his intimate space. To understand the later behavioural evolution, we must refer to the Ottoman and colonial domination processes. Each period had its own way of considering public spaces, but the urban management systems have always been based on a discrimination policy against natives and a strict control of the public spaces to the point of making them appear as the State property in the collective mentality. This perception of a grabbing of public spaces by the Turkish governor (Beylik) and later by the French colonial administration (for security reasons) has led amongst city dwellers to a feeling of exclusion and a disaffection that still characterize their attitude today.
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Poitras, Claire. "Tertiarisation et transformation de l’espace urbain : la rue McGill à Montréal (1842–1934)." Articles 31, no. 2 (May 24, 2013): 3–17. http://dx.doi.org/10.7202/1015754ar.

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Abstract:
Cet article prend comme terrain d’étude un espace montréalais (la rue McGill) afin d’analyser le processus de tertiarisation entre les années 1842 et 1934. D’une manière spécifique, nous traitons des dimensions urbanistiques et architecturales reliées à ces changements. Condensé de l’histoire du tertiaire urbain à Montréal, l’aménagement de la rue McGill met en lumière des tendances de développement qui prévalent dans la métropole moderne. Jusqu’en 1900, l’économie tertiaire est contrôlée par des marchands de tailles variées et dont les activités s’inscrivent dans un marché local et régional. Après 1900, les activités commerciales reculent pour faire place aux activités manufacturières et aux bureaux dans le secteur des transports et des communications. La place du tertiaire de direction marque alors le nouveau rôle assumé par la rue McGill dans l’économie montréalaise.

Dissertations / Theses on the topic "Contrôle de l’espace urbain":

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Baudry, Pagnac Héloïse. "L’intégration de la prévention de la malveillance aux démarches de qualité environnementale de l’espace public." Thesis, Bordeaux 1, 2013. http://www.theses.fr/2013BOR14868.

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Abstract:
La prévention de la malveillance par l’urbanisme et la construction permet de prendre en compte plus spécifiquement le sentiment d’insécurité et participe ainsi du confort des usagers de l’espace public. Au-delà, c’est la qualité de l’espace public et sa durabilité qui sont ainsi prises en compte. Aujourd’hui, avec le développement des éco-quartiers et la mise en place de différences démarches de qualité environnementale, il apparaît particulièrement nécessaire de prendre en compte la malveillance à travers ces démarches afin d’optimiser la qualité des espaces publics. Ainsi le sujet de la thèse est-il d’intégrer la prévention de la malveillance aux démarches de qualité environnementale de l’espace public. La prévention de la malveillance et l’aménagement durable ont des origines différentes : l’une est issue de la prévention de l’insécurité et l’autre du développement durable. Cependant, ces derniers ont un terrain d’actions commun : la ville. Nous avons développé une méthodologie qui articule la prévention de la malveillance et l’aménagement durable dans le cadre d’un projet urbain, en nous appuyant sur différentes démarches et approches environnementales, ainsi que sur des Études de Sûreté et de Sécurité Publiques (ESSP)
Crime prevention through urban design and planning includes specifically the feeling of safety and contributes to the users’ comfort in public spaces. Beyond, the quality of life in public spaces and sustainability are taken into account in crime prevention. Today, in a perspective of sustainability and green approach, this research shows that it is necessary to considerer crime prevention combined with a sustainable approach for public spaces. Crime prevention and sustainable design have different origins : one is based on criminology applied to urban design and the other is based on sustainability. However, they both work on the same case study : the city. We have developed a specific methodology which gathers crime prevention and a sustainable approach for urban design. This methodology therefore mixes different green approaches with the French law on crime prevention to analyse and improve the interventions in the urban areas
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Ebilitigué, Ines. "Réseaux virtuels et commerces ethniques : une dynamique entre l’espace des flux et l’espace urbain." Thesis, Paris 10, 2014. http://www.theses.fr/2014PA100152/document.

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Abstract:
Cette recherche traite du devenir de l’espace urbain et de ses logiques traditionnelles, dans un contexte marqué par les technologies de l’information et de la communication (TIC). Ce sujet est abordé par le prisme des commerces ethniques situés dans trois localités, parisiennes et régionales. Le regard est focalisé sur ces lieux afin de comprendre les facteurs à l’origine de la présence, en leur sein, des TIC accessibles au public. Trois hypothèses sont proposées. Il s’agit d’abord d’expliquer ce phénomène par le message des scénographies commerciales, puis par le besoin qu’éprouvent les migrants de maintenir les liens avec leurs origines culturelles et leur famille, enfin par l’appartenance des commerçants à la communauté des migrants. La méthodologie privilégie les méthodes d’enquête qualitative relevant de l’anthropologie et de la microsociologie. L’analyse des données permet de valider les hypothèses. Elle offre également la possibilité de montrer que dans une société marquée par les technologies de l’information et de la communication l’espace ne disparait pas sous le coup de la domination d’un espace en réseaux. Au contraire, l’analyse permet de souligner d’une part que l’espace urbain, avec ses logiques traditionnelles, persistent tout en s’articulant à une logique en réseaux. D’autre part, elle fait émerger la production de diverses formes spatiales. La plus significative offre à la principale clientèle la possibilité quotidienne de conserver son ancrage aux lieux urbains, tout en étant mobile et virtuellement mobile, de sortir des termes de la fracture numérique. Cette clientèle s’en trouve intégrée à la société en réseaux, dépasse la situation de double présence au pays d’origine et à la famille s’y trouvant et connaît des situations de multiples présences. Enfin, la recherche a permis de montrer que les lieux urbains et particulièrement les commerces ethniques sont des espaces de socialisation des réseaux virtuels en les situant au même niveau que les offres et services marchands, et qu’ils sont des outils dont les migrants et leur famille située à l’étranger savent se saisir pour permettre une évolution de leurs situations quotidienne et projets
This research deals with the future of the urban space in a context marked by the Technologies of Information and Communication (ICT). This subject is approached by the prism of the ethnic businesses situated in three localities, Parisian and regional. The outlook is focused on these places to understand why ICT are included in those spaces open to the public.Three hypotheses are suggested. First, The ICT are included in the businesses thanks to the commercial message diffused through the setting up of goods. Then, the networking of businesses can be explained by the need which the migrants have to maintain the links with their cultural origins and their family, lastly through the membership of the storekeepers in the community of the migrants.The methodology favors the methods of qualitative investigation coming from the anthropology and the micro-sociology. The empirical data allows a validation of the hypotheses. The analysis of those data underline first that, in the network society, urban places don’t disappear. Among them, the ethnic shops are areas of socialization of the virtual networks by placing them at the same level as the offers of the goods and the trade services. Then, the space produced by those businesses offers to the main clientele the possibility of preserving its anchoring in the urban places while being mobile and virtually mobile. By this last idea, this research shows that the ethnic business and ICT are articulated tools which the migrants and their family situated abroad know how to seize to allow an evolution of their daily situations and projects. This analysis gives possibility to considered migrants out terms of the digital divide, and as integrated into the networks society. This new figure of migrant has overtaken the situation of double presence in their origin country and to their family living there, to actually know situations of multiple presences in this country and to their relatives
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Redondo, Belinda. "Le partenariat art public/tramway : appréhender l’espace urbain autrement." Thesis, Paris Est, 2013. http://www.theses.fr/2013PEST1156.

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Abstract:
La mise en place d'une commande publique artistique aux abords des lignes de tramway n'a de cesse de faire florès dans l'Hexagone. Présente au cœur des principales agglomérations françaises, nul ne peut rester indifférent face à l'ampleur d'une telle démarche, qui de surcroît soulève bien des questionnements, en premier lieu sur sa propre pertinence urbanistique. En effet, si de cette initiative naît un partenariat original entre un mode de transport urbain faisant peau neuve et un art public se voulant plus que jamais proche des citadins, il est judicieux face à ses résultats contrastés sur le terrain, de se pencher sur son devenir, à la lumière notamment d'une étude urbanistique, sensorielle, sémiotique et philosophique. Ainsi, au détour d'une analyse pluridisciplinaire des projets partenariaux (Paris et Nice entre autres), plusieurs pistes réflexives entendent apporter des éléments de réponse sur cette réussite en demi-teinte. Mais également, proposer de nouvelles perspectives conceptuelles pour consolider et valoriser au mieux cette démarche partenariale, qui ouvre assurément une nouvelle façon de voir, de percevoir et d'appréhender la ville ainsi que les mutations qui l'animent. Elle entend par la même occasion redéfinir les fonctions primaires des deux éléments urbains qui la composent : l'art public et le tramway
The implementation of a public art commission around the tram lines blooms in France. Present into the main french agglomerations, nobody can remain indifferent in front of the scale of such an approach, which besides raises many questions, including that of its own urbanistic relevance. This initiative certainly gives birth to an original partnership between a facelifted urban transport mode and a public art, which seems to aspire to be closer than ever towards city dwellers. But in front of contrasted results, it would be wise to examinate the future of such a partnership, in the light of an urbanistic, sensory, semiotic and philosophic study. Through a pluridisciplinary analysis of partnership projects (Paris, Nice among others), several lines of approach attempt to bring elements of answer. At the same times, this study proposes a new conceptual perspective for emphasize this partnership, which delivers a new way of seeing and perceiving the city. It redefines the primary functions of the public art and the tram, both urban elements which compose it
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Chabi, Moïse. "Métropolisation et dynamiques périurbaines : cas de l’espace urbain de Cotonou." Thesis, Paris 10, 2013. http://www.theses.fr/2013PA100166/document.

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Abstract:
La métropolisation est l’un des processus à l’origine de la recomposition spatiale en Afrique de l’Ouest. Ce processus est sous-tendu par quatre piliers qui fondent un système métropolitain. On en vient à dégager une approche qui permet d’appréhender les différents mouvements entre le centre et sa périphérie. Insérer Cotonou dans le réseau des villes de référence est le souhait des acteurs politiques béninois. Mais la volonté de voir cette métropole jouer un rôle plus important dans la région ouest-africaine n’est pas toujours en adéquation avec la démarche de ses gestionnaires et le niveau d’organisation de cette communauté urbaine. D’abord, les difficultés de l’homme à vivre et à travailler dans un milieu peu accueillant à l’origine, mais contraint à supporter une charge humaine lourde rendent les rapports de l’homme à son environnement tendus. Le support physique n’étant pas maîtrisé et bien géré, il affecte négativement le processus de métropolisation. Ensuite, la politique menée par les acteurs locaux reste caractérisée par le laisser-faire et le manque de réflexion stratégique sur l’avenir et le rôle des pôles de l’espace métropolitain. L’analyse de l’évolution de cette politique urbaine montre trois phases ; mais la perception des acteurs politiques sur la ville est restée constante depuis l’indépendance. Sur l’angle économique, la métropole béninoise est dominée par l’informel qui met en difficulté tout ce qui est officiel et détermine la morphologie de l’espace métropolitain. Bien que les mutations architecturales et fonctionnelles soient évidentes, on se demande si ce type d’économie constitue un pilier efficace. Par contre, celui portant sur les valeurs sociales, notamment l’affection, n’est pas négligeable dans la construction de la société urbaine. Elles influencent les décisions des acteurs, les incitent à la fois à agir en faveur de la métropole ou à l’abandonner. Produite par diverses situations dont les effets d’un environnement malsain, l’analyse de l’affection à Cotonou et sa périphérie montre qu’elle est un élément important du pivot de la métropole, favorisant la périurbanisation.Les rapports de forces entre ces différents piliers ont des effets spatiaux. Responsables de l’état actuel de la métropole béninoise, ils détermineront ses configurations spatiales. Par ailleurs, Cotonou semble être dans une phase de « métropolisation incomplète » ou passive, les acteurs locaux auront-ils ou se donneront-ils les moyens de relever les défis pour une métropolisation complète et active ?
Metropolisation is one of the processes responsible for the spatial reconstruction in West Africa. This process is underpinned by for pillars that the found a metropolitan system. We come to identify an approach that allows as to understand the different movements between the center and the periphery.Insert Cotonou in the network of the famous cities is the wish of the Benin political actors. But the desire to city play an more important role in the West Africa region is not always in line with approach of managers and the level of the organization of the urban community. First the difficulties of man live and in an environment inhospitable at the beginning, but forced to bear a heavy load make man’s relation with his environment at the tense. As the environment is not controlled and well managed, is negatively affects the process of metropolisation. Second, the policy of local actors is characterized by carelessness and the lack of strategically thinking about the the future and the role of the pole of the metropolitan area. The analysis of the evolution of the urban policy shows there phases, but the perception of political actors on the city has remained constant since independence. On the economic angle, Benin city is dominated by the informal, which causes problems to everything which is official and determines the morphology of the metropolitan area. Although the architectural and functional changes are obvious, you wonder if this type of economy is an affective pillar. On the contrary, the on which is on social values, such as affection, is not negligible in the reconstruction of urban society. They influence the decision of actors, encouraging either to act in favour of the one country or to abandon it. Production by a variety of situations including the affects of an unhealthy environment, the analysis of the affection for Cotonou and is periphery shows that it is an important element of the city’s axis which promotes suburbanization. The balances of power between these have spatial effects. Responsible for the current state of the Benin metropolis, they determine its spatial configurations. Moreover, Cotonou seems to be in a phase of passive or ‘’incomplete metropolisation”, will the actors have or will they provide the means to meet the challenges for a full or active metropolisation ?
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Lisi, Cosimo. "Paris et l'origine coloniale de la ville contemporaine : accumulation primitive, production de l'espace, pratiques artistiques, production de subjectivité (XIXe et Xxe siècles)." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2022. http://www.theses.fr/2022PA080012.

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Abstract:
ABSTRACT: Cette recherche vise à interroger les formes à travers lesquelles l’articu- lation entre production artistique-culturelle et production capitaliste de l’espace urbain, s’est réalisée dans le contexte parisien, marqué par des pratiques d’intervention néocoloniale, en prenant en considération un temps long (xixe et xxe siècles).En retraçant les moments de rupture et de rencontre avec les processus d’accumulation et en suivant les territoires existentiels traversés, nous es- sayons de tracer le chemin qui a conduit certains mouvements artistiques à renverser le paradigme de l’art institutionnel et à construire un agence- ment entre production esthétique et production sociale. La restructura- tion capitaliste néolibérale des années 1980-1990 a investi cet agencement après la destruction des mouvements révolutionnaires des années 1960- 1970. Le dépassement de l’art, envisagé par les mouvements artistiques radicaux, s’est transformé en une nouvelle séparation à travers la rupture avec les classes jugées dangereuses, cible des stratégies de gouvernement, en se traduisant, dans les années 2000, dans un dépassement phantasma- gorique, dans la soi-disant ville créative. À la base des processus de ségré- gation / identification se trouve le dispositif cartographique qui structure les stratégies coloniales et néocoloniales d’organisation de l’espace urbain. L’accumulation primitive continue est une des clefs de lecture des proces- sus prises en considération
In this research, I genealogically trace the progressive emergence of an articulation between artistical-cultural production and capitalist pro- duction in the urban shaping of Paris. I retain a long time (19th and 20th centuries) . At first, I consider how the early 2000s smart city model ab- sorbed and domesticated the radical claim by 1960s aesthetic movements to overcome art as a contemplative relationship. Whereas those move- ments posited the intimate connection between aesthetic and social pro- duction, the city following the capitalist restructuration present itself as a« fantasmagoric » unity. I then retrieve the deep conflicts structuring such apparent unity showing how contemporary urbanscape directly reorgan- ized colonial technologies, such as cartography and identification. The colonial matrix of urban governance highlights that segregating policies are at the heart of the aesthetic model of structuring both social partici- pation and neo-colonial exclusion within the contemporary urban space. Continuous primitive accumulation is a reading key of the process taken into consideration
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Buchakjian, Gregory. "Habitats abandonnés de Beyrouth. Guerres et mutations de l’espace urbain : 1860-2015." Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040080.

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Abstract:
Dans un Beyrouth en pleine mutation, les habitats délaissés sont des lieux en suspens, condamnés à terme par la spéculation foncière. Notre recherche se propose d’examiner les transformations subies par ces architectures hors d’usage. Basé sur le terrain (près de 750 édifices répertoriés), les archives, témoignages et histoires orales, le travail réévalue également les pratiques artistiques et les regards qu’elles ont posé sur la ville. Cette imprégnation est d’autant plus importante que son déclencheur est un projet photographique entamé par l’auteur sur ce sujet. Trois chapitres sont consacrés aux interventions guerrières. Le premier, la bataille des hôtels aborde un espace disputé, le second explore la ligne de démarcation et le troisième s’intéresse aux baraquements, prisons et lieux de torture. Le quatrième chapitre réunit habitats informels, squats et autres réappropriations. Ces fonctionnalités qui s’enchevêtrent découlent de flux migratoires consécutifs à des violences. La guerre, plutôt les guerres, restent en toile de fond
In a rapidly changing Beirut, neglected dwellings are places in abeyance, condemned to disappear as a result of land speculation. Our research aims at examining the transformations that these obsolete architectures undergo. The study, carried on site (nearly 750 buildings have been identified), based on archives, testimonies and oral history, also re-examines artistic endeavours and the way artists have viewed the city, which is particularly important considering that its trigger has been a photographic project undertaken by the author. Three chapters are devoted to belligerent activities. The first, on the “Battle of the hotels”, addresses contested space; the second explores the demarcation line and the third examines the military barracks, prisons, and torture centres. The fourth covers informal dwellings, squatted buildings and other reappropriations. It observes the background of entangled features stemming from migration flows that were triggered by the violence of war, or rather wars
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Hillaire, Norbert. "Les machines de pensée : dans l’espace littéraire, artistique et urbain : travaux 1985-1995." Paris 8, 1995. http://www.theses.fr/1995PA084173.

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Gayon, Ngomané Clémentine. "Le contrôle juridique de l'aménagement urbain au Cameroun." Nantes, 1999. http://www.theses.fr/1999NANT4024.

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Leloutre, Gery. "La transformation moderne de Bruxelles: Processus d’agencement de l’espace urbain bruxellois entre 1949 et 1979." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2020. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/311995.

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Abstract:
La thèse s’emploie à retracer le système complexe de cristallisation des idées autour desquelles se sont montées les opérations urbanistiques et architecturales qui transformèrent le paysage Bruxellois dans l’après-guerre, une transformation qui s’est faite en absence de système formel de planification. Cette absence, combinée à la mise en œuvre d’importants travaux d’infrastructures ferroviaire et routière dans un contexte de boom immobilier, a forgé une perception générale de cette période comme erratique, destructrice et prédatrice.La recherche s’inscrit dans une volonté générale de reconsidération des effets de la transformation Moderne de Bruxelles dans ce qu’ils représentent dans la structure actuelle de l’agglomération (héritage « tangible ») et dans ce qu’ils révèlent des pratiques de conception et de construction de la ville (héritage disciplinaire), se fondant sur un travail de description des formes urbains héritées et de ses conditions d’émergence.Décrire la transformation nécessite avant tout —c’est la première partie de la thèse— de disséquer —pour s’en écarter— le discours sous-jacent à la l’historiographie bruxelloise, dominée par le concept de « bruxellisation », soit le saccage patrimonial et social d’une ville, dans une collusion entre mondes politique et immobilier, en absence de toute publicité ou concertation. A Bruxelles, le rejet de cette période s’allie à une nostalgie de l’art urbain des tracés, dans un ostracisme caractérisé de l’urbanisme Moderne. Dans ce contexte, la recherche propose d’adopter le regard porté par des chercheurs qui depuis une vingtaine d’année, aborde la forme urbaine non plus via l’histoire de la ville mais celle de l’urbanisation.L’hypothèse de recherche est que la transformation moderne de Bruxelles s’opère d’une manière opportuniste, certes, mais bien plus stratégique que ce qui a été considéré jusqu’ici, où acteurs du développement urbain et concepteurs partagent des idées communes quant au futur de la ville, se réunissent autour de questions urbaines bien définies, et construisent des alliances objectives pour réformer progressivement, mais en profondeur et dans son ensemble, le paysage de la capitale. Si la période de transformation Moderne est spécifique par l’ampleur de son impact sur la structure urbaine, dans le contexte modernisation générale du territoire belge et de la distribution spatiale de cet appareil productif, elle illustre par contre une continuité en matière de pratiques d’aménagement, via des instruments de planification éprouvés, bien ancrés dans une culture spécifique belge de fabrication de la ville, qui amène à s’intéresser tout particulièrement au travail des administrateurs territoriaux, et des concepteurs qui les conseillent.La seconde partie de la thèse s’emploie dans ce cadre à démontrer les concordances de vue entre les différentes administrations compétentes pour le dessin du territoire bruxellois, en observant l’action des deux niveaux de pouvoir alors en présence. D’une part, les communes, qui travaillent, de manière singulière mais coordonnée, pour maîtriser la forme urbaine de l’agglomération en développement. D’autre part, l’Administration Nationale de l’Urbanisme, dont l’existence correspond à la période de la transformation Moderne qui développe une réflexion approfondie sur le positionnement et la gestion de la croissance des villes principales sur le territoire belge et se lance, dès sa création en 1945, dans une tentative de coordonner les mutations de Bruxelles. Cet exercice fait l’objet d’un chapitre particulier, consacré à l’expérience singulière, menée par l’Administration de l’Urbanisme et le bureau d’études du Groupe Alpha, de l’esquisse d’un plan à l’échelle de l’agglomération, resté officieux, mais qui se révèle finalement un miroir fidèle des politiques et opérations en cours.L’analyse du travail des administrations fait apparaître une forme de scénario zéro pour l’époque, soit un futur vraisemblable et potentiel du territoire bruxellois de l’après-guerre. La description de ce scénario zéro constitue la troisième et dernière partie de la thèse.Cette description est structurée à partir de la construction et l’analyse de deux figures spatiales qui correspondent autant à une lecture contemporaine de la ville qu’aux idées sous-jacentes aux exercices de planification de l’agglomération bruxelloise dans l’après-guerre. Ces figures rassemblent une constellation d’éléments hétéroclites, des opérations architecturales, infrastructurelles, des plans urbanistiques, des publications, des discours, éléments dont l’agencement révèlent leurs relations, les débats qu’ils génèrent et les idées qui les animent par rapport à la construction d’une métropole capitale moderne. Elles démontrent le consensus autour des modes de fabrication de la ville, les idées partagées relatives à une forme urbaine aérée, verte et fluide, la volonté commune d’adapter l’espace urbain à la mobilité et à l’économie de la Modernité, et à la fois le profond dissensus opérationnel entre ces mêmes acteurs, montrant ainsi toutes les limites d’un système de gestion du territoire dépourvu de coordination générale et de leviers publics de grande échelle, qui ne pourra que générer des réalisations certainement en partie aujourd’hui signifiantes, mais toujours très parcellaires.
Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture)
info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Brière-Haquet, Alice. "Il était une fois la ville : les réécritures des contes de Perrault dans l’espace urbain." Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040194.

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Abstract:
Il était une fois les réécritures de contes, une production particulièrement vivante dans le monde de l’édition aujourd’hui. L’actualisation y est fréquente : petits chaperons rouges et chats bottés se promènent aujourd’hui dans les rues de la ville où ils rencontrent des loups en voiture ou des ogres de l’industrie. La parodie a bien sûr une fonction ludique, mais pas seulement, car en croisant le conte et la ville, ce sont deux univers de références qui se font face et qui se jaugent : les schémas hérités des contes classiques sont revus et corrigés au nom de nouvelles valeurs tandis que le pays des merveilles interroge celui de la réalité, avec son béton, sa circulation et sa logique toute capitaliste, si bien que c’est la ville qui sort finalement révélée de ce passage en féérie. Mais le phénomène est surtout à replacer dans l’histoire du genre. Grâce aux récents travaux de chercheurs re-contextualisant l’émergence du conte de fées sur la scène européenne, l’on s’aperçoit qu’il ne s’agit pas d’une pratique propre à l’époque contemporaine, mais au contraire de ce qui pourrait bien apparaître comme un trait du genre. Perrault déjà, par la scénographie de la vieille conteuse, offrait à son public de citadins des récits pseudo-naïfs l’invitant à dépasser l’illusion d’une parole décrochée pour trouver la « Morale trés-sensée ». Ainsi, par leur caractère polyphonique, les contes entrent moins dans une logique de transmission que de dialogue entre les générations, et pourraient pour cela être considérés comme les mythes de la modernité
Once upon a time there were rewritten fairy tales, a very dynamic product in today’s publishing world. Updated fairy tales are the most common type: many Little Red Riding Hoods or Pusses in Boots are now walking through cities, meeting wolves who drive cars or ogres running industrial empires. Though parodies may be amusing, fun is not their only function. Intercrossing the urban imaginary with the fairy-tale means putting two referential universes face to face, each one gauging the other: traditional plots, inherited from classic tales, are twisted and corrected to fit new ideologies, and meanwhile the wonderland judges reality, with its concrete, its traffic, and its capitalist logic, so that in the end, it is the city which is reborn of the fairy tale experience. But the phenomenon should be replaced within the history of the genre. Thanks to recent academic studies, we can re-contextualize the emergence of the fairy tale in the European literary stage, and we have to note that updating fairy tales is not a contemporary practice, but could indeed be a generic characteristic. Perrault, already, by the scenography of the old maid telling tales to young kids, offered his urban public falsely naive stories, inviting them to look above the illusion of fiction, in order to find the “Morale trés-sensée”, the very wise moral. Therefore, because of their intrinsically polyphonic nature, fairy tales exist less within a logic of transmission than within a logic of conversation between generations, and for that they should be considered myths of modernity

Books on the topic "Contrôle de l’espace urbain":

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Parkinson, Jonathan. Integrated urban water management: Humid tropics. Boca Raton: CRC Press, 2010.

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D, Osofsky Joy, ed. Children in a violent society. New York: Guilford Press, 1997.

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Lorans, Elisabeth, and Xavier Rodier, eds. Archéologie de l’espace urbain. Presses universitaires François-Rabelais, 2013. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufr.7610.

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Cogato Lanza, Elena, Farzaneh Bahrami, Simon Berger, and Luca Pattaroni, eds. Post-Car World. MetisPresses, 2021. http://dx.doi.org/10.37866/0563-73-9.

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Abstract:
Et si le monde urbain était un monde sans voiture? Post-Car World tente de répondre à cette interrogation dans le contexte de la transition énergétique, à l’heure où la mobilité des biens, des personnes et du vivant constitue l’enjeu autour duquel reconfigurer les espaces urbains. La question s’impose avec une urgence particulière dans la ville-territoire: cette ville dispersée et à basse densité, encore largement dépendante de l’usage de la voiture et oubliée des politiques de mobilité alternatives. En considérant le cas de la métropole lémanique, les auteurs développent une lecture cartographique, photographique et statistique de son évolution durant le siècle de la voiture, pour ensuite la faire résonner avec une analyse des changements de comportement à l’oeuvre dans les villes européennes, afin de saisir les leviers permettant de renverser le paradigme fonctionnel qui a façonné les territoires à l’échelle globale. De même que la sédimentation des siècles qui ont précédé la voiture a servi de support à un habitat motorisé – la rupture technique n’ayant bouleversé ni les maillages viaires, ni le réseau de noyaux villageois – la métropole post-car se modèlera elle aussi, telle un palimpseste, sur les structures matérielles, les pratiques sociales et les imaginaires, en plein bouleversement, du présent. Croisant les regards de l’architecture, de la sociologie et de l’urbanisme, l’expérimentation méthodologique restituée dans cet ouvrage débouche sur quatre visions prospectives, articulées en autant de mises en fiction. Face à l’accélération des multiples transitions qui affectent les villes, les disciplines de l’espace et de la société ne peuvent que partager l’obligation de redéfinir les limites du pensable, en affûtant les techniques de vision et de production du futur. Préface de Jacques Lévy. Avec les contributions de Vincent Kaufmann, Emmanuel Ravalet et Alexandre Rigal.
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Body-Gendrot, Sophie. The Social Control of Cities? (Studies in Urban and Social Change). Blackwell Publishing Limited, 2000.

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Book chapters on the topic "Contrôle de l’espace urbain":

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Lamauvinière, Abel. "L’utilisation d’un livre juratoire et processionnel dans l’espace urbain Troyen au Moyen Âge central." In Culture et société médiévales, 159–76. Turnhout: Brepols Publishers, 2011. http://dx.doi.org/10.1484/m.csm-eb-1.100910.

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2

Xandry, Catherine. "Une ville « perméable » ? L’espace de transition urbain-rural autour d’une ville aux XIIIe et XIVe siècles." In Subaltern City?, 45–65. Turnhout, Belgium: Brepols Publishers, 2019. http://dx.doi.org/10.1484/m.seuh-eb.5.117451.

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3

Laumonier, Lucie. "Les manières de vivre à Montpellier (mi xiiie - fin xve siècle) : ménages et parenté dans l’espace urbain." In Studies in European Urban History (1100-1800), 137–51. Turnhout: Brepols Publishers, 2017. http://dx.doi.org/10.1484/m.seuh-eb.5.113307.

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4

Lorans, Élisabeth. "Les élites et l’espace urbain: approches archéologique et morphologique (France du Nord et Angleterre, du VIIe au Xe siècle)." In Haut Moyen Âge, 67–97. Turnhout: Brepols Publishers, 2007. http://dx.doi.org/10.1484/m.hama-eb.3.540.

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5

Vanz, Jennifer. "Chapitre III. Contrôler et investir l’espace urbain : des pouvoirs en concurrence." In L’invention d’une capitale : Tlemcen, 181–246. Éditions de la Sorbonne, 2020. http://dx.doi.org/10.4000/books.psorbonne.86977.

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Rüther, Stefanie. "Production, perception et contrôle de l’espace dans la « Première ligue des villes souabes » (1376-1390)." In Ligues urbaines et espace à la fin du Moyen Âge, 143–63. Presses universitaires de Strasbourg, 2012. http://dx.doi.org/10.4000/books.pus.8546.

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7

Riquois, Estelle. "L’espace urbain du polar français." In Le livre et ses espaces, 569–81. Presses universitaires de Paris Nanterre, 2007. http://dx.doi.org/10.4000/books.pupo.537.

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8

Baudry, Patrick. "L’espace public du corps urbain." In L’urbain et ses imaginaires, 49–63. Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine, 2003. http://dx.doi.org/10.4000/books.msha.9945.

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Postula, Jean-Louis. "La muséalisation de l’espace urbain." In Musées et muséologies : au-delà des frontières, 93–110. Les Presses de l’Université de Laval, 2015. http://dx.doi.org/10.1515/9782763719542-006.

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Lassi, Étienne-Marie. "Le Feyman : un symbole urbain de la mythologie postcoloniale." In Cohabiter l’espace postcolonial, 143–64. BRILL, 2023. http://dx.doi.org/10.1163/9789004543652_011.

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Conference papers on the topic "Contrôle de l’espace urbain":

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Florin, Anaïs. "Tomar partido: práctica artística y visibilización de conflictos, el caso del proyecto "Nos Jardins"." In IV Congreso Internacional Estética y Política: Poéticas del desacuerdo para una democracia plural. València: Editorial Universitat Politècnica de València, 2019. http://dx.doi.org/10.4995/cep4.2019.10431.

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Abstract:
El proyecto Nos jardins (Nuestro huertos) se desarrolló en 2019 dentro del marco del festival Bien Urbain, Art dans et avec l’espace public en Bensançon (Francia). El proyecto tenía como objetivo principal el de visibilizar la problemática existente en el territorios de Les Vaîtes y los relatos que le son propios en la esfera pública aprovechando el contexto del festival. Les Vaîtes es una zona limítrofe campo/ciudad en la que se encuentran unos huertos obreros históricos. Desde 2005, el ayuntamiento promueve un proyecto urbanístico para la creación de un "ecobarrio" que conllevó en su día a la expropiación de una gran cantidad de parcelas agrícolas que fueron recalificadas a posteriori como suelo urbanizable. El proyecto implicaba así la destrucción casi total de los huertos y de los espacios naturales mantenidos hasta la fecha por una comunidad de personas fuerte, espontánea y autoorganizada. En octubre de 2018 la municipalidad anunció el comienzo de las obras y una parte de las tierras en cultivo fueron arrasadas. La asociación Les jardins des Vaîtes ha conseguido por ahora frenar las obras hasta nuevo aviso Durante un mes estuve paseando, conversando, recolectando historias, anécdotas y sentires de las personas que cultivan las tierras de la zona. Hijas de campesinas, migrantes, ecologistas, activistas, vecinas, no tan vecinas, jóvenes y jubiladas cuidan de esas tierras y de sus habitantes. Nos jardins se materializó en dos intervenciones diferentes. La primera fue realizada en el centro de la ciudad y en la línea de tram que une el centro de la ciudad y el barrio de Les Vaîtes. Consistió en la realización de 24 carteles colocados en muppies y marquesinas de bus y de tram de JC Decaux, realizados a partir de fotografías tomadas durante los paseos llevados a cabo en Les Vaîtes. La segunda intervención tuvo lugar en Les Vaîtes, delante de la zona de huertos afectador por el proyecto urbanístico. Esta vez, la intervención consistía en el encolado de dos vallas publicitarias con algunos testimonios de personas que ocupaban los huertos con las que conversé durante mi estancia en Besançon. Las fotografías de la primera intervención hablaban de los espacios que podían desaparecer, esta segunda se centraba sobre los lazos existentes en el territorio.
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Pellicer Cardona, Isabel, and Jesús Rojas Arredondo. "Els espais de trànsit indicadors del metabolisme de la ciutat actual." In International Conference Virtual City and Territory. Barcelona: Centre de Política de Sòl i Valoracions, 2009. http://dx.doi.org/10.5821/ctv.7597.

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Abstract:
Els múltiples desplaçaments de persones, informació i mercaderies són els que defineixen l’època en la que ens trobem, una època altament tecnològica, dinàmica i, per alguns autors com Bauman (2007) o Sennet (2006) governada per una sensació d’incertesa vers el futur. Les possibilitats que el ràpid desenvolupament tecnològic posa en joc, implica noves lògiques, que difuminen les tradicionals fronteres d’espai i temps, convertint-ho tot en immediat, instantani i pròxim. És en aquesta situació on prenen força les inèrcies pròpies del predomini de fluxos i de la multiplicació de les interconnexions, que caracteritzen la societat de la informació i la comunicació (Castells, 1996, 1998). En consonància, les ciutats estan immerses en una intensa transformació per a adaptar-se als nous reptes i donar resposta a les noves ànsies i necessitats socials i econòmiques. La ciutat es redefineix per adequar-se i possibilitar els nous ritmes i estils de vida, doncs la societat és relaciona amb l’espai urbà d’una determinada manera, mentre que l’espai facilita un cert tipus de relació. Per nosaltres és en aquesta relació bidireccional on la ciutat pren forma i significació. Alguns autors com Shelly & Urry (2006) ens parlen del nou paradigma de la mobilitat segons el que les noves formes de vida serien regides per aquests constants trànsits de fluxos, tant de informacions o dades, com de persones o de mercaderies. Trobem en les ciutats múltiples espais que faciliten el trànsit de persones. Els espais de trànsit, han catalitzat les necessitats de mobilitat i han facilitat que és produeixin fets com la descentralització, la transformació del territori, la reducció de la percepció de les distàncies, etc. Els espais de trànsit, segons Vivas, Pellicer i López (2008), són emplaçaments urbans que faciliten els desplaçaments i la connexió entre diferents llocs, espais contemporanis que guarden coherència amb la mobilitat. Espais que han anat adquirint rellevància dins el context urbà i no només en són els vertebradors de les ciutats, sinó que també en són icones i indicadors de la seva potència. Alguns exemples d’aquests espais en són les andanes, els vestíbuls i els intercanviadors de trens i metros, aeroports, autopistes, àrees de serveis, algunes cadenes d’hotels i diversos vehicles com el tren, el metro, l’avió... Aquests espais s’han convertit en uns espais vitals en l’articulació de la xarxa urbana i social, uns espais en els que es posen de manifest característiques de la societat actual, com la mobilitat, l’homogeneïtzació, la vigilància, la globalització, l’anonimat... i que tenen conseqüències importants en l’organització i planificació de la ciutat. El nostre treball gira entorn d’aquests espais, els espais de trànsit, uns espais emblemàtics de la societat i la ciutat actual. Mitjançant la realització d’una etnografia urbana, hem observat la Barcelona actual i la seva transformació des del seu metro, un gran eix de mobilitat urbana, amb la finalitat d’entendre la ciutat i els seus usuaris/es. Amb el nostre treball volem oferir respostes a com es viu i es transforma la ciutat, alhora que volem mostrar alguns aspectes relacionats amb els dispositius de control i tecnològics, la forma de practicar i relacionar-se amb els espais urbans emergents, la incidència dels espais de trànsit en els processos de transformació de ciutats, entre altres aspectes. The important amount of people's journeys, information and objects, explains at the present time, a dynamic and technologic time. For some authors such as Bauman (2007) or Sennet (2006), this time is guided by the sensation of the uncertainty towards the future. The possibilities that fast development of new technologies imply new logics which stump the traditional borders of space and time, transforms everything into immediate, instantaneous and near. In this context appears a predominance of flows and multiplication of the interconnections, which characterize the society of the information and the communication (Castells, 1996, 1998). The cities are changing to adapt themselves to the new social, economic and politic demands. The city reinvents itself in order to adapt at modern, both time and ways of life. The society and the urban space have a bidirectional relation, and it is in that relationship where the city takes form and meaning. According to Urry (2007) “the mobility paradigm” explains the constant exchanges and journeys (of people, ideas, objects and information) which guides towards new ways of living and relationships. In this way, in today's city we find urban places which facilitates people’s journeys and the transformation of the urban space, the reduction of the perception of the distances or the decentralisation of the city, etc. Transitspaces catalyse the necessities of the mobility. Transit-spaces, for Vivas, Pellicer and López (2008) are urban spaces designed to facilitate people’s journeys and mobility; they are contemporaries spaces and built through an ongoing process of multiple complex and changing interactions. They are places that have assumed huge relevance and upon which the modern urban network is sustained, and at the same time, inform about the power of the city.Within a range of different transit spaces we find: underground train, train platforms, connecting passageways, airports, motorways, service stations, some hotel chains and different vehicles. These spaces are vital in connecting the urban and social network. In them are revealed the common determinations of modern society. Characteristics such as mobility, homogenisation, anonymity, vigilance, globalisation, acceleration... are present in these spaces. These characteristics produce important effects in the organization and design of the city. Our attention will focus on these spaces: transit-spaces. These places are becoming spacial and architectural points of reference, and they claim a central role through their design as identifying elements of modern cities and society. Our proposal for the investigation of urban spaces is the urban ethnography. With this technique we research about Barcelona and its transformation. The space selected is the Barcelona underground train systems, a vast network of urban mobility. Focusing our analysis on Barcelona underground we are responding to the fact that they are a privileged viewing point to observe contemporary urban life, city and citizens. With our work we want to offer answers to ways of living and changing the city, and at the same time, we want to explain some aspects regarding the control practices and technologic possibilities, the form of practice these spaces and the effects of these spaces in the transformation of the city, for example.

Reports on the topic "Contrôle de l’espace urbain":

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Gruber, Verena, Ingrid Peignier, and Elinora Pentcheva. Analyse des motivations d’achat de camions légers au Québec. CIRANO, February 2023. http://dx.doi.org/10.54932/kzyi1849.

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Abstract:
Le présent rapport s’inscrit dans la continuité d’une vaste étude débutée en 2020 afin de mieux comprendre la préférence croissante de la population canadienne pour les véhicules énergivores ainsi que les facteurs (politiques, économiques, sociaux, etc.) qui contribuent à l’augmentation des ventes de ce type de véhicules. Le CIRANO a déjà participé à cette étude en publiant deux rapports de projet en 2021 et ce nouveau rapport traite plus en détail de la situation au Québec, avec une attention particulière portée sur les habitudes d’utilisation des véhicules. Pour ce faire, une étude empirique a été menée auprès d’un échantillon représentatif de 1 020 Québécois(es) propriétaires d’un véhicule à l’aide d’un questionnaire en ligne administré en juillet 2022. L’enquête par questionnaire a fait ressortir quatre aspects majeurs qui influencent l’intention d’acheter un véhicule de type VUS : les caractéristiques du véhicule (comme l’importance accordée à une position de conduite élevée et à une transmission à quatre roues motrices), les aspects démographiques (comme le fait de vivre dans une région rurale et d’avoir un revenu familial plus élevé) et les facteurs psychologiques (comme l’importance des valeurs hédoniques et égoïstes). Mais c’est surtout la nature du véhicule principal qui est la variable qui se distingue avec le plus grand effet (β = 0,451) sur l’intention d’achat de VUS. Ainsi, conformément aux résultats de 2020, le facteur le plus important pour expliquer l’intention d’achat futur d’un VUS est la possession préalable d’un VUS. 67 % des propriétaires de VUS ont affirmé qu’il était extrêmement probable ou très probable qu’ils achètent un VUS comme prochain véhicule contre seulement 24 % des propriétaires de berline. Ces résultats renforcent la conclusion que le fait de posséder un VUS est le meilleur prédicteur d’une haute intention d’achat de VUS pour le prochain véhicule et souligne l’importance des interventions visant les premiers acheteurs et les premières acheteuses. Les résultats de l’enquête suggèrent également que la réduction de la possession de voiture parmi les propriétaires sera fortement difficile, puisque ceux-ci considèrent leur véhicule comme indispensable, et ce quel que soit le type de véhicule possédé, quoique les propriétaires de berlines soient néanmoins significativement les moins nombreux à considérer leur véhicule comme indispensable. Bien que les répondant(e)s considèrent généralement leur véhicule comme indispensable, ils ou elles ne l’utilisent guère au maximum de sa capacité, ni en ce qui concerne les sièges du véhicule ni en ce qui concerne l’espace de rangement. En moyenne, 35 % des répondant(e)s indiquent qu’au moins 3 places de leur véhicule sur 5 sont occupées au moins une fois par semaine. La plus grande part affirme toutefois que cela n’arrive que quelques fois par année (40,1 %), voire jamais pour 13,6 % des répondant(e)s. Les mêmes ordres de grandeur sont observés en ce qui concerne l’utilisation de l’espace de chargement. En revanche, les conducteur(trice)s de VUS sont significativement plus nombreux que les conducteur(trice)s de berline à utiliser fréquemment la majorité des sièges de l’habitacle ainsi que la pleine capacité du coffre. Pourtant, lorsque l’on contrôle pour d’autres variables sociodémographiques, le type de véhicule conduit n’est généralement pas un facteur explicatif de la fréquence d’utilisation de la pleine capacité de notre véhicule, que l’on parle de sièges ou du coffre, mais c’est plutôt le fait d’avoir des enfants qui est la variable avec le plus grand pouvoir explicatif.
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Dufour, Quentin, David Pontille, and Didier Torny. Contracter à l’heure de la publication en accès ouvert. Une analyse systématique des accords transformants. Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, April 2021. http://dx.doi.org/10.52949/2.

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Abstract:
Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.

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