Journal articles on the topic 'Conception d’interactions'

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Roy, Émeline, Éric Tortochot, and Christophe Moineau. "« Situation didactique, situation opérationnelle de conception : construction, apports et emprunts théoriques d’une didactique du design »." Travail et Apprentissages N° 25, no. 1 (February 6, 2024): 65–89. http://dx.doi.org/10.3917/ta.025.0065.

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Abstract:
Cet article présente les apports théoriques de la TACD à une didactique professionnelle du design pour analyser les interactions entre étudiants, enseignants, usagers et commanditaire dans le cadre d’un exercice pédagogique au sein d’une formation supérieure de design. L’objectif du dispositif qualifié d’expérience de « design social » est le développement de compétences de conception, notamment au travers des médiations identifiées au sein d’interactions avec un commanditaire et des usagers. La présence de ces derniers au sein de la situation didactique de conception nourrit un « ailleurs du didactique », agit significativement sur les milieux didactiques successifs et multiplie la nature des savoirs en jeu. L’étude révèle ainsi une succession de situations didactiques, au sens de la didactique disciplinaire, imbriquée au sein d’une situation d’apprentissage « en contexte » nécessaire pour offrir un terrain d’enquête inhérent aux pratiques d’innovation sociale par le design. La situation étudiée révèle les enjeux et les tensions entre les buts des différents acteurs d’une situation opérationnelle et de situations didactiques.
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Alexandre, Marie. "L’apport du construit au champ didactique : le savoir-enseigner au collégial." Articles 52, no. 3 (August 8, 2018): 571–95. http://dx.doi.org/10.7202/1050904ar.

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Abstract:
Le processus de travail enseignant et les construits qui en découlent concourent à éclairer l’interdépendance de concepts fondamentaux de la didactique. Les résultats d’une étude de cas multiple sur le savoir-enseigner d’enseignants expérimentés en Techniques d’éducation à l’enfance au collégial révèlent un processus didactique à quatre phases : interprétation, représentation, conception d’environnements d’apprentissage et adaptation aux caractéristiques des étudiants. Les liens repérés entre les activités clés et les actions façonnent des zones d’interactions précisant la notion de construit didactique et mettent en lumière des concepts de la didactique tels que la transposition, les niveaux de formulation des concepts et le schème. Le savoir-enseigner devenu objet didactique est au coeur d’un nouvel espace de problématisation : la didactique de l’enseignement supérieur.
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LAHOUAL, Dounia, and Myriam FRÉJUS. "Conception d’interactions éthiques et durables entre l’humain et les systèmes d’intelligence artificielle. Le cas de l’expérience vécue des usagers de l’IA vocale." Revue d'intelligence artificielle 32, no. 4 (August 28, 2018): 417–45. http://dx.doi.org/10.3166/ria.32.417-445.

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Blais1, Étienne, Marie-Andrée Couture, Rémi Boivin, and Brigitte Poirier. "Pouvoir discrétionnaire, infractions routières et interventions policières." Criminologie 50, no. 2 (October 27, 2017): 257–79. http://dx.doi.org/10.7202/1041707ar.

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Abstract:
Cet article adopte une conception perceptuelle du pouvoir discrétionnaire afin de comprendre le processus décisionnel des patrouilleurs dans le cadre de leurs activités de sécurité routière. Plus précisément, l’article relève les éléments pris en considération par les policiers lorsqu’ils décident d’intercepter les automobilistes qui commettent une infraction et, par la suite, de donner un constat d’infraction. Pour y arriver, 19 entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de patrouilleurs (n = 15) et directeurs de poste (n = 4). Les résultats montrent que les infractions graves mènent presque automatiquement à l’interception et l’émission d’un constat d’infraction. Lorsque les infractions entrent dans la zone de tolérance des policiers, que les policiers sont de mauvaise humeur et qu’ils vivent des contraintes de temps, le risque d’interception est révisé à la baisse. Une fois interceptés, les jeunes conducteurs et ceux ayant une mauvaise attitude sont plus souvent sanctionnés. Les policiers qui croient à l’efficacité du constat sont plus susceptibles d’en décerner. Enfin, les résultats indiquent que chaque décision est le résultat d’interactions entre différentes contraintes normatives liées au policier, à l’automobiliste et à son infraction, à l’environnement routier et à l’organisation policière.
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Wray, Alexander, Gina Martin, Emma Ostermeier, Alina Medeiros, Malcolm Little, Kristen Reilly, and Jason Gilliland. "Interventions pour favoriser l’activité physique et l’appartenance sociale chez les enfants et les jeunes dans des espaces extérieurs : revue rapide de la littérature." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 40, no. 4 (April 2020): 115–27. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.40.4.02f.

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Abstract:
Introduction La conjugaison d’une augmentation du comportement sédentaire et d’une baisse de la santé mentale globale chez les enfants et les jeunes canadiens dans les dernières décennies est le signe évident que l’on a besoin de recherche appliquée axée sur l’élaboration et l’évaluation d’interventions interdisciplinaires. Les espaces extérieurs offrent des possibilités d’activité physique et d’interactions sociales, ce qui en fait un cadre idéal pour répondre à ces préoccupations essentielles en matière de santé chez les enfants et les jeunes. Méthodologie Nous avons procédé à une revue rapide de la littérature évaluée par les pairs (n = 3 096) et de la littérature grise (n = 7) afin de sélectionner les interventions en faveur de l’activité physique et de l’appartenance sociale portant sur les espaces extérieurs et visant les enfants et les jeunes (19 ans ou moins) en Australie et en Nouvelle­Zélande, au Canada, en Europe et aux États­Unis. Nous avons déterminé si les interventions étaient efficaces en analysant la conception de l’étude, les intervalles de confiance et les limites signalées, puis en réalisant une synthèse narrative des interventions efficaces. Résultats Nous avons relevé 104 études, dont 70 (67 %) ont été jugées efficaces. Sur l’ensemble, 55 interventions visaient l’activité physique, 10 visaient l’appartenance sociale et 5 visaient les deux. Le jeu (n = 47) et le contact avec la nature (n = 25) étaient les thèmes dominants dans toutes les interventions, la plupart ayant lieu dans une école ou un parc. Nous rendons compte des caractéristiques, des limites et des conséquences de ces interventions. Conclusion L’intégration d’éléments naturels et ludiques dans les espaces extérieurs peut être un moyen efficace d’améliorer l’activité physique et l’appartenance sociale. Il y a un besoin considérable de recherches plus spécifiques au Canada. De nouvelles stratégies, comme l’intégration de la technologie des téléphones intelligents dans la conception et l’évaluation de ces interventions, méritent d’être envisagées.
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Chapoulie, Jean-Michel. "La conception de la sociologie empirique d'Everett Hughes." Sociétés contemporaines 27, no. 3 (September 1, 1997): 97–109. http://dx.doi.org/10.3917/soco.p1997.27n1.0097.

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Abstract:
Résumé L’article fournit des repères pour comprendre les caractéristiques de la conception de la sociologie de Hughes qui sont laissées implicites par celui-ci. Après avoir rappelé le sens particulier de la notion d’interaction chez Hughes et chez Park, l’auteur dégage trois caractéristiques originales du mode de pensée de Hughes: les analyses en termes de relations sociales; le souci d’établir empiriquement les limites du système d’interaction dans lequel se situent les objets étudiés; un usage inhabituel de la méthode comparative propice à une approche dégagée des jugements de valeurs constitués.
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Tricot, André, and Alain Rufino. "Modalités et scénarios d’interaction dans des hypermédias d’apprentissage." Articles 25, no. 1 (October 17, 2007): 105–29. http://dx.doi.org/10.7202/031995ar.

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Abstract:
Résumé Cet article propose de distinguer deux niveaux dans la conception d'un outil pédagogique multimédia interactif: celui des modalités d'interaction et celui du scénario d'interaction. Les modalités d'interaction concernent les aspects concrets et matériels de l'interaction de l'utilisateur avec la machine; a priori, rien de spécifique ici au domaine des apprentissages. Le scénario d'interaction concerne les aspects pédagogiques de l'interaction de l'apprenant avec un contenu d'enseignement; a priori, rien de spécifique ici au support utilisé. Le texte illustre la distinction entre ces niveaux en montrant d'abord, à partir d'éléments de la documentation empirique, les effets que peuvent avoir des options prises à chaque niveau sur l'activité de l'utilisateur-apprenant; puis, à partir de leur expérience de concepteurs de cédéroms, les auteurs apportent des exemples de solutions de conception.
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Quéinnec, Jean-Paul. "Dispositif cartographique du son pour une scène sans bord." Recherches sémiotiques 36, no. 1-2 (September 7, 2018): 271–94. http://dx.doi.org/10.7202/1051188ar.

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Abstract:
La visée ‘spatiale’ qui s’empare à la fois des allègements technologiques et des changements culturels de notre société, s’associe à la conception sonore. Les innovations en termes de dispositifs invitent les chercheurs créateurs de la scène à franchir de nouvelles frontières, et à délocaliser les lieux traditionnels de représentation vers des sites réels et virtuels à habiter. Nicole Gingras remarque qu’un son qui habite l’espace est un son qui s’éprouve à l’égal du lieu où il se produit (2014), privilégiant une écriture scénique qui fait résonner les aspérités physiques et mémorielles de l’espace. Le dispositif théâtral s’attache alors au contexte sonore pour élargir l’écoute à des aspects apparemment extérieurs au champ dramatique de la pièce (Lelong 2007). Ce que confirme J. Sterne (2012) quand il écrit “the one who hears remains at the center of the audio environment” . Le lieu non plus seulement considéré comme le ‘cadre’ de présentation mais aussi comme une instance capable de générer l’oeuvre elle-même, prend sa ‘place’, grâce aux découvertes dans le domaine de l’acoustique. Mais ce tournant spatial du son correspond aussi à une émancipation de l’espace réel pour s’évader vers des extensions virtuelles d’expériences topographiques. Une géoesthétique (Quiros & Imhoff 2014) qui pourrait entraîner le dispositif théâtral et sonore vers une investigation cartographique “ouverte, connectable dans toutes ses dimensions, démontable, renversable, susceptible de recevoir constamment des modifications” (Deleuze & Guattari, 1980). Inspirée du processus comme de la lecture d’une trajectoire cartographique, la dramaturgie sonore représente alors véritablement un enjeu pour faire de la scène une plate-forme variable d’interactions, remplissant plus que jamais, sa fonction sociale et culturelle de média (Larrue 2014). Ainsi dans cet article, il s’agira d’une part, de mieux comprendre ce processus d’auralité qu’une délocalisation de la scène entraîne (notamment à travers l’approche du field recording qui se confronte à l’imprévisible et à l’incontrôlable) et d’autre part, de rendre compte d’une diffusion scénique et étendue (sur un plateau et par internet) à la fois performative, multimédia et intermédiale. Pour illustrer nos propos, nous nous appuierons sur deux recherches créations menées par la Chaire de recherche du Canada “Dramaturgie sonore au théâtre” : Liaisons sonores Brest/Mashteuiatsh (performance radiophonique) et Cartographies de l’attente. Projets qui déploient, de leur fabrication à leur présentation, des écritures cartographiques qui ne résultent pas exclusivement des intentions de son auteur comme de la limite physique de la scène, mais dépendent aussi des stations d’écoute aléatoires et mouvantes de chaque spectateur.
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Wolfs, José-Luis, Christophe Leys, Sandy Legrand, Damien Karnas, Coralie Delhaye, Charlotte Bouko, and Sandrine Zamboni. "Les représentations des élèves à propos de différentes postures intellectuelles possibles entre science et croyances religieuses : mise à l’épreuve de la validité de construit d’un questionnaire y afférant." Mesure et évaluation en éducation 37, no. 2 (March 30, 2016): 101–32. http://dx.doi.org/10.7202/1035915ar.

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Abstract:
Plusieurs recherches ont mis en évidence, chez des élèves ou des professeurs, différentes formes de rejet de la théorie de l’évolution ainsi que la perception de différentes formes d’interactions entre science et croyances religieuses. C’est pourquoi un questionnaire permettant d’étudier la manière dont les élèves situent, l’un par rapport à l’autre, le registre de la science et celui des croyances religieuses a été élaboré, sur base d’un modèle théorique (Wolfs, 2013 : Wolfs, Salamon, De Coster, El Boudamoussi, & Jackson, 2008) distinguant six conceptions-types : le « rejet de la science au nom de conceptions fidéistes », le « concordisme classique », le « concordisme inversé », « l’autonomie de la science », la « complémentarité » et les « critiques rationalistes à l’égard de croyances religieuses ». Après avoir présenté le cadre théorique et les modalités de construction du questionnaire, cet article examine sa validité de construit et la consistance interne de ses dimensions, à partir des réponses fournies par 638 élèves de dernière année de l’enseignement secondaire belge francophone. Une structure factorielle globalement cohérente avec le modèle de référence a été dégagée au terme d’une analyse factorielle confirmatoire. En outre, ses différentes dimensions s’avèrent être consistantes (alpha de Cronbach). La pertinence de cet outil pour traiter une problématique éducative pour laquelle il en existe très peu est ensuite discutée.
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Petitimbert, Jean-Paul. "La sémiotique à l’épreuve de l’écrit: régimes rédactionnels et intelligibilité." Galáxia (São Paulo), no. 44 (August 2020): 37–49. http://dx.doi.org/10.1590/1982-25532020248124.

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Abstract:
Résumé La manière dont on comprend la vocation de la recherche en sémiotique se traduit nécessairement dans la manière dont on écrit pour rendre compte des résultats obtenus. Si les différentes conceptions de la discipline qui partagent la communauté des sémioticiens furent clairement mises au jour par Jean-Marie Floch dans les années 1980, sa trop brève réflexion ne prenait en compte que les postures adoptées par les uns et les autres mais n’abordait pas la question des textes produits par chacun. C’est à cette question que le présent article s’efforce d’apporter des éléments de réponse en proposant une topographie des divers types d’écriture observables dans l’ensemble de la littérature sémiotique contemporaine, en prenant en compte une variable cruciale quand il s’agit de recherche, celle de l’intelligibilité des exposés. Largement inspiré des avancées proposées par Eric Landowski en matière d’interactions – ici entendues comme celles que les textes construisent entre leurs auteurs et leurs lecteurs – le travail qui suit permet de dégager quatre grands régimes rédactionnels.
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Ollivier, Guillaume, Stéphane Bellon, Tatiana Deane de Abreu Sá, and Danièle Magda. "Dossier : Perspectives franco-brésiliennes autour de l’agroécologie – Aux frontières de l’agroécologie. Les politiques de recherche de deux instituts agronomiques publics français et brésilien." Natures Sciences Sociétés 27, no. 1 (January 2019): 20–38. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2019017.

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Abstract:
L’agroécologie en France et au Brésil résulte d’interactions entre la science, des pratiques agricoles et la politique. Nous analysons la manière dont deux institutions publiques de recherche agronomique, l’Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecuária (Embrapa) et l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), appréhendent ces frontières à l’occasion de sa mise sur leur agenda de programmation. Notre analyse montre comment leurs exercices de programmation étant, plus ou moins, dépendants de leurs contextes politiques nationaux, il en résulte des dynamiques et des cadrages différents de la notion. Précédant l’Inra, l’Embrapa, fortement incité par le gouvernement et les mouvements sociaux, intègre l’agroécologie pour légitimer une recherche alternative, au service des agriculteurs familiaux dans un contexte agricole et politique très clivé et houleux. À l’Inra, l’agroécologie permet la (re)légitimation de l’agronomie pour répondre aux enjeux sociétaux actuels, tout en rejetant la radicalité politique des mouvements sociaux. Elle trouve ensuite un écho dans la politique publique. Nous montrons enfin que la notion donne lieu à des cadrages et débats internes au sein des deux institutions reflétant différentes conceptions du rapport science/société.
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Simard, Myriam, Laurie Guimond, and Julie Vézina. "Alliances et tensions entre néoruraux et décideurs locaux dans le Québec rural." Revue Gouvernance 15, no. 2 (March 18, 2019): 50–85. http://dx.doi.org/10.7202/1058088ar.

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Abstract:
La recomposition sociodémographique des campagnes entraîne des répercussions sur les interactions locales et les rapports de pouvoir. Les appréhender demeure un défi, car les analyses se limitent souvent aux seuls conflits entre néoruraux et ruraux de longue date autour d’enjeux partiels, sans inclure les décideurs. Pour dépasser cette vision conflictuelle et fragmentaire, notre objectif est de dégager un portrait global des relations tant de coopération que d’opposition de quatre groupes, soit les néoruraux, les ruraux de longue date, les dirigeants d’organismes et les élus municipaux, à propos de l’ensemble des enjeux les concernant. Cet article s’appuie sur des données recueillies auprès de ces différents acteurs dans deux territoires ruraux contrastés du Québec (Canada). Après un bilan mitigé des liens sociaux entretenus lors de la participation locale des néoruraux, nous nous concentrons sur les zones de collaborations et/ou de conflits de tous ces protagonistes quant aux enjeux démographiques, économiques, socioculturels, politiques, environnementaux et agricoles. Trois tendances émergent, révélant des modalités inattendues d’interactions, des rapports de force complexes ainsi que des conceptions antagoniques de l’espace rural et de son développement futur.
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Leroux, Jacques. "Structure sociale et ordres juridiques originels dans l’Outaouais supérieur et les régions voisines." Recherches amérindiennes au Québec 46, no. 2-3 (July 3, 2017): 105–16. http://dx.doi.org/10.7202/1040439ar.

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Abstract:
Cet article fait un retour sur des thèses classiques en recherche algonquiniste en noyautant la réflexion autour des conceptions de la bande déjà proposées. Il présente d’abord un bref aperçu de recherches antérieures sur une application de la théorie des maîtrises foncières et fruitières où les concepts de bande locale et de bande régionale ont été utilisés et il pose à nouveau le problème de leur définition en reprenant à Edward S. Rogers un questionnement sur des notions afférentes. En prenant pour modèle une classification de niveaux d’interactions sociales proposée par Eleanor Leacock, l’auteur tente d’illustrer la configuration de la maisonnée multifamiliale en se reportant à un récit d’« hivernement » du Père Paul Lejeune, en vue de dégager certains paramètres de conduites sociales caractérisées par l’esprit du don. La mythologie est convoquée pour témoigner de cet esprit chez les Algonquins de l’Outaouais supérieur, pour ensuite servir d’amorce au développement d’une hypothèse sur la bonne distance à établir pour se trouver un conjoint dans le cadre des relations matrimoniales. L’auteur interroge ensuite l’emploi des mots « quartier » et « district » qui auraient désigné des espaces de maîtrises foncières et fruitières étayant les rapports de collaboration entre les membres d’une unité que Leacock appelait « bande d’hiver ».
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Morgand, Audrey. "Pourquoi prendre le risque de la déviance ? Cas de comportements organisationnels face à une technologie Réseau." Management & Sciences Sociales N° 24, no. 1 (January 1, 2018): 53–67. http://dx.doi.org/10.3917/mss.024.0053.

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Abstract:
Cet article propose une analyse qualitative des comportements organisationnels face aux usages attendus d’une technologie Réseau orientée employabilité. L’étude de trois cas à partir d’entretiens et d’observations non-participantes vise à répondre à la problématique suivante : Pourquoi certains acteurs prennent le risque de la déviance ? En effet, des individus adoptent les comportements attendus par les concepteurs et initiateurs de la technologie : ils rendent visibles leurs pratiques, partagent leurs ressources et coordonnent leurs activités. D’autres, au contraire adoptent un comportement en décalage de la règle : ils multiplient les outils d’interaction rendant ainsi l’action opaque. Pour comprendre ce phénomène, l’article mobilise le cadre théorique de la régulation sociale (Reynaud) et de l’innovation (Alter). Ce cadre est particulièrement pertinent pour comprendre les comportements en décalage de la prescription. En effet, ces comportements organisationnels sont teintés de risques car ils entraînent une incertitude face aux pratiques et suppose de modifier le processus coopératif. Ces comportements déviants ne sont pas motivés par un désir d’opposition à la technologie Réseau mais par la volonté de structurer différemment l’action collective. Cette déviance a pour objectif de transformer et protéger la coopération au sein du réseau de relations, transformation et protection non prévues dans la conception du Réseau Social Numérique (RSN).
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Franco Aguilar, José. "Mujeres mexicanas retornadas: reconfiguraciones en la dinámica familiar / Mexican women migrants returning. Reconfigurations in the family dynamics." Revista Trace, no. 80 (July 30, 2021): 234. http://dx.doi.org/10.22134/trace.80.2021.754.

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Abstract:
El presente artículo analiza los cambios o continuidades generados por mujeres mexicanas retornadas dentro de su dinámica intrafamiliar, derivados de su experiencia migratoria en EE. UU. El objetivo será la construcción de una tipología que discrimine la existencia de transformaciones dentro de dicha dinámica. En concreto, se exploran cuestiones intrínsecas en las familias que dan la pauta para contrastar situaciones. Particularmente, se estudian las siguientes dimensiones de análisis: trabajo doméstico, cuidado de los hijos, pautas de interacción familiar y concepción propia de la posición dentro del grupo doméstico. Los sujetos de análisis son veinte mujeres retornadas que tuvieron una residencia en EE. UU., quienes radican en una localidad rural, en el estado de Jalisco en México.Abstract: This article analyzes the changes and continuities in gender roles and family dynamics among migrant women returning from the United States. It considers the migratory experience as a potentially important factor influencing changes in gender dynamics within the family. The objective is to construct a typology that discriminates between existing changes in family dynamics and changes in gender roles resulting from the migratory experience. In order to provide a context to contrast situations, the article explores gender dynamics apparent in certain family dynamics, including housework, childcare, patterns of family interaction, and returning migrants’ conception of their position within the domestic group. The subjects of analysis are twenty returning migrant women from the United States who currently reside in a rural village in Jalisco, Mexico. Keywords: return migration; female return migration; family dynamics; rural area; Mexico. Résumé : Cet article analyse les changements et les continuités générés par les femmes mexicaines de retour de migration dans leur dynamique intra-familiale, comme résultats de leur expérience migratoire aux États-Unis. L’article propose de construire une typologie qui observe l’existence de transformations dans ces dynamiques. Plus précisément, les problèmes intrinsèques sont explorés au sein des familles et définissent la norme dans des situations contrastées. En particulier, sont analysées les dimensions suivantes : travail domestique, garde des enfants, modèles d’interaction familial et conception du rôle féminin dans le groupe domestique. Les sujets analysés sont vingt femmes de retour de migration qui ont résidé aux États-Unis et qui vivent actuellement dans une ville rurale de l’État de Jalisco au Mexique.Mots-clés : migration de retour ; femmes rapatriées ; dynamique intra-familiale ; zones rurales ; Mexique.
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Bubien, Y. "Hôpital 2,0 : du virtuel au réel." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S74. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.342.

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Abstract:
L’hôpital de demain sera 2,0 ou ne sera pas. Derrière ce constat prospectif et déterminé, il y a une réalité indéniable prenant ses racines dès à présent : la santé est déjà connectée et elle le restera. À l’heure des objets connectés, des patients connectés, des prémices de la médecine 2,0 et du big data, il faut dès aujourd’hui nous préparer à repenser nos façons de « panser ». Montres, bracelets, smartphones, balances, fourchettes, piluliers, vêtements ou même brosses à dents, pour chaque instant de votre journée, il y a un objet de santé connecté. Les objets de santé connectés sont en passe de révolutionner le quotidien mais aussi bientôt la conception du soin. Ainsi, d’après un sondage publié par l’institut Odoxa, 81 % des médecins estiment que « la santé connectée est une opportunité pour la qualité des soins » et 91 % jugent qu’elle est « une opportunité pour améliorer la prévention » des maladies. L’enjeu pour l’hôpital de demain est de s’adapter aux changements sociologiques de notre époque. La révolution numérique qui « digitalise » les modes d’interaction entre les patients et les établissements de santé (facebook, twitter, les objets connectés…) ne doit pas faire peur. Bien au contraire, elle doit être une opportunité pour adopter de nouveaux modèles de prise en charge sans doute moins unilatéraux et plus coopératifs. Ces nouvelles organisations devront être capables de mettre à profit les informations recueillies pour le médecin, mais aussi de pouvoir réceptionner de façon sécurisée et adaptée les données d’objets de santé connectés, en dehors de son enceinte. Le marché des big data est aujourd’hui dominé par les grands groupes américains comme google, par les mathématiciens, les informaticiens, les financiers. C’est aux hospitaliers et surtout aux médecins de reprendre la main pour façonner l’hôpital de demain à leur image, au service des patients et des citoyens.
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INGRAND, S., and B. DEDIEU. "Numéro spécial : Quelles innovations pour quels systèmes d'élevage ?" INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 1, 2014): 75–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3055.

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Abstract:
Anant-propos « Innover » est un mot d’ordre sociétal qui encourage la communauté des chercheurs à produire des connaissances, des démarches et des outils visant à faire « autrement », à changer de paradigme, ou tout au moins de modèle de production pour ce qui concerne la communauté des agronomes. Pour une grande partie de cette communauté, le débat est centré sur la conception innovante des systèmes agricoles visant de nouveaux compromis entre production (quantité, qualité), protection de l’environnement, maîtrise de la consommation des énergies non renouvelables, tout en contribuant à la sécurité alimentaire globale et à la traçabilité des pratiques. Mais d’autres dimensions doivent être intégrées : la participation des acteurs au processus de conception, la façon dont les différentes sources d’innovations (la recherche, les agriculteurs, les filières, les industriels) interagissent, l’accompagnement de l’engagement dans le changement des exploitants agricoles et le rôle du conseil (public, privé) dans ce cadre, l’étude des verrouillages sociotechniques, etc. La notion d’innovation embarque de fait beaucoup de questions de natures différentes, auxquelles apporter des réponses nécessite une interdisciplinarité entre sciences techniques et sciences sociales. Ce numéro spécial propose une vision de l’innovation dans les systèmes d’élevage centrée sur la contribution des zootechniciens. Il regroupe ainsi huit articles choisis pour traiter des innovations à l’échelle des systèmes d’élevage (et non aux échelles infra – fonctions physiologiques, animal, ou supra – territoire, filière –). Les auteurs ont été sollicités principalement au sein de l’Inra et chez nos partenaires proches (enseignement supérieur agronomique, Instituts techniques et Cirad). A l’Inra, cela concerne les deux départements de recherche au sein desquels des travaux sont conduits sur les systèmes d’élevage, à savoir le département « Sciences pour l’action et le développement » (Sad) et le département « Physiologie animale et systèmes d’élevage » (Phase). Partant des questions générales sur la conception innovante et l’évaluation des systèmes, ce numéro explore différentes leviers de changements radicaux qui sont en germe dans le secteur de l’élevage : l’élevage de précision, l’écologie industrielle, l’agro-écologie, avec leurs déclinaisons (les capteurs appareillés sur les animaux, l’élevage de poissons avec de l’eau recirculée, les systèmes laitiers bas intrants). Deux articles complètent le panorama en s’intéressant au repérage des innovations dans les exploitations d’élevage en France et aux dynamiques diversifiées d’innovation et de changement en Afrique. Les thèmes des articles ont ainsi été pensés pour mixer des réflexions conceptuelles sur l’innovation, en tant qu’objet et en tant que processus, avec des exemples concrets pris soit dans les dispositifs expérimentaux des instituts de recherche, soit chez les éleveurs eux-mêmes. Différentes espèces animales sont concernées par ces exemples, des poissons aux bovins, en passant par les volailles, les ovins et les caprins. Ce numéro spécial souligne ainsi que le secteur de l’élevage n’est pas en reste en matière d’innovations. Mais le champ est vaste et il ne prétend pas en faire le tour, notamment sur le plan des innovations génétiques : il est difficile d’être exhaustif dans un tel exercice ! Pour finir, à la lecture de ce numéro, quelques questions pour l’avenir nous semblent devoir être formulées : - L’innovation dans les systèmes d’élevage se construit aujourd’hui dans des dispositifs partenariaux associant recherche, développement et formation, inventeurs et utilisateurs. Les éleveurs sont au cœur du processus d’innovation et sont bien sûr les acteurs déterminants de sa réussite ou de son échec. Mais le rôle d’autres parties prenantes (filières, conseil public et privé, action publique, acteurs des territoires et industriels) mériterait d’être plus approfondi ; - Dans le secteur de l’agriculture, et en particulier de l’élevage, les applications des innovations portent sur le vivant, en l’occurrence des animaux. Des questions portent sur la considération apportée à ces êtres vivants et aux formes d’interaction entre hommes et animaux dans le travail quotidien. Par exemple, est-il souhaitable, éthique, d’équiper les animaux avec des capteurs divers et variés, au risque de remettre en cause leur bien-être, ou la nature même de l’activité d’élevage ? L’agro-écologie porte-t-elle d’autres formes de considérations des animaux ? Ces questions importantes restent ouvertes ; - L’avenir sera sans doute fait d’une coexistence de deux mouvements qui peuvent apparaître en première approche contradictoires : d’une part, le mouvement vers l’agro-écologie mettant en exergue les propriétés des processus écologiques et d’autre part, le mouvement vers l’automatisation, les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC), l’élevage dit « de précision » s’appuyant sur l’écologie industrielle et la recherche de l’efficience. Mais ne faudra-t-il pas tenter de travailler aussi la mise en synergie de ces deux mouvements ? - L’innovation dans les systèmes d’élevage doit être réfléchie en même temps dans le secteur animal et végétal, en particulier quand il s’agit de raisonner les systèmes fourragers de demain, mais aussi le rôle des cultures dans l’alimentation animale et l’autonomie des exploitations. La polycultureélevage, bien plus qu’une tradition désuète, est sans doute une forme intéressante et prometteuse pour mettre en œuvre les principes tant d’agro-écologie que d’écologie industrielle, avec des modes d’organisation et d’interaction à repenser entre ateliers à l’intérieur de l’exploitation et entre exploitations à l’intérieur d’un territoire. L’année 2014 est marquée par la sortie en France de deux numéros spéciaux consacrés à l’innovation en élevage : le présent numéro d’INRA Productions Animales et celui de la revue Fourrages1. Pour nous, cela est le signe d’un enjeu important perçu par la communauté scientifique agronomique autour des questions d’innovation, à l’heure où l’élevage doit relever le défi d’être multi-performant. 1 L'innovation en systèmes fourragers et élevages d’herbivores : un champ de possibles. Fourrages, 217, mars 2014
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Reboud-Ravaux, Michèle. "Dégradation induite des protéines par des molécules PROTAC et stratégies apparentées : développements à visée thérapeutique." Biologie Aujourd’hui 215, no. 1-2 (2021): 25–43. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2021007.

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Alors que, pour la plupart, les médicaments actuels sont de petites molécules inhibant l’action d’une protéine en bloquant un site d’interaction, la dégradation ciblée des protéines, découverte il y a une vingtaine d’années via les petites molécules PROTAC, connaît aujourd’hui un très grand développement, aussi bien au niveau universitaire qu’industriel. Cette dégradation ciblée permet de contrôler la concentration intracellulaire d’une protéine spécifique comme peuvent le faire les techniques basées sur les acides nucléiques (oligonucléotides antisens, ARNsi, CRISPR-Cas9). Les molécules PROTAC sont des chimères hétéro-bifonctionnelles capables de lier simultanément une protéine spécifique devant être dégradée et une E3 ubiquitine ligase. Les PROTAC sont donc capables de provoquer l’ubiquitinylation de la protéine ciblée et sa dégradation par le protéasome 26S. De nature peptidique, puis non peptidique, les PROTAC sont maintenant administrables par voie orale. Ce détournement du système ubiquitine protéasome permet aux molécules PROTAC d’élargir considérablement le champ des applications thérapeutiques puisque l’élimination de protéines dépourvues de poches ou de crevasses bien définies, dites difficiles à cibler, devient possible. Cette technologie versatile a conduit à la dégradation d’une grande variété de protéines comme des facteurs de transcription, des sérine/thréonine/tyrosine kinases, des protéines de structure, des protéines cytosoliques, des lecteurs épigénétiques. Certaines ligases telles que VHL, MDM2, cereblon et IAP sont couramment utilisées pour être recrutées par les PROTAC. Actuellement, le nombre de ligases pouvant être utilisées ainsi que la nature des protéines dégradées sont en constante augmentation. Deux PROTAC sont en étude clinique pour les cancers du sein (ARV471) et de la prostate (ARV110). La dégradation spécifique d’une protéine par le protéasome peut aussi être induite par d’autres types de molécules synthétiques : colles moléculaires, marqueurs hydrophobes, HaloPROTAC, homo-PROTAC. D’autres constituants cellulaires sont aussi éligibles à une dégradation induite : ARN-PROTAC pour les protéines se liant à l’ARN et RIBOTAC pour la dégradation de l’ARN lui-même comme celui du SARS-CoV-2. Des dégradations induites en dehors du protéasome sont aussi connues : LYTAC, pour des chimères détournant la dégradation de protéines extracellulaires vers les lysosomes, et MADTAC, pour des chimères détournant la dégradation par macroautophagie. Plusieurs techniques, en particulier des plates-formes de criblage, la modélisation mathématique et la conception computationnelle sont utilisées pour le développement de nouveaux PROTAC efficaces.
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Renault, Valérie, Florent Carlier, and Patrice Bourdon. "TIFAIFAI : Conception de Nouveaux Espaces d’Interactions pour Apprendre." Distances et médiations des savoirs 2, no. 5 (February 26, 2014). http://dx.doi.org/10.4000/dms.588.

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Lavigne, Michel. "Interactivité, interactions et développement cognitif." De l’interactivité aux interaction(s) médiatrice(s) 1, no. 1 (December 12, 2017). http://dx.doi.org/10.25965/interfaces-numeriques.196.

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Abstract:
L’objet de cet article est de confronter les concepts et pratiques d’interactions et d’interactivité à des objectifs de développement cognitif. Nous illustrons notre réflexion par le projet Pogo, expérimentation scolaire dans une classe pour enfants handicapés avec pour objectif la création collaborative d’un logiciel à vocation éducative et ludique. Cette expérimentation nous permet d’interroger les modalités cognitives de l’interactivité dans ses propriétés syntoniques et de motivation dans un contexte d’interactions. Nous dressons à partir de cette réflexion une typologie des modalités de conception de l’interactivité en trois catégories : évaluative, consumériste et créative, que nous confrontons à la question du développement cognitif, afin d’éclairer les ressorts et implications des choix de conception des interfaces numériques.
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LAUDATI, Patrizia. "Le design : stratégie de communication ou outil méthodologique de la fonction communication au sein des organisations ?" Design et fonction communication 8, no. 1 (September 23, 2019). http://dx.doi.org/10.25965/interfaces-numeriques.3754.

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Abstract:
Nous interrogeons les changements paradigmatiques inférés par l’économie de la contribution aux pratiques de communication, à la fois dans les discours et dans les pratiques des entreprises, afin de construire et développer leur marque fondée sur une dynamique participative. Notamment, la prise en compte du contributeur, nouvelle figure d’acteur économique, oblige à une redéfinition des modalités de la création/conception d’une part, et de la participation d’autre part. Afin de relier ces deux paradigmes, nous convoquons le concept de Design et proposons quelques pistes pour designer (au sens anglais du terme) le système d’interactions entre la marque et ses publics.
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Mertens, Audrey, Yaprak Hamarat, and Catherine Elsen. "Méthodologies et méthodes d’analyse des pratiques interactionnelles entre l’architecte et le client-usager dans le cas de projets d’habitation." ModAct2023, 2023. http://dx.doi.org/10.25518/modact2023.69.

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Les relations entre les architectes et leurs clients-usagers représentent toujours une difficulté majeure pour chacune des deux parties, notamment au fil des processus de conception de projets d’habitations. Pour établir un état des lieux des pratiques architecturales belges francophones en matière d’interactions sociales avec le client-usager du projet, nos recherches se sont basées sur plusieurs méthodes : l’entretien-approfondi, l’étude de cas et le processus de codesign. Les données collectées permettent de mettre en avant l’intérêt propre à chaque méthode et leurs limites en matière de recueil et d’analyse des activités interactionnelles, mais également d’en souligner la complémentarité.
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Lantheaume, Françoise. "Des questions controversées aux savoirs enseignables." Diversité, no. 204 (April 9, 2024). http://dx.doi.org/10.35562/diversite.4415.

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Abstract:
Comment des questions controversées sont-elles transformées en savoirs enseignables, intégrées dans un curriculum ? La sociologie du curriculum, inspirée de la sociologie de la traduction, associée à l’histoire, vise à comprendre le processus de construction du curriculum et ses enjeux. Les débats sur des questions controversées en histoire rendent visible ce processus. L’étude de ces controverses, des groupes d’acteurs impliqués et de leurs interactions, des dispositifs et objets qui soutiennent leur action, fait apparaître la fabrique du curriculum comme le résultat d’interactions, d’une circulation des savoirs et de leurs supports dans des réseaux inégalitaires et de plus en plus instables. Ce processus de traduction permanente contribue à donner sa forme et son contenu au curriculum. Une conception moins descendante et plus complexe de la construction du curriculum et du curriculum lui-même en ressort.
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Garmon, Inès. "Le « swipe » pour se rencontrer ou la promesse d’une interaction « fluide »." Formes et dynamiques d'attention, de présence et d'engagements 7, no. 1 (July 9, 2018). http://dx.doi.org/10.25965/interfaces-numeriques.3259.

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Abstract:
Cet article traite d’un geste d’interaction avec nos dispositifs tactiles, le « swipe », sorte de « glissade tactile », mise en œuvre par Tinder et son actualisation dans ce service de rencontres. Son analyse, au filtre des trois notions d’attention, de présence et d’engagement, révèle l’intensité avec laquelle ces modes d’implications s’articulent au sein d’une écriture usuelle et « fluide » ayant prétention à proposer une expérience communicationnelle singulière, et dont la conception serait entièrement centrée sur l’utilisateur.
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Vial, Stéphane. "Qu’appelle-t-on « design numérique » ?" De l’interactivité aux interaction(s) médiatrice(s) 1, no. 1 (December 12, 2017). http://dx.doi.org/10.25965/interfaces-numeriques.163.

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Abstract:
Cet article s’interroge sur la notion controversée de « design numérique » et propose d’en donner une définition rigoureuse à partir d’une épistémologie critique et comparative. Le « design numérique » est d’abord défini en opposition au « design numériquement assisté » avant d’être situé historiquement par rapport à l’expression « design d’interaction » apparue dans le design industriel des années 1980. Replaçant la question du numérique au sein de la révolution phénoménologique et culturelle globale qu’elle représente à l’échelle mondiale, cet article montre en quoi l’expression « design numérique » est plus pertinente pour désigner l’ensemble des pratiques de conception impliquant la matière informatisée, dont le « design d’interaction » n’est qu’une composante parmi d’autres (au même titre que le web design ou le game design). L’article propose ainsi une redéfinition de la matière à l’ère numérique, en distinguant « matière mécanisée » et « matière informatisée » et tente d’esquisser le fondement philosophique du champ du design numérique.
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Bowler, Leanne, Valerie Nesset, Andrew Large, and Jamshid Beheshti. "Using the Web for Canadian History Projects: What Will Children Find?" Proceedings of the Annual Conference of CAIS / Actes du congrès annuel de l'ACSI, November 1, 2013. http://dx.doi.org/10.29173/cais318.

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Abstract:
Three perspectives were used to evaluate existing web pages relevant to grade-six students seeking information about Canadian history. They are 1) traditional evaluation criteria, such as the reliability of information based on its currency, its durability and the authority and purpose of its source; 2) usability and design issues and finally; 3) knowledge transfer issues, such as the level of interaction and interpretation.Trois perspectives ont été utilisées pour évaluer la pertinence des pages Web existantes pour des élèves de sixième année primaire recherchant de l’information sur l’Histoire du Canada. Il s’agit : 1) des critères d’évaluation conventionnels tels que la fiabilité de l’information basée sur sa disponibilité et sa durabilité, ainsi que l’autorité et l’objectif de ses sources; 2) des questions d’utilisation et de conception et finalement, 3) des questions de transfert des connaissances, telles que le niveau d’interaction et d’interprétation.
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Santos, Wederson. "Le handicap évalué par l’interaction sociale : contributions d’une relecture d’Erving Goffman." Capacitismes, no. 1 (December 22, 2023). http://dx.doi.org/10.56078/cfla_discapacidad.292.

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Ces dernières années, les sciences sociales ont perfectionné la compréhension du handicap en dépassant le déterminisme biomédical, pour l’expliquer comme une construction sociale découlant de la relation entre le corps et son environnement. Cela s’est produit dans le domaine des études sur le handicap (disability studies), dans le cadre du paradigme connu sous le nom de modèle social, dont la conception centrale soutient que l’ordre capitaliste impose des barrières à la diversité corporelle. Avant le modèle social, la pensée sociologique d’Erving Goffman a contribué à la réflexion sur l’interaction et le corps dans les situations sociales quotidiennes. Je considère que la théorie de Goffman, bien que classique et nécessitant quelques ajustements aux hypothèses critiques du modèle social, favorise avant tout une évaluation du handicap du point de vue de l’interaction. J’utilise la méthode du cadrage ou de l’analyse du cadre (frame analysis), basée sur mon expérience en tant que professionnel de l’évaluation du handicap et de la recherche sur les études critiques du handicap, et j’essaie d’étudier la possibilité d’utiliser la théorie de Goffman pour caractériser le handicap d’un point de vue biopsychosocial. J’analyse de manière critique les concepts d’interaction en face à face, de façade, de coprésence, d’expression corporelle, d’implication, de stigmatisation et d’impropriété situationnelle, qui, ensemble, peuvent fournir un arsenal analytique aux professionnels pour analyser la relation dynamique entre les corps, les différences et les contextes dans l’acte d’évaluation, en dialogue avec le modèle social.
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Roy, Bernard. "Santé." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.079.

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De nombreux anthropologues appréhendent la santé comme une « construction sociale » qui varie considérablement d’une société à une autre, d’une époque à une autre. Dans toutes les sociétés, les anthropologues constatent que le concept santé s’exprime en des termes et des mots variés généralement associés à la notion de « bien-être ». Chez les Tzeltal et Tzotzil Maya des hautes terres du Chiapas, le concept de santé s’exprime par les mots « vital warmth » (chaleur vitale) (Groark 2005). Chez les vieux Innus (Montagnais), la santé réfère à la qualité de vie tandis que chez les Inuits, la santé serait conçue comme un ordre harmonieux dans lequel la personne est intégrée dans un environnement social, temporel, spirituel et non empirique (Therrien et Laugrand 2001). Et si cette notion de qualité de vie/santé varie d’un peuple à l’autre, elle fluctue également d’une classe ou d’un groupe social à un autre. Les anthropologues du début du XXe siècle ne parlaient pas d’ethnomédecine et encore moins d’anthropologie médicale, d’anthropologie de la santé ou d’anthropologie de la maladie, mais plutôt, de médecine primitive, archaïque ou traditionnelle. Presque toutes les monographies ethnologiques anciennes proposent des sections portant sur la maladie, les médecines indigènes ou les pratiques et croyances médicales. Dès le XVIIIe siècle, le missionnaire jésuite, Joseph-François Lafitau, qualifié par William N. Fenton et Elizabeth L. Moore de « premier éclat de lumière sur la route de l'anthropologie scientifique » (Fenton et Moore 1969) documenta, dans son œuvre Mœurs des sauvages américains comparées aux mœurs des premiers temps (Lafitau 1983), les pratiques médicales, les maladies ainsi que la santé des Iroquois. Au début du XXe siècle, les anthropologues décrivirent et analysèrent les us et coutumes de peuples vivants à l’écart de la modernité (Massé 1995). Les nombreuses monographies publiées à la suite de longs terrains contribuèrent aux développements de connaissances concernant les représentations sociales de la santé et de la maladie chez les praticiens et les peuples éloignés et isolés d’une modernité qui s’imposait tout autour de la planète. Constatant l’accroissement du nombre d’anthropologues travaillant au sein des structures médicales et sur des questions de santé et de maladie, Normand Scotch crée, au début des années 1960, le terme Medical anthropology (Scotch 1963 cité par Walter 1981). Peu à peu, cette nouvelle discipline se distingue à la fois aux niveaux théoriques et de l’application. Cherchant à comprendre les phénomènes de la santé/maladie dans différents contextes culturels, l’anthropologie médicale prend comme objet d’analyse les façons dont les acteurs sociaux reconnaissent et définissent leur santé, nomment les maladies, traitent leurs malades (Massé 1995). Les premiers travaux des anthropologues médicaux répondent surtout aux demandes d’une médecine qui cherche à comprendre comment la culture intervient dans l’avènement des maladies et comment contrer les résistances des populations aux entreprises déployées pour améliorer la santé depuis une perspective biomédicale. « Quand on fait appel à l’anthropologue dans une étude épidémiologique, c’est souvent afin qu’il trouve les bonnes formulations pour cerner les “facteurs culturels” qui influencent les pratiques sanitaires... » (Fassin 2001 :183). Rapidement, ce nouveau champ de l’anthropologie fait l’objet de critiques. Qualifiée de discipline bioculturelle, l’anthropologie médicale est critiquée en raison de ses thèmes de recherche dictés par la santé publique et de la domination des professionnels de la santé dans le dialogue avec les anthropologues impliqués dans les milieux de la santé. Byron Good (1994) estimait pour sa part que les travaux des anthropologues médicaux, dans les années 1950-1960, contribuèrent au développement d’une critique de la naïveté culturelle soutenant le regard porté par les instances de santé publique internationales sur le complexe santé/maladie. Toutefois, quelques chercheurs s’intéressent spécifiquement à la notion de santé en dehors de l’axe santé/maladie et proposent celui de santé/vie. Au début des années 1970, Alexander Alland formule une théorie anthropologique médico-écologique qui se base sur le principe de l’adaptation culturelle à l’environnement. Cette théorie postule que la santé résulte de l’adaptation biologique et culturelle d’un groupe d’individus dans un environnement donné. Un peu moins de dix années plus tard, McElroy et Towsend (1979) élaborent un cadre écologique qui affine cette première proposition. Pour McElroy et Towsend, la santé des individus et des collectivités résulte de l’équilibre établi entre les éléments biotiques, abiotiques et culturels d’un écosystème. Cette conception de la santé proposée par le courant écologique fera l’objet de nombreuses critiques du fait, entre autres, du nivèlement de la culture sur la nature qu’elle soutenait. Parallèlement aux courants écologique et bioculturaliste se développe une tendance phénoménologique (Laplante 2004). Délaissant les catégories objectives de la médecine, Kleinman (1980) et Good (1994) proposent d’appréhender la santé et la maladie sur les bases de l’expérience humaine. Tandis que Kleinman s’intéresse à la manière dont les gens expriment leur notion de la maladie à partir de leur expérience (Illness) qu’il articule autour de modèles explicatifs indissociables des systèmes culturels, Good s’intéresse aux réseaux sémantiques qui permettent à la personne de réorganiser en permanence son expérience en fonction du contexte et des circonstances. La maladie, et par extension la santé, ne correspondent plus à une chose en soi ou à sa représentation. L’une et l’autre résulteraient, plutôt, d’interactions qui permettent de synthétiser des significations multiples. D’autres anthropologues estimeront que la santé et la maladie sont des résultantes de l’histoire propre aux communautés humaines. Ces anthropologues proposent un recadrage radical de toute démarche visant à identifier les problèmes de santé et leurs dynamiques d’émergence dans une communauté humaine. Cette anthropologie considère d’emblée la communauté comme unité centrale d’analyse et s’intéresse « à la manière dont un contexte social et culturel informe les perceptions, valeurs et comportements des personnes » dans les dynamiques productrices de santé et de maladies. (Corin, Bibeau, Martin,et Laplante 1990 : 43). Dans ces contextes il reviendra aux anthropologues de participer à l’élaboration de politiques de santé adaptées aux diversités culturelles. Dès les années 1960, des anthropologues développent une critique de la médecine et de la santé internationale. Ils proposent de porter davantage attention aux conditions macrosociétales de production de la santé et de la maladie. En 1983, lors de la réunion annuelle de l’American Anthroplogical Association des anthropologues soulèvent l’importance pour l’anthropologie médicale de porter son attention sur les conditions sociales, économiques et politiques de production de la santé et de la maladie (Baer, Singer et Johnsen 1986). Pour ces anthropologues, la santé constitue un produit social et politique qui révèle l’incorporation de l’ordre social et des inégalités dans les corps (Fainzang 2005). Leurs recherches s’orienteront, du coup, autour de l’idée selon laquelle les inégalités sociales, les rouages du pouvoir et de l’exploitation, constituent les tout premiers facteurs de détermination de la santé et, par conséquent, de la maladie. La santé n’est plus ici considérée comme une réalité dérivée de définitions biologiques, médicales. Elle apparait comme une notion et un espace définis par les rapports entre le corps physique et le corps social. La santé ne correspond plus à la reconnaissance d’une norme physiologique, moyenne ou idéale. Elle est une construction culturelle qui ne peut être appréhendée que de manière relationnelle, comme un produit du monde social (Fassin 1996). Si les travaux des anthropologues ont davantage porté sur les phénomènes entourant la maladie et non sur ceux concernant la santé, ils ont toutefois largement contribué à la distinction analytique de la maladie dans ses dimensions médicales (disease), personnelles/expérientielles (illness), sociale(sickness) et, plus tard, en évoquant le concept de la souffrance sociale. Mais un constat s’impose. Les réflexions et recherches menées à l’endroit du concept de la santé par les sciences de la santé et les sciences sociales sont généralement moins développées que celles portant sur la notion de maladie. La perspective anthropologique impose d’appréhender le concept de santé comme un objet socialement et culturellement construit dans un espace-temps indissociable du global. Loin de se référer à une simple absence de pathologie, la santé se développe, se révèle dans le rapport entretenu par le sujet à lui-même et aux autres. Pour l’anthropologie, il y a d’abord l’intérêt à situer la santé dans l’expérience vécue d’un sujet en lien avec les autres. Acteur et créateur, il est également assujetti aux forces du contexte socioéconomique, politique et historique (Fainzang 2005). La santé se révèle ainsi comme une notion polysémique et un objet complexe qui se situe dans une trame d’interactions collectivement partagée du vivant avec son milieu s’incarnant dans les expériences singulières de l’être-au-monde (Massé 2010). Toutefois les propos de l’anthropologue Gilles Bibeau demeurent pertinents. « La santé continue d’être sous-conceptualisée et appréhendée de manière encore trop souvent inadéquate. […] Se pourrait-il que le surplus d’interventions de santé nous expédie hors du champ de la santé? » (Bibeau 2006 : 82, 84).
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Maunaye, Emmanuelle, and Elsa Ramos. "Le chez-soi et les limites de l’individualisation : territoires personnels, statutaires et d’appartenances en déséquilibre." Enfances, Familles, Générations, no. 39 (July 28, 2022). http://dx.doi.org/10.7202/1090929ar.

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Abstract:
Cadre de la recherche : Dans une perspective qui met au centre l’individu - bien qu’inscrit dans des groupes notamment familiaux - cet article propose d’analyser le chez-soi comme un espace qui intervient dans la construction d’un « individu individualisé » et envisage en même temps les limites qui peuvent être observées à cette fonction du chez-soi. Objectifs : Cette introduction vise à définir la notion de chez-soi pour en dégager toutes les dimensions. Si les dimensions spatiales, temporelles et relationnelles du chez-soi peuvent être distinguées pour les besoins de l’analyse, l’article s’attache à montrer comment elles sont intimement articulées d’une part, dans l’expérience des individus pour soutenir la construction de leur identité personnelle, de leur autonomie, de leur pouvoir sur eux-mêmes et leur rapport au territoire (Simard and Savoie, 2009) ; d’autre part, dans la construction des groupes et des relations familiales. Méthodologie : Cet article s’appuie sur une revue de littérature et sur les différentes contributions du numéro pour présenter la notion du chez-soi et la perspective théorique empruntée. Résultats : Dans la cohabitation familiale, conjugale et intergénérationnelle, la construction du chez-soi se joue dans des rapports d’interaction avec les autres membres de la famille qui ont également leur propre construction et conception du chez-soi. Ces constructions et conceptions produisent par là même des rapports différenciés et parfois dissymétriques ainsi que trois expériences différentes de chez-soi. Le premier chez-soi renvoie aux territoires personnels, le « chez-moi » ; le deuxième aux règles et aux lois qui régissent une cohabitation et l’espace dans lequel est inséré le chez-soi. Dans ce cas, il est défini par un aspect statutaire et hiérarchique, l’individu a une place assignée par son statut. C’est un chez-nous-assignation. Enfin, le troisième s’incarne par une appartenance et une place dans un groupe ou une communauté où l’individu est considéré comme égal. C’est un chez-nous appartenances. Si le premier « chez » est principal dans le processus d’individualisation, tout autant le sont les deux autres qui amènent, d’une part, à la mise au jour des limites du « chez-moi », d’autre part, à la question de l’inscription de l’individu dans le groupe, notamment familial. Conclusions : La question du chez-soi amène à considérer deux aspects : le rapport de l’habitant seul au chez-soi et le rapport de l’habitant avec au chez-soi. Dans ce deuxième aspect, il se construit dans une tension entre une logique d’autonomie et une logique d’appartenance comme membre du groupe. Dans cette deuxième logique, être membre du groupe que nous traduisons par chez-nous relève de deux dimensions : le chez-nous-assignation et le chez-nous-appartenances. En ce sens, le chez-nous contraint le chez-soi et la famille apparaît comme une instance paradoxale de validation de l’individu. Elle a donc une double fonction, celle de permettre d’être soi (favoriser les espaces personnels et valider les dimensions individuelles de l’identité) et aussi de reconnaitre à chacun de ses membres un être à sa place dans le groupe et un y avoir sa place. Les limites à l’individualisation du chez-soi s’observent quand un déséquilibre existe entre ces trois « chez », territoires personnels, chez-nous-assignation et chez-nous-appartenances. Contribution : Le chez-soi est un observatoire précieux de cette construction qui se décline au passé, présent et futur en interaction : avoir été, être et devenir. Le mouvement itératif entre le chez-soi et l’identité est substantiel à la construction de l’individu et du groupe familial.
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Lapierre, Nicole. "Mémoire." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.055.

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Abstract:
La mémoire ne fait pas partie des notions classiques de l’anthropologie. Dans l’étude des traditions, des mythes, des croyances ou des rituels, elle est restée longtemps non problématisée. Incluse dans les mécanismes de reproduction de la culture, implicite dans la transmission des manières de faire et de penser, elle n’était que le support indistinct d’une permanence. Pourtant, il n’y a pas plus de sociétés sans mémoire qu’il n’y a de sociétés sans histoire. Ce constat s’est finalement imposé. A partir des années 1970, la mémoire est devenue un objet d’enquête et de réflexion pour les anthropologues (Candau 1996, 1998). La prise en compte grandissante des phénomènes d’interaction ou de domination culturelles les a conduits à analyser la façon dont pratiques et croyances se transmettent, se transforment ou se dégradent dans les cultures et les sociétés. Ainsi, Roger Bastide, s’intéressant à « la survie des religions africaines dans le Nouveau Monde » (Bastide 1970), a mobilisé des concepts empruntés à Claude Lévi-Strauss et à Maurice Halbwachs et proposé la notion de « bricolage de la mémoire collective ». Celui-ci permettant de remplir les manques par des images nouvelles afin de réparer le scénario du mythe ou du rituel. Beaucoup d’autres auteurs se sont intéressés depuis à cette plasticité de la mémoire, susceptible d’être réorganisée, voire recomposée, en prenant directement pour objet et sujet de réflexion les vecteurs et canaux des transmissions culturelles. Jack Goody, étudiant la circulation orale du Bagré chez les LoDagaa du nord-ouest du Ghana, a constaté que ce récit de près de 12 000 vers, réinterprété au fil du temps, varie selon le lieu, le moment et le récitant. Une variation, alliant continuité et changement, qu’il attribue à la flexibilité de la culture orale, par rapport à une plus grande fixité de la culture écrite (Goody 1977). Dans une approche différente, Carlo Severi a montré comment le recours à l’image pouvait être support et outil de la mémoire rituelle dans des sociétés « sans écriture », (Severi 2007). Et Monder Kilani a observé que dans la société oasienne, la référence à une trace écrite vient conforter une construction généalogique et mémorielle modulée selon les enjeux du présent (Kilani 1992). On retrouve là l’affirmation première d’Halbwachs selon laquelle « la mémoire collective » est toujours sélective et « ne retient du passé que ce qui en est encore vivant ou capable de vivre dans la conscience du groupe qui l’entretient. » (Halbwachs [1950] 1969 : 70). Toutefois, la multiplicité des temporalités dans lesquelles s’inscrivent désormais les sociétés altère les processus de transmissions eux-mêmes. Ce qui oriente les recherches vers la manière dont leurs membres perçoivent et organisent leur rapport au passé. Les ethnologues sont fréquemment confrontés à ce point de bascule où, à un moment donné, pour les membres d’un groupe ou d’une communauté, le passé, à la fois encore disponible et déjà hors de portée, devient un bien commun fragilisé. Ils se trouvent alors sollicités pour en être les conservateurs ou les passeurs. Jack Goody raconte ainsi qu’en consignant par écrit une version du Bagré, il a enfreint le secret de l’initiation, mais il a également répondu au souhait de certains LoDagaa qui considéraient cette récitation comme un fonds culturel à préserver. Il se faisait, en somme, le scribe d’une mémoire orale menacée (Goody 1996 : 71). Les sollicitations sont d’autant plus vives que la mémoire est devenue un enjeu d’affirmation ou de revendication pour les populations concernées. Partout, les mobilisations et les célébrations du passé prolifèrent. Dans ces conditions, où la curiosité des anthropologues, confrontés à l’impermanence des mondes, rencontre la demande de mémoire des peuples, les travaux se sont développés dans plusieurs directions. Lieux et milieux de mémoire, commémorations, patrimonialisation et muséification, demandes de reconnaissance des préjudices anciens et conflits mémoriels sont autant de nouveaux objets pour une anthropologie de la mémoire attentive à la façon dont les groupes humains, de diverses manières, sont à la fois héritiers et inventeurs de leur passé. La notion de patrimoine, d’invention occidentale (Choay 1999), connaît une extension considérable, du local au planétaire et soulève la question de la pluralité des expériences et des récits. Dans la Lorraine sidérurgique, par exemple, la transformation d’usines désaffectées en écomusées et en « lieux de mémoire », a fait l’objet de luttes de représentation auxquelles participaient, aux côtés de divers acteurs économiques, sociaux, politiques et artistiques, une partie de ceux qui travaillaient là auparavant (Tornatore 2010). En Nouvelle Calédonie, de même, un projet muséographique lié à l’édification du Centre culturel Jean-Marie Tjibaou, a suscité un débat entre représentants de l’État français, institutionnels kanak, acteurs du monde international de l’art, sur le sens de ce qui devait être exposé. Des discussions où affleuraient les tensions d’un passé très présent, celui des luttes indépendantistes (Bensa 2006: 199-215). A une autre échelle, les revendications des peuples autochtones, qui ont obtenu en 2007 une déclaration de l’ONU reconnaissant leurs droits, suscitent des controverses sur la définition de leur patrimoine, la reconnaissance de leur héritage, la « propriété » de leur territoire et la défense de leurs traditions, y compris quand celles-ci sont entièrement reconstruites (Bellier 2011). Les conflits passés, surtout quand ils sont restés occultés, laissent des traces dans le présent, sous la forme de mémoires en conflits (Baussant 2007). Les demandes de reconnaissance, de justice, d’établissement des responsabilités, s’opposent alors aux silences, aux impunités ou aux amnisties. Les divers protagonistes, témoins, acteurs, ou leurs descendants s’affrontent sur les représentations et interprétations divergentes des évènements. Des milieux de mémoire se constituent, des associations interviennent dans l’espace public, comme en Argentine, à propos des « disparus » sous la dictature (Crenzel 2010), mais aussi dans de nombreux pays où une lecture plurielle du passé n’a pas réussi à se faire accepter. L’héritage des tragédies collectives constitue une ressource identitaire particulièrement forte (Candau 1998). Et la mémoire de la Shoah en est devenu « le cadre référentiel » (Lapierre 2007). Des mouvements luttent pour obtenir la reconnaissance, voire la réparation, des crimes du passé, notamment ceux de la traite transatlantique et de l’esclavage. La mémoire qu’ils mobilisent a une dimension stratégique, mais ne s’y réduit pas. Elle est à la fois produit - agrégat de traces, de fragments de récits, de transmissions diffuses sur les souffrances anciennes -, et produite à l’aune des attentes du présent (Chivallon 2011). Ces attentes, elles-mêmes, s’insèrent dans une configuration éthico-politique qui a promu la figure de la victime et redéfini la notion de traumatisme, issue de la clinique, en « traumatisme culturel ». A travers celui-ci, le souvenir des souffrances endurées par les persécutés et les vaincus de l’histoire se ravive et fonde une cause pour des générations ultérieures. Et force est de constater que « la découverte de cette mémoire douloureuse est un fait anthropologique majeur des sociétés contemporaines. » (Fassin et Rechtman 2011: 19). Déployée sur de très nombreux terrains et questionnements, l’anthropologie de la mémoire est donc devenue un ample domaine de recherche. Au point que certains s’inquiètent désormais d’un « memory boom », dans lequel une conception trop extensive de la mémoire tendrait à se confondre avec une continuité de la culture (Berliner 2005). Les anthropologues seraient ainsi d’autant plus saisis par l’engouement mémoriel général qu’ils y retrouveraient le goût des permanences à l’origine de leur discipline. C’est néanmoins omettre qu’un tel engouement naît précisément des ruptures et des oublis
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Flavia Irene, Santamaria,. "“Un estudio multimodal y dinámico de los conocimientos numéricos de estudiantes de primer grado”." RIDAA Tesis Unicen, September 27, 2021. http://dx.doi.org/10.52278/2850.

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Abstract:
En esta tesis profundizamos el estudio de la cognición y comunicación numérica de niños y niñas de primeros grados de la escuela primaria en la zona andina rionegrina. Desde un enfoque socio-constructivista de recursos, interesó visibilizar, documentar y comprender la variedad, articulación y dinamismo de conocimientos numéricos en los diferentes grados de apropiación que estos jóvenes estudiantes ponen en juego al producir y reflexionar sobre signos numéricos en situación de entrevista, en distintos modos semióticos. También prestamos atención a sus procesos de reflexión y regulación de la propia cognición numérica. Los participantes son cuarenta y cinco niñas y niños que cursaban primer grado en cuatro escuelas públicas de gestión estatal de jornada simple en Bariloche y El Bolsón. Dos de las escuelas son céntricas y dos se encuentran en la periferia de la ciudad. La selección de las escuelas respondió a obtener un relativamente amplio abanico sociocultural y socioeducativo en el marco de la escolaridad urbana regional. Metodológicamente, se entrevistó a los niños individualmente en base a un guión semi-estructurado, con tareas abiertas, creativas, convocantes, desafiantes y andamiadas. Se utilizaron dispositivos de registro multimodal de los procesos comunicativo-cognitivos implicados en los momentos de producción oral, gráfica y con objetos. Los análisis mixtos buscaron conjugar profundidad y sistematicidad en la atención a la singularidad y la regularidad, utilizando técnicas que permiten tal diversidad de acercamientos a los textos gráficos creados por los niños, así como a sus respuestas verbales y gestuales y sus acciones con objetos. Principalmente trabajamos con: sistemas de categorías para la construcción de repertorios con posterior aplicación de técnicas de la estadística no paramétrica y multivariada, análisis de trayectorias de aprendizaje y estudio de casos múltiples. El enfoque socio-constructivista de recursos impregnó las decisiones tomadas tanto al realizar la entrevista como al analizar la producción numérica de cada niña o niño. Dimos cuenta de la variedad de las formas de conocer y comunicar numéricamente de los y las participantes mediante cuatro repertorios: el primero visibiliza el arco de producción numérica convencional identificado en la población estudiada; el segundo distingue las aproximaciones parciales a la convención numérica; el tercero articula trayectorias de conservación e innovación cognitiva al pensar en y con cantidades “grandes”, y finalmente, el cuarto identifica formas de reflexión y regulación de la propia cognición numérica. Ilustramos todas las categorías incluidas en esos cuatro repertorios con producciones orales, gráficas y a veces gestuales originales de los niños y niñas participantes. Además, nos dedicamos a captar multimodalmente el dinamismo del pensamiento y la comunicación numérica de los niños en situación, tanto a nivel intra-tarea como inter-tarea. Así, identificamos cuatro patrones de producción convencional, que se extienden desde una producción convencional limitada (Patrón 1, 9 niños) a una producción avanzada (Patrón 4, 8 niños), pasando por configuraciones de producción convencional “incipiente”(Patrón 2, 13 niños) e “intermedia” (Patrón 3, 15 niños). Encontramos una asociación entre los patrones de producción convencional y el sector socioeducativo y sociocultural vinculado a la escuela. En las escuelas céntricas se concentró la mayor proporción de niños y niñas cuya producción convencional es más extendida, y en las escuelas periféricas sucedió lo inverso. Sin embargo, en tres de los primeros grados participantes convivían niños de los cuatro patrones de producción convencional, y en uno, de tres patrones. La heterogeneidad se incrementa notablemente si miramos a los chicos considerando sus respuestas no convencionales como una producción comunicativa cognitiva genuina. Esta situación coloca a la heterogeneidad cognitiva en el campo del número como una condición a considerar como esperable en el inicio de la escolarización matemática primaria en la región. Para ahondar en el estudio del dinamismo en la puesta en juego de los recursos cognitivo-comunicativos de los niños realizamos varias líneas de análisis. Una fue el estudio de sus avances en el curso de una misma tarea o a lo largo de tareas relacionadas. El hallazgo de que el 78% de los niños evidenciaron alguna forma de progreso resalta la importancia de disponer un espacio abierto y sin prisa para la comunicación y evaluación del conocimiento. El progreso según indicadores de mayor producción estrictamente convencional se evidenció en niños o niñas pertenecientes a todos los patrones de producción convencional, lo que muestra que ni tan siquiera el saber que se corresponde con el establecido culturalmente constituye un bagaje del que niños y niñas disponen de forma estable, pronto a ser demostrado ante la primera demanda. A su vez pudimos constatar que las tensiones entre lo establecido y lo posible, o entre convenciones e invenciones, resultaron ser fuentes de conflicto y transformación cognitiva para algunos niños entrevistados. En este proceso, los niños y las niñas mostraron cómo gradualmente se apropiaron del conocimiento cultural establecido, exploraron relaciones, revisaron y generaron innovaciones en sus ideas y procedimientos. La mayoría de las niñas y niños entrevistados mostraron que tales respuestas surgieron de procesos constructivos y exploratorios no lineales, que introdujeron ajustes y fomentaron nuevas percataciones de regularidades numéricas, e incluso nuevos matices de significado. En nuestra búsqueda por comprender la variedad y el dinamismo de los recursos de los niños, elegimos incluir también un estudio de casos múltiples. Seleccionamos dos niños y una niña que se inscriben en distintos patrones de producción convencional para reconstruir su construcción de sentidos a lo largo de la progresión de tareas numéricas en la entrevista. Esta fue una vía más para dimensionar el grado en que los saberes de los niños entrevistados acerca de las formas y funciones numéricas abordadas revisten una notable disparidad inter-sujeto, y también conexiones de sentido a nivel inter-tarea. Somos conscientes de los alcances y restricciones de un trabajo investigativo acotado no solo en el número de participantes sino también en el tiempo/espacio de interacción en el que recabamos la información (una única entrevista diádica fuera del aula). No obstante, consideramos que los análisis de grano fino y multimodal de la variedad de recursos numéricos en esta etapa, junto a la atención al dinamismo de su puesta en juego en situación, pueden contribuir a articular un panorama de los niños como aprendices que buscan agentivamente apropiarse de las formas y funciones numéricas como instrumento de participación cultural. En ese sentido las contribuciones recogidas en los comentarios finales de los capítulos de resultados y en las conclusiones pueden ofrecer información valiosa de primera mano para el diseño y la implementación de prácticas de enseñanza capaces de promover la agencia en el aprendizaje numérico básico en entornos socioeducativos diversos. Planteamos una vía para superar enfoques de estándares que conciben el aprendizaje preferentemente como proceso descontextualizado, reproductivo, monomodal y universal. Para ello, por supuesto, es clave el trabajo también agentivo, creativo, colaborativo, multimodal y andamiado de los equipos docentes en sus comunidades de práctica. In this thesis we go a step further in the study of numerical cognition and communication of first-grade children in the Andean region of Rio Negro. From a resource-based socio-constructivist framework, we were interested in making visible, documenting and understanding the variety, articulation and dynamism of children’s numerical knowledge at work when they produced and thought about and with numerical signs during interviews, in different semiotic modes. We also paid attention to the processes of reflexion and regulation of their own numerical cognition. The participants are forty-five students who attended first grade in four public schools in Bariloche and El Bolsón. Two of the schools are located down-townl and two are located in the periphery of the city. The selection of schools aimed at obtaining a relatively wide sociocultural and socio-educational range within regional urban schooling. Methodologically, the children were interviewed individually based on a semi-structured script, with open, creative, convoking, challenging and scaffolding tasks. Multimodal recording devices of the communicative-cognitive processes evidenced during oral, graphic and object production were used. The mixed methods analyses sought to combine depth and systematic attention to both singularity and regularity, by using techniques that allow such a diversity of approaches to the graphic texts created by children, as well as to their verbal and gestural responses and to their actions with objects. We mainly worked with: category systems for the construction of repertoires, with subsequent application of non-parametric and multivariate statistics techniques, analysis of learning trajectories and study of multiple cases. The resource-based socio-constructivist framework resource-based socio-constructivist framework permeated the decisions made both when conducting the interview and when analyzing the numerical production of each girl or boy. Four repertoires captured the variety in participants’ ways of knowing and communicating numerically: the first one makes visible the conventional numerical production identified in the studied population; the second distinguishes partial approaches to numerical convention; the third articulates trajectories of cognitive preservation and cognitive innovation when thinking about and with relatively large quantities, and finally, the fourth identifies forms of reflexion and regulation of numerical cognition. We illustrate all the categories included in those four repertoires with original productions of the participating children ─oral, graphic and sometimes gestural. In addition, we sought to capture the multimodal dynamism of children’s situated thinking and communication, both at an intra-task and an inter-task level. Thus, we identified four conventional production patterns, which range from Limited conventional production (Pattern 1; 9 children) to Advanced production (Pattern 4; 8 children). Incipient conventional production (Pattern 2; 13 children) and Intermediate (Pattern 3; 15 children) configurations are half-way. We found an association between conventional production patterns and the socio-educational / socio-cultural sector characteristic of the schools. In the down-town schools a greater proportion of children whose conventional production is more widespread was concentrated, and in the peripheral schools the opposite happened. However, in three of the participating first grades, children of the four conventional production patterns coexisted, and in the remaining one, children from three patterns did so. Intra-school-grade heterogeneity increases markedly if we look at students’ unconventional responses as genuine cognitive-communicative productions. This situation places cognitive-communicative heterogeneity as a condition to be considered at the beginning of primary mathematical schooling in the region. In order to deepen into the study of the dynamism of children’s cognitive-communicative resources we performed several lines of analysis. One was the study of their progress in the course of a same task or along related tasks. The finding that 78% of children showed some form of progress highlights the importance of having an open and unhurried space for communication and knowledge assessment. Progress according to indicators of conventional production was evidenced in children belonging to all conventional production patterns. The latter shows that children’s established cultural knowledge is not a stable ready-made possession, soon to be demonstrated at request. At the same time, tensions between the realms of the established and the possible, or between conventions and inventions, turned out to be sources of conflict and cognitive transformation for some of the children. In this process, students showed how they gradually appropriated established cultural knowledge, explored relationships, reviewed and generated innovations in their ideas and procedures. Most of the interviewed children showed that such answers arose from nonlinear constructive and exploratory processes, which introduced adjustments and encouraged new perceptions of numerical regularities, and even new nuances of meaning. In our quest to understand the variety and dynamism of children's resources, we also chose to include a multiple case study. We selected two boys and a girl who belonged in different patterns of conventional production, as a way to reconstruct their meaning-making processes throughout the progression of numerical tasks in the interview. This was one more way to measure the degree to which the knowledge of the interviewed children about the numerical forms and functions addressed is markedly heterogeneous across learners, and also to understand connections of meaning at the single learner, inter-task level. We are aware of the scope and restrictions of a limited research work as ours. Limitations are related to the number of participants as well as to the temporal-spatial frame of interaction in which we collected the information (a single dyadic interview outside the classroom). However, we consider that the fine-grained and multimodal analyses of the variety of numerical resources at this stage, together with the attention to the dynamism of their putting into play in situation, can contribute to articulate a panorama of children as apprentices who agentively seek to appropriate numerical forms and functions as an instrument for their cultural participation. In that sense, we expect that the contributions collected in the final comments of each chapter, together with the final conclusions chapter can offer valuable first-hand information for the design and implementation of teaching practices capable of promoting children’s agency in basic numerical learning, in diverse socio-educational environments. We propose a way to overcome standardized approaches that conceive learning preferably as a decontextualized, reproductive, monomodal and universal process. To that end, of course, the agentive, creative, collaborative, multimodal and scaffolded work of the teaching teams in their communities of practice is also a key factor. Dans cette thèse, on approfondit l'étude de la cognition et de la communication numérique des enfants des premières années d'école primaire dans la région des Andes, province de Rio Negro. À partir d’un optique socioconstructiviste des ressources, on a voulu visualiser, documenter et comprendre la variété, l'articulation et le dynamisme des connaissances numériques à des degrés divers d'appropriation que ces jeunes étudiants mettent en jeu pour produire et réfléchir sur des signes numériques lors d'un entretien, dans différents modes sémiotiques. On s'intéresse également à leurs processus de réflexionet de régulation de la propre cognition numérique. Les participants sont quarante-cinq enfants de la première année d'école primaire de quatre écoles publiques de demi-journée d'activité à Bariloche et El Bolsón. Deux des écoles sont dans la ville et deux sont situées en périphérie. La sélection des écoles est motivée par l'idée d'obtenir un éventail socioculturel et socio-éducatif relativement large dans le cadre de la scolarisation en milieu urbain régional.Du point de vue méthodologique, des entretiens individuels avec les enfants se sont déroulés sur la base d'un protocole semi-structuré avec des tâches ouvertes, créatives, attirantes, défiantes et didactiques. Dispositifs multimodaux on été employés pour saisir les processus cognitifs-communicatifs impliqués pendant les périodes de production orale, graphique et avec des objets. Les analyses mixtes ont cherché à combiner profondeur et systématisation dans l'attentionà la singularité et à la régularité, en utilisant des techniques qui permettent une telle diversité d'approches aux textes graphiques créés par les enfants, ainsi qu'à leurs réponses verbales et gestuelleset à leurs actions avec des objets. Principalement, on a travaillé avec: systèmes de catégories pour la construction de répertoires avec application ultérieure de techniques d'analyse statistique non paramétrique et multi-variée, analyse de trajectoires d'apprentissage et étude de cas multiples. L'approche socioconstructiviste des ressources a imprégnée les décisions tant lors de la conduite de l'entretien comme pendant l'analyse de la production numérique de chaque enfant. Nous avons remarqué la variété de manières de comprendre et communiquer numériquement des enfants à travers quatre répertoires: le premier met en évidence l'arc de production numérique conventionnel correspondant à la population étudiée; le second distingue les approches partielles à la convention numérique; le troisième articule trajectoires de conservation et d'innovation cognitive en pensant à et avec des quantités "grandes", et en fin, le quatrième identifie les manières de réflexionet de régulation de la propre cognition numérique. On illustre toutes les catégories comprises dans ces quatre répertoires avec des productions orales, graphiques et parfois gestuelles des enfants. En plus, on s'est engagé à capter d'un point de vue multimodal le dynamisme de la pensée et de la communication numériques des enfants en situation, soit intra-tâche que inter-tâche. Ainsi, on a identifié quatre modèles de production conventionnels, allant d'une production conventionnelle limitée (modèle 1, 9 enfants) à une production avancée (modèle 4, 8 enfants), en passant par des configurations de production conventionnelle "naissante" (modèle 2, 13 enfants) et "intermédiaire" (modèle 3, 15 enfants). On a trouvé une association entre les modèles de production conventionnelle et le secteur socio-éducatif et socioculturel lié à l'école. Dans les écoles du centreville, on a trouvé la plus forte proportion d'enfants dont la production conventionnelle est la plus répandue, tandis que l'inverse caractérise les écoles périphériques. Toutefois, dans trois des premiers niveaux participants coexistaient des enfants des quatre modèles de production conventionnelle, et dans un, des trois modèles. L’hétérogénéité est fortement augmentée si l'on regarde les enfants en ce qui concerne leurs réponses non conventionnelles comme une véritable production communicative et cognitive. Cette situation place l'hétérogénéité cognitive dans le domaine du nombre comme condition à considérer attendue au début de l'scolarisation mathématique primaire dans la région. Pour plonger dans l'étude de la dynamique des enjeux des ressources cognitives et de communication des enfants on a considéré plusieurs lignes d'analyse. L'un était l'étude de leurs progrès au cours de la même tâche ou tout au long des tâches connexes. Le constat que 78% des enfants ont démontré une certaine forme de progrès souligne l'importance d’avoir un espace ouvert et le temps pour la communication et l'évaluation des connaissances. Selon les indicateurs de production plus vaste et strictement conventionnelle, le progrès s’est fait évident pour les enfants de tous les modèles de production conventionnelle, ce qui démontre que même pas le savoir qui correspond au plan culturel établi constitue un bagage dont les enfants disposent d’une manière stable, ce qui est facilement vérifié à la première question.Aussi, on a pu constater que les tensions entre l'établi et le possible, ou entre conventions et inventions, se sont révélées comme sources de conflit et de transformation cognitive pour certains enfants interrogés. Dans ce processus, les enfants ont mis en évidence comment ils se sont appropriés graduellement des connaissances culturelles établies, ont exploré des relations, examiné et généré des innovations de leurs idées et procédures. La plupart des enfants interrogés ont montré que ces réponses provenaient de processus constructifs et exploratoires non linéaires, qu’ils ont introduit des ajustements et qu’ils ont aperçu des nouvelles régularités numériques, et même de nouvelles nuances de sens. Dans notre quête pour comprendre la diversité et le dynamisme des ressources des enfants, on a choisi également d’inclure une étude de cas multiples. On a sélectionné deux garçons et une fille qui appartiennent à des différents modèles de production conventionnelle pour reconstruire leur construction de sens tout au long de la progression des tâches numériques dans l'entretien. Ce fut une autre façon d'évaluer la mesure dans laquelle les connaissances des enfants interrogés sur les formes et les fonctions numériques abordées ont des disparités considérables entre les individus, et aussi des connexions de sens au niveau individuel et inter-tâche. On comprend l’ampleur et les contraintes d'un travail de recherche limitée non seulement dans le nombre de participants, mais aussi dans le temps/espace d’interaction dans lequel on a recueilli l’information (un seul entretien dyadique en dehors de la salle de classe). Cependant, on considère que les analyses multimodaux et à grains fins sur la variété des ressources numériques à ce stade, avec une attention au dynamisme de la mise en jeu dans des situations, peuvent contribuer à articuler un panorama des enfants en tant qu’apprentis qui cherchent à s’approprier des formes et fonctions numériques comme instrument de participation culturelle. En ce sens, les contributions recueillies dans les observations finales des chapitres des résultats et dans les conclusions peuvent fournir de précieuses informations de première main pour la conception et la mise en œuvre des pratiques d'enseignement capables de promouvoir l'apprentissage numérique de base en milieux socioéducatifs divers. On propose un moyen de surmonter les approches standardisés qui perçoivent de préférence l’apprentissage comme un processus sans contexte, reproductif, monomodal et universel. Pour ce faire, bien sûr, le travail créatif, collaboratif, multimodal et didactique des équipes d’enseignement est clé dans leurs communautés de référence.
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