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Journal articles on the topic 'Conception de l’Apparence'

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Christin, Anne-Marie. "Support et iconicité, ou l’apparence sans qualités." Protée 26, no. 3 (April 12, 2005): 69–76. http://dx.doi.org/10.7202/030528ar.

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Abstract:
À partir de remarques de Peirce prouvant qu’il était sensible à la «qualité » de certains supports, on s’interroge sur le fait qu’il n’ait pas pris en compte cette qualité dans sa conception de l’« icône ». L’hypothèse avancée ici est que cette ignorance – ou ce refus – a son origine dans la définition que Platon avait donnée luimême de l’icône, et qui est fondée sur l’amalgame d’interprétations erronées relatives à la peinture et à l’écriture. La notion de « représentation », notamment, est à l’origine de confusions qui ont interdit à Platon – puis à Peirce – de voir que la différence essentielle qui sépare idéogramme et lettre alphabétique repose sur la relation fonctionnelle que l’un entretient, et l’autre non, avec son support.
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Piché, Claude. "Les sources du concept fichtéen de phénoménologie dans la Doctrine de la science de 1804 (2e série)." Laval théologique et philosophique 63, no. 1 (November 2, 2007): 7–20. http://dx.doi.org/10.7202/016675ar.

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Abstract:
Résumé Fichte caractérise la seconde partie de sa Doctrine de la science de 1804 à l’aide du terme « phénoménologie », auquel il assigne une double signification : théorie de l’apparence et théorie du phénomène. Si le premier volet de sa définition rappelle la conception de Lambert, inventeur de la phénoménologie comme discipline philosophique, le second volet correspond à l’idée que se fait Kant de la phénoménologie, notamment dans les Premiers principes métaphysiques de la science de la nature. La question qui se pose est alors la suivante : est-il possible d’intégrer dans une même discipline l’apparence (Schein) et le phénomène (Erscheinung) ? Si Fichte parvient à réunir ces deux volets dans sa phénoménologie, c’est peut-être parce qu’en cela il suit le chemin frayé par Reinhold dans ses Beyträge de 1802-1803.
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Vynck, Kevin, Gary Fourneau, Romain Pacanowski, Pascal Barla, and Philippe Lalanne. "De l’impact du désordre sur l’apparence visuelle de surfaces nanostructurées." Photoniques, no. 124 (2024): 34–38. http://dx.doi.org/10.1051/photon/202412434.

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Abstract:
La compréhension des effets visuels créés par des nanostructures repose aujourd’hui largement sur des concepts acquis en optique des milieux stratifiés, périodiques et nano-objets résonants, négligeant souvent les irrégularités et les imperfections. En combinant modèles électromagnétiques et synthèse d’images, nous montrons ici que le désordre structurel est essentiel à l’apparence visuelle d’un objet et que son ingénierie ouvre de nouvelles possibilités en termes de conception d’apparence.
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Mayali, Laurent. "Procureurs et représentation en droit canonique médiéval." Mélanges de l École française de Rome Moyen Âge 114, no. 1 (2002): 41–57. http://dx.doi.org/10.3406/mefr.2002.9182.

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Abstract:
La doctrine canonique de la représentation est développée, dans la seconde moitié du douzième siècle, à partir des règles de droit privé exprimées dans la conception romaine du mandat. Elle prend une forme définitive au cours du siècle suivant et s’impose, dès lors, comme l’un des modes privilégiés d’action privée et publique tant dans l’administration des affaires ecclésiastiques que dans le gouvernement de la société chrétienne. Ce modèle fournit le support juridique à une articulation structurale du pouvoir institutionnel qui, du pape à l’évêque, puis au prêtre assigne à chacun une autorité et une fonction déterminée. Soumis à la double influence de la théologie et du droit romain, le canoniste médiéval conçoit la représentation sous le double registre de la référence et de l’apparence qui définit la légitimité et l’autorité du représentant. Le succès du modèle canonique de la représentation provient de ce qu’il fonctionne en définitive comme mode de différenciation de l’origine et de l’interprétation de la règle de droit.
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Rioux, Miranda, and Audrey Ann Couture. "Dual-process theory et résolution de problèmes additifs de comparaison par des étudiants universitaires." Éducation et francophonie 42, no. 2 (December 19, 2014): 120–37. http://dx.doi.org/10.7202/1027909ar.

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Abstract:
Plusieurs variables peuvent être manipulées afin de complexifier volontairement le traitement d’un problème additif de comparaison. Dans cet article, nous cherchons à déterminer si 1) la congruité entre l’écriture des nombres et la relation exprimée et 2) l’apparence d’une relation de proportionnalité entre les valeurs numériques sont des variables à considérer lors de la conception de tels problèmes. Afin de vérifier l’effet de ces variables sur les taux de réussite ainsi que sur les stratégies de résolution adoptées, nous avons recruté 272 étudiants universitaires, lesquels ont été invités à résoudre des problèmes additifs de comparaison. Nous avons sélectionné, dans la littérature, deux problèmes dont les taux de réussite étaient particulièrement bas. Nous avons ensuite élaboré une version modifiée de ces problèmes, version à l’intérieur de laquelle seules les valeurs numériques variaient. Nous avons effectué une analyse par problème et comparé les taux de réussite des deux versions. Nos résultats indiquent un taux de réussite significativement plus bas aux problèmes originaux. L’analyse des réponses révèle par ailleurs qu’il nous a été possible de manipuler les valeurs numériques de manière à freiner la formulation d’un jugement intuitif incorrect.
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6

Tabatabaʾi, Mohammad Ali, and Saida Mirsadri. "The Qurʾānic Cosmology, as an Identity in Itself." Arabica 63, no. 3-4 (May 26, 2016): 201–34. http://dx.doi.org/10.1163/15700585-12341398.

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Abstract:
The main purpose of this article is to depict the cosmos according to the plain text of the Qurʾān, as its contemporary interlocutor would understand it. To reach this goal we relied mostly on the literary meaning of the qurʾānic descriptions of the celestial and terrestrial elements, along with a glance at the other preceding and/or contemporary cosmologies. It is, therefore, a comparative study which ends up in a thorough picture of the cosmos according to the text of the Qurʾān commensurable with other ancient cosmologies, namely the Babylonian and biblical ones. The most significant outcome of this article is to cast doubt on the prevalent supposition that the qurʾānic cosmology is nothing more than a cento of the preceding cultures, civilizations or religions. It would claim that the Qurʾān has rather had an active and dialectic interaction with every major or minor cosmological idea of its time. Especially in a case study on the shape of the qurʾānic firmament, it will be shown how the historical circumstances, linguistic matters, and ideological issues influenced the qurʾānic perception of the world and/or its selective manner in gleaning the preceding ideas. Le principal objectif de cet article est de dépeindre le cosmos selon le texte du Coran, comme le lectorat de son époque pouvait le comprendre. Pour atteindre ce but, nous nous reposons principalement sur le sens littéral des descriptions coraniques des éléments célestes et terrestres, avec un regard sur les autres cosmologies précédentes ou de la même époque. Il s’agit donc d’une étude comparative qui s’achève avec une description minutieuse du cosmos selon le texte du Coran, comparable à d’autres cosmologies antiques, notament celles de Babylone et de la Bible. Le résultat le plus significatif de cet article est de remettre en cause le présupposé dominant selon lequel la cosmologie coranique n’est rien de plus qu’un composé des précédentes cultures, civilisations ou religions. Ainsi, on pourrait affirmer que le Coran a plutôt eu une interaction active et dialectique avec chaque conception cosmologique majeure ou mineure de son temps. En particulier dans l’étude de l’apparence du firmament coranique, il sera montré comment le contexte historique, des questions linguistiques et des problèmes idéologiques influencèrent la perception coranique du monde et sa manière sélective de puiser dans les idées précédentes. This article is in French
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Jurga, Saulius. "How Can a Subject Be Reified?" Symposium 23, no. 1 (2019): 5–30. http://dx.doi.org/10.5840/symposium20192312.

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Abstract:
This paper examines Georg Lukács’s conception of rei􀏔ied subjectivity under capitalism. I claim that Lukács’s transition from his ethical pre-Marxist notion of the reified subject, to his early-Marxist understanding of capitalist reification of the subject contains the elements of a potential Lukácsian anti-critique of any epistemic or normative reinterpretation of his theory of reification. In particular, the shift in Lukács’s conceptualization of the thinglikeness of objects implied in his dialectical social theory points to a historically precise interpretation of the subject’s reification. The paper also suggests that Lukács’s project of dereification is rooted in the affective experience of reified subjects.Cet article examine la conception lukacsienne de la subjectivité réifiée en régime capitaliste. Mon propos est de montrer que le passage de la notion éthique pré-marxiste du sujet réifié à une compréhension marxiste précoce de la réification capitaliste du sujet chez Lukács contient des éléments d’une critique lukacsienne potentielle de toute réinterprétation normative de sa théorie de la réification. Le tournant dans la conceptualisation lukacsienne de l’apparente « choiséité » (Dinghaftigkeit) des objets, implicite dans la dialectique de sa théorie sociale, fait signe vers une interprétation historiquement précise de la réification du sujet. L’article suggère également que le projet lukacsien de la dé-réification est enraciné dans l’expérience affective des sujets réifiés.
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Émont, Bernard. "Passeur de textes : l’éditeur critique de textes anciens dans tous ses états!" Études, no. 20-21 (July 10, 2012): 43–51. http://dx.doi.org/10.7202/1010323ar.

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Abstract:
Le défi auquel est confronté l’éditeur critique de textes anciens est multiple : d’une part, il doit rendre lisible par un lecteur moderne des écrits qui sont tout, sauf transparents : ce qui suppose de lui une plongée dans le passé, tant du point de vue linguistique : langue profondément différente, voire devenue étrangère, sous l’aspect parfois familier des mots; référents matériels, et conceptions insolites. D’autre part, il doit les rapprocher au maximum de l’époque moderne, afin de mettre en relief ce qui, sous l’apparent changement, conserve un intérêt pour le lecteur moderne, et par là justifie son entreprise éditoriale elle-même. Cela, sans fausser outrageusement les choses. Orienter le lecteur, sans dénaturer le paysage…
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Petzold, Denise. "Orchestral Identities and the Formation of Musical Knowledge: A ‘Sociomaterial’ View on the Concert Programmes of the London Symphony Orchestra and the Vienna Philharmonic Orchestra." Fontes Artis Musicae 70, no. 3 (July 2023): 223–43. http://dx.doi.org/10.1353/fam.2023.a909190.

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Abstract:
English Abstract: Concert programmes are at the heart of the rituals of Western classical music concerts. Providing information on musical works and more, they are invaluable objects of study for music scholars. This article investigates how ensembles engage in the production of these documents—a dimension so far neglected in much of concert programme scholarship, yet vital to understanding what these objects contain, look like, and do. In doing so, it approaches concert programmes as agents that help orchestras explore their musical and institutional identities. It compares, through a combination of archival research and interviews, two major European orchestras: the London Symphony Orchestra and the Vienna Philharmonic Orchestra. The investigation focuses on the programmes’ design and appearance, their contents and structures, and the programme notes. Drawing on the concept of ‘sociomateriality’—taking these documents’ situated and highly specific materialities into account, thus questioning their commonly assumed ephemerality—this article demonstrates how concert programmes maintain particular tokens of musical tradition and knowledge whilst renewing others. It thereby opens up discussions on the role that concert programmes play in opening up and manifesting musical knowledge resulting from processes of orchestral identity formation, and it proposes a practice-based methodology to how concert programmes may be studied. French Abstract: Les programmes de concert sont au cœur du rituel des concerts de musique classique occidentale. Fournissant des informations sur les œuvres musicales et plus encore, ils constituent des objets d’étude inestimables pour les chercheurs en musique. Cet article étudie la manière dont les ensembles instrumentaux s’engagent dans la production de ces documents –une dimension jusqu’à présent négligée dans la plupart des études sur les programmes de concert, et pourtant essentielle pour comprendre ce que ces objets contiennent, ce à quoi ils ressemblent et ce qu’ils font. Ce faisant, il aborde les programmes de concert comme des outils pour aider les orchestres à explorer leurs identités musicales et institutionnelles. Il compare deux grands orchestres européens, le London Symphony Orchestra et l’Orchestre philharmonique de Vienne, en combinant recherches archivistiques et entretiens. L’enquête se concentre donc sur la conception et l’apparence des programmes, leur contenu et leur structure, ainsi que sur les notes de programme. S’appuyant sur le concept de « socio-matérialité », qui prend en compte les matérialités situées et hautement spécifiques de ces documents, remettant ainsi en question leur caractère éphémère communément admis, cet article montre comment les programmes de concert maintiennent certains symboles de la tradition et de la connaissance musicales tout en en renouvelant d’autres. Il ouvre ainsi la discussion sur le rôle que jouent les programmes de concert dans l’ouverture et la diffusion de connaissances musicales résultant des processus de formation de l’identité orchestrale. Ce faisant, il propose une méthodologie basée sur la pratique pour étudier les programmes de concert. German Abstract: Konzertprogramme stehen im Mittelpunkt der Rituale westlicher Konzerte klassischer Musik. Sie bieten mehr als nur Informationen zu musikalischen Werken und sind somit für Musikwissenschaftler von unschätzbarem Wert. In diesem Artikel wird untersucht, wie Ensembles selbst an der Produktion dieser Dokumente beteiligt sind –ein Aspekt, der in der bisherigen Forschung zu Konzertprogrammen vernachlässigt wurde, der jedoch von entscheidender Bedeutung für das Verständnis dessen ist, was die Programme enthalten, wie sie aussehen und welche Funktion sie haben. Konzertprogramme können dabei helfen, Aspekte der musikalischen und institutionellen Identität von Orchestern zu vermitteln. Anhand einer Kombination aus Archivrecherchen und Interviews werden zwei große europäische Orchester –das London Symphony Orchestra und die Wiener Philharmoniker –miteinander verglichen. Im Mittelpunkt der Untersuchung stehen dabei Gestaltung und Erscheinungsbild der jeweiligen Programme, ihre Inhalte und Strukturen sowie die enthaltenen Erläuterungen, bzw. Werktexte. Aufbauend auf dem Konzept der „Soziomaterialität“, welches den jeweiligen Kontext und die stark spezifizierten Materialitäten dieser Dokumente berücksichtigt sowie gleichzeitig auch ihre Kurzlebigkeit hinterfragt, zeigt dieser Artikel, wie Konzertprogramme bestimmte Merkmale musikalischer Tradition und Information bewahren und andere erneuern. Dadurch eröffnet er eine Diskussion über die Rolle von Konzertprogrammen in der Produktion und Manifastierung musikalischen Wissens, welches in den Prozessen der Identitätsbildung des jeweiligen Orchesters verankert ist. Gleichzeitig wird eine praxisorientierte Methodik für die Untersuchung von Konzertprogrammen vorgeschlagen.
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Vuarin, Louis, and Véronique Steyer. "Le principe d’explicabilité de l’IA et son application dans les organisations." Réseaux N° 240, no. 4 (September 21, 2023): 179–210. http://dx.doi.org/10.3917/res.240.0179.

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Abstract:
L’Explicabilité de l’Intelligence Artificielle (IA) est citée par la littérature comme un pilier de l’éthique de l’IA. Mais rares sont les études qui explorent sa réalité organisationnelle. Cette étude propose de remédier à ce manque, à travers des interviews d’acteurs en charge de concevoir et déployer des IA au sein de 17 organisations. Nos résultats mettent en lumière la substitution massive de l’explicabilité par la mise en avant d’indicateurs de performance ; la substitution de l’exigence de compréhension par une exigence d’ accountability (rendre des comptes) ; et la place ambiguë des experts métiers au sein des processus de conception, mobilisés pour valider l’apparente cohérence d’algorithmes « boîtes noires » plutôt que pour les ouvrir et les comprendre. Dans la pratique organisationnelle, l’explicabilité apparaît alors comme suffisamment indéfinie pour faire coïncider des injonctions contradictoires. Comparant les prescriptions de la littérature et les pratiques sur le terrain, nous discutons du risque de cristallisation de ces problématiques organisationnelles via la standardisation des outils de gestion utilisés dans le cadre de (ou à la place de) l’effort d’explicabilité des IA.
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Aziza, Claude. "L’image de Rome dans la bande dessinée (1946-2016)." Revue des Études Anciennes 119, no. 1 (2017): 181–95. http://dx.doi.org/10.3406/rea.2017.6827.

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Abstract:
Le lecteur trouvera ici le premier article d’une série qui se propose de faire l’histoire d’une autre Antiquité, que je nommerais volontiers « imaginaire », voire « fantasmatique ». Depuis quelques décennies, en effet, partout en Europe, mais surtout en France – raison linguistique oblige – on a vu s’opposer – nouvelle querelle des Anciens et des Modernes – deux conceptions de l’étude de l’Antiquité. Fausse querelle bien entendu : rien ne saurait remplacer l’étude sérieuse et approfondie, qui passe par la connaissance de la langue, de la littérature, de l’histoire, de la civilisation des sociétés antiques. Mais à une époque, la nôtre, qui voit – étonnant paradoxe – l’étude du latin et du grec décliner inexorablement, alors que fleurissent les romans historiques, les films à grand spectacle et les bandes dessinées, il est permis de s’interroger sur de nouvelles procédures qui permettront d’allier le sérieux au ludique et de faire un va et vient constant entre le rêve et la réalité, pour le plus grand bien de cette dernière. Il est temps de réconcilier les deux Antiquités et de montrer – autant que faire se peut – que la rigueur universitaire n’est pas incompatible avec l’apparente fantaisie du sujet.
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Aziza, Claude. "L’Antiquité au cinéma." Revue des Études Anciennes 120, no. 1 (2018): 141–48. http://dx.doi.org/10.3406/rea.2018.6873.

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Abstract:
Le lecteur trouvera ici le deuxième article d’une série qui se propose de faire l’histoire d’une autre Antiquité, que je nommerais volontiers « imaginaire », voire « fantasmatique » . Depuis quelques décennies, en effet, partout en Europe, mais surtout en France – raison linguistique oblige – on a vu s’opposer – nouvelle querelle des Anciens et des Modernes – deux conceptions de l’étude de l’Antiquité. Fausse querelle bien entendu : rien ne saurait remplacer l’étude sérieuse et approfondie, qui passe par la connaissance de la langue, de la littérature, de l’histoire, de la civilisation des sociétés antiques. Mais à une époque, la nôtre, qui voit – étonnant paradoxe – l’étude du latin et du grec décliner inexorablement, alors que fleurissent les romans historiques, les films à grand spectacle et les bandes dessinées, il est permis de s’interroger sur de nouvelles procédures qui permettront d’allier le sérieux au ludique et de faire un va-et-vient constant entre le rêve et la réalité, pour le plus grand bien de cette dernière. Il est temps de réconcilier les deux Antiquités et de montrer – autant que faire se peut – que la rigueur universitaire n’est pas incompatible avec l’apparente fantaisie du sujet.
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El Belkacemi, Rim. "Trajectories of Crossing in Tahar Ben Jelloun’s L’Enfant de sable (1985) and Ali al-Du’aji’s “Haddy’s Dream” from Sleepless Nights (1969)." Afrique(s) en mouvement N° 7, no. 1 (February 7, 2024): 28–34. http://dx.doi.org/10.3917/aem.007.0028.

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Abstract:
La sphère littéraire africaine a souvent été considérée comme un simple auxiliaire d’autres traditions littéraires plus réputées, et qui ont éventuellement acquis une légitimité plus hégémonique dans l’arène littéraire mondiale, i.e.les littératures francophone et arabe.Mon papier abordera deux œuvres charnières du répertoire littéraire nord-africain. Je m’engage à appliquer des stratégies narratives locales, qui divergent des modes de narration occidentalisés, afin d’effectuer un travail transgressif. Je soutiens l’idée que ces deux œuvres développent une politique de croisement qui libère leurs œuvres respectives des conceptions occidentalisées de la normativité de genre et de la structure narrative. Le premier roman auquel je tente mon approche est L’Enfant de sable (1985) de Tahar Ben Jelloun. Ce roman raconte l’histoire d’une fille qui a été commanditée pour vivre comme un fils par son père. L’auteur s’engage dans de nombreux processus de croisement, non seulement dans les aspects genrés du pouvoir et de l’identité, mais aussi dans d’autres composantes parallèles telles que la langue, le récit et le genre. Ces processus de croisement se croisent afin de fonctionner comme un paradigme de subversion du pouvoir dans ce roman. Je maintiens que la pluri-vocalité du texte de Ben Jelloun divorce avec les représentations monolithiques de la linéarité dans le récit fictif. Il met plutôt en avant la complexité de la transition narrative oratoire, ainsi que la subjectivité agentielle. La deuxième œuvre que j’envisage dans cette étude est « Le rêve de Haddy » d’Ali al-Du’aji tirée de son recueil, Nuits blanches (1969). Dans cette nouvelle, une femme poète travestie adopte l’apparence et la voix d’un homme afin de pouvoir errer et explorer librement le désert nord-africain. La poétesse est tourmentée par la dualité de ses deux existences et tente de concilier ce croisement genre/identité . Ce travail abordera comment les pratiques de croisement de ces auteurs reflètent distinctement la complexité socioculturelle de la tradition de narration nord-africaine et comment ils le font alors que cette dernière converge avec les traditions écrites francophones et arabes, ce qui prévaut dans les littératures francophones africaines décoloniales et indique un cas de croisement des genres et des gendres différent des tropes occidentaux conventionnels du roman de fiction.
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Guéorguiéva, Elena. "Постмодернизъм и литературен канон : сблъсък с щастливо развитие." Slovo How to think of literary... (February 25, 2020). http://dx.doi.org/10.46298/slovo.2020.6141.

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Abstract:
International audience Подхождайки към литературния канон през едновременно конститутивната му и представителна функция по отношение на националната идентичност, авторката разглежда концептуалното противоречие, което лежи в основата на конфликтните отношения между постмодернизъм и канон в сръбската и българската литератури. И в двете култури постмодерното мислене и поетика допринасят за разколебаването на традиционното схващане за канон и история на литературата. Тъй като дават предимство на диалога с чуждестранната литература, сръбските автори биват обвинявани, че обръщат гръб на националните литературни особености, които дотогава критиката традиционно е изтъквала. Българските писатели пък охотно се оглеждат в текстовете на първите български класици, като ги пренаписват в пародиен план с цел да разкрият литературната структура на националните митове. Така въпреки привидната несъвместимост между постмодернизъм и литературен канон техният сблъсък в последните десетилетия на xx век играе важна роля за преминаването към едно ново схващане за история на литературата, което повече от всякога се опира на принципите на полифонията и диалогичността. By addressing the question of literary canon trough its dual constitutive and representative function with regard to national identity, the author questions the conceptual opposition on which the relations between postmodernism and canon are founded in Serbian and Bulgarian literatures. In both those cultures postmodern thought and poetics contribute to challenge the traditional understanding of canon and history of literature. Serbian authors are criticised for being more interested in dialogue with foreign literatures and thus turning away from the national specificities which were, till then, usually put forward by literary criticism. The Bulgarian writers, on the contrary, gladly look back at the texts of the first Bulgarian classics but they do so by rewriting them in a parodic way in order to reveal the literary structure of the national myths. However, despite the apparent incompatibility between postmodernism and literary canon, their encounter during the last decades of the twentieth century played a key role in moving towards a new concept of history of literature which relies more than ever on the principles of polyphony and dialogism. En abordant la question du canon littéraire par sa double fonction constitutive et représentative à l’égard de l’identité nationale, l’auteur interroge l’opposition conceptuelle sur laquelle se fondent les rapports entre postmodernisme et canon dans les littératures serbe et bulgare. Dans ces deux cultures, la pensée et la poétique postmodernes favorisent la remise en cause de la conception traditionnelle du canon et de l’histoire de la littérature. Recherchant davantage le dialogue avec les littératures étrangères, les auteurs serbes se voient reprocher de tourner le dos aux spécificités littéraires nationales qui étaient jusqu’alors mises en avant par la critique. Les écrivains bulgares en revanche se tournent volontiers vers les textes des premiers classiques bulgares, mais c’est pour les réécrire sur un mode parodique afin de dévoiler la structure littéraire des mythes nationaux. Et pourtant, malgré l’apparente incompatibilité entre postmodernisme et canon littéraire, leur rencontre dans les dernières décennies du xxe siècle a joué un rôle déterminant dans l’évolution vers une nouvelle conception de l’histoire de la littérature qui s’appuie plus que jamais sur les principes de la polyphonie et du dialogisme.
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Hébert, Martin. "Utopie." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.080.

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Abstract:
Les rapports perçus entre l’utopisme et l’anthropologie sont complexes, contestés et souvent davantage révélateurs du regard qui est posé sur ces deux formes de discours que d’une parenté évidente entre elles. Le sens même à donner à ces termes est ambigu. Nous commencerons ici par examiner des conceptions plutôt restrictives et formalistes de ces types de discours. Elles tracent une frontière relativement claire et rigide, que les anthropologues ont longtemps tenté de renforcer pour assoir l’autorité de leurs propres productions. Dans un deuxième temps, nous aborderons la manière dont cette frontière est devenue de plus en plus poreuse au XXe siècle, reflétant diverses appropriations anthropologiques de l’utopisme. Selon ses définitions les plus restrictives, le genre utopique serait constitué d’un corpus littéraire dont les codes ont été fixés dans l’Utopie de Thomas More (1516). Ses matériaux seraient le voyage imaginaire et il aurait pour finalité de produire le « plan » d’une société dans laquelle les contradictions que perçoit l’auteur-e dans sa propre société sont résolues. Cette même approche définitionnelle appliquée à l’ethnographie en fait un discours qui tire son autorité de l’expérience directe du terrain, dont le ton est ostensiblement descriptif avant d’être normatif et dont l’objectif ultime réside dans l’appréciation et la théorisation de la diversité des sociétés humaines. Même quand l’ethnographie est critique des rapports de pouvoir qu’elle met en récits, sa prétention typique est généralement de « découvrir » les réponses des personnes rencontrées sur le terrain face à ces systèmes de domination, plutôt que d’inventer des solutions pour contrer ces derniers. La distinction entre « découvrir » et « inventer » renvoie au vocabulaire utilisé à l’un des moments charnières dans la différentiation générique entre l’utopie et le discours des sciences sociales naissantes à la fin du XIXe siècle. Dans une brochure intitulée Socialisme utopique et socialisme scientifique (1880), Engels parlait de la recherche des moyens qui pourraient permettre d’ « éliminer les anomalies » mises au jour par l’analyse des sociétés. Il écrit : « Il faut donc non pas inventer ces moyens dans son cerveau, mais les découvrir à l’aide de son cerveau dans les faits matériels […]. » (Engels 1971 [1880] : 92) Les cibles explicites de cette critique sont, ici, les piliers de l’utopisme socialiste que sont Saint-Simon, Fourier et Owens. Pour Engels, l’engagement politique de ces auteurs est louable, mais ils souffrent d’une « immaturité théorique » qui les contraint à recourir aux codes de l’utopisme pour communiquer leur lecture du social et de l’émancipation. Pour Engels, bien entendu, ces jeux littéraires avaient été rendus caduques par l’échafaudage du « véritable » outil scientifique qu’était le matérialisme historique. Cette ligne de fracture générique entre l’utopisme et les sciences sociales n’est certainement pas un fait unique à la tradition marxienne. Dans son étude consacrée à la période d’émergence et de consolidation de l’anthropologie institutionnalisée, Esteban Krotz (2014 [1994]) a montré que la quête de respectabilité scientifique de la discipline anthropologique a souvent impliqué un rejet brutal, catégorique, de toute association possible avec l’utopisme. Cet acte sacrificiel, si l’on peut dire, par lequel le discours anthropologique désavouait sa parenté avec d’autres formes de discours sur l’ « Autre », tels le conte philosophique, le récit de voyage et l’utopie semble avoir été l’acte rhétorique exigé, selon Krotz, pour gagner une place à la table des sciences sociales. Mais sous ce désaveu se cachaient des filiations, peut-être profondes, qui ont continué de lier l’anthropologie et l’utopisme même durant cette période de définition des formes canoniques de la discipline anthropologique. Traitant du contexte français, Philipe Chanial parle de « deux voies » intervenant dans la genèse des sciences sociales : celle des Lumières et celle des Mystères. La seconde, évoquant l’importance « de l’utopie, du romantisme social et de l’Illuminisme » (Chanial 2000 : 80) est généralement peu assumée dans la narration de l’histoire de l’anthropologie. Pourtant, cette branche de l’arbre généalogique disciplinaire a nourri ce que George Marcus a nommé le « projet caché » au sein de l’écriture anthropologique, son engagement politique donnant une portée critique, si ce n’est justement utopique, aux comparaisons faites entre sociétés humaines. À tout le moins, ces ethnographies peuvent être considérées comme disponibles pour une appropriation utopiste. Les premières décennies du XXe siècle sont celles où la distinction générique entre l’utopie et l’ethnographie est affirmée avec le plus de sévérité. L’historiographie de l’anthropologie montre toutefois une certaine porosité dans la frontière entre ces discours. On relève en outre le fait que l’« exonostalgie » est restée un motif utopique récurrent dans le discours anthropologique jusqu’à nos jours (Makens et Blanes 2016). Mais quoi qu’il en soit, une forte connotation négative est attachée au terme d’ « utopie » à l’époque. Dans les années 1870, même l’utopie littéraire est en voie d’être supplantée par les romans dystopiques. L’optimisme (souvent techno-utopique), lui, se déplace alors vers la science-fiction. Ce n’est qu’avec la renaissance de l’utopie en tant que concept sociologique à la fin des années 1920 que cette dernière commencera à devenir fréquentable pour le vocabulaire anthropologique, particulièrement lorsqu’il sera question des résistances face au colonialisme. La réhabilitation de l’utopie en anthropologie peut être découpée en trois moments importants. Dans un premier temps, il sera question d’ethnographier de manière assez classique des communautés intentionnelles qui tentent de refonder la vie sociale par des pratiques expérimentales assumées comme telles. Paraitront des ethnographies de Kibbutz par exemple (Spiro 1956). Mais ces contributions tirent généralement peu parti de la conceptualisation de l’utopie comme force politique. Les références à des textes clés comme le Idéologie et utopie de Karl Mannheim ou le Thomas Münzerde Ernst Bloch, qui ont définitivement rompu avec les définitions littéraires de l’utopie à partir des années 1920, arriveront avec près de quarante années de retard en anthropologie. S’éloignant de la vision « insulaire » de l’utopie comme une sorte de microcosme à ethnographier, les anthropologues commencent alors à adopter des visions plus dialectiques où l’utopie interagit socialement avec des forces, en particulier l’idéologie, qui participent à la reproduction des formations sociales. Cette approche aura une résonnance particulière dans l’étude des contextes coloniaux où les mouvements religieux millénaristes ou prophétiques, par exemple, seront réinterprétés comme des expressions de la ferveur utopique/révolutionnaire des subalternes. Des travaux de Vittorio Lanternari (1962) et de Mühlmann (1968) sur les messianismes et les millénarismes, à ceux de Jean et John Comaroff sur les églises d’Afrique du sud (1991) et de Mondher Kilani sur les cultes du cargo mélanésiens (1983) dans les années 1980, l’étude de mouvements mus par l’« esprit de l’utopie », mais non nécessairement par ses prétentions totalisantes, dirigistes et insulaires classiques, devint une approche importante pour aborder des mobilisations et des résistances souvent difficilement lisibles comme politiques pour les sciences sociales occidentales. Si, dans les ethnographies d’expériences communautaires ou de mouvements sociopolitiques la différence générique entre l’utopisme et l’écriture anthropologique demeurait relativement stable, un troisième moment de cette réappropriation de l’utopie viendra questionner cette frontière. Des appels faits dans les années 1960 à pratiquer une ethnographie engagée jusqu’aux réflexions sur l’autorité narrative dans les années 1980, nous constatons une remise en question croissante de la possibilité pour les anthropologues d’agir simplement comme les observatrices et observateurs des utopies des « autres ». Réciproquement, des spécialistes de l’utopisme commençaient à proposer que le texte utopique soit compris comme une pratique politique située dans et agissant sur la société (Suvin 1979). Ainsi, la distinction rigide qu’avait postulé Engels entre l’action de « découvrir » des réponses aux contradictions de la société et celle de les « inventer » devenait de moins en moins claire. L’apparent délitement des frontières génériques entre l’ethnographie contemporaine et l’utopisme met en évidence l’importance de recentrer notre appréciation de ces genres sur les usages qui sont faits des textes eux-mêmes. Une ethnographie peut facilement être réappropriée dans des projets délibérés de revitalisation, voire de réinvention, de la vie sociale. Les tentatives de faire du buen vivir un un principe de refondation macro-sociale de certains États d’Amérique latine, par exemple, mettent en évidence de telles réappropriations. L’inscription du principe du buen vivirdans la constitution de l’Équateur en 2008, par exemple, peut être vue comme une telle appropriation. Inversement l’utopie ou des genres apparentés, dont la science-fiction en particulier, sont de plus en plus mobilisés explicitement comme puissants outils auto-ethnographiques par une diversité de groupes historiquement marginalisés (Dillon 2012). Un certain nombre d’auteurs du Sud ont d’ailleurs noté la pertinence de s’inscrire dans la tradition utopique et d’y revendiquer une participation en soutenant qu’elle a débordé l’Occident depuis bien longtemps déjà (Bagchi 2016). Elle peut même constituer une réponse épistémologique critique face aux idéaux eurocentriques des Lumières dans la mesure où l’utopie elle-même s’est souvent définie par son rapport agonique face à ces derniers (Kannepalli Kanth 1997 ; Sarr 2016). Activer et déstabiliser les codes de littératures et pratiques si étroitement liées à la modernité occidentale devient alors une stratégie à la fois pour découvrir et pour inventer des manières de la confronter sur son propre terrain.
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