Academic literature on the topic 'Contagio interbancario'

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Dissertations / Theses on the topic "Contagio interbancario"

1

Salakhova, Dilyara. "Essays on liquidity : interconnectedness and interbank contagion." Thesis, Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100026/document.

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Abstract:
Compte-tenu du degré de complexité des interconnexions au sein du système financier mondial, mis en avant pendant la crise financière 2007-2009, l'adoption des modèles de réseaux, comme paradigme d'analyse et d'amélioration de la robustesse du système, paraît particulièrement pertinent, sinon nécessaire. Les institutions financières sont vues comme des nœuds d'un réseau où les transactions interbancaires constituent les liens au travers desquels la propagation des chocs se matérialise. En outre, la crise a également mis en évidence le rôle d'un rationnement de la liquidité comme canal majeur de transmission des chocs. Cette thèse examine les interactions entre les tensions sur le marché monétaire, la contagion interbancaire et la structure du réseau, avec une application au marché interbancaire européen et au système de paiement. La contribution de cette étude à la littérature sur les réseaux financiers s'articule autour de trois axes. Le premier est un modèle intégrant trois canaux de propagation des chocs, à l'œuvre durant la crise 2007-2009, à savoir les expositions à un facteur de risque commun, aux risques de contrepartie et, enfin, au risque de liquidité. Le deuxième axe est une application de ce modèle étudiant les expositions interbancaires dans le système financier européen entre 2008 et 2012, et ce, au niveau individuel des agents, i.e. de banque à banque; constituant ainsi, et à notre connaissance, l'unique contribution académique dans ce domaine. Cette étude souligne notamment le rôle de la structure du réseau dans la propagation des chocs et reproduit la fragmentation du marché européen observée en 2011-2012. Enfin, la troisième contribution porte sur la propension des banques à retarder leurs transactions sur la base des données du système de paiement TARGET2. Cette étude souligne une divergence des comportements des banques au niveau de leur gestion de la liquidité intra-journalière. En effet, deux types de comportements se distinguent à cet égard : le premier consiste à fixer un niveau de liquidité initiale suffisant pour répondre aux besoins de la journée et un second qui a tendance à gérer cette liquidité en flux tendus. Les banques adoptant ce deuxième type de comportement sont à l'origine de la majorité des retards de paiements constatés au niveau du système financier. L'ampleur des retards de paiement est par ailleurs fortement corrélée au niveau des tensions sur le marché, constituant de ce fait un indicateur avancé d'une éventuelle crise à venir.Le résumé substantiel n'a pas été fourni par l'auteur
Given the extent and importance of financial interconnectedness in recent years that were particularly underlined by the 2007-2009 financial crisis, the adoption of the network paradigm to analyze and improve robustness of a financial system appears to be fully relevant. Financial institutions are viewed as nodes of a network and their short- or long-term loans extended to each other as links or exposures through which a shock may propagate. Moreover, the same crisis accentuated the role of funding shortage as a channel of shock transmission. This dissertation focuses on the interplay of liquidity stress, interbank contagion and a network structure with application to the European interbank market and payment system. The contribution of this research to the literature on financial networks is threefold. The first develops a model that allows analyzing three contagion channels that happened to be at play during the financial crisis: exposures to a common risk factor; exposures to credit and counterparty risk in the interbank market; exposures to short-term liquidity risk. The second contribution is the unique analysis of cross-border contagion in the European banking system from 2008 to 2012 at the bank level using the developed model. Overall, the study finds the importance of the network structure for the extent of contagion propagation and captures the fragmentation of the market observed in 2011-2012. The third contribution consists of analysis of payment delays in the European payment system TARGET2. More specifically, this chapter provides evidence that banks differ in the way they manage their daily liquidity and can be split into two groups in this regard: those which put enough initial liquidity into the system, and those which economize on liquidity and rely on incoming payments to make outgoing transactions. The second group is responsible for the majority of the delayed payments, particularly during the period of low liquidity in the market, which constitutes an early warning indicator of stress
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Costisor, Mihaela. "Le risque de liquidité dans le système bancaire." Thesis, Paris Est, 2010. http://www.theses.fr/2010PEST3002/document.

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Abstract:
Cette thèse étudie les différentes facettes du risque de liquidité et analyse le rôle essentiel qu'elles jouent dans la stabilité systémique.Dans la partie théorique de la thèse, nous traitons du risque de liquidité au travers des ruées bancaires. Progressivement, nous introduisons le marché interbancaire en tant que mécanisme d'assurance de liquidité entre les banques. Cependant, lorsqu'il y a une pénurie globale de liquidité, ce marché a tendance à favoriser la propagation d'une crise de liquidité de banque à banque, ce qui peut aboutir au risque systémique. Nous étudions de manière approfondie la littérature sur la contagion par les liens interbancaires et au travers des prix des actifs
This thesis examines the different facets of the liquidity risk and aims to analyse their essential role in the stability of the financial system. In the theoretical part of the thesis, we treat liquidity risk through bank runs. Gradually, we introduce the interbank market as a liquidity insurance mechanism between banks. However, when there is an overall shortage of liquidity, this market tends to encourage the spread of liquidity crises from bank to bank which can lead to a systemic financial crisis. We study the literature on risk contagion by interbank links and through asset price effects. The applied part of the thesis aims to test the validity of hypotheses and insights presented in the theoretical framework. The goal is to betterunderstand the mechanism of liquidity risk and the forces of interaction between balance sheet effects that can lead to the transformation of liquidity risk into systemic risk caused by counterparty risk or the revaluation of tradable assets at market prices. In the first numerical application, we propose to evaluate the risk of contagion by interbank linkages in a context where banks borrow on the interbank market and/or at the central bank if necessary. The second simulation is dedicated to contagion through asset price effects, considering that the banks must sell assets on the market to meet their liquidity shortfall. If mark-to-market accounting is applied, the effects of the douwnturn in prices appear immediately and cause a spontaneous reaction from stakeholders
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Cotarlea, Mihaela. "Le risque de liquidité dans le système bancaire." Phd thesis, Université Paris-Est, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00841680.

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Abstract:
Cette thèse étudie les différentes facettes du risque de liquidité et analyse le rôle essentiel qu'elles jouent dans la stabilité systémique.Dans la partie théorique de la thèse, nous traitons du risque de liquidité au travers des ruées bancaires. Progressivement, nous introduisons le marché interbancaire en tant que mécanisme d'assurance de liquidité entre les banques. Cependant, lorsqu'il y a une pénurie globale de liquidité, ce marché a tendance à favoriser la propagation d'une crise de liquidité de banque à banque, ce qui peut aboutir au risque systémique. Nous étudions de manière approfondie la littérature sur la contagion par les liens interbancaires et au travers des prix des actifs.
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TEZZA, Ilaria. "Il rischio sistemico: specificità, regolamentazione e contagio interbancario." Doctoral thesis, 2014. http://hdl.handle.net/11562/711961.

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Abstract:
Systemic risk [is] the disruption to the flow of financial services that is (i) caused by an impairment of all or parts of the financial system; and (ii) has the potential to have serious negative consequences for the real economy. Questa definizione di rischio sistemico è stata adottata congiuntamente dalla Bank for International Settlements, dal Financial Stability Board e dall’Inte¬rnational Monetary Fund solamente nel 2009. Il concetto di rischio sistemico ha acquisito, negli ultimi anni, una crescente attenzione sia dottrinale sia, soprattutto, regolamentare, a livello nazionale e internazionale, in particolare a seguito degli eventi che hanno caratterizzato l’economia globale a partire dall’estate del 2007, ossia lo scoppio della crisi finanziaria subprime. Que¬st’ultima ha, infatti, messo in evidenza che le problematiche che hanno origine finanziaria, colpendo banche, mercati finanziari, imprese di assicurazione e/o le diverse infrastrutture che compongono il sistema finanziario, tra cui il sistema dei pagamenti e il mercato interbancario, possono esplicare i loro effetti negativi non solo all’interno del sistema finanziario stesso, dando origine al cd. rischio di contagio, ma anche sull’economia reale, e in questo caso si parla di prociclicità. Il presente lavoro ha come obiettivo lo studio e l’analisi di questo particolare rischio. Nel primo capitolo verrà approfondita la definizione di rischio sistemico e se ne indagherà la letteratura relativa, con riferimento ai diversi settori del sistema finanziario. Nel secondo capitolo si analizzeranno i criteri adottati a livello internazionale per identificare le cd. global systemically important institutions (G-SIFIs) e i costi sostenuti, nel corso della recente crisi finanziaria, per far fronte al loro “salvataggio”. Il terzo capitolo sarà invece dedicato all’appro¬fondimento della “nuova” regolamentazione prevista per il rischio sistemico, rectius per le istituzioni sistemicamente rilevanti. Infine, nel quarto capitolo si presenteranno i risultati della simulazione condotta con riferimento al mercato interbancario europeo e volta a verificare la presenza del rischio di contagio su tale, fondamentale infrastruttura del sistema finanziario.
Systemic risk [is] the disruption to the flow of financial services that is (i) caused by an impairment of all or parts of the financial system; and (ii) has the potential to have serious negative consequences for the real economy. The Bank for International Settlements, the Financial Stability Board and the International Monetary Fund adopted this definition of systemic risk solely in 2009. In the recent years, systemic risk has been given growing attention due to the events that followed the burst of the subprime crisis in the summer of 2007. The crisis has shown that problems arising at banks, financial markets, insurance companies and/or other financial infrastructures, i.e. the payment system and the interbank market, can have serious consequences for both the financial system and the real economy. The former is also known as contagion risk, the latter as procyclicality. This research investigates systemic risk under different perspectives. In the first chapter, a survey of the different definitions will be presented, along with an extensive, though non-exhaustive, literature review that displays the several dimensions of systemic risk. A regulatory approach will be adopted in the second and in the third chapter. The former will concentrate on the criteria adopted by the international regulators to identify which institutions, markets and infrastructures can pose systemic risk to the financial system and the real economy (the so called global systemically important financial institutions – G-SIFIs) as well as on the costs borne by either the governments or the supervisory authorities to save those institutions during the financial crisis. The latter will investigate the “new” rules for G-SIFIs aimed at preventing the occurrence of a systemic crisis due to the failure of one of these systemic institutions. The forth chapter concludes this research by presenting the results of a simulation exercise intended to assess the contagion risk on the European interbank market.
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Reports on the topic "Contagio interbancario"

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Estrada, Dairo Ayiber, and Paola Morales-Acevedo. La estructura del mercado interbancario y del riesgo de contagio en Colombia. Bogotá, Colombia: Banco de la República, March 2008. http://dx.doi.org/10.32468/tef.30.

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Capera-Romero, Laura, Juan Sebastián Lemus-Esquivel, and Dairo Ayiber Estrada. Relaciones crediticias y riesgo de contagio en el mercado interbancario no colateralizado colombiano. Bogotá, Colombia: Banco de la República, June 2013. http://dx.doi.org/10.32468/tef.77.

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Vargas-Herrera, Hernando, Juan José Ospina, Carlos Alfonso Huertas-Campos, Adolfo León Cobo-Serna, Edgar Caicedo-García, Juan Pablo Cote-Barón, Nicolás Martínez-Cortés, et al. Informe de Política Monetaria - Julio de 2021. Banco de la República de Colombia, August 2021. http://dx.doi.org/10.32468/inf-pol-mont-eng.tr3.-2021.

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Abstract:
1.1 Resumen macroeconómico En el segundo trimestre la economía enfrentó varios choques, principalmente de oferta y de costos, la mayoría de los cuales no fueron anticipados, o los previstos fueron más persistentes de lo esperado, y que en conjunto interrumpieron la recuperación de la actividad económica observada a comienzos de año y llevaron la inflación total a niveles superiores a la meta. La inflación básica (sin alimentos ni regulados: SAR) aumentó, pero se mantuvo baja y acorde con lo esperado por el equipo técnico. A comienzos de abril se inició una tercera ola de pandemia, más acentuada y prolongada que la anterior, con un elevado costo en vidas humanas y algún impacto negativo en la recuperación económica. Entre mayo y mediados de junio los bloqueos de las carreteras y los problemas de orden público tuvieron un fuerte efecto negativo sobre la actividad económica y la inflación. Se estima que la magnitud de estos dos choques combinados habría generado una caída en niveles en el producto interno bruto (PIB) con respecto al primer trimestre del año. Adicionalmente, los bloqueos causaron un aumento significativo de los precios de los alimentos. A estos choques se sumaron los efectos acumulados de la disrupción global en algunas cadenas de valor y el incremento en los fletes internacionales que desde finales de 2020 vienen generando restricciones de oferta y aumentos de costos. Todos estos factores, que afectaron principalmente el índice de precios al consumidor (IPC) de bienes y de alimentos, explicaron la mayor parte del error de pronóstico del equipo técnico y el aumento de la inflación total a niveles superiores a la meta del 3 %. El incremento en la inflación básica y de los precios de los regulados fue acorde con lo esperado por el equipo técnico, y se explica principalmente por la eliminación de varios alivios de precios otorgados un año atrás. A todo esto se suma la mayor percepción de riesgo soberano y las presiones al alza que esto implica sobre el costo de financiamiento externo y la tasa de cambio. A pesar de los fuertes choques negativos, el crecimiento económico esperado para la primera mitad del año (9,1%), es significativamente mayor que lo proyectado en el informe de abril (7,1%), signo de una economía más dinámica que se recuperaría más rápido de lo previsto. Desde finales de 2020 las diferentes cifras de actividad económica han mostrado un crecimiento mayor que el esperado. Esto sugiere que los efectos negativos sobre el producto de las recurrentes olas de contagio estarían siendo cada vez menos fuertes y duraderos. No obstante, la tercera ola de contagio del Covid-19, y en mayor medida los bloqueos a las vías y los problemas de orden público, habrían generado una caída del PIB durante el segundo trimestre, frente al primero. Pese a lo anterior, los datos del índice de seguimiento a la economía (ISE) de abril y mayo han resultado mayores que lo esperado, y las nuevas cifras de actividad económica sectoriales sugieren que el impacto negativo de la pandemia sobre el producto se sigue moderando, en un entorno de menores restricciones a la movilidad y de mayor avance en el ritmo de vacunación. Los registros de transporte de carga (junio) y la demanda de energía no regulada (julio), entre otros, indican una recuperación importante después de los bloqueos en mayo. Con todo lo anterior, el incremento anual del PIB del segundo trimestre se habría situado alrededor del 17,3 % (antes 15,8 %), explicado en gran parte por una base baja de comparación. Para todo 2021 el equipo técnico incrementó su proyección de crecimiento desde un 6 % hasta el 7,5 %. Este pronóstico, que está rodeado de una incertidumbre inusualmente elevada, supone que no se presentarán problemas de orden público y que posibles nuevas olas de contagio del Covid-19 no tendrán efectos negativos adicionales sobre la actividad económica. Frente al pronóstico del informe pasado, la recuperación de la demanda externa, los niveles de precios de algunos bienes básicos que exporta el país y la dinámica de las remesas de trabajadores han sido mejores que las esperadas y seguirían impulsando la recuperación del ingreso nacional en lo que resta del año. A esto se sumaría la aún amplia liquidez internacional, la aceleración en el proceso de vacunación y las bajas tasas de interés, factores que continuarían favoreciendo la actividad económica. La mejor dinámica del primer semestre, que llevó a una revisión al alza en el crecimiento de todos los componentes del gasto, continuaría hacia adelante y, antes de lo esperado en abril, la economía recuperaría los niveles de producción de 2019 a finales de 2021. El pronóstico continúa incluyendo efectos de corto plazo sobre la demanda agregada de una reforma tributaria de magnitud similar a la proyectada por el Gobierno. Con todo eso, en el escenario central de este informe, el pronóstico de crecimiento para 2021 es del 7,5 % y para 2022 del 3,1 %. A pesar de esto, el nivel de la actividad económica seguiría siendo inferior a su potencial. La mejora en estas proyecciones, sin embargo, está rodeada de una alta incertidumbre. En junio la inflación anual (3,63 %) aumentó más de lo esperado debido al comportamiento del grupo de alimentos, mientras que la inflación básica (1,87 %) fue similar a la proyectada. En lo que resta del año el mayor nivel del IPC de alimentos persistiría y contribuiría a mantener la inflación por encima de la meta. A finales de 2022 la inflación total y básica retornarían a tasas cercanas al 3 %, en un entorno de desaceleración del IPC de alimentos y de menores excesos de capacidad productiva. En los meses recientes el aumento en los precios internacionales de los fletes y de los bienes agrícolas, y las mayores exportaciones de carne y el ciclo ganadero han ejercido presiones al alza sobre el precio de los alimentos, principalmente de los procesados. A estas fuerzas persistentes se sumaron los bloqueos de las vías nacionales y los problemas de orden público en varias ciudades registrados en mayo y parte de junio, los cuales se reflejaron en una fuerte restricción en la oferta y en un aumento anual no esperado del IPC de alimentos (8,52 %). El grupo de regulados (5,93 %) también se aceleró, debido a la baja base de comparación en los precios de la gasolina y a la disolución de parte de los alivios a las tarifas de servicios públicos otorgados en 2020. Como se proyectaba, la inflación SAR repuntó al 1,87 %, debido a la reactivación de los impuestos indirectos de algunos bienes y servicios eliminados un año atrás, y por las presiones al alza que ejercieron los alimentos sobre las comidas fuera del hogar (CFH), entre otros. En lo que resta del año se espera que el aumento en los alimentos perecederos se revierta, siempre y cuando no se registren nuevos bloqueos duraderos a las vías nacionales. El mayor nivel de precios de los alimentos procesados persistiría y contribuiría a mantener la inflación por encima de la meta a finales de año. La inflación SAR continuaría con una tendencia creciente, en la medida en que los excesos de capacidad productiva se sigan cerrando y registraría un aumento transitorio en marzo de 2022, debido principalmente al restablecimiento del impuesto al consumo en las CFH. Con todo esto, para finales de 2021 y 2022 se estima una inflación total del 4,1 % y 3,1 %, y una inflación básica del 2,6 % y 3,2 %, respectivamente. El comportamiento conjunto de los precios del IPC SAR, junto con continuas sorpresas al alza en la actividad económica, son interpretados por el equipo técnico como señales de amplios excesos de capacidad productiva de la economía. Estos persistirían en los siguientes dos años, al final de los cuales la brecha del producto se cerraría. El mayor crecimiento económico sugiere una brecha del producto menos negativa que la estimada hace un trimestre. Sin embargo, el comportamiento de la inflación básica, especialmente en servicios, indica que el PIB potencial se ha recuperado de forma sorpresiva y que los excesos de capacidad siguen siendo amplios, con una demanda agregada afectada de forma persistente. Esta interpretación encuentra soporte en el mercado laboral, en donde persiste un desempleo alto y la recuperación de los empleos perdidos se estancó. Adicionalmente, los aumentos en la inflación en buena medida están explicados por choques de oferta y de costos y por la disolución de algunos alivios de precios otorgados un año atrás. Los pronósticos de crecimiento y de inflación descritos son coherentes con una brecha del producto que se cierra más rápido y es menos negativa en todo el horizonte de pronóstico con respecto al informe de abril. No obstante, la incertidumbre sobre los excesos de capacidad es muy alta y es un riesgo sobre el pronóstico. Las perspectivas de las cuentas fiscales de Colombia se deterioraron, Standard & Poor’s Global Ratings (S&P) y Fitch Ratings (Fitch) redujeron su calificación crediticia, los bloqueos y problemas de orden público afectaron el producto y el país enfrentó una nueva ola de contagios de Covid-19 más acentuada y prolongada que las pasadas. Todo lo anterior se ha reflejado en un aumento de las primas de riesgo y en una depreciación del peso frente al dólar. Esto ha ocurrido en un entorno favorable de ingresos externos. Los precios internacionales del petróleo, del café y de otros bienes básicos que exporta el país aumentaron y han contribuido a la recuperación de los términos de intercambio y del ingreso nacional, y han mitigado las presiones al alza sobre las primas de riesgo y la tasa de cambio. En el presente informe se incrementó el precio esperado del petróleo para 2021 a USD 68 por barril (antes USD 61 bl) y para 2022 a USD 66 bl (antes USD 60 bl). Esta mayor senda presenta una convergencia hacia precios menores que los observados recientemente, como resultado de una mayor oferta mundial esperada de petróleo, la cual más que compensaría el incremento en la demanda de este bien básico. Por ende, se supone que el aumento reciente de los precios tiene un carácter transitorio. En el escenario macroeconómico actual se espera que las condiciones financieras internacionales sean algo menos favorables, a pesar de la mejora en los ingresos externos por cuenta de una mayor demanda y unos precios del petróleo y de otros productos de exportación más altos. Frente al informe de abril el crecimiento de la demanda externa fue mejor que el esperado, y las proyecciones para 2021 y 2022 aumentaron del 5,2 % al 6,0 % y del 3,4 % al 3,5 %, respectivamente. En lo corrido del año las cifras de actividad económica muestran una demanda externa más dinámica de la esperada. En los Estados Unidos y China la recuperación del producto ha sido más rápida que la registrada en los países de la región. En estos últimos la reactivación económica ha estado limitada por los rebrotes del Covid-19, las limitaciones en la oferta de vacunas y el poco espacio fiscal para enfrentar la pandemia, entre otros factores. La buena dinámica en el comercio externo de bienes se ha dado en un entorno de deterioro en las cadenas de valor y de un aumento importante en los precios de las materias primas y en el costo de los fletes. En los Estados Unidos la inflación sorprendió al alza y su valor observado y esperado se mantiene por encima de la meta, al tiempo que se incrementó la proyección de crecimiento económico. Con esto, el inicio de la normalización de la política monetaria en ese país se daría antes de lo proyectado. En este informe se estima que el primer incremento en la tasa de interés de la Reserva Federal de los Estados Unidos se dé a finales de 2022 (antes del primer trimestre de 2023). Para Colombia se supone una mayor prima de riesgo frente al informe de abril y se sigue esperando que presente una tendencia creciente, dada la acumulación de deuda pública y externa del país. Todo esto contribuiría a un incremento en el costo del financiamiento externo en el horizonte de pronóstico. La postura expansiva de la política monetaria sigue soportando unas condiciones financieras internas favorables. En el segundo trimestre la tasa de interés interbancaria y el índice bancario de referencia (IBR) se han mantenido acordes con la tasa de interés de política. Las tasas de interés promedio de captación y crédito continuaron históricamente bajas, a pesar de algunos incrementos observados a finales de junio. La cartera en moneda nacional detuvo su desaceleración anual y, entre marzo y junio, el crédito a los hogares se aceleró, principalmente para compra de vivienda. La recuperación de la cartera comercial y de los desembolsos a ese sector fue importante, y se alcanzó de nuevo el elevado saldo observado un año atrás, cuando las empresas requirieron niveles significativos de liquidez para enfrentar los efectos económicos de la pandemia. El riesgo de crédito aumentó, las provisiones se mantienes altas y algunos bancos han retirado de su balance una parte de su cartera vencida. No obstante, las utilidades del sistema financiero se han recuperado y sus niveles de liquidez y solvencia se mantienen por encima del mínimo regulatorio. A partir de este informe se implementará una nueva metodología para cuantificar y comunicar la incertidumbre que rodea los pronósticos del escenario macroeconómico central, en un entorno de política monetaria activa. Esta metodología se conoce como densidades predictivas (DP) y se explica en detalle en el Recuadro 1. Partiendo del balance de riesgos que contiene los principales factores que, de acuerdo con el juicio del equipo técnico, podrían afectar a la economía en el horizonte de pronóstico, la metodología DP produce distribuciones de probabilidad sobre el pronóstico de las principales variables (v. g.: crecimiento, inflación). Estas distribuciones reflejan el resultado de los posibles choques (a variables externas, precios y actividad económica) que podría recibir la economía y su transmisión, considerando la estructura económica y la respuesta de política monetaria en el futuro. En este sentido, permiten cuantificar la incertidumbre alrededor del pronóstico y su sesgo. El ejercicio DP muestra un sesgo a la baja en el crecimiento económico y en la brecha del producto, y al alza en la inflación. El balance de riesgos indica que las disyuntivas para la política monetaria serán potencialmente más complejas que lo contemplado en el pasado. Por el lado de las condiciones de financiamiento externo, se considera que el mayor riesgo es que se tornen un poco menos favorables, en un escenario en el cual la Reserva Federal de los Estados Unidos incremente con mayor prontitud su tasa de interés. Esto último, ante un crecimiento económico y del empleo mayor que el esperado en los Estados Unidos que genere presiones significativas sobre la inflación de ese país. A esto se suma la incertidumbre sobre el panorama fiscal en Colombia y sus efectos sobre la prima de riesgo y el costo del financiamiento externo. En el caso del crecimiento, la mayoría de los riesgos son a la baja, destacándose los efectos de la incertidumbre política y fiscal sobre las decisiones de consumo e inversión, la aparición de nuevas olas de contagio de la pandemia del Covid-19 y sus impactos sobre la actividad económica. En el caso de la inflación, se incorporó el riesgo de una mayor persistencia de los choques asociados con la disrupción de las cadenas de valor, mayores precios internacionales de las materias primas y de los alimentos, y una recuperación más lenta que la esperada de la cadena agrícola nacional afectada por los pasados bloqueos a las vías. Estos riesgos presionarían al alza principalmente los precios de los alimentos y de los bienes. Como principal riesgo a la baja se incluyó un alza de los arriendos menor que el esperado en el escenario central, explicada por una demanda débil y por una mayor oferta en 2022 dadas las altas ventas de vivienda observadas en el presente año. Con todo, el crecimiento económico presenta un sesgo a la baja y, con el 90 % de confianza, se encontraría entre un 6,1 % y 9,1 % para 2021 y entre el 0,5 % y 4,1 % para 2022. La brecha del producto tendría un sesgo a la baja, principalmente en 2022. El sesgo de la inflación es al alza, y se encontraría entre el 3,7 % y 4,9 % en 2021, y el 2,2 % y 4,7 % en 2022, con un 90 % de probabilidad. 1.2 Decisión de política monetaria En las reuniones de junio y julio la JDBR decidió mantener la tasa de política monetaria inalterada en 1,75 %.
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