Academic literature on the topic 'Classe ouvrière – Canada – 19e siècle'

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Journal articles on the topic "Classe ouvrière – Canada – 19e siècle"

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Simoneau-Gilbert, Virginie. "De la protection des chevaux à la défense de tous les animaux : une brève histoire de la cause animale au Québec." Revue Possibles 48, no. 1 (June 1, 2024): 52–60. http://dx.doi.org/10.62212/revuepossibles.v48i1.755.

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Abstract:
Mon texte offre un aperçu historique de la naissance de la cause animale au Québec et met en lumière les transformations majeures qui l’ont marquée. Dans un premier temps, nous pourrons constater que la naissance de la cause animale au 19e siècle est tributaire de nouvelles inquiétudes liées à la manière dont sont traités les chevaux et les animaux de bétail par les membres de la classe ouvrière. Ces préoccupations ne sont pas étrangères aux valeurs bourgeoises portées par les dirigeants montréalais et à l’influence des lois britanniques sur les colonies de l’Amérique du Nord britannique. Dans un deuxième temps, nous verrons que le remplacement des chevaux par l’automobile et que l’implication des femmes au sein du mouvement sont à l’origine d’une redéfinition majeure de la cause animale et de ses priorités à l’aube du 20e siècle. À partir de 1914, la SPCA de Montréal se consacre presqu’entièrement à son refuge pour chiens et chats et ce, jusqu’aux années 1960. Enfin, en guise de conclusion, je retracerai brièvement la trajectoire prise par le mouvement animaliste québécois depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale en insistant sur la diversité de ses buts.
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Kmiec, Patricia. "“Take this Normal Class Idea and Carry it throughout the Land”: Sunday School Teacher Training in Late Nineteenth-Century Ontario." Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, April 11, 2012. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v24i1.4082.

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Abstract:
AbstractBy 1874, the interdenominational Protestant Sunday school community in Ontario was wellestablished, with over 4,000 schools and 34,000 teachers connected through the SabbathSchool Association of Canada. From private prayer to centralized normal schools with qualifyingexaminations, various approaches to teacher education were debated and practiced withinthe Sunday school community. This paper traces the increasingly formal training that Sundayschool teachers underwent over the last half of the nineteenth century. This analysis highlightshow Sunday schools across Ontario continued to be directed by their workers at the locallevel, even as there was increasing centralization and standardization over the last half of thenineteenth century. It also suggests that the adult education provided within this communityextended well beyond the Sunday school classroom.RésuméEn 1874, le réseau des écoles du dimanche interconfessionnelles protestantes étaient bien établiesen Ontario avec plus de 4 000 écoles et 34 000 enseignants réunis au sein de la SabbathSchool Association of Canada. De la prière en privé aux examens de qualification des écolesnormales centralisées, diverses approches de formation en enseignement étaient discutées etmises en pratique dans la communauté des écoles du dimanche. Cet article retrace la formationde plus en plus standardisée dispensée aux enseignants des écoles du dimanche durant la secondemoitié du 19e siècle. Notre analyse souligne que les écoles du dimanche étaient toujoursdirigées par des travailleurs locaux, malgré les processus de standardisation et de centralisationdurant cette période. Nous affirmons également que l’éducation aux adultes dispensée danscette communauté continuait bien au-delà de la salle de classe de l’école du dimanche
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Dissertations / Theses on the topic "Classe ouvrière – Canada – 19e siècle"

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Bui, Tran Anh-Dao. "The Birth of a Bridge. The Building of the Victoria Bridge in Montreal, 1853- 1859." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2023. http://www.theses.fr/2023SORUL131.

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Abstract:
L’imposant pont Victoria, long d’environ trois kilomètres, est le premier pont à avoir enjambé le St Laurent. Construit à Montréal entre 1853 et 1859, il est d’une importance cruciale pour le projet ferroviaire du Grand Tronc (GT), dont l’ambition est de relier le Canada Est et le Canada Ouest aux ports maritimes de l’Atlantique et ainsi à l’Europe. Une firme de célèbres entrepreneurs britanniques, Peto, Brassey, Jackson et Betts, est en charge de la construction de la section la plus importante du GT ainsi que du pont Victoria, conçu par l’éminent Robert Stephenson et son assistant Alexander Ross, l’ingénieur en chef du GT au Canada. Il s’agit d’un pont tubulaire dont la construction, achevée deux ans en avance malgré des difficultés financières et diverses épreuves, emploie parfois plus de 3000 ouvriers. Cette thèse contribue à la discussion sur le rôle du Canada dans l'histoire impériale, mais aussi à l'histoire de la circulation des hommes et des savoirs dans un contexte d'industrialisation croissante et de développement mondial du génie civil britannique. Elle étudie les relations entre employeurs et ouvriers sur le chantier et soutient que le pont Victoria est une étude de cas permettant d'analyser le paternalisme et le développement du capitalisme industriel et du travail salarié dans le Canada du XIXe siècle, avec une attention particulière portée à l'analyse du risque et des accidents
The impressive, three kilometres Victoria Bridge across the St Lawrence River, built 1853-1859 in Montreal, was crucially important to the ambitious Grand Trunk Railway (GTR) project designed to better connect Canada East and Canada West to one another, to Atlantic seaports, and thus to Europe. A partnership of famous British contractors, Peto, Brassey, Jackson, and Betts, built the most important section of the GTR and the Victoria Bridge, designed by the eminent Robert Stephenson with his assistant Alexander Ross, the GTR’s engineer-in-chief in Canada. Construction of this massive bridge of tubular design, finished two years ahead of schedule despite financial difficulties and hardships of various natures, at times required the employment of 3000 or more workers. This dissertation contributes to the discussion on the role of Canada in imperial history, but also to the history of the circulation of men and knowledge in a context of rising industrialism and worldwide development of British civil engineering. It analyses the labour relations on the worksite, and argues that the Victoria Bridge is a case study to analyse paternalism and the development of industrial capitalism and wage employment in nineteenth-century Canada, with a particular focus on the analysis of risk and accidents
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Moisdon, Gicquel Yolande. "La lutte antituberculeuse en France du XIXème siècle au début du XXème siècle." Paris 8, 2014. http://www.theses.fr/2014PA083980.

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Abstract:
Après des siècles de désintérêt pour la maladie la plus meurtrière en France nommée la tuberculose pulmonaire, l’Etat légifère en 1850 pour mener son combat. La loi de lutte contre le logement insalubre devait remédier aux différents facteurs nuisibles pour la santé de l’individu. L’humidité, l’obscurité et la promiscuité furent à l’origine de l’émergence de cette maladie contagieuse notamment parmi la classe ouvrière. Néanmoins, l’étude de cette législation révèle sa responsabilité dans l’amplification du fléau tuberculeux dans tout le pays, l’appauvrissant ainsi sur le plan économique et social. La loi de 1850 sur les logements insalubres présente de nombreuses incohérences pour éradiquer la tuberculose. Ce constat met en exergue la fragilité de la France dans la mise en place de la lutte. Pendant le premier conflit mondial, différentes institutions sanitaires spécialisées furent construites comme les dispensaires et les sanatoriums. Ces établissements diminuèrent de façon massive la mortalité tuberculeuse malgré les incohérences de leurs lois respectives. Aidée par les Etats-Unis, la France a pu organiser activement la propagande antituberculeuse. L’éradication de la tuberculose se fit grâce à la découverte du vaccin B. C. G en 1921
After centuries of neglect of the biggest killers in France called pulmonary tuberculosis, the state legislates in 1850 to lead his fight. The law against substandard housing should address various harmful factors for the health of the individual. Moisture, darkness and promiscuity were behind the emergence of this contagious disease especially among the working class. Nevertheless, the study of this legislation reveals its responsibility for this legislation reveals its responsibility for the amplification of TB scourge throughout the country, thus depleting the economic and social level. The law of 1850 on the substandard housing has many inconsistencies to eradicate tuberculosis. This finding highlights the fragility of France in the development of the struggle. During the First World War, various specialized health institutions were built as clinics and sanatoriums. These establishments diminished massively tuberculosis mortality despite inconsistencies in their respective legislation. Aided by the United States France was actively organize TB propaganda. The eradication of tuberculosis caused by the discovery of BCG vaccine in 1921
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Derainne, Pierre-Jacques. "Le travail, les migrations et les conflits en France : représentations et attitudes sociales sous la Monarchie de Juillet et la Seconde République." Dijon, 1999. http://www.theses.fr/1999DIJOL019.

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Abstract:
Nous avons fait l'histoire d'un type de conflits du travail en France, les conflits entre ouvriers liés à la perception négative d'une concurrence sur le marché du travail, notamment la concurrence des migrants. Dans ce cadre, nous avons analysé durant la période de la monarchie de Juillet et de la Seconde République les modes de construction sociale de l'identité et de l'extranéité, des discours de légitimation et d'illégitimation relatifs à la place sur le marché du travail, ainsi que les modes de projection du travail dans l'espace. En dehors du contexte du conflit proprement dit, nous nous sommes également intéressés aux discours producteurs d'identités collectives - le "corps", la "corporation", la "classe", le "peuple", la "nationalité", "l'humanité", le "cosmopolitisme" - émanant d'ouvriers ou d'individus s'adressant aux ouvriers, notamment les intellectuels républicains puis socialistes. En remontant à l'Ancien Régime, nous avons montré en quoi l'attitude de protection exclusive revêt un caractère structurant dans l'histoire du mouvement ouvrier. Nous avons mis en évidence les mutations culturelles qui s'effectuent dans le monde du travail après 1830, et qui se traduisent notamment par l'affaiblissement des référents identitaires traditionnels que sont le "corps" et le territoire local, au profit de la "corporation" nouvelle, ou de la "classe" qui se déploient eux dans l'espace national. Alors que se diffuse dans la société une hostilité aux ouvriers non nationaux et un sentiment de protection du travail national, l'idéologie républicaine et socialiste après 1830, oscille entre, d'un côté, le nationalisme universaliste et l'humanitarisme, et, de l'autre, l'enracinement national prolétarien, discours de la sueur et du sang qui associe le peuple, le travail, la nationalité et le sol, valorise la fixité et présente l'ouvrier, comme un producteur soldat attache au sol de la patrie.
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Commaille, Laurent. "Les cités ouvrières de Lorraine : 1850-1940 : étude de la politique patronale du logement." Metz, 1999. http://docnum.univ-lorraine.fr/public/UPV-M/Theses/1999/Commaille.Laurent.LMZ9902_1.pdf.

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Abstract:
L'étude est menée surtout à partir de documents issus des entreprises. Dans la décision de construire, les raisons morales et philanthropiques s'effacent devant la nécessité (bâti insuffisant, main d'oeuvre fluctuante et concurrence des entreprises entre elles). Certaines sociétés construisent peu. Les quantités et les rythmes diffèrent, les équipements aussi. Si, à la fin de la période, les cités ouvrières donnent l'impression d'ensembles cohérents, "rationnels", ce n'est souvent que par accumulation de maisons ouvrières, de coopératives, d'écoles etc. , et non le résultat d'un projet formulé dans sa totalité des l'origine. La cité, jusqu'au début du XXe siècle, est plus un investissement qu'une oeuvre sociale. De ce fait, la politique des habitations à bon marché ne rencontra pas beaucoup d'échos dans le patronat industriel. La même chose est observable en Lorraine allemande avec les coopératives de construction. La hausse des coûts, la dégradation des revenus tirés des loyers, la pression de l'Etat et la politique préconisée par Robert Pinot, le secrétaire du comité des Forges, entraînent, vers 1905-1910, une transformation de la cité ouvrière en "oeuvre sociale". Cela se traduit par de nouveaux équipements, peu "rentables" (salles des fêtes, stades etc. ), la ligne courbe dans les plans des nouvelles cités, des maisons plus attrayantes qu'auparavant. Cependant, les industriels n'arriveront jamais à loger l'ensemble des ouvriers. Les mines de fer du bassin de Briey obtiennent les plus fortes proportions d'ouvriers logés, mais par la pratique des "pensionnaires" qui font grimper les taux d'occupation des maisons. Ce n'est qu'avec la crise des années trente que la pénurie de logements diminuera. La promiscuité observée dans les mines, le faible nombre des ouvriers logés par la sidérurgie ou le textile, démentent l'idée d'une domestication de l'ouvrier par la cité, du moins en Lorraine
This study -documents basically issued from the companies- shows that the moral and philantropic reasons were less essential than the need created by insufficient housing, a fluctuating labour force and industrial competition. The building methods varied. Some didn't build much. The rhythms were different and so was the equipment. If, at the end of the period, company towns seemed to be coherently, sensibly planned, it was often more because of the accumulation of houses, cooperatives, schools and so on, than the result of an original, well-drafted plan. Moreover, the towns represented more an investment than real social care for the companies, at least until the beginning of the 20th century. Hence the cheap housing policy created by the state, on the philantropic circles initiative, was barely followed by the employers. The rise of the costs in building and upkeep, the fall of the income derived from the rents, the pressure from the government and the policy advocated by R. Pinot, the secretary of the comite des forges, led, from 1905-1910 on, to a different vision of the company town which became a social issue. This shift resulted in new equipements which didn't pay much such as town halls, stadiums, and so on. In the plans of the new towns, the curve appeared and the houses presented more attractive decorations and volumes. Nevertheless, despite all their efforts, the manufacturers were never able to house the totality of workers. The highest proportion of housed workers was found in the mining towns around briey but only thanks to boarding houses which made the occupancy rate rise. The lack of privacy observed in the mines and the low rate of workers accomodated by the iron and steel and textile industry refute the idea of a domestication of the worker by the company town, at least as far as lorraine is concerned
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Lhuissier, Anne. "Réforme sociale et alimentation populaire (1850-1914) : pour une sociologie des pratiques alimentaires." Paris, EHESS, 2002. http://www.theses.fr/2002EHESA057.

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Abstract:
La thèse vise à articuler l'étude des pratiques d'alimentation en milieu populaire, à celle de l'élaboration d'une question réformatrice sur l'alimentation dans la seconde moitié du XIXe siècle. Si la volonté politique de nourrir le peuple n'est pas neuve, elle prend au milieu du siècle une signification nouvelle à la suite d'une série de crises agricoles (1846-1847, puis 1853-1855), et politique (1848). Dès lors, un ensemble d'acteurs s'accorde sur la nécessité d'assurer l'approvisionnement alimentaire des " classes laborieuses ", qui émergent comme catégorie spécifique de consommateurs. Par la création de dispositifs pratiques et réglementaires, tels que les restaurants et les boucheries sociétaires ou la taxe de la viande et du pain, ces réformateurs poursuivent des visées économiques (créer les conditions d'une concurrence et d'une offre adaptées à une clientèle ouvrière) et hygiénistes (favoriser la consommation de certaines denrées et éduquer les consommateurs). Au registre d'action " traditionnel " du secours alimentaire basé sur le don, ils substituent des règles légales impersonnelles et des dispositifs axés sur la vente. Le débat public sur la réforme alimentaire pourvoir de nombreuses sources documentaires. La thèse s'appuie sur l'analyse d'enquêtes parlementaires, d'archives de dispositifs réformateurs et des monographies de Le Play et de ses continuateurs. Ces documents permettent en outre d'appréhender, par delà les visées moralisatrices des " observateurs sociaux ", les pratiques d'alimentation des ouvriers urbains. La reconstitution des différentes étapes (approvisionnement, cuisine et consommation) de l'alimentation des familles conduit à mettre en évidence une typologie croisée tridimensionnelle (autoconsommation maximale ou recours au marché, place du pain et de la viande dans le régime alimentaire, fréquentation ou non des établissements de consommation hors domicile), qui fonde deux grandes logiques de consommation : l'épargne ou la " prodigalité ". L'interprétation de la différenciation des pratiques d'alimentation en milieu populaire est indissociable de la prise en compte de la diversité des configurations familiales dans lesquelles prennent sens les modes de consommation des ménages
The aim of this thesis is to connect the study of working-class food habits with that of the development of popular food reform as a public issue in the second half of the 19th century. While the state has always assumed some responsibilities to feed the people, this task takes a new significance in the middle of the century, following a series of crisis: agricultural (1846-1847, then 1853-1855), and political (1848). Consequently, many actors agree on the need to improve the diet of the working classes that emerge as a specific category of consumers. The reformers organise practical and legal devices, such as community restaurants and butcheries, or the taxe on meat. They follow two major purposes: economic (to favour competition in the local markets and to create a specific supply to working-class customers) and hygienic (to favour meat consumption and to educate the consumers). To the “traditional” food aid based on charity, they substitute many impersonal and legal rules and devices regulating sale of foodstuffs. Food reform and the public discussion it gave rise to, provide a great number of documents. The research is based on the analysis of parliamentary inquiries, archives on reforming devices and the monographs of Le Play and his followers. Beyond the moral considerations of the “social observers”, these documents make it possible to grasp the food habits of urban working-class families. The reconstitution of the various stages (purchasing of food, cooking and consumption) in the families leads to highlight a three-dimensional cross typology (self-consumption or recourse to the market, place of bread and meat in the diet, cheap-restaurants attendance). These elements indicate two ways of consumption: saving or “prodigality”. Thus, the interpretation of the differentiation of food habits within the working class is closely tied to the diversity of the family configurations in which household consumption takes its meaning
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Garnaud, Nicolas. "L'émergence du monde ouvrier en milieu rural dans l'ancienne province du Poitou au XIXè siècle." Poitiers, 2008. http://theses.edel.univ-poitiers.fr/theses/2008/Garnaud-Nicolas/2008-Garnaud-Nicolas-These.pdf.

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Abstract:
Quelle peut-être la place de l'ouvrier dans le Poitou du XIXème siècle, région archétype d'une France en miniature, majoritairement conservatrice et rurale ? Quelle perception peut avoir l'autorité publique d'une population marginale noyée dans un océan de ruralité à une époque de bouleversements économiques, sociaux et politiques majeurs ? Loin des centres industriels, le monde ouvrier possède néanmoins quelques bastions précisément localisés où il peut exercer une influence non négligeable. Cependant sa modération politique et sa modeste importance numérique font que l'ouvrier n'est pas prioritaire dans l'esprit des autorités. L'application d'une législation sociale, qui émerge dans la seconde moitié du siècle, se fait sans zèle malgré le besoin réel d'une intervention étatique au sein des ateliers. Pour faire face aux difficultés d'une vie quotidienne éprouvante il reste la solidarité et la revendication active
What can the place of the worker be in the 19th century Poitou, archetypal region of a miniature France, predominantly conservative and rural ? What way can the public authority perceive a population living on the margins of society, drowned in an ocean of ruralism in a period of major economic, social and political upheavals ? Far from the industrial centres, the Poitou labour force remains very heterogeneous. Though politically weak, the worker masters a few bastions precisely located in areas where he can carry some influence. However, his political moderation and his small population are not sufficient enough for the worker to have priority in the mind of public authorities. A social legislation, emerging in the second half of the century, is implemented with no zeal, despite the real need for a state intervention in the workshops. To face the difficulties of a testing daily life, there is solidarity and active claims
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Lerner, Hadassa. "La femme du secteur ouvrier au Brésil : 1889-1922." Paris 10, 1992. http://www.theses.fr/1992PA100064.

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Abstract:
Cette recherche prétend étudier les faits concernant les femmes du milieu ouvrier au Brésil et les comparer avec l'image de ces femmes. L'histoire du début du mouvement ouvrier est présentée ici à partir de la dernière décennie du XIXe siècle jusqu'en 1922, quand le parti communiste fut créé au Brésil. Les militants et les adeptes de l'idéologie égalitaire - furent-ils anarchistes, socialistes ou communistes - ont réclamé l’Egalite politique et économique pour tous les hommes. Ils se sont battus pour elle, ils ont lutté et ont même donne leur vie en voulant créer une nouvelle société, ou tous les hommes seraient libres et égaux. La question posée ici est de voir s'ils crurent avec le même enthousiasme à l’égalité des hommes et des femmes. Notre étude a porté sur la presse ouvrière publiée au brésil et sur des pièces de théâtre social. Nous avons trouvé un décalage entre l'image des femmes du milieu ouvrier et entre leurs activités réelles. Si leur apport au développement social et économique fut considérable, l'importance de ces femmes fut sous-estimée. Nous espérons, en conclusion, avoir aidé à rendre à cette "femme-soldat-inconnu" une partie de la reconnaissance qu'elle a méritée
This research concentrates on uncovering the facts known about the women of the workers' population in brazil, and on comparing them with their image. The historical aspects of the beginning of the workers' movement are studied, from 1889 to 1922. The militants and believers of the egalitarian ideology claimed political and economical equality for all men. They fought, cried and died for it. The question put here is whether they believed in the equality of men and women with the same enthusiasm. We looked for an answer by researching the liftist press published in brazil, and by analyzing some of the socialist plays. Summing up, the image and the real performance of those women were found to be somewhat apart. Their contributions to the social and economical development of the country were stronger and heavier than what they were given credit for. Their importance was somewhat underestimated, and it is our hope that the present research will have helped to award to this unknown "woman soldier" some of the credit she is due
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Poirier, François. "Aspects de la conscience ouvrière en Angleterre de la réforme de 1832 à nos jours." Paris 8, 1993. http://www.theses.fr/1993PA08A003.

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Picoche, Philippe. "Une entreprise vosgienne : la verrerie de Portieux 1850-1950." Lyon 2, 2000. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2000/picoche_p.

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Abstract:
Née en 1705 dans le village de Portieux (Vosges), très vite la verrerie migre dans un vallon boisé qui après s'être appelé Magnienville, du nom de son créateur, se nomme la verrerie de Portieux. Cette gobeleterie fût longtemps la première entreprise vosgienne pas sa taille et l'ampleur de son commerce. L'étude consacrée à l'usine de la verrerie s'intéresse aux aspects sociaux et économiques durant la période 1850-1950, période de vie intense qui a marqué les mémoires et les mentalités de manière indélébile. Actuellement, quelques ouvriers s'évertuent à perpétuer la tradition du travail à la main
Born in 1705 in the village of Portieux (Vosges), the glass factory waited no time in moving to a wooded valley. The glass factory was initially called, Magnienville, after its founder, and then took the name of the Portieux glass works. For a long time this glass factory was the leading firme in the Vosges, on account of its size and the scope of its business. The study concerning the glass factory deals with socials and economic questions during the period from 1850-1950, which was marked by intense activiy, and was to remain in people's memories. Today, some workers devote themselves to continuing the traditional work by hand
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Guicheteau, Samuel. "La révolution des ouvriers nantais : le façonnement d'une identité sociale et culturelle, des années 1760 aux années 1830." Rennes 2, 2006. http://books.openedition.org/pur/27601.

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Abstract:
Au tournant des Au tournant des XVIIIe et XIXe siècles, Nantes est une grande ville industrielle et ouvrière. Dès 1760, l'activité cotonnière connaît un grand essor. Des indienneries concentrées et des filatures mécanisées sont bientôt créées. La rationalisation constitue la caractéristique fondamentale de l'industrialisation. Celle-ci affecte donc les ateliers comme les manufactures. Elle bouleverse les structures économiques et sociales de l'artisanat. Le développement de l'industrie nantaise s'inscrit pleinement dans la voie originale de l'industrialisation française, transition progressive plutôt que rupture brutale. Elle ne provoque pas une brutale déqualification du travail. Cependant, vers 1830, l'industrialisation s'accentue nettement. Le monde ouvrier nantais constitue un groupe social très important. Son identité se forge d'abord au travail et se fonde sur la qualification et l'autonomie. Cette identité est partagée par la plupart des ouvriers quels que soient leur niveau de qualification et leur cadre de travail. L'industrialisation n'étant pas une rupture brutale, elle persiste au cours de la période 1760-1840. Bien que traversé par des tensions et des césures, le monde ouvrier présente une réelle unité qui repose sur une identité, une condition socio-économique et des pratiques culturelles communes. De plus, il fonctionne comme un creuset. Les ouvriers nantais participent à la Révolution française en vertu de leur identité sociale et culturelle. Leur participation apparaît, à la fois, remarquable, autonome et originale. Elle suscite la maturation d'une conscience révolutionnaire. Tout en restant marquée par d'importantes contradictions, elle se développe en convergence avec le processus révolutionnaire. Elle s'accompagne de l'émergence d'une conscience sociale collective et d'une certaine politisation. Celles-ci sont confortées par l'engagement des ouvriers dans les affrontements des années 1830. Cet engagement révèle aussi la portée de la Révolution française
At the turn of the 18th and 19th centuries, Nantes was a great industrial and working-class town. From 1760, the cotton industry had been enjoying a period of great development. Consequently, cotton dye and print factories as well as machine-run spinning mills were soon to be built. Rationalisation became a main characteristic of the industrialisation process, affecting workshops as well as factories. It modified drastically the social and economic structures of the craft industry. Nantes' industrial development was fully in line with French industrialisation, a smooth and gradual transition rather than a violent break, which did not bring about any sudden work deskilling. However, industrialisation markedly increased around 1830. Nantes' working-class formed a large social group. It built up its identity on work first, based on skills and autonomy. This identity was shared by most workers regardless of their qualification level or their working environment. As industrialisation came about smoothly and gradually, it went on throughout the period from 1760 to 1840. Despite some tensions and clashes, the working-class enjoyed a real unity based on a common identity, common social and economic conditions and a common cultural practice. Moreover it worked as a melting pot. Nantes' workers took part in the French revolution on the grounds of their social and cultural identity. Taking part in the Revolution seemed remarkable as well as autonomous and original. It meant that a revolutionary consciousness had matured. While still flawed with contradictions, it had developed along with the revolutionary process. It came with the emergence of a social and collective consciousness and with some kind of politicisation. And the involvement of the working-class in the 1830 confrontations only strengthened these. This involvement showed the far-reaching consequences of the French revolution
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