Academic literature on the topic 'Complot du 20 juillet 1944'

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Journal articles on the topic "Complot du 20 juillet 1944"

1

Levisse-Touzé, Christine. "La mémoire du 20 juillet 1944 en France." Allemagne d'aujourd'hui 208, no. 2 (2014): 142. http://dx.doi.org/10.3917/all.208.0142.

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2

Willmann, Nadine. "Le 20 Juillet 1944 dans la presse ouest-allemande entre 1954 et 2004. L’instrumentalisation et le démantèlement d’un mythe fondateur." Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 42, no. 4 (2010): 519–34. http://dx.doi.org/10.3406/reval.2010.6141.

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Abstract:
À partir de 1945, la presse ouest-allemande a livré une interprétation unanimement laudative de l’attentat du 20 juillet 1944, opérant une véritable transfiguration de ce haut fait historique, mise jusqu’aux années cinquante au service de l’élaboration d’un mythe fondateur de l’Allemagne fédérale investi de fonctions multiples. Par la suite, ce mythe ne cesse de se modeler au fil de l’évolution de l’État. Le 20 Juillet est instrumentalisé, selon les impératifs du moment, à des fins de légitimation d’objectifs politiques intérieurs et extérieurs, ainsi qu’envers les opposants à la ligne gouvernementale. Pour leur part, ceux-ci puisent dans ce mythe la justification d’un «droit à la résistance». Depuis la réunification, on enregistre un phénomène croissant de démythification du 20 Juillet en dépit de l’inflation d’articles sur le sujet, la presse prenant enfin en compte les tendances réactionnaires du mouvement analysées par les historiens des décennies auparavant.
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3

Martin, Jean. "Un officier canadien avec la 3 e armée américaine en 1944, de la Normandie à la Lorraine en passant par l’Anjou." Revue Historique des Armées 266, no. 1 (January 1, 2012): 63–72. http://dx.doi.org/10.3917/rha.266.0063.

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Abstract:
Entre le 29 juillet et le 16 octobre 1944, le capitaine Gaétan Labrosse a accompagné la 3 e armée américaine pendant son avancée en France. Les fonctions du capitaine Labrosse auprès du service des affaires civiles du XX e corps l’ont amené à développer des relations soutenues avec les autorités et la population de plusieurs régions françaises. Les observations qu’il consigne dans le long rapport qu’il rédige en 1946 sont le matériel de base de cet article. Le capitaine Labrosse a passé 20 mois en Europe, entre juillet 1944 et avril 1946, avec des formations américaines et britanniques, mais c’est à la France qu’il consacre les pages les plus éloquentes de son rapport. Malgré la réserve qu’il s’impose, les observations de cet officier canadien-français jettent un éclairage particulier sur cette période cruciale de la Libération de la France.
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Camarade, Hélène. "La représentation filmique de l’attentat du 20 juillet 1944 en République fédérale d’Allemagne." Allemagne d'aujourd'hui 208, no. 2 (2014): 123. http://dx.doi.org/10.3917/all.208.0123.

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5

Doughty, Robert. "Témoignage : « Mon père était avec Leclerc »." Revue Historique des Armées 246, no. 1 (January 1, 2007): 56–64. http://dx.doi.org/10.3917/rha.246.0056.

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Abstract:
Le 250 e bataillon d’artillerie de l’armée américaine a été entraîné à Paris, au Texas, et a débarqué à la fin juillet 1944 sur la plage de Utah. Au début août, le bataillon devait constituer le support d’artillerie de la 2e division blindée française dans la bataille de Falaise puis couvrir son avancée en direction du Mans et de Strasbourg. Le bataillon fut récompensé par les Français : les soldats reçurent 20 Croix de guerre et furent autorisés à porter la fourragère aux couleurs de la Croix de guerre. Après la guerre, les vétérans des deux unités restèrent longtemps en contact.
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6

Fabréguet, Michel. "Oppositions, dissensions et résistances sous le régime national-socialiste (1933-1945)." Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 29, no. 1 (1997): 19–31. http://dx.doi.org/10.3406/reval.1997.4006.

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Abstract:
La «prise de pouvoir» par Hitler, rendue possible par la constitution d'une coalition associant la NSDAP aux forces du conservatisme, se heurta essentiellement, dans les années 1933-1934, à la résistance d’une gauche marxiste divisée et impuissante. Mais l’instauration du monopole politique n’assura pas au régime une hégémonie sociale absolue. Des formes de dissensions ponctuelles entravèrent en particulier les initiatives du régime en matière de politique confessionnelle, sans remettre en cause le soutien des populations à l’ensemble des objectifs du régime. Mais la radicalisation de la politique intérieure et étrangère, à partir de 1938, favorisa le développement d’une résistance nationale-conservatrice, dont la branche militaire s’efforça en vain, jusqu’à la tentative de putsch du 20 juillet 1944, d’éliminer le Führer.
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Hähnel-mesnard, Carola. "Mémoire de la résistance et construction de soi. La représentation de la résistance dans les premiers récits de Stephan Hermlin." Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 42, no. 4 (2010): 409–27. http://dx.doi.org/10.3406/reval.2010.6135.

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Abstract:
Dès la fin de la guerre, Stephan Hermlin publie des récits littéraires qui thématisent la résistance au national-socialisme. Parmi les différents événements traités, on trouve les conjurés du 20 juillet 1944, la Résistance en France, le soulèvement du ghetto de Varsovie ou encore une tentative d’évasion d’officiers soviétiques à Mauthausen. Le traitement de ces thèmes va de la simple imagination au recours à des documents historiques. De la façon dont Hermlin traite ces sujets peut se déduire un rapport complexe de l’auteur à ses propres expériences de l’exil, à l’élaboration d’un récit de soi et aux exigences idéologiques induites par son engagement politique. Il s’agit alors de montrer comment ces récits sur la résistance contribuent à élaborer ce que Paul Ricœur appelle l’identité narrative, capable d’assurer la cohérence et la continuité d’une identité précaire.
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Merlio, Gilbert. "La résistance allemande dans l’historiographie de la RDA." Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 42, no. 4 (2010): 391–407. http://dx.doi.org/10.3406/reval.2010.6134.

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Abstract:
L’histoire de la résistance allemande à Hitler occupe une place centrale dans l’historiographie de la RDA. Celle-ci se voulait en effet l’héritière des forces «antifascistes-démocratiques» qui, avant et pendant le IIIe Reich, avaient combattu Hitler. D’où une historiographie politisée et héroïque à qui l’État assigne la mission de nourrir le mythe antifasciste en dépeignant la lutte victorieuse de la résistance sous la direction du Parti communiste. Après avoir décrit ces traits constitutifs, cette contribution s’efforce de montrer l’évolution de cette historiographie au fur et à mesure de l’assouplissement du régime et des progrès de la recherche. Malgré la tutelle maintenue de l’État, certains historiens s’écartent peu à peu des explications stéréotypées par la seule lutte des classes et accordent à l’action et aux motivations de la résistance chrétienne ou «bourgeoise» (notamment à la conjuration du 20 juillet 1944) une importance et une valeur accrues.
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Obaro, H. K., B. Abdulkadir, and S. Abdullahi. "In vitro antibiotic susceptibility of bacterial pathogens and risk factors associated with culture positive neonatal sepsis in two hospitals, Katsina metropolis, Nigeria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 23, no. 4 (October 24, 2022): 378–88. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v23i4.6.

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Abstract:
Background: Neonatal sepsis is one of the most important causes of morbidity and mortality among neonates, particularly in developing countries. This study aimed to determine the risk factors and in vitro antibiotic susceptibility patterns of bacterial pathogens associated with neonatal sepsis in Federal Medical Centre (FMC) and Turai Umaru Yar’adua Maternal and Children Hospital (TUYMCH), Katsina, Nigeria.Methodology: A total of 60 hospitalized neonates evaluated for neonatal sepsis at the special care baby units (SCBU) of the two healthcare facilities whose parents gave informed consent were enrolled for the study between July and December 2020. Blood samples were aseptically collected from the neonates and cultured on BacT/Alert automated platform (BioMérieux, Mercy-Etoile, France) machine. Bacteria were identified from all positive cultures and in vitro susceptibility test was performed on the isolates to determine their minimum inhibitory concentrations (MICs) to eight selected antibiotics using the Vitek-2 compact system. Data were analyzed by SPSS version 22.0.Results: A total of 60 neonates with clinical features suggestive of sepsis were enrolled. The mean age of the neonates is 1.35±0.48 days while the mean weight is 2.13±0.89 kg. Neonates with early onset sepsis (<3 days) constituted 65% while those with late-onset sepsis (>3 days) constituted 35%. Thirty-one (51.7%) neonates were culture positive while 29 (48.3%) were culture negative for bacterial pathogens. Gram-positive bacteria predominated, constituting 80.6% while Gram-negative bacteria constituted 19.4%. The most frequent Gram-positive bacteria were coagulase-negative staphylococci (51.6%, 16/31), with Staphylococcus haemolyticus 5 (16.1%) predominating, while the most frequent Gram-negative bacteria isolate was Escherichia coli 2 (6.5%). A high degree of antibiotic resistance (>50% rate) was exhibited by the isolates against most of the tested antibiotics including third generation cephalosporins and fluoroquinolones. Gentamicin was the only antibiotic effective, with 65.5% of all isolates sensitive to it; 68.0% Gram-positives and 50.0% Gram-negatives. Vancomycin was also effective against Gram-positive bacteria, with 68.0% of the isolates sensitive to it. Previous premature delivery (64.5%, 20/31) and baby delivery at home were respectively the only maternal and neonatal factors significantly associated with culture-positive neonatal sepsis (OR=2.975, 95% CI=1.040-8.510). There was no significant difference between culture positive and negative neonatal sepsis with respect to clinical manifestations such as refusal of feeds, fever, jaundice, fast breathing, convulsion and body temperature (p>0.05).Conclusion: Neonatal sepsis is a substantial cause of mortality and morbidity among neonates admitted at the FMC and TUYMCH, Katsina, Nigeria. There is a need for regular surveillance of the risk factors, causative organisms, and antibiotic susceptibility patterns of isolated pathogens, to inform the choice of empirical antibiotic treatment pending the results of blood cultures. Contexte: La septicémie néonatale est l'une des causes les plus importantes de morbidité et de mortalité chez les nouveau-nés, en particulier dans les pays en développement. Cette étude visait à déterminer les facteurs de risque et les schémas de sensibilité aux antibiotiques in vitro des agents pathogènes bactériens associés à la septicémie néonatale dans le Centre Médical Fédéral (FMC) et le Turai Umaru Yar'adua Hôpital de la Mère et de l'Enfant (TUYMCH), Katsina, Nigeria.Méthodologie: Un total de 60 nouveau-nés hospitalisés évalués pour une septicémie néonatale dans les unités de soins spéciaux pour bébés (SCBU) des deux établissements de santé dont les parents ont donné leur consentement éclairé ont été inclus dans l'étude entre juillet et décembre 2020. Des échantillons de sang ont été prélevés de manière aseptique sur les nouveau-nés et cultivés sur la plate-forme automatisée BacT/Alert (BioMérieux, Mercy-Etoile, France). Les bactéries ont été identifiées à partir de toutes les cultures positives et un test de sensibilité in vitro a été effectué sur les isolats pour déterminer leurs concentrations minimales inhibitrices (CMI) à huit antibiotiques sélectionnés à l'aide du système compact Vitek-2. Les données ont été analysées par SPSS version 22.0.Résultats: Au total, 60 nouveau-nés présentant des caractéristiques cliniques évoquant une septicémie ont été recrutés. L'âge moyen des nouveau-nés est de 1,35±0,48 jours alors que le poids moyen est de 2,13±0,89 kg. Les nouveau-nés atteints d'un sepsis précoce (<3 jours) représentaient 65% tandis que ceux atteints d'un sepsis tardif (>3 jours) représentaient 35%. Trente et un (51,7%) nouveau-nés étaient positifs à la culture tandis que 29 (48,3%) étaient négatifs à la culture pour les pathogènes bactériens. Les bactéries Gram-positives prédominaient, constituant 80,6% tandis que les bactéries Gram-négatives constituaient 19,4%. Les bactéries à Gram positif les plus fréquentes étaient les staphylocoques à coagulase négative (51,6%, 16/31), Staphylococcus haemolyticus 5 (16,1%) prédominant, tandis que l'isolat de bactéries à Gram négatif le plus fréquent était Escherichia coli 2 (6,5%). Un degré élevé de résistance aux antibiotiques (> 50% de taux) a été présenté par les isolats contre la plupart des antibiotiques testés, y compris les céphalosporines de troisième génération et les fluoroquinolones. La gentamicine était le seul antibiotique efficace, avec 65,5% de tous les isolats qui y étaient sensibles; 68,0% de Gram positifs et 50,0% de Gram négatifs. La vancomycine était également efficace contre les bactéries Gram-positives, 68,0% des isolats y étant sensibles. Un accouchement prématuré antérieur (64,5%, 20/31) et un accouchement à domicile étaient respectivement les seuls facteurs maternels et néonatals significativement associés à une septicémie néonatale à culture positive (OR=2,975, IC 95%=1,040-8,510). Il n'y avait pas de différence significative entre la septicémie néonatale positive et négative à la culture en ce qui concerne les manifestations cliniques telles que le refus de s'alimenter, la fièvre, la jaunisse, la respiration rapide, les convulsions et la température corporelle (p>0,05).Conclusion: La septicémie néonatale est une cause importante de mortalité et de morbidité chez les nouveau-nés admis au FMC et TUYMCH, Katsina, Nigeria. Il est nécessaire de surveiller régulièrement les facteurs de risque, les organismes responsables et les schémas de sensibilité aux antibiotiques des agents pathogènes isolés, afin d'éclairer le choix d'un traitement antibiotique empirique en attendant les résultats des hémocultures.
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Poznanski, Thaddée. "Loi modifiant la loi des accidents du travail." Commentaires 22, no. 4 (April 12, 2005): 558–65. http://dx.doi.org/10.7202/027838ar.

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Abstract:
Le Bill 79 modifiant la Loi (québécoise) des accidents du travail a été sanctionné le 12 août 1967 et est entré en vigueur le même jour, mais plusieurs dispositions essentielles de la nouvelle loi ne prennent effet qu'à compter du 1er septembre 1967. Les changements principaux apportés par ce Bill concernent l'amélioration des prestations versées aux accidentés et à leurs survivants; ceci non seulement pour les accidents qui surviendront à compter du 1er septembre 1967, mais aussi celles versées présentement pour les accidents antérieurs à cette date. Mentionnons, cependant, que pour les accidents survenus à compter du 1er septembre 1967 la limite du salaire annuel compensable est haussée à $6,000, cette limite n'étant avant cette date que de $5,000 et cela à partir du 1er janvier 1960 ($4,000 à partir du 1er janvier 1955, $3,000 à partir du 1er février 1952, $2,500 à partir du 1er juillet 1947 et $2,000 depuis 1931 — l'année d'entrée en vigueur de la Loi des accidents du travail). Pour saisir l'importance de la modification du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000, on peut mentionner qu'en 1966 presque 40% des accidentés ayant droit à une prestation pécuniaire ont eu un salaire dépassant la limite de $5,000, et dans quelques classes de risque le pourcentage en question dépasse 75% (par exemple: aciéries, etc.). Pour les accidentés d'avant le 1er septembre 1967 le salaire compensable reste le même que lors de l'accident (« gains moyens pendant les douze mois précédant l'accident si son emploi a duré au moins douze mois, ou de ses gains moyens au cours de toute autre période moindre pendant laquelle il a été au service de son employeur »),avec les limites alors en vigueur, même si le salaire effectif de l'accidenté (calculé de la manière précitée) dépassait la limite en question. Mais déjà lors de la revalorisation des rentes effectuée en 1964 (avec effet du 1er octobre 1964) on a tenu compte, dans une certaine mesure, des modifications successives du plafond et les pourcentages ajoutés aux montants des rentes des accidentés d'antan sont basées justement sur l'échelle de ces plafonds et leurs relations. Toutefois, dans l’intention de vouloir couvrir la capitalisation des majorations dues à la revalorisation par le fonds disponible, on s'est vu obligé de n'accorder que 40% de l'augmentation; ainsi, par exemple, pour les accidents des années 1931-1947, quand la limite des salaires compensables était de $2,000 par année, la revalorisation accordée en 1964 était de 60%, tandis que le plafond a augmenté de 150%, à savoir de $2,000 à $5,000; de la même façon, les rentes pour les accidents survenus entre le 30 juin 1947 et le 1er février 1952 ont été augmentées de 40% et celles pour les accidents survenus entre le 31 janvier 1952 et le 1er janvier 1955 de 27% et celles des années 1955-1959 de 10%. La revalorisation prévue présentement, par le Bill 79, est basée sur d'autres principes que celle effectuée en 1964. En premier lieu, il est à noter que lors de la revalorisation en 1964 on n'a pas tenu compte, du moins explicitement, du fait que les rentes des bénéficiaires dont les accidents datent d'avant 1956 sont calculées d'après un taux inférieur à 75% présentement (à partir du 1er janvier 1956) applicable pour l'incapacité permanente totale (et des taux proportionnels en cas d'incapacité permanente partielle), à savoir selon un taux de 66 2/3% pour les accidents survenus de 1931 au 31 janvier 1952 et selon le taux de 70% du 1er février 1952 au 31 décembre 1955. On peut toutefois signaler que les montants des rentes revalorisées en 1964 selon les pourcentages consignés à l'art. 38 de la loi (donc de 40% à 10% selon l'année de l'accident) sont, dans tous les cas, supérieurs aux montants théoriques provenant d'un ajustement hypothétique selon le taux de 75%. En passant, il est à mentionner que dans les autres provinces canadiennes le seul ajustement effectué à date, c'est de recalculer les rentes en les basant sur le taux de 75%. * La revalorisation prévue par le Bill 79 tient compte de trois facteurs. En premier lieu, la majoration de la rente ne part pas du montant initial de la rente, mais de celui augmenté par la revalorisation de 1964. Le deuxième facteur amène toutes les rentes au taux de 75%, expliqué plus haut. Le troisième facteur tient compte du changement de l'indice du coût de la vie entre la date de l'octroi de la rente (date de l'accident) et l'année 1966, avec correction que la rente ainsi ajustée, d'après le coût de la vie, ne soit pas inférieure à celle d'après le principe du taux de 75%. Voici donc la table des majorations prévue par le Bill 79 (annexe A), applicable aux rentes payables le 30 septembre 1967, donc déjà augmentées, le cas échéant d'après la revalorisation de 1964. ANNEXE "A" A LA LOI Année de l'accident Taux de majoration 1931 -1939 40 % 1940 34 % 1941 26 % 1942 21 % 1943 19 % 1944 18 % 1945 7 % 1946 14 % 1947 -1951 12.5 % 1952 -1954 7.14 % 1955 10 % 1956 9 % 1957 5 % 1958 2.2 % 1959 1.1 % 1960 10 % 1961 9 % 1962 8 % 1963 6 % 1964 4 % 1965 2 % Cette échelle des majorations selon l'année de l'accident nécessite, peut-être, quelques explications par des exemples suivants: a) Les rentes provenant des accidents survenus après le 1er janvier 1960, n'étaient pas revalorisées en 1964. D'après l'échelle maintenant adoptée, elles seront majorées selon un taux de 2% par année écoulée depuis l'année de l'accident jusqu'à 1966. b) Les rentes provenant des accidents de la période 1955-1959 ont été revalorisées en 1964 de 10%; pour tenir compte de l'indice du coût de la vie, l'échelle prévoit des augmentations allant de 1.1% à 10% selon l'année de l'accident. c) Les rentes provenant des accidents de la période 1952-1954 ont été revalorisées en 1964 de 27%; après la revalorisation d'un tel pourcentage, les rentes sont déjà plus élevées que d'après l'indice du coût de la vie; l'échelle du Bill prévoit donc pour ces rentes un ajustement de 70% à 75%, c'est-à-dire une majoration de 7.14%. d) Les rentes provenant des accidents de la période 1948-1951 ont été revalorisées en 1964 de 40%; maintenant, d'après le Bill 79, elles sont majorées de 12.5% pour tenir compte de la relation de 75% à 66 2/3%. e) La même chose s'applique aux rentes provenant de la première moitié de l'année 1947, revalorisées en 1964 de 60%. f) Pour les rentes provenant des accidents d'avant le 1er janvier 1947, l'échelle du Bill 79 prévoit une majoration selon l'indice du coût de la vie, car un ajustement de 66 2/3% à 75% serait inférieur. En plus de la revalorisation des rentes aux accidentés, tel que décrit plus haut, le Bill 79 prévoit une majoration substantielle des rentes aux survivants; ces rentes sont, en principe, indépendantes du salaire compensable de l'ouvrier — victime d'un accident. D'après le Bill 79 les rentes mensuelles versées aux veuves (ou veufs invalides) seront portées de $75 à $100, donc une majoration de 33 1/3%. Les rentes pour les enfants seront portées de $25 à $35 par enfant, donc une majoration de 40%, et les rentes aux orphelins de père et de mère de $35 à $55. Mentionnons, en passant, que lorsque de la revalorisation en 1964 des rentes aux accidentés, les montants des rentes aux survivants n'ont pas été modifiés; la rente de veuve au montant de $75 existe depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement à cette date elle était de $40 de 1931 à 1947 et de $45 durant la période 1947-1954). De même les rentes pour les enfants au montant de $25 et $35 aux orphelins existent depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement elles étaient de $10 resp. $15 durant la période 1931-1947 et de $20 resp. $30 durant la période 1947-54). Il est à remarquer que dans tous les cas le montant des rentes était fixé selon la date du paiement (de l'échéance) quelle que soit la date de l'accident. La loi prévoit à l'art. 34, par. 10 qu'en principe, le total des rentes mensuelles payées au décès d'un ouvrier, ne peut excéder 75% de son salaire compensable et, le cas échéant, les rentes sont réduites proportionnellement. Cependant la rente mensuelle minimum payable à une veuve (ou un veuf invalide) avec un seul enfant est fixée d'après le Bill 79 à $135 en prévoyant ainsi une augmentation de la situation précédente de $35; pour une veuve avec deux enfants la rente est portée de $125 à $170 (une augmentation de $45) et pour une veuve avec plus de deux enfants de $150 à $205 (une augmentation de $55). S'il y a plus que deux enfants admissibles à ces rentes (donc âgés de moins de 18 ans ou aux études ou invalides) le montant à la veuve (y compris pour les enfants) peut excéder le dit montant de $205 par mois lorsque le salaire mensuel de la victime dépasse $273.33 (car 75% de $274 est de $205.50). Le Bill 79 en majorant les rentes en cours payables aux survivants des victimes des accidents survenus avant le 1er septembre 1967, prévoit une augmentation identique aux rentes qui seront accordées aux survivants des victimes des accidents survenus à compter du 1er septembre 1967. En outre, le Bill stipule que l'allocation spéciale payable à la veuve (ou à la mère adoptive) en plus des dépenses encourues pour les funérailles de l'ouvrier, devient $500 au lieu de $300. Une autre amélioration des prestations provient du fait que dorénavant les rentes accordées dans le cas d'incapacité permanente (totale ou partielle) seront versées jusqu'à la fin du mois durant lequel décède un tel rentier. D'après le texte précédent l'ouvrier n'a droit à sa rente que « sa vie durant »; ainsi les rentes exigibles pour le mois dans lequel a eu lieu le décès n'étaient payables (à la succession) que proportionnellement selon le nombre de jours qu'il a vécus (il est à mentionner à cette occasion que la loi parle toujours de la « rente hebdomadaire » quoique ces rentes sont versées en termes mensuels). La modification à ce propos est d'ailleurs conforme aux principes du Régime de rentes où on stipule que « le paiement d'une prestation est dû au début du mois, mais il est versé à la fin de chaque mois pour le mois écoulé ». En parlant des rentes aux victimes des accidents, il peut être intéressant de signaler que la très grande partie de ces rentes sont: payées pour l'incapacité partielle; ainsi selon l'état au 31 décembre 1966 le nombre des rentiers dont l'incapacité ne dépasse pas 20% est d'environ 63% du total et même la proportion de ceux avec une incapacité ne dépassant pas 50% est de 91%. Le degré moyen d'incapacité s'élevait à 24.4%. Parmi d'autres modifications apportées par le Bill 79, on peut mentionner l'article qui couvre le cas d'aggravation d'un mal d'un accidenté du travail. L'amendement prévoit que dans de tel cas la compensation pour l'incapacité temporaire ou permanente sera basée sur le salaire de l'ouvrier au moment de l'aggravation (rechute, etc.) si celle-ci survient plus que trois (3) ans après cet accident, bien entendu lorsque ce salaire est plus élevé que ceux qui ont servi de base pour établir la compensation antérieure. Dans le passé ce délai était de 5 ans. Une autre modification, inspirée celle-ci par la Loi sur le Régime de rentes, prévoit que la CAT peut déclarer morte une personne disparue à la suite d'un accident survenu par le fait ou à l'occasion du travail, dans les circonstances qui font présumer son décès et reconnaître, la date de l'accident (ou la disparition) comme date de son décès, et par le fait même, de verser aux survivants les prestations requises. Une disposition spéciale du Bill 79 concerne le cas de pneumoconiose (silicose et amiantose); d'après la nouvelle teneur de l'article en question la CAT peut accepter une réclamation à cette fin, aussi si la pneumoconiose « est accompagnée d'une autre complication »; dans le passé il existait justement la restriction que la pneumoconiose ne soit « accompagnée d'aucune complication » (art. 108 de la Loi) pour avoir droit à une compensation. Enfin un article du Bill 79 donne droit aux compensations à toute personne qui serait blessée ou tuée alors qu'elle accompagne un inspecteur des mines, en vertu de la Loi des mines, même si c'est un travail d'occasion ou étranger à l'industrie de l'employeur, lesquels cas, règle générale, ne donnent droit aux compensations. De la revalorisation des rentes en cours vont profiter en 1967 environ 15 mille bénéficiaires (soit accidentés ou atteints de maladie professionnelle) et l'augmentation des rentes atteindra $62,500 par mois ou $750,000 par année; cela fait en moyenne environ 10% des montants versés avant la revalorisation. En ce qui concerne les rentes aux veuves leur nombre est d'environ 2,300, tandis que le nombre d'enfants admissibles atteint environ 3,800 (y compris les orphelins de père et de mère, ainsi que les étudiants au dessus de 18 ans et les enfants-invalides). L'article 5 du Bill 79 prévoit que l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux accidentés découlant de la revalorisation incombe au fond d'accident ou à l'employeur de la même manière que celle de la rente de base; une disposition semblable se trouvait dans l'amendement de la Loi lors de la revalorisation en 1964. Par contre le Bill 79 ne dit pas explicitement à qui incombe l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux survivants décrétée par ce Bill. On peut toutefois déduire de l'art. 3 de la Loi que l'employeur dont l'industrie est mentionnée dans la cédule II (et qui par le fait même ne contribue pas au fond d'accident) est personnellement tenu de payer la compensation y compris la modification accordée par le Bill. D'autre part, toujours d'après le même article, l'employeur dont l'industrie est mentionnée à la cédule I, n'est pas responsable de payer la compensation, étant tenu de contribuer au fond d'accident de la Commission. La réforme des prestations aux survivants (des rentes et de l'allocation spéciale) causées par les accidents mortels, survenus après le 31 août 1967 aura comme conséquence l'augmentation des dépenses de la Commission et, par ricochet, amènera une faible majoration des taux de contributions. On estime que de ce fait le taux futur de contribution devra subir une majoration moyenne de moins de 4% du taux actuel; la majoration ne sera pourtant uniforme dans toutes les classes d'industries ou de risque; elle dépendra, en premier lieu, de la fréquence des accidents mortels qui est très différente selon la classe. Par contre, la revalorisation des rentes aux accidentés et l'ajustement de celles aux survivants (veuve, enfants)en cours en septembre 1967, c'est-à-dire causées par les accidents antérieurs soulève un problème particulier. Lors de la revalorisation des rentes en 1964, la Commission pouvait se prévaloir d'un excédent qui se trouvait (implicitement) dans son fond d'accident, pour former la capitalisation des augmentations des rentes provenant de la dite revalorisation. Contrairement à la position de 1964, la situation financière de la CAT en 1967 n'accuse pas de tel excédent (ni explicitement, ni implicitement) pour former la capitalisation des majorations décrétées par le Bill 79. D'après une déclaration du ministre du Travail en Chambre, les majorations en question exigeraient une capitalisation d'environ $21,5 millions. Il serait impossible (et même illogique) de prélever des employeurs une telle somme d'un seul coup. La Commission pourra donc se prévaloir, paraît-il, des dispositions de l'art. 32 de la Loi qui prévoit que « la Commission peut, de la manière et à telle époque ou à telles époques qu'elle croit le plus équitable et le plus en harmonie avec les principes généraux et les dispositions de la présente loi, prélever des employeurs qui ont exploité dans le passé, qui exploitent actuellement ou qui exploiteront à l'avenir une des industries visées par la présente loi, les sommes additionnelles résultant de l'augmentation des compensations payables en vertu des dispositions de la présente loi ». En vertu de cet article (qui est rédigé quasi « sur mesure » de notre problème) il est donc loisible à la Commission de répartir le montant nécessaire sur une longue période, par exemple 25 ans, en prélevant annuellement à titre de sommes additionnelles (sans nécessairement les identifier comme telles) aux contributions régulières; une telle répartition sur une période de 25 ans exigerait environ 6.4% du montant de la capitalisation nécessaire de $21,5 millions, donc environ $1,400,000 par année; ce montant tient compte d'intérêt à raison de 4% composé annuellement, c'est-à-dire le même que le taux d'escompte appliqué pour évaluer la valeur présente des augmentations accordées. Dans l'hypothèse que les contributions annuelles régulières dépasseront $50 millions, la cotisation additionnelle serait d'ordre de 3% et possible moins, si on envisage que la hausse du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000 et l'assujettissement projeté de nouveaux groupes des travailleurs augmentera sensiblement le volume global des contributions régulières. D'après le plan quinquennal préparé par la Commission et annoncé par le ministre du Travail dans la Gazette du Travail du Québec (juillet 1967) on peut s'attendre que le nombre des salariés couverts par la Loi augmentera dans 5 ans de 50%, en passant de un million en 1966 à un million et demi en 1972, ceci selon les données disponibles actuellement concernant les nouvelles entreprises qui deviendront progressivement assujetties à la Loi. Lors de la discussion du Bill 79 à l'Assemblée législative on a soulevé la question du rajustement ou de l'adaptation automatique au coût de la vie des prestations de la Commission aux accidentés (et à leurs survivants), tout comme cela est prévu pour les prestations du Régime de rentes (au Québec et dans les autres provinces canadiennes) et aussi pour les pensions (fédérales) de la sécurité de la vieillesse. Selon l'explication donnée en Chambre par le ministre du Travail, le gouvernement a envisagé d'une manière objective la question de la revalorisation automatique future des rentes de la CAT, mais le gouvernement n'a pas voulu cette année, selon l'expression du ministre, en faire une disposition particulière dans la loi, bien qu'on y avait songé; et cela surtout, d'après le ministre, à cause du coût supplémentaire pour les employeurs (lesquels, comme on sait, sont les seuls qui contribuent à la CAT), lequel serait occasionné par un tel ajustement automatique. Le ministre a ajouté que le gouvernement est bien conscient du problème et qu'il ne l'a pas abandonné. Il faut donc comprendre qu'il sera étudié plus tard, peut-être, avec l'ajustement automatique d'autres prestations payables par le gouvernement.1 A ce propos, il est à signaler qu'à date, à notre connaissance, il y a une seule province au Canada, celle de la Colombie-Britannique, dans laquelle les prestations périodiques sont sujettes à un accroissement automatique, selon l'indice des prix à la consommation. En substance, si cet indice augmente d'une année à l'autre de pas moins de 2%, les rentes seront accrues de 2% pour chaque augmentation de 2% de l'indice.
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Books on the topic "Complot du 20 juillet 1944"

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Bernage, Georges. Les Panzers dans la bataille de Normandie: Du 5 juin au 20 juillet 1944. Bayeux: Heimdal, 1999.

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Peter, Hoffmann. Stauffenberg: A family history, 1905-1944. Cambridge [England]: Cambridge University Press, 1995.

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3

Peter, Hoffmann. Stauffenberg: A family history, 1905-1944. 2nd ed. Montreal: McGill-Queen's University Press, 2003.

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4

Peter, Hoffmann. Widerstand, Staatsstreich, Attentat: Der Kampf der Opposition gegen Hitler. 4th ed. München: Piper, 1985.

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5

Peter, Hoffmann. The history of the German resistance, 1933-1945. 3rd ed. Montreal: McGill-Queen's University Press, 1996.

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6

Hoffmann, Peter. The history of the German resistance, 1933-1945. 3rd ed. Montreal: McGill-Queen's University Press, 1996.

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7

Schlabrendorff, Fabian von. The secret war against Hitler. Boulder: Westview Press, 1994.

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8

Hoffmann, Peter. Claus Schenk Graf von Stauffenberg und seine Brüder. Stuttgart: Deutsche Verlags-Anstalt, 1992.

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9

Whalen, Robert Weldon. Assassinating Hitler: Ethics and resistance in Nazi Germany. Selinsgrove, Pa: Susquehanna University Press, 1993.

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10

Goebbels, Joseph. Journal: 1943-1945. Paris: Tallandier, 2005.

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Book chapters on the topic "Complot du 20 juillet 1944"

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"Paris, 20 juillet 1944." In Refus d’obéissance. 1945, 46–53. Les Presses de l’Université de Laval, 2015. http://dx.doi.org/10.1515/9782763717500-005.

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