Journal articles on the topic 'Composant caché'

To see the other types of publications on this topic, follow the link: Composant caché.

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 18 journal articles for your research on the topic 'Composant caché.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Todeschini, Giacomo. "« Au ciel de la richesse »: Le cœur théologique caché du rationnel économique occidental." Annales. Histoire, Sciences Sociales 74, no. 1 (March 2019): 3–24. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2019.137.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
RésumésLes historiens de la pensée économique et les économistes ont souvent décrit notre vision actuelle de l’économie ainsi que la science économique, censée transposer cette vision en termes rigoureux, comme l’aboutissement d’un double processus : toutes deux seraient le fruit, d’une part, du développement de la rationalité européenne et, d’autre part, de la modernisation/sécularisation de la pensée économique prémoderne (c’est-à-dire médiévale). Le développement de la rationalité économique européenne a donc été envisagé et représenté comme la victoire sur les conceptions économiques propres au Moyen Âge et à l’époque moderne, et ce par des auteurs aux points de vue très variés. On peut toutefois avancer une autre interprétation de l’évolution des langages économiques européens et de l’histoire de la « pensée économique » occidentale entre le Moyen Âge et la modernité, autrement dit entre le xve et le xviiie siècle. Selon cette perspective alternative, sur le plan formel, certains aspects de la science économique moderne (et, plus généralement, de la modernisation économique de l’Occident) résulteraient plutôt de l’incorporation et de la mise en œuvre systématique, durant l’époque moderne, de composants linguistiques/politiques hérités de la prémodernité. Ces composants consistent en des métaphores, des images et des allégories qui représentent la croissance ou la stagnation économique, de même que les asymétries économiques et les disparités sociales, comme participant d’un équilibre organique, fondé sur un ordre naturel ou providentiel. Ce système métaphorique de notions, ancré à l’origine dans une syntaxe conceptuelle issue du discours théologique, fut traduit en un langage qui, en convertissant les métaphores économiques en lois de l’économie, dissimulait leur sens historique et politique. L’imaginaire économique prémoderne pouvait alors être réactivé sous la forme d’une rhétorique qui représentait les asymétries économiques comme la conséquence naturelle et nécessaire d’un ordre économique rationnel et vérifiable.
2

Dzaka, Théophile, and Michel Milandou. "L’entrepreneuriat congolais à l’épreuve des pouvoirs magiques : une face cachée de la gestion culturelle du risque ?" Politique africaine 56, no. 1 (1994): 108–18. http://dx.doi.org/10.3406/polaf.1994.5825.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
La sorcellerie (Kindoki) est une composante centrale de l’environnement culturel de l’entrepreneur. Ce phénomène est un facteur essentiel dans l’émergence de l’esprit d’entreprise et de comportement managériaux spécifiques. Elle est un instrument de lutte contre le rareté, exprime des situations de concurrence. Elle intervient aussi bien comme principe régulateur des successions, des changements de forme juridiques d’entreprises, de leur organisation interne. La sorcellerie apparaît à différents égards comme un mode culturel de gestion du risque entrepreneurial.
3

Goldberg, Harvey E. "Les jeux de Pourim et leurs déclinaisons à Tripoli." Annales. Histoire, Sciences Sociales 49, no. 5 (October 1994): 1183–95. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1994.279319.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Dire que la Bible constitue le texte fondateur de la société juive est une tautologie. Mais cette évidence cache de nombreuses questions. Les textes qui composent la Bible ne sont-ils que le reflet de créations littéraires passées, ou bien le texte biblique est-il devenu, au gré des générations et des pays, une force active qui a modelé la société juive ? Les juifs considéraient les livres bibliques comme constitutifs de leurs institutions et de leur mode de vie ; pourtant ils ont vécu pendant des siècles comme une société politiquement dépendante de civilisations qui prétendaient soit détenir des interprétations de ces livres qui supplantaient les leurs (le christianisme), soit que les juifs n'avaient plus accès à une version exacte de leurs propres Écritures (l'islam).
4

Tollefson, James W. "Covert Policy in the United States Refugee Program in Southeast Asia." Language Problems and Language Planning 12, no. 1 (January 1, 1988): 30–43. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.12.1.03tol.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
RESUMO Kaŝa politiko en la usona programo por rifuĝintoj en Sudorienta Azio La Usonaj Centroj por Traktado de Rifuĝintoj (RPC) en Sudorienta Azio, kiujn oni in-aǔguris en 1980, konsistigas multe reklamatan kaj forte financatan trejnadan programon por faciligi la memsufiĉon de rifuĝintoj frue post ilia translokigo en Usonon. La donitaĵoj tamen montras, ke trejnado per RPC malmulte efikis je la lingvokapabloj, lertoj prepare al dungiĝo, kaj kapablo je kultura adaptiĝo, de la rifuĝintoj. La nuna artikolo klarigas la malsukceson de trejnado per RPC, aludante kaŝajn politikajn celojn en la usona programo por rifuĝintoj, kiuj certigas, ke edukado per RPC malsukcesas. Surbaze de analizoj de la plenumo de kaŝa politiko en la centroj RPC, la aǔtoro proponas kvin ĝeneralajn karak-terizojn de situacioj en kiuj rolas kaŝa politiko. SOMMAIRE La politique cachée du Programme Américain pour Réfugiés en Asie du Sud-Est Mis en place en 1980 et disposant depuis lors de subventions et d'une publicité importantes, les Centres Américains d'Entraînement pour Réfugiés en Asie du Sud-Est ont pour but de préparer des réfugiés à se suffire à eux seuls bientôt après être rétablis aux Etats-Unis. L'évidence des données révèle pourtant, que cette formation acquise aux Centres ne donne chez les réfugiés que de très faibles résultats pour ce qu'il y a de leur niveau de communication en anglais, leur compétence technique pour un métier éventuel et leur capacité de s'intégrer à la nouvelle culture. Les causes de l'échec de la formation pourvue dans les Centres sont exposées dans cet article en tenant compte des objectifs de la politique cachée du Programme Américain pour Réfugiés qui assurent l'inéfficacité de son instruction. L'auteur établit un modèle formé de cinq composants d'ordre général ressortant des cas de politique cachée, à partir d'une analyse de la mise en oeuvre de cette politique dans les Centres.
5

St-Jean, France. "L’iconographie rébellienne, la face cachée de l’historiographie des rébellions de 1837-1838 : quelques études de cas." Mens 10, no. 1 (February 27, 2014): 95–138. http://dx.doi.org/10.7202/1023160ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Au contraire du sujet historique, l’iconographie des rébellions a suscité jusqu’ici bien peu d’intérêt de la part des chercheurs, et ce, bien qu’il s’agisse d’un vecteur significatif dans la construction de l’imaginaire collectif à l’égard de ce moment que l’on dit fondateur de l’histoire du Québec et du Canada. Ce regard attentif sur quelques-unes des œuvres qui composent ce corpus, produites tant au moment des insurrections qu’ultérieurement, en est d’abord un centré sur l’objet matériel. Ces œuvres remises par ailleurs dans leurs contextes de production et de première réception, leur analyse permet une autre lecture de la place occupée par le moment patriote dans la mémoire des générations qui les ont vues naître.
6

Lesbats, Cl. "La démarche "excentrique" de "La N.R.F." de Jacques Rivière." Revue d'histoire littéraire de la France o 87, no. 5 (May 1, 1987): 826–36. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.g1987.87n5.0826.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Résumé La carrière de J. Rivière à La N.R.F. pose un problème particulier : jeune critique avide d'explorer des voies nouvelles avant 1914, on le retrouve après la guerre dans le rôle d'un directeur de revue, attentif à l'avant-garde mais n'hésitant pas à rejeter ses voies extrêmes. Quel Rivière se cache sous ces deux visages apparemment opposés ? Son malaise qui perce sous son enthousiasme pour Stravinsky en 1913 et ses interrogations à propos de la « crise du concept de littérature » en 1924 composent un Rivière qui a bien compris le sens de la culture moderne, et qui a moins évolué qu'il n'est déchiré entre sa fascination pour un art de la « transcendance » et son goût profond pour l'activité de l'intelligence. La solution de ce conflit est dans un effort pour sortir de soi qui veut ouvrir la voie d'une « ex-centricité » nouvelle.
7

Bamba, Ousmane. "Morphopédologie et anomalie géochimique." Canadian Journal of Earth Sciences 46, no. 12 (December 2009): 939–47. http://dx.doi.org/10.1139/e09-063.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L’intense altération géochimique, qui a affecté l’ensemble de la zone transcontinentale des boucliers pendant plusieurs millions d’années, a dissous partiellement la partie supérieure de la croûte continentale dont une partie des éléments résiduels (essentiellement du quartz) est aujourd’hui associée aux phases supergènes, issues de la reprécipitation à l’échelle régionale d’une partie du fer, de la silice et de l’aluminium parental. Il s’en suit la formation d’un manteau de débris parfois chapeauté par des cuirasses ferrugineuses, alumineuses ou manganésifères. Cette configuration implique une difficulté de traçage des signatures parentales des minéralisations primaires, la localisation et l’interprétation des anomalies géochimiques. En effet, les processus pédologiques et géomorphologiques, en occurrence le cuirassement, affectent l’expression de la localisation de ces anomalies. Le paysage de la zone d’étude, interprété et traduit en terme de susceptibilité à rendre d’éventuelles anomalies géochimiques, en d’autres termes du caractère résiduel ou transporté de celles-ci, donne quatre classes à potentiel de déplacement d’anomalie : (i) anomalie résiduelle, (ii) anomalie sub-résiduelle, (iii) anomalie déplacée, (iv) anomalie fortement déplacée et (ou) masquée. Une telle caractérisation et spatialisation de l’espace à prospecter constitue un support substantiel pour l’orientation des campagnes de prospections géochimiques. La cartographie des altérites doit se poser comme une composante essentielle des techniques modernes, novatrices d’exploration géochimique, qui créent le besoin croissant de mieux comprendre aussi bien la cuirasse transportée que la mesure suivant laquelle elle cache ou révèle des minéralisations en profondeur.
8

Salée, Daniel. "Espace public, identité et nation au Québec : mythes et méprises du discours souverainiste." Cahiers de recherche sociologique, no. 25 (April 28, 2011): 125–53. http://dx.doi.org/10.7202/1002294ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Ce texte propose une lecture critique du discours souverainiste sur la recomposition de l’espace public national québécois. L’auteur soutient essentiellement que la redéfinition de la nation souhaitée par les souverainistes québécois selon laquelle le Québec doit tendre vers l’accomplissement d’une nation dé-ethnicisée, fondée sur une logique civique et rationnelle, est en porte-à-faux par rapport à l’imaginaire social des Québécois et la réalité politique du Québec. Sous couvert d’adhésion à la raison universelle, cette redéfinition repose sur une mise au ban de l’ethnicité et des particularismes culturels et participe d’une volonté de subsomption à la fois de l’identité historique des Québécois et des identités autres qui composent désormais le tissu social du Québec en un espace public post-national et homogénéisant. Contrairement aux apparences, le sens de la nation qui dérive du projet théorico-politique des souverainistes cache en réalité un acte d’exclusion et des prétentions hégémoniques au profit de la nation historique. L’auteur soutient qu’il ne sert à rien d’évacuer la différence et l’altérité inhérentes à la dynamique politique québécoise. L’ethnicité et la culture sont des faits de conscience incontournables. Un véritable projet d’avant-garde de recomposition de l’espace public au Québec devrait plutôt chercher à en accepter les aboutissants et à réaliser une configuration institutionnelle flexible qui ne banalise pas l’altérité et la différence, qui ne hiérarchise pas les identités et qui ne soit pas fondée sur une conception préétablie de l’espace public. Cela implique l’abandon de la « Nation » comme pivot axiomatique de la communauté politique et une remise en question fondamentale des paramètres du libéralisme contemporain.
9

MARTIN, Pauline, Sébastien TAUSSAT, Aurélie VINET, Frédéric LAUNAY, Dominique DOZIAS, David MAUPETIT, Daniel VILLALBA, Nicolas FRIGGENS, and Gilles RENAND. "Précocité, efficience et résilience des femelles allaitantes." INRAE Productions Animales 36, no. 3 (October 27, 2023): 7300. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2023.36.3.7300.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Dans un contexte économique et environnemental où l’élevage est de plus en plus questionné, la précocité, l’efficience alimentaire et la résilience sont devenus des points d’intérêt majeurs de par leur rôle potentiel pour améliorer l’efficience globale des élevages. Pour explorer ces caractères et les liens qui les unissent dans les systèmes allaitants, une expérimentation de grande envergure a été menée entre 2011 et 2021 sur 650 femelles charolaises. Cette expérimentation se découpait en trois périodes que les animaux effectuaient successivement : l’étude de la précocité sexuelle et de développement, l’étude de l’efficience alimentaire au travers de l’ingéré résiduel à deux ans, puis l’étude de la réponse à un challenge alimentaire (composé d’une phase de restriction et d’une phase de récupération) au cours de la lactation. Cet article regroupe l’ensemble des résultats obtenus. Si la précocité sexuelle définie par l’âge à la puberté est fortement liée à l’environnement (conduite, alimentation…) et notamment à la saison de naissance, l’héritabilité du caractère est néanmoins modérée (0,21 ± 0,08). Elle est également corrélée génétiquement avec un petit poids à la naissance et une forte croissance pré-sevrage. L’efficience alimentaire des animaux de deux ans est peu héritable (0,09 ± 0,08) mais corrélée favorablement avec la précocité. Face au challenge alimentaire, les vaches ont des réponses équilibrées entre perte de production laitière et mobilisation de réserves corporelles mais cette réponse moyenne de la race cache des disparités entre individus. Enfin, les génisses les plus efficientes présentaient des productions laitières amoindries une fois en lactation par rapport à leurs homologues inefficientes (jusqu’à − 0,7 kg de lait par jour en milieu de lactation soit environ 10 % de moins), ainsi que des retours en chaleurs plus long dans le cadre de la restriction alimentaire. Ces résultats promeuvent l’importance de considérer l’efficience sur le long terme en prenant en compte ses différentes composantes et de ne pas réaliser une sélection génétique sur une efficience alimentaire mesurée sur un moment court et unique pendant la phase de croissance.
10

Strimelle, Véronique, and Françoise Vanhamme. "Modèles vindicatoire et pénal en concurrence ? Réflexions à partir de l’expérience autochtone." 42, no. 2 (November 19, 2009): 83–100. http://dx.doi.org/10.7202/038600ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Résumé Qu’est-ce qu’un trouble, un conflit ? Comment les définit-on ? Comment y réagit-on ? Ces questions, qui composent la trame du présent article, s’insèrent dans nos travaux actuels qui explorent l’hypothèse de l’existence d’un modèle de justice actif dans nos rapports sociaux, mais caché par le discours dominant de la justice pénale : le modèle vindicatoire. Nous y discuterons plus particulièrement des questions soulevées par la rencontre entre les deux modèles de régulation, pénal et vindicatoire, et sur la façon dont ces deux modèles de régulation pourraient se côtoyer. Pour ce faire, nous nous intéresserons aux modes de régulation des troubles chez les Autochtones du Québec. Tout en mettant d’abord en lumière les principes de leur définition d’un trouble et de ses modes de régulation, nous essayerons d’en montrer la facette vindicatoire pour ensuite décrire comment s’est effectuée la rencontre des modèles de régulation autochtone avec le système de justice pénale. Nous dégageons enfin différentes pistes de réflexion quant à la survie et l’adaptation d’un tel modèle dans le contexte juridico-pénal occidental.
11

Bumbas, Alexandru. "Penser l’anachronisme comme moteur esthétique de la dystopie théâtrale : quelques considérations sur Bond, Barker, Gabily, et Delbo." Textes et contextes, no. 17-1 (July 15, 2022). http://dx.doi.org/10.58335/textesetcontextes.3524.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Cet article met en évidence le recours à l’anachronisme dans les dystopies théâtrales contemporaines (Beckett, Delbo, Bond, Gabily, Barker), tout en questionnant les fonctions esthétiques de cet usage. Basculant entre une vision anticipatoire et l’esthétisation de l’Histoire, les dystopies théâtrales apparaissent comme résolument catastrophistes, s’opposant ainsi à toute fonction utopique. Néanmoins, le ton apocalyptique (Derrida) qui les caractérise cache des fonctions esthétiques qui questionnent la nature même du théâtre. Il est question de démontrer que ces formes dramatiques peuvent être vues aussi comme des dramaturgies censées provoquer l’éveil des consciences et ressusciter ainsi la pulsion utopique que l’Humanité semble avoir perdue. Du théâtre mémoriel de Charlotte Delbo à l’esthétisation de la Catastrophe chez Howard Barker, cet article montre que l’anachronisme est à la fois une composante fondamentale de la dramaturgie d’aujourd’hui, ainsi qu’un moteur esthétique produisant de nouvelles archéologies de sens.
12

Saïbou Adamou, Amadou. "Charte de Kurukan Fuga : mémoire et communauté." Magana. L’analyse du discours dans tous ses sens 1 (October 10, 2023). http://dx.doi.org/10.46711/magana.2023.1.0.2.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
L’article a pour objet la Charte de Kurukan Fuga produite oralement au 13e siècle, à l’instauration de l’empire du Mali, dans une société à peine sortie d’une longue guerre. Le texte a été récemment (2008) reproduit sous forme écrite et moderne. La Charte de Kurukan Fuga suscite un grand débat. Les discours tenus à son propos le sont le plus souvent sous le régime de l’épidictique. Les uns le louent, l’élevant même au rang de première constitution élaborée par l’Homme ; les autres le réfutent, n’y voyant qu’une manipulation, le produit d’un grossier montage dont l’ambition cachée est la réinstauration d’un état féodal. Le présent article – qui n’ignore pas cette polémique – étudie la Charte (la version écrite de 2008) sous la grille argumentative et pragmatique de l’analyse du discours. Il s’appuie sur les dimensions mémorielles du texte, pour rendre compte de sa réception controversée, pour en identifier les composants et en comprendre l’intentionnalité. Après un rappel sur la genèse, l’évolution formelle et la réception du texte, l’exposé démontre que la Charte de Kurukan Fuga est une mémoire discursive à caractère incitatif. Sa transdiscursivité en fait, à l’origine, le témoin particulier d’une société pluriculturelle et d’une volonté politique de conciliation et de progrès.
13

Rasch, Ari. "(De/Re)-Composition of Data-Parallel Computations via Multi-Dimensional Homomorphisms." ACM Transactions on Programming Languages and Systems, May 22, 2024. http://dx.doi.org/10.1145/3665643.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Data-parallel computations, such as linear algebra routines (BLAS) and stencil computations, constitute one of the most relevant classes in parallel computing, e.g., due to their importance for deep learning. Efficiently de-composing such computations for the memory and core hierarchies of modern architectures and re-composing the computed intermediate results back to the final result – we say (de/re)-composition for short – is key to achieve high performance for these computations on, e.g., GPU and CPU. Current high-level approaches to generating data-parallel code are often restricted to a particular subclass of data-parallel computations and architectures (e.g., only linear algebra routines on only GPU, or only stencil computations), and/or the approaches rely on a user-guided optimization process for a well-performing (de/re)-composition of computations, which is complex and error prone for the user. We formally introduce a systematic (de/re)-composition approach, based on the algebraic formalism of Multi-Dimensional Homomorphisms (MDHs) 1 . Our approach is designed as general enough to be applicable to a wide range of data-parallel computations and for various kinds of target parallel architectures. To efficiently target the deep and complex memory and core hierarchies of contemporary architectures, we exploit our introduced (de/re)-composition approach for a correct-by-construction, parametrized cache blocking and parallelization strategy. We show that our approach is powerful enough to express, in the same formalism, the (de/re)-composition strategies of different classes of state-of-the-art approaches (scheduling-based, polyhedral, etc), and we demonstrate that the parameters of our strategies enable systematically generating code that can be fully automatically optimized (auto-tuned) for the particular target architecture and characteristics of the input and output data (e.g., their sizes and memory layouts). Particularly, our experiments confirm that via auto-tuning, we achieve higher performance than state-of-the-art approaches, including hand-optimized solutions provided by vendors (such as NVIDIA cuBLAS/cuDNN and Intel oneMKL/oneDNN), on real-world data sets and for a variety of data-parallel computations, including: linear algebra routines, stencil and quantum chemistry computations, data mining algorithms, and computations that recently gained high attention due to their relevance for deep learning.
14

Lu, Huaixi, Yue Xing, Aarti Gupta, and Sharad Malik. "SoC Protocol Implementation Verification Using Instruction-Level Abstraction (ILA) Specifications." ACM Transactions on Design Automation of Electronic Systems, July 24, 2023. http://dx.doi.org/10.1145/3610292.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
In modern systems-on-chips (SoCs) several hardware protocols are used for communication and interaction among different modules. These protocols are complex and need to be implemented correctly for correct operation of the SoC. Therefore, protocol verification has received significant attention. However, this verification is often limited to checking high-level properties on a protocol specification or an implementation. Verifying these properties directly on an implementation faces scalability challenges due to its size and design complexity. Further, even after some high-level properties are verified, there is no guarantee that an implementation fully complies with a given specification, even if the same properties have also been checked on the specification. We address these challenges and gaps by adding a layer of component specifications, one for each component in the protocol implementation, and specifying and verifying the interactions at the interfaces between each pair of communicating components. We use the recently proposed formal model termed the Instruction-Level-Abstraction (ILA) as a component specification, which includes an interface specification for the interactions in composing different components. The use of ILA models as component specifications allows us to decompose the complete verification task into two sub-tasks – checking that the composition of ILAs is sequentially equivalent to a verified formal protocol specification, and checking that the protocol implementation is a refinement of the ILA composition. This check requires that each component implementation is a refinement of its ILA specification, and includes interface checks guaranteeing that components interact with each other as specified. We have applied the proposed ILA-based methodology for protocol verification to several third-party design case studies. These include an AXI on-chip communication protocol, an off-chip communication protocol, and a cache coherence protocol. For each system, we successfully detected bugs in the implementation, and show that the full formal verification can be completed in reasonable time and effort.
15

BERTRAND, Denis. "La générativité est-elle soluble dans le sensible ? Réflexions topologiques et énonciatives « au cœur » du parcours génératif." 130, no. 130 (January 23, 2024). http://dx.doi.org/10.25965/as.8295.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Chaque période de la sémiotique, à travers l’un et l’autre de ses courants majeurs, a connu son modèle spatial emblématique, véritable signature épistémique de la mise en forme théorique : carré, hexagone, cercle, strates feuilletées, ellipse, aile de papillon, courbes entre abscisse et ordonnée, spirales, bulles, sphères, etc. On s’intéresse ici à l’une des représentations les plus largement répandues : celle des niveaux entre surface et profondeur. Si la linguistique générative et la sémiotique greimassienne à sa suite, mais dans une autre perspective, ont popularisé le schéma des structures profondes opposables aux structures de surface, elles n’ont fait que prolonger un dispositif spatial qui était transversal à bien d’autres disciplines : sens immanent et sens transcendant ; sens explicite et sens caché ; contenu manifeste et contenu latent ; saillance et prégnance. En recherchant les raisons d’un motif formel aussi récurrent, notre exploration de cette modélisation spatiale interroge l’hypothèse localiste, qui postule la spatialisation comme une isotopie sémantique première et modélisante, se présentant comme un signifiant disponible pour la formation des contenus non spatiaux. Le « catachrésisme » spatial régirait la formation du langage. On revient alors sur le parcours génératif de la signification pour tenter de comprendre les raisons de son succès pédagogique et de son relatif insuccès scientifique. Les procédures de conversion qui assurent le passage d’un niveau à l’autre transforment le statisme des niveaux en dynamisme des échanges. Les strates opèrent comme des filtres à mailles progressives : les très grosses mailles des structures profondes s’affinant peu à peu pour ne plus laisser passer, en surface que les sèmes à mailles fines. Une nouvelle figure spatiale refait alors son apparition, la densité sémique, et la syntagmatique du parcours l’emporte sur la paradigmatique des niveaux. C’est donc pour finir ce mot « parcours » qui nous arrête, avec la mouvance indéterminée et sans bord qui lui est inhérente. Cela implique une instance mobile qui prend en charge ce parcours, un randonneur énonciatif du faire scientifique. On place alors l’énonciation comme centre opérateur du parcours, muni de ses composantes liées : sensible, par l’ancrage somatique de toute énonciation possible (cf. la phusis), et cognitive, par une projection des formants dont la générativité peut donner l’image. Soumis au primat de la perspective, ce sont les différents régimes sémiotiques de sélection des formes d’expression et des formes de contenu qui modélisent, in fine, le, ou plutôt les, parcours.
16

Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux
17

Borutti, Silvana. "Traduction." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.117.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
La traduction est l’activité linguistique qui nous met en contact avec d’autres langues et d’autres cultures : elle est « la vie même » de la différence (Blanchot 1971 : 71). En tant que telle, la traduction est une expérience qui ne peut qu’arriver dans un processus, parce que les significations, les concepts, les textes littéraires et culturels d’autrui (l’altérité en général) ne sont pas des entités, mais des formes dynamiques toujours en transformation. C’est pour cela que Barbara Cassin, en projetant un Vocabulaire européen des philosophies (2004), a choisi de privilégier ces « symptômes de différence » que sont « les intraduisibles »: c’est-à-dire, ces mots, ces expressions, ces textes qui, même s’ils sont déjà traduits, demandent toutefois qu’on recommence constamment à les traduire. Qu’on pense aux mots grecs, de phusis, skepsis ou psuché, qui sont tous des défis à notre capacité de comprendre à travers la traduction. Afin de comprendre le caractère complexe de l’opération de la traduction, il convient de se référer à un concept élargi de traduction comme transformation symbolique concernant non seulement les langues, mais aussi la connaissance et l’ontologie. En général, la traduction est l’opération qui arrive à rompre le lien du sens avec son corps – lien constituant tout système symbolique – et à le recomposer dans un autre système. En tant que telle, la traduction pose sur le terrain non seulement des problèmes sémantiques (concernant le rapport entre les significations), mais aussi des problèmes épistémologiques (concernant le rapport entre les concepts et les théories) et des problèmes philosophiques et ontologiques (concernant le rapport entre les sujets et les cultures). Dans le passage entre les langues (en tant qu’ensembles de significations historiques et sur-individuels), les problèmes sont surtout linguistiques (sémantiques et pragmatiques) et littéraires : on peut par exemple se demander s’il y a des composantes du sens qui restent constantes dans le passage entre les langues et qui peuvent constituer la base de la traduction; ou bien on peut se demander que signifie traduire un texte poétique ou littéraire. Dans le passage entre les théories, les problèmes sont méthodologiques et historiques : on se demande si l’on peut disposer d’une base de commensurabilité et de choix dans la comparaison entre les théories, ou bien si les révolutions scientifiques entraînent des changements conceptuels radicaux. Le niveau philosophico-ontologique des problèmes concerne tout ce qui dans la traduction touche aux sujets énonciateurs et aux aspects ontologiques et catégoriels consignés aux langues. Ainsi appartiennent à ce domaine les problèmes liés au passage entre des langues radicalement hétérogènes et entre des cultures éloignées en anthropologie, ou bien le passage entre différents niveaux psychiques, manifestes et cachés, en psychanalyse : à cet égard, le problème de la traduction est le problème de l’altérité et de sa distance, ou bien de la possibilité d’accéder aux significations de l’autre. Dans toute activité de traduction, ces niveaux sont mêlés entre eux : par exemple, le passage entre des cultures éloignées est en même temps sémantique, conceptuel et ontologique.
18

Ryan, Robin Ann. "Forest as Place in the Album "Canopy": Culturalising Nature or Naturalising Culture?" M/C Journal 19, no. 3 (June 22, 2016). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.1096.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Every act of art is able to reveal, balance and revive the relations between a territory and its inhabitants (François Davin, Southern Forest Sculpture Walk Catalogue)Introducing the Understory Art in Nature TrailIn February 2015, a colossal wildfire destroyed 98,300 hectares of farm and bushland surrounding the town of Northcliffe, located 365 km south of Perth, Western Australia (WA). As the largest fire in the recorded history of the southwest region (Southern Forest Arts, After the Burn 8), the disaster attracted national attention however the extraordinary contribution of local knowledge in saving a town considered by authorities to be “undefendable” (Kennedy) is yet to be widely appreciated. In accounting for a creative scene that survived the conflagration, this case study sees culture mobilised as a socioeconomic resource for conservation and the healing of community spirit.Northcliffe (population 850) sits on a coastal plain that hosts majestic old-growth forest and lush bushland. In 2006, Southern Forest Arts (SFA) dedicated a Southern Forest Sculpture Walk for creative professionals to develop artworks along a 1.2 km walk trail through pristine native forest. It was re-branded “Understory—Art in Nature” in 2009; then “Understory Art in Nature Trail” in 2015, the understory vegetation layer beneath the canopy being symbolic of Northcliffe’s deeply layered caché of memories, including “the awe, love, fear, and even the hatred that these trees have provoked among the settlers” (Davin in SFA Catalogue). In the words of the SFA Trailguide, “Every place (no matter how small) has ‘understories’—secrets, songs, dreams—that help us connect with the spirit of place.”In the view of forest arts ecologist Kumi Kato, “It is a sense of place that underlies the commitment to a place’s conservation by its community, broadly embracing those who identify with the place for various reasons, both geographical and conceptual” (149). In bioregional terms such communities form a terrain of consciousness (Berg and Dasmann 218), extending responsibility for conservation across cultures, time and space (Kato 150). A sustainable thematic of place must also include livelihood as the third party between culture and nature that establishes the relationship between them (Giblett 240). With these concepts in mind I gauge creative impact on forest as place, and, in turn, (altered) forest’s impact on people. My abstraction of physical place is inclusive of humankind moving in dialogic engagement with forest. A mapping of Understory’s creative activities sheds light on how artists express physical environments in situated creative practices, clusters, and networks. These, it is argued, constitute unique types of community operating within (and beyond) a foundational scene of inspiration and mystification that is metaphorically “rising from the ashes.” In transcending disconnectedness between humankind and landscape, Understory may be understood to both culturalise nature (as an aesthetic system), and naturalise culture (as an ecologically modelled system), to build on a trope introduced by Feld (199). Arguably when the bush is cultured in this way it attracts consumers who may otherwise disconnect from nature.The trail (henceforth Understory) broaches the histories of human relations with Northcliffe’s natural systems of place. Sub-groups of the Noongar nation have inhabited the southwest for an estimated 50,000 years and their association with the Northcliffe region extends back at least 6,000 years (SFA Catalogue; see also Crawford and Crawford). An indigenous sense of the spirit of forest is manifest in Understory sculpture, literature, and—for the purpose of this article—the compilation CD Canopy: Songs for the Southern Forests (henceforth Canopy, Figure 1).As a cultural and environmental construction of place, Canopy sustains the land with acts of seeing, listening to, and interpreting nature; of remembering indigenous people in the forest; and of recalling the hardships of the early settlers. I acknowledge SFA coordinator and Understory custodian Fiona Sinclair for authorising this investigation; Peter Hill for conservation conversations; Robyn Johnston for her Canopy CD sleeve notes; Della Rae Morrison for permissions; and David Pye for discussions. Figure 1. Canopy: Songs for the Southern Forests (CD, 2006). Cover image by Raku Pitt, 2002. Courtesy Southern Forest Arts, Northcliffe, WA.Forest Ecology, Emotion, and ActionEstablished in 1924, Northcliffe’s ill-founded Group Settlement Scheme resulted in frontier hardship and heartbreak, and deforestation of the southwest region for little economic return. An historic forest controversy (1992-2001) attracted media to Northcliffe when protesters attempting to disrupt logging chained themselves to tree trunks and suspended themselves from branches. The signing of the Western Australian Regional Forest Agreement in 1999 was followed, in 2001, by deregulation of the dairy industry and a sharp decline in area population.Moved by the gravity of this situation, Fiona Sinclair won her pitch to the Manjimup Council for a sound alternative industry for Northcliffe with projections of jobs: a forest where artists could work collectively and sustainably to reveal the beauty of natural dimensions. A 12-acre pocket of allocated Crown Land adjacent to the town was leased as an A-Class Reserve vested for Education and Recreation, for which SFA secured unified community ownership and grants. Conservation protocols stipulated that no biomass could be removed from the forest and that predominantly raw, natural materials were to be used (F. Sinclair and P. Hill, personal interview, 26 Sep. 2014). With forest as prescribed image (wider than the bounded chunk of earth), Sinclair invited the artists to consider the themes of spirituality, creativity, history, dichotomy, and sensory as a basis for work that was to be “fresh, intimate, and grounded in place.” Her brief encouraged artists to work with humanity and imagination to counteract residual community divisiveness and resentment. Sinclair describes this form of implicit environmentalism as an “around the back” approach that avoids lapsing into political commentary or judgement: “The trail is a love letter from those of us who live here to our visitors, to connect with grace” (F. Sinclair, telephone interview, 6 Apr. 2014). Renewing community connections to local place is essential if our lives and societies are to become more sustainable (Pedelty 128). To define Northcliffe’s new community phase, artists respected differing associations between people and forest. A structure on a karri tree by Indigenous artist Norma MacDonald presents an Aboriginal man standing tall and proud on a rock to become one with the tree and the forest: as it was for thousands of years before European settlement (MacDonald in SFA Catalogue). As Feld observes, “It is the stabilizing persistence of place as a container of experiences that contributes so powerfully to its intrinsic memorability” (201).Adhering to the philosophy that nature should not be used or abused for the sake of art, the works resonate with the biorhythms of the forest, e.g. functional seats and shelters and a cascading retainer that directs rainwater back to the resident fauna. Some sculptures function as receivers for picking up wavelengths of ancient forest. Forest Folk lurk around the understory, while mysterious stone art represents a life-shaping force of planet history. To represent the reality of bushfire, Natalie Williamson’s sculpture wraps itself around a burnt-out stump. The work plays with scale as small native sundew flowers are enlarged and a subtle beauty, easily overlooked, becomes apparent (Figure 2). The sculptor hopes that “spiders will spin their webs about it, incorporating it into the landscape” (SFA Catalogue).Figure 2. Sundew. Sculpture by Natalie Williamson, 2006. Understory Art in Nature Trail, Northcliffe, WA. Image by the author, 2014.Memory is naturally place-oriented or at least place-supported (Feld 201). Topaesthesia (sense of place) denotes movement that connects our biography with our route. This is resonant for the experience of regional character, including the tactile, olfactory, gustatory, visual, and auditory qualities of a place (Ryan 307). By walking, we are in a dialogue with the environment; both literally and figuratively, we re-situate ourselves into our story (Schine 100). For example, during a summer exploration of the trail (5 Jan. 2014), I intuited a personal attachment based on my grandfather’s small bush home being razed by fire, and his struggle to support seven children.Understory’s survival depends on vigilant controlled (cool) burns around its perimeter (Figure 3), organised by volunteer Peter Hill. These burns also hone the forest. On 27 Sept. 2014, the charred vegetation spoke a spring language of opportunity for nature to reassert itself as seedpods burst and continue the cycle; while an autumn walk (17 Mar. 2016) yielded a fresh view of forest colour, patterning, light, shade, and sound.Figure 3. Understory Art in Nature Trail. Map Created by Fiona Sinclair for Southern Forest Sculpture Walk Catalogue (2006). Courtesy Southern Forest Arts, Northcliffe, WA.Understory and the Melody of CanopyForest resilience is celebrated in five MP3 audio tours produced for visitors to dialogue with the trail in sensory contexts of music, poetry, sculptures and stories that name or interpret the setting. The trail starts in heathland and includes three creek crossings. A zone of acacias gives way to stands of the southwest signature trees karri (Eucalyptus diversicolor), jarrah (Eucalyptus marginata), and marri (Corymbia calophylla). Following a sheoak grove, a riverine environment re-enters heathland. Birds, insects, mammals, and reptiles reside around and between the sculptures, rendering the earth-embedded art a fusion of human and natural orders (concept after Relph 141). On Audio Tour 3, Songs for the Southern Forests, the musician-composers reflect on their regionally focused items, each having been birthed according to a personal musical concept (the manner in which an individual artist holds the totality of a composition in cultural context). Arguably the music in question, its composers, performers, audiences, and settings, all have a role to play in defining the processes and effects of forest arts ecology. Local musician Ann Rice billeted a cluster of musicians (mostly from Perth) at her Windy Harbour shack. The energy of the production experience was palpable as all participated in on-site forest workshops, and supported each other’s items as a musical collective (A. Rice, telephone interview, 2 Oct. 2014). Collaborating under producer Lee Buddle’s direction, they orchestrated rich timbres (tone colours) to evoke different musical atmospheres (Table 1). Composer/Performer Title of TrackInstrumentation1. Ann RiceMy Placevocals/guitars/accordion 2. David PyeCicadan Rhythmsangklung/violin/cello/woodblocks/temple blocks/clarinet/tapes 3. Mel RobinsonSheltervocal/cello/double bass 4. DjivaNgank Boodjakvocals/acoustic, electric and slide guitars/drums/percussion 5. Cathie TraversLamentaccordion/vocals/guitar/piano/violin/drums/programming 6. Brendon Humphries and Kevin SmithWhen the Wind First Blewvocals/guitars/dobro/drums/piano/percussion 7. Libby HammerThe Gladevocal/guitar/soprano sax/cello/double bass/drums 8. Pete and Dave JeavonsSanctuaryguitars/percussion/talking drum/cowbell/soprano sax 9. Tomás FordWhite Hazevocal/programming/guitar 10. David HyamsAwakening /Shaking the Tree /When the Light Comes guitar/mandolin/dobro/bodhran/rainstick/cello/accordion/flute 11. Bernard CarneyThe Destiny Waltzvocal/guitar/accordion/drums/recording of The Destiny Waltz 12. Joel BarkerSomething for Everyonevocal/guitars/percussion Table 1. Music Composed for Canopy: Songs for the Southern Forests.Source: CD sleeve and http://www.understory.com.au/art.php. Composing out of their own strengths, the musicians transformed the geographic region into a living myth. As Pedelty has observed of similar musicians, “their sounds resonate because they so profoundly reflect our living sense of place” (83-84). The remainder of this essay evidences the capacity of indigenous song, art music, electronica, folk, and jazz-blues to celebrate, historicise, or re-imagine place. Firstly, two items represent the phenomenological approach of site-specific sensitivity to acoustic, biological, and cultural presence/loss, including the materiality of forest as a living process.“Singing Up the Land”In Aboriginal Australia “there is no place that has not been imaginatively grasped through song, dance and design, no place where traditional owners cannot see the imprint of sacred creation” (Rose 18). Canopy’s part-Noongar language song thus repositions the ancient Murrum-Noongar people within their life-sustaining natural habitat and spiritual landscape.Noongar Yorga woman Della Rae Morrison of the Bibbulmun and Wilman nations co-founded The Western Australian Nuclear Free Alliance to campaign against the uranium mining industry threatening Ngank Boodjak (her country, “Mother Earth”) (D.R. Morrison, e-mail, 15 July 2014). In 2004, Morrison formed the duo Djiva (meaning seed power or life force) with Jessie Lloyd, a Murri woman of the Guugu Yimidhirr Nation from North Queensland. After discerning the fundamental qualities of the Understory site, Djiva created the song Ngank Boodjak: “This was inspired by walking the trail […] feeling the energy of the land and the beautiful trees and hearing the birds. When I find a spot that I love, I try to feel out the lay-lines, which feel like vortexes of energy coming out of the ground; it’s pretty amazing” (Morrison in SFA Canopy sleeve) Stanza 1 points to the possibilities of being more fully “in country”:Ssh!Ni dabarkarn kooliny, ngank boodja kookoorninyListen, walk slowly, beautiful Mother EarthThe inclusion of indigenous language powerfully implements an indigenous interpretation of forest: “My elders believe that when we leave this life from our physical bodies that our spirit is earthbound and is living in the rocks or the trees and if you listen carefully you might hear their voices and maybe you will get some answers to your questions” (Morrison in SFA Catalogue).Cicadan Rhythms, by composer David Pye, echoes forest as a lively “more-than-human” world. Pye took his cue from the ambient pulsing of male cicadas communicating in plenum (full assembly) by means of airborne sound. The species were sounding together in tempo with individual rhythm patterns that interlocked to create one fantastic rhythm (Australian Broadcasting Corporation, Composer David Pye). The cicada chorus (the loudest known lovesong in the insect world) is the unique summer soundmark (term coined by Truax Handbook, Website) of the southern forests. Pye chased various cicadas through Understory until he was able to notate the rhythms of some individuals in a patch of low-lying scrub.To simulate cicada clicking, the composer set pointillist patterns for Indonesian anklung (joint bamboo tubes suspended within a frame to produce notes when the frame is shaken or tapped). Using instruments made of wood to enhance the rich forest imagery, Pye created all parts using sampled instrumental sounds placed against layers of pre-recorded ambient sounds (D. Pye, telephone interview, 3 Sept. 2014). He takes the listener through a “geographical linear representation” of the trail: “I walked around it with a stopwatch and noted how long it took to get through each section of the forest, and that became the musical timing of the various parts of the work” (Pye in SFA Canopy sleeve). That Understory is a place where reciprocity between nature and culture thrives is, likewise, evident in the remaining tracks.Musicalising Forest History and EnvironmentThree tracks distinguish Canopy as an integrative site for memory. Bernard Carney’s waltz honours the Group Settlers who battled insurmountable terrain without any idea of their destiny, men who, having migrated with a promise of owning their own dairy farms, had to clear trees bare-handedly and build furniture from kerosene tins and gelignite cases. Carney illuminates the culture of Saturday night dancing in the schoolroom to popular tunes like The Destiny Waltz (performed on the Titanic in 1912). His original song fades to strains of the Victor Military Band (1914), to “pay tribute to the era where the inspiration of the song came from” (Carney in SFA Canopy sleeve). Likewise Cathie Travers’s Lament is an evocation of remote settler history that creates a “feeling of being in another location, other timezone, almost like an endless loop” (Travers in SFA Canopy sleeve).An instrumental medley by David Hyams opens with Awakening: the morning sun streaming through tall trees, and the nostalgic sound of an accordion waltz. Shaking the Tree, an Irish jig, recalls humankind’s struggle with forest and the forces of nature. A final title, When the Light Comes, defers to the saying by conservationist John Muir that “The wrongs done to trees, wrongs of every sort, are done in the darkness of ignorance and unbelief, for when the light comes the heart of the people is always right” (quoted by Hyams in SFA Canopy sleeve). Local musician Joel Barker wrote Something for Everyone to personify the old-growth karri as a king with a crown, with “wisdom in his bones.”Kevin Smith’s father was born in Northcliffe in 1924. He and Brendon Humphries fantasise the untouchability of a maiden (pre-human) moment in a forest in their song, When the Wind First Blew. In Libby Hammer’s The Glade (a lover’s lament), instrumental timbres project their own affective languages. The jazz singer intended the accompanying double bass to speak resonantly of old-growth forest; the cello to express suppleness and renewal; a soprano saxophone to impersonate a bird; and the drums to imitate the insect community’s polyrhythmic undercurrent (after Hammer in SFA Canopy sleeve).A hybrid aural environment of synthetic and natural forest sounds contrasts collision with harmony in Sanctuary. The Jeavons Brothers sampled rustling wind on nearby Mt Chudalup to absorb into the track’s opening, and crafted a snare groove for the quirky eco-jazz/trip-hop by banging logs together, and banging rocks against logs. This imaginative use of percussive found objects enhanced their portrayal of forest as “a living, breathing entity.”In dealing with recent history in My Place, Ann Rice cameos a happy childhood growing up on a southwest farm, “damming creeks, climbing trees, breaking bones and skinning knees.” The rich string harmonies of Mel Robinson’s Shelter sculpt the shifting environment of a brewing storm, while White Haze by Tomás Ford describes a smoky controlled burn as “a kind of metaphor for the beautiful mystical healing nature of Northcliffe”: Someone’s burning off the scrubSomeone’s making sure it’s safeSomeone’s whiting out the fearSomeone’s letting me breathe clearAs Sinclair illuminates in a post-fire interview with Sharon Kennedy (Website):When your map, your personal map of life involves a place, and then you think that that place might be gone…” Fiona doesn't finish the sentence. “We all had to face the fact that our little place might disappear." Ultimately, only one house was lost. Pasture and fences, sheds and forest are gone. Yet, says Fiona, “We still have our town. As part of SFA’s ongoing commission, forest rhythm workshops explore different sound properties of potential materials for installing sound sculptures mimicking the surrounding flora and fauna. In 2015, SFA mounted After the Burn (a touring photographic exhibition) and Out of the Ashes (paintings and woodwork featuring ash, charcoal, and resin) (SFA, After the Burn 116). The forthcoming community project Rising From the Ashes will commemorate the fire and allow residents to connect and create as they heal and move forward—ten years on from the foundation of Understory.ConclusionThe Understory Art in Nature Trail stimulates curiosity. It clearly illustrates links between place-based social, economic and material conditions and creative practices and products within a forest that has both given shelter and “done people in.” The trail is an experimental field, a transformative locus in which dedicated physical space frees artists to culturalise forest through varied aesthetic modalities. Conversely, forest possesses agency for naturalising art as a symbol of place. Djiva’s song Ngank Boodjak “sings up the land” to revitalise the timelessness of prior occupation, while David Pye’s Cicadan Rhythms foregrounds the seasonal cycle of entomological music.In drawing out the richness and significance of place, the ecologically inspired album Canopy suggests that the community identity of a forested place may be informed by cultural, economic, geographical, and historical factors as well as endemic flora and fauna. Finally, the musical representation of place is not contingent upon blatant forms of environmentalism. The portrayals of Northcliffe respectfully associate Western Australian people and forests, yet as a place, the town has become an enduring icon for the plight of the Universal Old-growth Forest in all its natural glory, diverse human uses, and (real or perceived) abuses.ReferencesAustralian Broadcasting Commission. “Canopy: Songs for the Southern Forests.” Into the Music. Prod. Robyn Johnston. Radio National, 5 May 2007. 12 Aug. 2014 <http://www.abc.net.au/radionational/programs/intothemusic/canopy-songs-for-the-southern-forests/3396338>.———. “Composer David Pye.” Interview with Andrew Ford. The Music Show, Radio National, 12 Sep. 2009. 30 Jan. 2015 <http://canadapodcasts.ca/podcasts/MusicShowThe/1225021>.Berg, Peter, and Raymond Dasmann. “Reinhabiting California.” Reinhabiting a Separate Country: A Bioregional Anthology of Northern California. Ed. Peter Berg. San Francisco: Planet Drum, 1978. 217-20.Crawford, Patricia, and Ian Crawford. Contested Country: A History of the Northcliffe Area, Western Australia. Perth: UWA P, 2003.Feld, Steven. 2001. “Lift-Up-Over Sounding.” The Book of Music and Nature: An Anthology of Sounds, Words, Thoughts. Ed. David Rothenberg and Marta Ulvaeus. Middletown, CT: Wesleyan UP, 2001. 193-206.Giblett, Rod. People and Places of Nature and Culture. Bristol: Intellect, 2011.Kato, Kumi. “Addressing Global Responsibility for Conservation through Cross-Cultural Collaboration: Kodama Forest, a Forest of Tree Spirits.” The Environmentalist 28.2 (2008): 148-54. 15 Apr. 2014 <http://link.springer.com/article/10.1007/s10669-007-9051-6#page-1>.Kennedy, Sharon. “Local Knowledge Builds Vital Support Networks in Emergencies.” ABC South West WA, 10 Mar. 2015. 26 Mar. 2015 <http://www.abc.net.au/local/stories/2015/03/09/4193981.htm?site=southwestwa>.Morrison, Della Rae. E-mail. 15 July 2014.Pedelty, Mark. Ecomusicology: Rock, Folk, and the Environment. Philadelphia, PA: Temple UP, 2012.Pye, David. Telephone interview. 3 Sep. 2014.Relph, Edward. Place and Placelessness. London: Pion, 1976.Rice, Ann. Telephone interview. 2 Oct. 2014.Rose, Deborah Bird. Nourishing Terrains: Australian Aboriginal Views of Landscape and Wilderness. Australian Heritage Commission, 1996.Ryan, John C. Green Sense: The Aesthetics of Plants, Place and Language. Oxford: Trueheart Academic, 2012.Schine, Jennifer. “Movement, Memory and the Senses in Soundscape Studies.” Canadian Acoustics: Journal of the Canadian Acoustical Association 38.3 (2010): 100-01. 12 Apr. 2016 <http://jcaa.caa-aca.ca/index.php/jcaa/article/view/2264>.Sinclair, Fiona. Telephone interview. 6 Apr. 2014.Sinclair, Fiona, and Peter Hill. Personal Interview. 26 Sep. 2014.Southern Forest Arts. Canopy: Songs for the Southern Forests. CD coordinated by Fiona Sinclair. Recorded and produced by Lee Buddle. Sleeve notes by Robyn Johnston. West Perth: Sound Mine Studios, 2006.———. Southern Forest Sculpture Walk Catalogue. Northcliffe, WA, 2006. Unpaginated booklet.———. Understory—Art in Nature. 2009. 12 Apr. 2016 <http://www.understory.com.au/>.———. Trailguide. Understory. Presented by Southern Forest Arts, n.d.———. After the Burn: Stories, Poems and Photos Shared by the Local Community in Response to the 2015 Northcliffe and Windy Harbour Bushfire. 2nd ed. Ed. Fiona Sinclair. Northcliffe, WA., 2016.Truax, Barry, ed. Handbook for Acoustic Ecology. 2nd ed. Cambridge Street Publishing, 1999. 10 Apr. 2016 <http://www.sfu.ca/sonic-studio/handbook/Soundmark.html>.

To the bibliography